Les 15 enjeux identifiés par le comité national du débat sur la transition énergétique de la France :
UNE TRANSITION AMBITIEUSE, UNE TRANSITION POUR TOUS
ENJEU N°1 : Une transition énergétique qui donne une orientation de long terme
et qui respecte les engagements de la France
ENJEU N°2 : Une transition par tous et pour tous
ENJEU N°3 : Priorité à la lutte contre la précarité énergétique
L’EFFICACITE ENERGETIQUE, AU SERVICE DE LA COMPETITIVITE ET D’UNE TRANSITION RICHE EN EMPLOIS
ENJEU N°4 : Inscrire l’efficacité énergétique et la sobriété dans le modèle de croissance français
ENJEU N°5 : Un cap incontournable : porter l’ensemble du parc bâti d’ici 2050 à un haut niveau de performance thermique
ENJEU N°6 : Pour une mobilité durable
ENJEU N°7 : La transition énergétique peut être un levier pour la compétitivité de la France
ENJEU N°8 : La transition énergétique, moteur du dynamisme des territoires ruraux
UN BOUQUET ENERGETIQUE FAIBLEMENT EMETTEUR DE GAZ A EFFET DE SERRE, SECURISE, DIVERSIFIE, EQUILIBRE ET COMPETITIF
ENJEU N°9 : Valoriser les forces et les valeurs du système français
ENJEU N°10 : Un bouquet énergétique résilient, diversifié, équilibré et compétitif,
marqué par le développement des énergies renouvelables
LES LEVIERS CLEFS POUR REUSSIR LA TRANSITION
ENJEU N°11 : Attirer et orienter massivement les investissements vers la transition énergétique
ENJEU N°12 : Renforcer les compétences des territoires pour favoriser la décentralisation de la mise en oeuvre de la transition énergétique
ENJEU N°13 : Pour développer l’emploi, anticiper, préparer et réussir les transitions professionnelles
ENJEU N°14 : Une exigence : une politique européenne plus ambitieuse et mieux coordonnée
LA CONDUITE DE LA TRANSITION
ENJEU N°15 Conduire et adapter la transition énergétique
En réponse au besoin d'une construction plus durable, soucieuse de son impact environnemental, social et économique, de nouveaux concepts, expressions et termes ont vu le jour dans l'industrie de la construction à travers l'Europe. De "Pompe à chaleur air-air" à "Bâtiments à carbone zéro", de "Calcul du coût du cycle de vie" à "Électricité photovoltaïque", de "Ressource recyclée" à "Maison passive", il est important que l'industrie ait une compréhension commune de ces termes - un langage commun pour la construction durable - afin de fournir la base d'un développement harmonisé dans l'avenir.
Lors du conseil des ministres du 18 juin, Ségolène Royal a présenté les grands axes du projet de loi de programmation pour la transition énergétique transmis au Parlement en juillet, ainsi que les actions qui la mettent concrètement en œuvre.
Voir aussi : http://reseauxchaleur.wordpress.com/2014/06/26/les-reseaux-de-chaleur-dans-le-projet-de-loi-de-transition-energetique/
Webinaire | WhatsUpp in... France, regarding energy communities ? - 14 mars 2024Cluster TWEED
Les communautés d'énergie citoyennes (CEC) et les communautés d'énergie renouvelables (CER) sont des moyens permettant aux citoyens et aux entreprises de prendre part à la transition énergétique. Introduites par les directives "marché" 2019/944 et "renouvelable" 2018/2001, leur transposition au niveau national s'effectue de manière diverse selon les pays et les régions. En France, la transposition s'est matérialisée par l'ordonnance du 21 mars 2021. Cependant, la mise en place effective des CEC et des CER reste un défi.
Le premier numéro des webinaire Whats'upp in... organisé par le Cluster TWEED le jeudi 14 mars dernier portait sur les considérations légales et l'état d'avancement des initiatives de partage d'énergie en France.
«L’INITIATIVE LOCALE RÉINVENTE L’EUROPE»: LE LIVRE
(06 octobre 2014) - L’AEIDL publie aujourd’hui une compilation des conclusions et des initiatives présentées à la conférence «L’initiative locale réinvente l’Europe» organisée à Bruxelles les 19-20 février 2014 à l’occasion de son 25ème anniversaire.
