6. Le Dossier Technique , comprend :
Les dessins techniques (documents graphiques)
Les pièces écrites.
Il sert :
A passer les marchés,
Faire les devis.
Ses éléments constitutifs doivent être
clairs, précis et détaillés. Ils traduisent les
choix techniques et économiques de
l’œuvre dont ils sont l’objet.
A - Le Dossier Technique
7. B - Le Dossier de construction
Il est constitué des différents plans et
pièces écrites (devis descriptif,
quantitatif et estimatif et le planning des
travaux)
Le dossier de construction est établi
par le maître d’œuvre (Architecte ou
Ingénieur) pour le maître d’ouvrage
(client ou son représentant).
8. C’est un dessin ou un ensemble
de dessins réalisé(s) à grande
échelle à partir de la mise au point
d’une étude.
Ex : des plans , des coupes, des
façades ou des élévations d’ouvrages.
C - Le Projet
9. D - Le Projet de Construction
• Le projet de construction concerne l'ensemble
des études qui permettent d'établir le dossier
de construction (dans les domaines du
bâtiment, des aménagements hydrauliques,
des routes et piste, etc.)
L'étude d'un projet est réalisée sur la base de
3 catégories successives de dossiers :
L'avant - projet sommaire (APS),
L'avant - projet détaillé (APD) et
Le projet définitif.
12. LES TRAVAUX DE LEVÉS TOPOGRAPHIQUES
Le plan de situation
Le plan général ou fonds de plan
(formes et accidents)
Les profils en long et en travers
(représentations graphiques des lignes
figuratives de la surface du terrain)
Ils permettent de réaliser les
documents graphiques tels :
13. Ils permettent de donner la configuration du
terrain en coupe et contribuent à la réalisation
des documents dessinés relatifs à la
reconnaissance du sol .
Ex: La légende lithologique des sols de fondations, pour les
relevés de sondages en bâtiment, barrage, et études
mécaniques des sols.
TRAVAUX DE SONDAGES DE SOLS
15. LE DEVIS QUANTITATIF : énumère pour chaque corps d'état,
les quantités de matériaux nécessaires à sa mise en œuvre.
LE DEVIS DESCRIPTIF : décrit avec la plus grande précision,
Les travaux à réaliser, la nature et les caractéristiques des
matériaux utilisé, pour chaque corps d'état de la construction.
LE DEVIS ESTIMATIF : est un document technico-financier, qui
détermine pour chaque corps d'état, un métré détaillé par
ouvrage (quantité précise de matériau) et les prix
correspondants, calculés à partir d'un bordereau de prix
unitaires.
16. LES CAHIERS DE CHARGES : Il s'agit de documents contractuels
qui précisent certaines obligations et conditions d'ordre
administrative et juridique spécifiques aux travaux et à leur
exécution.
LE CALENDRIER D’EXÉCUTION : Il s'agit d'un planning des
travaux, qui donne pour chaque corps d'état, les dates du début et
de fin de son intervention.
19. LES DESSINS OU PLANS D'ARCHITECTURE
Il s’agit de dessins réalisés par les
cabinets d'architectes.
Ils comprennent :
• Le plan de situation,
• Le plan de masse,
• Les dessins d’ensemble : plans,
coupes, façades,
• Les dessins de détails.
20. LES DESSINS D’EXÉCUTION
Ils sont établis par les bureaux d'études
spécialisés à partir des dessins
d'architecture. Ils comprennent :
Les plans de fondations (et de canalisations),
Les plans de soubassement,
Les plans de béton armé (coffrage,
ferraillage, pose),
Les plans d ‘exécution des différents
éléments de construction : charpente, couverture,
climatisation, assainissement, électricité, téléphone,
informatique, etc.
22. LE PLAN DE SITUATION
• Il permet de situer le terrain à bâtir (parcelle ou lot)
dans une ville, un village, une agglomération, une
unité d'exploitation agricole ou d’élevage, un site à
bâtir, etc.
• Il est établi, soit sur un fond de plan cadastral (site
lotie), soit un fond de levé topographique.
• Il doit mettre en évidence le terrain par une
figuration très distincte (pochage, hachure, cercle).
• Il doit rigoureusement comporter la position du
nord géographique.
Échelles usuelles : 1/500è et 1/10.000è
24. LE PLAN DE MASSE
• Il définit la position de l'habitation sur la
parcelle ou le lot localisé par le plan de
situation.
• Il situe les voies d'accès au terrain et les
viabilités existantes (réseau d'eau,
électricité, téléphone, gaz, assainissement
collectif).
• Le contour du terrain est matérialisé par un
trait renforcé.
26. Le plan de masse doit rigoureusement comporter :
L'orientation géographique,
Le numéro du lot, de la parcelle ou les références
cadastrales,
La superficie du terrain,
Le nom du propriétaire et de ses riverains,
Les constructions existantes (mitoyennes ou sur le
terrain même),
Les cotes d'implantations exhaustives
Les réseaux existants : eau, assainissement collectif,
électricité, gaz, téléphone,
Le réseau d'assainissement individuel : eaux de pluies,
eaux vannes, eaux usées.
