Le monde selon Twitter - La Nouvelle Revue de Geopolitique ( @NRGEO ) 123 - S...Alban Jarry
Ces articles sont parus dans la revue "la Nouvelle Revue de Geopolitique : Spécial Moyen Orient", rubrique "Le monde selon Twitter" en ocotbre 2013 (n° 123).
Cette revue est éditée par Jérémy Ghez
Titres des articles :
* Comment passer une bonne journée … grâce au philosophe oriental Nassim Nicholas Taleb
* Suivre les dettes des Etats en quasi temps réel
* H&M optimise le coût du travail
* Le cinquantième anniversaire du téléphone rouge
* L’influence de Twitter sur les bourses
* Un royal événement acclamé par la toile (la naissance du Prince de Cambridge)
* Twitter archive de la géopolitique moderne
* Bank of America, l’exemple d’une communication ratée
* Economies de TVA : le cas Viadeo
"Le monde des reseaux sociaux de A à #" pour la Nouvelle Revue de Geopolitiqu...Alban Jarry
Cet article est paru dans la revue "la Nouvelle Revue de Geopolitique", rubrique "Le monde selon Twitter" en juillet 2013 (n° 122).
Son titre est : "Le monde des reseaux sociaux de A à #" et vous propose un abécédaire autour des réseaux sociaux.
Cette revue est éditée par Jérémy Ghez
Le monde selon Twitter - La Nouvelle Revue de Geopolitique ( @NRGEO ) 123 - S...Alban Jarry
Ces articles sont parus dans la revue "la Nouvelle Revue de Geopolitique : Spécial Moyen Orient", rubrique "Le monde selon Twitter" en ocotbre 2013 (n° 123).
Cette revue est éditée par Jérémy Ghez
Titres des articles :
* Comment passer une bonne journée … grâce au philosophe oriental Nassim Nicholas Taleb
* Suivre les dettes des Etats en quasi temps réel
* H&M optimise le coût du travail
* Le cinquantième anniversaire du téléphone rouge
* L’influence de Twitter sur les bourses
* Un royal événement acclamé par la toile (la naissance du Prince de Cambridge)
* Twitter archive de la géopolitique moderne
* Bank of America, l’exemple d’une communication ratée
* Economies de TVA : le cas Viadeo
"Le monde des reseaux sociaux de A à #" pour la Nouvelle Revue de Geopolitiqu...Alban Jarry
Cet article est paru dans la revue "la Nouvelle Revue de Geopolitique", rubrique "Le monde selon Twitter" en juillet 2013 (n° 122).
Son titre est : "Le monde des reseaux sociaux de A à #" et vous propose un abécédaire autour des réseaux sociaux.
Cette revue est éditée par Jérémy Ghez
Sortir du Cadre - Fr - par Gerald Holubowicz - BulbGerald Holubowicz
Sortir du Cadre est une serie de post consacree au futur du photojournalisme, ses developpements et ses mutations. Cet ebook reprend l'ensemble de ces post et offre une analyse sur plus de 50 pages.
La Veille De Né Kid Du 17.09.09 : Internet nous rant-il stupide?Né Kid
Cette semaine dans la veille de Né Kid
Actus :
• Qui a peur des fantômes?
• Où l’on reparle de la presse people
• Orange squatte Wikipédia
Point de vue : Internet nous rant-il stupide?
Et toujours les tendances, idées et innovations dénichées cette semaine…
Panorama de l'évolution de la presse à l'heure d'Internet: du fil info au pur...Alban Martin
Panorama de l'évolution de la presse à l'heure d'Internet: du fil info au pure-play par Aurore Peignois de l'Institut des Hautes Etudes des Communications Sociales Haute Ecole Galilée
PO-ST : Les mobilisations non institutionnelles et les réseaux sociauxSt John's
Les mobilisations non institutionnelles et les réseaux sociaux
Clara Gutierrez, Betty Piccioli
Le web 2.0 place l’influence et les mobilisations au coeur des rapports de force entre groupes, opinion et organisations institutionnelles et démocratiques. Etude de cas sur l’Aéroport de Notre-Dame-des-Landes et les manifestations autour du mariage pour tous, comparés aux cas historiques de mobilisations.
