Pratiques les plus courantes, supports utilisés, cibles visées : consultez et/ou téléchargez gratuitement l’étude "Les Jeux-Concours en France : Bilan 2014".
Etude sur omnicanal lsa - oliver wyman 2015CCHENEVOY
La deuxième édition du Baromètre digital du commerce par LSA et Oliver Wyman, menée auprès des lecteurs de LSA, semble démontrer que les entreprises voient aujourd’hui le magasin comme un atout, alors que, dans la première édition, il paraissait en état de survie.
Baromètre digital du commerce par LSA et Oliver Wyman 2015 yann le gigan
>>[Etude] Baromètre digital du commerce par LSA et Oliver Wyman 2015
[Slideshare Clotilde Chenevoy LSA 11.09.15]
La mutation digitale de la distribution
http://fr.slideshare.net/CCHENEVOY/etude-sur-omnicanal-lsa-oliver-wyman-2015
Etude PwC "Total Retail 2015" Sur quoi miser aujourd’hui pour réenchanter la ...PwC France
Dans sa 5ème étude mondiale sur les consommateurs connectés - menée dans 25 pays auprès de 22 600 web-acheteurs, le cabinet d’audit et de conseil PwC révèle que la France a recruté 17% de nouveaux web-acheteurs en 2015, un chiffre en hausse par rapport à 2014.
Etude sur omnicanal lsa - oliver wyman 2015CCHENEVOY
La deuxième édition du Baromètre digital du commerce par LSA et Oliver Wyman, menée auprès des lecteurs de LSA, semble démontrer que les entreprises voient aujourd’hui le magasin comme un atout, alors que, dans la première édition, il paraissait en état de survie.
Baromètre digital du commerce par LSA et Oliver Wyman 2015 yann le gigan
>>[Etude] Baromètre digital du commerce par LSA et Oliver Wyman 2015
[Slideshare Clotilde Chenevoy LSA 11.09.15]
La mutation digitale de la distribution
http://fr.slideshare.net/CCHENEVOY/etude-sur-omnicanal-lsa-oliver-wyman-2015
Etude PwC "Total Retail 2015" Sur quoi miser aujourd’hui pour réenchanter la ...PwC France
Dans sa 5ème étude mondiale sur les consommateurs connectés - menée dans 25 pays auprès de 22 600 web-acheteurs, le cabinet d’audit et de conseil PwC révèle que la France a recruté 17% de nouveaux web-acheteurs en 2015, un chiffre en hausse par rapport à 2014.
Barometre « Services à la livraison : réalités sur les attentes des Français »Clotilde Chenevoy
SprintProject, en partenariat avec DB Schenker, FM Logistic,
GS1-France et Savoye, publient la 3ème édition du baromètre
« Services à la livraison : réalités sur les attentes des
Français », réalisée par OpinionWay
Etude Observatoire de l'e-pub PwC/SRI/UDECAM (S1 2014)PwC France
http://bit.ly/CP-PwC-ObsePub
Le SRI (Syndicat des Régies Internet), l’UDECAM (Union des Entreprises de Conseil et d’Achat Medias) et PwC présentent aujourd’hui les résultats de la 12ème édition de l’Observatoire de l’e-pub.
Cette étude de référence, initiée par le SRI et réalisée depuis 2013 par PwC, donne un éclairage indispensable sur le marché publicitaire digital et son écosystème en pleine mutation, en analysant l’évolution de son chiffre d’affaires net par leviers, par formats, par modes d’achat et par devices.
12ème édition de l'Observatoire de l'e-pub du SRI réalisé par PwC en partenariat avec l'UDECAM. Cette étude présente l'évolution du chiffre d'affaires net de la publicité online par levier, mode d'achat et device. Elle permet de faire un état des lieux des tendances du marché du digital.
CPA - Comment Conjuguer Performance et Attribution des actions - Conf. Salon ...Leblond
La déduplication, technique permettant à l'annonceur de mesurer, arbitrer et/ou attribuer une action à un seul canal de conversion, est aujourd’hui une réalité nécessaire du marketing online.
Cependant, qui dit modèle à la performance dit mesure des actions et tout élément influant sur les règles de mesure influe aussi sur les performances des éditeurs et, finalement, sur l’attrait du programme d’affiliation sur le réseau.
Ainsi, à vouloir trop « rationnaliser » par un arbitrage strict et peu transparent, l’annonceur appauvrit son dispositif d’affiliation et donc son canal de transformation… La non transparence des règles de déduplication posant non seulement la question du rôle de tiers de confiance des plateformes, mais aussi de la réussite des programmes d’affiliation, mise à mal puisque directement liée à la rentabilité des éditeurs.
