D’ici quelques jours s’ouvrira la COP21, qui se tiendra du 30 novembre au 11 décembre prochain à Paris. Cette conférence sera déterminante car elle doit aboutir à un accord international juridiquement contraignant sur le climat, applicable à tous les pays à partir de 2020, qui préservera des chances de contenir le réchauffement global bien en deçà de 2°C – voire 1,5°C. L’accord de Paris ne sera certainement pas un accord idéal, mais il doit poser les bases pour permettre de lutter contre les changements climatiques tout en répondant aux besoins de développement et de justice sociale des populations les plus démunies et les plus exposées aux impacts de ce phénomène.
L’Afrique est le continent qui a le moins contribué aux changements climatiques. C’est pourtant le plus touché par ses conséquences dévastatrices.
Pour porter haut et fort la voix et les préoccupations des communautés les plus affectées, la société civile africaine francophone rassemblée au sein du Réseau Climat & Développement sera présente en force à la COP21 et dans les espaces de la société civile.
Dossier de presse du Réseau Climat & Développement à l'occasion du dialogue organisé à l'Assemblée Nationale française le 17 avril 2015, sous le haut patronage de Claude Bartolone, Président de l'Assemblée Nationale.
Les associations africaines francophones, réunies au sein du Réseau Climat & Développement, en partenariat avec plusieurs associations françaises de solidarité internationale, ont proposé de partager des témoignages sur les impacts du changement climatique sur les modes de vie au Bénin, Tchad, Niger, Burkina et Mali et expliquer en quoi l’accord qui sera adopté à Paris fin 2015 peut aider ces pays à y faire face.
Note de décryptage droits humains et climatrac_marion
Les changements climatiques constituent une menace pour les droits humains et en particulier ceux des populations les plus vulnérables. De plus, plusieurs projets et investissements, y compris certains présentés comme des solutions, engendrent des situations de violation des droits humains. Cette note de décryptage présente un état des lieux des liens entre droits humains et climat ainsi que les recommandations de la société civile africaine francophone, regroupée au sein du Réseau Climat & Développement, en la matière.
Note de décryptage du RC&D sur genre et climatrac_marion
Pourquoi les femmes sont-elles plus affectées par les impacts des changements climatiques et comment ceci se traduit-il dans l'agriculture, la sécurité alimentaire ou l'accès à l'énergie ? Dans quelle mesure cons.tituent-elles une partie essentielle des solutions ? Comment le genre est-il pris en compte à l'agenda climatique dans les négociations internationales ? Quels sont les recommandations de la société civile ? Voici les questions abordées dans cette note de décryptage sur genre et climat publiée par la société civile francophone regroupée au sein du Réseau Climat & Développement.
La note de décryptage actualisée du Réseau Climat & Développement sur l'adaptation au changement climatique et les pertes et dommages.
Note préparée par Abdoul Madjidi Moutari.
Dossier de presse du Réseau Climat & Développement à l'occasion du dialogue organisé à l'Assemblée Nationale française le 17 avril 2015, sous le haut patronage de Claude Bartolone, Président de l'Assemblée Nationale.
Les associations africaines francophones, réunies au sein du Réseau Climat & Développement, en partenariat avec plusieurs associations françaises de solidarité internationale, ont proposé de partager des témoignages sur les impacts du changement climatique sur les modes de vie au Bénin, Tchad, Niger, Burkina et Mali et expliquer en quoi l’accord qui sera adopté à Paris fin 2015 peut aider ces pays à y faire face.
Note de décryptage droits humains et climatrac_marion
Les changements climatiques constituent une menace pour les droits humains et en particulier ceux des populations les plus vulnérables. De plus, plusieurs projets et investissements, y compris certains présentés comme des solutions, engendrent des situations de violation des droits humains. Cette note de décryptage présente un état des lieux des liens entre droits humains et climat ainsi que les recommandations de la société civile africaine francophone, regroupée au sein du Réseau Climat & Développement, en la matière.
Note de décryptage du RC&D sur genre et climatrac_marion
Pourquoi les femmes sont-elles plus affectées par les impacts des changements climatiques et comment ceci se traduit-il dans l'agriculture, la sécurité alimentaire ou l'accès à l'énergie ? Dans quelle mesure cons.tituent-elles une partie essentielle des solutions ? Comment le genre est-il pris en compte à l'agenda climatique dans les négociations internationales ? Quels sont les recommandations de la société civile ? Voici les questions abordées dans cette note de décryptage sur genre et climat publiée par la société civile francophone regroupée au sein du Réseau Climat & Développement.
La note de décryptage actualisée du Réseau Climat & Développement sur l'adaptation au changement climatique et les pertes et dommages.
Note préparée par Abdoul Madjidi Moutari.
Note de décryptage Agriculture et Sécurité Alimentaire 2016LucileD
La note de décryptage actualisée du Réseau Climat & Développement sur l'agriculture, la sécurité alimentaire et le climat.
Note préparée par Ali Abdou Bonguéré.