Retrouvez tous les rapports sur PO-ST.fr
PO-ST est le fruit du partenariat entre Sciences Po Bordeaux et STJOHN'S, avec une ambition commune : porter un regard pointu, et singulier sur des sujets émergents liés aux nouveaux métiers de la communication, en prenant le temps de l’analyse en profondeur sur la portée de la révolution 2.0.
Les étudiants de 4ème année de Sciences Po Bordeaux (parcours Culture, Métiers du politique et Lobbying) ont ainsi été invités à conduire avec l’agence une réflexion de fond sur des sujets bouleversant les métiers de la communication et à analyser les initiatives ou événements fondateurs de ces bouleversements. Cette réflexion a été conduite sous la supervision de Jean-Marc Dupouy, Directeur des Stratégies digitales de STJOHN’S et intervenant à Sciences Po Bordeaux.
Maquettiste-Design pour la réalisation de la 12eme édition Echos 2 pro intitulé "Presse papier vs Numérique, Je t'aime, moi non plus."
Ce projet a été réalisé par les étudiants du master 2 Information et communication de l'université Paul Valéry 3 Montpellier.
Les Fake News, nouveau visage de la desinformationwallace04
Ce document présente l'analyse du concept de Fake news en rapport avec la désinformation en ligne. Il fait aussi le point sur les caractéristiques, les mobiles de l'usage de cette pratique informationnelle. Ensuite, l’étude un diagnostic de la diffusion des Fake news en République du Congo et propose des pistes de solutions pour mieux sensibiliser le public.
Business is digital - extrait publié par Les EchosEmmanuel Fraysse
Extrait de mon livre "Busines is digital, c'est le moment !" publié initialement par Les Echos (http://lecercle.lesechos.fr/cercle/livres/bonnes-feuilles/221170774/extraits-business-is-digital-cest-moment-demmanuel-fraysse)
Site du livre : www.businessisdigital.com
Une vision des orientations prises par l'industrie de l'imprimerie, à l'heure – en 2012 – d'une digitalisation fulgurante du métier. Bousculés par le commerce en ligne, le web-to-print et les évolutions des technologies d'impression, les imprimeurs doivent réinventer leur métier pour survivre et s'adapter. Ce livre que j'ai publié il y a 5 ans maintenant donne des pistes de réflexion.
Il est difficile de souligner avec assez d’insistance l’incompréhension qui caractérise depuis plusieurs années les nouveaux mécanismes de l’innovation, et ce d’autant plus depuis que leur dynamique s’est accélérée sous le double impact de la numérisation et du dévelop- pement des réseaux. Autour de la révolution numérique, le début des années 1980 a vu apparaître de nouveaux acteurs de l’innovation. Sûrs de leur supériorité et de l’efficacité de leur production, ils ont rapidement commencé à représenter une communauté à part entière – capable de faire contre- poids à ses prédécesseurs plus traditionnels.
D’un côté, c’est l’american dream – l’idée que n’importe qui peut réussir à force de courage et de ténacité ; de l’autre, c’est l’exemple des tycoons de la révolution industrielle. Reprenant l’image de l’artiste solitaire voué à son œuvre dans la solitude de son atelier, ces acrobates de l’innovation se sont dotés d’une mythologie faisant la part belle au jeune créateur d’entreprise capable de démarrer dans son garage pour ensuite conquérir le monde. Une vision quasi nietzschéenne, mélange à la fois de volonté et de supériorité intellectuelle et éthique.
Depuis, la théorie de l’innovation par le garage est devenue l’un des socles fondamentaux de la politique publique du gouvernement Obama. Longtemps ignorée, l’économie innovante vient de faire l’objet de plu- sieurs rapports successifs démontrant son importance croissante dans l’économie : au cours de la dernière décennie, les effets directs et indi- rects du seul numérique ont représenté environ la moitié de la crois- sance constatée aux États-Unis et un peu moins du quart en France.
