Les collectivités à l’heure des objets connectés - E-dealLes Interconnectés
Atelier sur les nouvelles perspectives des collectivités en matière d'objets connectés
Intervention de Nathalie Guillot, E-Deal et David Rousseau de Qowisio
Les collectivités à l’heure des objets connectés - QowisioLes Interconnectés
Atelier sur les nouvelles perspectives des collectivités en matière d'objets connectés
Intervention de Nathalie Guillot, E-Deal et David Rousseau de Qowisio
6e Rapport d'Etape 34 plans nouvelle France industrielleechangeurba
Le 6e comité de pilotage du 9 juillet 2014 a validé les 7 dernières feuilles de route des 34 plans de la nouvelle France industrielle; à savoir :
Services sans contact
Biotechnologies médicales
Dirigeables – charges lourdes et drones civils
Navires écologiques
Recyclage et matériaux verts
Energies renouvelables
Nanoélectronique
Plus d'infos :
http://www.economie.gouv.fr/nouvelle-france-industrielle
http://www.gouvernement.fr/gouvernement/nouvelle-france-industrielle-les-34-plans-sont-valides
http://proxy-pubminefi.diffusion.finances.gouv.fr/pub/document/18/17780.pdf
Les collectivités à l’heure des objets connectés - E-dealLes Interconnectés
Atelier sur les nouvelles perspectives des collectivités en matière d'objets connectés
Intervention de Nathalie Guillot, E-Deal et David Rousseau de Qowisio
Les collectivités à l’heure des objets connectés - QowisioLes Interconnectés
Atelier sur les nouvelles perspectives des collectivités en matière d'objets connectés
Intervention de Nathalie Guillot, E-Deal et David Rousseau de Qowisio
6e Rapport d'Etape 34 plans nouvelle France industrielleechangeurba
Le 6e comité de pilotage du 9 juillet 2014 a validé les 7 dernières feuilles de route des 34 plans de la nouvelle France industrielle; à savoir :
Services sans contact
Biotechnologies médicales
Dirigeables – charges lourdes et drones civils
Navires écologiques
Recyclage et matériaux verts
Energies renouvelables
Nanoélectronique
Plus d'infos :
http://www.economie.gouv.fr/nouvelle-france-industrielle
http://www.gouvernement.fr/gouvernement/nouvelle-france-industrielle-les-34-plans-sont-valides
http://proxy-pubminefi.diffusion.finances.gouv.fr/pub/document/18/17780.pdf
"Big Data et objets connectés" Rapport Institut Montaigne - Avril 2015yann le gigan
>>Big Data et objets connectés. Faire de la France un champion de la révolution numérique
[institutmontaigne.org 03.04.15]
La révolution du Big data et des objets connectés crée d’immenses perspectives de création de valeur mais suscite également des interrogations nouvelles sur la protection des droits des individus. Pour renforcer la confiance entre les acteurs et soutenir le développement de modèles économiques innovants, les différentes parties prenantes doivent saisir les opportunités offertes et travailler en confiance.
http://www.institutmontaigne.org/res/files/publications/20150403_rapport%20objets%20connecte%C3%8C%C2%81s%20v8.pdf
Les Smart Grid et Smart Cities se feront via les TIC. L'enjeu est de taille pour les années qui viennent. Comment aborder les smart Grid comment les inscrire dans les smart Cities de demain ? Les TIC sont au cœur du sujet et sont incontournables pour aboutir. Les projets pilotes fleurissent, Microsoft s’investit en France sur le projet IssyGrid. Cette session proposera un panorama des enjeux et technologies et s’appuiera sur un point du projet IssyGrid (enablers et blockers)
Mmn ville de montréal - le plan de transport de montréalTechnoMontréal
Présentation de Guillaume Longchamps, conseiller en planification, Ville de Montréal,.
Le Plan stratégique des systèmes de transport intelligents
Atelier 2 de Montréal Métropole Numérique (MMN) ayant eu lieu le 8 décembre 2010.
Discussions des deux groupes formés pour l'atelier 2 de Montréal Métropole Numérique (MMN) ayant eu lieu le 8 décembre 2010.
Thème: Transports intelligents (STI)
Mmn - AMT - les sti , outils d'incitation à l’utilisation des transports coll...TechnoMontréal
Présentation de Michael De Santis, coordonnateur des systèmes de transport intelligents (STI), Agence métropolitaine de transports (AMT)
Stratégie des systèmes de transport intelligents de l’AMT
Atelier 2 de Montréal Métropole Numérique (MMN) ayant eu lieu le 8 décembre 2010.
Présentation du secteur TIC : Composition, spécialisations, forces, faiblesses, opportunités, menaces, projets. Comparaison avec le secteur TIC alsacien. Présentation de la Charte eTIC (Exposé à l'Université de Strasbourg, à l'attention des étudiants en Master 2 Commerce Electronique et des entreprises du Cluster RhénaTIC)
Nous vivons depuis plusieurs années une double crise conjoncturelle et structurelle avec une triple transition écologique, énergétique et numérique. Cela entraine une remise en cause des modes de consommation donc des modèles économiques et des modalités de la mondialisation donc de la division internationale du travail.