L’objet de cette conférence :
- Permettre aux annonceurs de mieux comprendre l’impact de la déduplication sur le travail des éditeurs à travers les témoignages et données chiffrées de représentants majeurs du secteur
- Proposer, à travers une étude de cas présentée par Public-Idées et Expertime, une approche méthodologique de mise en place d’un outil de déduplication sur un programme d’affiliation
28/09/2017 Séminaire Data & Activation ClientSoft Computing
Data & Activation Client : les clés du succès
DMP, Social, CRM onboarding, Data Science et Intelligence Artificielle quelles techniques pour décupler la connaissance client et le ROI marketing ?
Comment démultiplier votre ROI marketing en passant d'une poignée d'informations client à des milliers de datapoints par client ?
Un client ne se caractérise plus seulement par quelques données socio-démographiques et un historique des achats et des réactions à des sollicitations. Aujourd'hui, il est possible de réconcilier autour d'un client ou prospect par des techniques de data science et d'intelligence artificielle, une quantité inimaginable de données de comportements digitaux (DMP, comportement social, CRM onboarding, 2nd et 3rd-party data, look-alike...).
• Quelles données peuvent être collectées réellement ?
• Quelles techniques pour les collecter ? ... pour extrapoler les données d'une population sur une autre,
• Quelles sont les limites contractuelles/légales à la collecte et l'utilisation des données de profil ?
• Comment stocker et analyser ces masses d'informations pour les transformer en connaissance activable ?
• Comment industrialiser l'activation des données à des fins de recrutement de prospects ou d'animation relationnelle des clients ?
MOPA & Guide Like You - Stéphane Millet : plateformes collaboratives de visit...MONA
Retrouvez toutes les ressources de la journée technique MOPA, réalisée le 3 avril 2015 à Mont de Marsan, sur le thème "visites guidées et produits de visite comment innover" ici : http://aquitaine-mopa.fr/professionnalisation/programme-regional-2015/autofinancement/article/visites-guidees-et-produits-de-visite-comment-innover-03-avril-2015
Un diagnostic numérique de territoire a été réalisé sur la destination Saint-Palais-sur-Mer en 2014. Deux réunions de présentation aux prestataires ont été réalisées en 2014 : les 3 et 7 novembre.
11ème Observatoire de l'e pub - bilan 2013 - projections 2014 - SRI - UDECAM ...Romain Fonnier
Paris, le 30 janvier 2014 - Le SRI (Syndicat des Régies Internet), l’UDECAM (Union des Entreprises de Conseil et d’Achat Medias) et PwC présentent aujourd’hui les résultats de la 11ème édition de l’Observatoire de l’e-pub. Cette étude, initiée par le SRI et réalisée depuis 2013 par PwC, donne un nouvel éclairage sur le marché français de la publicité digitale en analysant l’évolution de son chiffre d’affaires net par leviers, par formats, par modes d’achat et par devices.
Le SRI et l’UDECAM ont publié hier la 11ème édition de l’Observatoire de l’E-Pub. La Mobile Marketing Association France a apporté son concours à cette étude ; dans le cadre des travaux de la Commission Publicité et Big data portant sur la mesure du marché de la publicité sur mobile, nous nous sommes mis directement en relation avec pwc, qui réalise l’Observatoire cette année.
Pour notre industrie, deux chiffres sont à retenir : les investissements Mobile, pourtant constitués seulement du search et du display, progressent de 57% pour atteindre 229 M€ en 2013.
Ainsi, le mobile s’illustre parmi les tendances clé de 2013 : « La bascule des audiences vers le mobile et les tablettes se traduit par une accélération des budgets investis sur ces devices qui intègrent plus systématiquement les plans médias » et occupe une place privilégiée des perspectives pour 2014 « La part du digital, et en particulier du mobile continuera sa croissance au sein du marché publicitaire global ».
Etude PwC 11e éd. Observatoire de l'e-pub (2014)PwC France
http://pwc.to/1d9zPKc
Le SRI (Syndicat des Régies Internet), l’UDECAM (Union des Entreprises de Conseil et d’Achat Medias) et PwC présentent les résultats de la 11ème édition de l’Observatoire de l’e-pub. Cette étude, initiée par le SRI et réalisée depuis 2013 par PwC, donne un nouvel éclairage sur le marché français de la publicité digitale en analysant l’évolution de son chiffre d’affaires net par leviers, par formats, par modes d’achat et par devices.
