L’hôtel Onomo Libreville a abrité l’exposition SIGNARES De Fabrice MONTEIRO du 1er Octobre 2012 au 1er Mars 2013.
Belgo-béninois de culture, Monteiro, ne s’orientait pas spécialement vers l’Art. Ingénieur industriel de formation puis mannequin de profession, il cultive habilités, savoirs et bagages pour la photographie sans pour autant s’y consacrer directement.
A la frontière entre photo-reportage et photo de mode, Fabrice Monteiro feinte et esquive, brillamment, toute stigmatisation pour laisser exprimer la pleine sensibilité d’une identité non conflictuelle.
De la petite côte du Sénégal vers les îles de Gorée et Saint-Louis les Signares inventèrent le « mariage à la façon du pays » à partir du XVII ème siècle. Ce mariage à caractère politique et économique, était réservé aux rares unions avec des occidentaux.Le nom de « signare » (du portugais « senhora » qui veut dire dame) était un véritable titre attribué aux femmes de ces unions coutumières ainsi qu’à leurs filles métisses.
Mode de Paris, mode de toujours !
Audaciosa e criativa, a moda de Paris é reconhecida internacionalmente.
Veja como Paris se tornou a capital da moda e porque profissionais do mundo todo estão sempre vindo à capital francesa para se inspirar.
O ateliê moda francesa tem por objetivo apresentar os estilistas franceses mais famosos como Coco Chanel, Dior e Christian Lacroix e mostrar como a moda francesa influenciou o comportamento de uma sociedade, de uma época.
Coco Chanel foi uma importante estilista francesa e uma mulher à frente do seu tempo. As suas criações, até hoje, ditam e influenciam a moda mundial.
O Dior mudou a história da moda ao criar uma silhueta feminina e elegante, que se tornou a imagem da mulher dos anos 1950, atual e chique, até hoje.
O Christian Lacroix, inspirado no luxo e na ousadia da cultura espanhola, trouxe em suas criações vestidos esvoaçantes, cores fortes, pedrarias e muita sofisticação.
L’hôtel Onomo Libreville a abrité l’exposition SIGNARES De Fabrice MONTEIRO du 1er Octobre 2012 au 1er Mars 2013.
Belgo-béninois de culture, Monteiro, ne s’orientait pas spécialement vers l’Art. Ingénieur industriel de formation puis mannequin de profession, il cultive habilités, savoirs et bagages pour la photographie sans pour autant s’y consacrer directement.
A la frontière entre photo-reportage et photo de mode, Fabrice Monteiro feinte et esquive, brillamment, toute stigmatisation pour laisser exprimer la pleine sensibilité d’une identité non conflictuelle.
De la petite côte du Sénégal vers les îles de Gorée et Saint-Louis les Signares inventèrent le « mariage à la façon du pays » à partir du XVII ème siècle. Ce mariage à caractère politique et économique, était réservé aux rares unions avec des occidentaux.Le nom de « signare » (du portugais « senhora » qui veut dire dame) était un véritable titre attribué aux femmes de ces unions coutumières ainsi qu’à leurs filles métisses.
Mode de Paris, mode de toujours !
Audaciosa e criativa, a moda de Paris é reconhecida internacionalmente.
Veja como Paris se tornou a capital da moda e porque profissionais do mundo todo estão sempre vindo à capital francesa para se inspirar.
O ateliê moda francesa tem por objetivo apresentar os estilistas franceses mais famosos como Coco Chanel, Dior e Christian Lacroix e mostrar como a moda francesa influenciou o comportamento de uma sociedade, de uma época.
Coco Chanel foi uma importante estilista francesa e uma mulher à frente do seu tempo. As suas criações, até hoje, ditam e influenciam a moda mundial.
O Dior mudou a história da moda ao criar uma silhueta feminina e elegante, que se tornou a imagem da mulher dos anos 1950, atual e chique, até hoje.
O Christian Lacroix, inspirado no luxo e na ousadia da cultura espanhola, trouxe em suas criações vestidos esvoaçantes, cores fortes, pedrarias e muita sofisticação.
Biographie de Christian Dior par Vanessa et Alba Loureiro Muíño.
Travail dans le cadre du Concours "Affiche ton français! 2015" par les élèves de Français de 2º ESO de l'IES Monte Neme.
En collaboration avec la prof de Technologie.
Pierre Cardin propriétaire depuis 1981 du restaurant Maxim’s, symbole de l’art nouveau, collectionne depuis 60 ans les chefs d’œuvres les plus caractéristiques de la belle époque.
Plus de 550 pièces venues du monde entier, signées des plus prestigieux créateurs tels que Majorelle, Tiffany, Gallé, Massier… sont enfin présentés au public. Pierre Cardin a recréé l’appartement d’une grande courtisane sur trois étages de son établissement classé monument historique. C’ est en partie grâce à ces dames que Maxim’s est entré dans l’ histoire de Paris, Prince, Roi, Duc , Ministres tout le gotha international a participé aux grandes heures de ce restaurant.
Les visites sont organisées sous la direction de Pierre André Hélène, historien d’art, et commentées par lui-même ou ses collaborateurs.
http://www.maxims-musee-artnouveau.com/
UNIQUE AU MAROC ! LA REVUE 100% DE LA CULTURE EN LIGNE !
Pause #Culturetoute 100% Culture au #Maroc !
➡
MERCREDI 23 MARS 2016
➡
https://issuu.com/ahmadbouzoubaa/docs/culturetoute2/1
#Culture toute rend #hommage aux victimes des attentats de #Bruxelles.
#REVUE DE #PRESSE 100% #CULTURE
➡
MARDI 22 MARS 2016
➡
https://issuu.com/ahmadbouzoubaa/docs/culturetoute
Vous êtes un établissement et/ou une institution, pour la diffusion de vos annonces exclusivement culturels abonnez-vous à seulement 1000 dh HT !