[FR] Cercle Premier RSE : COP 21, comment le digital peut aider ? #CercleRSEOrange Business Services
Vendredi 15 janvier 2016, Orange organisait une matinée #CercleRSE pour faire le point quelques semaines après la fin de la COP21 et explorer les pistes et leviers numériques capables d'aider les entreprises à réduire leur empreinte écologique.
"Big Data et objets connectés" Rapport Institut Montaigne - Avril 2015yann le gigan
>>Big Data et objets connectés. Faire de la France un champion de la révolution numérique
[institutmontaigne.org 03.04.15]
La révolution du Big data et des objets connectés crée d’immenses perspectives de création de valeur mais suscite également des interrogations nouvelles sur la protection des droits des individus. Pour renforcer la confiance entre les acteurs et soutenir le développement de modèles économiques innovants, les différentes parties prenantes doivent saisir les opportunités offertes et travailler en confiance.
http://www.institutmontaigne.org/res/files/publications/20150403_rapport%20objets%20connecte%C3%8C%C2%81s%20v8.pdf
Les Smart Grid et Smart Cities se feront via les TIC. L'enjeu est de taille pour les années qui viennent. Comment aborder les smart Grid comment les inscrire dans les smart Cities de demain ? Les TIC sont au cœur du sujet et sont incontournables pour aboutir. Les projets pilotes fleurissent, Microsoft s’investit en France sur le projet IssyGrid. Cette session proposera un panorama des enjeux et technologies et s’appuiera sur un point du projet IssyGrid (enablers et blockers)
Mmn ville de montréal - le plan de transport de montréalTechnoMontréal
Présentation de Guillaume Longchamps, conseiller en planification, Ville de Montréal,.
Le Plan stratégique des systèmes de transport intelligents
Atelier 2 de Montréal Métropole Numérique (MMN) ayant eu lieu le 8 décembre 2010.
Discussions des deux groupes formés pour l'atelier 2 de Montréal Métropole Numérique (MMN) ayant eu lieu le 8 décembre 2010.
Thème: Transports intelligents (STI)
Mmn - AMT - les sti , outils d'incitation à l’utilisation des transports coll...TechnoMontréal
Présentation de Michael De Santis, coordonnateur des systèmes de transport intelligents (STI), Agence métropolitaine de transports (AMT)
Stratégie des systèmes de transport intelligents de l’AMT
Atelier 2 de Montréal Métropole Numérique (MMN) ayant eu lieu le 8 décembre 2010.
Présentation du secteur TIC : Composition, spécialisations, forces, faiblesses, opportunités, menaces, projets. Comparaison avec le secteur TIC alsacien. Présentation de la Charte eTIC (Exposé à l'Université de Strasbourg, à l'attention des étudiants en Master 2 Commerce Electronique et des entreprises du Cluster RhénaTIC)
Nous vivons depuis plusieurs années une double crise conjoncturelle et structurelle avec une triple transition écologique, énergétique et numérique. Cela entraine une remise en cause des modes de consommation donc des modèles économiques et des modalités de la mondialisation donc de la division internationale du travail.
[FR] Cercle Premier RSE : COP 21, comment le digital peut aider ? #CercleRSEOrange Business Services
Vendredi 15 janvier 2016, Orange organisait une matinée #CercleRSE pour faire le point quelques semaines après la fin de la COP21 et explorer les pistes et leviers numériques capables d'aider les entreprises à réduire leur empreinte écologique.
Le CITC en 2013 c'est : 88 adhérents l 20 conférences thématiques l 2 commissions-groupes de travail l 95 personnes formées aux technologies sans contact l 35 expertises technologiques l 8 formations développées l 15 partenariats l un réseau national et international l des projets européens et structurants !
Objets connectés et Data Science, quels usages marketing ?
Les objets connectés provoquent un véritable déluge de données. Les techniques de Machine Learning et de Data Science combinées aux technologies Big Data permettent de transformer ces données en connaissance actionnable pour améliorer l’expérience utilisateur, la qualité des produits ou l’efficacité des processus. Quelles données remontent de l’IoT ? quelles techniques permettent d’en extraire de la connaissance utile ? comment cette connaissance peut-elle créer de la valeur ?
Que ce soit dans le domaine de la santé, de la domotique, des véhicules, des réseaux de distribution, la quantité d’objets connectés croît de manière exponentielle. Dans le même temps, les innovations technologiques concourent à augmenter la fréquence et la quantité d’informations captée et exploitable.
Les services rendus à son utilisateur par chaque objet connecté reposent sur la donnée collectée et son analyse. Mais l’accumulation de données que rendent possible les technologies Big Data et la puissance d’analyse qu’offrent les techniques de Deep Machine Learning et de Data Science ouvrent de nouveaux horizons à l’utilisation marketing des données de l’IoT : primes d’assurances tarifées à l’usage, prévisions des ventes de produits frais ou des consommations d’énergie, anticipation des files d’attente en caisse, yield management et pricing dynamique, ...
Ce séminaire prospectif vise à présenter au travers de quelques exemples, les données, les technologies et les techniques sous-jacentes à l’analyse de données massives produites par les objets connectés ainsi que des conseils sur les modalités pratiques de mise en œuvre.