L’ouvrage de 88 pages illustrées reproduit le texte des conclusions et perspectives, ainsi que la présentation de chacune des 25 «initiatives porteuses d’avenir» sélectionnées par l’AEIDL pour la conférence.
Disponible en français et en anglais, en versions papier et électronique, la publication se veut un tremplin d’idées pour poursuivre et approfondir la réflexion engagée en février dernier.
La version imprimée peut être commandée à l’AEIDL.
La SFEN adhère aux intentions du projet sur :
• Le choix d’une démarche pragmatique : opposer les énergies n’a pas de sens, surtout lorsqu’il s’agit d’énergies bas carbone, précisément le nucléaire et les renouvelables.
• La reconnaissance du fait que l’énergie nucléaire est une énergie d’avenir, « nécessaire pour réaliser la transition énergétique ».
• La volonté de réduire massivement les émissions de gaz à effet de serre en diminuant de 30% la consommation des énergies carbonées (pétrole et gaz).
La SFEN réaffirme ses positions sur :
• (art. 2) Les objectifs de long terme de la politique énergétique : L’objectif prioritaire de la transition énergétique reste avant tout la réduction des émissions de gaz à effet de serre et donc de la part des énergies carbonées dans le transport et l’habitat. Celles-ci représentent encore 70% de la consommation énergétique de la France, et sont à l’origine de l’essentiel des émissions de CO2 et du déficit de la balance commerciale du pays.
• (art. 2 et 55) Les autorisations d’exploiter les centrales nucléaires : Limiter la capacité de production d’énergie nucléaire à 63,2 GW suggère une fermeture prématurée deux réacteurs nucléaires au démarrage de l’EPR de Flamanville. Ce qui irait à l’encontre des objectifs écologiques et économiques poursuivis par la transition énergétique.
• (art. 19) La prévention et la gestion des déchets radioactifs : La filière nucléaire a développé et maîtrise les solutions techniques et des méthodes qui permettent le retraitement les combustibles nucléaires usés pour séparer les matières (plutonium et uranium) des déchets, pour lesquels est conçu le projet CIGEO. En France, 90% des déchets radioactifs produits chaque année disposent d’une solution de gestion à long terme.
• (art. 31) La sûreté nucléaire et l’information des citoyens : Le devoir de toujours progresser ne doit pas faire oublier que la filière nucléaire française est exemplaire dans sa culture et son dispositif réglementaire. Les nouvelles mesures doivent rester proportionnées au regard des objectifs poursuivis.
• (art. 53) La recherche et l’innovation : Pour atteindre les objectifs de la transition énergétique et préparer la rupture technologique des centrales nucléaires, l’Etat doit garantir l’effort de recherche dans le nucléaire.
• (art. 55) Les moyens de pilotage du mix électrique : Rénover les centrales nucléaires pour les exploiter au-delà de 40 ans est la solution bas carbone la plus compétitive pour les années à venir. Ce choix permettra d’éviter de « re-carboner » le mix énergétique (ce qui se passe en Allemagne).
• (art. 63 à 67) Le financement de la transition énergétique : La performance économique actuelle de la filière nucléaire est un des leviers permettant de financer la transition énergétique.
The document is ExxonMobil's response to the European Commission's Green Paper on energy strategy. It summarizes ExxonMobil's global energy outlook for the next 25 years and provides comments on 6 priority areas in the Commission's paper. The summary highlights that energy demand will continue growing in Europe, oil and gas will remain primary energy sources, and meeting future needs will require large investments and a diversity of energy sources and suppliers. ExxonMobil supports open, competitive energy markets, stable regulation to attract investment, and the key role of gas in Europe's energy future.
The document is a position paper from the American Chamber of Commerce to the European Union responding to the EU's Green Paper on energy policy. It summarizes the organization's views on key areas of the Green Paper, including: support for completing the EU's internal energy market; ensuring secure, competitive energy supplies for industry; promoting energy efficiency; tackling climate change through international cooperation; and diversifying the EU's energy mix through a stable regulatory framework. The position paper provides detailed comments on policies regarding gas, electricity, energy security, and a sustainable energy mix.