Qui sont les entrepreneurs du Web? D’où viennent-ils? Quels sont leurs formations, leurs ambitions, leurs parcours? Quels sont leurs convictions politiques, leurs bagages culturels ?
Medias Classiques vs Reseaux sociaux - Entre Lutte et PartenariatEric LEGER
Les "médias classiques" subissent de plein fouet les mutations liées à la 4eme révolution industrielle.
Entre recherche de singularité, de qualité du produit livré, la concurrence avec les nouveaux vecteurs de communications (représentés principalement par les réseaux sociaux massifs tels que Facebook ou Twitter) remet en cause leur pérennité à terme.
Malgré l'ouverture de l'information au plan mondial, sa diversité de contenus, le web social avale le journalisme et le remplace progressivement par des algorithmes complexes.
Au-delà des problématiques de transparence des critères de sélection de l'information, les revenus permettant la survie des médias classiques (via l'espace publicitaire numérique principalement) chutent irrémédiablement (pour la grande majorité).
Malgré la recherche de sources alternatives, tels que les contenus payants, la diversification ou les conférences, le bouleversement majeur de la distribution de l'information de part sa globalité (tant géographique que relative à la cible visée) impose de nouvelles règles du jeu !
Quels risques stratégiques adopter, entre lutte et partenariat ?
Les lecteurs se laisseront-ils "formater" par une information uniforme massive et linéaire ?
Sortir du Cadre - Fr - par Gerald Holubowicz - BulbGerald Holubowicz
Sortir du Cadre est une serie de post consacree au futur du photojournalisme, ses developpements et ses mutations. Cet ebook reprend l'ensemble de ces post et offre une analyse sur plus de 50 pages.
La Veille De Né Kid Du 17.09.09 : Internet nous rant-il stupide?Né Kid
Cette semaine dans la veille de Né Kid
Actus :
• Qui a peur des fantômes?
• Où l’on reparle de la presse people
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Point de vue : Internet nous rant-il stupide?
Et toujours les tendances, idées et innovations dénichées cette semaine…
Panorama de l'évolution de la presse à l'heure d'Internet: du fil info au pur...Alban Martin
Panorama de l'évolution de la presse à l'heure d'Internet: du fil info au pure-play par Aurore Peignois de l'Institut des Hautes Etudes des Communications Sociales Haute Ecole Galilée
PO-ST : Les mobilisations non institutionnelles et les réseaux sociauxSt John's
Les mobilisations non institutionnelles et les réseaux sociaux
Clara Gutierrez, Betty Piccioli
Le web 2.0 place l’influence et les mobilisations au coeur des rapports de force entre groupes, opinion et organisations institutionnelles et démocratiques. Etude de cas sur l’Aéroport de Notre-Dame-des-Landes et les manifestations autour du mariage pour tous, comparés aux cas historiques de mobilisations.
Retrouvez tous les rapports sur PO-ST.fr
PO-ST est le fruit du partenariat entre Sciences Po Bordeaux et STJOHN'S, avec une ambition commune : porter un regard pointu, et singulier sur des sujets émergents liés aux nouveaux métiers de la communication, en prenant le temps de l’analyse en profondeur sur la portée de la révolution 2.0.
Les étudiants de 4ème année de Sciences Po Bordeaux (parcours Culture, Métiers du politique et Lobbying) ont ainsi été invités à conduire avec l’agence une réflexion de fond sur des sujets bouleversant les métiers de la communication et à analyser les initiatives ou événements fondateurs de ces bouleversements. Cette réflexion a été conduite sous la supervision de Jean-Marc Dupouy, Directeur des Stratégies digitales de STJOHN’S et intervenant à Sciences Po Bordeaux.
Maquettiste-Design pour la réalisation de la 12eme édition Echos 2 pro intitulé "Presse papier vs Numérique, Je t'aime, moi non plus."
Ce projet a été réalisé par les étudiants du master 2 Information et communication de l'université Paul Valéry 3 Montpellier.