Le marché digital a connu une croissance de 3% en 2013, en léger tassement par rapport au premier semestre, sous l’effet d’une concurrence accrue entre médias
Obervatoire de l'e-pub - Projections 2013 - SRIAd6 Media
Pour donner un nouvel éclairage au marché français de la publicité digitale, nous avons apporté deux évolutions majeures au cadre d’analyse :
Le découpage du marché est désormais structuré autour de trois logiques
Par modes de vente
Par devices
Par formats
Des éléments de mise en perspective internationale sont apportés pour éclairer les tendances identifiées, sur la base des études que PwC mène au sein des autres pays de référence
Les tendances clés
Le marché digital maintient sa croissance dans un contexte média général tendu. Le digital est impacté par la tendance déflationniste observée sur les autres médias
La part du digital dans les dépenses média sur le marché français reste significativement moins élevée que dans les autres pays de référence
Les ad exchanges explosent. Ce mouvement reconfigure le marché. Ils s’ouvrent rapidement à la vidéo et aux inventaires premium
Le dynamisme de la vidéo et l’innovation dans les opérations spéciales permettent aux sites de marques de dynamiser leurs inventaires. Les CPM se revalorisent pour les inventaires premium
La recherche de performance reste importante chez les annonceurs. Le search consolide sa place dans le mix digital
Le mobile connaît une forte croissance au premier semestre mais reste largement sous-investi en comparaison aux marchés étrangers
Section 1 – Quelle évolution du marché digital ?
L’Observatoire de l’e-Pub, mené depuis 2009 à l’initiative du SRI et en partenariat avec l’UDECAM, est devenu l’étude de référence pour mesurer le marché français de la communication publicitaire online. Cet observatoire suit l’évolution des différentes composantes de son chiffre d’affaires net (search, display, affiliation, e-mailing, comparateurs de prix et mobile).
Ainsi en janvier 2013, le chiffre d’affaires de ce marché atteint 2,7 milliards d’euros nets en 2012. L’étude démontrait le ralentissement de la croissance des investissements digitaux en 2012 en France (+5%) et cela de manière plus marquée que sur les marchés américain, britannique et allemand.
Observatoire de l'epub - 10eme edition - 2013Romain Fonnier
10ème édition de l’Observatoire de l’e-Pub du SRI, réalisé par PwC, en partenariat avec l’UDECAM
Le marché français de la publicité digitale atteint 1,398 milliard d’euros de chiffre d’affaires net sur le 1er
semestre 2013, soit une progression de 4% par rapport au 1er semestre 2012.
Paris, le 9 juillet 2013 - Le SRI (Syndicat des Régies Internet), l’UDECAM (Union des Entreprises de Conseil et d’Achat Medias) et PwC présentent aujourd’hui les résultats de la 10ème édition de l’Observatoire de l’e-pub. Cette étude initiée par le SRI et réalisée pour la 1ère fois par PwC donne un nouvel éclairage sur le marché français de la publicité digitale en analysant l’évolution de son chiffre d’affaires net par leviers, par formats, par modes d’achat et par devices.
Pour Eric Aderdor, Président du SRI, « Avec une croissance, certes modérée, de 4%, le digital envoie un premier signal positif dans un marché publicitaire et un contexte économique complexes. Alors que notre marché connaît une réelle transformation structurelle et conjoncturelle, nous avons besoin plus que jamais de décryptage, de simplification et de lisibilité. Cet Observatoire nous donne toutes les clés pour comprendre les leviers de croissance et les grands enjeux de notre secteur en France, qui par ailleurs, accuse encore un certain retard en termes d’investissements publicitaires digitaux. »
La France encore en retard au regard de l’international
Quand en France, le digital représente, 20% des investissements publicitaires, dans les autres pays de référence, la part des dépenses publicitaires consacrée au digital est significativement plus élevée : avec 24% pour les USA, 30% pour l’Allemagne et 35% pour le Royaume-Uni.
Cela est particulièrement paradoxal compte tenu du fort taux d’équipement des foyers français sur les nouveaux devices. Avec 36% de taux de pénétration des nouveaux supports en 2012, la France est le 2ème marché en termes d’équipement et seulement au 16ème rang en termes d’investissements publicitaires digitaux.
Sur le 1er semestre 2013, progression de l’ensemble des leviers digitaux
Le « Search » (liens sponsorisés) poursuit sa croissance (5%) et consolide sa place dans le mix digital, malgré une forte concurrence des autres leviers à la performance. Il représente un chiffre d’affaires de 826 millions d’euros net sur le premier semestre 2013, soit 57% du marché de la publicité online en France
Le « Display » deuxième segment en valeur, maintient sa croissance au premier semestre 2013 (+3%), portant le chiffre d’affaires à 379 millions d’euros nets. Ce segment est tiré par le dynamisme de la vidéo (+34%), la place croissante du RTB dans les dépenses publicitaires digitales et le déploiement du display sur mobile et tablettes (+36%).