Les 15 enjeux identifiés par le comité national du débat sur la transition énergétique de la France :
UNE TRANSITION AMBITIEUSE, UNE TRANSITION POUR TOUS
ENJEU N°1 : Une transition énergétique qui donne une orientation de long terme
et qui respecte les engagements de la France
ENJEU N°2 : Une transition par tous et pour tous
ENJEU N°3 : Priorité à la lutte contre la précarité énergétique
L’EFFICACITE ENERGETIQUE, AU SERVICE DE LA COMPETITIVITE ET D’UNE TRANSITION RICHE EN EMPLOIS
ENJEU N°4 : Inscrire l’efficacité énergétique et la sobriété dans le modèle de croissance français
ENJEU N°5 : Un cap incontournable : porter l’ensemble du parc bâti d’ici 2050 à un haut niveau de performance thermique
ENJEU N°6 : Pour une mobilité durable
ENJEU N°7 : La transition énergétique peut être un levier pour la compétitivité de la France
ENJEU N°8 : La transition énergétique, moteur du dynamisme des territoires ruraux
UN BOUQUET ENERGETIQUE FAIBLEMENT EMETTEUR DE GAZ A EFFET DE SERRE, SECURISE, DIVERSIFIE, EQUILIBRE ET COMPETITIF
ENJEU N°9 : Valoriser les forces et les valeurs du système français
ENJEU N°10 : Un bouquet énergétique résilient, diversifié, équilibré et compétitif,
marqué par le développement des énergies renouvelables
LES LEVIERS CLEFS POUR REUSSIR LA TRANSITION
ENJEU N°11 : Attirer et orienter massivement les investissements vers la transition énergétique
ENJEU N°12 : Renforcer les compétences des territoires pour favoriser la décentralisation de la mise en oeuvre de la transition énergétique
ENJEU N°13 : Pour développer l’emploi, anticiper, préparer et réussir les transitions professionnelles
ENJEU N°14 : Une exigence : une politique européenne plus ambitieuse et mieux coordonnée
LA CONDUITE DE LA TRANSITION
ENJEU N°15 Conduire et adapter la transition énergétique
En réponse au besoin d'une construction plus durable, soucieuse de son impact environnemental, social et économique, de nouveaux concepts, expressions et termes ont vu le jour dans l'industrie de la construction à travers l'Europe. De "Pompe à chaleur air-air" à "Bâtiments à carbone zéro", de "Calcul du coût du cycle de vie" à "Électricité photovoltaïque", de "Ressource recyclée" à "Maison passive", il est important que l'industrie ait une compréhension commune de ces termes - un langage commun pour la construction durable - afin de fournir la base d'un développement harmonisé dans l'avenir.
Lors du conseil des ministres du 18 juin, Ségolène Royal a présenté les grands axes du projet de loi de programmation pour la transition énergétique transmis au Parlement en juillet, ainsi que les actions qui la mettent concrètement en œuvre.
Voir aussi : http://reseauxchaleur.wordpress.com/2014/06/26/les-reseaux-de-chaleur-dans-le-projet-de-loi-de-transition-energetique/
Webinaire | WhatsUpp in... France, regarding energy communities ? - 14 mars 2024Cluster TWEED
Les communautés d'énergie citoyennes (CEC) et les communautés d'énergie renouvelables (CER) sont des moyens permettant aux citoyens et aux entreprises de prendre part à la transition énergétique. Introduites par les directives "marché" 2019/944 et "renouvelable" 2018/2001, leur transposition au niveau national s'effectue de manière diverse selon les pays et les régions. En France, la transposition s'est matérialisée par l'ordonnance du 21 mars 2021. Cependant, la mise en place effective des CEC et des CER reste un défi.
Le premier numéro des webinaire Whats'upp in... organisé par le Cluster TWEED le jeudi 14 mars dernier portait sur les considérations légales et l'état d'avancement des initiatives de partage d'énergie en France.
