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1921-2010
LES PETITES ROBES NOIRES
Collection Didier Ludot
Paris, le 3 octobre 2017
Agrément N° 2001 – 002 du 25 octobre 2001
Vente dirigée par Jeanne Calmont
Communiqué de presse Paris
Sotheby’s : 33 (0)1 53 05 53 66 | Sophie Dufresne | sophie.dufresne@sothebys.com
33 (0)1 53 05 52 32 | Chloé Brézet | chloe.brezet@sothebys.com
By Jenny | 33 (0)6 76 40 73 05 | jenny@by-lj.com
1921-2010
LES PETITES ROBES NOIRES
Collection Didier Ludot
– Plus de 140 créations Haute Couture –
2
PARIS, juin 2017 – Sotheby’s est heureuse d’annoncer sa deuxième vente Haute Couture, le mardi
3 octobre à Paris. La maison soumet au feu des enchères 140 « petites robes noires » issues de la
collection personnelle de Didier Ludot, avec le concours de Kerry Taylor Auctions. En juillet 2015,
Sotheby’s France avait dévoilé une partie de l’univers de Didier Ludot. Les créations mythiques des
plus grands couturiers avaient ainsi défilé à la galerie Charpentier et conquis le cœur des
collectionneuses et collectionneurs le temps d’une vente éclatante*. Cette nouvelle édition célèbrera
un monument de la mode, un vêtement intemporel qui fascine les couturiers, magnifie les femmes,
envoûte les hommes et constitue la pièce indispensable de tout dressing parisien digne de ce nom :
la petite robe noire.
La vente du 3 octobre jettera un nouveau coup de projecteur sur ce classique de la mode. Afin
d’accomplir cette mission, Didier Ludot a de nouveau sollicité le savoir-faire de Sotheby’s : « Je rends
aujourd’hui hommage à la fabuleuse épopée de la petite robe noire et aux créateurs qui ont écrit son
histoire dont le catalogue se fait l’écho vertigineux, des années Folles aux années 2000. Ces pièces,
estimées entre 500 et 5.000 €, que j’ai collectionnées avec passion, ont été créées par les plus grands
couturiers, de Chanel à Marc Vaughan, en passant par Jean Patou – dont certaines pièces furent
prêtées au Metropolitan Museum de New York – Balenciaga, Yves Saint Laurent, Pierre Balmain, Yohji
Yamamoto. Une vingtaine de robes signées Christian Dior célèbrent les soixante-dix ans de l’illustre
maison. Et parce-que la petite robe noire n’aime pas sortir seule, des escarpins de Roger Vivier et des
fourrures accompagnent cette sélection. »
On ne présente plus Didier Ludot, célèbre « antiquaire de mode » français.
Son nom court sur les lèvres des esthètes éprises de Haute Couture, en
quête de la pièce, unique, chargée d’histoire, qui illuminera leurs garde-
robes. Venues des quatre coins du monde, elles se pressent dans la
célèbre boutique du maître du vintage, sous les arcades du Palais Royal,
entre les étoffes de toutes les époques. Depuis plus de quatre décennies
et parallèlement à son activité de marchand, Didier Ludot a collectionné
une à une les pièces de Haute Couture les plus rares.
Il est aussi l’auteur de l’ouvrage La petite robe noire, paru aux éditions Assouline en septembre 2001,
considéré comme une référence sur ce sujet. Huit ans plus tard, il dédiait une exposition à la petite
robe noire, dans les vitrines du ministère de la culture, à quelques pas de sa boutique.
La vente retrace l’histoire de la petite robe noire, depuis son apparition en 1926, sous l’égide de
Gabrielle Chanel, jusqu’aux créations actuelles de Viktor et Rolf, en passant par le cinéma de la
3
nouvelle Vague. « Qu’on ne se méprenne pas sur l’usage de l’adjectif : « petite »… Il révèle la relation
affective qui unit une femme à la robe dont elle se pare. Car la petite robe noire est bien plus qu’un
vêtement. Elle est le symbole du chic parisien, un modèle absolu de raffinement, une armure
sensuelle dans laquelle se glissèrent des générations de femmes, sublimées par le port de cette
toilette transcendante, aux pouvoirs magiques, qui floute les défauts, exalte toutes les beautés et fait
tourner les têtes de ceux qui la regardent. Ses ambassadrices s’appellent Monica Vitti, Jeanne
Moreau, Delphine Seyrig, Catherine Deneuve ou Monica Bellucci. Objet de convoitise pour les unes,
elle est une source intarissable de fantasmes pour les autres. Si elle est « petite » par sa taille – la
robe noire se porte courte – elle est immense par son histoire. » (Didier Ludot)
Une dizaine d’escarpins de Roger Vivier
Afin de parfaire ce défilé, le catalogue comprend également une dizaine de créations de Roger Vivier,
dont certains modèles, d’une grande rareté, furent conçus pour Christian Dior et brodés par la
maison Rébé. Ces délicats souliers aux couleurs éclatantes souligneront la pureté des petites robes
noires. Citons, entre autres merveilles, une paire d’escarpins au bout turc, ou encore une paire en
soie bleu canard rehaussée de plumes de martin pêcheur.
*8 juillet 2015, près d’1 million d’euros, 100 % de lots vendus
4
Paul Poiret - 1921
Modèle « Madone »
Satin de soie avec une broderie
ethnique
Estimation : 2.000-3.000 €
Jean Patou - 1925
Modèle « Nuit de Chine »
Mousseline de soie brodée d’un
paysage asiatique
Cette robe fut prêtée au Fashion
Institute du Metropolitan
Museum de New York, lors de
l’exposition « China », en 2015
Estimation : 2.500-3.500 €
Jeanne Lanvin - 1938
Robe en crêpe noire, matelassée
aux épaules et à l’encolure, bas
des manches gansés de cuir
métallisé
Estimation : 1.000-1.500 €
5
Lucien Lelong - 1947
Robe de petit dîner drapée en
crêpe
Estimation : 800-1.200 €
Christian Dior - 1950
Robe de cocktail en faille de soie
cloquée
Estimation : 2.000-3.000 €
Balenciaga - 1953
Robe de petit dîner, en gros de
Naples avec des broderies œillets
Estimation : 3.000-5.000 €
6
Givenchy - Automne /
Hiver 1956
Robe de petit dîner en satin
duchesse
Estimation : 1.500-2.000 €
Balenciaga - 1958
Robe « Baby Doll » en dentelle de
la maison Marescot
Modèle identique à celle exposée
au musée de la dentelle de Calais
en 2016
Estimation : 2.000-3.000 €
Christian Dior par Yves Saint Laurent
Automne / Hiver 1960
Faille de soie
Estimation : 1.500-2.500 €
7
Chanel - 1960
Mousseline de soie
Modèle identique à celui porté par
Delphine Seyrig dans le film d’Alain
Resnais, « L’année dernière à
Marienbad », en 1961
Une robe identique figure dans les
collections du Victoria and Albert
Museum, Londres
Estimation : 2.500-3.000 €
Pierre Cardin - 1969
Modèle « Car Wash »
Robe en crêpe de laine
Un modèle identique figure au
Metropolitan Museum de New
York et un modèle similaire, de
couleurs, réside dans les
collections du Victoria and Albert
Museum, Londres
Estimation : 500-900 €
Givenchy par Alexander Mac Queen
- 1998
Robe de cocktail entièrement perlée de jais
Estimation : 1.000-1.500 €
8
Junya Watanabe pour
Comme des Garçons -
Printemps / Eté 2005
Encolure fermeture éclair
Estimation : 1.000-1.500 €
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Sotheby’s réunit les collectionneurs à travers les œuvres d’art depuis 1744. Sotheby’s est devenue la première maison de vente
internationale depuis qu’elle s’est développée à New York depuis son siège londonien (1955). Elle fut la première à tenir des ventes à Hong
Kong (1973), en France (2001), et en Chine (2012). Aujourd’hui, Sotheby’s est présente dans huit salles de ventes incluant New York,
Londres, Hong Kong et Paris. Sotheby’s avec ses Services Financiers est la seule société de financement artistique au monde et elle offre
l’opportunité d’enchérir dans 70 domaines de collection incluant S|2, galerie d’exposition-vente du département d’art contemporain,
Sotheby’s Diamonds et le Vin. Sotheby’s possède un réseau mondial de 90 bureaux dans 40 pays et est la plus ancienne société du New
York Stock Exchange (BID).
*Les estimations sont hors commission d’achat et les prix incluent le prix marteau et la commission d’achat
Les images sont disponibles sur demande
Tous les catalogues sont consultables en ligne www.sothebys.com ou sur l’application Ipad Sotheby’s Catalogue
1er septembre 2017
Tous droits de reproduction réservés
PAYS :France
PAGE(S) :100
SURFACE :26 %
PERIODICITE :Hebdomadaire
DIFFUSION :425216
1 septembre 2017 - N°22724
1er septembre 2017
12 septembre 2017
16 septembre 2017
20 septembre 2017
20/09/2017 Le Figaro Premium - Le petite robe noire, vedette d'une vente aux enchères en octobre
http://premium.lefigaro.fr/culture/encheres/2017/09/20/03016-20170920ARTFIG00238-le-petite-robe-noire-vedette-d-une-vente-aux-encheres-en-… 1/4
NOUVEAU Le petite robe noire, vedette d'une vente aux
enchères en octobre
Enchères (http://premium.lefigaro.fr/culture/encheres) | Mis à jour le 20/09/2017 à 18h05
Plus de 140 petites robes noires, signées de grandes maisons de couture et
créées «des Années folles aux années 2000», seront mises aux enchères le 3
octobre à Paris par Sotheby's.
La petite robe noire, un monument de la haute couture qui sera la vedette d'une vente
de Sotheby's (http://www.lefigaro.fr/culture/encheres/2017/06/30/03016-
20170630ARTFIG00294-les-maisons-de-ventes-francaises-a-la-hausse.php). Plus de
140 pièces, signées de grands noms de la couture, «des Années folles aux années 2000»,
seront dispersées le 3 octobre à Paris. Les robes proviennent de la collection personnelle
de Didier Ludot (http://www.lefigaro.fr/sortir-paris/2015/07/06/30004-
20150706ARTFIG00017-didier-ludot-ses-adresses-chic-a-paris.php), «antiquaire de la
mode» et spécialiste de ce classique du vestiaire féminin, consacré par Gabrielle Chanel
en 1926. Les estimations vont de 500 à 10.000 euros.
«La petite robe noire est bien plus qu'un vêtement. Elle est le symbole du chic parisien,
un modèle absolu de raffinement, une armure sensuelle dans laquelle se glissèrent des
générations de femmes. Si elle est «petite» par sa taille - la robe noire se porte courte -
elle est immense par son histoire», explique Didier Ludot dans un communiqué.
Les robes mises en vente, en collaboration avec la maison Kerry Taylor Auctions
(https://kerrytaylorauctions.com/), ont été créées entre 1921 et 2010 par les plus
grands couturiers, de Chanel à Marc Vaughan, en passant par Christian Dior, Jean Patou,
Les robes mises en vente ont été créées entre 1921 et 2010 par les plus grands couturiers, de Chanel à Marc Vaughan. -
Crédits photo : Crédit photos : Sotheby's / Art digital studio
20 septembre 2017
AFP - La petite robe noire, vedette
d'une vente de Sotheby's en octobre à
Paris
Paris, 20 sept 2017 (AFP) - Plus de 140 petites robes noires, signées de grands noms de la couture,
"des Années folles aux années 2000", seront mises aux enchères le 3 octobre à Paris par Sotheby's, a-
t-on appris auprès de la maison de vente.
Les robes proviennent de la collection personnelle de Didier Ludot, "antiquaire de la mode" et
spécialiste de ce classique du vestiaire féminin, consacré par Gabrielle Chanel en 1926. Les
estimations vont de 500 à 5.000 euros.
"La petite robe noire est bien plus qu'un vêtement. Elle est le symbole du chic parisien, un modèle
absolu de raffinement, une armure sensuelle dans laquelle se glissèrent des générations de femmes",
explique Didier Ludot dans un communiqué.
Les pièces mises en vente, en collaboration avec la maison Kerry
Taylor Auctions, ont été créées entre 1921 et 2010 par les plus grands couturiers, de Chanel à Marc
Vaughan, en passant par Christian Dior, Jean Patou, Balenciaga, Yves Saint Laurent, Pierre Balmain,
Yohji Yamamoto ou Alexander McQueen.
Une dizaine d'escarpins Roger Vivier et des fourrures seront également proposés à la vente.
Parmi les lots phares, une robe Givenchy en satin duchesse (automne-hiver 1956-1957) est estimée
entre 1.800 et 2.500 euros; une robe de cocktail en faille de soie Christian Dior haute couture par
Yves Saint Laurent (automne-hiver 1960-1961) entre 1.200 et 1.500 euros.
Une robe en mousseline de soie signée Chanel, identique à celle portée par Delphine Seyrig dans le
film d'Alain Resnais, "L'année dernière à Marienbad" en 1961, est estimée entre 2.500 et 3.000
euros. Une robe Balenciaga de 1953 à broderies oeillets, entre 3.000 et 5.000 euros.
A la tête d'un dépôt-vente de luxe installé dans les galeries du Palais-Royal à Paris, le collectionneur
Didier Ludot est l'auteur de l'ouvrage "La petite robe noire", paru en septembre 2001. La maison
Sotheby's avait déjà organisé en juillet 2015 une première vente de 150 pièces issues de sa
collection.
20 septembre 2017
Accueil/ Mode
36
PARTAGES
Vente Sotheby's en octobre : 140
petites robes noires haute couture de
1921 à 2010
Par Culturebox (avec AFP)
Mis à jour le 20/09/2017 à 14H08, publié le 20/09/2017 à 11H24
Les robes mises aux enchères proviennent de la collection personnelle de Didier Ludot, collectionneur fashion. Ici en
septembre 2009, à l'inauguration de l'exposition "La petite robe noire". © LYDIE/SIPA
Plus de 140 petites robes noires, signées de grands noms de la couture,
"des années folles aux années 2000", sont mises en enchères le 3 octobre
à Paris par Sotheby's. Ce vêtement intemporel qui fascine les couturiers,
magnifie les femmes et envoûte les hommes, constitue la pièce
indispensable de tout dressing parisien digne de ce nom.
Les robes proviennent de la collection personnelle de Didier Ludot, "antiquaire de la mode"
et spécialiste de ce classique du vestiaire féminin, consacré par Gabrielle Chanel en 1926.
Les estimations vont de 500 à 5.000 euros.
Des robes iconiques
"La petite robe noire est bien plus qu'un vêtement. Elle est le symbole du chic parisien, un
modèle absolu de raffinement, une armure sensuelle dans laquelle se glissèrent des
générations de femmes", a expliqué Didier Ludot.
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20 septembre 2017
27/09/2017 Paris : des petites robes noires iconiques aux enchères chez Sotheby's | www.cnewsmatin.fr
http://www.cnewsmatin.fr/france/2017-09-20/paris-des-petites-robes-noires-iconiques-aux-encheres-chez-sothebys-765280 1/6
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L'Essentiel
Paris : des petites robes
noires iconiques aux
enchères chez Sotheby's
Par CNEWS Matin - Mis à jour le 20/09/2017 à 20:14 Publié le 20/09/2017 à 19:55
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En 1961, dans ce film d'Alain Resnais, l'actrice française Delphine Seyrig porte la robe Chanel en
mousseline de soie, qui sera vendue chez Sotheby's à partir de 2.500 euros .[© DR ]
La petite robe noire consacrée par
Gabrielle Chanel, en 1926. C’est le grand
classique du vestiaire féminin.
Plus de 140 petites robes noires – signées des plus grands noms de la
couture – de 1921 à 2010 – seront mises aux enchères le 3 octobre à
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20 septembre 2017
21/09/2017 La petite robe noire, vedette d'une vente de Sotheby's en octobre à Paris - La Croix
http://www.la-croix.com/article/imprimer/http://www.la-croix.com/Culture/petite-robe-noire-vedette-vente-Sotheby-octobre-Paris-2017-09-20-13008… 1/2
La petite robe noire, vedette d'une vente
de Sotheby's en octobre à Paris
Par afp, le 20/9/2017 à 10h35
21/09/2017 La petite robe noire, vedette d'une vente de Sotheby's en octobre à Paris - La Croix
Plus de 140 petites robes noires, signées de grands noms de la couture, "des Années folles aux années 2000", seront mises aux
enchères le 3 octobre à Paris par Sotheby's, a-t-on appris auprès de la maison de vente.
Les robes proviennent de la collection personnelle de Didier Ludot, "antiquaire de la mode" et spécialiste de ce classique du
vestiaire féminin, consacré par Gabrielle Chanel en 1926. Les estimations vont de 500 à 5.000 euros.
"La petite robe noire est bien plus qu'un vêtement. Elle est le symbole du chic parisien, un modèle absolu de raffinement,
une armure sensuelle dans laquelle se glissèrent des générations de femmes", explique Didier Ludot dans un communiqué.
Les pièces mises en vente, en collaboration avec la maison Kerry Taylor Auctions, ont été créées entre 1921 et 2010 par les
plus grands couturiers, de Chanel à Marc Vaughan, en passant par Christian Dior, Jean Patou, Balenciaga, Yves Saint
Laurent, Pierre Balmain, Yohji Yamamoto ou Alexander McQueen.
Une dizaine d'escarpins Roger Vivier et des fourrures seront également proposés à la vente.
Parmi les lots phares, une robe Givenchy en satin duchesse (automne-hiver 1956-1957) est estimée entre 1.800 et 2.500 euros;
une robe de cocktail en faille de soie Christian Dior haute couture par Yves Saint Laurent (automne-hiver 1960-1961) entre
1.200 et 1.500 euros.