Déclaration finale de marrakech des mouvements sociaux à la cop22 ar frFatoumata Chérif
Déclaration de Marrakech de la
société civile et des mouvements
sociaux Africains et internationaux
A l’occasion de la COP22
Nous, mouvements sociaux marocains, maghrébins, africains et internationaux,
rassemblés à Marrakech à l’occasion de la COP22 réaffirmons notre détermination à
construire et défendre la justice climatique, et notamment à agir pour maintenir le
réchauffement climatique sous la barre des 1,5°C – conformément à l’engagement pris à
Paris par l’ensemble des chefs d’État et de gouvernement.
A lire
Le modèle de transition énergétique vers une nouvelle prospérité
Semaine 4 du Mooc AFD-ENS-Coursera sur les transitions énergétique et écologique dans les pays du Sud
Pour en savoir plus sur la non-violence et sur la résolution non-violente de conflits, sur les « chercheurs d’humanité » (non-violence, alternatives économiques, écologie, changement sociétal, spiritualité) : www.irnc.org, rubrique « Diaporamas »
Pourquoi le concept d'altercroissance ?
Historique de la décroissance et de l'altercroissance
Le premier numéro de la collection des « Livrets de la France insoumise » détaille les mesures d’urgence et les grandes orientations sur l’agriculture et l’alimentation. Il a été préparé par un groupe de travail animé par Laurent Levard, agro-économiste, et Eve Saymard, agronome.
https://avenirencommun.fr/livrets-thematiques/
Livre Blanc "Femmes, santé, climat, avançons ensemble vers la COP22"Appel Climat Santé
Fortement mobilisés via l’appel du 08 décembre 2015 lors de la COP21, les réseaux SupplémentdElles et Femmes & Développement Durable continuent d’alerter en lançant un livre blanc intitulé « Femmes, santé, climat, avançons ensemble vers la COP22 », présenté lors de la conférence du 8 novembre 2016 au Ministère des Familles de l’Enfance et des Droits des Femmes. Cette publication regroupe 22 témoignages de femmes et d’hommes, de la sphère privée ou publique, œuvrant à leur manière contre le dérèglement climatique et ses impacts sur les femmes et sur la santé.
Note de décryptage Agriculture et Sécurité Alimentaire 2016LucileD
La note de décryptage actualisée du Réseau Climat & Développement sur l'agriculture, la sécurité alimentaire et le climat.
Note préparée par Ali Abdou Bonguéré.
Déclaration finale de marrakech des mouvements sociaux à la cop22 ar frFatoumata Chérif
Déclaration de Marrakech de la
société civile et des mouvements
sociaux Africains et internationaux
A l’occasion de la COP22
Nous, mouvements sociaux marocains, maghrébins, africains et internationaux,
rassemblés à Marrakech à l’occasion de la COP22 réaffirmons notre détermination à
construire et défendre la justice climatique, et notamment à agir pour maintenir le
réchauffement climatique sous la barre des 1,5°C – conformément à l’engagement pris à
Paris par l’ensemble des chefs d’État et de gouvernement.
A lire
Le modèle de transition énergétique vers une nouvelle prospérité
Semaine 4 du Mooc AFD-ENS-Coursera sur les transitions énergétique et écologique dans les pays du Sud
Pour en savoir plus sur la non-violence et sur la résolution non-violente de conflits, sur les « chercheurs d’humanité » (non-violence, alternatives économiques, écologie, changement sociétal, spiritualité) : www.irnc.org, rubrique « Diaporamas »
Pourquoi le concept d'altercroissance ?
Historique de la décroissance et de l'altercroissance
Le premier numéro de la collection des « Livrets de la France insoumise » détaille les mesures d’urgence et les grandes orientations sur l’agriculture et l’alimentation. Il a été préparé par un groupe de travail animé par Laurent Levard, agro-économiste, et Eve Saymard, agronome.
https://avenirencommun.fr/livrets-thematiques/
Livre Blanc "Femmes, santé, climat, avançons ensemble vers la COP22"Appel Climat Santé
Fortement mobilisés via l’appel du 08 décembre 2015 lors de la COP21, les réseaux SupplémentdElles et Femmes & Développement Durable continuent d’alerter en lançant un livre blanc intitulé « Femmes, santé, climat, avançons ensemble vers la COP22 », présenté lors de la conférence du 8 novembre 2016 au Ministère des Familles de l’Enfance et des Droits des Femmes. Cette publication regroupe 22 témoignages de femmes et d’hommes, de la sphère privée ou publique, œuvrant à leur manière contre le dérèglement climatique et ses impacts sur les femmes et sur la santé.
Urgence climatique et crises économiques … cocktail détonnant de générateur de stress avec un fort impact santé notamment chez les femmes. Alors STOP ! Faisons différemment.
Expo femmes rurales et changement climatiqueMike ATANGANA
FEMMES RURALES ET CHANGEMENTS CLIMATIQUES, L’OPPORTUNITÉ DE L’AGROECOLOGIE : CAS DE L’AFRIQUE CENTRALE
1er FORUM
DE LA FEMME RURALE AFRICAINE
« La place et le rôle de la femmes rurale dans l’exploitation
agricole familiale et rurale en Afrique
Note de décryptage du RC&D sur l'adaptationrac_marion
Quels sont les impacts des changements climatiques observés et attendus en Afrique ? Comment sont pris en compte l'adaptation et les pertes et dommages dans les négociations climatiques ? Quels sont les enjeux financiers liés à l'adaptation et aux pertes et dommages ? Quelles sont les recommandations de la société civile francophone en vue de la COP21 ? Pour en savoir plus, consulter en ligne ou télécharge la Note de décryptage sur l'adaptation de la société civile francophone réunie au sein du Réseau Climat & Développement.