27. Cotation du plan de masse.
Les cotes d'implantation d’un plan de masse
doivent permettre :
D’une part de définir la forme de l’aire à
bâtir (cotation de forme exhaustive).
D’autre de situer l’aire à bâtir par rapport
aux ouvrages et repères environnant
(cotation de position exhaustive)
Échelles usuelles : 1/2000è, 1/500è et
exceptionnellement 1/100è.
29. LES PLANS DE NIVEAU
• Il correspond à une coupe horizontale
réalisée à une hauteur de 1,00 m au-dessus
du sol fini ou à 10 cm au-dessus des
rejoints des appuis de baie de fenêtre.
• Il doit être entièrement coté, sans
ambiguïté de l'intérieur et de l'extérieure.
• Il peut comporter la représentation
schématique du mobilier, de l'appareillage
sanitaire et électrique; ceci permet de juger
déjà au stade d'avant-projet de la
fonctionnalité des locaux.
30. Exemple de dénomination de
plans de niveau
Plan de R.d.C,
Plan de sous-sol,
Plan de comble,
Plan du premier étage, etc.
Échelle usuelles : 1/100è et 1/50è
31. Cotation de plans de niveau
Les plans de niveau sont cotés de l’intérieur et de
l’extérieur suivant les dispositions ci-après :
Cotes extérieures
1è ligne : Longueur de trumeaux & LNB / HNB
2è ligne : Distance d’axe à axe de baie
3è ligne : Cote d’implantation des murs porteurs
4è ligne : Longueurs des parties d’ensemble
5è ligne : Longueur totale du bâtiment.
Les lignes de cote doivent figurer dans l’ordre indiqué
32.
33. Autres cotes extérieures
Il s’agit des cotes de définition des formes et
positions des éléments spécifiques apparaissant sur
les contours extérieures du bâtiment :
Exemples :
• Les terrasses
• Les balcons
• Les décrochements intérieurs, etc.
34.
35. 1. Dimensions intérieures des pièces et
épaisseurs de murs (sur les mêmes lignes de
cote).
2. Largeur et cote de position des baies
intérieures (sur les mêmes lignes de cote).
3. Cotes de niveau
4. Cotes de forme et de position des éléments
tels, terrasse, bac à fleurs, balcon, etc.
5. Désignation des pièces
Cotes intérieures
36.
37. LES COUPES
• Il s’agit de coupes verticales effectuées sur
la totalité de la construction, suivant des
plans de coupe droits ou brisés.
• Elles sont choisis au mieux des
renseignements qu’elles donnent.
• Leur nombre doit être suffisant pour bien
définir le bâtiment.
• Échelle usuelles : 1/100è et 1/50è
38. Cotation des coupes
Une cotation de coupe
doit faire apparaître :
1. Une ligne de cote au niveau de
chaque baie coupée avec :
• la hauteur d’allège (le cas échéant),
• la hauteur nominale de baie et
• la cote de rattachement
au plancher ou plafond.
39. 2. Une ligne de cote pour :
• Les épaisseurs du ou
des plancher(s) : remblai
dallage, chape, plancher, etc
• La ou les hauteur(s)
sous-plafond.
40. 3. Des cotes niveau
• Niveau de fond de fouilles
• Niveau de plancher(s)
• Niveau de TN
41. 5. Cotes partielles des divers éléments apparaissant
sur les coupes.
• Fondation (forme)
• Balcon (forme et position)
• Dépassée de toit (forme)
• Pente de toit
42. 5. Cotation des nus
Le nu est une surface verticale de construction.
Sa cote permet de différencier les reliefs de façade.
44. LES DESSINS DE FACADES
Exemple 1 : Dessin de façade avec rendu
45. Exemple 2 :
Dessin de façade
simplifié
Représentation
schématique des
menuiseries
Niveau du sol fini
46. Calepins d'appareil
Les calepins d'appareil sont des dessins d'exécution qui
servent :
• en carrière, au débit et à la taille des éléments ou
morceaux,
• sur le chantier de construction, à leur assemblage et à leur
pose.
Un calepin doit donc rendre compte :
Des formes et dimensions des morceaux,
De leur position exacte dans l'ouvrage,
Leur situation éventuelle en saillie ou en retrait du pare-
ment principal (nu zéro) et des entailles qui peuvent y être
pratiquées pour la liaison avec d'autres éléments ou les
ossatures.
47.
48. Calepins d'appareil (suite)
Le travail de dessin se trouve cependant simplifié par le fait
que les morceaux sont la plupart du temps
parallélépipédiques.
Il est ainsi possible, en utilisant certaines conventions, de
les définir complètement par leur seule représentation cotée
en parement vu.
D'une façon générale donc, les calepins d'appareil seront
constitués essentiellement par des élévations.
