L'auteur exprime son désenchantement face à la situation politique en évoquant une métaphore de grossesse qui se révèle problématique. Il souligne la désorganisation des médias et la fragmentation des partis politiques, ainsi qu'un gouvernement provisoire inefficace. Les conclusions pessimistes quant à l'avenir de la révolte sont fondées sur des problèmes structurels et des risques d'échec ou de stagnation du processus en cours.