Note de decryptage du RC&D sur les financements climatrac_marion
Comment se dessine le paysage des financements climat ? Quels sont les enjeux et défis pour l'Afrique ? Quels sont les enjeux pour la COP21 et l'Accord de Paris, et les recommandations de la société civile ? Afin de répondre à ces questions, le RC&D livre une note de décryptage sur les financements climat.
Une note de décryptage des liens entre changement climatique et développement à l'aune de l'adoption des Objectifs de Développement Durable et de la conférence Paris Climat 2015.
L'ong femmes pouvoir et developpement celebre la journee internationale des f...Fatoumata Chérif
Célébration de la journée internationale des Forêts en Guinée :
Adoptée le 21 mars 2012 par l’Assemblée Générale des Nations Unies, la journée internationale des forêts est l’occasion de célébrer la forêt dans sa diversité et de faire prendre conscience de l’importance des différents types de forêts. Le thème de cette année est ‘’Forêts et Villes Durables’’.
Pour commémorer cette date, L’ONG Femmes, Pouvoir et Développement-FEDEP a célébré la journée mondiale des forêts au Jardin Botanique de la Camayenne le 21 mars 2018.
En tant qu’organisation accréditée par la convention des Nations Unies pour la lutte contre la désertification et la sécheresse (CNULD), nous nous engageons pour la protection des forêts.En pièce jointe, un résumé de la journée.
Très bonne réception.
Cordialement.
Fatoumata CHERIF
Présidente-Fondatrice de L'ONG Femmes, Pouvoir et Développement-FEDEP
Quels défis l'accord de Paris doit-il relever pour répondre aux besoins des p...rac_marion
Les prochaines négociations internationales sur le climat (COP21) se tiendront du 30 novembre au 11 décembre 2015 à Paris en France. Le sommet de Paris sera déterminant car il doit aboutir à un accord international sur le climat qui préservera des chances de contenir le réchauffement global en deçà de 2°C d’ici 2100. Pour le Réseau Climat & Développement, ce sommet doit répondre au double défi de la lutte contre les changements climatiques et contre la pauvreté dans les pays les plus affectés par ces derniers. Le RC&D appelle à un accord qui :
- Protège et renforce les droits humains et l’égalité des genres
- Finance la lutte contre les changements climatiques dans les pays les plus pauvres et les plus vulnérables
- Investit massivement dans l’accès aux services énergétiques durables pour tous
- Permet aux populations les plus vulnérables de faire face aux impacts des changements climatiques
- Préserve la sécurité alimentaire et le climat en investissant massivement dans l’agriculture familiale et agro-écologique.
Découvrez dans la dernière publication du RC&D "Quels défis l'accord de paris doit-il relever pour répondre aux besoins des populations africaines ?" les enjeux majeurs liés au climat pour la société civile africaine et les recommandations politique qu'elle propose.
En savoir plus sur la neutralité en termes de dégradation des terres (LDN/NDT)Fatoumata Chérif
A l’heure actuelle, le coût de la dégradation des terres atteint les 490 milliards USD chaque année, dépassant de loin celui de la prévention. Bien qu’étant un risque généralisé, quelques 40 % des terres dégradées de la planète se situent dans les régions où l’incidence de la pauvreté est la plus forte. La dégradation des terres a un impact direct sur la santé et les moyens de subsistance d’environ 1,5 milliard de personnes.
.
Land degradationneutrality fr_web
UNCCD
À LA DÉFENSE D'UNE NOUVELLE SOCIÉTÉ À L'OCCASION DE LA JOURNÉE MONDIALE DE L'...Fernando Alcoforado
Aujourd'hui, 5 juin, est célébrée la Journée mondiale de l'environnement, instituée depuis 1972 lors de la Conférence des Nations Unies sur l'environnement humain, à Stockholm. Cette date, qui a été choisie pour coïncider avec la tenue de cette conférence, a pour objectif principal d'attirer l'attention de toutes les sphères de la population mondiale sur les problèmes environnementaux et l'importance de préserver les ressources naturelles, qui jusqu'alors étaient considérés par beaucoup, inépuisable. Cette conférence, connue sous le nom de Conférence de Stockholm, a initié un changement dans la façon de voir et de traiter les problèmes environnementaux dans le monde, en plus d'établir des principes pour guider la politique environnementale à travers la planète. Malgré la grande avancée que représente la Conférence de Stockholm, cette date ne peut être commémorée en raison de la dégradation de l'environnement à travers la planète et de la menace du changement climatique qui peut survenir jusqu'au milieu du 21ème siècle et mettre en péril la survie de l'humanité.
L’ONG a publié son rapport annuel pour l’année 2020, il en résulte que les dons des particuliers n’a pas baissé malgré le contexte sanitaire. Mais pour ses partenaires africains, le Covid-19 n’est qu’une crise qui se rajoute aux nombreuses autres.