«L’INITIATIVE LOCALE RÉINVENTE L’EUROPE»: LE LIVRE
(06 octobre 2014) - L’AEIDL publie aujourd’hui une compilation des conclusions et des initiatives présentées à la conférence «L’initiative locale réinvente l’Europe» organisée à Bruxelles les 19-20 février 2014 à l’occasion de son 25ème anniversaire.
L’ouvrage de 88 pages illustrées reproduit le texte des conclusions et perspectives, ainsi que la présentation de chacune des 25 «initiatives porteuses d’avenir» sélectionnées par l’AEIDL pour la conférence.
Disponible en français et en anglais, en versions papier et électronique, la publication se veut un tremplin d’idées pour poursuivre et approfondir la réflexion engagée en février dernier.
La version imprimée peut être commandée à l’AEIDL.
La SFEN adhère aux intentions du projet sur :
• Le choix d’une démarche pragmatique : opposer les énergies n’a pas de sens, surtout lorsqu’il s’agit d’énergies bas carbone, précisément le nucléaire et les renouvelables.
• La reconnaissance du fait que l’énergie nucléaire est une énergie d’avenir, « nécessaire pour réaliser la transition énergétique ».
• La volonté de réduire massivement les émissions de gaz à effet de serre en diminuant de 30% la consommation des énergies carbonées (pétrole et gaz).
La SFEN réaffirme ses positions sur :
• (art. 2) Les objectifs de long terme de la politique énergétique : L’objectif prioritaire de la transition énergétique reste avant tout la réduction des émissions de gaz à effet de serre et donc de la part des énergies carbonées dans le transport et l’habitat. Celles-ci représentent encore 70% de la consommation énergétique de la France, et sont à l’origine de l’essentiel des émissions de CO2 et du déficit de la balance commerciale du pays.
• (art. 2 et 55) Les autorisations d’exploiter les centrales nucléaires : Limiter la capacité de production d’énergie nucléaire à 63,2 GW suggère une fermeture prématurée deux réacteurs nucléaires au démarrage de l’EPR de Flamanville. Ce qui irait à l’encontre des objectifs écologiques et économiques poursuivis par la transition énergétique.
• (art. 19) La prévention et la gestion des déchets radioactifs : La filière nucléaire a développé et maîtrise les solutions techniques et des méthodes qui permettent le retraitement les combustibles nucléaires usés pour séparer les matières (plutonium et uranium) des déchets, pour lesquels est conçu le projet CIGEO. En France, 90% des déchets radioactifs produits chaque année disposent d’une solution de gestion à long terme.
• (art. 31) La sûreté nucléaire et l’information des citoyens : Le devoir de toujours progresser ne doit pas faire oublier que la filière nucléaire française est exemplaire dans sa culture et son dispositif réglementaire. Les nouvelles mesures doivent rester proportionnées au regard des objectifs poursuivis.
• (art. 53) La recherche et l’innovation : Pour atteindre les objectifs de la transition énergétique et préparer la rupture technologique des centrales nucléaires, l’Etat doit garantir l’effort de recherche dans le nucléaire.
• (art. 55) Les moyens de pilotage du mix électrique : Rénover les centrales nucléaires pour les exploiter au-delà de 40 ans est la solution bas carbone la plus compétitive pour les années à venir. Ce choix permettra d’éviter de « re-carboner » le mix énergétique (ce qui se passe en Allemagne).
• (art. 63 à 67) Le financement de la transition énergétique : La performance économique actuelle de la filière nucléaire est un des leviers permettant de financer la transition énergétique.
The document is ExxonMobil's response to the European Commission's Green Paper on energy strategy. It summarizes ExxonMobil's global energy outlook for the next 25 years and provides comments on 6 priority areas in the Commission's paper. The summary highlights that energy demand will continue growing in Europe, oil and gas will remain primary energy sources, and meeting future needs will require large investments and a diversity of energy sources and suppliers. ExxonMobil supports open, competitive energy markets, stable regulation to attract investment, and the key role of gas in Europe's energy future.
The document is a position paper from the American Chamber of Commerce to the European Union responding to the EU's Green Paper on energy policy. It summarizes the organization's views on key areas of the Green Paper, including: support for completing the EU's internal energy market; ensuring secure, competitive energy supplies for industry; promoting energy efficiency; tackling climate change through international cooperation; and diversifying the EU's energy mix through a stable regulatory framework. The position paper provides detailed comments on policies regarding gas, electricity, energy security, and a sustainable energy mix.