Les « autres leviers » : Affiliation, Comparateurs et E-mailing connaissent une stabil
Barometre « Services à la livraison : réalités sur les attentes des Français »Clotilde Chenevoy
SprintProject, en partenariat avec DB Schenker, FM Logistic,
GS1-France et Savoye, publient la 3ème édition du baromètre
« Services à la livraison : réalités sur les attentes des
Français », réalisée par OpinionWay
Etude Observatoire de l'e-pub PwC/SRI/UDECAM (S1 2014)PwC France
http://bit.ly/CP-PwC-ObsePub
Le SRI (Syndicat des Régies Internet), l’UDECAM (Union des Entreprises de Conseil et d’Achat Medias) et PwC présentent aujourd’hui les résultats de la 12ème édition de l’Observatoire de l’e-pub.
Cette étude de référence, initiée par le SRI et réalisée depuis 2013 par PwC, donne un éclairage indispensable sur le marché publicitaire digital et son écosystème en pleine mutation, en analysant l’évolution de son chiffre d’affaires net par leviers, par formats, par modes d’achat et par devices.
12ème édition de l'Observatoire de l'e-pub du SRI réalisé par PwC en partenariat avec l'UDECAM. Cette étude présente l'évolution du chiffre d'affaires net de la publicité online par levier, mode d'achat et device. Elle permet de faire un état des lieux des tendances du marché du digital.
CPA - Comment Conjuguer Performance et Attribution des actions - Conf. Salon ...Leblond
La déduplication, technique permettant à l'annonceur de mesurer, arbitrer et/ou attribuer une action à un seul canal de conversion, est aujourd’hui une réalité nécessaire du marketing online.
Cependant, qui dit modèle à la performance dit mesure des actions et tout élément influant sur les règles de mesure influe aussi sur les performances des éditeurs et, finalement, sur l’attrait du programme d’affiliation sur le réseau.
Ainsi, à vouloir trop « rationnaliser » par un arbitrage strict et peu transparent, l’annonceur appauvrit son dispositif d’affiliation et donc son canal de transformation… La non transparence des règles de déduplication posant non seulement la question du rôle de tiers de confiance des plateformes, mais aussi de la réussite des programmes d’affiliation, mise à mal puisque directement liée à la rentabilité des éditeurs.
L’objet de cette conférence :
- Permettre aux annonceurs de mieux comprendre l’impact de la déduplication sur le travail des éditeurs à travers les témoignages et données chiffrées de représentants majeurs du secteur
- Proposer, à travers une étude de cas présentée par Public-Idées et Expertime, une approche méthodologique de mise en place d’un outil de déduplication sur un programme d’affiliation
28/09/2017 Séminaire Data & Activation ClientSoft Computing
Data & Activation Client : les clés du succès
DMP, Social, CRM onboarding, Data Science et Intelligence Artificielle quelles techniques pour décupler la connaissance client et le ROI marketing ?
Comment démultiplier votre ROI marketing en passant d'une poignée d'informations client à des milliers de datapoints par client ?
Un client ne se caractérise plus seulement par quelques données socio-démographiques et un historique des achats et des réactions à des sollicitations. Aujourd'hui, il est possible de réconcilier autour d'un client ou prospect par des techniques de data science et d'intelligence artificielle, une quantité inimaginable de données de comportements digitaux (DMP, comportement social, CRM onboarding, 2nd et 3rd-party data, look-alike...).
• Quelles données peuvent être collectées réellement ?
• Quelles techniques pour les collecter ? ... pour extrapoler les données d'une population sur une autre,
• Quelles sont les limites contractuelles/légales à la collecte et l'utilisation des données de profil ?
• Comment stocker et analyser ces masses d'informations pour les transformer en connaissance activable ?
• Comment industrialiser l'activation des données à des fins de recrutement de prospects ou d'animation relationnelle des clients ?
MOPA & Guide Like You - Stéphane Millet : plateformes collaboratives de visit...MONA
Retrouvez toutes les ressources de la journée technique MOPA, réalisée le 3 avril 2015 à Mont de Marsan, sur le thème "visites guidées et produits de visite comment innover" ici : http://aquitaine-mopa.fr/professionnalisation/programme-regional-2015/autofinancement/article/visites-guidees-et-produits-de-visite-comment-innover-03-avril-2015
Un diagnostic numérique de territoire a été réalisé sur la destination Saint-Palais-sur-Mer en 2014. Deux réunions de présentation aux prestataires ont été réalisées en 2014 : les 3 et 7 novembre.