Similaire à Dossier de presse du RC&D pour la COP21 (20)
Plan Climat-Energie Territorial, l'engagement des territoires dans la lutte...rac_marion
Cette courte plaquette du Réseau Action Climat - France vise à présenter aux collectivités territoriales ce qu'est un Plan Climat Énergie Territorial, les principales étapes de sa réalisation, ainsi que les possibilités de financement et d'accompagnement dans la mise en œuvre d'un tel projet.
Quelle gouvernance territoriale pour la transition energetiquerac_marion
A l'aune du débat sur la transition énergétique (2013), Cette publication du Réseau Action Climat-France fait l'état des lieux de la gouvernance actuelle de l'énergie en France - des compétences, pouvoirs et marge de manœuvre entre les différents niveaux de l'action publique. Elle propose ensuite plusieurs recommandations pour la mise en œuvre des politiques de transition énergétique.
La mise en œuvre des politiques de maîtrise de l'énergie et de développement des énergies renouvelables dépend d’un certain nombre de facteurs locaux : climat, urbanisme, densité de population, tissu économique, ressources naturelles, etc. C’est bien au niveau local qu’émergent les gisements de sobriété, d’efficacité et d’énergies renouvelables et qu’il est nécessaire de les analyser pour mettre en œuvre des politiques dont les grands objectifs sont fixés aux niveaux européen et national. Si l’on veut véritablement s’engager sur la voie de la transition énergétique, il est donc essentiel d’assurer une gouvernance territoriale de l’énergie et du climat qui permette aux collectivités de réellement prendre en compte ces enjeux dans leurs projets et politiques.
Présentation du RC&D sur le bilan de la COP21rac_marion
Depuis plusieurs années, le Réseau Climat & Développement travaille à la préparation des négociations internationales sur le climat. En 2015, il s'est particulièrement investi dans la préparation de la COP21 qui s'est tenue à Paris du 30 novembre au 11 décembre 2015. Deux mois après cet évènement majeur, quel bilan peut-on tirer de la COP21 ? Quelles perspectives pour la suite ?
What are the challenges for the Paris agreement in meeting the needs of Afric...rac_marion
The next international climate negotiations (COP21) will be held from 30 November to 11 December 2015 in Paris, France. The Paris summit will be decisive as it has to come up with an international climate agreement that keeps alive the hopes of limiting global warming to less than 2°C by 2100. The Climate & Development Network considers that this summit needs to address the dual challenge of combating both climate change and poverty in the worst affected countries. The RC&D is calling for an agreement which:
- Protects and enhances human rights and gender equality
- Finances the fight against climate change in the poorest and most vulnerable countries
- Invests massively in access to sustainable energy services for all
- Enables the most vulnerable people to cope with the impacts of climate change
- Preserves food security and the climate by investing massively in family and agro-ecological farming.
RC&D analytical report on human rights and climate chagerac_marion
Climate change is a threat to people's rights, especially those who are already among the most vulnerable in society. Moreover, various projects and investments, including some presented as solutions agaients climate change, generate social, health and food problems for the population. The analytical report presents the links between human rhights and climate change as well as the recommmendations of the French-speaking african civil society network Réseau Climat & Développement.
Programme de la conférence internationale des sociétés civiles sur Faim et Climat qui se tiendra le 26 mai au musée Dapper à Paris.
Conférence organisée par ACF, Acting for Life, CARE, CCFD Terre Solidaire, Réseau Climat & Développement, Secours Catholique CARITAS France et UNICEF
3. D
’ici quelques jours s’ouvrira la COP21, qui se tiendra
du 30 novembre au 11 décembre prochain à Paris.
Cette conférence sera déterminante car elle doit
aboutir à un accord international juridiquement
contraignant sur le climat, applicable à tous les
pays à partir de 2020, qui préservera des chances de contenir le
réchauffement global bien en deçà de 2°C – voire 1,5°C. L’accord
de Paris ne sera certainement pas un accord idéal, mais il doit
poser les bases pour permettre de lutter contre les changements
climatiques tout en répondant aux besoins de développement
et de justice sociale des populations les plus démunies et les
plus exposées aux impacts de ce phénomène.
L’Afrique est le continent qui a le moins contribué aux change-
ments climatiques. C’est pourtant le plus touché par ses consé-
quences dévastatrices. Les impacts d’ores et déjà observés sur
la production agricole et l’élevage, sur la stabilité des écosys-
tèmes dont vivent de nombreuses communautés, sur la dispo-
nibilité en eau et in fine, sur la sécurité alimentaire, la santé
humaine, les modes de vie et les cultures n’iront qu’en s’aggra-
vant. Certaines populations ou pays subiront des dommages
irréversibles, y compris en termes de vies humaines, acculant
les populations à la migration. Pire, certaines solutions mises en
avant sont parfois aussi sources d’injustice : déplacements de
population, insécurité alimentaire, violation de droits humains,
vulnérabilité accrue des femmes. Sans actions immédiates et
soutenues à plus long terme pour réduire les impacts du chan-
gement climatique, les efforts en matière de lutte contre la pau-
vreté, de promotion des droits humains, d’accès à la santé et à la
dignité seront annihilés et la capacité même de développement
du continent africain sera menacée.