The document is the UK's supplementary response to the EU's Green Paper on energy policy. It discusses several key points:
1) It reaffirms the UK's commitment to competitive energy markets to deliver secure, affordable energy and reduce carbon emissions. An effective EU Emissions Trading Scheme is important for incentivizing energy efficiency and low-carbon investments.
2) It calls for ambitious EU action on energy efficiency, including more stringent product standards. It also supports continued negotiations on vehicle emission targets.
3) It emphasizes the need to strengthen the EU's leadership on sustainable energy, including finalizing the Renewables Roadmap and improving the EU ETS for post-2012. It also supports including aviation and potentially
The European and External Relations Committee of the Scottish Parliament conducted an inquiry into energy efficiency measures in response to the European Commission's Green Paper on energy policy. The Committee identified several key themes through evidence gathered. It found that integrating energy efficiency into new building design is most effective, and new Scottish standards appear close to Finnish levels. Retrofitting existing buildings is more challenging, particularly for tenement structures. Barriers to greater efficiency include costs and a lack of incentives for developers or tenants to invest. The Committee considers the EU has an important role in setting energy efficiency standards.
This document provides the UK government's response to the EU's Green Paper on energy policy. It welcomes the framework provided by the Green Paper to discuss European energy policy. The UK recognizes the need for a new, cooperative approach to energy at the EU level to address challenges like climate change and increasing energy imports. However, it also believes that the energy mix should not be determined centrally at the EU level. The UK supports further liberalization of the EU's energy markets and increased cooperation on issues like renewable energy and energy efficiency. It agrees an annual strategic energy review could help the EU develop its long-term energy policy.
This document outlines the Scottish National Party's response to the European Commission's Green Paper on a European strategy for sustainable, competitive and secure energy. It discusses Scotland's significant energy resources and potential, particularly for renewable energy. It expresses the SNP's vision for Scotland's energy future, including becoming a leader in renewable and clean energy technologies. The document also provides the SNP's views on key themes in the Commission's Green Paper, including competitiveness, security of supply, energy mix diversification, and sustainable development.
This document summarizes a report by the House of Lords European Union Committee on the European Commission's Green Paper, "A European Strategy for Sustainable, Competitive and Secure Energy." The report considers whether the Commission has correctly identified the key objectives of energy policy in the EU and the priority areas for action. It evaluates what policies are best enacted at the EU level versus member state level. It recommends that the Commission provide more justification for moving towards a single EU energy policy and recognize that markets are best placed to deliver objectives efficiently. The report stresses the need for policy sensitivity to national/regional differences and a stable, long-term framework to encourage innovation.
The document discusses renewable energy development in the Highlands and Islands region of Scotland. It notes that the region has significant renewable energy resources, including wind, wave, tidal and biomass. Highlands and Islands Enterprise (HIE) supports developing these resources to create jobs and economic opportunities for the region. HIE has invested in manufacturing, testing facilities and community-owned renewable projects. The document responds to questions in the EU Green Paper, emphasizing the importance of developing renewable energy and completing the internal energy market while protecting remote communities.
1. The British Psychological Society provided comments on the EU Green Paper on sustainable energy. It notes that behavioral changes by consumers and producers are essential to achieving carbon reduction goals, in addition to technological developments. Psychological research can help policymakers understand how to influence energy behaviors.
2. The document expresses concern that the Green Paper places little attention on controlling and reducing energy demand. A strategy for sustainable energy consumption across Europe is needed to balance the current focus on supply.
3. For a sustainable energy policy, equal priority should be given to carbon emissions as to economic costs when evaluating policy options. This would encourage consideration of alternative energy sources beyond current emphases on economic growth and energy prices.