Pour vos annonces contactez-nous via l'adresse ahmadbouzoubaa@gmail.com
Une revue réalisée par lamaisondesartistes.ma
LIBERALIS n°5 - septembre/novembre 2023 - Jean-Louis Roux-Fouilletcomplet.pdfTÊTUNEWZY
Magazine art de vivre, trimestriel, print et digital Liberalis n°5 daté septembre - novembre 2023.
Destiné aux professions libérales.
35 000 ex print (ACPM 2022) - 1 550 000 visiteurs uniques par mois (ACPM 2022)
LIBERALIS n° 7- art de vivre, digital et print, daté mars à mai 2024 -Jean-Lo...TÊTUNEWZY
LIBERALIS n° 7- art de vivre, digital et print, daté mars à mai 2024 -
35 000 exemplaires print et 1 600 000 visiteurs uniques par mois (ACPM) : https://www.village-justice.com/articles/liberalis-613
Jean-Louis Roux-Fouillet
Galerie MiniMasterpiece - Revue de presse 2014/2015Agence Colonnes
La Galerie MiniMasterpiece - créée au printemps 2012 par Esther de Beaucé - est la première galerie parisienne exclusivement dédiée à l’édition et à la vente de bijoux d'artistes plasticiens et de designers contemporains.
Un bijou d’artiste, au même titre qu’un tableau ou une sculpture, est une oeuvre d’art.
Né d’une même démarche créatrice, il en possède la force, la poésie, la provocation et parfois l’humour. Leur destination seule les distingue.
L’ambition de la galerie est de solliciter des artistes et des designers contemporains de renom pour concevoir des projets inédits et exclusifs de bijoux.
Jusqu’à présent ont collaboré en direct avec la galerie les artistes François Morellet, Lee Ufan, Bernar Venet, Barthélémy Toguo, Claude Lévêque, Vera Molnar, Françoise Pétrovitch, Pablo Reinoso, Sophia Vari, Miguel Chevalier et les designers Constance Guisset, François Azambourg et Cédric Ragot.
Yann Delacour, artiste, sculpteur et photographe a créé l’identité visuelle de la Galerie MiniMasterpiece. Il conçoit et réalise l’ensemble des scénographies à la galerie et sur les foires (Design Basel, Art Paris…).
Galerie MiniMasterpiece - Exposition L'Or par Claude Lévêque et Pablo Reinoso...Agence Colonnes
Au travers de cette thématique Or, la Galerie MiniMasterpiece invite deux figures marquantes de l’art et du design contemporains à confronter leur travail monumental à l’échelle du bijou.
Biographie de Christian Dior par Vanessa et Alba Loureiro Muíño.
Travail dans le cadre du Concours "Affiche ton français! 2015" par les élèves de Français de 2º ESO de l'IES Monte Neme.
En collaboration avec la prof de Technologie.
Pierre Cardin propriétaire depuis 1981 du restaurant Maxim’s, symbole de l’art nouveau, collectionne depuis 60 ans les chefs d’œuvres les plus caractéristiques de la belle époque.
Plus de 550 pièces venues du monde entier, signées des plus prestigieux créateurs tels que Majorelle, Tiffany, Gallé, Massier… sont enfin présentés au public. Pierre Cardin a recréé l’appartement d’une grande courtisane sur trois étages de son établissement classé monument historique. C’ est en partie grâce à ces dames que Maxim’s est entré dans l’ histoire de Paris, Prince, Roi, Duc , Ministres tout le gotha international a participé aux grandes heures de ce restaurant.
Les visites sont organisées sous la direction de Pierre André Hélène, historien d’art, et commentées par lui-même ou ses collaborateurs.
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Magazine art de vivre, trimestriel, print et digital Liberalis n°5 daté septembre - novembre 2023.
Destiné aux professions libérales.
35 000 ex print (ACPM 2022) - 1 550 000 visiteurs uniques par mois (ACPM 2022)
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LIBERALIS n° 7- art de vivre, digital et print, daté mars à mai 2024 -
35 000 exemplaires print et 1 600 000 visiteurs uniques par mois (ACPM) : https://www.village-justice.com/articles/liberalis-613
Jean-Louis Roux-Fouillet
Galerie MiniMasterpiece - Revue de presse 2014/2015Agence Colonnes
La Galerie MiniMasterpiece - créée au printemps 2012 par Esther de Beaucé - est la première galerie parisienne exclusivement dédiée à l’édition et à la vente de bijoux d'artistes plasticiens et de designers contemporains.
Un bijou d’artiste, au même titre qu’un tableau ou une sculpture, est une oeuvre d’art.
Né d’une même démarche créatrice, il en possède la force, la poésie, la provocation et parfois l’humour. Leur destination seule les distingue.
L’ambition de la galerie est de solliciter des artistes et des designers contemporains de renom pour concevoir des projets inédits et exclusifs de bijoux.
Jusqu’à présent ont collaboré en direct avec la galerie les artistes François Morellet, Lee Ufan, Bernar Venet, Barthélémy Toguo, Claude Lévêque, Vera Molnar, Françoise Pétrovitch, Pablo Reinoso, Sophia Vari, Miguel Chevalier et les designers Constance Guisset, François Azambourg et Cédric Ragot.
Yann Delacour, artiste, sculpteur et photographe a créé l’identité visuelle de la Galerie MiniMasterpiece. Il conçoit et réalise l’ensemble des scénographies à la galerie et sur les foires (Design Basel, Art Paris…).
