Un résumé sur le marketing prédictif et une revue de presse qui ouvre à la fois sur l'implication des marques françaises, et interroge sur un côté obscur de la force
RCG proposes a Big Data Proof of Concept (PoC) to demonstrate the business value of analyzing a client's data using Big Data technologies. The PoC involves:
1) Defining a business problem and objectives in a workshop with client.
2) The client collecting and anonymizing relevant data.
3) RCG loading the data into their Big Data lab and analyzing it using Big Data technologies.
4) RCG producing results, insights, and recommendations for applying Big Data and taking business actions.
The PoC requires no investment from the client and provides an opportunity to explore Big Data analytics without committing resources.
Le marketing prédictif : donner du sens aux données et en tirer des insights ...NP6
Comment tirer des insights opérationnels du marketing prédictif ? De quelles data ai-je besoin ? Quel algorithme prédictif pour quel usage (réduire l’attrition, optimiser la conversion, stratégie optimale up-selling et cross-selling,…) ? Découvrez les meilleures pratiques du data marketing au service de votre stratégie digitale.
Présentation issue de la conférence animée par Laurent Garnier, Directeur Délivrabilité et Succès Client chez NP6, et Cédric Hervet, Directeur en Recherche Opérationnelle de SOCIO Logiciels (groupe NP6), au salon E-commerce Paris 2015.
BIO 3.0 : une stratégie prospective pour une croissance intelligente, durable...Sonia Eyaan
A l'occasion des Bio'NDays d'Organics Cluster qui se sont déroulés le 16 et 17 avril 2014 à Valence, nous allons voir comment la filière Bio peut exploiter pleinement le potentiel de la révolution numérique et des mutations socio-économiques.
http://www.biondays.com/index.php/fr/
RCG proposes a Big Data Proof of Concept (PoC) to demonstrate the business value of analyzing a client's data using Big Data technologies. The PoC involves:
1) Defining a business problem and objectives in a workshop with client.
2) The client collecting and anonymizing relevant data.
3) RCG loading the data into their Big Data lab and analyzing it using Big Data technologies.
4) RCG producing results, insights, and recommendations for applying Big Data and taking business actions.
The PoC requires no investment from the client and provides an opportunity to explore Big Data analytics without committing resources.
Le marketing prédictif : donner du sens aux données et en tirer des insights ...NP6
Comment tirer des insights opérationnels du marketing prédictif ? De quelles data ai-je besoin ? Quel algorithme prédictif pour quel usage (réduire l’attrition, optimiser la conversion, stratégie optimale up-selling et cross-selling,…) ? Découvrez les meilleures pratiques du data marketing au service de votre stratégie digitale.
Présentation issue de la conférence animée par Laurent Garnier, Directeur Délivrabilité et Succès Client chez NP6, et Cédric Hervet, Directeur en Recherche Opérationnelle de SOCIO Logiciels (groupe NP6), au salon E-commerce Paris 2015.
BIO 3.0 : une stratégie prospective pour une croissance intelligente, durable...Sonia Eyaan
A l'occasion des Bio'NDays d'Organics Cluster qui se sont déroulés le 16 et 17 avril 2014 à Valence, nous allons voir comment la filière Bio peut exploiter pleinement le potentiel de la révolution numérique et des mutations socio-économiques.
http://www.biondays.com/index.php/fr/
La vie quantifiée - Publication Kamitis avril 2014KAMITIS
Ce numéro aborde le monde des objets et des lieux augmentés. Autrement dit, le secteur des objets connectés et des villes intelligentes dont le développement se fait grâce au croisement et au traitement des données récoltées partout sur le terrain. Des "smart cities" ou "senseable cities", capables de percevoir et de penser, seront conçues pour rendre la vie plus aisée, plus saine et plus productive. Leur déploiement prochain n’est plus un élément de l’horizon imaginaire mais bien de celui des possibles. La question n’est donc plus de savoir dans quelle mesure ces concepts fondés sur les innovations technologiques sont réalisables mais plutôt d’anticiper leur mise en oeuvre dans nos villes.
