"Cette robotisation a surtout permis des gains de productivité. On sort des produits moins chers, ce qui nous rend plus compétitifs, notamment à l'export. On a baissé nos prix de revient de 30 %!"
Le projet impot sur patrimoine passif (taxe sur l'actif net) sept 2018-1RobinSwitzerLand
fiscalité : favoriser les investissements à tres long terme et faire baisser le chomage en remplaçant l'IRPP, les taxes foncieres, les droits de succession par l'impôt sur le patrimoine passif IPP
Piscines Desjoyaux : aux sources du succes Pierre Durand
« Le pisciniste de la plaine du Forez a conquis la planète bleue à force d’audace et de savoir-faire. Forte de bientôt 55 ans d’existence, la société Desjoyaux est devenue le leader mondial de la piscine enterrée tout en demeurant une affaire familiale. Récit d’une aventure au long cours. »
Revenu de Base Inconditionnel initiative Suisse. Pour ou contre ?Mathieu Despont
Que serait votre vie si vous n'aviez plus à la gagner ?
Prochainement le peuple suisse devra choisir en votation s'il veut introduire un Revenu de Base Inconditionnel.
C'est une somme d'argent versé à toute personne vivant en suisse, sans aucune contrepartie, juste pour le fait de vivre.
Au premier abord, chacun se dit que c'est une idée folle. Que ça ne peut pas fonctionner:
- Plus personne ne travaillera...
- Qui fera les sales boulots ?
Quand on le connait mieux, le Revenu de Base Inconditionnel se révèle un véritable couteau suisse, un outil aux multiples facettes pour surmonter les multiples crises (écologique, économique, financière, de sens, etc...) auxquelles notre société doit faire face.
Venez apprendre comment il peut diminuer les coûts de la santé, donner aux femmes plus d'autonomie, favoriser les études et les reconversions professionnelles, libérer la créativité de chacun(e) d'entre nous, que ce soit une créativité artistique ou entrepreneuriale, et bien d'autres choses encore...
Le projet impot sur patrimoine passif (taxe sur l'actif net) sept 2018-1RobinSwitzerLand
fiscalité : favoriser les investissements à tres long terme et faire baisser le chomage en remplaçant l'IRPP, les taxes foncieres, les droits de succession par l'impôt sur le patrimoine passif IPP
Piscines Desjoyaux : aux sources du succes Pierre Durand
« Le pisciniste de la plaine du Forez a conquis la planète bleue à force d’audace et de savoir-faire. Forte de bientôt 55 ans d’existence, la société Desjoyaux est devenue le leader mondial de la piscine enterrée tout en demeurant une affaire familiale. Récit d’une aventure au long cours. »
Revenu de Base Inconditionnel initiative Suisse. Pour ou contre ?Mathieu Despont
Que serait votre vie si vous n'aviez plus à la gagner ?
Prochainement le peuple suisse devra choisir en votation s'il veut introduire un Revenu de Base Inconditionnel.
C'est une somme d'argent versé à toute personne vivant en suisse, sans aucune contrepartie, juste pour le fait de vivre.
Au premier abord, chacun se dit que c'est une idée folle. Que ça ne peut pas fonctionner:
- Plus personne ne travaillera...
- Qui fera les sales boulots ?
Quand on le connait mieux, le Revenu de Base Inconditionnel se révèle un véritable couteau suisse, un outil aux multiples facettes pour surmonter les multiples crises (écologique, économique, financière, de sens, etc...) auxquelles notre société doit faire face.
Venez apprendre comment il peut diminuer les coûts de la santé, donner aux femmes plus d'autonomie, favoriser les études et les reconversions professionnelles, libérer la créativité de chacun(e) d'entre nous, que ce soit une créativité artistique ou entrepreneuriale, et bien d'autres choses encore...
Slides et notes utilisés par Koen De Leus, chief economist de la BNP Paribas Fortis lors de sa conférence au Forum financier de Charleroi, le 3 octobre 2017
Discours de Pierre-Antoine Gailly, Président de la Chambre de commerce et d'industrie Paris Ile-de-France, à l'attention du Premier ministre, M. Manuel Valls, à l'Université d'Eté du MEDEF, le 27 août 2014.
