Dans le coin littéraire de la page web de notre département, vous pourrez lire les commentaires réalisés par les élèves à propos du livre "J'aimerais que quelqu'un m'attende quelque part"
Baroque ou bizarre? Avatars de la bizarrerie aux XVIe et XVIIe siècles (France, Espagne, Italie), Liliane Picciola (coord.), Presses Universitaires de Paris Ouest (Francia), 2016, p. 59-73. ISBN: 978-28-401-6249-0.
http://presses.parisnanterre.fr/?p=3111
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Baroque ou bizarre? Avatars de la bizarrerie aux XVIe et XVIIe siècles (France, Espagne, Italie), Liliane Picciola (coord.), Presses Universitaires de Paris Ouest (Francia), 2016, p. 59-73. ISBN: 978-28-401-6249-0.
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Conseils pour Les Jeunes | Conseils de La Vie| Conseil de La JeunesseOscar Smith
Besoin des conseils pour les Jeunes ? Le document suivant est plein des conseils de la Vie ! C’est vraiment un document conseil de la jeunesse que tout jeune devrait consulter.
Voir version video:
➡https://youtu.be/7ED4uTW0x1I
Sur la chaine:👇
👉https://youtube.com/@kbgestiondeprojets
Aimeriez-vous donc…
-réussir quand on est jeune ?
-avoir de meilleurs conseils pour réussir jeune ?
- qu’on vous offre des conseils de la vie ?
Ce document est une ressource qui met en évidence deux obstacles qui empêchent les jeunes de mener une vie épanouie : l'inaction et le pessimisme.
1) Découvrez comment l'inaction, c'est-à-dire le fait de ne pas agir ou d'agir alors qu'on le devrait ou qu'on est censé le faire, est un obstacle à une vie épanouie ;
> Comment l'inaction affecte-t-elle l'avenir du jeune ? Que devraient plutôt faire les jeunes pour se racheter et récupérer ce qui leur appartient ? A découvrir dans le document ;
2) Le pessimisme, c'est douter de tout ! Les jeunes doutent que la génération plus âgée ne soit jamais orientée vers la bonne volonté. Les jeunes se sentent toujours mal à l'aise face à la ruse et la volonté politique de la génération plus âgée ! Cet état de doute extrême empêche les jeunes de découvrir les opportunités offertes par les politiques et les dispositifs en faveur de la jeunesse. Voulez-vous en savoir plus sur ces opportunités que la plupart des jeunes ne découvrent pas à cause de leur pessimisme ? Consultez cette ressource gratuite et profitez-en !
En rapport avec les " conseils pour les jeunes, " cette ressource peut aussi aider les internautes cherchant :
➡les conseils pratiques pour les jeunes
➡conseils pour réussir
➡jeune investisseur conseil
➡comment investir son argent quand on est jeune
➡conseils d'écriture jeunes auteurs
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➡Quels sont les bienfaits de la jeunesse ?
➡Quels sont les 3 qualités de la jeunesse ?
➡Comment gérer les problèmes des adolescents ?
➡les conseils de jeunes
➡guide de conseils de jeunes
Newsletter SPW Agriculture en province du Luxembourg du 12-06-24BenotGeorges3
Les informations et évènements agricoles en province du Luxembourg et en Wallonie susceptibles de vous intéresser et diffusés par le SPW Agriculture, Direction de la Recherche et du Développement, Service extérieur de Libramont.
Le fichier :
Les newsletters : https://agriculture.wallonie.be/home/recherche-developpement/acteurs-du-developpement-et-de-la-vulgarisation/les-services-exterieurs-de-la-direction-de-la-recherche-et-du-developpement/newsletters-des-services-exterieurs-de-la-vulgarisation/newsletters-du-se-de-libramont.html
Bonne lecture et bienvenue aux activités proposées.
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Formation M2i - Onboarding réussi - les clés pour intégrer efficacement vos n...M2i Formation
Améliorez l'intégration de vos nouveaux collaborateurs grâce à notre formation flash sur l'onboarding. Découvrez des stratégies éprouvées et des outils pratiques pour transformer l'intégration en une expérience fluide et efficace, et faire de chaque nouvelle recrue un atout pour vos équipes.
Les points abordés lors de la formation :
- Les fondamentaux d'un onboarding réussi
- Les outils et stratégies pour un onboarding efficace
- L'engagement et la culture d'entreprise
- L'onboarding continu et l'amélioration continue
Formation offerte animée à distance avec notre expert Eric Collin
Cycle de Formation Théâtrale 2024 / 2025Billy DEYLORD
Pour la Saison 2024 / 2025, l'association « Le Bateau Ivre » propose un Cycle de formation théâtrale pour particuliers amateurs et professionnels des arts de la scène enfants, adolescents et adultes à l'Espace Saint-Jean de Melun (77). 108 heures de formation, d’octobre 2024 à juin 2025, à travers trois cours hebdomadaires (« Pierrot ou la science de la Scène », « Montage de spectacles », « Le Mime et son Répertoire ») et un stage annuel « Tournez dans un film de cinéma muet ».