Une robe en mousseline de soie signée Chanel, identique à celle portée par Delphine Seyrig dans le film d'Alain Resnais,
"L'année dernière à Marienbad" en 1961, est estimée entre 2.500 et 3.000 euros. Une robe Balenciaga de 1953 à broderies
oeillets, entre 3.000 et 5.000 euros.
A la tête d'un dépôt-vente de luxe installé dans les galeries du Palais-Royal à Paris, le collectionneur Didier Ludot est
l'auteur de l'ouvrage "La petite robe noire", paru en septembre 2001. La maison Sotheby's avait déjà organisé en juillet
2015 une première vente de 150 pièces issues de sa collection.
afp
Plus de 140 petites robes noires, signées de grands noms de la couture, "des Années folles aux années 2000", seront mises aux
enchères le 3 octobre à Paris par Sotheby's / AFP/Archives
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20 septembre 2017
La petite robe noire, vedette d'une vente de Sotheby's en
octobre à Paris
AFP - mercredi20 septembre 2017
Plus de 140 petites robes noires, signées de grands noms de la couture, "des Années folles aux années 2000", seront mises aux
enchères le 3 octobre à Paris par Sotheby's
© AFP/Archives
Plus de 140 petites robes noires, signées de grands noms de la couture, "des Années folles aux années 2000", seront mises aux
enchères le 3 octobre à Paris par Sotheby's, a-t-on appris auprès de la maison de vente.
Les robes proviennent de la collection personnelle de Didier Ludot, "antiquaire de la mode" et spécialiste de ce classique du
vestiaire féminin, consacré par Gabrielle Chanel en 1926. Les estimations vont de 500 à 5.000 euros.
"La petite robe noire est bien plus qu'un vêtement. Elle est le symbole du chic parisien, un modèle absolu de raffinement, une
armure sensuelle dans laquelle se glissèrent des générations de femmes", explique Didier Ludot dans un communiqué.
Les pièces mises en vente, en collaboration avec la maison Kerry Taylor Auctions, ont été créées entre 1921 et 2010 par les
plus grands couturiers, de Chanel à Marc Vaughan, en passant par Christian Dior, Jean Patou, Balenciaga, Yves Saint Laurent,
Pierre Balmain, Yohji Yamamoto ou Alexander McQueen.
Une dizaine d'escarpins Roger Vivier et des fourrures seront également proposés à la vente.
Parmi les lots phares, une robe Givenchy en satin duchesse (automne-hiver 1956-1957) est estimée entre 1.800 et 2.500
euros; une robe de cocktail en faille de soie Christian Dior haute couture par Yves Saint Laurent (automne-hiver 1960-1961)
entre 1.200 et 1.500 euros.
WEB MEDIA
SOTHEBY'S
Ref : 889
5minutes.rtl.lu
Date : 20/09/2017
Page : ­­
Periodicity : Continuous
Journalist : ­­
Circulation : ­­
Audience : 1000
Size : ­­
http://5minutes.rtl.lu/culture/laune/1077893.html
© auxipress  •  +32 2 514 64 91  •  info@auxipress.be  •  www.auxipress.be
1 / 2
21 septembre 2017
23 septembre 2017
https://femmes.orange.fr/mode/news-mode/article-140-petites-robes-noires-iconiques-mises-aux-encheres-CNT000000O3Wrf.htm
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140 petites robes noires iconiques
mises aux enchères
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Hélène Garçon
La petite robe noire devient la vedette d'une vente aux
enchères organisée le 3 octobre 2017 par Sotheby's à
Paris.
Yves Saint Laurent, Christian Dior, Pierre Balmain, Chanel,
Alexander McQueen ou encore Yohji Yamamoto, tous les
grands pontifes de la mode du XXe et XXIe siècle seront
réunis à la vente de Sotheby's qui célèbre l'iconique petite
robe noire. Source d'inspiration inépuisable pour les
créateurs, ce classique de la garde-robe féminine a en effet
été revisité par toutes les maisons de couture à travers les
décennies. La collection de Didier Ludot, "antiquaire de la
mode", composée de 140 modèles datant des années 1920
au nouveau millénaire, sera mise aux enchères le 3 octobre
prochain.
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Robe Lanvin datant de 1938/ robe Chanel de 1960 / robe Dior de 1950.
©Sotherby's, DR
A la une Mode Beauté People Voyages Bien-être Cuisine Au quotidien
25 septembre 2017
L'INVITÉ
25 SEP T EMB R E 20 17
Didier Ludot et ses petites robes
noires-bijoux chez Sotheby’s
Paris
L’antiquaire de la mode met en vente 140 petites
robes noires, le 3 octobre 2017 à Paris. Pour
certaines d’entre elles, le mot « bijou » s’impose
naturellement…
Cette deuxième vente chez Sotheby’s est
entièrement consacrée à votre vêtement fétiche.
Pourquoi ne pas les vendre dans votre boutique
?
Les acheteurs de pièces anciennes de haute couture
évoluent, la façon d’acheter aussi. Ces ventes me
permettent de rencontrer des collectionneurs qui ne
viendraient jamais dans la boutique du Palais-
Royal que j’ai ouverte il y a 43 ans.
Certaines ornementations en métal, en fils d’or
ou en paillettes s’apparentent à de véritables
L'INVITÉ
2 5 S E P T E M B R E 2 0 1 7
Didier Ludot et ses petit
noires-bijoux chez S
Paris
L’antiquaire de la mode met en vent
robes noires, le 3 octobre 2017 à
certaines d’entre elles, le mot « bijo
naturellement…
Cette deuxième vente chez S
entièrement consacrée à votre vêtem
Pourquoi ne pas les vendre dans vo
?
25 septembre 2017
bijoux…
Les broderies chinoises de la robe Jean Patou, que
j’ai prêtée au Metropolitan Museum of Art pour
l’exposition « China » en 2015, pourraient être faites
de pierres précieuses. Il y a aussi le col en strass
(probablement de Swarovski) qui soulignent le
mouvement merveilleux du col de la robe Thierry
Mugler. On dirait qu’il est soulevé par une
bourrasque ! Maruschka Detmers a porté cette robe
aux Oscars de la mode, en version ultra courte,
avec des cuissardes en velours aux revers empierrés.
Parmi mes préférées, il y a aussi celle de
Comme des Garçons avec son col en zips
tournoyant qui se métamorphose en collier. Quel
effet étonnant que ces objets utilitaires évoquant un
bijou massaï !
La broderie de la robe Chanel fait, elle, écho
aux collections de haute joaillerie de la
maison…
Inspirée par une fontaine de Versailles, la broderie
réalisée par Lesage témoigne d’un travail
exceptionnel, digne de lapidaires, d’orfèvres et de
sertisseurs. On distingue à peine, au centre, les
deux C entrelacés. Cette robe de 1986 n’existe
qu’en deux exemplaires, dont l’un a été porté par
Inès de la Fressange dans une publicité pour le
parfum « Coco ». Il y a une autre robe-bijou Chanel
qui date elle aussi des années 1980, une période
clinquante très à la mode aujourd’hui ! Elle est
décorée de grandes chaînes comme des sautoirs qui
tombent dans le dos. Rappelons que Gabrielle
Chanel adorait les faux bijoux.
Les robes noires-bijoux de Lanvin et Paco
Rabanne font figures de classiques.
Dans les années 1930, Jeanne Lanvin est une
spécialiste de la robe-bijou enrichie de décors en
perles, corail, miroirs, broderies de fils métalliques
qui encadrent le col, les emmanchures, les poignets.
Quant à Paco Rabanne, il excellait dans les
vêtements en métal comme la robe de 1965 en
plaques d’or véritable ornée dans la partie
supérieure de diamants De Beers, portée par
Françoise Hardy. Ce n’est pas par hasard que
Gabrielle Chanel le surnommait « le métallurgiste » !
Entre 800 et 5 000 euros, les estimations
L'INVITÉ
2 5 S E P T E M B R E 2 0 1 7
Didier Ludot et ses peti
noires-bijoux chez S
Paris
L’antiquaire de la mode met en ven
robes noires, le 3 octobre 2017 à
certaines d’entre elles, le mot « bijo
naturellement…
Cette deuxième vente chez S
entièrement consacrée à votre vêtem
Pourquoi ne pas les vendre dans vo
?
25 septembre 2017
semblent raisonnables…
Certains prix resteront parfaitement accessibles,
d’autres s’envoleront car des grandes maisons et
des musées sont sur les rangs. Dans ma première
vente chez Sotheby’s, la robe Balenciaga appliquée
de plumes roses ayant appartenu à
Francine Weisweiller, une amie du couturier, a été
le plus haut : 56 000 euros alors qu’elle était
estimée 6 000 à 8 000 euros.
Toutes les robes ne sont pas noires ! Et vous
proposez aussi des souliers Roger Vivier…
Il fallait réveiller l’ensemble avec des contrepoints
lumineux comme celle d’Alexander McQueen.
Certains des escarpins Roger Vivier, brodés par la
maison Rébé, me sont parvenus de façon étrange…
Un chauffeur en livrée s’est présenté à la boutique
avec trois énormes sacs poubelles remplis de boîtes
Roger Vivier. Mais impossible de connaître le nom
de la donatrice qui souhaitait rester anonyme.
Vendre c’est bien, mais rien n’est plus excitant que
d’acheter !
Sotheby’s Paris – 76, rue du Faubourg Saint-
Honoré 75008 Paris – Exposition du 28 septembre
au 2 octobre 2017 – Vente le 3 octobre à 14h30.
L'INVITÉ
2 5 S E P T E M B R E 2 0 1 7
Didier Ludot et ses petite
noires-bijoux chez So
Paris
L’antiquaire de la mode met en vente
robes noires, le 3 octobre 2017 à P
certaines d’entre elles, le mot « bijou
naturellement…
Cette deuxième vente chez So
entièrement consacrée à votre vêteme
Pourquoi ne pas les vendre dans votr
?
25 septembre 2017
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25 septembre 2017
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27 septembre 2017
27 septembre 2017
Balenciaga, Lanvin, Dior ou encore Yohji Yamamoto… depuis que Gabrielle Chanel a
érigé la petite robe noire comme l'ultime uniforme féminin, les créateurs n'ont cessé de
l'honorer. Le 3 octobre, Sotheby's met en vente 140 pièces d'archives appartenant à Didier
Ludot, datant des années 1910 à 2010, ainsi qu'une dizaine de paires d'escarpins Roger
Vivier.
27 septembre 2017
octobre 2017Sotheby’s Magazine
&
Sotheby’s Preferred
octobre 2017Sotheby’s Magazine
&
Sotheby’s Preferred
1er octobre 2017
PAYS :France
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PERIODICITE :Mensuel
DIFFUSION :(44262)
1 octobre 2017 - N°348
1er octobre 2017
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PERIODICITE :Mensuel
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N°4141
1er octobre 2017
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PERIODICITE :Mensuel
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obre 2017 - N°981
2 octobre 2017
19/10/2017 Trésor à vendre : la petite robe noire de Balenciaga en vente chez Sotheby’s | Connaissance des Arts
02.10.2017 par Justine Bosquier
Trésor à vendre : la petite robe noire de Balenciaga en
vente chez Sotheby’s
Robe de petit dîner, Balenciaga, 1953, gros de Naples avec des broderies œillets, Collection Didier Ludot (©Sotheby’s/Art digital studio)
Chaque semaine, « Connaissance des Arts » vous fait découvrir un objet rare ou insolite mis en vente.
Le 3 octobre à Paris, Sotheby’s met aux enchères 140 « petites robes noires » issues de la collection personnelle de l’antiquaire
de mode Didier Ludot. Vêtement intemporel qui fascine les couturiers, sublime les femmes et envoûte les hommes, la petite
robe noire est devenue au fil des années un classique de la mode. Parmi les pièces exposées, une robe de « petit dîner » signée
Balenciaga en 1953 est estimée entre 3 000 et 5 000 euros. Cette création en gros de Naples (tissu en soie) avec des broderies
œillets, est l’objet le plus important de cette vente, qui aura lieu à 12h. Pièce indispensable de tout dressing parisien, la petite
robe noire est « le symbole du chic parisien, un modèle absolu de raffinement, une armure sensuelle dans laquelle se glissèrent
des générations de femmes », selon Didier Ludot.
Retrouvez notre rubrique Marché de l’art avec les ventes aux enchères du mois, les plus belles expositions dans les galeries mais
aussi les plus grandes foires dans le magazine Connaissance des Arts d’octobre 2017.
© Connaissance des Arts 2017
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3 octobre 2017
19/10/2017 Et si on s'offrait une petite robe noire vintage à la vente Sotheby's ? | Vogue
http://www.vogue.fr/culture/a-voir/diaporama/vente-sothebys-petite-robe-noire-mode-livre-parisienne/44508
Par Manon Garrigues le 03 Octobre 2017
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Et si on s'offrait une petite robe noire
vintage chez Sotheby's ?
La petite robe noire. Un essentiel de la
Parisienne. Simple et élégante, cette pièce
intemporelle, introduite dans la garde robe par
Coco Chanel, reste un objet de désir inspirant.
Exposition, livre, cinéma... Cet automne, "the
little black dress" flirte cette fois-ci avec les
enchères en étant à l'honneur d'une vente
exceptionnelle chez Sotheby's. Au total, 140
petites robes noires haute couture issues de la
collection de Didier Ludot sont mises aux
enchères aujourd'hui, à Paris.
Voir les 6 IMAGES
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6 octobre 2017
19/10/2017 Quand le prix des petites robes noires vintage s'envolent - Grazia
https://www.grazia.fr/mode/quand-le-prix-des-petites-robes-noires-vintage-s-envole-870184 1/4
Quand le prix des petites robes noires vintage s'envole
Par Sabrina Pons - Le 06 octobre 2017
MODE PETITE ROBE NOIRE/ ALEXANDER MC QUEEN/ BALENCIAGA/ GIVENCHY/ ACTUALITÉ/ GRAZIA DAILY APPLI/ GRAZIA DAILY NEWS/
© Sotheby's
Plus de cent quarante petites robes noires ont été mises aux enchères par Sotheby's. Une vente de tous les records.
En 2017, il arrive que le prix d'une petite robe noire vintage s'envole. Il fallait être à la vente aux enchères de Sotheby's à
Paris, le jeudi 3 octobre, pour prendre la mesure de l'engouement que suscite cet intemporel du vestiaire féminin. Plus de
cent quarante pièces signées de grands noms de la mode et issues de la collection personnelle de Didier Ludot,
collectionneur compulsif qui rassemble depuis plus de quarante ans les plus beaux vêtements vintage, ont été vendues bien
au-delà de leur prix d'estimation.
La plus convoitée ? Une robe en zagar signée Balenciaga de la collection Printemps-Eté 1968. Estimée entre 5.000 et 7.000
euros, elle est partie à 35.000 euros. Pas loin derrière, une autre pièce en toile de soie Givenchy Haute Couture de la
collection Printemps-Eté 1997, époque Alexander McQueen s'est envolée à 27.500 euros. Un scénario similaire pour toutes
les robes mises en vente dispersées entre les mains de collectionneurs et plusieurs musées du monde entier. Au total, la
vente à rapporté 611.922 euros. "Un montant record en France en 2017 pour une vente Haute Couture", précise Florent
Jeanniard, directeur du département Design chez Sotheby's.
Des robes impeccables
La fourchette de prix des estimations largement dépassée s'explique par la rareté des modèles et l'état impeccable des
robes, conservées avec soin par Didier Ludot. Ce spécialiste de la mode vintage tient une boutique dans les Jardins du Palais
Royal à Paris ou il expose et vend ses pièces. Par forcément les plus rares comme celles vendues par Sotheby's. Car ces
dernières sont aussi les plus fragiles. Les toucher, les essayer ou encore les laisser à l'air libre accélèrent leur détérioration.
Elles sont donc conservées à l'abri des regards. Le comble pour un vêtement ?
---------------------------
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10 octobre 2017
11 octobre 2017
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DIFFUSION :239822
- N°1270
13 octobre 2017
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PERIODICITE :Hebdomadaire
DIFFUSION :27304
JOURNALISTE :Anne Dordou Meim
13 octobre 2017 - N°1735
13 octobre 2017
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PERIODICITE :Quotidien
DIFFUSION :(15400)
13 octobre 2017 - N°205
18 octobre 2017
MAD (Le Soir)
Date : 18/10/2017
Page : 70­71
Periodicity : Weekly
Journalist : Vouet, Jean
Circulation : 70593
Audience : 406830
Size : 512 cm²
© auxipress  •  +32 2 514 64 91  •  info@auxipress.be  •  www.auxipress.be
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PRINT MEDIA
SOTHEBY'S
Ref : 889
19 octobre 201719/10/2017 Une robe de cocktail Chanel haute couture à 8.125 euros - Le Soir
http://www.lesoir.be/120138/article/2017-10-19/une-robe-de-cocktail-chanel-haute-couture-8125-euros 1/10
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U
Une robe de cocktail Chanel haute couture à 8.125 euros

Classique parmi les classiques, aussi élégante qu’intemporelle, la « petite robe noire » est ce que l’on
appelle un « must-have » dans la mode féminine
n indispensable du dressing qui continue à séduire et à fasciner les grands couturiers, et ce
depuis que Gabrielle Chanel lui a donné ses lettres de noblesse au milieu des années 1920. Or
le 3 septembre à Paris, ce vêtement iconique, Sotheby’s se l’est en quelque sorte approprié le
temps d’une vente aux enchères où se côtoyaient plusieurs dizaines de pièces griffées Balenciaga,
Yves Saint Laurent, Pierre Balmain, Christian Dior ou encore Yohji Yamamoto.
Mis en ligne le 19/10/2017 à 10:37
Par Jean Vouet
Des escarpins Christian Dior, par Roger Vivier, vendus 23750 €. D.R.
