2. Une petite histoire
La naissance de la littérature
maghrébine:
>Après la colonisation française, la
littérature
maghrébine a vu une renaissance
>À part de français, les écrivains
maghrébines écrivent aussi en
arabe et en tamazight.
>C'est parce que la culture arabe
avait introduit au Afrique du nord
aussi par la colonisation (bien que
trés antérieurement)
3. Plus des histoires
>La plupart de la littérature maghrébine
s’agit de l’Afrique, après la
colonisation
>Elle critique des colonisateurs, mais
elle commente aussi des dictatures
Africaines.
>également la structure familiale
patriarcal
>et ainsi que le rôle de la religion en
société; les risques des islamistes
radicals.
>c'est le même qu’aux autres
littératures: les écrivains
maghrébines discutent des sujets qui
intéressent les auteurs modernes.
4. Pourquoi le français?
>Beaucoup d’auteurs notables ont fait leurs études en France, et ainsi ils
écrivent mieux en français. Toutefois, ils pensent qu'ils traduisent sa
langue maternelle en français pour le monde francophone. Abdelkebir
Khatibi et Assia Djebar sont des exemples.
>D’une autre côte (sans jeu de mots), certains auteurs qui peuvent écrire
seulement en français ne l'apprécient pas. Ils font un effort d'infuser leurs
œuvres avec des mots arabes ou tamazights--comme Abdelwahab Meddeb,
par exemple.
>Au moins un écrivain, Mohammed Khair-Eddine, a dit que l'arabe et le
français sont les mêmes pour lui. Mais parce que sa langue maternelle
(tamazight) est interdit à lui, il écrit en français pour éviter l'assimilation.
Un maghrébin qui écrit en arabe, il a dit, est arabisé. Mais
un maghrébin qui écrit en français peut rester un étranger. Donc, écrire
en français est une façon pour conserver l'individualité.
5. Oeuvres Notables
Driss Charaibi, l’auteur francophone plus prolifique du Maroc, a publié le livre
Le Passé Simple en 1954. Il raconte l'histoire du Maroc qui diverge
significativement des histoires traditionnelles (aka, français).
6. plus d’oeuvres
Mohammed Khair-Eddine a ecrit Une odeur de mantèque, ses mémoires du
Maroc. Il parle d’isolement et maltraitance des émigrés maghrébins, et
son mal du pays.
7. encore plus d’oeuvres
Malika Mokeddem, une
écrivaine (il y a très
peu d'auteurs
femelles) algérienne,
a gagné beaucoup de
prix pour ses romans
féministes.
Particulierement,
L'Interdite discute
l'émergence du
fondamentalisme.