PREDICTIONS IDC 2014 - LES NOUVEAUX FACTEURS DE COMPETITIVITE BASES SUR LA 3EME PLATEFORME INFORMATIQUE
Sébastien Lamour, Research and Consulting Manager, IDC
Les Rencontres Services Publics 2.0 avec Alcatel Lucent, UGAP et le Groupe Resadia Matinée Clients de Nice du 20 novembre 2014 avec une étude de MARKESS
Les Rencontres Services Publics 2.0 avec Alcatel Lucent, UGAP et le Groupe Resadia Matinée Clients de Lille du 27 novembre 2014 avec une étude de MARKESS
Dans un marché du travail tendu, les demandeurs d'emploi acquièrent un pouvoir de négociation qui leur permet d'améliorer la qualité de leurs emplois — c'est du moins ce que l'on croit généralement.
Michael Willcox, économiste, CIMT, a présenté des résultats qui révèlent un affaiblissement de la relation entre le resserrement du marché du travail et les indicateurs de qualité de l'emploi à la suite de la pandémie. Le resserrement du marché du travail a coïncidé avec la croissance des salaires réels pour une partie seulement des travailleurs : ceux qui occupent des emplois peu rémunérés nécessitant peu d'éducation. Plusieurs facteurs — notamment la composition du marché du travail, le comportement des travailleurs et des employeurs, et les pratiques du marché du travail — ont contribué à l'absence d'avantages pour les travailleurs. Ces facteurs feront l'objet d'une étude plus approfondie dans le cadre de travaux futurs.
Les offres d’emploi en ligne deviennent une ressource essentielle pour les décideurs et les chercheurs qui étudient le marché du travail. Le CIMT continue de travailler avec les données de Vicinity Jobs tirées des offres d’emploi en ligne, qui peuvent être analysées dans notre
tableau de bord des tendances de l'emploi au Canada. Notre analyse des données provenant des offres d’emploi en ligne a permis d'obtenir des informations précieuses, notamment le
récent rapport
de Suzanne Spiteri sur l'amélioration de la qualité et de l'accessibilité des offres d'emploi afin de réduire les obstacles à l'emploi pour les personnes neurodivergentes.
Les données d’offres d’emplois en ligne d'entreprises telles que Vicinity Jobs servent de plus en plus de complément aux sources traditionnelles de données sur la demande de main-d'œuvre, telles que les enquêtes sur les postes vacants et les salaires (EPVS). Ibrahim Abuallail, candidat au Ph. D., Université d’Ottawa, a présenté la recherche relative aux biais dans les offres d’emploi en ligne et une approche proposée pour rajuster efficacement les données de ces offres d’emploi afin de compléter les données officielles existantes (telles que celles des EPVS) et d'améliorer la mesure de la demande de main-d'œuvre.
Les données de Vicinity Jobs englobent plus de trois millions d'offres d'emploi en ligne pour 2023 ainsi que des milliers de compétences. La plupart des compétences apparaissent dans moins de 0,02 % des offres d'emploi, de sorte que la plupart des offres reposent sur un petit sous-ensemble de termes couramment utilisés, comme le travail en équipe.
Laura Adkins-Hackett, économiste, CIMT, et Sukriti Trehan, scientifique de données, CIMT, ont présenté leurs recherches sur les tendances relatives aux compétences répertoriées dans les offres d’emploi en ligne afin de mieux comprendre les compétences les plus en demande. Ce projet de recherche utilise l'information mutuelle spécifique et d'autres méthodes pour extraire davantage d'informations sur les compétences communes à partir des relations entre les compétences, les professions et les régions.
Comment réindustrialiser la France et « sauver l’humanité » grâce à un club c...Nicolas Meilhan
Huit ans après la COP21, la transition énergétique est en panne sèche. Malgré les bonnes volontés, des normes de plus en plus sévères et des investissements pharaoniques dans les énergies renouvelables, nous échouons à décarboner l’économie mondiale. Huit ans après Le Bourget, l’Humanité persiste dans sa schizophrénie climatique. Alors que le réchauffement s’accélère en rythmant notre quotidien, la consommation mondiale de combustibles fossiles bat des records d’année en année.
Et le ciel continue de s’assombrir. Tandis que les pays émergents, Chine et Inde en tête, continuent de privilégier légitimement leur développement en augmentant significativement leur consommation de fossiles, une « bulle verte » est en train d’exploser en Europe. Eoliennes, panneaux solaires, hydrogène, voitures électriques et même Pompes à Chaleur tous les indicateurs sont dans le rouge vif. La faute notamment au prix des matières premières et aux taux d’intérêts qui ont érodé un peu plus la rentabilité déjà faible de projets verts.
Les politiques publiques aujourd’hui engagées nous dirigent vers le scénario SSP4 du GIEC correspondant à un réchauffement de 2,7° à l’horizon 2100. Un scénario principalement dans les mains des pays émergents. Comptant aujourd’hui pour 82% de la population mondiale, ils représenteront 90% des émissions à l’horizon 2050.
Face à cette situation il est impératif de changer de logiciel s’attaquant en priorité à l’électricité charbonnière (27% des émissions mondiales) concentrée à 93% dans un « club » de 14 pays produisant plus de 100 TWh/an. Parallèlement il faudrait constituer un « fonds climat » permettant d’aider les pays les plus pauvres à s’adapter aux conséquences du réchauffement dont 90% des victimes se situent dans les pays émergents.