Les coupes horizontales et verticales, ou des sections,
seront pratiquées chaque fois que cela sera nécessaire.
Les calepins sont spécifiquement destinés à la
représentation de la maçonnerie d'appareil.
49. LES DESSINS DE DETAILS
• Il s'agit de tous les dessins permettant de définir
les dispositions constructives qui n'apparaissant
pas sur les plans et coupes : semelles, acrotère,
balcon, escalier, rampe, garde-corps, seuils de
porte, coupe de fenêtre, liaisons, assemblages,
etc.
• Ils complètent ainsi les dessins d'ensemble et
fournissent plus de détails.
• Ils sont en général présentés en coupe et/ou
sections partielles.
• Échelles usuelles : 1/20è , 1/10è et 1/2è
52. Les dessins d’ensemble des
ouvrages de TP sont destinés :
A définir leur forme d’ensemble,
A renseigner sur leur
fonctionnalité (exemple : un
dallot, une prise, un déversoir, etc.)
Ils sont représentés terminés c’est
à dire avec éventuellement :
53. Les remblais
Remblai de route au voisinage d’un pont
Un déversoir construit en déblai, etc.
Les revêtements
Perré maçonné ou perré sec à la jonction d’un pont et
d’un remblai de route.
Les terres
Terre non remaniée à la sortie d’un ouvrage de prise.
Les aménagements de surface
Surface de remblai compacté avec sans forme de pente
à l’intérieur d’un terre-plein.
54. Les ouvrages de Travaux Publics sont en général de
formes et de dimensions diverses. Leur représentation
(disposition des différentes vues) ne peut donc pas obéir à
des règles strictes.
De manière générale :
Les vues en plan sont intimement liées aux coupes.
Les vues de face et d'arrière prennent toujours le nom
d'élévation; cette désignation étant presque toujours
complétée en fonction de l'orientation géographique.
Contrairement au bâtiment, on utilise toujours la vue
de dessus, qui prend traditionnellement le nom de plan.
55. LE PLAN DE SITUATION
• Il permet comme en bâtiment de situer l’ouvrage
dans un environ géographique donné.
• Exemple : Un pont situé au PK 130 d’une route ou
un déversoir situé sur la tête morte d’un canal.
• Il est établi sur un fond de plan topographique.
• Il doit mettre en évidence le site par une figuration
très distincte (pochage, hachure, cercle).
• Il doit rigoureusement comporter la position du
nord géographique.
Échelles usuelles : 1/500è et 1/10.000è
56.
57. LE PLAN GENERAL
• Le plan général doit correspondre à la vue de
dessus de l’ouvrage terminé et ses abords
immédiats.
• Il est établi sur un fond de plan topographique.
• Il définit l’implantation de l’ouvrage sur son
site de construction.
• Il situe les voies d'accès au site de
construction et les ouvrages connexes.
• Le contour du site est matérialisé par un trait
renforcé.
58.
59. LES VUES EN PLAN D’OUVRAGE
Elles correspondent aux vues de dessus.
• Elles peuvent être dessinées entièrement
ou partiellement (par rapport aux plans de
symétrie)
• Elles sont représentés terminés (avec les
remblais, les revêtements, les terres et les
aménagements de surface).
• Elles doivent être entièrement coté, sans
ambiguïté en forme et en position.
Échelle usuelles : 1/100è 1/50è
65. • Les fondations sont des ouvrages en béton
réalisées sous les éléments porteurs (murs,
poteaux) et sur le sol auquel elles transmettent
des charges spécifiques
Des charges permanentes dues au poids
propres des ouvrages (charpente, plancher,
mur),
Des charges d’exploitations dues au poids
des usagers, mobilier et équipements,
Des charges climatiques tels l’effet de vent.
68. 1 - Les différents types de fondations
Suivant l'importance et la nature du bâtiment :
Des fondations superficielles : semelles
continues sous murs ou poteaux, semelles
isolées, semelles excentrées et radiers
simples ou général,
Des fondations semi-profondes : puits (grands
immeubles)
Des fondations profondes : pieux (ponts)
Des fondations spéciales : parois moulées,
cuvelages (tunnels)
70. 2- Principes généraux des dessins de fondations
Les plans des fondations définissent la forme et la
disposition des fouilles de fondations, ainsi que leurs
dimensions horizontales.
Ils permettent d’implanter les fouilles, de réaliser et
établir leurs cubatures (volumes des terres à enlever).
Ils indiquent les niveaux de terre-plein compacté et
nivelé.
Les plans des fondations sont associés à des coupes
transversales (dessins de détail, coupes de principe)
qui définissent les grandeurs verticales des semelles,
des murs de fondations et des niveaux.
71. Sur les coupes
Axes des murs de fondation (trait mixte fin)
Contours des murs de fondation (trait fort)
Sur les vues en plan
Contours des semelles (trait moyen)
TN (trait moyen)
Terre-plein
74. 3- La cotation des dessins de fondations
Les cotes sont brutes, enduits non compris. Si possible
respecter les dispositions suivantes :
1 – Lignes intérieures : Coter sur une même ligne, les
épaisseurs des murs de fondations et les distances
qui les séparent.