Impact des Critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG) sur les...mrelmejri
J'ai réalisé ce projet pour obtenir mon diplôme en licence en sciences de gestion, spécialité management, à l'ISCAE Manouba. Au cours de mon stage chez Attijari Bank, j'ai été particulièrement intéressé par l'impact des critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG) sur les décisions d'investissement dans le secteur bancaire. Cette étude explore comment ces critères influencent les stratégies et les choix d'investissement des banques.
2. 2
pièce se conclut sur cette jolie phrase prononcée par Marie-Antoinette, la serveuse du
restaurant : « C’est ainsi que se racontent les histoires au Vietnam : avec beaucoup de
larmes ». Effectivement, j’ai beaucoup pleuré en écoutant parler ces gens. Plus tard, en y
repensant, j’ai été frappé par l’étendu de mon ignorance quant au passé colonial de mon
pays, et par extension, à nos liens avec le Vietnam. Qu’à cela ne tienne, mon intérêt était
piqué.
J’ai essayé de comprendre les logiques qui sous-tendaient les relations entre la France et le
Vietnam, d’abord pendant la période coloniale, puis dans tout le processus de
décolonisation ultra-violent qui s'ensuivit. Avide de savoir, j’ai souvent été choquée en me
rendant compte qu’il fallait creuser longtemps pour trouver des informations nuancées et je
t’avoue avoir été étonnée de ne pas trouver un seul article revenant directement sur cette
période dans les archives de journaux comme Le Monde diplomatique. Finalement, et c’est
cela le plus étonnant, j’ai commencé en septembre un cours de géographie culturelle dont
le thème du semestre concerne les paysages de Camargue, notamment à travers l’étude des
rizières. Alors je te l’avoue, à première vue je n’ai pas saisi tout de suite l’intérêt que pouvait
bien avoir l’étude du paysage de Camargue. Puis, à travers la lecture d’une bande dessinée
que je te conseille fortement de relire (Les Linh Tho, de Clément Baloup et Pierre Daum) j’ai
compris que l’étude d’un paysage peut permettre de comprendre et d’expliquer grands
nombres de facteurs culturels.
Une planche de cette bande dessinée m’a particulièrement marquée, je vais t’en faire le
récit. Nous sommes en 2004, Pierre Daum (le scénariste) est alors journaliste et enquête sur
la fermeture d’une usine Lustucru à Arles. Il réalise que cette usine ne produit pas
seulement des pâtes, mais aussi du riz, produit phare de la région. Son enquête va alors le
conduire au musée du riz, dans lequel il découvre une photo sous laquelle est écrit « En
1942, des travailleurs indochinois sont venus planter du riz en Camargue » (page 8). Il
s’interroge… Pourquoi ce fait est-il si peu connu ? Cette découverte est alors le début d’un
long travail de recherche pour retrouver des témoins de cette époque et comprendre les
liens qui unissaient les travailleurs indochinois à la France. Prépare-toi, ce qui suit n’est pas
glorieux… 20.000 indochinois, la plupart étant des paysans peu éduqués, ont été
réquisitionnés de force au début des années 1940 pour participer « à l’effort de guerre »
contre l’Allemagne. D’abord employés dans les usines d’armement pour fournir de la main
d’œuvre et remplacer les hommes partis au front, ils sont ensuite, dès la capitulation
française, sous les ordres du régime de Vichy. Tous les secteurs de l’économie exploitent
cette main d’œuvre bon marché et c’est dans l’explosion de la riziculture en Camargue que
l’on retrouve le plus de traces de cette exploitation. La femme du Maréchal Pétain s’est
même rendue en Camargue pour remercier ces travailleurs, une gerbe de riz à la main,
comme tu peux le relire page 26 : « Ainsi se cimentent, en ces jours de malheur, tant sur le
plan du travail que sur le plan sentimental, la confiance et l’estime réciproque de tous les
français de l’Empire ».