19 octobre 2017
19/10/2017 Une robe de cocktail Chanel haute couture à 8.125 euros - Le Soir
Toutes provenaient de la collection privée de Didier Ludot, célèbre « antiquaire de mode » français
installé sous les arcades du Palais royal et vouant un véritable culte à ce vêtement qu’il décrit comme
un « symbole du chic parisien, un modèle absolu de raffinement, une armure sensuelle dans laquelle se
glissèrent des générations de femmes, sublimées par le port de cette toilette transcendante, aux
pouvoirs magiques, qui floute les défauts, exalte toutes les beautés et fait tourner les têtes de ceux qui
la regardent ». Qui pourrait dire mieux ?
Au total, la vacation organisée avec le concours de Kerry Taylor Auctions a généré un chiffre d’affaires
de 611.922 euros, soit un montant record en France pour une vente de haute couture en 2017 avec plus
du double de l’estimation haute (195.000 – 280.000 euros).
Une belle confirmation donc pour « l’œil » de Didier Ludot qui, en juillet 2015, avait déjà fait appel à
Sotheby’s pour disperser 171 pièces issues de sa collection et datant de 1924 à 2006. Toutes avaient
alors trouvé preneur pour un montant global de 966.259 euros. En tête, avec adjudication à 56.250
euros, figurait une extravagante robe du soir en plumetis de Brivet imagée par Balenciaga dans les
années 1960 et ayant appartenu à Francine Weisweiller, une amie intime de Jean Cocteau.
Néanmoins, pour cette seconde édition placée plus spécifiquement sous le signe de la petite robe noire,
« petite par sa taille mais immense par son histoire » selon Didier Ludot, près d’une trentaine de lots sur
les 160 enregistrés au catalogue sont malheureusement restés sur le carreau.
Parmi les plus belles enchères de l’après-midi, l’on pointera cette robe de cocktail signée en 1960 par
Chanel haute couture et dont la valeur devait avoisiner au départ les 2.500 à 3.000 euros. Toute en
mousseline de soie et nœuds de taffetas, elle était identique au modèle porté par l’actrice française
Delphine Seyrig dans le chef-d’œuvre d’Alain Resnais, L’année dernière à Marienbad, qui obtint le Lion
d’or à la Mostra de Venise en 1961.
21 septembre 2017
Sotheby’s to Auction 90 Years of
Little Black Dresses
The 140 lots from Didier Ludot's collection include dresses by major
fashion houses and Christian Dior footwear by Roger Vivier.
FASHION / FASHION SCOOPS
By Lily Templeton on September 21, 2017
DRESSES TO IMPRESS: “The history of the little black dress is
the history of fashion itself, as it is a garment that has adapted to
scores of sociopolitical changes,” said fashion collector Didier
Ludot, ahead of his “1921-2010 Les Petites Robes Noires” auction
at Sotheby’s on Oct. 3.
For his second sale at the auction house, the Paris-based
collector drew a 140-strong contingent of black dresses from his
private collection by couturiers and designers such as Mariano
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ESSENTIALIST
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for Sexy Ruby
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Fortuny, Yves Saint Laurent, Jeanne Lanvin, Paco Rabanne and
Helmut Lang.
“I’m at a point in my life where I’m thinking about
transmissions. Here are items I’ve had for a long time, so I want
them to be in good hands,” he said, noting that he had already
had inquiries from museums and institutes. But parting is no
sorrow for the collector. “Once I have bought them and held
them in my hands, they belong to me forever,” he said.
Among the items going under the hammer are a fall 1956
cocktail dress by Hubert de Givenchy, which Ludot called the
epitome of the genre; a 1925 Jean Patou “Nuit de Chine” dress,
which was previously shown at the Metropolitan Museum’s 2015
“China: Through the Looking Glass” exhibition; a spring 2005
Junya Watanabe dress with zippers forming a Maasai neckpiece;
a Chanel dress designed by Karl Lagerfeld in 1985, with a
cascade of gold chains, and also a dozen Christian Dior shoes
designed by Roger Vivier, which were once donated to him by a
liveried driver on behalf of his employer who wished to remain
anonymous. A few colored pieces are also dotted through the
all-black lineup.
For Ludot, who penned “La Petite Robe Noire,” published in
2001 by Assouline, few items evoke style and highlight a
couturier’s talent as much as the black dress. “I wish women
would think of the ‘little’ black dress as an armor. With one, they
will always be perfect, whether they’re 17 or 70. It has always
fascinated me as it touches all social classes, all generations. It
suffers no mediocrity because everything becomes visible on a
black dress.”
Ahead of the sale, the collection will be on public display,
alongside a selection of Christian Dior costume jewelry, from
Sept. 29 to Oct. 2 at the auction house’s Faubourg Saint Honoré
location.
You're missing something!
Prada RTW S
Arthur Arbesse
201
21 septembre 2017
25 septembre 2017
http://artdaily.com/index.asp?int_sec=11&int_new=96928&utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter%20-%20.Wci4nmdlKUk 1/3
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Sotheby's to offer 140 haute couture pieces from the private collection of Didier Ludot
Balenciaga 1953. Robe de petit dîner. A couture embroidered gros de Naples silk gown. Estimate: €3,000-5,000. Courtesy Sotheby’s.
PARIS.- Sotheby’s announced its second sale of Haute Couture to take place in Paris on Tuesday 3 October. In association with Kerry Taylor Auctions, it
will offer at auction 140 Petites robes noires, “little back dresses” from the private collection of Didier Ludot. Sotheby’s offered a glimpse of Ludot’s
collection in July 2015, when legendary items by the greatest Paris couturiers were exhibited at the Galerie Charpentier, attracting the keen interest of
major collectors, women who wished to buy to wear, alike. This second sale celebrates an iconic garment - La petite robe noire (the little black dress), a
timeless wardrobe staple that has fascinated couturiers, flattered women and enchanted men for almost a century.
19/10/2017 Sotheby's to offer 140 haute couture pieces from the private collection of Didier Ludot
The sale on 3 October will offer a fresh look at this fashion classic as Ludot again calls on Sotheby’s savoir-faire to sell part of his collection. “Today I pay
tribute to the astonishing story of the little black dress and to the designers who wrote its story, a dizzying tale that finds itself retold in the catalogue, from
the Roaring Twenties to the new millennium. Lovingly collected, these pieces – whose estimates range between 800 and 5,000 euros – were created by
the greatest of couturiers, from Chanel to Jean Patou to Marc Vaughan. Some of these dresses, by Balenciaga, Yves Saint Laurent, Pierre Balmain or
Yohji Yamamoto, have previously been loaned to the Metropolitan Museum in New York. A group of twenty by Christian Dior worthily celebrate the 70th
anniversary of that distinguished house. And as the little black dress doesn’t like to go out by itself, it will be accompanied at the sale by Roger Vivier
pumps and a selection of furs.”
Didier Ludot, the dealer in vintage Haute Couture famous in Paris as the “fashion antiquarian”, hardly needs an introduction. His name is already known
to cultivated fashion-lovers in search of a unique piece, rich with history, that will lend new chic to their wardrobes. Women from all over the world know
Ludot’s boutique in the arcades of the Palais Royal, where they find the best of old and new. Alongside his business, Didier Ludot has built up, over a
period of almost forty years, a private collection of rare and important pieces by the greatest designers.
He is also the author of La petite robe noire, published by Assouline in September 2001, is considered an essential work of reference on the subject.
Eight years later, he curated an exhibition on the Little black dress mounted in the windows of the Ministry of Culture, just around the corner from his
shop.
The Little black dress from its birth in 1926, under the aegis of Coco Chanel, through its role in Nouvelle vague cinema and to the recent creations of
Viktor and Rolf, the sale traces the story of the little black dress through almost a century of fashion history. “There should be no misunderstanding about
that adjective ‘little’. … It is an expression of the woman’s emotional attachment to the dress she wears. For the little black dress is much more than an
item of clothing. It is the symbol of Parisian chic, the very model of refinement, the sensual armour slipped on by generations of women who have found
themselves transformed by a sublime raiment that forgives their failings and glorifies their virtues, turning heads everywhere it went. Its ambassadors
have been Monica Vitti, Jeanne Moreau, Delphine Seyrig, Catherine Deneuve and Monica Bellucci. An object of must-haves for some, it is an
inexhaustible inspiration of fantasy for others. While it may be ‘little’ in size – the black dress has always been worn short – it is immense in the story it
tells.” (Didier Ludot)
Shoes by Roger Vivier
To complete the look, the catalogue also includes a dozen creations by Roger Vivier, some of them extremely rare, designed for Christian Dior and
embroidered by Rebé. The colour and brilliance of these delicate shoes perfectly set off the sobriety of the little black dress. One might mention, among
other triumphs, a pair of pumps with Ottoman toe, and another in duck-blue silk trimmed in kingfisher feathers.
Kerry Taylor, specialist fashion auctioneer says of the collection: “Didier Ludot has a genius for spotting historically important dresses which are at the
same time super-wearable which makes the gowns objects of desire on so many levels. Although some may be regarded as museum pieces – I’m sure
that others will be seen at elegant soirees in the years to come.”
Today's News
June 23, 2017
Rare artefacts on show in the UK for the first time for major new Jacobites
exhibition
Sotheby's to offer one of the great American collections of non-western art
remaining in private hands
Eli Wilner & Company creates a frame for a Cassatt at the North Carolina
Museum of Art
Christie's to offer the Jean-François and Marie-Aline Prat Collection
Most comprehensive overview of Frank Bowling's monumental paintings ever
mounted opens at Haus der Kunst
Exhibition at Tanya Bonakdar Gallery weaves together three bodies of work by
Meschac Gaba
Imperial War Museum North presents largest UK retrospective of Wyndham Lewis
Capitain Petzel opens exhibition of new paintings, drawings and films by Sarah
Morris
Sotheby's to offer 140 haute couture pieces from the private collection of Didier
Ludot
Galerie Thaddaeus Ropac opens exhibition of new works by Daniel Richter
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1.- $37.7 million bowl sets Chinese ceramic auction record at
Sotheby's Hong Kong
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Picasso's life and work
3.- 63 Dutch Masters return home to Holland for an exhibition at
the Hermitage Amsterdam
4.- Exhibition reveals new insights into Renoir's celebrated
"Luncheon of the Boating Party"
5.- Nazi-looted Pissarro painting at centre of legal tussle
6.- The Herbert F. Johnson Museum of Art presents 'Lines of
Inquiry: Learning from Rembrandt's Etchings'
7.- Pristine Hermès Himalayan Gris Cendre Birkin bag sells for
$112,500 at Heritage Auctions
8.- Tom Petty, heartland rocker with dark streak, dead at 66
9.- Exhibition presenting the art of Marcel Duchamp and Salvador
Dalí opens in London
10.- Private collectors using online appraisal platform to get
25 septembre 2017
13 octobre 2017
19/10/2017 The Little Black Dress's Lost Underclass Origins - The Atlantic
https://www.theatlantic.com/technology/archive/2017/10/the-underclass-origins-of-the-little-black-dress/542910/ 1/8
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Last week, Sotheby’s auctioned off 140 little black dresses. The event, “Les
Petites Robes Noires, 1921–2010,” featured vintage dresses collected by the
fashion antiquarian Didier Ludot. A dazzling mix of silk faille, velvet, jersey, and
tulle—all in black—cut simple silhouettes. The collection included iconic pieces
The Underclass Origins of the Little Black Dress
The upper classes once imposed the fashion staple on their servants—then
they stole it back from them. An Object Lesson.
SHELLEY PUHAK
OCT 13, 2017 | TECHNOLOGY
Stephanie Keith / Reuters
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13 octobre 2017
19/10/2017 The Little Black Dress's Lost Underclass Origins - The Atlantic
https://www.theatlantic.com/technology/archive/2017/10/the-underclass-origins-of-the-little-black-dress/542910/ 2/8
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from Chanel, Givenchy, and Hermès. The more expensive lots fetched over
20,000 euros.
To introduce the collection, Ludot wrote, “Today I pay tribute to the astonishing
story of the little black dress and to the designers who wrote its story, a dizzying
tale ... from the Roaring Twenties to the new millennium.” But the most
astonishing part of the little black dress’s story might be its prologue, the
backstory left out of the auction catalogue, the glossy coffee-table books, and
the fashion magazines. The most important acolytes of the little black dress
were not designers nor aristocrats, but masses of working-class women.
* * *
In October 1926, Vogue featured a sketch of a long-sleeved, calf-length, black
sheath dress by a plucky young designer named Coco Chanel. Dubbed “Chanel’s
Ford,” the dress was promoted as equivalent in egalitarianism to the Model T.
At the time, Vogue’s editors wrote that Chanel’s little black dress would “become
sort of a uniform for all women of taste.” That seems like an astute prediction, in
hindsight. But in 1926, the proclamation was tone-deaf at best, as the little
black dress was already the actual uniform of many working-class women. The
little black dress (or LBD, as it is commonly abbreviated) was a uniform designed
to keep certain women in their place. Only later was it co-opted as haute couture
for women of taste.
https://www.theatlantic.com/technology/archive/2017/10/the-underclass-origins-of-the-little-black-dress/542910/ 2/8
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tale ... from the Roaring Twenties to the new millennium.” But the most
astonishing part of the little black dress’s story might be its prologue, the
backstory left out of the auction catalogue, the glossy coffee-table books, and
the fashion magazines. The most important acolytes of the little black dress
were not designers nor aristocrats, but masses of working-class women.
* * *
In October 1926, Vogue featured a sketch of a long-sleeved, calf-length, black
sheath dress by a plucky young designer named Coco Chanel. Dubbed “Chanel’s
Ford,” the dress was promoted as equivalent in egalitarianism to the Model T.
At the time, Vogue’s editors wrote that Chanel’s little black dress would “become
sort of a uniform for all women of taste.” That seems like an astute prediction, in
hindsight. But in 1926, the proclamation was tone-deaf at best, as the little
black dress was already the actual uniform of many working-class women. The
little black dress (or LBD, as it is commonly abbreviated) was a uniform designed
to keep certain women in their place. Only later was it co-opted as haute couture
for women of taste.
13 octobre 2017
19/10/2017 The Little Black Dress's Lost Underclass Origins - The Atlantic
https://www.theatlantic.com/technology/archive/2017/10/the-underclass-origins-of-the-little-black-dress/542910/ 3/8
When the lower classes adopt the fashions of the elite, the elites often respond
by changing course abruptly—a neckline or a hemline rises or falls dramatically,
perhaps, or a voluminous silhouette narrows. But sometimes, rather than
quickly changing styles, the upper classes simply wear the clothes the poor have
discarded.
For example, as towns populated in the 14th century, a merchant class arose
within them. This middle class had some discretionary income, and they spent it
on the most conspicuous consumer good: clothing. Finally, they could afford
jewel-studded velvets, gold and silver trimmings, brightly colored coats, and
sumptuous furs. As the fashion historian Anne Hollander has explained, when
the aristocracy couldn’t outlaw or outspend these medieval nouveau riche, they
started wearing baggy and threadbare clothing. This new fashion—looking like
one had thrown on any old thing—served as a not-so-subtle reminder to the
upstarts that, while money could buy clothes, it couldn’t buy class.
“Ladies do not like to see their maids dressed in the
clothes they themselves have worn.”
Blue jeans offer a more recent example. Jeans began as cheap and durable work
pants for miners and farmers. They were the de facto uniform of the rural
working class. But once working-class men had access to ready-to-wear trousers,
their jeans started showing up on postwar suburban youths, and then in trendy
boutiques. Recently, Nordstrom even sold a $425 pair of jeans with fake mud
stains—the ultimate blue-collar costume. Once more, the wealthy turn the tables
by appropriating the clothing of the poor.
The LBD also finds its origins among the poor. Before the 19th century,
domestic servants wore whatever they could—homemade dresses, often, but
also their employers’ hand-me-downs. But in the 1860s, the British upper
classes required their maids to wear a common uniform: a white mobcap, an
apron, and a simple black dress. Soon after, wealthy American and French
families followed suit.
19/10/2017 The Little Black Dress's Lost Underclass Origins - The Atlantic
https://www.theatlantic.com/technology/archive/2017/10/the-underclass-origins-of-the-little-black-dress/542910/ 4/8
Relationships between upper-class women and their servants had changed,
becoming “less intimate and more authoritarian,” as the sociologist Diana
Crane puts it. At this time, servants ceased to be “the help,” a somewhat
collegial characterization, and became known as “domestics.” And domestics
wearing upper-class castoffs, especially young and pretty ones, led to
embarrassing mix-ups. A caller mistaking the maid for the mistress of the house
raised uncomfortable questions about recently erected class barriers.
Cassell’s Household Guide, which billed itself as an encyclopedia of domestic and
social economy, summed up the problem like this, circa 1880: “As a general
rule, ladies do not like to see their maids dressed in the clothes they themselves
have worn—the difference in the social scale of mistress and maid renders this
unpleasing.”
But Cassell’s made one exception: “a black or a dark-colored silk.” Previously, a
simple black dress meant a wealthy woman was “dressing down.” But by the
19th century, the black dress had become a staple of the lower and middle
classes. It was the perfect hand-me-down for the help.
* * *
There was a time when black signified wealth. It was favored by 15th-century
Spanish aristocrats and wealthy Dutch merchants. Later, Baldassare
Castiglione’s 1528 The Book of the Courtier advised others to follow their lead, to
appear above the petty fads of commoners. Black clothing conveyed plainness
and piety, for one thing. But it was also incredibly expensive to produce,
requiring vast quantities of imported “oak apples”—a bulbous growth left behind
on oak leaves from insect egg sacs. By the early 19th century, a newer dye made
from logwood and ferrous sulfate made the color cheap to produce. In 1863, an
even cheaper synthetic aniline black dye was developed.
By the 1880s, most awkward maid-or-mistress mix-ups had been eliminated
thanks to the trusty black dress. But another sort of working-class woman now
had the opportunity to dress above her station. Rapid industrialization gave
consumers more disposable income, and they wanted places to spend it. More
shops opened in urban centers, and cheap labor was needed to staff them.