Galerie MiniMasterpiece - Exposition L'Or par Claude Lévêque et Pablo Reinoso...Agence Colonnes
Au travers de cette thématique Or, la Galerie MiniMasterpiece invite deux figures marquantes de l’art et du design contemporains à confronter leur travail monumental à l’échelle du bijou.
Una presentación de la cultura francesa donde vemos una gran historia detrás de este maravillo desfile de modas donde las grandes empresas de la moda se han ido inspirando.
Le Bazar des Tendances N°4 (Octobre 2014)archimede7
Le Bazar des Tendances n°4 (Octobre 2014)
Le Bazar des Tendances, magazine mensuel, prêt-à-porter, Déco, Beauté, Musique, Expositions, Horoscopes… . Tous les styles, toutes les tendances, tous les meilleurs plans et conseils, le tout dans un magazine.
LIBERALIS n°3-Magazine art de vivre,print et digital mars à mai 2023 - Jean-L...TÊTUNEWZY
Magazine art de vivre, print et digital Liberalis n°3 destiné aux professions libérales.
35 000 ex print et 1 550 000 visiteurs uniques par mois (ACPM 2022)
Jean-Louis Roux-Fouillet
Ce document émane de la société Les Brigades du Marketing, agence de conseil et de service en marketing, à découvrir à l’adresse www.lesbrigadesdumarketing.com.
La présentation s’inscrit dans le contexte suivant. La Lingerie Française organisait l'exposition French Quintessence au sein du salon Mode City.
Un booklet destiné à valoriser le rayonnement dont peut se prévaloir la lingerie française dans le monde, depuis plus d'un siècle, a été imaginé. Des textes racontant l'histoire de la lingerie française ont été rédigé entremêlant l'histoire, l'évolution des mœurs, l'art de la séduction, les savoir-faire et l'évolution du statut de la femme.
Pour contacter l’auteur de ce document, nous vous invitons à adresser un e-mail à l’adresse suivante : contact@lesbrigadesdumarketing.com.
LIBERALIS n°2 art de vivre, print et digital, daté décembre 2022 à février 20...TÊTUNEWZY
Magazine Liberalis n°2, art de vivre, print et digital, destiné aux professions libérales.
35 000 ex print et 1 550 000 visiteurs uniques par mois (ACPM 2022) - Jean-Louis Roux-Fouillet
SWITCH ON #9, le carnet de tendances de RED STILETTOSRED STILETTOS
Red Stilettos est une agence de communication digitale et créative dédiée au Luxe, à la Mode, et à la Beauté : conseil en stratégies digitales, achat d'art, production de contenus, médiatisation et promotion.
The document is a magazine reviewing fashion trends for autumn/winter 2015-2016, including sections on collections, accessories, editorials, fashion trends for spring/summer 2016, special jewelry features, and references revue de presse for 2014 and 2015. It discusses the latest styles and designs in the fashion industry.
The document is a 2011 press review. It likely contains summaries and excerpts from news articles and publications from 2011. In 3 sentences or less, it aims to highlight the key topics, events, or stories covered by the media that year.
Este documento parece ser una revisión de prensa para el año 2012. No proporciona mucha información sobre el contenido de la revisión de prensa. Solo contiene el título "Revue de presse 2012" y la sección "2ème Partie" repetida dos veces, lo que sugiere que es la segunda parte de la revisión pero no hay detalles sobre lo que cubre.
2. Agrément N° 2001 – 002 du 25 octobre 2001
Vente dirigée par Jeanne Calmont
Communiqué de presse Paris
Sotheby’s : 33 (0)1 53 05 53 66 | Sophie Dufresne | sophie.dufresne@sothebys.com
33 (0)1 53 05 52 32 | Chloé Brézet | chloe.brezet@sothebys.com
By Jenny | 33 (0)6 76 40 73 05 | jenny@by-lj.com
1921-2010
LES PETITES ROBES NOIRES
Collection Didier Ludot
– Plus de 140 créations Haute Couture –
3. 2
PARIS, juin 2017 – Sotheby’s est heureuse d’annoncer sa deuxième vente Haute Couture, le mardi
3 octobre à Paris. La maison soumet au feu des enchères 140 « petites robes noires » issues de la
collection personnelle de Didier Ludot, avec le concours de Kerry Taylor Auctions. En juillet 2015,
Sotheby’s France avait dévoilé une partie de l’univers de Didier Ludot. Les créations mythiques des
plus grands couturiers avaient ainsi défilé à la galerie Charpentier et conquis le cœur des
collectionneuses et collectionneurs le temps d’une vente éclatante*. Cette nouvelle édition célèbrera
un monument de la mode, un vêtement intemporel qui fascine les couturiers, magnifie les femmes,
envoûte les hommes et constitue la pièce indispensable de tout dressing parisien digne de ce nom :
la petite robe noire.
La vente du 3 octobre jettera un nouveau coup de projecteur sur ce classique de la mode. Afin
d’accomplir cette mission, Didier Ludot a de nouveau sollicité le savoir-faire de Sotheby’s : « Je rends
aujourd’hui hommage à la fabuleuse épopée de la petite robe noire et aux créateurs qui ont écrit son
histoire dont le catalogue se fait l’écho vertigineux, des années Folles aux années 2000. Ces pièces,
estimées entre 500 et 5.000 €, que j’ai collectionnées avec passion, ont été créées par les plus grands
couturiers, de Chanel à Marc Vaughan, en passant par Jean Patou – dont certaines pièces furent
prêtées au Metropolitan Museum de New York – Balenciaga, Yves Saint Laurent, Pierre Balmain, Yohji
Yamamoto. Une vingtaine de robes signées Christian Dior célèbrent les soixante-dix ans de l’illustre
maison. Et parce-que la petite robe noire n’aime pas sortir seule, des escarpins de Roger Vivier et des
fourrures accompagnent cette sélection. »
On ne présente plus Didier Ludot, célèbre « antiquaire de mode » français.