This document proposes creating a Middle East Energy Community (MEEC) based on the European model of economic integration. The MEEC would initially focus on jointly managing oil and gas production/transportation to improve regional stability, resolve disputes over resource ownership, and encourage investment/trade. It would establish a new regional entity and legal framework to oversee the energy sector while respecting states' sovereignty. The goals are to reduce dependence on oil revenues, encourage political reform, and enable peaceful development in the region. The MEEC could eventually integrate other industries and partner with the EU, US, and other interested parties to further promote regional stability and prosperity.
This document summarizes the response from the Association of Electricity Producers (AEP) to the EU's Green Paper on energy policy. Some key points:
- AEP welcomes efforts for a more consistent EU energy policy but believes the focus should also include competitiveness and sustainability, not just security of supply.
- Full implementation of the existing energy market liberalization package is crucial, including ensuring non-discriminatory network access and removing barriers to cross-border trade.
- AEP does not see the need for a European energy regulator at this stage. Instead, greater cooperation between national regulators is needed.
- New interconnectors or gas storage should be built on a commercial basis, not
This document is a submission by Royal Dutch Shell to the EU's Green Paper on energy policy. It summarizes Shell's operations in Europe and views itself as a long-term partner in both upstream and downstream operations. The submission provides comments on six priority areas defined in the Green Paper: 1) Shell supports free and competitive energy markets that encourage investment; 2) Shell supports the establishment of an integrated European gas market but believes the existing Gas Directive is sufficient; and 3) Shell believes energy security is best achieved through a diversity of supply sources and maintains the current EU/IEA framework on oil stocks is effective.
- ScottishPower is an international energy company operating in the UK, Ireland, US and Canada. They welcome the EU's Green Paper on energy policy.
- They support the EU's emphasis on open energy markets, cost-effective policies, and impact assessments of major proposals. They agree debate is needed on the role of EU institutions in meeting energy and climate goals.
- Their response provides detailed comments on the EU's six priority areas for energy policy, including support for liberalized energy markets, concerns about new proposed institutions, and the importance of the Emissions Trading Scheme in addressing climate change.
This document contains submissions from several Scottish organizations in response to the European Commission's 2006 Green Paper on a strategy for sustainable, competitive and secure energy. The Scottish Natural Heritage submission emphasizes that EU policy should allow flexibility for individual member states to decide on issues like nuclear energy based on their own circumstances. It also argues the strategy should place more emphasis on renewable sources for heating buildings and on distributed generation. The submission further states the strategy should encourage reducing energy demand and non-essential air travel in addition to pursuing energy efficiency.
National Grid provides a response to the European Commission's Green Paper on energy strategy. They support completing the internal energy market through rigorous enforcement of existing legislation. Non-discriminatory access to energy networks is vital. Significant investment is needed to replace aging infrastructure and adapt to changes in energy sources and flows. Flexible funding mechanisms like long-term contracts and exemptions are important to support needed investments. Compatibility and cooperation between national energy systems is more important than full harmonization.
The Energy Networks Association (ENA) supports establishing a coherent EU energy policy with a strategic approach and market framework. However, the ENA questions some Green Paper proposals including a European Centre for Energy Networks and Regulator, a European Grid Code, and a Priority Interconnection Plan. The ENA believes the key priority is completing integrated EU gas and electricity markets by fully implementing 2003 directives. While cooperation between regulators and network operators needs improving, new EU bureaucracy should be avoided. Investment is also needed to replace aging infrastructure across Europe.
The document discusses the UK chemical industry's views on the European Commission's Green Paper on energy strategy. It supports the key goals in the paper, including: (1) completing the EU's internal gas and electricity markets to increase competition; (2) ensuring security of energy supply and solidarity between member states; and (3) developing a strategic energy technology plan to promote low-carbon technologies. However, it also expresses concerns about rising energy costs and the need to balance climate policy with maintaining industrial competitiveness.
The document summarizes Centrica's position on the European Commission's Green Paper on energy policy. Some key points:
- Centrica supports the Commission's objectives of energy security, competitiveness, and sustainability, and believes open energy markets are needed to achieve these goals.
- The EU should ensure an effective internal energy market and set a common climate policy framework, while member states retain control over fuel mix and energy infrastructure investment.
- Full implementation of gas and electricity directives is a priority to complete the internal energy market. More transparency is also needed in gas and electricity network information in Europe.