Les Fake News, nouveau visage de la desinformationwallace04
Ce document présente l'analyse du concept de Fake news en rapport avec la désinformation en ligne. Il fait aussi le point sur les caractéristiques, les mobiles de l'usage de cette pratique informationnelle. Ensuite, l’étude un diagnostic de la diffusion des Fake news en République du Congo et propose des pistes de solutions pour mieux sensibiliser le public.
Business is digital - extrait publié par Les EchosEmmanuel Fraysse
Extrait de mon livre "Busines is digital, c'est le moment !" publié initialement par Les Echos (http://lecercle.lesechos.fr/cercle/livres/bonnes-feuilles/221170774/extraits-business-is-digital-cest-moment-demmanuel-fraysse)
Site du livre : www.businessisdigital.com
Une vision des orientations prises par l'industrie de l'imprimerie, à l'heure – en 2012 – d'une digitalisation fulgurante du métier. Bousculés par le commerce en ligne, le web-to-print et les évolutions des technologies d'impression, les imprimeurs doivent réinventer leur métier pour survivre et s'adapter. Ce livre que j'ai publié il y a 5 ans maintenant donne des pistes de réflexion.
Il est difficile de souligner avec assez d’insistance l’incompréhension qui caractérise depuis plusieurs années les nouveaux mécanismes de l’innovation, et ce d’autant plus depuis que leur dynamique s’est accélérée sous le double impact de la numérisation et du dévelop- pement des réseaux. Autour de la révolution numérique, le début des années 1980 a vu apparaître de nouveaux acteurs de l’innovation. Sûrs de leur supériorité et de l’efficacité de leur production, ils ont rapidement commencé à représenter une communauté à part entière – capable de faire contre- poids à ses prédécesseurs plus traditionnels.
D’un côté, c’est l’american dream – l’idée que n’importe qui peut réussir à force de courage et de ténacité ; de l’autre, c’est l’exemple des tycoons de la révolution industrielle. Reprenant l’image de l’artiste solitaire voué à son œuvre dans la solitude de son atelier, ces acrobates de l’innovation se sont dotés d’une mythologie faisant la part belle au jeune créateur d’entreprise capable de démarrer dans son garage pour ensuite conquérir le monde. Une vision quasi nietzschéenne, mélange à la fois de volonté et de supériorité intellectuelle et éthique.
Depuis, la théorie de l’innovation par le garage est devenue l’un des socles fondamentaux de la politique publique du gouvernement Obama. Longtemps ignorée, l’économie innovante vient de faire l’objet de plu- sieurs rapports successifs démontrant son importance croissante dans l’économie : au cours de la dernière décennie, les effets directs et indi- rects du seul numérique ont représenté environ la moitié de la crois- sance constatée aux États-Unis et un peu moins du quart en France.
Qui sont les entrepreneurs du Web? D’où viennent-ils? Quels sont leurs formations, leurs ambitions, leurs parcours? Quels sont leurs convictions politiques, leurs bagages culturels ?
Medias Classiques vs Reseaux sociaux - Entre Lutte et PartenariatEric LEGER
Les "médias classiques" subissent de plein fouet les mutations liées à la 4eme révolution industrielle.
Entre recherche de singularité, de qualité du produit livré, la concurrence avec les nouveaux vecteurs de communications (représentés principalement par les réseaux sociaux massifs tels que Facebook ou Twitter) remet en cause leur pérennité à terme.
Malgré l'ouverture de l'information au plan mondial, sa diversité de contenus, le web social avale le journalisme et le remplace progressivement par des algorithmes complexes.
Au-delà des problématiques de transparence des critères de sélection de l'information, les revenus permettant la survie des médias classiques (via l'espace publicitaire numérique principalement) chutent irrémédiablement (pour la grande majorité).
Malgré la recherche de sources alternatives, tels que les contenus payants, la diversification ou les conférences, le bouleversement majeur de la distribution de l'information de part sa globalité (tant géographique que relative à la cible visée) impose de nouvelles règles du jeu !