Pour conjuguer les deux objectifs, nous proposons d’instaurer une taxe à l’importation égale à un quart du pourcentage électrique charbonnier sur les biens en provenance du « club des 14 ». Collectés par un organisme international, les fonds seraient ensuite redistribués aux pays les plus pauvres pour qu’ils puissent à la fois assurer leur transition et surtout s’adapter au réchauffement.
La méthode est triplement vertueuse. Renchérissant le prix des produits exportés, elle encouragerait le « Club 14 » à déplacer rapidement son électricité charbonnière vers des sources décarbonées, elle inciterait le consommateur à réorienter ses achats vers
des produits à empreinte carbone plus faible, elle permettrait aux pays les plus pauvres de financer massivement leurs projets d’atténuation et surtout d’adaptation indispensables à leur survie face au réchauffement climatique. Elle ne pourrait toutefois s’appliquer qu’avec un assentiment mondial voté au niveau de la Conférence des Parties.
2. SOMMAIRE
Introduction
Usage
La transition numérique
Numérique et Plans Industriels
Numérique et territoires
Diffusion du numérique et emploi
Numérique et Secteurs de la Communication du Conseil et de la Culture
Synthèse
S’engager pour chacun, agir
pour tous
3. Nous vivons depuis plusieurs années une double crise :
Conjoncturelle
Structurelle
On sait où l’on est.
On ne sait pas où l’on va.
On se sait pas comment on y va.
0
5
Avec une triple transition
Ecologique
Energétique
Numérique
Remise en cause
Des modes de consommation donc des modèles économiques
Des modalités de la mondialisation donc de la division internationale du travail
4. L’usage mélange intimement:
Biens
Services
Inventions intellectuelles
(Partage d’informations)
Et la personne qui fait l’expérience de l’usage
Plus il y a d’informations partagées, plus l’expérience de
l’utilisateur augmente, plus la valeur de l’usage augmente alors
que les coûts unitaires restent identiques ou baissent.
1
5
Remise en cause
De l’opposition« Production de Biens » / « Production de services »
Des modèles en silos
5. La valeur ajoutée peut être captée par celui qui accède à
l’utilisateur
Facture
Aux informations valorisables
Certains acteurs perdent l’accès à leurs clients et donc
régressent dans la chaine de la valeur (par exemple hôtellerie)
1
5
De la concurrence frontale à des modèles économiques variés
Paiement à l’usage
Paiement à l’économie
Valorisation des données
Publicité
Publicité valorisant l’usage
…
8. SOMMAIRE
Introduction
Usage
La transition numérique
Numérique et Plans Industriels
Numérique et territoires
Diffusion du numérique et emploi
Numérique et Secteurs de la Communication du Conseil et de la Culture
Synthèse
S’engager pour chacun, agir
pour tous
9. En passant d’une économie de la possession à une économie de
l’utilisation, on peut
Réduire la production de biens (autopartage, covoiturage…)
Réduire la consommation d’énergie (un même opérateur pouvant à
la fois vendre de l’isolation, de l’énergie et trouver un modèle
économique)
Favoriser l’économie circulaire (Un Data Center peut être source
d’énergie)
Favoriser le recyclage et/ou la réutilisation (un bien qui n’est pas
vendu peut être reconditionné lorsqu’il n’a plus l’usage initial)
2
5
Contribuer à l’émergence de nouveaux besoins sociétaux
Services de mobilité de proximité
Adaptation des logements (énergie, accessibilité, maintien à domicile, sécurité)
Autonomie des personnes âgées
Santé (télémédecine…)
E-education …
10. En permettant le partage de l’information elle permet :
L’industrialisation de l’économie de l’usage
Et de concrétiser l’économie de la qualité
La transition numérique est en cours, l’enjeu est de savoir si
nous regardons les trains passer ou si nous savons nous
engager sur quelques sujets
2
5
Exemple
Partage des données sur les transports publics, les encombrements de
circulation, les utilisateurs ayant des places disponibles dans leur voiture, la
localisation des taxis permet de développer un usage de la mobilité
L’ouverture des données de l’assurance maladie permet un pilotage très en
amont des effets réels des médicaments
…
11. 2
5
Missions (rôle global d’aide à la décision)
• Trier, rassembler, enrichir et diffuser auprès des acteurs publics et privés les indicateurs
les plus pertinents
• Un producteur de données – Orchestrer la mise en œuvre d’études prospectives dans le
domaine du numérique sur les problématiques à fort enjeu
• Un espace de réflexion – fournir un diagnostic économique, social et sociétal de
l’évolution de l’économie du numérique et de son impact sur la croissance et la
productivité
La F3C à l’observatoire du numérique
Co-présidence du groupe de travail « emploi formation et RSE »
Mise en place d’un tableau de bord « emploi, compétences et formation »
utilisé par le groupe de travail stratégie prévisionnelle des emplois et des
compétences du CSF Numérique
5 groupes de travail
• Secteur producteur des TIC
• Infrastructures
• Emploi, formation et RSE
• Usages grand public et activités en ligne
• Usages et compétitivité des entreprises
12. 2
5
Emploi - Compétences : construction d’un double référentiel
• Objectifs
• Que tout salarié ayant un métier du numérique puisse se retrouver dans un
référentiel métier
• Que toute entreprise de la filière du numérique puisse se retrouver dans un
référentiel entreprise
• Que toute production de chiffres soit accompagnée du contenu des périmètres
utilisés (« savoir de quoi on parle » en affichant « ce qu’il y a et ce qu’il n’y a pas »)
• Un référentiel métiers
• À partir des référentiels de branches (observatoires des métiers et OPCA),
• en croisant avec les référentiels métiers spécialisés du numérique (Cigref , Apec)
• en croisant avec les référentiels des producteurs institutionnels (Insee, Dares, Pôle
Emploi, etc.)