13 octobre 2017
19/10/2017 The Little Black Dress's Lost Underclass Origins - The Atlantic
https://www.theatlantic.com/technology/archive/2017/10/the-underclass-origins-of-the-little-black-dress/542910/ 5/8
Unmarried young women began pouring into the cities to work as “shopgirls” in
dry-good establishments, dress stores, hat and glove shops, and department
stores.
There was a “revolution in dress, not by the fashionable
folk, but by New York’s army of shopgirls.”
The shopgirl enjoyed more freedom and less supervision than domestic servants
did. Often, for the first time in her life, she also enjoyed some disposable income
of her own. The sewing machine, invented in 1846 and mass-produced in the
1870s, made it easier than ever to imitate these fashions. Mated to the precut
paper pattern, devised by the upscale American designer Ellen Curtis Demorest,
women could duplicate the latest fashions from Paris with relative ease. And
advances in efficiency at textile factories made a wider variety of fabrics and
trims available with which to do so.
The new cheap aniline dyes that made the domestic’s black uniform possible
also made brightly colored dresses—the vivid scarlets, blues, and greens that
were once only for the upper classes—affordable, too. With a few dollars and a
few nights’ work, an enterprising shopgirl could create a passable imitation of a
dress from the society pages. Or instead, she could shop the sale rack at her
place of employment—one of the large, new department stores—and purchase a
ready-to-wear dress. She could then alter and trim the dress with lace, sequins,
or buttons to make it appear custom-made.
So attired, she might successfully blend in with a store’s clientele—or even
outshine them. This wasn’t a desirable state of affairs. Writing in the June 4,
1910, edition of the International Gazette, a Methodist minister urged that “the
craze of the shopgirl ... as fashionably attired as the rich woman she waits on had
become a menace.” Even earlier, in response to customer complaints,
employers had brainstormed ways to neutralize the threat. In 1890, The Sun
declared there was a “revolution in dress” underway, “not by the fashionable
folk, but by New York’s army of shopgirls.”
13 octobre 2017
19/10/2017 The Little Black Dress's Lost Underclass Origins - The Atlantic
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In response, many employers began requiring their female employees to dress
like domestic servants, in simple black dresses. An 1892 San Francisco Call
headline summarized the reaction among the labor pool: “The Shopgirls Hate
It.” Sometimes they even went on strike in response. But threatened with
termination, most shopgirls buckled, and by the 1890s the little black dress was
the required uniform in New York, London, and Paris.
In the summer of 1894, wearing a black dress became a condition of
employment for Jersey City telephone operators, too. The “‘hello’ girls,” as they
were called, also protested. Newspapers presented their case sympathetically; in
1892, for example, the Reading Times pointed out that the women were opposed
not to the dress itself, but “to the idea of showing by their dress that they are
working girls.”
The little black dress marked and mediated social
boundaries.
For these reasons, the little black dress became a marker of class. When young
working-class women complained that being forced into uniform was
“inconsistent with our ideals of freedom and independence,” as the The San
Francisco Call reported in 1892, they weren’t just complaining about self-
expression. Embedded in their ideals was the promise of social mobility.
These women were the fin de siècle equivalent of medieval merchants. They
mixed with the upper classes, whether in drawing rooms or on retail shop floors,
and they saw what the wealthy wore up close. Thanks to the sewing machine,
the paper pattern, and affordable fabrics, the working classes could finally,
feasibly, dress like high society—even if they were now only permitted to do so
after work hours.
* * *
Society matrons exacted their revenge by dressing like shopgirls and maids,
reappropriating their little black dresses for the upper crust.
13 octobre 2017
19/10/2017 The Little Black Dress's Lost Underclass Origins - The Atlantic
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Lillie Langtry, a famous British beauty who would go on to become a successful
actress, conquered London society in 1886 “dressed in a simple little black
frock,” as the Emporia Daily News described it. By the early 1900s, socialites
who wanted to appear especially youthful and edgy donned little black dresses.
The LBD appeared in fashion magazines and society pages decades before
Chanel’s dress appeared in Vogue. It was such an established trend by 1915 that
even the wife of the U.S. Secretary of the Treasury appeared in public looking
“like a college girl, in her short little black dress.”
While Coco Chanel didn’t invent the little black dress, she was astute enough to
pick up on the underlying trend that made it popular—la pauvreté de luxe, she
called it, or “luxurious poverty.” It was a look reserved exclusively for those who
could “afford” to look poor by pretending that they simply couldn’t be bothered
with fashion. But while a rich woman might now better blend into the crowd, on
closer inspection, there would be some small detail in her seemingly anonymous
garment—a certain cut or fabric or label—that acted as a secret handshake for
those in the know.
Today, the fashion industry sometimes celebrates the little black dress as an
equal-opportunity fashion—versatile, classic, and chic. But this neutral garment
was never ideologically neutral—nor was it the democratic creation of a
visionary designer. The little black dress marked and mediated social
boundaries, a collaboration between cutting-edge technology and age-old class
politics.
Today, in addition to little black-dress auctions, there are LBD-themed dinner
parties and wine tastings, galas and charity balls. A little black dress has become
a shorthand for instant glamour, promising to disguise both figure flaws and
mundane lives. This blue-collar costume has successfully crossed over. Women
wear little black dresses to feel more like Audrey Hepburn or Princess Diana or
even a model in a Robert Palmer music video. But when they do, those women
also conjure other predecessors: the women who wore them while they balanced
trays, stocked shelves, folded shirts, worked the switchboards, and wrung out
the laundry.
13 octobre 2017
22 juillet 2017
THE IRISH TIMES - Is this the best
collection of ‘little black dresses’ in the
world?
Rare pieces from the greatest of fashion designers at Sothebys’ sale, leather
accessories and hats for the races
Sat, Jul 22, 2017, 06:00
Dominique McMullan, Deirdre McQuillan
Black dresses from the private collection of Didier Ludot in Paris
Up to 140 little black dresses from the private collection of Didier Ludot in Paris will
come up for sale in Sothebys Paris on October 3rd during fashion week. These rare and
important pieces from the greatest of fashion designers, mostly dating from the 1950s, are
from a collection built up over 40 years. Didier Ludot’s boutique in the Palais Royale in
Paris will be well known to lovers of fashion and the haute couture “petites robes noires”
(little black dresses) are from Balenciaga, Balmain, Coco Chanel, Patou, Yohji Yamamoto
and others with estimates ranging from €500-€5,000. The little black dress has, according
to Sothebys “fascinated couturiers, flattered women and enchanted men for nearly a
century” since it made its debut with Chanel in 1926. There are 20 pieces from Christian
Dior alone. Visit sothebys.com
4 octobre 201719/10/2017 A Collection of LBDs from Didier Ludot Just Sold For Over $720K | Observer
http://observer.com/2017/10/didier-ludot-little-black-dresses-broke-records-at-sothebys/ 1/7
A Collection of Little Black
Dresses Just Sold For Over $720K
They say that the little black dress (a.k.a.
the LBD) is the staple of any woman’s
wardrobe, from when it was first
introduced in 1926 to today. A recent
auction at Sotheby’s just proved that
point with some very solid evidence: a
record breaking sale.
It took place on October 3rd, in Paris,
when esteemed vintage fashion
collector Didier Ludot pulled together a
    
4 octobre 2017
19/10/2017 A Collection of LBDs from Didier Ludot Just Sold For Over $720K | Observer
http://observer.com/2017/10/didier-ludot-little-black-dresses-broke-records-at-sothebys/ 2/7
collection of 160 iconic vintage and
couture pieces, including mostly little
black dresses, plus a few notable
accessories. Spanning a period of 90
years, from 1920 to 2010, the lot
contained celebrated frocks like a piece
from Alexander McQueen‘s first
collection for Givenchy Haute Couture
in 1998 and a Jean Patou dress from 1925
that was displayed in the Metropolitan
Museum’s “China: Through the Looking
Glass” exhibition.
The lots included notable designs from
Hermès, Jeanne Lanvin, Paco Rabanne,
Helmut Lang, Pierre Cardin and
Balenciaga, so you know this Sotheby’s
auction was fodder for fashion lovers of
all kinds. There were also over-the-top
shoes created by Roger Vivier for the
Christian Dior maison.
4 octobre 2017
19/10/2017 A Collection of LBDs from Didier Ludot Just Sold For Over $720K | Observer
http://observer.com/2017/10/didier-ludot-little-black-dresses-broke-records-at-sothebys/ 3/7
“Today I pay tribute to the astonishing
story of the little black dress and to the
designers who wrote its story, a dizzying
tale that finds itself retold in the
catalogue, from the Roaring Twenties to
the new millennium,” Ludot told
Sotheby’s. Well-known for being an
encyclopedia of fashion—and his must-
visit shops in the arcades of the Palais
Royal—Ludot is a fixture on the Parisian
fashion scene.
The priciest item in Ludot’s sale, which
was held in conjunction with Kerry
Taylor Auctions, was an Yves Saint
Laurent dress that dates back to the
fall/winter collection of 1976-1977.
Krystyna Campbell-Pretty scooped up
the black frock for a cool $61K, which
was five times over the estimated price;
she intends to donate her haul to the
National Gallery of Victoria in Australia.
But she’s not the only one who intends
to donate her purchase for the public’s
consumption; the Museo de la Moda y
Textil in Chile was the confirmed buyer
of a Pierre Cardin Haute Couture dress.
The British woman who won the
aforementioned McQueen designed
gown said that she will be donating her
acquisition to a UK museum, while
a rare Balenciaga bridal gown is
reportedly heading to an American
museum, though it’s unclear which one.
4 octobre 2017
19/10/2017 A Collection of LBDs from Didier Ludot Just Sold For Over $720K | Observer
“The results illustrate the timelessness
and enduring quality of the little black
dress…We are delighted with the sale
results, which was a real victory for
taste,” Ludot said afterwards. It’s also a
win for avid consumers of fashion, as it
seems likely that they might be able to
feast their eyes on these magnificent
creations at forthcoming museum
expositions around the globe.
SEE ALSO: These 5 Designers Are
Ruffling Feathers at Paris Haute Couture
25 septembre 2017
4 octobre 2017
17 juillet 2017
EVENTI lunedì 17 luglio 2017
FASHION MAGAZINE.IT - Sotheby’s: all’asta 140 little
black dress
Sotheby’s, celebre casa d’aste del Regno Unito con numerose filiali nel mondo, mette all’asta 140 iconici little
black dress appartenenti alla collezione privata di Didier Ludot, negozio d’antiquariato parigino.
L’asta in agenda il 3 ottobre, realizzata in collaborazione con Kerry Taylor Auctions, offrirà abiti il cui valore
oscilla tra gli 800 e i 5mila euro, creati dai più famosi couturier, a partire dagli anni 20 fino al nuovo millennio
(nella foto, il little black dress di Chanel del 1960, indossato da Delphine Seyrig nel film “L’anno scorso a
Marienbad” di Alain Resnais).
Tra i capi figurano alcuni modelli di Balenciaga, Balmain e Yves Saint Laurentprecedentemente esibiti
al Metropolitan Museum di New York.
All’incanto anche un classico Lanvin del 1938, un abito da cocktail di seta firmato Dior, simbolo della frivolezza
controversa del secondo dopoguerra e un Givenchy dalla schiena scoperta, disegnato nel 1998 da Alexander
McQueen.
Non mancano alcuni complementi del look come le calzature Roger Vivier e una serie di selezionate pelliccie.
a cura della redazione
22 août 2017
MODAES.ES - Macro-subasta de ‘little
black dresses’
La casa de subasta Sotheby’s pondrá a la venta un conjunto de 140 vestidos de negros de marcas
como Dior, que presenta veinte diseños.
22 AGO 2017 — 05:00
Buenas noticias para las fans del little black dress. La casa de subasta Sotheby’s, junto con Kerry
Taylor Auctions, pondrá a la venta 140 artículos de la pieza de vestir icónica el próximo otoño.
Las prendas de ropa tienen una antigüedad de hasta los años veinte. Entre las enseñas que se
pondrán a la venta se encuentran veinte vestidos de Dior, propiedad del coleccionista Didier
Ludot, Chanel o Jean Patou.
El rango de precios por los que saldrán a subasta va de los 800 euros a los 5.000 euros. Algunas de las
piezas que se presentarán han estado expuestas en museos como el Met, en alguna de sus
exposiciones anuales dedicadas a la moda.
22 septembre 2017
París, Francia | AFP.
Más de 140 vestidos negros diseñados por los grandes creadores entre 1920 y los
años 2000 serán subastados el 3 de octubre en París, celebrando la intemporalidad
de esta elegante prenda femenina.
Los vestidos, subastados por la casa Sotheby's, proceden de la colección personal
del francés Didier Ludot, "anticuario de la moda" y especialista de esta pieza,
consagrada por Gabrielle Chanel en 1926.
Las estimaciones oscilan entre 500 y 5.000 euros (600 y 6.000 dólares).
"El vestido negro es mucho más que una prenda de vestir. Es el símbolo del chic
parisino, un modelo absoluto de refinamiento, una armadura sensual en la que se
deslizan generaciones de mujeres", explicó Didier Ludot.
Las prendas a la venta, en colaboración con la casa Kerry Taylor Auctions, fueron
creadas entre 1921 y 2010 por los diseñadores más célebres, de Chanel a Marc
Vaughan, pasando por Christian Dior, Jean Patou, Balenciaga, Yves Saint Laurent,
Pierre Balmain, Yohji Yamamoto y Alexander McQueen.
Entre los lotes más antiguos, destaca una creación de Givenchy en satén duquesa
(1956-1957), estimada entre 1.800 y 2.500 euros, y un vestido cóctel en faya de
seda de Christian Dior por Yves Saint Laurent (1960-1961), valorada entre 1.200 y
1.500 euros.
De los años 1950-1960, resalta una prenda en muselina de seda de Chanel, idéntica
a la que llevó Deplhine Seyrig en la película "El año pasado en Marienbad" de Alain
Resnais y estimada entre 2.500 y 3.000 euros. También un elegante vestido de
Balenciaga, con bordados en forma de claveles (3.000 y 5.000 euros).
Sotheby's ya organizó en julio de 2015 una primera venta de 150 prendas de la
colección de Ludot.
octobre 2017
11 juillet 2017
11 juillet 2017
11 juillet 2017
22 septembre 2017
Publicado por
Bernardita Villa
| La Información es de
Agence France-Presse
Más de 140 vestidos negros diseñados por los grandes creadores entre 1920 y los años 2000
serán subastados el 3 de octubre en París, celebrando la intemporalidad de esta elegante
prenda femenina.
Los vestidos, subastados por la casa Sotheby’s, proceden de la colección personal del
francésDidier Ludot, “anticuario de la moda” y especialista de esta pieza, consagrada por
Gabrielle Chanel en 1926.
Las estimaciones oscilan entre 500 (más de 370 mil pesos chilenos) y 5.000 euros (casi
cuatro millones de pesos chilenos).
“El vestido negro es mucho más que una prenda de vestir. Es el símbolo del chic parisino, un
modelo absoluto de refinamiento, una armadura sensual en la que se deslizan generaciones
de mujeres”, explicó Didier Ludot.
Las prendas a la venta, en colaboración con la casa Kerry Taylor Auctions, fueron creadas
entre 1921 y 2010 por los diseñadores más célebres, de Chanel a Marc Vaughan, pasando
por Christian Dior, Jean Patou, Balenciaga, Yves Saint Laurent, Pierre Balmain, Yohji
Yamamoto y Alexander McQueen.
Entre los lotes más antiguos, destaca una creación de Givenchy en satén duquesa (1956-
1957), estimada entre 1.800 y 2.500 euros, y un vestido cóctel en faya de seda de Christian
Dior por Yves Saint Laurent (1960-1961), valorada entre 1.200 y 1.500 euros.
De los años 1950-1960, resalta una prenda en muselina de seda de Chanel, idéntica a la que
llevó Deplhine Seyrig en la película “El año pasado en Marienbad” de Alain Resnais y
estimada entre 2.500 y 3.000 euros. También un elegante vestido de Balenciaga, con
bordados en forma de claveles (3.000 y 5.000 euros).
Sotheby’s ya organizó en julio de 2015 una primera venta de 150 prendas de la colección de
Ludot.