BG Group, an international natural gas company, supports the creation of a single European gas market to improve energy security. However, each member state should retain autonomy over its energy mix. BG Group believes that liberalizing the gas market through measures like ownership unbundling of pipelines from suppliers, effective third-party access to pipelines and storage facilities, and consistent regulation across member states would help create an open European gas market. While identifying important infrastructure projects, the European Commission should recognize that private investors will ultimately decide which projects proceed based on viability.
1. Mouvement européen 35 – Maison internationale de Rennes – 7 quai Chateaubriand – 35000 RENNES
Tél : 02 9927 2588 – e-mail : mouvementeuropeen35@wanadoo.fr
Fax : 02 9979 2144 – web : http://www.mouvement-europeen.org/
13 juin 2006
Prise de position du Mouvement européen-France, Section Ille et Vilaine,
sur la Politique européenne de l’Énergie
La section Ille et Vilaine du Mouvement européen France (ME-35) a analysé les différents enjeux
auxquels l’Union européenne est confrontée en matière de politique de l’énergie :
• comment les besoins essentiels des Européens impliquant une consommation d’énergie peuvent-ils être
satisfaits au moindre coût économique et social ?
• compte tenu du contexte géopolitique, quelles mesures prendre pour garantir l’approvisionnement de
l’Union européenne en énergie, à court terme et à moyen terme ?
• comment assurer à l’Europe un approvisionnement en énergie respectueux du développement durable
le moins coûteux possible ?
• quelles sont les obligations de service public, notamment en ce qui concerne l’électricité ?
• quelles actions doit mener l’Union européenne pour faire en sorte que l’énergie soit pour les pays les
plus pauvres un facteur de développement économique ?
Au vu de cette analyse, le ME-35 demande :
- l’instauration d’une réelle politique de gestion de l’énergie au niveau communautaire ;
- l’intégration dans un cadre européen des actuels accords bi-latéraux de fourniture de gaz et de pétrole
conclus entre des états membres et des pays producteurs ;
- la négociation d’accords de coopération avec les pays tiers producteurs d’énergies fossiles voisins de
l’Union, dans le cadre d’une politique européenne de voisinage respectueuse des valeurs de l’Union ;
- une gestion de la libéralisation du marché de l’énergie qui ne compromette ni le développement
durable, ni la sécurité d’approvisionnement et de distribution, ni les intérêts des citoyens et des opérateurs
économiques ; ceci implique que les organismes nationaux ou européens de régulation des marchés du
gaz et de l’électricité aient les moyens humains, financiers et légaux pour leur permettre d’accomplir leur
mission en toute indépendance ;
- le soutien, aux niveaux européen, national et local, des actions de réduction de consommation
d’énergie, en particulier dans l’habitat et le transport ;
- de même, et aux mêmes niveaux, le soutien financier, technique et administratif des actions de
développement des énergies renouvelables ; ces actions, conduites dans une logique de développement
durable, doivent également être en harmonie avec les autres politiques européennes, par exemple la
Politique agricole commune en ce qui concerne l’énergie dérivée de la biomasse ;
- une gestion prudente et équilibrée de la production d’électricité nucléaire, qui tienne compte des
différentes cultures nationales mais également des perspectives d’avenir (programme ITER) ;
- enfin l’inclusion dans la politique européenne de coopération économique, financière et technique avec
les pays tiers d’actions d’assistance aux pays les plus pauvres visant à leur développement économique
à travers un accès à l’énergie et à sa gestion dans le respect du développement durable.
* * *
Cette prise de position a été adoptée par consensus le 13 juin 2006 à Rennes au cours d’une réunion
“Rebonds d’Europe” ouverte aux adhérents du ME-35 et au public.
- - -
Le Mouvement européen Ille et Vilaine (ME-35) est une Section locale du Mouvement européen France, lui même
affilié au Mouvement européen International. Le Mouvement Européen France, créé en 1949, regroupe, au delà de
leur appartenance politique, les hommes, les femmes et les associations qui souhaitent s'engager en faveur de la
construction européenne. Sa vocation est de "développer dans le peuple français la prise de conscience de l'Europe,
et de la communauté de destin des peuples qui la composent".