Pour porter haut et fort la voix et les préoccupations des commu-
nautés les plus affectées, la société civile africaine francophone
rassemblée au sein du Réseau Climat & Développement sera pré-
sente en force à la COP21 et dans les espaces de la société civile.
LeRéseauClimat&Développementrassembleprèsde80associa-
tions francophones, principalement africaines, qui travaillent à
l’articulation entre changement climatique et développement.
Il se mobilise à niveau local, national et international pour rap-
peler que justice sociale, lutte contre la pauvreté et lutte contre
les changements climatiques ne font qu’un. Retrouvez-nous ici :
www.climatdeveloppement.org
4. L
es inégalités représentent un facteur supplémentaire de vulnérabilité face aux change-
ments climatiques. C’est notamment le cas des inégalités hommes – femmes : ainsi, 70% des
personnes les plus pauvres, et donc les plus touchées par ce phénomène, sont des femmes.
Zenabou Segda travaille pour Women Environmental Programme au Burkina Faso. Elle mi-
lite pour la prise en compte de l’égalité hommes-femmes dans les politiques climat depuis
qu’elle a pris conscience de l’impact direct des changements climatiques sur les femmes dans son
pays. Ce sont elles qui s’occupent de labourer les champs, aller chercher l’eau et le bois, et s’occuper
de leurs familles. Lorsque l’eau et le bois se raréfient, ce sont elles qui marchent des kilomètres pour
en trouver. Les femmes contribuent aussi beaucoup aux actions communautaires d’adaptation aux
changements climatiques, par exemple en portant de lourdes pierres pour la construction de petites
digues. Zenabou a pris conscience que les femmes sont les plus vulnérables mais que ce sont aussi
elles qui jouent un rôle essentiel dans la lutte contre les changements climatiques en apportant des
solutions concrètes, surtout à l’échelle communautaire grâce à leurs connaissances, expériences, et
leur rôle productif dans la vie de la communauté. Pour lutter efficacement contre les changements
climatiques, il est impératif à la fois de tenir compte des vulnérabilités spécifiques des femmes mais
également d’en faire des vectrices du changement et de les inclure dans les processus de décision.
Comme l’a appelé de ses vœux la Secrétaire d’Etat française chargée des Droits des Femmes Pascale
Boistard lors de la Commission des Nations Unies sur la condition de la femme, l’accord de Paris doit
faire des femmes le cœur de la solution et de l’action, tout en protégeant leurs droits. Il est donc es-
sentiel que l’égalité des genres soit inscrite dans l’accord, et réellement mise en œuvre sur le terrain
CONTACT : + 226 70 23 49 30/ SEGDAORAMA@GMAIL.COM
Hindou Oumarou Ibrahim, AFPAT Tchad
« Les changements climatiques
ne sont pas qu’une question de CO2.
C’est avant, avant tout, une question
de droits humains. »
L
es changements climatiques sont l’une des principales menaces pour les droits humains.
Hindou Oumarou Ibrahim est la coordinatrice de l’Association des femmes peules autoch-
tones du Tchad (AFPAT), une organisation à base communautaire. Elle appartient au peuple
Peul Mbororo du Tchad, communauté d’éleveurs encore nomades et semi-nomades dans
certaines zones. Pour les Peuls, les changements climatiques sont une réalité quotidienne :
la chaleur de plus en plus forte ; les inondations et les sécheresses imprévisibles qui inondent ou des-
sèchent les pâturages et affament le bétail et la communauté ; la disparition de certaines espèces de
plantes médicinales ancestrales et d’animaux essentiels à l’équilibre des écosystèmes autour du Lac
Tchad et partout au Tchad. Face à la raréfaction des pâturages et des ressources en eau, ils doivent
modifier leurs trajectoires de transhumance pour assurer la survie de leurs troupeaux – et la leur. Pour
la communauté de Hindou, ces bouleversements sont sources de conflits avec d’autres populations
autour de l’accès aux ressources naturelles, mais également d’épidémies et de pénibilité croissante
pour les femmes chargées de trouver l’eau et de nourrir leurs familles.
Ce sont leurs droits humains – à l’alimentation, à la santé, à l’eau, à la terre, etc. – qui sont directement
affectés. La communauté de Hindou n’est pas la seule dans ce cas ; elles sont de plus en plus nombreuses
à subir les impacts de ces changements, sans appui de la communauté internationale. Et, parfois, ce
sont des projets menés au nom du climat – développement des agro-carburants ou autres monocultures
industrielles, grands barrages, etc. – qui entraînent la violation des droits des populations.
C’est pour cela que l’accord de Paris doit impérativement renforcer la protection et la réalisation des
droits humains. Il ne s’agit pas d’un détail qui pourrait être laissé de côté sous prétexte que l’accord
de Paris devrait traiter avant tout du climat : il ne sera ni juste ni possible de relever le défi climatique
sans relever celui des droits humains. Cela suppose d’inscrire ces droits dans l’accord de Paris et de
s’assurer que les décisions prises et actions de lutte contre les changements climatiques ne viennent
pas les mettre en danger.