Nos experts nous invitent aujourd’hui à un voyage au coeur d’une réalité améliorée et augmentée. Un monde connecté où tout peut être quantifié et qualifié :
JEAN-MICHEL GOIRAN, LETI/DIR Corporate Business Development IoT, nous explique le positionnement du CEA sur l’internet des objets ;
PIERRICK THEBAULT, chercheur au MIT (Massachusetts Institute of Technology) et spécialiste de l’informatique ubiquitaire et de l’internet des objets, nous présente ses recherches concernant les objets et les villes du futur ;
VALERIE ISSARNY, directrice de recherche à l’Inria Paris-Roquencourt, nous décrit les efforts entrepris pour la conception et le développement de la ville intelligente ;
SIMON RICHIR, Professeur aux Arts et Métiers ParisTech d'Angers-Laval et directeur scientifique de Laval Virtual, nous parle de la réalité augmentée et des perspective d’un futur en relief ;
Enfin, FRANCIS JAUREGUIBERRY, Directeur du laboratoire SET (Société Environnement Territoire), nous propose une lecture fine et nuancée des nouveaux usages que nous faisons des technologies de la communication et de la connexion. Il nous invite à réfléchir sur les interactions à distances et la réciprocité dans la communication à travers des objets, outils ou dispositifs techniques innovants.
Les données sont au cœur des discussions actuelles, leurs collectes, leurs propriétés, leurs traitements, leurs utilisations… Elles représentent un enjeu majeur pour les entreprises et les pays !
- Qu'est ce que le big data ?
- Exemples d'utilisation
- Le web, l'open data et le web sémantique
- Les algorithmes
- Qu’est ce que ce la change concrètement ?
- Notre projet square predict
L'intelligence Artificielle au service du marketingAaron Besnainou
L’étude a pour but d’aborder avec une approche holistique la relation entre nous-mêmes et les systèmes de performances fondés sur les bases de données que nous générons.
Ce mémoire traite d’un fait sociétal en vue de servir de préambule à des supports de recherche stratégiques ainsi qu’à tous les acteurs souhaitant implémenter, à leur rythme, l’intelligence artificielle au sein de leur stratégie marketing. Afin de mener à bien la rédaction de ce mémoire, je me suis inspiré de différents articles, courants de pensée et idées (futurologues, sociologues, Théoriciens experts en IA etc.…) qui m’ont aidé à relater certains faits, mais également à soutenir les opinions que j’évoquerai au sein de ce travail de recherche.
Nous avons encore peu de recul suite à la recense de ce sujet sociétal, j’ai donc pensé plus judicieux d’établir la rédaction d’une étude descriptive.
Du fait que les données relatives à cette problématique, connaissant une croissance ultra exponentielle,
Il était donc moins intéressant de faire une étude quantitative, à défaut que ma recherche ne devienne rapidement obsolète…
Pour la rédaction de ce travail, je me suis appuyé sur différents travaux de recherches d’autres chercheurs et professeurs ; certains ont été traduits et reformulés pour une meilleure compréhension et adaptation à la problématique.
Cette étude permettra de mieux appréhender et d’anticiper les mutations économiques, sociales, culturelles auxquelles nous allons assister du fait de l’évolution du marketing appuyé par l’IA et des influences et modifications contextuelles que ces éléments divergeant génèrent.