75. 2 – Lignes intérieures : Coter sur une même ligne, les
largeurs de fondation et les distances entre rigoles.
76. 3 – Lignes extérieures : Coter les parties principales
et indiquer les cotes générales.
77. 4 – Lignes extérieures : cotes cumulée d'implantation
pour situer soit le nu des murs, soit les axes des
murs et des poteaux (option courante).
78. 5 – Lignes intérieures et extérieures : cotes
d'implantation des canalisations peuvent selon la
place disponible.
79. 6 – Cotation de niveau de terre-pleins par rapport au
sol fini du RdC (dans un cercle en trait fort).
87. • Il s'agit d'une coupe horizontale des murs de
soubassement. Seuls les murs apparaissent
à l'exclusion des fondations.
• Ce plan précise l'implantation et les
dimensions des murs de fondation, des
poteaux et du système de canalisations
enterrées (EV, EU, Adductions, gaine de
téléphone ).
• Il indique comme précédemment le niveau
des terre-pleins.
88. 1- Principes généraux des dessins de
soubassements
• Ils définissent la forme et la disposition des murs
de soubassement, ainsi que leurs dimensions.
• Comme le plan de fondation, le plan de
soubassement est une coupe horizontale des murs
de soubassement; il précise l'implantation de ces
murs, et des différentes canalisations enterrées
dans le terre-plein (E.V., E.U, Adduction d'eau,
gaines, etc.).
• Les plans de fondations comprennent également
des coupes courantes réalisées au droit des
semelles.
89.
90. 2 - La cotation des dessins de soubassements
Lignes intérieures :
Cotation des épaisseurs des murs de soubassement
et des distances qui les séparent.
Cotation d'implantation des canalisations,
Cotation de niveau de terre-pleins par rapport au sol
fini du RdC.
Lignes extérieures :
Cotation des parties principales,
Cotation des parties d’ensemble,
Cotation cumulée d'implantation pour situer soit le
nu des murs, soit les axes des murs et des poteaux
Cotation d'implantation des canalisations,
93. En raison des nombreux points
communs qu'ils présentent, les plans de
fondations et de soubassement sont
souvent réalisés sur un même support
qui cumule ainsi les informations des 2
types de plan.
95. La mise en oeuvre d'un ouvrage en béton Armé
nécessite les opérations suivantes :
1. La réalisation d'un moule ou coffrage, destiné à
contenir le béton jusqu'au moment où il aura fait
prise.
2. Le ferraillage, consistant à la mise en place des
armatures métalliques,
3. Le coulage ou bétonnage qui est la phase du
remplissage du coffrage par du béton.
4. Le décoffrage : c'est la dépose du moule lorsque le
béton a fait prise.
96. Les dessins de béton armé comportent 3
sortes de documents
Les dessins de coffrage,
Les dessins de ferraillage,
Le plan de pose, dans le cas de planchers
à hourdis et poutrelles préfabriquées.
Ce document est à la fois plan de coffrage
et plan de ferraillage.
97. 1- Principes généraux des dessins de
coffrage
• Les dessins de coffrage définissent les formes
extérieures brutes, enduits et revêtements non
compris, des différentes parties d'ouvrages.
• Les plans sont représentés, le béton non coulé
dans les coffrages des parties horizontales dont
les éléments porteurs sont sous-jacents.
• Les coupes sont toujours dessinées en dehors
des nœuds d'assemblage et avant ou après les
goussets.
98.
99.
100.
101. Échelles des dessins de coffrage
Vues en plan : 1/50è
Élévations : 1/50è
Coupes verticales : 1/50è
Coupes partielles : 1/20è ou 1/10è
Dessins de détails : 1/20è ou 1/10è
102. 2- Repérage des éléments sur les dessins
Les poteaux sont repérés par la lettre :
P : Exemple : P1 , P1.1, P 1.2
Cv : Exemple : Cv1 , Cv2, etc.
103. • Les poutres sont repérés par un numéro
suivant de la section ou équarrissage :
largeur x hauteur
Exemple : 2. 20 x 40 ou 2(20 x 40)
104. • Les consoles sont repérés par une lettre
majuscule suivie d’un numéro et la section
ou équarrissage : largeur x hauteur.
Exemple : C1. 20 x 40 ou C1 (20 x 40)
NB : Si la hauteur varie vers
l’extérieur on note :
C1. 20 x 20 à 10
105. • Les dalles sont repérés par une lettre
minuscule inscrite dans un cercle disposé
sur une diagonale.
106. • Les linteaux sont désignés par
la lettre L suivie d'un indice.
(ex : L5)
• Les sommiers sont nommément
désignés.
(ex: Sommier BA 2).