Son nom court sur les lèvres des esthètes éprises de Haute Couture, en
quête de la pièce, unique, chargée d’histoire, qui illuminera leurs garde-
robes. Venues des quatre coins du monde, elles se pressent dans la
célèbre boutique du maître du vintage, sous les arcades du Palais Royal,
entre les étoffes de toutes les époques. Depuis plus de quatre décennies
et parallèlement à son activité de marchand, Didier Ludot a collectionné
une à une les pièces de Haute Couture les plus rares.
Il est aussi l’auteur de l’ouvrage La petite robe noire, paru aux éditions Assouline en septembre 2001,
considéré comme une référence sur ce sujet. Huit ans plus tard, il dédiait une exposition à la petite
robe noire, dans les vitrines du ministère de la culture, à quelques pas de sa boutique.
La vente retrace l’histoire de la petite robe noire, depuis son apparition en 1926, sous l’égide de
Gabrielle Chanel, jusqu’aux créations actuelles de Viktor et Rolf, en passant par le cinéma de la
4. 3
nouvelle Vague. « Qu’on ne se méprenne pas sur l’usage de l’adjectif : « petite »… Il révèle la relation
affective qui unit une femme à la robe dont elle se pare. Car la petite robe noire est bien plus qu’un
vêtement. Elle est le symbole du chic parisien, un modèle absolu de raffinement, une armure
sensuelle dans laquelle se glissèrent des générations de femmes, sublimées par le port de cette
toilette transcendante, aux pouvoirs magiques, qui floute les défauts, exalte toutes les beautés et fait
tourner les têtes de ceux qui la regardent. Ses ambassadrices s’appellent Monica Vitti, Jeanne
Moreau, Delphine Seyrig, Catherine Deneuve ou Monica Bellucci. Objet de convoitise pour les unes,
elle est une source intarissable de fantasmes pour les autres. Si elle est « petite » par sa taille – la
robe noire se porte courte – elle est immense par son histoire. » (Didier Ludot)
Une dizaine d’escarpins de Roger Vivier
Afin de parfaire ce défilé, le catalogue comprend également une dizaine de créations de Roger Vivier,
dont certains modèles, d’une grande rareté, furent conçus pour Christian Dior et brodés par la
maison Rébé. Ces délicats souliers aux couleurs éclatantes souligneront la pureté des petites robes
noires. Citons, entre autres merveilles, une paire d’escarpins au bout turc, ou encore une paire en
soie bleu canard rehaussée de plumes de martin pêcheur.
*8 juillet 2015, près d’1 million d’euros, 100 % de lots vendus
5. 4
Paul Poiret - 1921
Modèle « Madone »
Satin de soie avec une broderie
ethnique
Estimation : 2.000-3.000 €
Jean Patou - 1925
Modèle « Nuit de Chine »
Mousseline de soie brodée d’un
paysage asiatique
Cette robe fut prêtée au Fashion
Institute du Metropolitan
Museum de New York, lors de
l’exposition « China », en 2015
Estimation : 2.500-3.500 €
Jeanne Lanvin - 1938
Robe en crêpe noire, matelassée
aux épaules et à l’encolure, bas
des manches gansés de cuir
métallisé
Estimation : 1.000-1.500 €
6. 5
Lucien Lelong - 1947
Robe de petit dîner drapée en
crêpe
Estimation : 800-1.200 €
Christian Dior - 1950
Robe de cocktail en faille de soie
cloquée
Estimation : 2.000-3.000 €
Balenciaga - 1953
Robe de petit dîner, en gros de
Naples avec des broderies œillets
Estimation : 3.000-5.000 €
7. 6
Givenchy - Automne /
Hiver 1956
Robe de petit dîner en satin
duchesse
Estimation : 1.500-2.000 €
Balenciaga - 1958
Robe « Baby Doll » en dentelle de
la maison Marescot
Modèle identique à celle exposée
au musée de la dentelle de Calais
en 2016
Estimation : 2.000-3.000 €
Christian Dior par Yves Saint Laurent
Automne / Hiver 1960
Faille de soie
Estimation : 1.500-2.500 €
8. 7
Chanel - 1960
Mousseline de soie
Modèle identique à celui porté par
Delphine Seyrig dans le film d’Alain
Resnais, « L’année dernière à
Marienbad », en 1961
Une robe identique figure dans les
collections du Victoria and Albert
Museum, Londres
Estimation : 2.500-3.000 €
Pierre Cardin - 1969
Modèle « Car Wash »
Robe en crêpe de laine
Un modèle identique figure au
Metropolitan Museum de New
York et un modèle similaire, de
couleurs, réside dans les
collections du Victoria and Albert
Museum, Londres
Estimation : 500-900 €
Givenchy par Alexander Mac Queen
- 1998
Robe de cocktail entièrement perlée de jais
Estimation : 1.000-1.500 €
9. 8
Junya Watanabe pour
Comme des Garçons -
Printemps / Eté 2005
Encolure fermeture éclair
Estimation : 1.000-1.500 €
Visiter: www.sothebys.com/en/inside/services/press/news/news.html
Suivre: www.twitter.com/sothebys
Rejoignez-nous : www.facebook.com/sothebys & www.weibo.com/sothebyshongkong
Regarder : www.youtube.com/sothebys
Sotheby’s réunit les collectionneurs à travers les œuvres d’art depuis 1744. Sotheby’s est devenue la première maison de vente
internationale depuis qu’elle s’est développée à New York depuis son siège londonien (1955). Elle fut la première à tenir des ventes à Hong
Kong (1973), en France (2001), et en Chine (2012). Aujourd’hui, Sotheby’s est présente dans huit salles de ventes incluant New York,
Londres, Hong Kong et Paris. Sotheby’s avec ses Services Financiers est la seule société de financement artistique au monde et elle offre
l’opportunité d’enchérir dans 70 domaines de collection incluant S|2, galerie d’exposition-vente du département d’art contemporain,
Sotheby’s Diamonds et le Vin. Sotheby’s possède un réseau mondial de 90 bureaux dans 40 pays et est la plus ancienne société du New
York Stock Exchange (BID).