11ème Observatoire de l'e pub - bilan 2013 - projections 2014 - SRI - UDECAM ...Romain Fonnier
Paris, le 30 janvier 2014 - Le SRI (Syndicat des Régies Internet), l’UDECAM (Union des Entreprises de Conseil et d’Achat Medias) et PwC présentent aujourd’hui les résultats de la 11ème édition de l’Observatoire de l’e-pub. Cette étude, initiée par le SRI et réalisée depuis 2013 par PwC, donne un nouvel éclairage sur le marché français de la publicité digitale en analysant l’évolution de son chiffre d’affaires net par leviers, par formats, par modes d’achat et par devices.
Le SRI et l’UDECAM ont publié hier la 11ème édition de l’Observatoire de l’E-Pub. La Mobile Marketing Association France a apporté son concours à cette étude ; dans le cadre des travaux de la Commission Publicité et Big data portant sur la mesure du marché de la publicité sur mobile, nous nous sommes mis directement en relation avec pwc, qui réalise l’Observatoire cette année.
Pour notre industrie, deux chiffres sont à retenir : les investissements Mobile, pourtant constitués seulement du search et du display, progressent de 57% pour atteindre 229 M€ en 2013.
Ainsi, le mobile s’illustre parmi les tendances clé de 2013 : « La bascule des audiences vers le mobile et les tablettes se traduit par une accélération des budgets investis sur ces devices qui intègrent plus systématiquement les plans médias » et occupe une place privilégiée des perspectives pour 2014 « La part du digital, et en particulier du mobile continuera sa croissance au sein du marché publicitaire global ».
Etude PwC 11e éd. Observatoire de l'e-pub (2014)PwC France
http://pwc.to/1d9zPKc
Le SRI (Syndicat des Régies Internet), l’UDECAM (Union des Entreprises de Conseil et d’Achat Medias) et PwC présentent les résultats de la 11ème édition de l’Observatoire de l’e-pub. Cette étude, initiée par le SRI et réalisée depuis 2013 par PwC, donne un nouvel éclairage sur le marché français de la publicité digitale en analysant l’évolution de son chiffre d’affaires net par leviers, par formats, par modes d’achat et par devices.
Le marché digital a connu une croissance de 3% en 2013, en léger tassement par rapport au premier semestre, sous l’effet d’une concurrence accrue entre médias
Obervatoire de l'e-pub - Projections 2013 - SRIAd6 Media
Pour donner un nouvel éclairage au marché français de la publicité digitale, nous avons apporté deux évolutions majeures au cadre d’analyse :
Le découpage du marché est désormais structuré autour de trois logiques
Par modes de vente
Par devices
Par formats
Des éléments de mise en perspective internationale sont apportés pour éclairer les tendances identifiées, sur la base des études que PwC mène au sein des autres pays de référence
Les tendances clés
Le marché digital maintient sa croissance dans un contexte média général tendu. Le digital est impacté par la tendance déflationniste observée sur les autres médias
La part du digital dans les dépenses média sur le marché français reste significativement moins élevée que dans les autres pays de référence
Les ad exchanges explosent. Ce mouvement reconfigure le marché. Ils s’ouvrent rapidement à la vidéo et aux inventaires premium
Le dynamisme de la vidéo et l’innovation dans les opérations spéciales permettent aux sites de marques de dynamiser leurs inventaires. Les CPM se revalorisent pour les inventaires premium
La recherche de performance reste importante chez les annonceurs. Le search consolide sa place dans le mix digital
Le mobile connaît une forte croissance au premier semestre mais reste largement sous-investi en comparaison aux marchés étrangers
Section 1 – Quelle évolution du marché digital ?
L’Observatoire de l’e-Pub, mené depuis 2009 à l’initiative du SRI et en partenariat avec l’UDECAM, est devenu l’étude de référence pour mesurer le marché français de la communication publicitaire online. Cet observatoire suit l’évolution des différentes composantes de son chiffre d’affaires net (search, display, affiliation, e-mailing, comparateurs de prix et mobile).
Ainsi en janvier 2013, le chiffre d’affaires de ce marché atteint 2,7 milliards d’euros nets en 2012. L’étude démontrait le ralentissement de la croissance des investissements digitaux en 2012 en France (+5%) et cela de manière plus marquée que sur les marchés américain, britannique et allemand.
Observatoire de l'epub - 10eme edition - 2013Romain Fonnier
10ème édition de l’Observatoire de l’e-Pub du SRI, réalisé par PwC, en partenariat avec l’UDECAM
Le marché français de la publicité digitale atteint 1,398 milliard d’euros de chiffre d’affaires net sur le 1er
semestre 2013, soit une progression de 4% par rapport au 1er semestre 2012.
Paris, le 9 juillet 2013 - Le SRI (Syndicat des Régies Internet), l’UDECAM (Union des Entreprises de Conseil et d’Achat Medias) et PwC présentent aujourd’hui les résultats de la 10ème édition de l’Observatoire de l’e-pub. Cette étude initiée par le SRI et réalisée pour la 1ère fois par PwC donne un nouvel éclairage sur le marché français de la publicité digitale en analysant l’évolution de son chiffre d’affaires net par leviers, par formats, par modes d’achat et par devices.