107. Les poutrelles préfabriquées dans
Les dessins de planchers à poutrelles
préfabriquées sont représentées comme
suit :
Les axes de poutrelles sont matérialisées
par des traits mixtes fins,
Lorsqu’elles sont identiques (même
longueur et même type), les poutrelles sont
repérées par la lettre N (comme Nervure).
110. • Dans l’exemple ci-dessous, la 1ére poutrelle est
placée à 53 cm du nu du mur; les poutrelles
suivantes sont équidistantes de 60 cm pour
éviter la réalisation d’un chevêtre au droit de la
trémie.
111. • Le chevêtre est un élément en B.A
servant d’appui aux poutrelles, au droit
des trémies ou conduit de fumée.
112.
113. • L’indication de l’épaisseur du plancher
est donnée par une cote de niveau
(16+4) inscrite dans un cercle.
114. • Les chapeaux (chapeaux de continuité ou
chapeaux de rive ) sont des éléments de
ferraillage placés aux jonctions
poteau/poutre pour prévenir les effets de
cisaillements.
116. Cotation extérieure
des vues en plan de
coffrage
• Comme sur les plans archi, la cotation
des vues en plan des dessins de
coffrage est réalisée suivant 4 lignes de
cotes, mise en place dans un ordre
donné.
117. 1ère ligne : largeur des poteaux et portées des poutres
ou longueur de murs porteurs.
136. • Les dessins d'armatures définissent les
aciers qui entrent dans la structure des
ouvrages en BA.
• Les produits sidérurgiques ou aciers
utilisés dans la réalisation des ferraillages
comprennent :
Les ronds lisses bruts de laminage; ils
sont désignés par le caractère Ø,
Les barres hautes adhérence désignés
par HA,
Les treillis soudés désignés par TS.
137. Quelque soit leur type, les aciers sont
représentés à l’échelle par leur
diamètre nominal.
d
2d
3d
Les dispositifs d’ancrage
par courbure des barres
d’acier sont représentés
suivant leur forme exacte.
Le rayon de courbure est
mesuré sur l’axe de
la barre.
139. Dans le souci d’équilibrer les poussées au vide et pour
éviter de sauter le béton de couverture des barres, il sera
toujours préférable et conseillé de réaliser des retours
inclinés vers la masse de béton.
Retour incliné
140. Les espacements entre les barres sont toujours cotés
d’axe en axe.
660
1150
950
Les espacements
141. L’enrobage des armatures correspond à la
plus petite distance entre l’axe d’une barre et
le parement du béton le plus proche , diminué
de la ½ du diamètre nominal de cette barre
Enrobage des barres
142. ENVIRONNEMENT VALEUR
Ouvrages à la mer 4 cm
Parements non coffrés soumis à des
actions agressives
3 cm
Parements exposés aux intempéries et
aux condensations
2 cm
Parois dans les locaux couverts et clos 1 cm
Valeurs d’enrobage
des barres longitudinales ou transversales
143. • Il s'agit de la longueur minimum qui assure
l'adhérence entre béton et armatures droites.
• Cette longueur dépend du type de barre, de la
résistance à la compression du béton et des
conditions de moulage (vibration).
Les scellements droits
• NB : Le diamètre des barres et l'enrobage
n'ont pas d'influence notable sur l'adhérence.
144.
145. ls = 40 Ø pour les aciers HA
ls = 50 Ø pour les ronds lisses
VALEURS FORFAITAIRES
DES LONGUEURS DE SCELLEMENT
DANS LES TREILLIS SOUDES
ls = 3 soudures sur les fils porteurs et
2 soudures sur les fils de répartition
147. Pour assurer la jonction de deux barres, on
réalise un recouvrement, qui correspond au
tronçon commun à deux barres.
La longueur de recouvrement commun en
dehors des crochets est fonction du type de
barres et de la nuance de l’acier.
On distingue 2 types de jonctions :
Les recouvrements et
Les couvre-joints
Jonction des barres
148. La continuité est assurée si la longueur de
recouvrement est égale à :
a - Recouvrements des armatures tendues droites
c
F
F
lr
lr = ls si C ≤ 5Ø
lr = ls + C si C > 5Ø
150. La continuité est assurée si la longueur de
recouvrement est égale à :
b - Recouvrements des armatures tendues
avec crochets
lr = ls si C ≤ 5Ø
lr = ls + C si C > 5Ø
F
F
lr
c
151. Le recouvrement doit être rectiligne.
Dans le cas d’un poteaux, le recouvrement doit
comprendre au moins 3 cadres.
c - Recouvrements des armatures comprimées
lr = 0,6 ls
• Si les barres sont
toujours comprimées,
• Si C ≤ 5Ø
c
F
F
ls
152. Exemple de recouvrement de barres comprimées
Zone de recouvrement
lr sur 3 cadres.