URL Corta: http://rbb.cl/i0ra
20 juin 2017
20 juin 2017
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Pressbook les petites robes noires

  • 1. Press Book 1921-2010 LES PETITES ROBES NOIRES Collection Didier Ludot Paris, le 3 octobre 2017
  • 2. Agrément N° 2001 – 002 du 25 octobre 2001 Vente dirigée par Jeanne Calmont Communiqué de presse Paris Sotheby’s : 33 (0)1 53 05 53 66 | Sophie Dufresne | sophie.dufresne@sothebys.com 33 (0)1 53 05 52 32 | Chloé Brézet | chloe.brezet@sothebys.com By Jenny | 33 (0)6 76 40 73 05 | jenny@by-lj.com 1921-2010 LES PETITES ROBES NOIRES Collection Didier Ludot – Plus de 140 créations Haute Couture –
  • 3. 2 PARIS, juin 2017 – Sotheby’s est heureuse d’annoncer sa deuxième vente Haute Couture, le mardi 3 octobre à Paris. La maison soumet au feu des enchères 140 « petites robes noires » issues de la collection personnelle de Didier Ludot, avec le concours de Kerry Taylor Auctions. En juillet 2015, Sotheby’s France avait dévoilé une partie de l’univers de Didier Ludot. Les créations mythiques des plus grands couturiers avaient ainsi défilé à la galerie Charpentier et conquis le cœur des collectionneuses et collectionneurs le temps d’une vente éclatante*. Cette nouvelle édition célèbrera un monument de la mode, un vêtement intemporel qui fascine les couturiers, magnifie les femmes, envoûte les hommes et constitue la pièce indispensable de tout dressing parisien digne de ce nom : la petite robe noire. La vente du 3 octobre jettera un nouveau coup de projecteur sur ce classique de la mode. Afin d’accomplir cette mission, Didier Ludot a de nouveau sollicité le savoir-faire de Sotheby’s : « Je rends aujourd’hui hommage à la fabuleuse épopée de la petite robe noire et aux créateurs qui ont écrit son histoire dont le catalogue se fait l’écho vertigineux, des années Folles aux années 2000. Ces pièces, estimées entre 500 et 5.000 €, que j’ai collectionnées avec passion, ont été créées par les plus grands couturiers, de Chanel à Marc Vaughan, en passant par Jean Patou – dont certaines pièces furent prêtées au Metropolitan Museum de New York – Balenciaga, Yves Saint Laurent, Pierre Balmain, Yohji Yamamoto. Une vingtaine de robes signées Christian Dior célèbrent les soixante-dix ans de l’illustre maison. Et parce-que la petite robe noire n’aime pas sortir seule, des escarpins de Roger Vivier et des fourrures accompagnent cette sélection. » On ne présente plus Didier Ludot, célèbre « antiquaire de mode » français. Son nom court sur les lèvres des esthètes éprises de Haute Couture, en quête de la pièce, unique, chargée d’histoire, qui illuminera leurs garde- robes. Venues des quatre coins du monde, elles se pressent dans la célèbre boutique du maître du vintage, sous les arcades du Palais Royal, entre les étoffes de toutes les époques. Depuis plus de quatre décennies et parallèlement à son activité de marchand, Didier Ludot a collectionné une à une les pièces de Haute Couture les plus rares. Il est aussi l’auteur de l’ouvrage La petite robe noire, paru aux éditions Assouline en septembre 2001, considéré comme une référence sur ce sujet. Huit ans plus tard, il dédiait une exposition à la petite robe noire, dans les vitrines du ministère de la culture, à quelques pas de sa boutique. La vente retrace l’histoire de la petite robe noire, depuis son apparition en 1926, sous l’égide de Gabrielle Chanel, jusqu’aux créations actuelles de Viktor et Rolf, en passant par le cinéma de la
  • 4. 3 nouvelle Vague. « Qu’on ne se méprenne pas sur l’usage de l’adjectif : « petite »… Il révèle la relation affective qui unit une femme à la robe dont elle se pare. Car la petite robe noire est bien plus qu’un vêtement. Elle est le symbole du chic parisien, un modèle absolu de raffinement, une armure sensuelle dans laquelle se glissèrent des générations de femmes, sublimées par le port de cette toilette transcendante, aux pouvoirs magiques, qui floute les défauts, exalte toutes les beautés et fait tourner les têtes de ceux qui la regardent. Ses ambassadrices s’appellent Monica Vitti, Jeanne Moreau, Delphine Seyrig, Catherine Deneuve ou Monica Bellucci. Objet de convoitise pour les unes, elle est une source intarissable de fantasmes pour les autres. Si elle est « petite » par sa taille – la robe noire se porte courte – elle est immense par son histoire. » (Didier Ludot) Une dizaine d’escarpins de Roger Vivier Afin de parfaire ce défilé, le catalogue comprend également une dizaine de créations de Roger Vivier, dont certains modèles, d’une grande rareté, furent conçus pour Christian Dior et brodés par la maison Rébé. Ces délicats souliers aux couleurs éclatantes souligneront la pureté des petites robes noires. Citons, entre autres merveilles, une paire d’escarpins au bout turc, ou encore une paire en soie bleu canard rehaussée de plumes de martin pêcheur. *8 juillet 2015, près d’1 million d’euros, 100 % de lots vendus
  • 5. 4 Paul Poiret - 1921 Modèle « Madone » Satin de soie avec une broderie ethnique Estimation : 2.000-3.000 € Jean Patou - 1925 Modèle « Nuit de Chine » Mousseline de soie brodée d’un paysage asiatique Cette robe fut prêtée au Fashion Institute du Metropolitan Museum de New York, lors de l’exposition « China », en 2015 Estimation : 2.500-3.500 € Jeanne Lanvin - 1938 Robe en crêpe noire, matelassée aux épaules et à l’encolure, bas des manches gansés de cuir métallisé Estimation : 1.000-1.500 €
  • 6. 5 Lucien Lelong - 1947 Robe de petit dîner drapée en crêpe Estimation : 800-1.200 € Christian Dior - 1950 Robe de cocktail en faille de soie cloquée Estimation : 2.000-3.000 € Balenciaga - 1953 Robe de petit dîner, en gros de Naples avec des broderies œillets Estimation : 3.000-5.000 €
  • 7. 6 Givenchy - Automne / Hiver 1956 Robe de petit dîner en satin duchesse Estimation : 1.500-2.000 € Balenciaga - 1958 Robe « Baby Doll » en dentelle de la maison Marescot Modèle identique à celle exposée au musée de la dentelle de Calais en 2016 Estimation : 2.000-3.000 € Christian Dior par Yves Saint Laurent Automne / Hiver 1960 Faille de soie Estimation : 1.500-2.500 €
  • 8. 7 Chanel - 1960 Mousseline de soie Modèle identique à celui porté par Delphine Seyrig dans le film d’Alain Resnais, « L’année dernière à Marienbad », en 1961 Une robe identique figure dans les collections du Victoria and Albert Museum, Londres Estimation : 2.500-3.000 € Pierre Cardin - 1969 Modèle « Car Wash » Robe en crêpe de laine Un modèle identique figure au Metropolitan Museum de New York et un modèle similaire, de couleurs, réside dans les collections du Victoria and Albert Museum, Londres Estimation : 500-900 € Givenchy par Alexander Mac Queen - 1998 Robe de cocktail entièrement perlée de jais Estimation : 1.000-1.500 €
  • 9. 8 Junya Watanabe pour Comme des Garçons - Printemps / Eté 2005 Encolure fermeture éclair Estimation : 1.000-1.500 € Visiter: www.sothebys.com/en/inside/services/press/news/news.html Suivre: www.twitter.com/sothebys Rejoignez-nous : www.facebook.com/sothebys & www.weibo.com/sothebyshongkong Regarder : www.youtube.com/sothebys Sotheby’s réunit les collectionneurs à travers les œuvres d’art depuis 1744. Sotheby’s est devenue la première maison de vente internationale depuis qu’elle s’est développée à New York depuis son siège londonien (1955). Elle fut la première à tenir des ventes à Hong Kong (1973), en France (2001), et en Chine (2012). Aujourd’hui, Sotheby’s est présente dans huit salles de ventes incluant New York, Londres, Hong Kong et Paris. Sotheby’s avec ses Services Financiers est la seule société de financement artistique au monde et elle offre l’opportunité d’enchérir dans 70 domaines de collection incluant S|2, galerie d’exposition-vente du département d’art contemporain, Sotheby’s Diamonds et le Vin. Sotheby’s possède un réseau mondial de 90 bureaux dans 40 pays et est la plus ancienne société du New York Stock Exchange (BID). *Les estimations sont hors commission d’achat et les prix incluent le prix marteau et la commission d’achat Les images sont disponibles sur demande Tous les catalogues sont consultables en ligne www.sothebys.com ou sur l’application Ipad Sotheby’s Catalogue
  • 10. 1er septembre 2017 Tous droits de reproduction réservés PAYS :France PAGE(S) :100 SURFACE :26 % PERIODICITE :Hebdomadaire DIFFUSION :425216 1 septembre 2017 - N°22724
  • 14. 20 septembre 2017 20/09/2017 Le Figaro Premium - Le petite robe noire, vedette d'une vente aux enchères en octobre http://premium.lefigaro.fr/culture/encheres/2017/09/20/03016-20170920ARTFIG00238-le-petite-robe-noire-vedette-d-une-vente-aux-encheres-en-… 1/4 NOUVEAU Le petite robe noire, vedette d'une vente aux enchères en octobre Enchères (http://premium.lefigaro.fr/culture/encheres) | Mis à jour le 20/09/2017 à 18h05 Plus de 140 petites robes noires, signées de grandes maisons de couture et créées «des Années folles aux années 2000», seront mises aux enchères le 3 octobre à Paris par Sotheby's. La petite robe noire, un monument de la haute couture qui sera la vedette d'une vente de Sotheby's (http://www.lefigaro.fr/culture/encheres/2017/06/30/03016- 20170630ARTFIG00294-les-maisons-de-ventes-francaises-a-la-hausse.php). Plus de 140 pièces, signées de grands noms de la couture, «des Années folles aux années 2000», seront dispersées le 3 octobre à Paris. Les robes proviennent de la collection personnelle de Didier Ludot (http://www.lefigaro.fr/sortir-paris/2015/07/06/30004- 20150706ARTFIG00017-didier-ludot-ses-adresses-chic-a-paris.php), «antiquaire de la mode» et spécialiste de ce classique du vestiaire féminin, consacré par Gabrielle Chanel en 1926. Les estimations vont de 500 à 10.000 euros. «La petite robe noire est bien plus qu'un vêtement. Elle est le symbole du chic parisien, un modèle absolu de raffinement, une armure sensuelle dans laquelle se glissèrent des générations de femmes. Si elle est «petite» par sa taille - la robe noire se porte courte - elle est immense par son histoire», explique Didier Ludot dans un communiqué. Les robes mises en vente, en collaboration avec la maison Kerry Taylor Auctions (https://kerrytaylorauctions.com/), ont été créées entre 1921 et 2010 par les plus grands couturiers, de Chanel à Marc Vaughan, en passant par Christian Dior, Jean Patou, Les robes mises en vente ont été créées entre 1921 et 2010 par les plus grands couturiers, de Chanel à Marc Vaughan. - Crédits photo : Crédit photos : Sotheby's / Art digital studio
  • 15. 20 septembre 2017 AFP - La petite robe noire, vedette d'une vente de Sotheby's en octobre à Paris Paris, 20 sept 2017 (AFP) - Plus de 140 petites robes noires, signées de grands noms de la couture, "des Années folles aux années 2000", seront mises aux enchères le 3 octobre à Paris par Sotheby's, a- t-on appris auprès de la maison de vente. Les robes proviennent de la collection personnelle de Didier Ludot, "antiquaire de la mode" et spécialiste de ce classique du vestiaire féminin, consacré par Gabrielle Chanel en 1926. Les estimations vont de 500 à 5.000 euros. "La petite robe noire est bien plus qu'un vêtement. Elle est le symbole du chic parisien, un modèle absolu de raffinement, une armure sensuelle dans laquelle se glissèrent des générations de femmes", explique Didier Ludot dans un communiqué. Les pièces mises en vente, en collaboration avec la maison Kerry Taylor Auctions, ont été créées entre 1921 et 2010 par les plus grands couturiers, de Chanel à Marc Vaughan, en passant par Christian Dior, Jean Patou, Balenciaga, Yves Saint Laurent, Pierre Balmain, Yohji Yamamoto ou Alexander McQueen. Une dizaine d'escarpins Roger Vivier et des fourrures seront également proposés à la vente. Parmi les lots phares, une robe Givenchy en satin duchesse (automne-hiver 1956-1957) est estimée entre 1.800 et 2.500 euros; une robe de cocktail en faille de soie Christian Dior haute couture par Yves Saint Laurent (automne-hiver 1960-1961) entre 1.200 et 1.500 euros. Une robe en mousseline de soie signée Chanel, identique à celle portée par Delphine Seyrig dans le film d'Alain Resnais, "L'année dernière à Marienbad" en 1961, est estimée entre 2.500 et 3.000 euros. Une robe Balenciaga de 1953 à broderies oeillets, entre 3.000 et 5.000 euros. A la tête d'un dépôt-vente de luxe installé dans les galeries du Palais-Royal à Paris, le collectionneur Didier Ludot est l'auteur de l'ouvrage "La petite robe noire", paru en septembre 2001. La maison Sotheby's avait déjà organisé en juillet 2015 une première vente de 150 pièces issues de sa collection.
  • 16. 20 septembre 2017 Accueil/ Mode 36 PARTAGES Vente Sotheby's en octobre : 140 petites robes noires haute couture de 1921 à 2010 Par Culturebox (avec AFP) Mis à jour le 20/09/2017 à 14H08, publié le 20/09/2017 à 11H24 Les robes mises aux enchères proviennent de la collection personnelle de Didier Ludot, collectionneur fashion. Ici en septembre 2009, à l'inauguration de l'exposition "La petite robe noire". © LYDIE/SIPA Plus de 140 petites robes noires, signées de grands noms de la couture, "des années folles aux années 2000", sont mises en enchères le 3 octobre à Paris par Sotheby's. Ce vêtement intemporel qui fascine les couturiers, magnifie les femmes et envoûte les hommes, constitue la pièce indispensable de tout dressing parisien digne de ce nom. Les robes proviennent de la collection personnelle de Didier Ludot, "antiquaire de la mode" et spécialiste de ce classique du vestiaire féminin, consacré par Gabrielle Chanel en 1926. Les estimations vont de 500 à 5.000 euros. Des robes iconiques "La petite robe noire est bien plus qu'un vêtement. Elle est le symbole du chic parisien, un modèle absolu de raffinement, une armure sensuelle dans laquelle se glissèrent des générations de femmes", a expliqué Didier Ludot. TOUTE L'A Retour en image Fashion Week pr Le mannequin Em retouches photo New York Fashio printemps-été 20 LES FASH ACTU VIDÉO FESTIVALS J’aime 181 CINÉMA ARTS MUSIQUE OPÉRA / CLASSIQUE DANSE THÉÂTRE LIVRES MODE RENT france.tv radiofrance
  • 17. 20 septembre 2017 27/09/2017 Paris : des petites robes noires iconiques aux enchères chez Sotheby's | www.cnewsmatin.fr http://www.cnewsmatin.fr/france/2017-09-20/paris-des-petites-robes-noires-iconiques-aux-encheres-chez-sothebys-765280 1/6 L'Actu Le Direct Le Top L'Essentiel Paris : des petites robes noires iconiques aux enchères chez Sotheby's Par CNEWS Matin - Mis à jour le 20/09/2017 à 20:14 Publié le 20/09/2017 à 19:55 Tweet Partager En 1961, dans ce film d'Alain Resnais, l'actrice française Delphine Seyrig porte la robe Chanel en mousseline de soie, qui sera vendue chez Sotheby's à partir de 2.500 euros .[© DR ] La petite robe noire consacrée par Gabrielle Chanel, en 1926. C’est le grand classique du vestiaire féminin. Plus de 140 petites robes noires – signées des plus grands noms de la couture – de 1921 à 2010 – seront mises aux enchères le 3 octobre à En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies permettant de vous proposer des publicités ciblées adaptées à vos centres d’intérêts, de réaliser des statistiques d’audience et l’utilisation des boutons de partage sociaux. En savoir plus
  • 18. 20 septembre 2017 21/09/2017 La petite robe noire, vedette d'une vente de Sotheby's en octobre à Paris - La Croix http://www.la-croix.com/article/imprimer/http://www.la-croix.com/Culture/petite-robe-noire-vedette-vente-Sotheby-octobre-Paris-2017-09-20-13008… 1/2 La petite robe noire, vedette d'une vente de Sotheby's en octobre à Paris Par afp, le 20/9/2017 à 10h35 21/09/2017 La petite robe noire, vedette d'une vente de Sotheby's en octobre à Paris - La Croix Plus de 140 petites robes noires, signées de grands noms de la couture, "des Années folles aux années 2000", seront mises aux enchères le 3 octobre à Paris par Sotheby's, a-t-on appris auprès de la maison de vente. Les robes proviennent de la collection personnelle de Didier Ludot, "antiquaire de la mode" et spécialiste de ce classique du vestiaire féminin, consacré par Gabrielle Chanel en 1926. Les estimations vont de 500 à 5.000 euros. "La petite robe noire est bien plus qu'un vêtement. Elle est le symbole du chic parisien, un modèle absolu de raffinement, une armure sensuelle dans laquelle se glissèrent des générations de femmes", explique Didier Ludot dans un communiqué. Les pièces mises en vente, en collaboration avec la maison Kerry Taylor Auctions, ont été créées entre 1921 et 2010 par les plus grands couturiers, de Chanel à Marc Vaughan, en passant par Christian Dior, Jean Patou, Balenciaga, Yves Saint Laurent, Pierre Balmain, Yohji Yamamoto ou Alexander McQueen. Une dizaine d'escarpins Roger Vivier et des fourrures seront également proposés à la vente. Parmi les lots phares, une robe Givenchy en satin duchesse (automne-hiver 1956-1957) est estimée entre 1.800 et 2.500 euros; une robe de cocktail en faille de soie Christian Dior haute couture par Yves Saint Laurent (automne-hiver 1960-1961) entre 1.200 et 1.500 euros. Une robe en mousseline de soie signée Chanel, identique à celle portée par Delphine Seyrig dans le film d'Alain Resnais, "L'année dernière à Marienbad" en 1961, est estimée entre 2.500 et 3.000 euros. Une robe Balenciaga de 1953 à broderies oeillets, entre 3.000 et 5.000 euros. A la tête d'un dépôt-vente de luxe installé dans les galeries du Palais-Royal à Paris, le collectionneur Didier Ludot est l'auteur de l'ouvrage "La petite robe noire", paru en septembre 2001. La maison Sotheby's avait déjà organisé en juillet 2015 une première vente de 150 pièces issues de sa collection. afp Plus de 140 petites robes noires, signées de grands noms de la couture, "des Années folles aux années 2000", seront mises aux enchères le 3 octobre à Paris par Sotheby's / AFP/Archives 
  • 19. 20 septembre 2017 La petite robe noire, vedette d'une vente de Sotheby's en octobre à Paris AFP - mercredi20 septembre 2017 Plus de 140 petites robes noires, signées de grands noms de la couture, "des Années folles aux années 2000", seront mises aux enchères le 3 octobre à Paris par Sotheby's © AFP/Archives Plus de 140 petites robes noires, signées de grands noms de la couture, "des Années folles aux années 2000", seront mises aux enchères le 3 octobre à Paris par Sotheby's, a-t-on appris auprès de la maison de vente. Les robes proviennent de la collection personnelle de Didier Ludot, "antiquaire de la mode" et spécialiste de ce classique du vestiaire féminin, consacré par Gabrielle Chanel en 1926. Les estimations vont de 500 à 5.000 euros. "La petite robe noire est bien plus qu'un vêtement. Elle est le symbole du chic parisien, un modèle absolu de raffinement, une armure sensuelle dans laquelle se glissèrent des générations de femmes", explique Didier Ludot dans un communiqué. Les pièces mises en vente, en collaboration avec la maison Kerry Taylor Auctions, ont été créées entre 1921 et 2010 par les plus grands couturiers, de Chanel à Marc Vaughan, en passant par Christian Dior, Jean Patou, Balenciaga, Yves Saint Laurent, Pierre Balmain, Yohji Yamamoto ou Alexander McQueen. Une dizaine d'escarpins Roger Vivier et des fourrures seront également proposés à la vente. Parmi les lots phares, une robe Givenchy en satin duchesse (automne-hiver 1956-1957) est estimée entre 1.800 et 2.500 euros; une robe de cocktail en faille de soie Christian Dior haute couture par Yves Saint Laurent (automne-hiver 1960-1961) entre 1.200 et 1.500 euros. WEB MEDIA SOTHEBY'S Ref : 889 5minutes.rtl.lu Date : 20/09/2017 Page : ­­ Periodicity : Continuous Journalist : ­­ Circulation : ­­ Audience : 1000 Size : ­­ http://5minutes.rtl.lu/culture/laune/1077893.html © auxipress  •  +32 2 514 64 91  •  info@auxipress.be  •  www.auxipress.be 1 / 2
  • 21. 23 septembre 2017 https://femmes.orange.fr/mode/news-mode/article-140-petites-robes-noires-iconiques-mises-aux-encheres-CNT000000O3Wrf.htm Tendances News Ces astuces mode pour cacher son petit ventre News Quiz mode : comment s'appellent ces… News Pour Carla Bruni, la mode "est un environnement…  News mode 2partages      2 réactions Réagir 140 petites robes noires iconiques mises aux enchères A lire aussi Hélène Garçon La petite robe noire devient la vedette d'une vente aux enchères organisée le 3 octobre 2017 par Sotheby's à Paris. Yves Saint Laurent, Christian Dior, Pierre Balmain, Chanel, Alexander McQueen ou encore Yohji Yamamoto, tous les grands pontifes de la mode du XXe et XXIe siècle seront réunis à la vente de Sotheby's qui célèbre l'iconique petite robe noire. Source d'inspiration inépuisable pour les créateurs, ce classique de la garde-robe féminine a en effet été revisité par toutes les maisons de couture à travers les décennies. La collection de Didier Ludot, "antiquaire de la mode", composée de 140 modèles datant des années 1920 au nouveau millénaire, sera mise aux enchères le 3 octobre prochain. Article Comment éviter le total look noir pour les fêtes ? Diaporama 10 chapeaux à shopper cet automne Article Casquette gavroche : 3 façons de l'adopter ePresse Le meilleur de la presse La recette du jou Goulash Basic Instant : 3 façons de porter la petite r… 01:55 Robe Lanvin datant de 1938/ robe Chanel de 1960 / robe Dior de 1950. ©Sotherby's, DR A la une Mode Beauté People Voyages Bien-être Cuisine Au quotidien
  • 22. 25 septembre 2017 L'INVITÉ 25 SEP T EMB R E 20 17 Didier Ludot et ses petites robes noires-bijoux chez Sotheby’s Paris L’antiquaire de la mode met en vente 140 petites robes noires, le 3 octobre 2017 à Paris. Pour certaines d’entre elles, le mot « bijou » s’impose naturellement… Cette deuxième vente chez Sotheby’s est entièrement consacrée à votre vêtement fétiche. Pourquoi ne pas les vendre dans votre boutique ? Les acheteurs de pièces anciennes de haute couture évoluent, la façon d’acheter aussi. Ces ventes me permettent de rencontrer des collectionneurs qui ne viendraient jamais dans la boutique du Palais- Royal que j’ai ouverte il y a 43 ans. Certaines ornementations en métal, en fils d’or ou en paillettes s’apparentent à de véritables L'INVITÉ 2 5 S E P T E M B R E 2 0 1 7 Didier Ludot et ses petit noires-bijoux chez S Paris L’antiquaire de la mode met en vent robes noires, le 3 octobre 2017 à certaines d’entre elles, le mot « bijo naturellement… Cette deuxième vente chez S entièrement consacrée à votre vêtem Pourquoi ne pas les vendre dans vo ?