*Les estimations sont hors commission d’achat et les prix incluent le prix marteau et la commission d’achat
Les images sont disponibles sur demande
Tous les catalogues sont consultables en ligne www.sothebys.com ou sur l’application Ipad Sotheby’s Catalogue
10. 1er septembre 2017
Tous droits de reproduction réservés
PAYS :France
PAGE(S) :100
SURFACE :26 %
PERIODICITE :Hebdomadaire
DIFFUSION :425216
1 septembre 2017 - N°22724
14. 20 septembre 2017
20/09/2017 Le Figaro Premium - Le petite robe noire, vedette d'une vente aux enchères en octobre
http://premium.lefigaro.fr/culture/encheres/2017/09/20/03016-20170920ARTFIG00238-le-petite-robe-noire-vedette-d-une-vente-aux-encheres-en-… 1/4
NOUVEAU Le petite robe noire, vedette d'une vente aux
enchères en octobre
Enchères (http://premium.lefigaro.fr/culture/encheres) | Mis à jour le 20/09/2017 à 18h05
Plus de 140 petites robes noires, signées de grandes maisons de couture et
créées «des Années folles aux années 2000», seront mises aux enchères le 3
octobre à Paris par Sotheby's.
La petite robe noire, un monument de la haute couture qui sera la vedette d'une vente
de Sotheby's (http://www.lefigaro.fr/culture/encheres/2017/06/30/03016-
20170630ARTFIG00294-les-maisons-de-ventes-francaises-a-la-hausse.php). Plus de
140 pièces, signées de grands noms de la couture, «des Années folles aux années 2000»,
seront dispersées le 3 octobre à Paris. Les robes proviennent de la collection personnelle
de Didier Ludot (http://www.lefigaro.fr/sortir-paris/2015/07/06/30004-
20150706ARTFIG00017-didier-ludot-ses-adresses-chic-a-paris.php), «antiquaire de la
mode» et spécialiste de ce classique du vestiaire féminin, consacré par Gabrielle Chanel
en 1926. Les estimations vont de 500 à 10.000 euros.
«La petite robe noire est bien plus qu'un vêtement. Elle est le symbole du chic parisien,
un modèle absolu de raffinement, une armure sensuelle dans laquelle se glissèrent des
générations de femmes. Si elle est «petite» par sa taille - la robe noire se porte courte -
elle est immense par son histoire», explique Didier Ludot dans un communiqué.
Les robes mises en vente, en collaboration avec la maison Kerry Taylor Auctions
(https://kerrytaylorauctions.com/), ont été créées entre 1921 et 2010 par les plus
grands couturiers, de Chanel à Marc Vaughan, en passant par Christian Dior, Jean Patou,
Les robes mises en vente ont été créées entre 1921 et 2010 par les plus grands couturiers, de Chanel à Marc Vaughan. -
Crédits photo : Crédit photos : Sotheby's / Art digital studio
15. 20 septembre 2017
AFP - La petite robe noire, vedette
d'une vente de Sotheby's en octobre à
Paris
Paris, 20 sept 2017 (AFP) - Plus de 140 petites robes noires, signées de grands noms de la couture,
"des Années folles aux années 2000", seront mises aux enchères le 3 octobre à Paris par Sotheby's, a-
t-on appris auprès de la maison de vente.
Les robes proviennent de la collection personnelle de Didier Ludot, "antiquaire de la mode" et
spécialiste de ce classique du vestiaire féminin, consacré par Gabrielle Chanel en 1926. Les
estimations vont de 500 à 5.000 euros.
"La petite robe noire est bien plus qu'un vêtement. Elle est le symbole du chic parisien, un modèle
absolu de raffinement, une armure sensuelle dans laquelle se glissèrent des générations de femmes",
explique Didier Ludot dans un communiqué.
Les pièces mises en vente, en collaboration avec la maison Kerry
Taylor Auctions, ont été créées entre 1921 et 2010 par les plus grands couturiers, de Chanel à Marc
Vaughan, en passant par Christian Dior, Jean Patou, Balenciaga, Yves Saint Laurent, Pierre Balmain,
Yohji Yamamoto ou Alexander McQueen.
Une dizaine d'escarpins Roger Vivier et des fourrures seront également proposés à la vente.
Parmi les lots phares, une robe Givenchy en satin duchesse (automne-hiver 1956-1957) est estimée
entre 1.800 et 2.500 euros; une robe de cocktail en faille de soie Christian Dior haute couture par
Yves Saint Laurent (automne-hiver 1960-1961) entre 1.200 et 1.500 euros.
Une robe en mousseline de soie signée Chanel, identique à celle portée par Delphine Seyrig dans le
film d'Alain Resnais, "L'année dernière à Marienbad" en 1961, est estimée entre 2.500 et 3.000
euros. Une robe Balenciaga de 1953 à broderies oeillets, entre 3.000 et 5.000 euros.
A la tête d'un dépôt-vente de luxe installé dans les galeries du Palais-Royal à Paris, le collectionneur
Didier Ludot est l'auteur de l'ouvrage "La petite robe noire", paru en septembre 2001. La maison
Sotheby's avait déjà organisé en juillet 2015 une première vente de 150 pièces issues de sa
collection.