Pour Eric Aderdor, Président du SRI, « Avec une croissance, certes modérée, de 4%, le digital envoie un premier signal positif dans un marché publicitaire et un contexte économique complexes. Alors que notre marché connaît une réelle transformation structurelle et conjoncturelle, nous avons besoin plus que jamais de décryptage, de simplification et de lisibilité. Cet Observatoire nous donne toutes les clés pour comprendre les leviers de croissance et les grands enjeux de notre secteur en France, qui par ailleurs, accuse encore un certain retard en termes d’investissements publicitaires digitaux. »
La France encore en retard au regard de l’international
Quand en France, le digital représente, 20% des investissements publicitaires, dans les autres pays de référence, la part des dépenses publicitaires consacrée au digital est significativement plus élevée : avec 24% pour les USA, 30% pour l’Allemagne et 35% pour le Royaume-Uni.
Cela est particulièrement paradoxal compte tenu du fort taux d’équipement des foyers français sur les nouveaux devices. Avec 36% de taux de pénétration des nouveaux supports en 2012, la France est le 2ème marché en termes d’équipement et seulement au 16ème rang en termes d’investissements publicitaires digitaux.
Sur le 1er semestre 2013, progression de l’ensemble des leviers digitaux
Le « Search » (liens sponsorisés) poursuit sa croissance (5%) et consolide sa place dans le mix digital, malgré une forte concurrence des autres leviers à la performance. Il représente un chiffre d’affaires de 826 millions d’euros net sur le premier semestre 2013, soit 57% du marché de la publicité online en France
Le « Display » deuxième segment en valeur, maintient sa croissance au premier semestre 2013 (+3%), portant le chiffre d’affaires à 379 millions d’euros nets. Ce segment est tiré par le dynamisme de la vidéo (+34%), la place croissante du RTB dans les dépenses publicitaires digitales et le déploiement du display sur mobile et tablettes (+36%).
Les « autres leviers » : Affiliation, Comparateurs et E-mailing connaissent une stabil
1. Contact : Frédéric COMBETTE – frederic.combette@ludilex.com – 09 73 60 88 62
Ludilex, sarl au capital de 8 000,00 euros
Siège social : 168, avenue de la Division Leclerc 95160 Montmorency
Tel : 09 73 60 88 62 Fax : 09 78 60 88 62
RCS Pontoise 522 711 480 Siret : 52271148000023
TVA Intracommunautaire : FR54522711480 APE : 7022Z CNIL : 1433309
Les Jeux-Concours en France
Bilan 2014
Janvier 2015
2. 01Les jeux-concours en France_Bilan 2014
Les jeux-concours en France :
bilan 2014
Le jeu-concours est un levier marketing à l’efficacité avérée, facile à mettre
en œuvre – même avec un budget limité – et adapté aux structures de toutes
tailles et de tous domaines d’activité (entreprises, collectivités, associations,
services publics…).
Lesjeux-concoursàbutmarketingetpromotionnelontconnucesdernières
années d’importantes évolutions :
– évolution opérationnelle : un transfert massif de leur déroulement vers
internet avec une forte concentration sur les réseaux sociaux,
– évolutions légales :
1) la possibilité pour les marques et commerçants, depuis 2011, de
conditionner la participation à leurs jeux à un achat préalable
2) l’interdiction des concours payants par la loi Hamon de 2014.
Pour mesurer l’évolution des pratiques des organisateurs de jeux et
de concours, Ludilex a réalisé une étude sur les opérations auxquelles
elle a participé pendant l’année 2014 afin de mettre en évidence de
façon purement statistique et factuelle :
les types d’opérations et les pratiques les plus courantes des
organisateurs de jeux concours pour remplir leurs objectifs
pendant l’année écoulée ;
les cibles géographiques les plus visées ;
les principaux supports utilisés.
Confirmant certaines tendances, contredisant parfois des a priori et
des idées reçues, en voici les résultats.