  • 23. 25 septembre 2017 bijoux… Les broderies chinoises de la robe Jean Patou, que j’ai prêtée au Metropolitan Museum of Art pour l’exposition « China » en 2015, pourraient être faites de pierres précieuses. Il y a aussi le col en strass (probablement de Swarovski) qui soulignent le mouvement merveilleux du col de la robe Thierry Mugler. On dirait qu’il est soulevé par une bourrasque ! Maruschka Detmers a porté cette robe aux Oscars de la mode, en version ultra courte, avec des cuissardes en velours aux revers empierrés. Parmi mes préférées, il y a aussi celle de Comme des Garçons avec son col en zips tournoyant qui se métamorphose en collier. Quel effet étonnant que ces objets utilitaires évoquant un bijou massaï ! La broderie de la robe Chanel fait, elle, écho aux collections de haute joaillerie de la maison… Inspirée par une fontaine de Versailles, la broderie réalisée par Lesage témoigne d’un travail exceptionnel, digne de lapidaires, d’orfèvres et de sertisseurs. On distingue à peine, au centre, les deux C entrelacés. Cette robe de 1986 n’existe qu’en deux exemplaires, dont l’un a été porté par Inès de la Fressange dans une publicité pour le parfum « Coco ». Il y a une autre robe-bijou Chanel qui date elle aussi des années 1980, une période clinquante très à la mode aujourd’hui ! Elle est décorée de grandes chaînes comme des sautoirs qui tombent dans le dos. Rappelons que Gabrielle Chanel adorait les faux bijoux. Les robes noires-bijoux de Lanvin et Paco Rabanne font figures de classiques. Dans les années 1930, Jeanne Lanvin est une spécialiste de la robe-bijou enrichie de décors en perles, corail, miroirs, broderies de fils métalliques qui encadrent le col, les emmanchures, les poignets. Quant à Paco Rabanne, il excellait dans les vêtements en métal comme la robe de 1965 en plaques d’or véritable ornée dans la partie supérieure de diamants De Beers, portée par Françoise Hardy. Ce n’est pas par hasard que Gabrielle Chanel le surnommait « le métallurgiste » ! Entre 800 et 5 000 euros, les estimations L'INVITÉ 2 5 S E P T E M B R E 2 0 1 7 Didier Ludot et ses peti noires-bijoux chez S Paris L’antiquaire de la mode met en ven robes noires, le 3 octobre 2017 à certaines d’entre elles, le mot « bijo naturellement… Cette deuxième vente chez S entièrement consacrée à votre vêtem Pourquoi ne pas les vendre dans vo ?
  • 24. 25 septembre 2017 semblent raisonnables… Certains prix resteront parfaitement accessibles, d’autres s’envoleront car des grandes maisons et des musées sont sur les rangs. Dans ma première vente chez Sotheby’s, la robe Balenciaga appliquée de plumes roses ayant appartenu à Francine Weisweiller, une amie du couturier, a été le plus haut : 56 000 euros alors qu’elle était estimée 6 000 à 8 000 euros. Toutes les robes ne sont pas noires ! Et vous proposez aussi des souliers Roger Vivier… Il fallait réveiller l’ensemble avec des contrepoints lumineux comme celle d’Alexander McQueen. Certains des escarpins Roger Vivier, brodés par la maison Rébé, me sont parvenus de façon étrange… Un chauffeur en livrée s’est présenté à la boutique avec trois énormes sacs poubelles remplis de boîtes Roger Vivier. Mais impossible de connaître le nom de la donatrice qui souhaitait rester anonyme. Vendre c’est bien, mais rien n’est plus excitant que d’acheter ! Sotheby’s Paris – 76, rue du Faubourg Saint- Honoré 75008 Paris – Exposition du 28 septembre au 2 octobre 2017 – Vente le 3 octobre à 14h30. L'INVITÉ 2 5 S E P T E M B R E 2 0 1 7 Didier Ludot et ses petite noires-bijoux chez So Paris L’antiquaire de la mode met en vente robes noires, le 3 octobre 2017 à P certaines d’entre elles, le mot « bijou naturellement… Cette deuxième vente chez So entièrement consacrée à votre vêteme Pourquoi ne pas les vendre dans votr ?
  • 25. 25 septembre 2017 L'INVITÉ 2 5 S E P T E M B R E 2 0 1 7 Didier Ludot et ses petite noires-bijoux chez So Paris L’antiquaire de la mode met en vente robes noires, le 3 octobre 2017 à certaines d’entre elles, le mot « bijou naturellement… Cette deuxième vente chez So entièrement consacrée à votre vêtem Pourquoi ne pas les vendre dans vot ?
  • 26. 25 septembre 2017 L'INVITÉ 2 5 S E P T E M B R E 2 0 1 7 Didier Ludot et ses petit noires-bijoux chez S Paris L’antiquaire de la mode met en vente robes noires, le 3 octobre 2017 à certaines d’entre elles, le mot « bijou naturellement… Cette deuxième vente chez S entièrement consacrée à votre vêtem Pourquoi ne pas les vendre dans vot ?
  • 28. 27 septembre 2017 Balenciaga, Lanvin, Dior ou encore Yohji Yamamoto… depuis que Gabrielle Chanel a érigé la petite robe noire comme l'ultime uniforme féminin, les créateurs n'ont cessé de l'honorer. Le 3 octobre, Sotheby's met en vente 140 pièces d'archives appartenant à Didier Ludot, datant des années 1910 à 2010, ainsi qu'une dizaine de paires d'escarpins Roger Vivier.
  • 32. 1er octobre 2017 PAYS :France PAGE(S) :22 SURFACE :52 % PERIODICITE :Mensuel DIFFUSION :(44262) 1 octobre 2017 - N°348
  • 33. 1er octobre 2017 PAYS :France PAGE(S) :72 SURFACE :7 % PERIODICITE :Mensuel DIFFUSION :65165 N°4141
  • 34. 1er octobre 2017 PAYS :France PAGE(S) :180 SURFACE :18 % PERIODICITE :Mensuel DIFFUSION :116755 obre 2017 - N°981
  • 35. 2 octobre 2017 19/10/2017 Trésor à vendre : la petite robe noire de Balenciaga en vente chez Sotheby’s | Connaissance des Arts 02.10.2017 par Justine Bosquier Trésor à vendre : la petite robe noire de Balenciaga en vente chez Sotheby’s Robe de petit dîner, Balenciaga, 1953, gros de Naples avec des broderies œillets, Collection Didier Ludot (©Sotheby’s/Art digital studio) Chaque semaine, « Connaissance des Arts » vous fait découvrir un objet rare ou insolite mis en vente. Le 3 octobre à Paris, Sotheby’s met aux enchères 140 « petites robes noires » issues de la collection personnelle de l’antiquaire de mode Didier Ludot. Vêtement intemporel qui fascine les couturiers, sublime les femmes et envoûte les hommes, la petite robe noire est devenue au fil des années un classique de la mode. Parmi les pièces exposées, une robe de « petit dîner » signée Balenciaga en 1953 est estimée entre 3 000 et 5 000 euros. Cette création en gros de Naples (tissu en soie) avec des broderies œillets, est l’objet le plus important de cette vente, qui aura lieu à 12h. Pièce indispensable de tout dressing parisien, la petite robe noire est « le symbole du chic parisien, un modèle absolu de raffinement, une armure sensuelle dans laquelle se glissèrent des générations de femmes », selon Didier Ludot. Retrouvez notre rubrique Marché de l’art avec les ventes aux enchères du mois, les plus belles expositions dans les galeries mais aussi les plus grandes foires dans le magazine Connaissance des Arts d’octobre 2017. © Connaissance des Arts 2017 × En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies afin de réaliser des statistiques d'audiences et vous proposer des services ou des offres adaptés à vos centres d'intérêts. En savoir plus...
  • 36. 3 octobre 2017 19/10/2017 Et si on s'offrait une petite robe noire vintage à la vente Sotheby's ? | Vogue http://www.vogue.fr/culture/a-voir/diaporama/vente-sothebys-petite-robe-noire-mode-livre-parisienne/44508 Par Manon Garrigues le 03 Octobre 2017 À voir Livres CULTUREÀ VOIR Et si on s'offrait une petite robe noire vintage chez Sotheby's ? La petite robe noire. Un essentiel de la Parisienne. Simple et élégante, cette pièce intemporelle, introduite dans la garde robe par Coco Chanel, reste un objet de désir inspirant. Exposition, livre, cinéma... Cet automne, "the little black dress" flirte cette fois-ci avec les enchères en étant à l'honneur d'une vente exceptionnelle chez Sotheby's. Au total, 140 petites robes noires haute couture issues de la collection de Didier Ludot sont mises aux enchères aujourd'hui, à Paris. Voir les 6 IMAGES W X X MODE DÉFILÉS BEAUTÉ BIJOUX CULTURE VIDÉO HALLOWEEN VOGUE HOMMES LIFESTYLE HOROSCOPE MARIAGE VOGUE FASHION FESTIVAL 8 G 7 6 9 5 @ Magazines & Abonnement
  • 37. 6 octobre 2017 19/10/2017 Quand le prix des petites robes noires vintage s'envolent - Grazia https://www.grazia.fr/mode/quand-le-prix-des-petites-robes-noires-vintage-s-envole-870184 1/4 Quand le prix des petites robes noires vintage s'envole Par Sabrina Pons - Le 06 octobre 2017 MODE PETITE ROBE NOIRE/ ALEXANDER MC QUEEN/ BALENCIAGA/ GIVENCHY/ ACTUALITÉ/ GRAZIA DAILY APPLI/ GRAZIA DAILY NEWS/ © Sotheby's Plus de cent quarante petites robes noires ont été mises aux enchères par Sotheby's. Une vente de tous les records. En 2017, il arrive que le prix d'une petite robe noire vintage s'envole. Il fallait être à la vente aux enchères de Sotheby's à Paris, le jeudi 3 octobre, pour prendre la mesure de l'engouement que suscite cet intemporel du vestiaire féminin. Plus de cent quarante pièces signées de grands noms de la mode et issues de la collection personnelle de Didier Ludot, collectionneur compulsif qui rassemble depuis plus de quarante ans les plus beaux vêtements vintage, ont été vendues bien au-delà de leur prix d'estimation. La plus convoitée ? Une robe en zagar signée Balenciaga de la collection Printemps-Eté 1968. Estimée entre 5.000 et 7.000 euros, elle est partie à 35.000 euros. Pas loin derrière, une autre pièce en toile de soie Givenchy Haute Couture de la collection Printemps-Eté 1997, époque Alexander McQueen s'est envolée à 27.500 euros. Un scénario similaire pour toutes les robes mises en vente dispersées entre les mains de collectionneurs et plusieurs musées du monde entier. Au total, la vente à rapporté 611.922 euros. "Un montant record en France en 2017 pour une vente Haute Couture", précise Florent Jeanniard, directeur du département Design chez Sotheby's. Des robes impeccables La fourchette de prix des estimations largement dépassée s'explique par la rareté des modèles et l'état impeccable des robes, conservées avec soin par Didier Ludot. Ce spécialiste de la mode vintage tient une boutique dans les Jardins du Palais Royal à Paris ou il expose et vend ses pièces. Par forcément les plus rares comme celles vendues par Sotheby's. Car ces dernières sont aussi les plus fragiles. Les toucher, les essayer ou encore les laisser à l'air libre accélèrent leur détérioration. Elles sont donc conservées à l'abri des regards. Le comble pour un vêtement ? --------------------------- A lire aussi : Cannes : 12 façons de porter la petite robe noire sur tapis rouge 10 compte Instagram pour les mordus de vintage Vintage : enquête sur un business florissant CONTENUS SPONSORISÉS
  • 39. 11 octobre 2017 PAYS :France PAGE(S) :22 SURFACE :8 % PERIODICITE :Hebdomadaire DIFFUSION :239822 - N°1270
  • 40. 13 octobre 2017 PAYS :France PAGE(S) :118-119 SURFACE :189 % PERIODICITE :Hebdomadaire DIFFUSION :27304 JOURNALISTE :Anne Dordou Meim 13 octobre 2017 - N°1735
  • 41. 13 octobre 2017 PAYS :France PAGE(S) :24 SURFACE :10 % PERIODICITE :Quotidien DIFFUSION :(15400) 13 octobre 2017 - N°205
  • 42. 18 octobre 2017 MAD (Le Soir) Date : 18/10/2017 Page : 70­71 Periodicity : Weekly Journalist : Vouet, Jean Circulation : 70593 Audience : 406830 Size : 512 cm² © auxipress  •  +32 2 514 64 91  •  info@auxipress.be  •  www.auxipress.be 1 / 2 PRINT MEDIA SOTHEBY'S Ref : 889
  • 43. 19 octobre 201719/10/2017 Une robe de cocktail Chanel haute couture à 8.125 euros - Le Soir http://www.lesoir.be/120138/article/2017-10-19/une-robe-de-cocktail-chanel-haute-couture-8125-euros 1/10 -50% sur tous les abonnements A ne pas manquer Sept films qui ont fait Danielle Darrieux U Une robe de cocktail Chanel haute couture à 8.125 euros  Classique parmi les classiques, aussi élégante qu’intemporelle, la « petite robe noire » est ce que l’on appelle un « must-have » dans la mode féminine n indispensable du dressing qui continue à séduire et à fasciner les grands couturiers, et ce depuis que Gabrielle Chanel lui a donné ses lettres de noblesse au milieu des années 1920. Or le 3 septembre à Paris, ce vêtement iconique, Sotheby’s se l’est en quelque sorte approprié le temps d’une vente aux enchères où se côtoyaient plusieurs dizaines de pièces griffées Balenciaga, Yves Saint Laurent, Pierre Balmain, Christian Dior ou encore Yohji Yamamoto. Mis en ligne le 19/10/2017 à 10:37 Par Jean Vouet Des escarpins Christian Dior, par Roger Vivier, vendus 23750 €. D.R.
