3. Pourquoi Readium LCP ?
Créer une solution simple et peu onéreuse
Satisfaire les demandes critiques des ayants-droits
Satisfaire les besoins des libraires et bibliothèques et prêt
Eviter tout "vendor lock-in"
Permettre une interopérabilité sans limite
Ne pas nuire à l'accessibilité des contenus
Etre soucieux des informations personnelles
4. Quelques avantages de
Readium LCP
Solution non-propriétaire
Spécification publique
Logiciels open-source
Certification d'interopérabilité
Coûts d’utilisation très limités
Pas de coût transactionnel
5. Un écosystème contrôlé
Informations confidentielles réservées au membres de
l'écosystème
Certification par EDRLab
Conformité aux spécification, interopérabilité
Robustesse
9. La DRM Adobe
Manque de fluidité de l’expérience usager
Fonctionnalités oubliées et curieuses limitations
Nombreuses erreurs, avec des messages “en sanskrit” !
Centralisation des données personnelles des usagers
Modèle économique avec coût transactionnel (= au prêt !)
et coût unitaire élevé
Aucune sollicitation des représentants des bibliothèques
dans les réflexions
10. Une nouvelle DRM apparait :
Readium LCP
Fluidité de l’expérience usager
Usages des bibliothèques pris en compte : prolongation,
retour anticipé
Données personnelles des usagers dispersées
Modèle économique non transactionnel et à faible coût
Réseau Carel participe aux études (de besoins) et à la
mise en place de LCP pour le prêt numérique
13. Adoption technique
Distributeurs (EDEN, Immatériel ?)
Dilicom
→ démo demain avec une mini-plateforme prototype
Portails de bib (Cantook Station, BibliOnDemand)
→ dans le backlog produit !
Apps / outils de lecture (Pocketbook/TEA, Mantano,
bientôt Aldiko, Bookeen ...)
14. Autres challenges
Période de transition (ACS4 / LC)
Transparence et ergonomie pour l’usager
→ Attention aux usagers multi-outils !
Liseuses et apps de lecture
Avenir des liseuses ?
App de lecture spécifique ?
→ maîtrise des évolutions
15. Et la DRM de Sony DADC,
URMS ?
Prévoit mieux que ACS4 les fonctionnalité des bibliothèques
Néanmoins :
Encore un modèle économique transactionnel :-(
Coût annoncé plus faible (4 centimes / prêt) mais stabilité ?
Pérennité si Sony scie la branche dans quelque temps
(Cf. Sony Vaio, Sony readers)
Readium LCP : en grand partie ouvert, partie confidentielle
déposée chez un “tiers de confiance”
Pas de sollicitation des représentants des bibliothèques pour définition
des besoins et réflexion sur la mise en place
18. Feuille de route
Implémentation chez les distributeurs et Dilicom → terminé
Fourniture des spécifications des Web services par Dilicom et les
distributeurs
Développement sur les plateformes de prêt numérique et tests “en labo”
Mise en place d’un groupe de testeurs volontaires en Fédération Wallonie
Bruxelles ; Paris devrait suivre rapidement
Négociations sur les prix des titres (incluant actuellement le coût des
DRM ACS4) avec les groupes éditoriaux et les distributeurs
Si accord, généralisation de la mise en place dans Lirtuel
(et la PF num de Paris)
Déploiement plus global
21. Contraintes des solutions
actuelles
Accès aux livres complexifié
Barrière à l'interopérabilité ou à l'accessibilité
Interdiction d’un partage familial/amical honnête
Curieuses limitations : 59 jours de prêt, 6 appareils max
Impression de non possession des acquisitions
(obsolescence, disparition)
22. Pérennité
Support de grands éditeurs, distributeurs, libraires
Communauté active, maintenance simple
Adoption internationale en cours
France, Belgique
USA, Canada
Korea, Qatar, Egypt ...