Notons que nous passons d’un environnement qui était, jusqu’à présent, politique et économique à une dimension qui devient majoritairement scientifique et numérique. Il y a de grandes problématiques à résoudre en matière d’éthique, de philosophie de la machine. Il y a également des problématiques sérieuses de réformes en matière d’éducation, et surtout en Europe…
Au sein de ce mémoire, j’adapte une méthode de recherche scientifique, découlant sur une vision des aspects sociaux économiques relatifs à mon sujet. J’évoque ma vision axée sur des faits tangibles et scientifiques ainsi que sur mon anticipation du futur. (Au sein de ce travail de recherche les citations entre guillemets sans auteur proviennent de moi)
« Nous ne savons pas où nous allons, mais du moins il nous reste bien des choses à faire. » — Alan Turing
Bpifrance le lab le numerique deroutant acte 2Bpifrance
La première étape de la révolution numérique a vu la digitalisation et la « plateformisation » de l’économie avec l’émergence de géants numériques qui « uberisent » de nombreux secteurs de l’économie. Aujourd’hui se dessine une deuxième étape remettant en cause tous les modèles existants. La combinaison de deux technologies révolutionnaires qui arrivent à maturité – la blockchain et l’intelligence artificielle (IA) – permet « d’uberiser » à leur tour ces mêmes plateformes. Pour toutes les entreprises qui auraient perdu la première manche de « l’ubérisation » de l’économie, s’ouvrent de nombreuses possibilités pour prendre leur revanche. Cet ouvrage a pour objectif de lever les incompréhensions et les craintes des dirigeants de PME-ETI face à ces technologies en apparence complexes mais qui pourraient devenir à court terme des relais de croissance durable et des outils de différenciation à portée de main.
Magellan Partners - Valoriser l’expérience client et augmenter la rentabilité...Magellan Consulting
Les premiers signes d’activité bancaire datent de 2000 avant JC, avant même l’apparition de la monnaie : des commerçants mésopotamiens reçoivent des biens précieux en dépôts et octroient des crédits sur la base de ces mêmes biens. Ces échanges commerciaux asynchrones étaient retranscrits grâce à des inscriptions cunéiformes sur des tablettes d’argile, qu’il fallait produire, archiver et analyser lorsque les engagements arrivaient à échéance. Il y a 4 millénaires, le destin de la banque était déjà lié à celui de la donnée. Depuis quelques années, les enjeux des données pour la banque ont investi une nouvelle dimension : ces données seraient une source inépuisable de développement de l’activité et d’optimisation des coûts. Leur utilisation serait même la solution à l’ensemble des défis que rencontre le secteur bancaire :
• Pour personnaliser les services rendus au client, • Pour développer de nouveaux produits et services, • Pour gagner en performance dans l’octroi des crédits, • Pour détecter la fraude et protéger tant le client que l’établissement, • Pour contrer les offensives commerciales des FinTechs, redoutables nouveaux concurrents, • Pour répondre aux besoins d’information exprimés par les régulateurs…
Après un tour d’horizon de ces nouvelles potentialités, ce numéro d’iMAGine propose des éléments de réflexion autour des aspects les plus fondamentaux de l’exploitation des données :
n Quelles en sont les limites ? Est-ce que le client consentira à ce que la banque utilise ses données comme il autorise les GAFA à le faire ? n Comment définir les initiatives à mener dans une banque ? Comment les mettre en place et via quelles technologies possibles? n Quel principe d’investissement peut être envisagé pour se lancer? n La qualité et la sécurité de ces données sont-elles des contraintes ou des opportunités ? n Comment passer d’une idée à une industrialisation ?
Si la donnée est indéniablement le pétrole du XXIe siècle, le chemin jusqu’à une extraction performante, un raffinage efficace et une distribution pertinente est encore long. Les consultants et experts du groupe Magellan Partners sauront vous accompagner sur chacune de ces étapes.
Compte-rendu - " Robots, Internet des objets et Intelligence Artificielle dan...Chaire_Retailing 4.0
Retrouvez le compte-rendu exhaustif du Petit-Déjeuner du Commerce 4.0. du 6 décembre 2017, organisé par la Chaire E.Leclerc / ESCP Europe "Prospective du Commerce dans la Société 4.0."
Chaque année, "Orange Jobs" vous propose de retrouver toutes les infos utiles du recrutement chez Orange.
Pour en savoir plus sur nos jobs : orange.jobs
Club des Explorateurs du Futur d'@Ylios - L'impact de l'IA sur les métiers 19...alexia2015
Dans son "Club des Explorateurs du Futur" Ylios a débattu des impacts de l'Intelligence Artificielle sur nos métiers avec Stéphanie Hajjar, Jean-Claude Heudin et Reynald Chapuis
Phygital : Comment tirer profit des technologies data et digitales ?