  • 44. 19 octobre 2017 19/10/2017 Une robe de cocktail Chanel haute couture à 8.125 euros - Le Soir Toutes provenaient de la collection privée de Didier Ludot, célèbre « antiquaire de mode » français installé sous les arcades du Palais royal et vouant un véritable culte à ce vêtement qu’il décrit comme un « symbole du chic parisien, un modèle absolu de raffinement, une armure sensuelle dans laquelle se glissèrent des générations de femmes, sublimées par le port de cette toilette transcendante, aux pouvoirs magiques, qui floute les défauts, exalte toutes les beautés et fait tourner les têtes de ceux qui la regardent ». Qui pourrait dire mieux ? Au total, la vacation organisée avec le concours de Kerry Taylor Auctions a généré un chiffre d’affaires de 611.922 euros, soit un montant record en France pour une vente de haute couture en 2017 avec plus du double de l’estimation haute (195.000 – 280.000 euros). Une belle confirmation donc pour « l’œil » de Didier Ludot qui, en juillet 2015, avait déjà fait appel à Sotheby’s pour disperser 171 pièces issues de sa collection et datant de 1924 à 2006. Toutes avaient alors trouvé preneur pour un montant global de 966.259 euros. En tête, avec adjudication à 56.250 euros, figurait une extravagante robe du soir en plumetis de Brivet imagée par Balenciaga dans les années 1960 et ayant appartenu à Francine Weisweiller, une amie intime de Jean Cocteau. Néanmoins, pour cette seconde édition placée plus spécifiquement sous le signe de la petite robe noire, « petite par sa taille mais immense par son histoire » selon Didier Ludot, près d’une trentaine de lots sur les 160 enregistrés au catalogue sont malheureusement restés sur le carreau. Parmi les plus belles enchères de l’après-midi, l’on pointera cette robe de cocktail signée en 1960 par Chanel haute couture et dont la valeur devait avoisiner au départ les 2.500 à 3.000 euros. Toute en mousseline de soie et nœuds de taffetas, elle était identique au modèle porté par l’actrice française Delphine Seyrig dans le chef-d’œuvre d’Alain Resnais, L’année dernière à Marienbad, qui obtint le Lion d’or à la Mostra de Venise en 1961.
  • 45. 21 septembre 2017 Sotheby’s to Auction 90 Years of Little Black Dresses The 140 lots from Didier Ludot's collection include dresses by major fashion houses and Christian Dior footwear by Roger Vivier. FASHION / FASHION SCOOPS By Lily Templeton on September 21, 2017 DRESSES TO IMPRESS: “The history of the little black dress is the history of fashion itself, as it is a garment that has adapted to scores of sociopolitical changes,” said fashion collector Didier Ludot, ahead of his “1921-2010 Les Petites Robes Noires” auction at Sotheby’s on Oct. 3. For his second sale at the auction house, the Paris-based collector drew a 140-strong contingent of black dresses from his private collection by couturiers and designers such as Mariano   VIEW GALLERY — 13   PHOTOS ESSENTIALIST Michael Kors Trades Jet Set for Sexy Ruby TODAY'S MUST READ Moschino RTW Spring 2018 LATEST GALLERIES
  • 46. FREE ALER Enter your email PRIVACY POLICY Fortuny, Yves Saint Laurent, Jeanne Lanvin, Paco Rabanne and Helmut Lang. “I’m at a point in my life where I’m thinking about transmissions. Here are items I’ve had for a long time, so I want them to be in good hands,” he said, noting that he had already had inquiries from museums and institutes. But parting is no sorrow for the collector. “Once I have bought them and held them in my hands, they belong to me forever,” he said. Among the items going under the hammer are a fall 1956 cocktail dress by Hubert de Givenchy, which Ludot called the epitome of the genre; a 1925 Jean Patou “Nuit de Chine” dress, which was previously shown at the Metropolitan Museum’s 2015 “China: Through the Looking Glass” exhibition; a spring 2005 Junya Watanabe dress with zippers forming a Maasai neckpiece; a Chanel dress designed by Karl Lagerfeld in 1985, with a cascade of gold chains, and also a dozen Christian Dior shoes designed by Roger Vivier, which were once donated to him by a liveried driver on behalf of his employer who wished to remain anonymous. A few colored pieces are also dotted through the all-black lineup. For Ludot, who penned “La Petite Robe Noire,” published in 2001 by Assouline, few items evoke style and highlight a couturier’s talent as much as the black dress. “I wish women would think of the ‘little’ black dress as an armor. With one, they will always be perfect, whether they’re 17 or 70. It has always fascinated me as it touches all social classes, all generations. It suffers no mediocrity because everything becomes visible on a black dress.” Ahead of the sale, the collection will be on public display, alongside a selection of Christian Dior costume jewelry, from Sept. 29 to Oct. 2 at the auction house’s Faubourg Saint Honoré location. You're missing something! Prada RTW S Arthur Arbesse 201 21 septembre 2017
  • 47. 25 septembre 2017 http://artdaily.com/index.asp?int_sec=11&int_new=96928&utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter%20-%20.Wci4nmdlKUk 1/3 Artists Galleries Museums Photographers Games Subscribe Comments Search Contact Sotheby's to offer 140 haute couture pieces from the private collection of Didier Ludot Balenciaga 1953. Robe de petit dîner. A couture embroidered gros de Naples silk gown. Estimate: €3,000-5,000. Courtesy Sotheby’s. PARIS.- Sotheby’s announced its second sale of Haute Couture to take place in Paris on Tuesday 3 October. In association with Kerry Taylor Auctions, it will offer at auction 140 Petites robes noires, “little back dresses” from the private collection of Didier Ludot. Sotheby’s offered a glimpse of Ludot’s collection in July 2015, when legendary items by the greatest Paris couturiers were exhibited at the Galerie Charpentier, attracting the keen interest of major collectors, women who wished to buy to wear, alike. This second sale celebrates an iconic garment - La petite robe noire (the little black dress), a timeless wardrobe staple that has fascinated couturiers, flattered women and enchanted men for almost a century.
  • 48. 19/10/2017 Sotheby's to offer 140 haute couture pieces from the private collection of Didier Ludot The sale on 3 October will offer a fresh look at this fashion classic as Ludot again calls on Sotheby’s savoir-faire to sell part of his collection. “Today I pay tribute to the astonishing story of the little black dress and to the designers who wrote its story, a dizzying tale that finds itself retold in the catalogue, from the Roaring Twenties to the new millennium. Lovingly collected, these pieces – whose estimates range between 800 and 5,000 euros – were created by the greatest of couturiers, from Chanel to Jean Patou to Marc Vaughan. Some of these dresses, by Balenciaga, Yves Saint Laurent, Pierre Balmain or Yohji Yamamoto, have previously been loaned to the Metropolitan Museum in New York. A group of twenty by Christian Dior worthily celebrate the 70th anniversary of that distinguished house. And as the little black dress doesn’t like to go out by itself, it will be accompanied at the sale by Roger Vivier pumps and a selection of furs.” Didier Ludot, the dealer in vintage Haute Couture famous in Paris as the “fashion antiquarian”, hardly needs an introduction. His name is already known to cultivated fashion-lovers in search of a unique piece, rich with history, that will lend new chic to their wardrobes. Women from all over the world know Ludot’s boutique in the arcades of the Palais Royal, where they find the best of old and new. Alongside his business, Didier Ludot has built up, over a period of almost forty years, a private collection of rare and important pieces by the greatest designers. He is also the author of La petite robe noire, published by Assouline in September 2001, is considered an essential work of reference on the subject. Eight years later, he curated an exhibition on the Little black dress mounted in the windows of the Ministry of Culture, just around the corner from his shop. The Little black dress from its birth in 1926, under the aegis of Coco Chanel, through its role in Nouvelle vague cinema and to the recent creations of Viktor and Rolf, the sale traces the story of the little black dress through almost a century of fashion history. “There should be no misunderstanding about that adjective ‘little’. … It is an expression of the woman’s emotional attachment to the dress she wears. For the little black dress is much more than an item of clothing. It is the symbol of Parisian chic, the very model of refinement, the sensual armour slipped on by generations of women who have found themselves transformed by a sublime raiment that forgives their failings and glorifies their virtues, turning heads everywhere it went. Its ambassadors have been Monica Vitti, Jeanne Moreau, Delphine Seyrig, Catherine Deneuve and Monica Bellucci. An object of must-haves for some, it is an inexhaustible inspiration of fantasy for others. While it may be ‘little’ in size – the black dress has always been worn short – it is immense in the story it tells.” (Didier Ludot) Shoes by Roger Vivier To complete the look, the catalogue also includes a dozen creations by Roger Vivier, some of them extremely rare, designed for Christian Dior and embroidered by Rebé. The colour and brilliance of these delicate shoes perfectly set off the sobriety of the little black dress. One might mention, among other triumphs, a pair of pumps with Ottoman toe, and another in duck-blue silk trimmed in kingfisher feathers. Kerry Taylor, specialist fashion auctioneer says of the collection: “Didier Ludot has a genius for spotting historically important dresses which are at the same time super-wearable which makes the gowns objects of desire on so many levels. Although some may be regarded as museum pieces – I’m sure that others will be seen at elegant soirees in the years to come.” Today's News June 23, 2017 Rare artefacts on show in the UK for the first time for major new Jacobites exhibition Sotheby's to offer one of the great American collections of non-western art remaining in private hands Eli Wilner & Company creates a frame for a Cassatt at the North Carolina Museum of Art Christie's to offer the Jean-François and Marie-Aline Prat Collection Most comprehensive overview of Frank Bowling's monumental paintings ever mounted opens at Haus der Kunst Exhibition at Tanya Bonakdar Gallery weaves together three bodies of work by Meschac Gaba Imperial War Museum North presents largest UK retrospective of Wyndham Lewis Capitain Petzel opens exhibition of new paintings, drawings and films by Sarah Morris Sotheby's to offer 140 haute couture pieces from the private collection of Didier Ludot Galerie Thaddaeus Ropac opens exhibition of new works by Daniel Richter Most Popular Last Seven Days 1.- $37.7 million bowl sets Chinese ceramic auction record at Sotheby's Hong Kong 2.- Major new show at Picasso Museum focuses on pivotal year in Picasso's life and work 3.- 63 Dutch Masters return home to Holland for an exhibition at the Hermitage Amsterdam 4.- Exhibition reveals new insights into Renoir's celebrated "Luncheon of the Boating Party" 5.- Nazi-looted Pissarro painting at centre of legal tussle 6.- The Herbert F. Johnson Museum of Art presents 'Lines of Inquiry: Learning from Rembrandt's Etchings' 7.- Pristine Hermès Himalayan Gris Cendre Birkin bag sells for $112,500 at Heritage Auctions 8.- Tom Petty, heartland rocker with dark streak, dead at 66 9.- Exhibition presenting the art of Marcel Duchamp and Salvador Dalí opens in London 10.- Private collectors using online appraisal platform to get 25 septembre 2017
  • 49. 13 octobre 2017 19/10/2017 The Little Black Dress's Lost Underclass Origins - The Atlantic https://www.theatlantic.com/technology/archive/2017/10/the-underclass-origins-of-the-little-black-dress/542910/ 1/8 Want to receive exclusive insights from The Atlantic—while supporting a sustainable future for independent journalism? Join our new membership program, The Masthead. Last week, Sotheby’s auctioned off 140 little black dresses. The event, “Les Petites Robes Noires, 1921–2010,” featured vintage dresses collected by the fashion antiquarian Didier Ludot. A dazzling mix of silk faille, velvet, jersey, and tulle—all in black—cut simple silhouettes. The collection included iconic pieces The Underclass Origins of the Little Black Dress The upper classes once imposed the fashion staple on their servants—then they stole it back from them. An Object Lesson. SHELLEY PUHAK OCT 13, 2017 | TECHNOLOGY Stephanie Keith / Reuters TheAtlantic.com uses cookies to enhance your experience when visiting the website and to serve you with advertisements that might interest you. By continuing to use this site, you agree to our use of cookies. Find out more here. Accept cookies
  • 50. 13 octobre 2017 19/10/2017 The Little Black Dress's Lost Underclass Origins - The Atlantic https://www.theatlantic.com/technology/archive/2017/10/the-underclass-origins-of-the-little-black-dress/542910/ 2/8 MORE FROM OUR PARTNERS How to Escape a Death Spiral The Contentious Physics of Wiffle Ball Oil Barrels Aren't Real Anymore from Chanel, Givenchy, and Hermès. The more expensive lots fetched over 20,000 euros. To introduce the collection, Ludot wrote, “Today I pay tribute to the astonishing story of the little black dress and to the designers who wrote its story, a dizzying tale ... from the Roaring Twenties to the new millennium.” But the most astonishing part of the little black dress’s story might be its prologue, the backstory left out of the auction catalogue, the glossy coffee-table books, and the fashion magazines. The most important acolytes of the little black dress were not designers nor aristocrats, but masses of working-class women. * * * In October 1926, Vogue featured a sketch of a long-sleeved, calf-length, black sheath dress by a plucky young designer named Coco Chanel. Dubbed “Chanel’s Ford,” the dress was promoted as equivalent in egalitarianism to the Model T. At the time, Vogue’s editors wrote that Chanel’s little black dress would “become sort of a uniform for all women of taste.” That seems like an astute prediction, in hindsight. But in 1926, the proclamation was tone-deaf at best, as the little black dress was already the actual uniform of many working-class women. The little black dress (or LBD, as it is commonly abbreviated) was a uniform designed to keep certain women in their place. Only later was it co-opted as haute couture for women of taste. https://www.theatlantic.com/technology/archive/2017/10/the-underclass-origins-of-the-little-black-dress/542910/ 2/8 MORE FROM OUR PARTNERS How to Escape a Death Spiral The Contentious Physics of Wiffle Ball Oil Barrels Aren't Real Anymore 20,000 euros. To introduce the collection, Ludot wrote, “Today I pay tribute to the astonishing story of the little black dress and to the designers who wrote its story, a dizzying tale ... from the Roaring Twenties to the new millennium.” But the most astonishing part of the little black dress’s story might be its prologue, the backstory left out of the auction catalogue, the glossy coffee-table books, and the fashion magazines. The most important acolytes of the little black dress were not designers nor aristocrats, but masses of working-class women. * * * In October 1926, Vogue featured a sketch of a long-sleeved, calf-length, black sheath dress by a plucky young designer named Coco Chanel. Dubbed “Chanel’s Ford,” the dress was promoted as equivalent in egalitarianism to the Model T. At the time, Vogue’s editors wrote that Chanel’s little black dress would “become sort of a uniform for all women of taste.” That seems like an astute prediction, in hindsight. But in 1926, the proclamation was tone-deaf at best, as the little black dress was already the actual uniform of many working-class women. The little black dress (or LBD, as it is commonly abbreviated) was a uniform designed to keep certain women in their place. Only later was it co-opted as haute couture for women of taste.
  • 51. 13 octobre 2017 19/10/2017 The Little Black Dress's Lost Underclass Origins - The Atlantic https://www.theatlantic.com/technology/archive/2017/10/the-underclass-origins-of-the-little-black-dress/542910/ 3/8 When the lower classes adopt the fashions of the elite, the elites often respond by changing course abruptly—a neckline or a hemline rises or falls dramatically, perhaps, or a voluminous silhouette narrows. But sometimes, rather than quickly changing styles, the upper classes simply wear the clothes the poor have discarded. For example, as towns populated in the 14th century, a merchant class arose within them. This middle class had some discretionary income, and they spent it on the most conspicuous consumer good: clothing. Finally, they could afford jewel-studded velvets, gold and silver trimmings, brightly colored coats, and sumptuous furs. As the fashion historian Anne Hollander has explained, when the aristocracy couldn’t outlaw or outspend these medieval nouveau riche, they started wearing baggy and threadbare clothing. This new fashion—looking like one had thrown on any old thing—served as a not-so-subtle reminder to the upstarts that, while money could buy clothes, it couldn’t buy class. “Ladies do not like to see their maids dressed in the clothes they themselves have worn.” Blue jeans offer a more recent example. Jeans began as cheap and durable work pants for miners and farmers. They were the de facto uniform of the rural working class. But once working-class men had access to ready-to-wear trousers, their jeans started showing up on postwar suburban youths, and then in trendy boutiques. Recently, Nordstrom even sold a $425 pair of jeans with fake mud stains—the ultimate blue-collar costume. Once more, the wealthy turn the tables by appropriating the clothing of the poor. The LBD also finds its origins among the poor. Before the 19th century, domestic servants wore whatever they could—homemade dresses, often, but also their employers’ hand-me-downs. But in the 1860s, the British upper classes required their maids to wear a common uniform: a white mobcap, an apron, and a simple black dress. Soon after, wealthy American and French families followed suit.