Quel type de management sera adopté demain? En fait, la question, c'est quelle sera la répartition par secteurs et par régions du monde des managements écrasants, néotaylorien, top-down et des managements respectant l'homme, sa dignité, lui faisant confiance et respectant aussi l'ensemble de sparties prenantes. De l'équilibre entre ces deux options opposées dépendra l'évolution du monde. Car la première option, favorable à l'enrichissement de quelques-uns, dans une optique de court-terme, conduit à des catastrophes sur tous les plans, nous commençons à les vivres. alors qu'il est prouvé que les stratégies de long terme se révèlent sur la durée profitables pour TOUTES les parties prenantes, actionnaires et boursicoteurs y compris!
Parmi les nombreuses et intéressantes conférences dispensées dans le cadre du salon Industrie Paris 2014 qui s’est déroulé du 31 mars au 4 avril 2014 à Paris Nord Villepinte, la présentation de José Gramdi, enseignant-chercheur à l’Université de technologie de Troyes (UTT), a particulièrement passionné l’auditoire. Et pour cause : M. Gramdi va à l’encontre de la pensée dominante dans le monde de l’entreprise et l’industrie qui place la réduction des coûts de revient au rang de Graal absolu. Or, selon le conférencier, ce modèle issu des Trentes Glorieures ne fonctionne plus. Pire, il nous envoie tout droit dans le mur. Il existe pourtant d’autres alternatives à la délocalisation...
Le 1er juin 2010, la Fondation iFRAP a organisé, en partenariat avec la Fondation Concorde et CroissancePlus, un colloque à Bercy placé sous le haut patronage de Christine Lagarde, ministre de l'Économie.
Objectif du colloque : dégager des propositions pour « Reconstruire notre économie ».
À l’aube des années 2020, les filières continuent d’être mobilisées en France comme des outils de politique industrielle, que ce soit par exemple pour faire face aux difficultés d’approvisionnement suite à l’épidémie de la Covid-19 ou encore pour favoriser la rénovation thermique des bâtiments au niveau local.
Cet ouvrage analyse les engagements et les pratiques des industriels afin de réfléchir aux filières à favoriser, à la clarification du rôle de l’État et aux freins à la coopération entre acteurs. La parole est donnée aux industriels qui ont investi dans quatre filières définies par le Conseil national de l’industrie (automobile, nouveaux systèmes énergétiques, transformation et valorisation des déchets, mode et luxe) ainsi que dans deux filières en-dehors du périmètre du CNI : la filière européenne des batteries pour l’automobile et la filière de la lunetterie du Jura.
Ce Doc de La Fabrique propose des pistes pour une mise en adéquation possible des ambitions stratégiques de l’État, des contraintes des industriels et des enjeux de territoires. Il s’adresse notamment aux industriels et aux décideurs publics qui souhaitent s’engager dans les filières de demain.
Décroissance ou sobriété ? Non, prospérité !Pierre TARISSI
Examen critique des concepts de "décroissance" et de "sobriété" au regard des besoins de l'humanité prospère du XXIe siècle et suivants.
Lien vers d'autres documents plus détaillés et sourcés.
Situation en août 2022
EcoWizz, consommation électrique maîtrisée et responsable - Michael Dupertuis...Rezonance
Présentation de Michael Dupertuis (Georoco) lors de la conférence First Rezonance "Éduque ta maison! La domotique au service du développement durable" le 25 octobre 2012 au CSEM de Neuchâtel
Slides et notes utilisés par Koen De Leus, chief economist de la BNP Paribas Fortis lors de sa conférence au Forum financier de Charleroi, le 3 octobre 2017
Discours de Pierre-Antoine Gailly, Président de la Chambre de commerce et d'industrie Paris Ile-de-France, à l'attention du Premier ministre, M. Manuel Valls, à l'Université d'Eté du MEDEF, le 27 août 2014.
Quel type de management sera adopté demain? En fait, la question, c'est quelle sera la répartition par secteurs et par régions du monde des managements écrasants, néotaylorien, top-down et des managements respectant l'homme, sa dignité, lui faisant confiance et respectant aussi l'ensemble de sparties prenantes. De l'équilibre entre ces deux options opposées dépendra l'évolution du monde. Car la première option, favorable à l'enrichissement de quelques-uns, dans une optique de court-terme, conduit à des catastrophes sur tous les plans, nous commençons à les vivres. alors qu'il est prouvé que les stratégies de long terme se révèlent sur la durée profitables pour TOUTES les parties prenantes, actionnaires et boursicoteurs y compris!