L’arrivée à maturité du digital et du Big Data, doublée d’une volonté d’optimiser le potentiel des réseaux physiques, permet d’offrir des services innovants, un nouveau parcours client omnicanal et de développer de nouveaux leviers de croissance.
Quelles sont ces technologies et leur apport ? Comment le Big Data participe au renouveau des réseaux physiques et à la différenciation des marques ? Comment la puissance du Web s’applique-t-elle au Off line, et contribue-t-elle à son renforcement ?
Les innovations technologiques (objets connectés, chatbot, geofencing, capteurs, store tracking ...) couplées aux technologies matures (Clienteling, bornes, beacons…) permettent d’augmenter la fréquence de recueil et la quantité d’informations.
Les méthodes de Data Science et l’utilisation de solutions de Big Data transforment ces données en connaissance actionnable pour optimiser l’expérience utilisateur (anticipation des files d’attente, paiement facilité, …), proposer des opérations marketing mutualisées on et off line (valorisation d’offres ou services en real time) et améliorer le time to market.
La multiplicité de ces « capteurs » et la puissance d’analyse ouvrent de nouveaux horizons dans de nombreux secteurs tels que la banque, le retail, la santé ou l’énergie, en BtoC et en BtoB.
Au travers de uses cases, ce séminaire vise à présenter ces innovations digitales et data, leur valeur ajoutée, leur complémentarité avec le online puis à partager les facteurs de réussite de ces nouveaux projets.
La vie quantifiée - Publication Kamitis avril 2014KAMITIS
Ce numéro aborde le monde des objets et des lieux augmentés. Autrement dit, le secteur des objets connectés et des villes intelligentes dont le développement se fait grâce au croisement et au traitement des données récoltées partout sur le terrain. Des "smart cities" ou "senseable cities", capables de percevoir et de penser, seront conçues pour rendre la vie plus aisée, plus saine et plus productive. Leur déploiement prochain n’est plus un élément de l’horizon imaginaire mais bien de celui des possibles. La question n’est donc plus de savoir dans quelle mesure ces concepts fondés sur les innovations technologiques sont réalisables mais plutôt d’anticiper leur mise en oeuvre dans nos villes.
Nos experts nous invitent aujourd’hui à un voyage au coeur d’une réalité améliorée et augmentée. Un monde connecté où tout peut être quantifié et qualifié :
JEAN-MICHEL GOIRAN, LETI/DIR Corporate Business Development IoT, nous explique le positionnement du CEA sur l’internet des objets ;
PIERRICK THEBAULT, chercheur au MIT (Massachusetts Institute of Technology) et spécialiste de l’informatique ubiquitaire et de l’internet des objets, nous présente ses recherches concernant les objets et les villes du futur ;
VALERIE ISSARNY, directrice de recherche à l’Inria Paris-Roquencourt, nous décrit les efforts entrepris pour la conception et le développement de la ville intelligente ;
SIMON RICHIR, Professeur aux Arts et Métiers ParisTech d'Angers-Laval et directeur scientifique de Laval Virtual, nous parle de la réalité augmentée et des perspective d’un futur en relief ;
Enfin, FRANCIS JAUREGUIBERRY, Directeur du laboratoire SET (Société Environnement Territoire), nous propose une lecture fine et nuancée des nouveaux usages que nous faisons des technologies de la communication et de la connexion. Il nous invite à réfléchir sur les interactions à distances et la réciprocité dans la communication à travers des objets, outils ou dispositifs techniques innovants.
Les données sont au cœur des discussions actuelles, leurs collectes, leurs propriétés, leurs traitements, leurs utilisations… Elles représentent un enjeu majeur pour les entreprises et les pays !
- Qu'est ce que le big data ?
- Exemples d'utilisation
- Le web, l'open data et le web sémantique
- Les algorithmes
- Qu’est ce que ce la change concrètement ?
- Notre projet square predict
L'intelligence Artificielle au service du marketingAaron Besnainou
L’étude a pour but d’aborder avec une approche holistique la relation entre nous-mêmes et les systèmes de performances fondés sur les bases de données que nous générons.