  • 52. 19/10/2017 The Little Black Dress's Lost Underclass Origins - The Atlantic https://www.theatlantic.com/technology/archive/2017/10/the-underclass-origins-of-the-little-black-dress/542910/ 4/8 Relationships between upper-class women and their servants had changed, becoming “less intimate and more authoritarian,” as the sociologist Diana Crane puts it. At this time, servants ceased to be “the help,” a somewhat collegial characterization, and became known as “domestics.” And domestics wearing upper-class castoffs, especially young and pretty ones, led to embarrassing mix-ups. A caller mistaking the maid for the mistress of the house raised uncomfortable questions about recently erected class barriers. Cassell’s Household Guide, which billed itself as an encyclopedia of domestic and social economy, summed up the problem like this, circa 1880: “As a general rule, ladies do not like to see their maids dressed in the clothes they themselves have worn—the difference in the social scale of mistress and maid renders this unpleasing.” But Cassell’s made one exception: “a black or a dark-colored silk.” Previously, a simple black dress meant a wealthy woman was “dressing down.” But by the 19th century, the black dress had become a staple of the lower and middle classes. It was the perfect hand-me-down for the help. * * * There was a time when black signified wealth. It was favored by 15th-century Spanish aristocrats and wealthy Dutch merchants. Later, Baldassare Castiglione’s 1528 The Book of the Courtier advised others to follow their lead, to appear above the petty fads of commoners. Black clothing conveyed plainness and piety, for one thing. But it was also incredibly expensive to produce, requiring vast quantities of imported “oak apples”—a bulbous growth left behind on oak leaves from insect egg sacs. By the early 19th century, a newer dye made from logwood and ferrous sulfate made the color cheap to produce. In 1863, an even cheaper synthetic aniline black dye was developed. By the 1880s, most awkward maid-or-mistress mix-ups had been eliminated thanks to the trusty black dress. But another sort of working-class woman now had the opportunity to dress above her station. Rapid industrialization gave consumers more disposable income, and they wanted places to spend it. More shops opened in urban centers, and cheap labor was needed to staff them. 13 octobre 2017
  • 53. 19/10/2017 The Little Black Dress's Lost Underclass Origins - The Atlantic https://www.theatlantic.com/technology/archive/2017/10/the-underclass-origins-of-the-little-black-dress/542910/ 5/8 Unmarried young women began pouring into the cities to work as “shopgirls” in dry-good establishments, dress stores, hat and glove shops, and department stores. There was a “revolution in dress, not by the fashionable folk, but by New York’s army of shopgirls.” The shopgirl enjoyed more freedom and less supervision than domestic servants did. Often, for the first time in her life, she also enjoyed some disposable income of her own. The sewing machine, invented in 1846 and mass-produced in the 1870s, made it easier than ever to imitate these fashions. Mated to the precut paper pattern, devised by the upscale American designer Ellen Curtis Demorest, women could duplicate the latest fashions from Paris with relative ease. And advances in efficiency at textile factories made a wider variety of fabrics and trims available with which to do so. The new cheap aniline dyes that made the domestic’s black uniform possible also made brightly colored dresses—the vivid scarlets, blues, and greens that were once only for the upper classes—affordable, too. With a few dollars and a few nights’ work, an enterprising shopgirl could create a passable imitation of a dress from the society pages. Or instead, she could shop the sale rack at her place of employment—one of the large, new department stores—and purchase a ready-to-wear dress. She could then alter and trim the dress with lace, sequins, or buttons to make it appear custom-made. So attired, she might successfully blend in with a store’s clientele—or even outshine them. This wasn’t a desirable state of affairs. Writing in the June 4, 1910, edition of the International Gazette, a Methodist minister urged that “the craze of the shopgirl ... as fashionably attired as the rich woman she waits on had become a menace.” Even earlier, in response to customer complaints, employers had brainstormed ways to neutralize the threat. In 1890, The Sun declared there was a “revolution in dress” underway, “not by the fashionable folk, but by New York’s army of shopgirls.” 13 octobre 2017
  • 54. 19/10/2017 The Little Black Dress's Lost Underclass Origins - The Atlantic https://www.theatlantic.com/technology/archive/2017/10/the-underclass-origins-of-the-little-black-dress/542910/ 6/8 In response, many employers began requiring their female employees to dress like domestic servants, in simple black dresses. An 1892 San Francisco Call headline summarized the reaction among the labor pool: “The Shopgirls Hate It.” Sometimes they even went on strike in response. But threatened with termination, most shopgirls buckled, and by the 1890s the little black dress was the required uniform in New York, London, and Paris. In the summer of 1894, wearing a black dress became a condition of employment for Jersey City telephone operators, too. The “‘hello’ girls,” as they were called, also protested. Newspapers presented their case sympathetically; in 1892, for example, the Reading Times pointed out that the women were opposed not to the dress itself, but “to the idea of showing by their dress that they are working girls.” The little black dress marked and mediated social boundaries. For these reasons, the little black dress became a marker of class. When young working-class women complained that being forced into uniform was “inconsistent with our ideals of freedom and independence,” as the The San Francisco Call reported in 1892, they weren’t just complaining about self- expression. Embedded in their ideals was the promise of social mobility. These women were the fin de siècle equivalent of medieval merchants. They mixed with the upper classes, whether in drawing rooms or on retail shop floors, and they saw what the wealthy wore up close. Thanks to the sewing machine, the paper pattern, and affordable fabrics, the working classes could finally, feasibly, dress like high society—even if they were now only permitted to do so after work hours. * * * Society matrons exacted their revenge by dressing like shopgirls and maids, reappropriating their little black dresses for the upper crust. 13 octobre 2017
  • 55. 19/10/2017 The Little Black Dress's Lost Underclass Origins - The Atlantic https://www.theatlantic.com/technology/archive/2017/10/the-underclass-origins-of-the-little-black-dress/542910/ 7/8 Lillie Langtry, a famous British beauty who would go on to become a successful actress, conquered London society in 1886 “dressed in a simple little black frock,” as the Emporia Daily News described it. By the early 1900s, socialites who wanted to appear especially youthful and edgy donned little black dresses. The LBD appeared in fashion magazines and society pages decades before Chanel’s dress appeared in Vogue. It was such an established trend by 1915 that even the wife of the U.S. Secretary of the Treasury appeared in public looking “like a college girl, in her short little black dress.” While Coco Chanel didn’t invent the little black dress, she was astute enough to pick up on the underlying trend that made it popular—la pauvreté de luxe, she called it, or “luxurious poverty.” It was a look reserved exclusively for those who could “afford” to look poor by pretending that they simply couldn’t be bothered with fashion. But while a rich woman might now better blend into the crowd, on closer inspection, there would be some small detail in her seemingly anonymous garment—a certain cut or fabric or label—that acted as a secret handshake for those in the know. Today, the fashion industry sometimes celebrates the little black dress as an equal-opportunity fashion—versatile, classic, and chic. But this neutral garment was never ideologically neutral—nor was it the democratic creation of a visionary designer. The little black dress marked and mediated social boundaries, a collaboration between cutting-edge technology and age-old class politics. Today, in addition to little black-dress auctions, there are LBD-themed dinner parties and wine tastings, galas and charity balls. A little black dress has become a shorthand for instant glamour, promising to disguise both figure flaws and mundane lives. This blue-collar costume has successfully crossed over. Women wear little black dresses to feel more like Audrey Hepburn or Princess Diana or even a model in a Robert Palmer music video. But when they do, those women also conjure other predecessors: the women who wore them while they balanced trays, stocked shelves, folded shirts, worked the switchboards, and wrung out the laundry. 13 octobre 2017
  • 56. 22 juillet 2017 THE IRISH TIMES - Is this the best collection of ‘little black dresses’ in the world? Rare pieces from the greatest of fashion designers at Sothebys’ sale, leather accessories and hats for the races Sat, Jul 22, 2017, 06:00 Dominique McMullan, Deirdre McQuillan Black dresses from the private collection of Didier Ludot in Paris Up to 140 little black dresses from the private collection of Didier Ludot in Paris will come up for sale in Sothebys Paris on October 3rd during fashion week. These rare and important pieces from the greatest of fashion designers, mostly dating from the 1950s, are from a collection built up over 40 years. Didier Ludot’s boutique in the Palais Royale in Paris will be well known to lovers of fashion and the haute couture “petites robes noires” (little black dresses) are from Balenciaga, Balmain, Coco Chanel, Patou, Yohji Yamamoto and others with estimates ranging from €500-€5,000. The little black dress has, according to Sothebys “fascinated couturiers, flattered women and enchanted men for nearly a century” since it made its debut with Chanel in 1926. There are 20 pieces from Christian Dior alone. Visit sothebys.com
  • 57. 4 octobre 201719/10/2017 A Collection of LBDs from Didier Ludot Just Sold For Over $720K | Observer http://observer.com/2017/10/didier-ludot-little-black-dresses-broke-records-at-sothebys/ 1/7 A Collection of Little Black Dresses Just Sold For Over $720K They say that the little black dress (a.k.a. the LBD) is the staple of any woman’s wardrobe, from when it was first introduced in 1926 to today. A recent auction at Sotheby’s just proved that point with some very solid evidence: a record breaking sale. It took place on October 3rd, in Paris, when esteemed vintage fashion collector Didier Ludot pulled together a     
  • 58. 4 octobre 2017 19/10/2017 A Collection of LBDs from Didier Ludot Just Sold For Over $720K | Observer http://observer.com/2017/10/didier-ludot-little-black-dresses-broke-records-at-sothebys/ 2/7 collection of 160 iconic vintage and couture pieces, including mostly little black dresses, plus a few notable accessories. Spanning a period of 90 years, from 1920 to 2010, the lot contained celebrated frocks like a piece from Alexander McQueen‘s first collection for Givenchy Haute Couture in 1998 and a Jean Patou dress from 1925 that was displayed in the Metropolitan Museum’s “China: Through the Looking Glass” exhibition. The lots included notable designs from Hermès, Jeanne Lanvin, Paco Rabanne, Helmut Lang, Pierre Cardin and Balenciaga, so you know this Sotheby’s auction was fodder for fashion lovers of all kinds. There were also over-the-top shoes created by Roger Vivier for the Christian Dior maison.
  • 59. 4 octobre 2017 19/10/2017 A Collection of LBDs from Didier Ludot Just Sold For Over $720K | Observer http://observer.com/2017/10/didier-ludot-little-black-dresses-broke-records-at-sothebys/ 3/7 “Today I pay tribute to the astonishing story of the little black dress and to the designers who wrote its story, a dizzying tale that finds itself retold in the catalogue, from the Roaring Twenties to the new millennium,” Ludot told Sotheby’s. Well-known for being an encyclopedia of fashion—and his must- visit shops in the arcades of the Palais Royal—Ludot is a fixture on the Parisian fashion scene. The priciest item in Ludot’s sale, which was held in conjunction with Kerry Taylor Auctions, was an Yves Saint Laurent dress that dates back to the fall/winter collection of 1976-1977. Krystyna Campbell-Pretty scooped up the black frock for a cool $61K, which was five times over the estimated price; she intends to donate her haul to the National Gallery of Victoria in Australia. But she’s not the only one who intends to donate her purchase for the public’s consumption; the Museo de la Moda y Textil in Chile was the confirmed buyer of a Pierre Cardin Haute Couture dress. The British woman who won the aforementioned McQueen designed gown said that she will be donating her acquisition to a UK museum, while a rare Balenciaga bridal gown is reportedly heading to an American museum, though it’s unclear which one.
  • 60. 4 octobre 2017 19/10/2017 A Collection of LBDs from Didier Ludot Just Sold For Over $720K | Observer “The results illustrate the timelessness and enduring quality of the little black dress…We are delighted with the sale results, which was a real victory for taste,” Ludot said afterwards. It’s also a win for avid consumers of fashion, as it seems likely that they might be able to feast their eyes on these magnificent creations at forthcoming museum expositions around the globe. SEE ALSO: These 5 Designers Are Ruffling Feathers at Paris Haute Couture
  • 63. 17 juillet 2017 EVENTI lunedì 17 luglio 2017 FASHION MAGAZINE.IT - Sotheby’s: all’asta 140 little black dress Sotheby’s, celebre casa d’aste del Regno Unito con numerose filiali nel mondo, mette all’asta 140 iconici little black dress appartenenti alla collezione privata di Didier Ludot, negozio d’antiquariato parigino. L’asta in agenda il 3 ottobre, realizzata in collaborazione con Kerry Taylor Auctions, offrirà abiti il cui valore oscilla tra gli 800 e i 5mila euro, creati dai più famosi couturier, a partire dagli anni 20 fino al nuovo millennio (nella foto, il little black dress di Chanel del 1960, indossato da Delphine Seyrig nel film “L’anno scorso a Marienbad” di Alain Resnais). Tra i capi figurano alcuni modelli di Balenciaga, Balmain e Yves Saint Laurentprecedentemente esibiti al Metropolitan Museum di New York. All’incanto anche un classico Lanvin del 1938, un abito da cocktail di seta firmato Dior, simbolo della frivolezza controversa del secondo dopoguerra e un Givenchy dalla schiena scoperta, disegnato nel 1998 da Alexander McQueen. Non mancano alcuni complementi del look come le calzature Roger Vivier e una serie di selezionate pelliccie. a cura della redazione
  • 64. 22 août 2017 MODAES.ES - Macro-subasta de ‘little black dresses’ La casa de subasta Sotheby’s pondrá a la venta un conjunto de 140 vestidos de negros de marcas como Dior, que presenta veinte diseños. 22 AGO 2017 — 05:00 Buenas noticias para las fans del little black dress. La casa de subasta Sotheby’s, junto con Kerry Taylor Auctions, pondrá a la venta 140 artículos de la pieza de vestir icónica el próximo otoño. Las prendas de ropa tienen una antigüedad de hasta los años veinte. Entre las enseñas que se pondrán a la venta se encuentran veinte vestidos de Dior, propiedad del coleccionista Didier Ludot, Chanel o Jean Patou. El rango de precios por los que saldrán a subasta va de los 800 euros a los 5.000 euros. Algunas de las piezas que se presentarán han estado expuestas en museos como el Met, en alguna de sus exposiciones anuales dedicadas a la moda.
  • 65. 22 septembre 2017 París, Francia | AFP. Más de 140 vestidos negros diseñados por los grandes creadores entre 1920 y los años 2000 serán subastados el 3 de octubre en París, celebrando la intemporalidad de esta elegante prenda femenina. Los vestidos, subastados por la casa Sotheby's, proceden de la colección personal del francés Didier Ludot, "anticuario de la moda" y especialista de esta pieza, consagrada por Gabrielle Chanel en 1926. Las estimaciones oscilan entre 500 y 5.000 euros (600 y 6.000 dólares). "El vestido negro es mucho más que una prenda de vestir. Es el símbolo del chic parisino, un modelo absoluto de refinamiento, una armadura sensual en la que se deslizan generaciones de mujeres", explicó Didier Ludot. Las prendas a la venta, en colaboración con la casa Kerry Taylor Auctions, fueron creadas entre 1921 y 2010 por los diseñadores más célebres, de Chanel a Marc Vaughan, pasando por Christian Dior, Jean Patou, Balenciaga, Yves Saint Laurent, Pierre Balmain, Yohji Yamamoto y Alexander McQueen. Entre los lotes más antiguos, destaca una creación de Givenchy en satén duquesa (1956-1957), estimada entre 1.800 y 2.500 euros, y un vestido cóctel en faya de seda de Christian Dior por Yves Saint Laurent (1960-1961), valorada entre 1.200 y 1.500 euros. De los años 1950-1960, resalta una prenda en muselina de seda de Chanel, idéntica a la que llevó Deplhine Seyrig en la película "El año pasado en Marienbad" de Alain Resnais y estimada entre 2.500 y 3.000 euros. También un elegante vestido de Balenciaga, con bordados en forma de claveles (3.000 y 5.000 euros). Sotheby's ya organizó en julio de 2015 una primera venta de 150 prendas de la colección de Ludot.
  • 70. 22 septembre 2017 Publicado por Bernardita Villa | La Información es de Agence France-Presse Más de 140 vestidos negros diseñados por los grandes creadores entre 1920 y los años 2000 serán subastados el 3 de octubre en París, celebrando la intemporalidad de esta elegante prenda femenina. Los vestidos, subastados por la casa Sotheby’s, proceden de la colección personal del francésDidier Ludot, “anticuario de la moda” y especialista de esta pieza, consagrada por Gabrielle Chanel en 1926. Las estimaciones oscilan entre 500 (más de 370 mil pesos chilenos) y 5.000 euros (casi cuatro millones de pesos chilenos). “El vestido negro es mucho más que una prenda de vestir. Es el símbolo del chic parisino, un modelo absoluto de refinamiento, una armadura sensual en la que se deslizan generaciones de mujeres”, explicó Didier Ludot. Las prendas a la venta, en colaboración con la casa Kerry Taylor Auctions, fueron creadas entre 1921 y 2010 por los diseñadores más célebres, de Chanel a Marc Vaughan, pasando por Christian Dior, Jean Patou, Balenciaga, Yves Saint Laurent, Pierre Balmain, Yohji Yamamoto y Alexander McQueen. Entre los lotes más antiguos, destaca una creación de Givenchy en satén duquesa (1956- 1957), estimada entre 1.800 y 2.500 euros, y un vestido cóctel en faya de seda de Christian Dior por Yves Saint Laurent (1960-1961), valorada entre 1.200 y 1.500 euros. De los años 1950-1960, resalta una prenda en muselina de seda de Chanel, idéntica a la que llevó Deplhine Seyrig en la película “El año pasado en Marienbad” de Alain Resnais y estimada entre 2.500 y 3.000 euros. También un elegante vestido de Balenciaga, con bordados en forma de claveles (3.000 y 5.000 euros). Sotheby’s ya organizó en julio de 2015 una primera venta de 150 prendas de la colección de Ludot. URL Corta: http://rbb.cl/i0ra