Quels risques stratégiques adopter, entre lutte et partenariat ?
Les lecteurs se laisseront-ils "formater" par une information uniforme massive et linéaire ?
Medias Classiques vs Reseaux sociaux - Entre Lutte et Partenariat
Presse et Internet
1. Internet peut-il tuer la presse ?
Internet est-il pour la presse écrite une planche de salut, un relais de
croissance, ou rien de tout cela ?
Nous assistons depuis quinze ans, date de l'apparition du premier navigateur sur le Web (alors
Netscape), à la constitution d'un univers en constante expansion, qui attire désormais près de 1,3
milliard de personnes sur la planète. Il y a eu plus de changements ces trois dernières années, dans
l'univers numérique, que lors des douze premières. Rappelons que 6 des 10 principaux sites
mondiaux n'existaient pas encore voilà trois ans. Ce big bang a pour la presse écrite deux
conséquences importantes. D'abord, la fragmentation des usages, avec l'utilisation par le
consommateur d'écrans multiples et nomades. Le deuxième impact, c'est la polarisation. Quand il y
a dix ans un même individu pouvait lire jusqu'à quatre hebdomadaires par semaine, il n'en lit plus
aujourd'hui qu'un seul.
Comment se comportent les lecteurs ?
Ils sont de plus en plus infidèles et de moins en moins nombreux en raison, là encore, de la
généralisation de cette pratique de butinage. Si bien qu'à présent ce sont les modèles industriels,
fondés avant tout sur une augmentation permanente des ventes et sur une régularité de
consommation, qui sont les plus menacés. Dans cet univers, il n'est pas surprenant de constater que
la presse quotidienne est la branche la plus touchée, en particulier la presse nationale, en France
comme dans le monde occidental. L'expansion est partout menacée, la régularité l'est aussi et la
prévisibilité l'est encore plus. On a vu le Chicago Tribune, le Los Angeles Times se déclarer en
situation de faillite et le New York Times hypothéquer son siège social. Avec cette question : quel
va être le premier mort ?
D'autant qu'une troisième crise, bien plus profonde encore, semble se
profiler à l'horizon...
C'est la crise de l'information. Si le journalisme d'opinion et de commentaire connaît une vraie
explosion, liée à Internet et à la blogosphère, ce qui faisait jusqu'ici le socle de ce métier, c'est-à-dire
la collecte de l'information sur le terrain, connaît une crise inquiétante. Qu'on le veuille ou non,
depuis le début du xxe siècle, la recherche d'infos a toujours été structurée autour des grands
quotidiens, clefs de voûte du système. Il y a trois ans, le New York Times disposait d'une équipe de
60 personnes à Bagdad ; aujourd'hui, ils ne sont plus que 20. Peu à peu, radios, télévisions et
journaux réduisent la voilure, rapatrient leurs correspondants, ferment leurs bureaux à l'étranger.
2. Demain, qu'en sera-t-il de la collecte de l'information et de son
financement ?
N'est-ce pas la question fondamentale ?
Il en va tout bonnement de la démocratie. Une étude récente a démontré que, malgré l'explosion
planétaire du Web, le nombre de pays couverts par Internet restait beaucoup plus faible que celui
couvert par la presse dite traditionnelle. Celle-ci demeure le premier vecteur d'information du globe.
Et cela pour une raison très simple : informer sur le Zimbabwe, l'Irak ou le Soudan suppose des
moyens et des compétences. Si bien que le grand défi auquel est confrontée la presse écrite, par
rapport à la révolution numérique, est de faire en sorte que ne se développent pas des zones d'ombre
informationnelles, un immense triangle des Bermudes, un no man's land de populations et de
cultures oubliées par l'univers numérique. Et ce qui est inquiétant, c'est qu'au sein des grands
journaux comme des agences de presse, personne, pour l'heure, n'a de réponse à cette question.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/media-people/media/internet-peut-il-tuer-la-
presse_729807.html#qGFFpkG1HwpFtddZ.99