Reprise de bétonnage
153. d - Recouvrements avec crochets
lr = 30 Ø : pour les ronds lisses
lr = 20 Ø : pour les aciers HA
154. La transmission des efforts est assurée par une 3è
barre de même diamètre. Les longueurs de
recouvrements sont identiques aux précédentes
e - Les couvre-joints
lr = 30 Ø : pour les ronds lisses
lr = 20 Ø : pour les aciers HA
157. Les dessins d'armatures comprennent :
Dans un plan de ferraillage, pour chaque
acier, il doit être précisé les éléments
suivants :
Les plans d’ensemble et les élévations,
Les coupes verticales partielles
Les nomenclatures (cahier de ferraillage)
158. Le nombre,
La nuance de l'acier,
Le diamètre,
La longueur,
La forme,
L’emplacement par rapport au coffrage et
La position des armatures les unes par rapport
aux autres.
160. 1. CONTOURS DU BETON : en trait fin sur les élévations
et les coupes.
2. ACIERS INFERIEURS LONGITUDINAUX (principaux) :
en trait fort sur les élévations et par un cercle noirci sur les
coupes.
3. ACIERS SUPERIEURS LONGITUDINAUX (de
construction) : en trait moyen sur les élévations et par un
cercle noirci sur les coupes.
4. ARMATURES TRANSVERSALES (cadres, étriers et
épingles) : en trait moyen sur les vues. En élévation, on ne
représente que le 1er élément pour chaque espacement
différent.
168. EXEMPLE D’UTILISATION DU TABLEAU
Soit à calculer la longueur développée d’une barre en
Acier Haute Adhérence de diamètre 16 (HA16)
L = 350 + (35 x 1,6) = 350 + 56 = 406 cm
169. La cotation des dessins de ferraillage
A – Sur les élévations
173. A – LES POUTRES
Dessins
Une élévation par type de poutre
Une ou plusieurs coupes par poutre
Cotation
Une ligne pour les espacements des aciers
transversaux,
Une ligne pour les portées et épaisseurs,
La désignation des aciers sur la/les coupes.
178. 20 410 20
1 1 HA 8
2
3 4 3
2 HA 10
18
10
10
4.30
4.30
10
10
4 1 HA 8
L=1.00 ml
Cadre HA 6
e=5 cm Cadre HA 6 - e=15 cm
L=1.00 ml
1 HA 8
4
D
D
13
8
13
179. 10 10
7 2 HA 8 - L=1.00 ml
413
3
20
10
10
4.66
2
10
4 HA 14
10
F
20
Cadre HA 6 - e=20 cm
4.66
e=10 cm
Cadre HA 6
2 HA 8 1
10
10
4
F 3 Cadre HA 6
e=10 cm
Cadre HA 6 - e=20 cm
413
20
4 HA 14
2
4.66
10 10
3
4.66
Cadre HA 6
e=10 cm
10
2 HA 8
1
10
4
E
20
E 3 e=10 cm
Cadre HA 6
POUTRE TYPE PT1
180. Cadre HA 6 - e=20 cm
383
25
10
4.66
2 HA 16
2
10
Cadre HA 6
3
10 10
4.66
2 HA 8
e=10 cm
10
1
10
4
383
E
POUTRE TYPE PT3
20
20
F
Cadre HA 6
3 e=10 cm
E 3
F Cadre HA 6
e=10 cm
7 2 HA 14 - L=1.00 ml
2 HA 12
4.66
10
2
10
20
10
Cadre HA 6 - e=20 cm 4 2 HA 12
4.66
10
3
e=10 cm
Cadre HA 6
1
10
10
4 e=20 cm
Cadre HA 6
4.66
1 2 HA 12
10
10
2
10
2 HA 12
4.66
10
2 HA 14 - L=1.00 ml
7
10 10
3 e=10 cm
Cadre HA 6
148 30
10
2 HA 12
10
5
4.66
5 2 HA 12
4.66
10 10
5
181. 20
2
5 2 HA 20 2 HA 20
10 10
7.85
10 10
9.55
2 HA 12
4
Cadre HA 8 - e=14 cm
9.55
10
3
Cadre HA 8
1 e=10 cm
10
10
10
30
148
2
2 HA 20
F
Cadre HA 8
10
9.55
10
3 e=10 cm
4 e= 25 cm
Cadre HA 8
9.55
10 10
10
2 HA 12
1
10
786
F
2 HA 20
2 HA 16
8
7.85
10 10
2 HA 16
8
10
7.85
10
9.55
2 HA 8
10
10
9
7.85
2 HA 14
10 10
10
9
9
F
10
25
2 HA 20
5
2 2 HA 20
10 10
10
9.55
10
7.85
Cadre HA 8
3 1
10
e=10 cm
2 HA 12
9.55
10
10
4 Cadre HA 8 - e=14 cm
E
E F
POUTRE TYPE PT4
183. B – LES POTEAUX
Dessins
Une élévation par type de poteau
Une ou plusieurs coupes par poteau
Cotation
Une ligne pour les espacements des aciers
transversaux,
Une ligne pour les hauteurs libres et les
épaisseurs de poteaux,
La désignation des aciers sur la/les coupe(s).