Parmi les nombreuses et intéressantes conférences dispensées dans le cadre du salon Industrie Paris 2014 qui s’est déroulé du 31 mars au 4 avril 2014 à Paris Nord Villepinte, la présentation de José Gramdi, enseignant-chercheur à l’Université de technologie de Troyes (UTT), a particulièrement passionné l’auditoire. Et pour cause : M. Gramdi va à l’encontre de la pensée dominante dans le monde de l’entreprise et l’industrie qui place la réduction des coûts de revient au rang de Graal absolu. Or, selon le conférencier, ce modèle issu des Trentes Glorieures ne fonctionne plus. Pire, il nous envoie tout droit dans le mur. Il existe pourtant d’autres alternatives à la délocalisation...
Le 1er juin 2010, la Fondation iFRAP a organisé, en partenariat avec la Fondation Concorde et CroissancePlus, un colloque à Bercy placé sous le haut patronage de Christine Lagarde, ministre de l'Économie.
Objectif du colloque : dégager des propositions pour « Reconstruire notre économie ».
À l’aube des années 2020, les filières continuent d’être mobilisées en France comme des outils de politique industrielle, que ce soit par exemple pour faire face aux difficultés d’approvisionnement suite à l’épidémie de la Covid-19 ou encore pour favoriser la rénovation thermique des bâtiments au niveau local.
Cet ouvrage analyse les engagements et les pratiques des industriels afin de réfléchir aux filières à favoriser, à la clarification du rôle de l’État et aux freins à la coopération entre acteurs. La parole est donnée aux industriels qui ont investi dans quatre filières définies par le Conseil national de l’industrie (automobile, nouveaux systèmes énergétiques, transformation et valorisation des déchets, mode et luxe) ainsi que dans deux filières en-dehors du périmètre du CNI : la filière européenne des batteries pour l’automobile et la filière de la lunetterie du Jura.
Ce Doc de La Fabrique propose des pistes pour une mise en adéquation possible des ambitions stratégiques de l’État, des contraintes des industriels et des enjeux de territoires. Il s’adresse notamment aux industriels et aux décideurs publics qui souhaitent s’engager dans les filières de demain.
Décroissance ou sobriété ? Non, prospérité !Pierre TARISSI
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Pools : Jean-Louis Desjoyaux prepares for his successionPierre Durand
The CEO of the leading French family-owned inground pool company is about to revise his shareholding plan as a way of passing on the reins to his son, Nicolas.
Desjoyaux plonge dans le grand bain de l'international Pierre Durand
Cap sur les Etats-Unis, le Brésil, le Portugal, l'Espagne, l'Italie, l'Allemagne et la Chine! Avec cette fois-ci une tactique bien huilée. Dans ces pays jugés stratégiques (les Etats-Unis et le Brésil figurent parmi les premiers marchés pour les piscines), Desjoyaux ouvre ses filiales, détenues en propre, pour recruter un maximum de concessionnaires
Desjoyaux dives into the deep end of the international marketPierre Durand
DesjoyauxPools, a leading French pool manufacturer, is expanding its international business through subsidiaries and importers in over 80 countries. Having previously relied on partners in select countries, DesjoyauxPools is now directly opening subsidiaries in strategic markets like the US and Brazil to recruit more dealers. In other markets where direct access is difficult, DesjoyauxPools will use exclusive importers responsible for finding franchisees with capital and strong relationship skills. The company aims to open 100 new international stores in the next 4 years while leveraging its French manufacturing and innovative pool designs.
Le marche nage en eaux vives avec un ca de 91 millionsPierre Durand
DESJOYAUX, LE LEADER DU MARCHÉ DE LA PISCINE, A VU SON CHIFFRE PROGRESSER DE 2,43 % AVEC UN CHIFFRE D'AFFAIRES CONSOLIDÉ AU TITRE DE L'EXERCICE 2018 QUI S'ÉLÈVE À 91,9 M€, CONTRE 89,7 M€ EN 2017. JEAN-LOUIS DESJOYAUX NOUS DRESSE SES PERSPECTIVES.
A surging market with a €91.9M turnoverPierre Durand
DESJOYAUX, LEADER OF THE SWIMMING POOL MARKET, HAS SEEN ITS TURNOVER RISE 2.43 %, WITH A CONSOLIDATED TURNOVER FOR THE 2018 TAX YEAR STANDING AT €91.9M COMPARED TO €89,7M IN 2017. JEAN-LOUIS DESJOYAUX GIVES US HIS TAKE ON THE SITUATION.