18. 20 septembre 2017
21/09/2017 La petite robe noire, vedette d'une vente de Sotheby's en octobre à Paris - La Croix
http://www.la-croix.com/article/imprimer/http://www.la-croix.com/Culture/petite-robe-noire-vedette-vente-Sotheby-octobre-Paris-2017-09-20-13008… 1/2
La petite robe noire, vedette d'une vente
de Sotheby's en octobre à Paris
Par afp, le 20/9/2017 à 10h35
21/09/2017 La petite robe noire, vedette d'une vente de Sotheby's en octobre à Paris - La Croix
Plus de 140 petites robes noires, signées de grands noms de la couture, "des Années folles aux années 2000", seront mises aux
enchères le 3 octobre à Paris par Sotheby's, a-t-on appris auprès de la maison de vente.
Les robes proviennent de la collection personnelle de Didier Ludot, "antiquaire de la mode" et spécialiste de ce classique du
vestiaire féminin, consacré par Gabrielle Chanel en 1926. Les estimations vont de 500 à 5.000 euros.
"La petite robe noire est bien plus qu'un vêtement. Elle est le symbole du chic parisien, un modèle absolu de raffinement,
une armure sensuelle dans laquelle se glissèrent des générations de femmes", explique Didier Ludot dans un communiqué.
Les pièces mises en vente, en collaboration avec la maison Kerry Taylor Auctions, ont été créées entre 1921 et 2010 par les
plus grands couturiers, de Chanel à Marc Vaughan, en passant par Christian Dior, Jean Patou, Balenciaga, Yves Saint
Laurent, Pierre Balmain, Yohji Yamamoto ou Alexander McQueen.
Une dizaine d'escarpins Roger Vivier et des fourrures seront également proposés à la vente.
Parmi les lots phares, une robe Givenchy en satin duchesse (automne-hiver 1956-1957) est estimée entre 1.800 et 2.500 euros;
une robe de cocktail en faille de soie Christian Dior haute couture par Yves Saint Laurent (automne-hiver 1960-1961) entre
1.200 et 1.500 euros.
Une robe en mousseline de soie signée Chanel, identique à celle portée par Delphine Seyrig dans le film d'Alain Resnais,
"L'année dernière à Marienbad" en 1961, est estimée entre 2.500 et 3.000 euros. Une robe Balenciaga de 1953 à broderies
oeillets, entre 3.000 et 5.000 euros.
A la tête d'un dépôt-vente de luxe installé dans les galeries du Palais-Royal à Paris, le collectionneur Didier Ludot est
l'auteur de l'ouvrage "La petite robe noire", paru en septembre 2001. La maison Sotheby's avait déjà organisé en juillet
2015 une première vente de 150 pièces issues de sa collection.
afp
Plus de 140 petites robes noires, signées de grands noms de la couture, "des Années folles aux années 2000", seront mises aux
enchères le 3 octobre à Paris par Sotheby's / AFP/Archives
22. 25 septembre 2017
L'INVITÉ
25 SEP T EMB R E 20 17
Didier Ludot et ses petites robes
noires-bijoux chez Sotheby’s
Paris
L’antiquaire de la mode met en vente 140 petites
robes noires, le 3 octobre 2017 à Paris. Pour
certaines d’entre elles, le mot « bijou » s’impose
naturellement…
Cette deuxième vente chez Sotheby’s est
entièrement consacrée à votre vêtement fétiche.
Pourquoi ne pas les vendre dans votre boutique
?
Les acheteurs de pièces anciennes de haute couture
évoluent, la façon d’acheter aussi. Ces ventes me
permettent de rencontrer des collectionneurs qui ne
viendraient jamais dans la boutique du Palais-
Royal que j’ai ouverte il y a 43 ans.
Certaines ornementations en métal, en fils d’or
ou en paillettes s’apparentent à de véritables
L'INVITÉ
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Didier Ludot et ses petit
noires-bijoux chez S
Paris
L’antiquaire de la mode met en vent
robes noires, le 3 octobre 2017 à
certaines d’entre elles, le mot « bijo
naturellement…
Cette deuxième vente chez S
entièrement consacrée à votre vêtem
Pourquoi ne pas les vendre dans vo
?
23. 25 septembre 2017
bijoux…
Les broderies chinoises de la robe Jean Patou, que
j’ai prêtée au Metropolitan Museum of Art pour
l’exposition « China » en 2015, pourraient être faites
de pierres précieuses. Il y a aussi le col en strass
(probablement de Swarovski) qui soulignent le
mouvement merveilleux du col de la robe Thierry
Mugler. On dirait qu’il est soulevé par une
bourrasque ! Maruschka Detmers a porté cette robe
aux Oscars de la mode, en version ultra courte,
avec des cuissardes en velours aux revers empierrés.
Parmi mes préférées, il y a aussi celle de
Comme des Garçons avec son col en zips
tournoyant qui se métamorphose en collier. Quel
effet étonnant que ces objets utilitaires évoquant un
bijou massaï !
La broderie de la robe Chanel fait, elle, écho
aux collections de haute joaillerie de la
maison…
Inspirée par une fontaine de Versailles, la broderie
réalisée par Lesage témoigne d’un travail
exceptionnel, digne de lapidaires, d’orfèvres et de
sertisseurs. On distingue à peine, au centre, les
deux C entrelacés. Cette robe de 1986 n’existe
qu’en deux exemplaires, dont l’un a été porté par
Inès de la Fressange dans une publicité pour le
parfum « Coco ». Il y a une autre robe-bijou Chanel
qui date elle aussi des années 1980, une période
clinquante très à la mode aujourd’hui ! Elle est
décorée de grandes chaînes comme des sautoirs qui
tombent dans le dos. Rappelons que Gabrielle
Chanel adorait les faux bijoux.