184. 1er cadre à 5 cm du
parement du béton
de plancher
Aciers principaux
Aciers transversaux
185. C – LES DALLES PLEINES
Les armatures des dalles pleines peuvent
êtres :
• Des aciers ligaturés ou
• Des treillis soudés.
186. 1 – Cas des aciers ligaturés
On distingue dans ce type de disposition
constructive :
Des lits supérieurs et
Des lits inférieurs.
Le numéro du lit est fonction de la position
des aciers par rapport au coffrage.
Le premier lit inférieur sera le lit le plus proche
du fond de coffrage,
Le premier lit supérieur sera le plus près de
la face supérieure de la dalle.
187. Exemple de ferraillage d’une dalle pleine (acier ligaturés)
+ près de la face supérieur de la dalle
+ près du fond de coffrage
188. Exemple 1 : de ferraillage d’une dalle pleine (acier ligaturés)
189. • Les lits inférieurs sont représentés en trait continu.
• Les lits supérieurs en trait interrompu.
Le trait sera renforcé pour les aciers principaux et
fort pour les aciers de répartition.
Pour représenter les aciers ligaturés, on peut
également réaliser 2 dessins, soit :
Un dessin pour les lits supérieurs et
Un dessin pour les lits inférieurs .
Dans les 2 cas les aciers seront dessinés en trait
Continus pour une meilleure lisibilité.
190. Exemple 2 de ferraillage d’une dalle pleine (acier ligaturés)
Convention sur les traits
------ : Lit supérieur
: Lit inférieur
192. 2 – Cas des treillis soudés
Un treillis soudé est constitué de fils d’acier
assemblés par soudure.
Le treillis comprend :
Des fils longitudinaux ou fils porteurs,
Des fils transversaux ou fils de
répartition.
195. Dans l'exemple précédent :
Les panneaux inférieurs et les panneaux
supérieurs figurent sur le même dessin.
La différenciation est matérialisée par le
contour des panneaux supérieurs en traits
interrompus forts.
En cas de difficulté de lecture, il est alors
préférable d'exécuter deux dessins, l'un pour les
panneaux supérieurs et l'autre pour les panneaux
inférieurs.
197. Lorsque le nombre de panneaux de treillis
soudés est important, il est conseillé d'établir
une nomenclature.
Celle-ci indiquera pour chaque panneau :
Le repérage,
Le type (désignation fabricant),
Le nombre d'éléments identiques et
Les dimensions.
201. Convention de désignation de panneau
FIL LONGITUDINAL
(porteur)
FIL TRANSERVAL
(répartition)
Diamètre D d
Espacement E e
Longueur L l
Exemple :
TSHA 4.5/3 200x300 (2500x5000)
TSL : Treillis soudé lisse
TSHA : Treillis soudé à Haute Adhérence
TSL
ou D / d E x e (L x l)
TSHA
204. 1 – Principes généraux
Les plans de pose permettent de définir à la fois le
coffrage et les armatures des planchers à poutrelles
préfabriquées.
Principaux éléments
Les poutrelles
Les entrevous (hourdis)
La dalle de compression
Les planelles
Les chapeaux
207. 2 – Le dessin des plans de pose
Sur un plan de pose, on matérialise en premier les
éléments classiques de coffrage, soit :
Les murs porteurs,
Les poteaux,
Les poutres,
Les chaînages,
Les sommiers et
Les poutrelles du plancher, etc.
La représentation et la cotation des différents
éléments se fait comme indiqué dans les dessins
de coffrage.
211. P.I P.I
PT1. 20 x 30
1 2
PT3.
20
x
30
N1
25
365
20 410 20
A
A
7HA10 x 1.50
1 par poutrelle
Les dessins de ferraillage, des plans de pose
doivent comporter :
La représentation et le repérage des chapeaux
de rive,
212. La représentation et le repérage des chapeaux
de continuité.
P.I P.I
PT1. 20 x 30 PT1. 20 x 30
1 2
PT3.
20
x
30
25
365
20 410 20 413
7HA10 x 1.50
1 par poutrelle
7HA10 x 3.00
1 par poutrelle
213. • Les chapeaux (chapeaux de
continuité ou chapeaux de rive )
sont des éléments de ferraillage
placés aux jonctions
poteau/poutre pour prévenir les
effets de cisaillements.
214. La représentation des renforts (suivant la
spécificité de l’étude),
La représentation des panneaux de treillis
soudés pour la table de compression (ou dalle
de répartition)
Exemple : T.S.L 3,5 / 3,5 150 x 300 ou
T.S.H.A 4 / 3,5 200 x 300
215. 3 – Cotation des plans de pose (aspect coffrage)
a - Cotation brutes des distances entre appuis,
b - Cotation des épaisseurs de murs intérieurs et
extérieures
c - Cotation d’ensemble et des parties d’ensembles,
d - Cote de position des poutrelles (emplacement de
file d’étai),
e - Repérage des poutrelles suivant : leur nombre,
leur type et la longueur du béton (porté + appui)
f - Le sens de pose (flèche),
g - L’épaisseur du plancher (épaisseur d’entrevous ou
« hourdis » + épaisseur de dalle).