A surging market with a €91.9M turnoverPierre Durand
DESJOYAUX, LEADER OF THE SWIMMING POOL MARKET, HAS SEEN ITS TURNOVER RISE 2.43 %, WITH A CONSOLIDATED TURNOVER FOR THE 2018 TAX YEAR STANDING AT €91.9M COMPARED TO €89,7M IN 2017. JEAN-LOUIS DESJOYAUX GIVES US HIS TAKE ON THE SITUATION
4 questions à Sébastien Vial : Responsable atelier Panneaux 4 questions put t...Pierre Durand
Comment l'expertise de Sébastien Vial l'a progressivement amené vers une nouvelle fonction de responsable de l'atelier panneaux ?
How the expertise of Sébastien Vial progressively led him to assume a new position of panels Workshop Manager
4 questions à Sébastien Vial : Responsable atelier Panneaux 4 questions put t...
"la robotisation a sauvé mon entreprise" Jean Louis Desjoyaux
1. La Robotisation a sauvé mon entreprise « Jean Louis Desjoyaux
Comment avez-vous survécu à la fameuse crise de 2008 ?
Jean-Louis Desjoyaux : Ça n’a pas été facile. D’abord, il faut signaler que cette crise a été
d’une violence sans précédent pour nous. En 2007, on réalisait 100 millions d’euros de
chiffre d’affaires avec 15 000 piscines. On est passé en 5 ans à 68 millions d’euros de chiffre
d’affaires pour seulement 6 500 bassins.
Aujourd’hui, votre chiffre d’affaires est revenu à 82 millions d’euros, comment avez-vous
réussi cette performance ?
Juste avant la crise, en 2007, on avait investi massivement, soit près de 50 millions d’euros,
dans notre outil de production pour être capables de produire 25 000 piscines. Et on a
largement robotisé nos lignes de production. C’est en partie ce qui nous a permis de
redémarrer avec un site ultra-performant.
Et au passage, vous avez forcément licencié des dizaines de salariés pour faire des
économies …
Pas du tout. On n’a pas fait de licenciements, ni même de chômage technique. D’abord, on
n’est jamais descendu en dessous de 2 millions de résultat après impôts. Ensuite, on a
transformé les métiers grâce à la formation. On reste une cinquantaine de salariés en
2. production pour 200 personnes sur notre site de la Fouillouse dans la Loire. On fait travailler
près de 5 000 personnes dans le monde.
Donc les robots n’ont pas supprimé d’emplois chez vous ?
Non, je dirais même qu’ils ont sauvé l’entreprise donc des emplois. Cette robotisation a
surtout permis des gains de productivité. On sort des produits moins chers, ce qui nous rend
plus compétitifs, notamment à l’export. On a baissé nos prix de revient de 30% grâce à
l’ensemble des investissements ! On a aussi réintégré des process qu’on avait externalisés.
On fait des dizaines de choses nouvelles grâce aux robots.
Mais vous n’avez pas regretté cet investissement énorme en prenant la crise de plein
fouet ?
Si je vous disais qu’on n’a pas eu peur, ça serait faux. On voyait les années s’enchaîner, de
pire en pire. On se demandait comment ça allait se finir. De plus, on voyait une nouvelle
concurrence se développer : celle des petits maçons qui n’avaient plus de boulot par la sous-
traitance. Il y avait aussi ces fameuses coques au prix très agressif, qu’on voit au bord des
routes dans le Midi. Bref, il y a deux ans, j’ai décidé de réagir.
Comment avez-vous réagi ?
On était en février et on allait encore perdre 2 millions d’euros de chiffre d’affaires … J’ai pris
la décision de concevoir et de construire une piscine à un prix d’appel. Ça n’a pas été facile
car ça ne faisait pas l’unanimité dans ma famille. J’ai lancé une grande campagne de
communication à la télé et à notre grande surprise, on a fait exploser les compteurs.
D’autant qu’il y a eu une mini canicule, ça aide !
Comment avez-vous mis au point cette piscine low-cost ?
C’est notre culture. Desjoyaux a été un des précurseurs de la démocratisation de la piscine
en France. On a tellement standardisé et fait baisser les prix de revient qu’on a réussi à tenir
ce prix. De plus, on fabrique tout. On part de déchets ménagers pour concevoir et réaliser
toute la piscine. On produit tous les composants : la pompe, le projecteur … L’effet volume
permet de baisser les prix.
Extrait de MAG2Lyon – Maud Guillot