Les robes noires-bijoux de Lanvin et Paco
Rabanne font figures de classiques.
Dans les années 1930, Jeanne Lanvin est une
spécialiste de la robe-bijou enrichie de décors en
perles, corail, miroirs, broderies de fils métalliques
qui encadrent le col, les emmanchures, les poignets.
Quant à Paco Rabanne, il excellait dans les
vêtements en métal comme la robe de 1965 en
plaques d’or véritable ornée dans la partie
supérieure de diamants De Beers, portée par
Françoise Hardy. Ce n’est pas par hasard que
Gabrielle Chanel le surnommait « le métallurgiste » !
Entre 800 et 5 000 euros, les estimations
L'INVITÉ
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Didier Ludot et ses peti
noires-bijoux chez S
Paris
L’antiquaire de la mode met en ven
robes noires, le 3 octobre 2017 à
certaines d’entre elles, le mot « bijo
naturellement…
Cette deuxième vente chez S
entièrement consacrée à votre vêtem
Pourquoi ne pas les vendre dans vo
?
24. 25 septembre 2017
semblent raisonnables…
Certains prix resteront parfaitement accessibles,
d’autres s’envoleront car des grandes maisons et
des musées sont sur les rangs. Dans ma première
vente chez Sotheby’s, la robe Balenciaga appliquée
de plumes roses ayant appartenu à
Francine Weisweiller, une amie du couturier, a été
le plus haut : 56 000 euros alors qu’elle était
estimée 6 000 à 8 000 euros.
Toutes les robes ne sont pas noires ! Et vous
proposez aussi des souliers Roger Vivier…
Il fallait réveiller l’ensemble avec des contrepoints
lumineux comme celle d’Alexander McQueen.
Certains des escarpins Roger Vivier, brodés par la
maison Rébé, me sont parvenus de façon étrange…
Un chauffeur en livrée s’est présenté à la boutique
avec trois énormes sacs poubelles remplis de boîtes
Roger Vivier. Mais impossible de connaître le nom
de la donatrice qui souhaitait rester anonyme.
Vendre c’est bien, mais rien n’est plus excitant que
d’acheter !
Sotheby’s Paris – 76, rue du Faubourg Saint-
Honoré 75008 Paris – Exposition du 28 septembre
au 2 octobre 2017 – Vente le 3 octobre à 14h30.
L'INVITÉ
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Didier Ludot et ses petite
noires-bijoux chez So
Paris
L’antiquaire de la mode met en vente
robes noires, le 3 octobre 2017 à P
certaines d’entre elles, le mot « bijou
naturellement…
Cette deuxième vente chez So
entièrement consacrée à votre vêteme
Pourquoi ne pas les vendre dans votr
?
25. 25 septembre 2017
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Didier Ludot et ses petite
noires-bijoux chez So
Paris
L’antiquaire de la mode met en vente
robes noires, le 3 octobre 2017 à
certaines d’entre elles, le mot « bijou
naturellement…
Cette deuxième vente chez So
entièrement consacrée à votre vêtem
Pourquoi ne pas les vendre dans vot
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26. 25 septembre 2017
L'INVITÉ
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Didier Ludot et ses petit
noires-bijoux chez S
Paris
L’antiquaire de la mode met en vente
robes noires, le 3 octobre 2017 à
certaines d’entre elles, le mot « bijou
naturellement…
Cette deuxième vente chez S
entièrement consacrée à votre vêtem
Pourquoi ne pas les vendre dans vot
?
28. 27 septembre 2017
Balenciaga, Lanvin, Dior ou encore Yohji Yamamoto… depuis que Gabrielle Chanel a
érigé la petite robe noire comme l'ultime uniforme féminin, les créateurs n'ont cessé de
l'honorer. Le 3 octobre, Sotheby's met en vente 140 pièces d'archives appartenant à Didier
Ludot, datant des années 1910 à 2010, ainsi qu'une dizaine de paires d'escarpins Roger
Vivier.
36. 3 octobre 2017
19/10/2017 Et si on s'offrait une petite robe noire vintage à la vente Sotheby's ? | Vogue
http://www.vogue.fr/culture/a-voir/diaporama/vente-sothebys-petite-robe-noire-mode-livre-parisienne/44508
Par Manon Garrigues le 03 Octobre 2017
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CULTUREÀ VOIR
Et si on s'offrait une petite robe noire
vintage chez Sotheby's ?
La petite robe noire. Un essentiel de la
Parisienne. Simple et élégante, cette pièce
intemporelle, introduite dans la garde robe par
Coco Chanel, reste un objet de désir inspirant.
Exposition, livre, cinéma... Cet automne, "the
little black dress" flirte cette fois-ci avec les
enchères en étant à l'honneur d'une vente
exceptionnelle chez Sotheby's. Au total, 140
petites robes noires haute couture issues de la
collection de Didier Ludot sont mises aux
enchères aujourd'hui, à Paris.
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43. 19 octobre 201719/10/2017 Une robe de cocktail Chanel haute couture à 8.125 euros - Le Soir
http://www.lesoir.be/120138/article/2017-10-19/une-robe-de-cocktail-chanel-haute-couture-8125-euros 1/10
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A ne pas manquer Sept films qui ont fait Danielle Darrieux
U
Une robe de cocktail Chanel haute couture à 8.125 euros
Classique parmi les classiques, aussi élégante qu’intemporelle, la « petite robe noire » est ce que l’on
appelle un « must-have » dans la mode féminine
n indispensable du dressing qui continue à séduire et à fasciner les grands couturiers, et ce
depuis que Gabrielle Chanel lui a donné ses lettres de noblesse au milieu des années 1920. Or
le 3 septembre à Paris, ce vêtement iconique, Sotheby’s se l’est en quelque sorte approprié le
temps d’une vente aux enchères où se côtoyaient plusieurs dizaines de pièces griffées Balenciaga,
Yves Saint Laurent, Pierre Balmain, Christian Dior ou encore Yohji Yamamoto.