Ce mémoire traite d’un fait sociétal en vue de servir de préambule à des supports de recherche stratégiques ainsi qu’à tous les acteurs souhaitant implémenter, à leur rythme, l’intelligence artificielle au sein de leur stratégie marketing. Afin de mener à bien la rédaction de ce mémoire, je me suis inspiré de différents articles, courants de pensée et idées (futurologues, sociologues, Théoriciens experts en IA etc.…) qui m’ont aidé à relater certains faits, mais également à soutenir les opinions que j’évoquerai au sein de ce travail de recherche.
Nous avons encore peu de recul suite à la recense de ce sujet sociétal, j’ai donc pensé plus judicieux d’établir la rédaction d’une étude descriptive.
Du fait que les données relatives à cette problématique, connaissant une croissance ultra exponentielle,
Il était donc moins intéressant de faire une étude quantitative, à défaut que ma recherche ne devienne rapidement obsolète…
Pour la rédaction de ce travail, je me suis appuyé sur différents travaux de recherches d’autres chercheurs et professeurs ; certains ont été traduits et reformulés pour une meilleure compréhension et adaptation à la problématique.
Cette étude permettra de mieux appréhender et d’anticiper les mutations économiques, sociales, culturelles auxquelles nous allons assister du fait de l’évolution du marketing appuyé par l’IA et des influences et modifications contextuelles que ces éléments divergeant génèrent.
Notons que nous passons d’un environnement qui était, jusqu’à présent, politique et économique à une dimension qui devient majoritairement scientifique et numérique. Il y a de grandes problématiques à résoudre en matière d’éthique, de philosophie de la machine. Il y a également des problématiques sérieuses de réformes en matière d’éducation, et surtout en Europe…
Au sein de ce mémoire, j’adapte une méthode de recherche scientifique, découlant sur une vision des aspects sociaux économiques relatifs à mon sujet. J’évoque ma vision axée sur des faits tangibles et scientifiques ainsi que sur mon anticipation du futur. (Au sein de ce travail de recherche les citations entre guillemets sans auteur proviennent de moi)
« Nous ne savons pas où nous allons, mais du moins il nous reste bien des choses à faire. » — Alan Turing
Bpifrance le lab le numerique deroutant acte 2Bpifrance
La première étape de la révolution numérique a vu la digitalisation et la « plateformisation » de l’économie avec l’émergence de géants numériques qui « uberisent » de nombreux secteurs de l’économie. Aujourd’hui se dessine une deuxième étape remettant en cause tous les modèles existants. La combinaison de deux technologies révolutionnaires qui arrivent à maturité – la blockchain et l’intelligence artificielle (IA) – permet « d’uberiser » à leur tour ces mêmes plateformes. Pour toutes les entreprises qui auraient perdu la première manche de « l’ubérisation » de l’économie, s’ouvrent de nombreuses possibilités pour prendre leur revanche. Cet ouvrage a pour objectif de lever les incompréhensions et les craintes des dirigeants de PME-ETI face à ces technologies en apparence complexes mais qui pourraient devenir à court terme des relais de croissance durable et des outils de différenciation à portée de main.