• Un référentiel entreprises
• En repérant les codes Naf à partir de la présence d'un nombre significatif de métiers
de la filière du numérique.
• En les classant suivant les secteurs (producteur de Stic, nouvelle économie et
usagers des Stic et du numérique)..y compris centres d’appels
• En complétant avec d'autres référentiels (ex. : fédérations d'employeurs, CCI, etc..
14. 2
5
NAF Libellé Naf ETP total % Femmes % Hommes
261 Fabrication de composants et cartes électroniques 39 840 38% 62%
262 Fabrication d'ordinateurs et d'équipements périphériques 3 564 35% 65%
263 Fabrication d'équipements de communication 21 468 25% 75%
264 Fabrication de produits électroniques grand public 1 308 43% 57%
268 Fabrication de supports magnétiques et optiques 96 50% 50%
465 Commerce de gros d'équipements de l'information et de la communication 55 956 31% 69%
582 Édition de logiciels 44 928 29% 71%
611 Télécommunications filaires 107 712 35% 65%
612 Télécommunications sans fil 26 808 43% 57%
613 Télécommunications par satellite 2 184 35% 65%
619 Autres activités de télécommunications 13 164 31% 69%
620 Programmation, conseil et autres activités informatiques 266 100 23% 77%
631 Traitement de données, hébergement et activités connexes ; portails Internet 45 228 41% 59%
951 Réparation d'ordinateurs et d'équipements de communication 13 536 24% 76%
641 892 30% 70%TOTAL
3 % de CDD
9240 apprentis
Chiffres 2010
Données issues de DADS (INSEE)
Données retraitées (N)
Année 2010
15. 2
5
Ile de France 310416 48,36%
Rhône Alpes 72924 11,36%
PACA 39456 6,15%
Midi
Pyrénées
29568 4,61%
Pays de la
Loire
29556 4,60%
Bretagne 26928 4,20%
Nord Pas de
Calais
22896 3,57%
Aquitaine 18912 2,95%
Centre 16668 2,60%
Languedoc
Roussillon
13752 2,14%
Alsace 11796 1,84%
Haute
Normandie
8016 1,25%
Lorraine 7356 1,15%
Picardie 6492 1,01%
Basse
Normandie
5472 0,85%
Bourgogne 5424 0,85%
Poitou
Charentes
5400 0,84%
Auvergne 4644 0,72%
Champagne
Ardenne
3864 0,60%
Franche
Comté
3252 0,51%
Reunion 2976 0,46%
Limousin 2964 0,46%
Martinique 1752 0,27%
Guadeloupe 1584 0,25%
Corse 912 0,14%
Guyane 552 0,09%
Etranger 492 0,08%
16. 2
5
Total Pourcentage
Ingénieurs et cadres d'étude, recherche et développement en informatique 135384 21,09%
Chefs de projets informatiques, responsables informatiques 41124 6,41%
Professions intermédiaires administratives de France Télécom (statut public) 34080 5,31%
Ingénieurs et cadres d'administration, maintenance, support et services aux utilisateurs
en informatique
25752 4,01%
Techniciens d'étude et de développement en informatique 25728 4,01%
Techniciens d'installation, de maintenance, support et services aux utilisateurs en
informatique
20472 3,19%
Techniciens des télécommunications et de l'informatique des réseaux 19536 3,04%
Ingénieurs et cadres spécialistes des télécommunications 16020 2,50%
Employés et opérateurs d'exploitation en informatique 14340 2,23%
Ingénieurs et cadres technico-commerciaux en informatique et télécommunications 14208 2,21%
Cadres administratifs de France Télécom (statut public) 14088 2,19%
Cadres commerciaux des petites et moyennes entreprises (hors commerce de détail) 14064 2,19%
Employés administratifs qualifiés des autres services des entreprises 10248 1,60%
Cadres des autres services administratifs des grandes entreprises 9276 1,45%
17. 5
Total Pourcentage
Techniciens commerciaux et technico-commerciaux, représentants en informatique 9276 1,45%
Techniciens de production, d'exploitation en informatique 9120 1,42%
Employés qualifiés des services commerciaux des entreprises (hors vente) 8376 1,30%
Secrétaires 7236 1,13%
Experts de niveau technicien, techniciens divers 7008 1,09%
Cadres chargés d'études économiques, financières, commerciales 6288 0,98%
Cadres des autres services administratifs des petites et moyennes entreprises 6156 0,96%
Ingénieurs et cadres d'étude, recherche et développement en électricité, électronique 6132 0,96%
Employés qualifiés des services comptables ou financiers 5700 0,89%
Cadres commerciaux des grandes entreprises (hors commerce de détail) 5508 0,86%
Cadres des services financiers ou comptables des petites et moyennes entreprises 5292 0,82%
Techniciens d'installation et de maintenance des équipements industriels (électriques,
électromécaniques, mécaniques, hors informatique)
5124 0,80%
Employés de France Télécom (statut public) 5088 0,79%
Vendeurs en ameublement, décor, équipement du foyer 5028 0,78%
Techniciens de recherche-développement et des méthodes de fabrication en électricité,
électromécanique et électronique
4704 0,73%
