This document provides several homemade remedies for common illnesses, including nausea, flu, and dehydration. For nausea, it recommends ginger or peppermint, which can be used raw, in tea, or candied. A tent remedy for flu symptoms uses a boiling pot of peppermint water to create steam that helps clear congestion. Gargling salt water can also relieve flu by removing mucus from the throat. To treat dehydration, the document suggests drinking lemon water, which can be enhanced with additions like pepper, salt, and honey.
This document discusses non-pharmacological treatments for nausea and vomiting during pregnancy (NVP). It begins by introducing the doctors presenting on the topic. It then explains that supportive care and non-drug therapies should be the initial approach for NVP. Various non-pharmacological options are described, including avoiding triggers, dietary changes, herbal remedies like ginger, acupressure, hypnosis, and lifestyle modifications. Ginger is discussed in more detail for its effectiveness against NVP through various mechanisms of action. The document stresses avoiding medications during early pregnancy due to concerns for fetal development. It concludes by providing contact information for the presenting doctors.
This document provides several homemade remedies for common illnesses, including nausea, flu, and dehydration. For nausea, it recommends ginger or peppermint, which can be used raw, in tea, or candied. A tent remedy for flu symptoms uses a boiling pot of peppermint water to create steam that helps clear congestion. Gargling salt water can also relieve flu by removing mucus from the throat. To treat dehydration, the document suggests drinking lemon water, which can be enhanced with additions like pepper, salt, and honey.
This document discusses non-pharmacological treatments for nausea and vomiting during pregnancy (NVP). It begins by introducing the doctors presenting on the topic. It then explains that supportive care and non-drug therapies should be the initial approach for NVP. Various non-pharmacological options are described, including avoiding triggers, dietary changes, herbal remedies like ginger, acupressure, hypnosis, and lifestyle modifications. Ginger is discussed in more detail for its effectiveness against NVP through various mechanisms of action. The document stresses avoiding medications during early pregnancy due to concerns for fetal development. It concludes by providing contact information for the presenting doctors.
Les Femmes et les hommes ne sont pas égaux face aux maladies rénales par Dr M...Khadija Moussayer
Si les hommes sont généralement plus touchés par une insuffisance rénale chronique (60%) que les femmes, elles ne sont toutefois pas épargnées par certaines pathologies impactant les reins et pouvant évoluer dangereusement si elles ne sont pas prises en charge.
Les principaux facteurs de risques des maladies rénales sont le diabète et l’hypertension. Chez les femmes, il faut y ajouter un trio menaçant : les infections urinaires, les complications liées à la grossesse et certaines maladies auto-immunes. Le plus souvent, la grossesse n’aggrave pas les troubles rénaux. Les troubles rénaux ne s’aggravent généralement que chez les femmes enceintes présentant une hypertension artérielle mal contrôlée
Par ailleurs, il convient de savoir que certaines affections rénales sont associées ou exacerbées par la grossesse, comme la pré-éclampsie. Cette dernière touche 3 à 5% des femmes enceintes et se manifeste au cours du troisième trimestre de grossesse. La pré‐éclampsie est une pathologie de la grossesse caractérisée par une élévation de la pression artérielle se produisant au plus tôt au milieu du second trimestre (après vingt semaines d’aménorrhée). Elle s’accompagne d’une élévation de la quantité de protéines présente dans les urines.
Les femmes sont plus sujettes à des troubles rénaux à cause de 3 facteurs spécifiques à leur sexe : les infections urinaires, les complications liées à la grossesse et les maladies auto-immunes,
Il est bien connu en effet que les femmes ont plus souvent des infections urinaires, bénignes la plupart du temps, mais qui peuvent entraîner une insuffisance rénale chronique (dans 1 à 2 % des cas). L’urètre est plus proche de l’anus que chez les hommes et les bactéries de l’anus pénètrent plus facilement dans le canal urinaire, avec des risques assez fréquents d’infections de la vessie, la cystite, et d’infections rénales, la pyélonéphrite. Les femmes s’adonnent aussi assez souvent à des régimes amaigrissants hyper protéinés qui ne sont pas sans risque pour leur santé.
La grossesse est également une période à risque en causant des infections urinaires, une hypertension artérielle combinée avec une présence de protéines dans les urines (pré-éclampsie pouvant mener à l’éclampsie c'est-à-dire une crise de convulsion et d’épilepsie) et surtout un risque de défaillance rénale au moment de l’accouchement. En cas de maladie rénale, les possibilités de grossesse sont limitées de fait par l’insuffisance rénale et ses traitements.