Magellan Partners - Valoriser l’expérience client et augmenter la rentabilité...Magellan Consulting
Les premiers signes d’activité bancaire datent de 2000 avant JC, avant même l’apparition de la monnaie : des commerçants mésopotamiens reçoivent des biens précieux en dépôts et octroient des crédits sur la base de ces mêmes biens. Ces échanges commerciaux asynchrones étaient retranscrits grâce à des inscriptions cunéiformes sur des tablettes d’argile, qu’il fallait produire, archiver et analyser lorsque les engagements arrivaient à échéance. Il y a 4 millénaires, le destin de la banque était déjà lié à celui de la donnée. Depuis quelques années, les enjeux des données pour la banque ont investi une nouvelle dimension : ces données seraient une source inépuisable de développement de l’activité et d’optimisation des coûts. Leur utilisation serait même la solution à l’ensemble des défis que rencontre le secteur bancaire :
• Pour personnaliser les services rendus au client, • Pour développer de nouveaux produits et services, • Pour gagner en performance dans l’octroi des crédits, • Pour détecter la fraude et protéger tant le client que l’établissement, • Pour contrer les offensives commerciales des FinTechs, redoutables nouveaux concurrents, • Pour répondre aux besoins d’information exprimés par les régulateurs…
Après un tour d’horizon de ces nouvelles potentialités, ce numéro d’iMAGine propose des éléments de réflexion autour des aspects les plus fondamentaux de l’exploitation des données :
n Quelles en sont les limites ? Est-ce que le client consentira à ce que la banque utilise ses données comme il autorise les GAFA à le faire ? n Comment définir les initiatives à mener dans une banque ? Comment les mettre en place et via quelles technologies possibles? n Quel principe d’investissement peut être envisagé pour se lancer? n La qualité et la sécurité de ces données sont-elles des contraintes ou des opportunités ? n Comment passer d’une idée à une industrialisation ?
Si la donnée est indéniablement le pétrole du XXIe siècle, le chemin jusqu’à une extraction performante, un raffinage efficace et une distribution pertinente est encore long. Les consultants et experts du groupe Magellan Partners sauront vous accompagner sur chacune de ces étapes.
Compte-rendu - " Robots, Internet des objets et Intelligence Artificielle dan...Chaire_Retailing 4.0
Retrouvez le compte-rendu exhaustif du Petit-Déjeuner du Commerce 4.0. du 6 décembre 2017, organisé par la Chaire E.Leclerc / ESCP Europe "Prospective du Commerce dans la Société 4.0."
Chaque année, "Orange Jobs" vous propose de retrouver toutes les infos utiles du recrutement chez Orange.
Pour en savoir plus sur nos jobs : orange.jobs
Club des Explorateurs du Futur d'@Ylios - L'impact de l'IA sur les métiers 19...alexia2015
Dans son "Club des Explorateurs du Futur" Ylios a débattu des impacts de l'Intelligence Artificielle sur nos métiers avec Stéphanie Hajjar, Jean-Claude Heudin et Reynald Chapuis
Phygital : Comment tirer profit des technologies data et digitales ?
L’arrivée à maturité du digital et du Big Data, doublée d’une volonté d’optimiser le potentiel des réseaux physiques, permet d’offrir des services innovants, un nouveau parcours client omnicanal et de développer de nouveaux leviers de croissance.
Quelles sont ces technologies et leur apport ? Comment le Big Data participe au renouveau des réseaux physiques et à la différenciation des marques ? Comment la puissance du Web s’applique-t-elle au Off line, et contribue-t-elle à son renforcement ?
Les innovations technologiques (objets connectés, chatbot, geofencing, capteurs, store tracking ...) couplées aux technologies matures (Clienteling, bornes, beacons…) permettent d’augmenter la fréquence de recueil et la quantité d’informations.
Les méthodes de Data Science et l’utilisation de solutions de Big Data transforment ces données en connaissance actionnable pour optimiser l’expérience utilisateur (anticipation des files d’attente, paiement facilité, …), proposer des opérations marketing mutualisées on et off line (valorisation d’offres ou services en real time) et améliorer le time to market.
La multiplicité de ces « capteurs » et la puissance d’analyse ouvrent de nouveaux horizons dans de nombreux secteurs tels que la banque, le retail, la santé ou l’énergie, en BtoC et en BtoB.
Au travers de uses cases, ce séminaire vise à présenter ces innovations digitales et data, leur valeur ajoutée, leur complémentarité avec le online puis à partager les facteurs de réussite de ces nouveaux projets.
Similaire à Le marketing predictif pour les nuls (20)
2. DEFINITION Le marketing prédictif
un ensemble de dispositifs permettant
d’anticiper les comportements des
clients par des prévisions basées sur
des données et des probabilités de
réussite. Le caractère prédictif repose
sur l'exploration de données
permettant de modéliser un
comportement à un instant t en
fonction de données passées.