CONTACT : +235 66 29 25 19 / + 33 (0)6 69 90 01 69 / HINDOUOUMAR@GMAIL.COM
Zenabou Segda, WEP Burkina
« Les femmes sont plus vulnérables
face aux changements climatiques,
mais elles sont aussi au cœur de la
solution. »
5. Ali Bonguéré, EDER Niger
« La sécurité alimentaire est gravement
menacée par les changements
climatiques. L’accord de Paris doit la
renforcer, pas la mettre en danger. »
L
es changements climatiques ont déjà et auront des impacts particulièrement néfastes sur
l’agriculture et la sécurité alimentaire. En 2080, 600 millions de personnes supplémentaires
souffriront de sous-alimentation à cause des changements climatiques si les émissions de
gaz à effet de serre restent au niveau actuel. L’adaptation du secteur agricole est, dès lors,
un enjeu clé pour assurer la sécurité alimentaire des populations et notamment des petits
producteurs, en particulier en Afrique subsaharienne. Ali Bonguéré, de l’organisation EDER, vient du
Niger, l’un des pays les plus concernés par les impacts des changements climatiques sur la sécurité
alimentaire. C’est pour cela qu’il s’est emparé des questions agricoles dans les négociations climat.
Malgré les appels répétés d’Ali et de la société civile mobilisée sur ces sujets, la sécurité alimentaire
peine à être prise en compte au sein des négociations climat. Pire, les « fausses solutions » de l’agricul-
ture industrielle intensive comme les OGM, les agrocarburants ou la « climate smart agriculture », qui
mettent en péril les agricultures paysannes, l’environnement et la souveraineté alimentaire des popu-
lations vulnérables, risquent d’être promues dans l’Agenda de l’action Lima – (LPAA), l’un des piliers de
la COP21.
Pour Ali Bonguéré, l’accord de Paris doit permettre de promouvoir et de soutenir financièrement les
agricultures familiales et l’agro-écologie paysanne et assurer la sécurité alimentaire des populations
les plus vulnérables.
CONTACT : +227 91 41 99 45 / +33 (0)6 05 87 37 29 / BONGUERE@YAHOO.FR
Moutari Abdoul Madjid, DEMI-E, Niger
« Malgré les nombreuses catastrophes
climatiques, l’adaptation est
systématiquement le parent pauvre
des politiques climat. Il faut en
faire une priorité de l’accord et des
financements climat. »
L
es ressources en eau de l’Afrique seront les premières touchées par les changements clima-
tiques. Moutari Abdoul Madjid travaille pour l’Association DEMI-E au Niger pour améliorer
l’accès à l’eau et l’assainissement et sécuriser les ressources en eau dans les régions de Zin-
der et de Tillabéry, deux régions très pauvres du Niger. Il a constaté la diminution des res-
sources en eau de la région et ne se bat plus seulement pour l’accès à l’eau mais aussi pour sa
disponibilité. Il a également constaté que les changements climatiques sont multiformes : aux séche-
resses succèdent des inondations qui emportent tout - les récoltes, le bétail, les maisons - et déplacent
les populations. L’année dernière, près de 51 000 personnes ont été déplacées à Niamey à cause des
inondations, 4.500 maisons détruites et plus de 250 hectares de champs et de jardins dévastés. Mou-
tari est révolté de voir que l’adaptation à ces aléas climatiques reste le parent pauvre de toutes les
politiques. Lorsqu’elles existent, ce sont les moyens financiers qui ne suivent pas. Il sait que toutes
les régions frappées par les catastrophes climatiques vont payer le prix fort s’il n’y a pas d’actions de
prévention des risques et de planification : l’adaptation à base communautaire, la sécurisation des
ressources en eau, les systèmes d’alerte précoce, les greniers à grains qui résistent aux intempéries,
des pratiques agricoles plus adaptées. Il sait aussi que moins les pays pollueurs réduiront leurs émis-
sions de gaz à effet de serre, plus ce prix sera élevé pour les plus pauvres et vulnérables comme le
Niger. En l’absence de politiques d’adaptation ambitieuses, les pays et les communautés subiront des
pertes et dommages économiques et humains irréversibles. Pourtant, malgré l’urgence, l’adaptation
ne représente que 16% des financements climat déboursés par les bailleurs internationaux et reste
marginale dans l’Aide Publique au Développement.
Dans ce contexte, l’accord de Paris doit impérativement permettre de répondre – enfin – aux besoins
d’adaptation des pays les plus vulnérables et les plus pauvres et ainsi garantir leur accès à un déve-
loppement résilient. La solution ? Faire de l’adaptation un pilier de l’accord de Paris et accompagner
financièrement les pays en développement, en particulier les moins avancés.
CONTACT : +227 96 57 55 77 / MOCTABID@YAHOO.FR
6. P
our permettre au continent d’enclencher les transformations nécessaires face aux crises
climatique et énergétique, l’Afrique va devoir investir massivement. Mouhamadou Maiga
Farka travaille à l’association Amade Pelcode, au Mali. Son travail l’a amené à prendre
conscience des financements considérables qui sont nécessaires pour permettre aux com-
munautés d’installer des panneaux solaires pour électrifier les dispensaires et réfrigérer les
vaccins ; d’acheter des pompes solaires pour les agriculteurs ; d’installer des systèmes de stockage des
récoltes face aux intempéries ou encore d’améliorer l’accès à l’eau potable dans un contexte de renfor-
cement des sécheresses. C’est pour toutes ces raisons qu’il participe aux négociations internationales
depuis plusieurs années : il veut s’assurer que les financements promis arriveront à destination et cor-
respondront bien aux besoins des populations. Il s’inquiète de voir que les financements publics pour
le climat, notamment ceux destinés aux pays africains et à l’adaptation aux impacts des changements
climatiques, continuent de manquer cruellement. Il sait que ce ne sont pas les belles promesses des
pays développés qui vont combler des besoins financiers qui ne cessent d’augmenter.