3. 3
Si aujourd’hui la bande dessinée ce n’est plus trop ton truc (je trouverai cela regrettable), je
peux également te proposer la réécoute d’un reportage sur RFI qui traite du même sujet. Le
dernier travailleur indochinois (diffusé le 13 janvier 2018) retrace, avec l’aide de Clément
Baloup et Pierre Daum (les auteurs de la BD, donc) le parcours de Thân, vietnamien
centenaire qui a débarqué en 1939 depuis un bateau en provenance de Saigon. Son histoire
est intimement liée à l’histoire de Marseille, ville par laquelle il est entré en France et dans
laquelle il vit toujours (13 :20). Pour plusieurs raisons, Marseille a une place capitale dans
l’histoire coloniale de la France. Tout d’abord car c’est par son port que débarquait la
majorité des bateaux en provenance de l’Afrique et de l’Asie (13 :40), ensuite parce que
c’est dans la prison des Baumettes (dont la construction s’est achevée en 1939) que furent
logés (ou plutôt parqués) 5000 travailleurs indochinois (14 :00), enfin parce que c’est dans
cette ville qu’Ho Chi Minh a fait son célèbre discours sur l’indépendance du Vietnam après la
conférence de Fontainebleau en 1945 (18 :00).
Ce que je trouve particulièrement marquant, que ce soit dans la bande dessinée ou dans le
reportage, c’est cette volonté des deux auteurs de redonner une voix et une existence à des
individus dont le destin a été si longtemps oublié et absent des livres d’Histoire et autres
récits officiels. Le titre même de l’ouvrage, Les Linh Tho, est décrit par Clément Baloup
comme un terme oublié, comme la vie de tous ces hommes (4 :09). Cependant, enquêter sur
la vie de ces travailleurs indochinois a été compliqué. En effet, Pierre Daum a dû faire face à
la faiblesse des sources officielles (quelques livrets ont été retrouvées dans les archives du
MOI bien après la parution de son premier livre (33 :21)) et au faible nombre de
témoignages des principaux concernés. Cela s’explique à la fois par le fait qu’une bonne
partie de ces hommes était déjà décédés, mais également par l’impossibilité pour leur
descendance de témoigner, du fait de leur ignorance sur l’histoire de leur père (35 :00). Ce
vide mémoriel est difficile à combler du fait de la tardive reconnaissance par l’Etat français
de l’exploitation qu’ont subie ces hommes et par l’absence total d’indemnisation et de mise
en lumière de cette partie de notre histoire nationale. Moi qui ne savait rien de tout ça, j’ai
été émue aux larmes en entendant Thân chanter sa chanson.
Je suis curieuse de savoir si tu te rappelles combien tous ces récits t’ont touchée quand tu
étais jeune ? Mais par-delà l’émotion, un grand nombre d’interrogations me traversent
l’esprit. Suis-je la seule à être révoltée par tout ça ? Pourquoi un tel manque de
reconnaissance de la part de mon pays face à toutes ces injustices et toutes ces
oppressions ? Sommes-nous condamnés à taire ce passé colonial honteux, ne pouvons-nous
donc pas l’affronter, le reconnaître, et tant que possible s’en excuser ? J’ai lu il y a peu un
article de Pascal Blanchard dans Le Monde diplomatique très intéressant à ce propos. Il
s’intitule Entre Apothéose et Oubli, et la première phrase de l’article est assez parlante :
« Notre pays a un problème avec sa mémoire ». C’est tout à fait ce que je ressens chaque
fois que la question de l’intégration des immigrés ou de leurs descendants ressurgit dans les
4. 4
discours politiques. L’histoire coloniale est intimement liée à notre histoire, en tant que
français. Ses conséquences n’ont pas subitement finies d’exister dès la fin des processus de
décolonisation, et aujourd’hui encore les stigmates des colonies sont présents dans la
société. A ces questions, on me répond souvent « nous n’avons pas à nous sentir coupables
pour les crimes de nos pères ». Certes, je suis bien d’accord, ce n’est pas de ma faute si nous
avons, par notre empire colonial, dominé une grande partie du monde pendant des siècles,
réduisant des individus à l’esclavage, au travail forcé ou encore à la mort. Je ne me sens pas
coupable pour ça, mais à vrai dire, là n’est pas la question.