3. 02Les jeux-concours en France_Bilan 2014
Evolution 2014 vs 2013
Nature des opérations
Jeux vs concours
85 %sontdesjeux,c’est-à-diredesopérationscomportantl’intervention
du hasard dans la désignation des gagnants (tirage au sort, instants
gagnants, carte à gratter…)
15 % sont des concours, c’est-à-dire des opérations dont la désignation
des gagnants fait appel aux qualités des participants (sagacité, rapidité,
culture générale, créativité, etc…) départagés par un jury, des votes ou
un score, sans AUCUNE intervention du hasard
14,14 %
85,86 %
n Jeux
n Concours
SourceLudilex2014–Reproductioninterdite
Les concours concèdent du terrain (-2,25 %) au profit des jeux
(+2,25 %)
4. 03Les jeux-concours en France_Bilan 2014
Durée des opérations
Moyenne détails
En 2014 la durée moyenne d’une opération a été de 37 jours
Cette moyenne recouvre d’importantes disparités et masque le fait que :
1. 75% des opérations durent moins d’un mois, quasi 27% moins d’une
semaine et presque 8% moins de 48h
2.Les jeux et concours de très longue durée sont quantité négligeable
3,39 %
3,91 % 3,39 %
4,34 %
0,78 %
n 24h ou inférieure : 3,39 %
n 24 à 48h : 4,34 %
n 48h à 1 semaine : 19,10 %
n 1 à 2 semaines : 19,36 %
n 2 sem. à 1 mois : 30,30 %
n 1 à 3 mois : 15,45 %
n 3 à 6 mois : 3,39 %
n 6 mois à 1 an : 3,91%
n à 1 an : 0,78%
SourceLudilex2014–Reproductioninterdite
Evolution 2014 vs 2013
Poussée très nette des jeux de très courte durée, principale-
ment pour l‘animation de communautés et de pages sur les
réseaux sociaux
19,36 %
19,10 %15,45 %
30,30 %
5. 04Les jeux-concours en France_Bilan 2014
3,38%
5,88 %
4,43 %
Evolution 2014 vs 2013
Où se déroulent les jeux-concours
organisés en France
Une écrasante majorité des jeux concours se déroule sur internet
uniquement : 85 %
8 % en points de vente et lors de salons ou événements
Le solde, inférieur à 6 %, concerne principalement des opérations mixtes
(utilisant plusieurs canaux dont internet) et quelques rares jeux-concours
sur des intranets, via SMS, téléphone, etc...
86,28 %
n Internet exclusivement
n Points de vente
n Salons et événements
n Autres (Multicanal, SMS,
Intranet, etc.)
SourceLudilex2014–Reproductioninterdite
Une nette hausse des jeux se déroulant exclusivement sur
internet : + 4,44%
Recul du cross-canal (opérations se déroulant dans le cadre
d’un couplage d’internet avec un (ou plusieurs) autre(s)
environnement(s))
Une baisse des jeux-concours en points de vente, salons et
événements (augmentation principalement concentrée sur les
points de vente) : -2,77 %
6. 05Les jeux-concours en France_Bilan 2014
Evolution 2014 vs 2013
Les différents types de jeux mis en place
(selon le mode de désignation des gagnants)
Le recours au tirage au sort pour désigner les gagnants (tirage au sort
simple ou précédé d’un quizz ou d’une épreuve) est ultra dominant
85%
Plus de 37 % proposent une épreuve (quizz, adresse ou sagacité le plus
souvent) préalable à un tirage au sort
Les jeux à instants gagnants représentent 7%
Les cartes à gratter reculent et représentent moins de 1% des jeux
0,60 %
7,38 %
1,72 %
13,64 %
n Tirage au sort
n Quizz + tirage au sort
n Épreuve + tirage au sort
n Instants gagnants
n Cartes à gratter
n Autres jeux
SourceLudilex2014–Reproductioninterdite
Le tirage au sort final reste le principal mode de détermination des
gagnants des jeux et demeure constant mais, pour y accéder, une action
est de plus en plus souvent demandée aux participants (commentaire,
retweet, etc…)
Les quizz préalables aux tirages au sort sont en revanche en chute de
plus de 8 %, remplacés par d’autres types d’actions ou d’épreuves
Les instants gagnants sont stables (très majoritairement employés en
décembre)
Les cartes à gratter sont en net repli (volume quasi divisé par 3)
Les autres types de jeux, incluant notamment des mécaniques avec
modes de détermination des gagnants multiples (instants gagnants
couplés avec tirage au sort par exemple) sont en légère baisse de 1,51 %
23,56 % 52,37 %
7. 06Les jeux-concours en France_Bilan 2014
Evolution 2014 vs 2013
Les différents types de concours
(selon la nature de l’épreuve)
Les contributions « créatives » (photos, vidéos, recettes, dessins, textes,
etc…) sont largement majoritaires : 80 %
Les concours basés sur d’autres qualités (rapidité, sagacité, adresse,
culture générale, etc…) sont bien moins représentés : 20 %
Dans les deux cas, les participants sont départagés par des votes, par
les délibérations d’un jury ou par des scores. Le hasard n’intervient
absolument pas.