Pour Maiga, l’accord mondial à Paris n’aura pas de sens s’il ne répond pas aux besoins et urgences des
pays les plus affectés. Dans ce contexte, l’accord de Paris doit impérativement trouver une solution
financière adaptée, publique, et à la mesure des besoins, pour aider les pays les plus démunis et les
plus vulnérables à faire face aux changements climatiques.
CONTACT : +223 76 46 33 36 / MOUHAMADOUMAIGA@GMAIL.COM
Is Deen Akambi, EcoBénin
« Les énergies renouvelables et
l’efficacité énergétique permettent
de lutter contre les changements
climatiques et la pauvreté. C’est une
priorité pour l’Afrique, ce doit être
une priorité de l’accord de Paris. »
L
’Afrique fait face à trois crises indissociables qui accentuent la pauvreté : une crise énergé-
tique, une crise de la déforestation et une crise climatique. Is Deen Akambi travaille pour
l’association Eco-Bénin. Depuis son enfance, il voit que la principale source d’énergie utilisée
est le bois de feu, et que c’est là une des raisons de la disparition de la forêt. Il voit que les
femmes et les enfants souffrent de problèmes respiratoires liés à la fumée toxique du bois
de feu. Il voit que son pays, comme les autres pays d’Afrique, est aussi très dépendant aux énergies
fossiles, alors même qu’elles sont nocives et coûteuses et bénéficient majoritairement aux plus riches
et aux multinationales. Il sait que 2 africains sur 3 – 620 millions de personnes – n’ont pas accès à
l’électricité et qu’au rythme actuel tous les Africains n’auront accès à l’électricité qu’en 2080 et à des
moyens de cuisson non polluants d’ici la moitié du XXIIè siècle seulement. Heureusement, Is Deen
sait aussi qu’il existe des alternatives et l’Afrique a un énorme potentiel énergétique renouvelable.
Son association œuvre pour l’installation de foyers améliorés qui permettent de consommer moins
de bois. L’association réfléchit également aux moyens de proposer des pompes à eau solaires aux
agriculteurs. Cela permettra de consommer moins d’essence, d’améliorer les pratiques agricoles, de
créer plus de ressources locales et de lutter contre la pauvreté. Mais pour aller plus loin en matière
d’économies d’énergie et généraliser l’utilisation des énergies renouvelables, les investissements et
la planification manquent à l’appel.
L’accord de Paris peut et doit permettre à l’Afrique d’exploiter ce potentiel, de sortir de sa dépen-
dance aux énergies fossiles et d’investir dans les technologies et les infrastructures renouvelables et
d’efficacité énergétique. A condition que l’accord de Paris fasse de l’accès aux services énergétiques
durables, fiables et sobres en carbone une priorité, y compris en Afrique.
CONTACT : +229 96 12 66 67/ ISDEEN55@YAHOO.FR
Maiga Mouhamadou Farka, Amade Pelcode Mali
« Sans financements climat publics,
prévisibles et additionnels, les pays
les plus pauvres ne pourront pas
s’adapter et les conséquences seront
inimaginables »
7. Joseph Kogbe, coordonnateur du RC&D, Togo
« Le Réseau Climat & Développement
représente la société civile africaine
francophone dans sa diversité. Il est
présent à la COP21 pour faire entendre
la voix des sans voix »
J
oseph Kogbe est le coordonnateur du Réseau Climat & Développement. Il est basé à l’ONG
OPED, au Togo. Pour Joseph, le RC&D tire sa force et sa légitimité de ses experts de terrain, qui
font un travail quotidien dans les pays pour sensibiliser et former les populations locales et
les décideurs, monter des projets d’alternatives en matière d’adaptation, de développement
des énergies renouvelables et d’efficacité énergétique et pour intégrer les enjeux climatiques
dans les politiques nationales et locales. C’est ce lien très fort avec les réalités du terrain qui
permet d’enrichir et de légitimer tout le plaidoyer du RC&D dans les instances nationales et interna-
tionales. Depuis 2007, le RC&D permet à près de 80 ONG de porter, ensemble et dans toute leur diver-
sité, les priorités et les recommandations de la société civile africaine francophone.
Lutter ensemble pour la justice climatique, diffuser des alternatives concrètes pour un développe-
ment durable pour tous, proposer des recommandations politiques, renforcer la voix de la société
civile africaine dans les instances politiques à tous les niveaux et dans les médias : voilà, pour Joseph
et les associations membres qu’il coordonne, les missions essentielles du Réseau Climat & Développe-
ment et sa force.