Opérateurs qualifiés sur machines automatiques en production électrique ou électronique 4584 0,71%
Autres professions intermédiaires commerciales (sauf techniciens des forces de vente) 4464 0,70%
Chefs de produits, acheteurs du commerce et autres cadres de la mercatique 4440 0,69%
Cadres spécialistes des ressources humaines et du recrutement 3936 0,61%
Cadres de l'organisation ou du contrôle des services administratifs et financiers 3876 0,60%
Techniciens de fabrication et de contrôle-qualité en électricité, électromécanique et électronique 3816 0,59%
Divers 126444 19,70%
2
18. 2
5
Conseil National de l’Industrie (CNI)
=> 13 Comités Stratégiques de Filière (CSF)
CSF Numérique : Renforcer la compétitivité de la filière numérique, notamment par
la construction d’une relation durable entre les différents acteurs
Missions
• Effectuer un diagnostic et un suivi de l’évolution des activités du numérique, de l’emploi
industriel et de l’adéquation du dispositif de formation et des mesures de politique
industrielle spécifique à la filière
• Définir une stratégie à moyen terme de faire émerger des propositions d’actions afin de
développer la compétitivité, l’activité et d’évaluer le résultat des actions
• Développer et entretenir un dialogue entre les différents acteurs de la filière sur la
stratégie définie, notamment dans les relations entre les GE et les PME
Composition
• Associations représentant ou regroupant des entreprises de la filière (16)
• Syndicats de salariés (5)
• Organismes spécialisés : recherche, animation collective, enseignement, formation (7)
• Etat, collectivités locales et organisations du secteur public (7)
• Personnalités qualifiées (10)
La F3C au CSF Numérique
Bureau : Ivan Beraud, Secrétaire Général F3C
Comité de pilotage des projets : Ivan Beraud
19. Engagements réciproques de l’Etat
et des entreprises de la filière
2
5
• Emploi, compétences et métiers : mise en place d’une GPEC de filière
Systématiser le volet emploi-compétences dans les actions du CSF
Avoir une vision fiable, pertinente et partagée
Utiliser le tableau de bord élaboré
par l’observatoire du numérique
Assurer cohérence et synergie entre entreprises,
branches prof., politiques nationales et territoriales…
Soutenir le dialogue social : branches, entreprises, structures paritaires
(observatoire, CPNE, OPCA…)
• Alternance et formation aux métiers du très haut débit : 40 000 alternants en 2017
Négociations: insertion des jeunes, apprentissage, professionnalisation
• Responsabilité sociale des entreprises (RSE)
Aboutir à un accord RSE de filière
Décliner en accords RSE de branches
Décliner en accords RSE d’entreprises
• Relations entre entreprises, médiation, partenariats « verticaux » de recherche
• Développer les activités à l’export pour créer de l’emploi en France
• Sans contact mobile => devenu un des 34 plans industriels
• Villes et territoires numériques
Etre leader
S’appuyer sur la norme ISO 26 000
Accords GPEC (branches,
entreprises…)
20. SOMMAIRE
Introduction
Usage
La transition numérique
Numérique et Plans Industriels
Numérique et territoires
Diffusion du numérique et emploi
Numérique et Secteurs de la Communication du Conseil et de la Culture
Synthèse
S’engager pour chacun, agir
pour tous
21. Lancement, en septembre 2013, par le Président de la République
S’appuyant sur les travaux du Conseil National de l’Industrie,
sous la conduite du Ministère du Redressement Productif,
en lien avec les pôles de compétitivité et les comités stratégiques de filière.
Pour chaque plan, un chef de projet, responsable de
- réunir tous les acteurs
- construire la feuille de route de façon concrète et opérationnelle, en associant les filières
concernées.
Le financement : principalement l’investissement privé, complété par le programme
d’investissements d’avenir.
La conférence sociale de juin : « développer les filières et anticiper les emplois de demain ».
La stratégie productive offensive telle que la revendique la CFDT : au service de la transition
écologique, innovante, et répondant aux besoins de la société.
Les points de vigilance CFDT :
- La coopération au sein des filières (entreprises, organisations syndicales) sur la définition de
la feuille de route sur l’ensemble des aspects (stratégie, emploi, formation, compétences,….) ;
- La prise en compte par la négociation sur la formation professionnelle des besoins en
compétences générés par ces 34 plans ;
- L’ancrage territorial de ces plans : une gouvernance adaptée et une place reconnue aux
partenaires sociaux pour s’assurer de la cohérence des actions en faveur de l’emploi, de la
formation et du développement économique.