1,22 %
n Photo
n Autres contributions (recettes, dessins,
textes, etc.)
n Vidéo
n Autres concours (rapidité, adresse, etc.)
SourceLudilex2014–Reproductioninterdite
Les contributions créatives regagnent nettement du terrain (quasi
+20%) au détriment des concours mettant en valeur d’autres qualités
(principalement la rapidité et l’adresse) qui sont divisés par 2
Les concours faisant appel à la créativité sont dominés par les photos,
portées par la mode des selfies. Les vidéos deviennent anecdotiques
(-1,84 %)
31,28 %
18,4 %
49,07 %
8. 07Les jeux-concours en France_Bilan 2014
Evolution 2014 vs 2013
Les différents supports
des jeux-concours
Facebook affiche une écrasante prédominance parmi l’ensemble des
supports possibles : plus de 60 % de l’ensemble des jeux-concours y
sont organisés (env. 30 % sur Facebook de façon exclusive et plus de
30 % de multi canal incluant Facebook)
Unpeuplusde20%desopérationsontlieusurlesiteinternetdel’organisateur,
un site dédié ou un site partenaire et pas sur un réseau social
Les jeux sur bulletins papier ou bornes interactives n’atteignent pas 7%
Facebook en tant que support unique de jeux-concours « perd » env. 2%,
compensés par la hausse des jeux multi canal qui incluent Facebook
dans leurs supports (+2,56%)
Les opérations sur Twitter sont plus nombreuses (+ 2,25 %) et dépassent
dorénavant 5%. Instagram pointe à 1,38%
Les jeux-concours menés sur un site internet n’étant pas un réseau
social restent stables
Les jeux sur bulletins papier s’écroulent et abandonnent 3,44%
L’utilisation de bornes interactives comme de tablettes -stable- reste
marginale, principalement cantonnée à des jeux-concours sur des salons
ou événements
5,64 %
5,38 %
1,30 %
n Facebook exclusivement
n Site organisateur, site dédié
ou site partenaire
n Autres (dont multi canal)
n Twitter
n Bulletins papier
n Bornes interactives/tablettes
SourceLudilex2014–Reproductioninterdite
36,07 %
30,73 %
20,83 %
9. 08Les jeux-concours en France_Bilan 2014
Evolution 2014 vs 2013
Les cibles géographiques
des jeux-concours
Les jeux-concours dits « toute France » (hors critère d’âge) restent très
largement majoritaires ( 61 %) mais sont en baisse (-3,54%)
Les opérations ouvertes à l’international sont stables et s’établissent à
22 %
Les jeux-concours réservés à des participants ciblés géographiquement
demeurent très minoritaires mais les opérations visant des cibles précises
progressent, faisant grimper la catégorie « cibles particulières » de 3,18%
Les traditionnels jeux-concours « toute France » s’érodent un peu au
profit d’opérations plus ciblées mais, globalement, la ventilation générale
reste très stable.
11,63 %
3,46 %
1,30 %
n France
n Internationale
n Régionale, départementale, locale
n Cibles particulières
n Corporate
SourceLudilex2014–Reproductioninterdite
22,30 %
61,28 %
10. 09Les jeux-concours en France_Bilan 2014
Evolution 2014 vs 2013
3,73 %
Jeux gratuits sans obligation d’achat
vs jeux avec obligation d’achat
Le jeu gratuit et sans obligation d’achat demeure le plus courant et
dans des proportions très importantes ( 96 %)
Les jeux conditionnés à un achat préalable, qui peinaient à émerger
sont même en recul, cette possibilité demeure peu connue et inadaptée
à l’animation de communautés sur les réseaux sociaux ( 4 %)
96,27 %
n Jeux gratuits et sans obligation
d’achat
n Jeux conditionnés à un achat
préalable de bien ou de service
SourceLudilex2014–Reproductioninterdite
La progression des jeux soumis à un achat préalable de bien
ou de service est stoppée (repli de 1,7%) et il se confirme que
l’essor de ce type de jeux restera difficile tant que les supports
principaux des opérations resteront les réseaux sociaux
11. 010Les jeux-concours en France_Bilan 2014
Principales tendances
2014
Les principales nouveautés qui semblent émerger sont les suivantes :
La confirmation de l’accroissement des « jeux flash ». De plus en plus
d’opérations se concentrent sur un laps de temps très court, quelques
jours, parfois quelques heures.
Lademandecroissanted’unengagementplusimportantdesparticipants
avec une action à réaliser pour pouvoir participer à un tirage au sort
(commentaire, retweet, etc…)
Twitter, en hausse modérée, semble commencer à se généraliser
Une accentuation du ciblage des participants en limitant l’accès aux
opérations de façon réglementaire sur la base de critères autres que
géographiques (sociaux, comportementaux, etc…)