CONTACT : + 228 90 38 62 04 / JOSEPHKOGBE@YAHOO.FR
Aissatou Diouf, chargée de communication et de plaidoyer climat, ENDA Energie, Sénégal
« Les propositions des pays africains
doivent être plus entendues das les
négociations internationales. C’est une
question de justice climatique »
A
issatou est chargée de communication et de plaidoyer climat à ENDA Energie, ONG basée
au Sénégal et qui copilote le RC&D avec le Réseau Action Climat-France. Elle coordonne
également les activités de communication et de plaidoyer du RC&D, pour que la voix de
l’Afrique et des communautés les plus affectées face aux changements climatiques soit
mieux entendue, au sein des négociations internationales sur les changements clima-
tiques. Aïssatou sait que l’Afrique a souvent du mal à faire entendre sa voix dans les négociations
internationales sur le climat – elle ne pèse pas suffisamment lourd dans l’économie mondiale et repré-
sente une faible part des émissions de gaz à effet de serre. Depuis quelques années cependant, même
si le déséquilibre reste encore fort, le Groupe Afrique a pris plus d’ampleur dans les négociations inter-
nationales et les pays francophones sont également plus visibles et plus forts. Aïssatou sait aussi que
c’est en grande partie grâce au travail du Réseau Climat & Développement que les voix africaines sont
montées en puissance dans les négociations.
Pour Aïssatou, l’Accord de Paris doit servir de levier, pour un monde plus juste, plus équitable et plus
solidaire.
CONTACT : + 221 77 71 64 672 / AISSATOU.ENDA@GMAIL.COM
8. Yaogan Amédodji Akpadja,
MVD, Togo
ongmvd@yahoo.fr
Sani Ayouba,
JVE Niger
saniayoub@yahoo.fr
Jeanne Azama,
AFHON Togo
jany.afhon@gmail.com
Aubin Charles Baïmey,
JVE Côte d’Ivoire
charlesbaimey@yahoo.fr
Paul Banka,
AFHON Togo
banka.afhon@gmail.com
Colette Benoudji,
LEAD Tcha
colette_issa@yahoo.fr
Ahmed Sekou Diallo,
AFAD, Mali
sahmediallo@gmail.com
Ahmed Ali Dimbio,
EVA, Djibouti
mani8248@yahoo.fr
Krystel Dossou,
OFEDI, Bénin
krystod7@yahoo.fr
Crédo Eze,
JVE, Togo
credolesaint@gmail.com
Reine Fadonougbo,
AFHON Côte d’Ivoire
reine.afhon@gmail.com
Issa Garba Tahirou,
RJNCC, Niger
issagne@gmail.com
Christian Hounkannou,
JVE Bénin
hounchrist@gmail.com
Mawusé Hountondji,
JVE Bénin
mawuseh@gmail.com
Stéfany Minette
Jiazet Noumeyi,
Horizon Vert, Cameroun
stef.noum@yahoo.fr
Nadine Kampibare,
AVOCHACLISD, Burundi
athefightagainstclimatechange@
yahoo.fr
Mama Koite épouse Doumbia,
MUSONET, Mali
dmamakoite@gmail.com
Ficard Ndayimirje,
AVOCHACLISD, Burundi
ndayimfic@yahoo.fr
Awali Ouro-Djeri,
ASEDI, Togo
tontonhawal@yahoo.fr
Daldy Rustichel
Youbou Biagha,
ACDA, Congo
info.acda2008@gmail.com
Maman Zakara,
Mali-Folkecenter, Mali
m.zakara@hotmail.com
Seront également présents
à la COP21 pour le RC&D
9. Dans le centre de conférences – « zone bleue »
LE 2 DÉCEMBRE, DE 9H À 12H
Intervention du RC&D au Forum de la société civile francophone :
Des initiatives à la base face aux changements climatiques
Où ? Pavillon de l’Institut de la Francophonie
pour le Développement Durable (IFDD), zone bleue
PENDANT TOUTE LA COP21
Au Pavillon de l’IFDD , en zone bleue
TOUS LES JOURS, DANS LES COULOIRS
DU CENTRE DE CONFÉRENCES !
Dans l’espace « Générations climat »
LE 5 DÉCEMBRE, DE 13H15 À 14H45
Conférence organisée par le RC&D et HELIO International :
Quelles politiques énergétiques pour l’Afrique dans un contexte post-2015 ?
Où ? Espace Générations climat, salle 10
LE 7 DÉCEMBRE, DE 11HO0 À 12H30
Matinale Genre et climat
Organisée par Care - Enda Europe - Adéquations
Où ? Stand Coordination SUD – Espace Générations Climat
LE 1O DÉCEMBRE, DE 17HO0 À 18H30
Conférence organisée par le RC&D, CIEL et CARE :
Lutter pour la justice climatique : solutions concrètes
pour intégrer les droits humains dans les actions climatiques
Où ? Espace Générations climat, salle 1
Au Village mondial des initiatives
LES 5 & 6 DÉCEMBRE
A Montreuil, dans le quartier «Droit, solidarité internationale et migrations»
Le RC&D tiendra un stand dans lequel plusieurs associations membres africaines
présenteront les alternatives qu’elles développent sur le terrain.
Retrouvez le Réseau Climat &
Développement pendant la COP21