Enfin troisième cause : la nature auto-immune ; Les maladies auto-immunes concernent en effet les femmes dans plus de 75 % des cas. Ces pathologies constituent un grave problème de santé publique du fait de leur poids économique et humain : 3ème cause de morbidité dans le monde après les maladies cardiovasculaires et les cancers, elles touchent en effet environ 10 % de la population mondiale et occupent le troisième poste du budget de la santé dans les pays développés.
Les Femmes et les hommes ne sont pas égaux face aux maladies rénales par Dr M...Khadija Moussayer
Si les hommes sont généralement plus touchés par une insuffisance rénale chronique (60%) que les femmes, elles ne sont toutefois pas épargnées par certaines pathologies impactant les reins et pouvant évoluer dangereusement si elles ne sont pas prises en charge.
Les principaux facteurs de risques des maladies rénales sont le diabète et l’hypertension. Chez les femmes, il faut y ajouter un trio menaçant : les infections urinaires, les complications liées à la grossesse et certaines maladies auto-immunes. Le plus souvent, la grossesse n’aggrave pas les troubles rénaux. Les troubles rénaux ne s’aggravent généralement que chez les femmes enceintes présentant une hypertension artérielle mal contrôlée
Par ailleurs, il convient de savoir que certaines affections rénales sont associées ou exacerbées par la grossesse, comme la pré-éclampsie. Cette dernière touche 3 à 5% des femmes enceintes et se manifeste au cours du troisième trimestre de grossesse. La pré‐éclampsie est une pathologie de la grossesse caractérisée par une élévation de la pression artérielle se produisant au plus tôt au milieu du second trimestre (après vingt semaines d’aménorrhée). Elle s’accompagne d’une élévation de la quantité de protéines présente dans les urines.
Les femmes sont plus sujettes à des troubles rénaux à cause de 3 facteurs spécifiques à leur sexe : les infections urinaires, les complications liées à la grossesse et les maladies auto-immunes,
Il est bien connu en effet que les femmes ont plus souvent des infections urinaires, bénignes la plupart du temps, mais qui peuvent entraîner une insuffisance rénale chronique (dans 1 à 2 % des cas). L’urètre est plus proche de l’anus que chez les hommes et les bactéries de l’anus pénètrent plus facilement dans le canal urinaire, avec des risques assez fréquents d’infections de la vessie, la cystite, et d’infections rénales, la pyélonéphrite. Les femmes s’adonnent aussi assez souvent à des régimes amaigrissants hyper protéinés qui ne sont pas sans risque pour leur santé.
La grossesse est également une période à risque en causant des infections urinaires, une hypertension artérielle combinée avec une présence de protéines dans les urines (pré-éclampsie pouvant mener à l’éclampsie c'est-à-dire une crise de convulsion et d’épilepsie) et surtout un risque de défaillance rénale au moment de l’accouchement. En cas de maladie rénale, les possibilités de grossesse sont limitées de fait par l’insuffisance rénale et ses traitements.
Enfin troisième cause : la nature auto-immune ; Les maladies auto-immunes concernent en effet les femmes dans plus de 75 % des cas. Ces pathologies constituent un grave problème de santé publique du fait de leur poids économique et humain : 3ème cause de morbidité dans le monde après les maladies cardiovasculaires et les cancers, elles touchent en effet environ 10 % de la population mondiale et occupent le troisième poste du budget de la santé dans les pays développés.
2. Définition La leucémie est un cancer qui se forme dans les globules blancs. Ils sont appelés aussi les leucocytes. C’est donc le cancer du sang.
3. Causes Âge avancé Radiothérapie ou chimiothérapie antérieure pour traiter un cancer ou une autre maladie Exposition à des doses élevées de radiation, par exemple à la suite d’un accident nucléaire Exposition à des substances chimiques telles que le benzène Tabagisme
4. Causes (suite) Trouble génétique (par exemple le syndrome de Down) ou anomalie génétique (les personnes atteintes de LMC ont souvent un chromosome anormal appelé chromosome Philadelphie Antécédents familiaux-présence d’un gène défectueux héréditaire ou antécédents familiaux de LLC Affections de du système sanguin, comme le syndrome myélodysplasique Infection virale antérieure, notamment par le virus T-lymphotrope humain l (HTLV-l) La leucémie peut parfois se développer en l’absence de tous ces facteurs de risque.
7. Symptômes Fièvre Perte de poids inexpliquée Sensation générale de malaise Maux de gorge Enflure des gencives Intenses sueurs nocturnes Maux de tête Vomissements Troubles de la vision Douleur dans les os ou les articulations Hypertrophie indolore des ganglions lymphatiques
8. Conclusion J’ai retenu trois symptômes: Vomissement, maux de gorge et maux de tête. Pour conclure, je sais maintenant c’est quoi la leucémie, c’est un cancer du sang.