3
5
A 10 ans, 480 000 emplois
et 45,5 MM€ de valeur
ajoutée dont 40% à l’export
22. Liés aux usages
HOPITAL NUMERIQUE
E EDUCATION
REALITE AUGMENTEE
SERVICES SANS CONTACT
BIG DATA
Autour des infrastructures et des matériels
NANOELECTRIQUE
SUPERCALCULATEURS
ROBOTIQUE
Entre infrastructures et usages
CLOUD COMPUTING
LOGICIELS ET SYSTEMES EMBARQUES
OBJETS CONNECTES
VEHICULES A PILOTAGE AUTOMATIQUE associé
RESEAUX ELECTRIQUES INTELLIGENTS associé
Enjeux de société
SOUVERAINETE TELECOMS
CYBERSECURITE
USINE DU FUTUR associé
3
5
23. SOMMAIRE
Introduction
Usage
La transition numérique
Numérique et Plans Industriels
Numérique et territoires
Diffusion du numérique et emploi
Numérique et Secteurs de la Communication du Conseil et de la Culture
Synthèse
S’engager pour chacun, agir
pour tous
24. Le numérique : filière mais aussi activité transverse
C’est dans les territoires que peuvent se définir les usages
sociétalement utiles
Dans les territoires, que se concrétisent véritablement les usages
Dans un réseau mondial, construisons localement des usages
socialement utiles pour ancrer l’emploi dans les territoires.
4
5
Les axes du contrat de filières
favoriser la création d’une offre « française » de la Ville et des territoires
développer une architecture numérique ouverte du « système territoire »
Mise en réseaux des objets
Collecte et traitement des données issues et vers les objets.
Applications (restitution et portails)
Tableau de bord de pilotage de la ville
25. SOMMAIRE
Introduction
Usage
La transition numérique
Numérique et Plans Industriels
Numérique et territoires
Diffusion du numérique et emploi
Numérique et Secteurs de la Communication du Conseil et de la Culture
Synthèse
S’engager pour chacun, agir
pour tous
26. Dans le monde des usages, la valeur se situe dans l’interface avec
les utilisateurs
Création de valeurs et donc d’emploi dans cet interface
Cet interface n’est pas nécessairement à très haut niveau de
qualification
Il s’agit d’emploi soit technique
Licence, DUT
Soit à technicité réduite mais à acquisition d’expérience
de niveau CAP, Bac Pro
Dans les secteurs producteurs, l’emploi du numérique est
aujourd’hui hautement qualifié,
Par contre dans les secteurs utilisateurs, l’apparition du
numérique n’a aucune raison de faire varier sensiblement les
niveaux de qualification
Un gisement d’emplois existe dans le secteur des interfaces
5
5
27. Le numérique : Une mutation profonde des attentes
Les entreprises ne se digitalisent plus seulement pour offrir des services à
distance mais pour répondre à une mutation profonde des attentes des usagers.
La question est de savoir comment les marques peuvent reconstruire une
proximité avec leurs clients grâce aux nouvelles technologies.
Source : Louis Treussard DG de l’Atelier
5
5
Au-delà de l’installation d’un produit digital
Face aux changements, faire plus que livrer un produit digital.
Elles devront également être en mesure d’apporter un service à valeur ajoutée
en branchant le produit,
l’installant
et le rendant compatible avec l’écosystème des objets déjà connectés chez
les clients.
La promesse de configurer, expliquer chez le client ces services devient un
argument de vente majeur et un élément de fidélisation.
Hier, seul le facteur avait cette proximité du «dernier mètre »
28. Une omniprésence d’objet numérique fragile
Le développement de la domotique, des soins à domicile, du nomadisme, de
l’intelligence des objets et tout simplement de la ville connectée avec un
écosystème d’acteurs (commerçants, loisirs, transports en commun, organismes
publics) est déjà une réalité.
Des exemples de mondes qui se connectent :
le monde des capteurs : multi fonctions et nécessaires pour alimenter les
bases de données avec des informations provenant du monde réel
(température, pression, fumée, luminosité…)
le monde des objets connectés : électroménager, chauffage, lampe,
alarme...
Le monde du web : applications, navigateur...
le monde des devices multi formats : ordinateur, tablette, mobile, montre,
TV...
le monde des périphériques : box tv/internet, imprimante, scanner,
imprimantes 3D...
Source : Louis Treussard DG de l’Atelier
5
5
29. Les conditions de fonctionnement de ce patrimoine numérique
Interopérabilité (connexion filaire, wifi, mobile…)
Mises à jour (nouvelles versions des logiciels, d’applications)
Capacité de gestion des nouveaux éléments s’ajoutant à ce patrimoine digital
Facilité d’utilisation et de compréhension
Source : Louis Treussard DG de l’Atelier
5
5
Des emplois à niveau CAP ou bac
On a tendance à associer le digital à des cursus longs et parfois élitistes,
la formation de ces « plombiers » de niveaux CAP ou Bac permettrait
d’apprendre les fondamentaux du numérique
connecter un appareil,
mettre à jour des logiciels,
réparer des capteurs,
rendre compatible des appareils entre eux
ou simplement pour expliquer de façon intelligible des logiciels.