216.
217. Exemple de repérage de poutrelles
11 A 114 L = 4.20
Longueur du béton (portée + appui)
Type de poutrelle
• A = Repère
• 11 = hauteur de la poutrelle
• 4 = Nombre de fils (acier) de précontrainte
Nombre de poutrelle
218. Suivant leur repérage, leur nombre et leurs
longueurs, les poutrelles sont référencées dans
une nomenclature dite de nomenclature des
poutrelles.
REPERE NOMBRE LONGUEUR
entre appuis
LONGUEUR
de poutrelle
N1 12 4.80 4.85
N2 10 3.29 3.35
N3 4 2.12 2.20
219. 4 – Cotation des plans de pose (aspect ferraillage)
Les armatures dessinées et cotées sur
les plans de pose sont essentiellement :
Les armatures
des dalles de répartition,
1
Les armatures de renforts pour
chevêtres ou trémies.
2
224. 4
16
10
20
1 HA 8
1
6 HA 8 - e=20 cm
2 1 HA 8
60
Dalle de compression
Poutrelle
Entrevous
225. Les plans de pose sont
souvent accompagnés d’un
document de synthèse qui
comporte la nomenclature,
des poutrelles,
des entrevous (hourdis),
des aciers de renfort
les volumes de béton.
229. Les escaliers sont généralement droits ou balancés.
Ils sont représentés en plan et coupe(s) à l’échelle 1/50è
et en dessin détails à l’échelle 1/20è.
1 – TERMINOLOGIE des différentes parties
d’escalier; elle comprend :
Les marches : dessus horizontal avec ou sans nez
Les contremarches : paroi verticale « contre la marche »
Les emmarchements : largeurs d’escaliers
les paliers : de départ, d’arrivée et de repos (intermédiaire)
Les paillasse : porteuse d’épaisseur
Les volées : ensemble-marche-contremarche et paillasse
Les murs d’échiffre : bordures d’escaliers = appuis
Les trémies d’escaliers : ouverture réservé pour escalier
Les lignes de foulée: trajectoire suivie en prenant l’escalier
Les cages d’escalier : parties réservées aux escaliers.
231. 2 – DESSINS D’ESCALIERS
Sur les vues en plans
L’escalier est dessiné en plan suivant un plan
de coupe horizontal à 1.00 m du sol fini.
La coupe est réalisée au milieu de la 7è
contremarche; celle-ci est marquée par un trait
renforcé.
Si l’escalier comprend une seule volée, les
marches vues sont dessinées en trait moyen et
les marches situées au dessus du plan de coupe
en trait mixte fin.
234. Si l’escalier comprend plusieurs volées, les marches
vues et celles situés sous le plan de coupe, sont
représentées par le même trait continue fin.
d : marche de la volée coupée
e : 7è marche en trait mixte fin
f : marches de la volée inférieure
240. x
150
250
10
HA 12 - e=15 cm x
100
380
150
Cadre HA 6
x
Cadre HA6 - e=20 cm
x
2 HA 10
x
x 2 HA 12
x 2 HA 10
x 2 HA 12
x
HA10 - e=15 cm
2 HA 10 x
x 2 HA 12
Cadre HA6 - e=15 cm x
100
100
x HA 10 - e=20 cm
HA 10
x e=10 cm
HA 10
e=20 cm
x
HA 8 e=20 cm x
HA 10 e=20 cm x
e=20 cm
2 HA 12
x
2 HA 10 x
x
HA 10 - e=15cm
100
25
15
10
x
HA 10 - e=20 cm
x HA 12 - e=15 cm
100
355
10
15
HA 12 - e=20 cm
x
10 140 10
x Cadre HA6 - e=15 cm
HA 12 - e=20 cm
x
HA 14 - e=15 cm x
267
10
10
35
HA 12 - e=20 cm
DESSINS DE FERRAILLAGE
241. 1 – Escalier à
marche balancées
Ils comprennent des marches différentes entre elles, mais ayant la
même largeur de giron sur la ligne de foulée.
Option à 2
quartier
tournant
Option à 1
quartier
tournant
242. 2 – Escalier hélicoïdal
ou à vis
Ils comprennent des marches
fixées à un noyau central
(appelé également fût) qui se
développent en spirale.
Options de
formes
243. 3 – Escalier incurvé
Ils son incurvé
suivant un arc de
cercle ou une anse
245. Egalement appelé, calepin, récapitulatif,
quantitatif, bordereau d'acier, le cahier de ferraillage
est un document préparé par le bureau d'étude BA.
Il récapitule l'ensemble des caractéristiques des
armatures d'un ouvrage ou d'une partie d'ouvrage.
Il permet de spécifier et d'identifier toutes les
barres d'armature, ce qui facilite leur fabrication et
leur gestion.
Les longueurs données sur les schémas sont
celles hors tout.