3. RECUEIL
site web, app,
géolocalisation,
comportement digital,
empreinte digitale, achat,
historique...
tri de l'information,
datamining, machine
learning,
sémantique,scoring,
correlation, similarité...
ACTIONANALYSE
P R O C E S S
optimisation et exploitation
des corrélations dans les
domaines d'intérêt:
prédiction comportement
client, découverte de
nouveaux prospects...
4. E x e m p l e a v e c l e p r o c e s s
c - r a d a r
5. LES
APPLI
CATIONS
Du B2B au B2C les secteurs d'application du marketing
predictif sont nombreux. Distribution, Industrie
(constructeurs automobile, industrie pharmaceutique ,
Énergie, Télécoms (opérateurs téléphoniques, etc.) ,
Banques, Assurance, Secteur public (trafic routier,
collecte d'ordures, etc.).
6. APPÉTENCE
la probabilité qu’un prospect
devienne consommateur
d'un produit ou service
proposé ou qu’il réponde
favorablement à une offre
qui lui est faite
"customer life time value"
(CLTV) consiste à calculer le
montant moyen que va
rapporter un client au cours
de sa vie “commerciale”.
ATTRITIONCLTV
C E Q U ' I L F A U T R E T E N I R
la prédiction du churn ou du
phénomène d'attrition c' est
prévoir les phénomènes de
pertes de clientèles
10. KIABI est le premier du Retail à initier un Big Data Challenge.
Le principe de cette expérimentation ? Connecter les connaissances des experts retail et Web marketing de
Kiabi à celles des data scientists en herbe du Master Siad (Systèmes d'information et d'aide à la décision) de
l'Université Lille 1. L' expérience vise à inventer le shopping du futur.
LE SHOPPING DU FUTUR
2 7 O C T . 2 0 1 6
E M A R K E T I N G . F R
11. Dorothée Barba: Peut-on craindre que tout soit prévisible à l’avenir, grâce au big data et qu’il n’y ait plus de
place pour les imprévus ?
ELOGE DU HASARD
2 7 N O V . 2 0 1 6
D E M A I N L A V E I L L E - F R A N C E I N T E R
12. Eric Sadin, écrivain et philosophe, montre comment un capitalisme d’un nouveau type est en train de
s’instituer, un technolibéralisme qui tire profit du moindre de nos gestes, via les objets connectés et
l’intelligence artificielle.
Au-delà d’un modèle économique, c’est un modèle civilisationnel qui s’instaure, fondé sur l’organisation
algorithmique de la société, entraînant le dessaisissement de notre pouvoir de décision. C’est pour cela qu’il
est urgent d’opposer à ce mouvement prétendument inexorable d’autres modalités d’existence, pleinement
soucieuses du respect de l’intégrité et de la dignité humaines.
LA SILICOLONISATION DU MONDE
2 7 O C T . 2 0 1 6
L ' I R R É S I S T I B L E E X P A N S I O N D U L I B É R A L I S M E N U M É R I Q U E
13. La mathématicienne américaine Cathy O’Neil nous met en garde contre les dangers de certains algorithmes,
aux impacts destructeurs dans la justice, l’éducation, l’accès à l’emploi ou au crédit.
LES ALGORITHMES,
ARMES DE DESTRUCTION MASSIVE
2 6 A O U T 2 0 1 6
N O U V E L O B S . C O M
14. AUBERGE-DIGITALE.SLACK.COM
R E J O I G N E Z
des présentations de qualité, des portfolios d'artistes, des livres
blancs , des cours et étude de cas, un réseau d'étudiants (Inseec,
HEC, KEDGE,...)et de professionnels prêt à mutualiser
leurs réflexions autour de projets rafraichissants. :)
Sur invitation uniquement.
GIMME
SOME LUV
Pour connaître les conditions d'admissions ou recevoir
une invitation, vous pouvez envoyer une demande sur
15. MERCI
R e j o i g n e z m o n r é s e a u L i n k e d I n
c r é d i t s p h o t o s : n i c o l a s r i v a l s ,
G i o v a n n i C o n i g l i o