Les simpsons, étude d'un phénomène culturel populaire occidentalKevinRG
« Des pièces comiques se dégagent, sinon une leçon, du moins une impression », cette phrase semble rappeler de façon très juste l’intérêt de toute recherche dans le domaine de l’histoire du rire et de la dérision. L’étude de la comédie de Molière a suscité en l’auteur de ces lignes la tentation d’un rapprochement avec une sorte de comédie plus contemporaine, la fameuse série télévisée Les Simpsons, l’histoire de la vie d’une famille de la classe moyenne vivant dans la ville de Springfield. Tandis que Molière, reprenant les personnages de la Commedia dell’arte, a écrit ses pièces de théâtre dans le but d’amuser les spectateurs par des traits de caractères grossis mais bien présents dans la société, Les Simpsons jouent sur une exubérance et une exagération qui suscitent le rire chez beaucoup de nos contemporains. Le parallèle entre les deux oeuvres peut paraître audacieux, Matt Groening (réalisateur de la série américaine) n’ayant certainement jamais été encore comparé à Jean-Baptiste Poquelin. Et, certes, il y a de l’audace dans notre propos. Cependant, l’objet de cette étude n’est pas d’attribuer le Molière du meilleur auteur à Matt Groening mais de cerner en quoi la série se situe dans un long héritage d’art humoristique dont le but est la dénonciation de certains traits de caractère et des travers de la société via la dérision.
Passeport de marque Thorgal (c) Le Lombard 2014amelieretorre
Le Passeport de Marque THORGAL est le document de référence conçu par Le LOMBARD pour faciliter la communication et la gestion de la marque THORGAL auprès de tous ses partenaires
Les simpsons, étude d'un phénomène culturel populaire occidentalKevinRG
« Des pièces comiques se dégagent, sinon une leçon, du moins une impression », cette phrase semble rappeler de façon très juste l’intérêt de toute recherche dans le domaine de l’histoire du rire et de la dérision. L’étude de la comédie de Molière a suscité en l’auteur de ces lignes la tentation d’un rapprochement avec une sorte de comédie plus contemporaine, la fameuse série télévisée Les Simpsons, l’histoire de la vie d’une famille de la classe moyenne vivant dans la ville de Springfield. Tandis que Molière, reprenant les personnages de la Commedia dell’arte, a écrit ses pièces de théâtre dans le but d’amuser les spectateurs par des traits de caractères grossis mais bien présents dans la société, Les Simpsons jouent sur une exubérance et une exagération qui suscitent le rire chez beaucoup de nos contemporains. Le parallèle entre les deux oeuvres peut paraître audacieux, Matt Groening (réalisateur de la série américaine) n’ayant certainement jamais été encore comparé à Jean-Baptiste Poquelin. Et, certes, il y a de l’audace dans notre propos. Cependant, l’objet de cette étude n’est pas d’attribuer le Molière du meilleur auteur à Matt Groening mais de cerner en quoi la série se situe dans un long héritage d’art humoristique dont le but est la dénonciation de certains traits de caractère et des travers de la société via la dérision.
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