La question qui se pose aujourd’hui est de savoir pourquoi nous ne sommes pas capable de
regarder ce passé dans les yeux. En ce qui me concerne, je veux savoir, je veux me souvenir
et je veux pouvoir expliquer par des facteurs historiques, culturels ou sociologiques
pourquoi la société française dans laquelle j’évolue est telle qu’elle est aujourd’hui (petite
aparté rigolote mais je ne peux pas m’empêcher, chaque fois que j’utilise le mot expliquer,
de penser à Manuel Valls (il était premier ministre…triste époque) qui s’indigne en
rétorquant « expliquer c’est déjà excuser »). Tout ça pour dire qu’il y a encore du boulot. Le
devoir de mémoire à la française semble être à géométrie variable. J’ai un peu de mal à
comprendre comment, en 2018, le Président de la République peut commémorer la fin de la
1ère
Guerre mondiale en honorant le Maréchal Pétain au nom cette « mémoire », mais
qu’aucune mention ne soit faite dans les programmes scolaires de ces 20.000 indochinois
arrivés de force en France. Dis-moi, est-ce que les choses ont bougé depuis que j’ai écrit
cette lettre ? Pour tout t’avouer je suis assez pessimiste (c’est triste d’être pessimiste sur
l’avenir à 20 ans tu ne trouves pas ?), l’époque me semble assez sombre mais j’espère me
tromper. D’ailleurs, pessimiste ne veut pas dire défaitiste et chaque jour je rencontre des
gens passionnants qui, à leur manière, s’attachent à rendre ce monde plus juste et me
donnent envie d’en faire autant.
Dans cette perspective et en matière de recherche postcoloniale, le travail du géographe me
semble important. Tout d’abord car il a toujours existé un lien étroit entre géographes et
colonies, notamment par leur rôle dans la cartographie des territoires, par la création d’un
imaginaire « exotique » et de représentations du monde, et enfin par les liens
qu’entretenaient nombres de géographes avec le pouvoir colonial. En 1980, Edward Saïd
publie L’Orientalisme, qui est considéré comme l’un des textes fondateurs des études
postcoloniales et dans lequel il décrit la colonisation comme « une opération spatiale de
domination au sein de laquelle la géographie est fortement engagée » (tu peux relire
l’article de Pascal Clerc La Géographie coloniale en France – une catégorie à déconstruire
(2017) à ce propos). Si la géographie a eu un rôle prépondérant dans le processus colonial, il
n’y a pas à douter qu’elle en a toujours un aujourd’hui dans l’analyse des décolonisations et
de leurs impacts sur nos sociétés. De plus en plus, et je trouve cela passionnant, des
géographes cherchent en effet à montrer qu’il existe une multitude d’approches nouvelles
dans la manière de contribuer aux études postcoloniales, dé-coloniales ou subalternes,
5. 5
souvent combinées avec les études consacrées au féminisme, au genre, ou encore aux
géographies de l’exclusion et des différences culturelles. Oh, comme j’espère que tu t’es
spécialisée dans ce domaine et que toi aussi tu ajoutes ta petite pierre au grand édifice des
sciences sociales ! Aujourd’hui, c’est la raison pour laquelle je fais de la géographie, et pour
laquelle je pense que la géographie doit être éminemment critique et sociale. « Sociale »
dans le sens où ma définition de la géographie correspond à la « science des êtres humains
vivants en société » et doit donc permettre de traiter tout objet social (tu sais que je n’aime
pas être cloisonnée, et je trouve ça fou de constater à quel point la géographie ouvre des
portes pour étudier le monde !) et « critique » pour rejeter l’immobilisme de la pensée.
Bon, je ne veux pas t’ennuyer plus longtemps, je vais bientôt conclure. J’espère que le
cheminement de ma pensée et de mes réflexions étaient assez clairs, j’ai essayé dans cette
lettre de t’expliquer pourquoi je meurs d’envie d’être géographe. Je croise les doigts pour
que tu ais réussie et qu’encore aujourd’hui tu sois passionnée par tout ce qui t’entoure
(mais je sais que tu n’es pas du genre à baisser les bras facilement) !
Je t’embrasse (même si c’est assez spécial de s’embrasser soi-même), on se retrouve dans
quelques années !
Manon
7. Bibliographie Camargue
Ouvrages
• Baloup Clément, Daum Pierre. Les Linh Tho, immigrés de force. Ed. La boîte à bulles,
2017.
• Saïd Edward, L’Orientalisme. Ed. Seuil, 1978. 368 pages.
Articles scientifiques
• Pascal Clerc, « La « géographie coloniale » en France », Terra Brasilis (Nova Série)[En
ligne], 8 | 2017, mis en ligne le 27 juin 2017, consulté le 10 décembre 2018. URL :
http://journals.openedition.org/terrabrasilis/2043
• Sibeud, Emmanuelle. « Post-Colonial et Colonial Studies: enjeux et débats », Revue
d’histoire moderne & contemporaine, vol. no
51-4bis, no. 5, 2004, pp. 87-95.
Articles de presse
• Blanchard Pascal, « Entre apothéose et oubli ». Le monde diplomatique, Manières de
voir n°58, août 2001.
Reportages radiographiques
• Le dernier travailleur indochinois, 2018. Reportage radiographique. Daphné Gastaldi
(réal.). France. RFI. Diffusé le samedi 13 janvier 2018 dans le cadre de l’émission La
marche du monde.