30. Travailler pour qui ?
De nombreux acteurs sont susceptibles de développer en leur sein ou
d’utiliser cette nouvelle profession
Des distributeurs existants de type FNAC, Darty, Boulanger…
Réseaux de proximité existants(La Poste, Buralistes – voir projet
Nickel…)
Des réseaux de services à la personne de type O2
Des réseaux de services numériques de Type Orange, SFR, Bouygues…
afin de développer des services de proximité
centrés sur les clients
proposant un réel SAV
et des modèles de distribution clé en main.
Source : Louis Treussard DG de l’Atelier
5
5
Ces « plombiers du digital » seront le lien humain essentiel entre une
entreprise et le client final. Pour que le digital ne soit pas vécu comme un
processus à distance à la fois compliqué et déshumanisé mais comme
une réelle aide locale humaine, créatrice de lien social.
31. Les TIRM
Techniques
Les compétences techniques nécessaires à son travail
Informationnels
Capacité à acquérir et gérer l’information
Relationnel
Capacité à gérer ses relations à la fois
Utiliser le numérique
En utilisant le numérique
Métacognitif
La capacité à faire un diagnostic de ses propre point fort / point faible
concernat le numérique
Par ex savoir que je suis noyé par mes mails
Source : Etudiants de Telecom EM
5
5
32. SOMMAIRE
Introduction
Usage
La transition numérique
Numérique et Plans Industriels
Numérique et territoires
Diffusion du numérique et emploi
Numérique et Secteurs de la Communication du Conseil et de la Culture
Synthèse
S’engager pour chacun, agir
pour tous
34. Les centres de relations clients:
Très dépendants de l’activité et de la stratégie des donneurs d’ordre
Capacité incertaine à être
un innovateur,
un investisseur
dans la fourniture d’usages dans le monde de la relation client
Et donc de réduire la dépendance par rapport aux donneurs d’ordre
En montant dans la chaîne de valeur
Bénéficient positivement de la numérisation des autres acteurs et donc du besoin
d’interface avec le client
6
5
35. SSII, éditeurs de logiciels
Très dépendants de l’activité et de la stratégie des donneurs d’ordre
Bénéficient positivement d’un besoin de production de la numérisation
des autres acteur
Capacité incertaine à être
un innovateur,
un investisseur
dans la fourniture d’usages
Et donc de réduire la dépendance par rapport aux donneurs d’ordre
En montant dans la chaîne de valeur
6
5
36. Monde des télécoms
Très dépendant des décisions des régulateurs
Bénéficie positivement d’un besoin de production de la numérisation des
autres acteur
Capacité incertaine à réinventer un modèle économique compatible avec
un modèle de production à bas coût
Risque de perte du monopole de l’accès direct au client
Voir risque de désintermédiation
Capacité incertaine à être
un innovateur,
un investisseur
dans la mise en place d’usages
Et donc de réduire le risque de baisse dans la chaîne de valeur
6
5
37. Les médias papiers:
Sous les multiples problématiques
Concurrence des médias numériques
Question de la gratuité (Journaux gratuits, TV, Internet…)
Question de la légitimité
Capacité incertaine du modèle économique
Qui paye ? sur quelle base ?
Qui est le produit ?
Le consommateur, l’information, la structure de l’information,
l’information sur l’utilisateur…
Perte du lien aux consommateurs
Liseuses et plus généralement terminaux, stores, distributeurs…
Capacité incertaine à construire des usages
Capacité incertaine à les solvabiliser
6
5
38. Poste et logistique:
Bénéficie positivement de la numérisation des autres acteurs
et donc du besoin d’interface avec le client
Un outil industriel moderne (et peut-être en surcapacité)
Mais quelle capacité à construire des usages
compréhensibles pour les entreprises et les particuliers ?
Un fantastique réseau de proximité
Mais comment l’utiliser à plein ?
Comment le voir non pas comme un coût mais comme un
avantage concurrentiel ?
Comment l’intégrer à des usages du numérique ?
Quelle dépendance vis-à-vis des donneurs d’ordre ?
Quelle capacité d’innovation pour monter dans la chaîne de
valeur en utilisant le lien direct aux clients ?
6
5
39. Pour résumer:
Des secteurs qui fonctionnent en silo
Peu de coopération
Au sein d’un même secteur, des acteurs qui fonctionnent sur un mode de
concurrence frontale
Peu de coopération
Des acteurs qui construisent peu de coopération sur une base
européenne ou mondiale
Des outils industriels et des services pertinents et innovants
Une industrie et un artisanat de contenu dynamique et original
Mais pas de construction d’usage intelligible pour les entreprises, les
administrations et les particuliers
Risque de passer à coté de la construction des usages de demain
Risque de descendre dans la chaine de valeur
Risque fort pour l’emploi
6
5
40. 0
5
Numérisation de
l’économie
Activité
économique des
donneurs d’ordres
et clients
Mutation des
Usages
Construction
d’usages
pertinents
Concurrence
frontale
Régulation
idéologique
Coopération RSE
Outils
industriels et
de services,
contenus
pertinents
Plans
industriels
GPEC
Plans
industriels
Gestion
de
l’emploi
Rôle du
comité de
filière et de
l’observatoire
du numérique
Objectif des 34 plans industriels : contribuer à répondre aux défis de la transition énergétique et écologique, aux besoins sociétaux et de la révolution numérique et technologique.
Ambition de reconquête industrielle, de développement de la production sur notre territoire, de créations d’emplois dans l’industrie et dans les services associés.