Mis en ligne le 19/10/2017 à 10:37
Par Jean Vouet
Des escarpins Christian Dior, par Roger Vivier, vendus 23750 €. D.R.
44. 19 octobre 2017
19/10/2017 Une robe de cocktail Chanel haute couture à 8.125 euros - Le Soir
Toutes provenaient de la collection privée de Didier Ludot, célèbre « antiquaire de mode » français
installé sous les arcades du Palais royal et vouant un véritable culte à ce vêtement qu’il décrit comme
un « symbole du chic parisien, un modèle absolu de raffinement, une armure sensuelle dans laquelle se
glissèrent des générations de femmes, sublimées par le port de cette toilette transcendante, aux
pouvoirs magiques, qui floute les défauts, exalte toutes les beautés et fait tourner les têtes de ceux qui
la regardent ». Qui pourrait dire mieux ?
Au total, la vacation organisée avec le concours de Kerry Taylor Auctions a généré un chiffre d’affaires
de 611.922 euros, soit un montant record en France pour une vente de haute couture en 2017 avec plus
du double de l’estimation haute (195.000 – 280.000 euros).
Une belle confirmation donc pour « l’œil » de Didier Ludot qui, en juillet 2015, avait déjà fait appel à
Sotheby’s pour disperser 171 pièces issues de sa collection et datant de 1924 à 2006. Toutes avaient
alors trouvé preneur pour un montant global de 966.259 euros. En tête, avec adjudication à 56.250
euros, figurait une extravagante robe du soir en plumetis de Brivet imagée par Balenciaga dans les
années 1960 et ayant appartenu à Francine Weisweiller, une amie intime de Jean Cocteau.
Néanmoins, pour cette seconde édition placée plus spécifiquement sous le signe de la petite robe noire,
« petite par sa taille mais immense par son histoire » selon Didier Ludot, près d’une trentaine de lots sur
les 160 enregistrés au catalogue sont malheureusement restés sur le carreau.
Parmi les plus belles enchères de l’après-midi, l’on pointera cette robe de cocktail signée en 1960 par
Chanel haute couture et dont la valeur devait avoisiner au départ les 2.500 à 3.000 euros. Toute en
mousseline de soie et nœuds de taffetas, elle était identique au modèle porté par l’actrice française
Delphine Seyrig dans le chef-d’œuvre d’Alain Resnais, L’année dernière à Marienbad, qui obtint le Lion
d’or à la Mostra de Venise en 1961.
45. 21 septembre 2017
Sotheby’s to Auction 90 Years of
Little Black Dresses
The 140 lots from Didier Ludot's collection include dresses by major
fashion houses and Christian Dior footwear by Roger Vivier.
FASHION / FASHION SCOOPS
By Lily Templeton on September 21, 2017
DRESSES TO IMPRESS: “The history of the little black dress is
the history of fashion itself, as it is a garment that has adapted to
scores of sociopolitical changes,” said fashion collector Didier
Ludot, ahead of his “1921-2010 Les Petites Robes Noires” auction
at Sotheby’s on Oct. 3.
For his second sale at the auction house, the Paris-based
collector drew a 140-strong contingent of black dresses from his
private collection by couturiers and designers such as Mariano
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Fortuny, Yves Saint Laurent, Jeanne Lanvin, Paco Rabanne and
Helmut Lang.
“I’m at a point in my life where I’m thinking about
transmissions. Here are items I’ve had for a long time, so I want
them to be in good hands,” he said, noting that he had already
had inquiries from museums and institutes. But parting is no
sorrow for the collector. “Once I have bought them and held
them in my hands, they belong to me forever,” he said.
Among the items going under the hammer are a fall 1956
cocktail dress by Hubert de Givenchy, which Ludot called the
epitome of the genre; a 1925 Jean Patou “Nuit de Chine” dress,
which was previously shown at the Metropolitan Museum’s 2015
“China: Through the Looking Glass” exhibition; a spring 2005
Junya Watanabe dress with zippers forming a Maasai neckpiece;
a Chanel dress designed by Karl Lagerfeld in 1985, with a
cascade of gold chains, and also a dozen Christian Dior shoes
designed by Roger Vivier, which were once donated to him by a
liveried driver on behalf of his employer who wished to remain
anonymous. A few colored pieces are also dotted through the
all-black lineup.
For Ludot, who penned “La Petite Robe Noire,” published in
2001 by Assouline, few items evoke style and highlight a
couturier’s talent as much as the black dress. “I wish women
would think of the ‘little’ black dress as an armor. With one, they
will always be perfect, whether they’re 17 or 70. It has always
fascinated me as it touches all social classes, all generations. It
suffers no mediocrity because everything becomes visible on a
black dress.”
Ahead of the sale, the collection will be on public display,
alongside a selection of Christian Dior costume jewelry, from
Sept. 29 to Oct. 2 at the auction house’s Faubourg Saint Honoré
location.
You're missing something!
Prada RTW S
Arthur Arbesse
201
21 septembre 2017
47. 25 septembre 2017
http://artdaily.com/index.asp?int_sec=11&int_new=96928&utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter%20-%20.Wci4nmdlKUk 1/3
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Sotheby's to offer 140 haute couture pieces from the private collection of Didier Ludot
Balenciaga 1953. Robe de petit dîner. A couture embroidered gros de Naples silk gown. Estimate: €3,000-5,000. Courtesy Sotheby’s.
PARIS.- Sotheby’s announced its second sale of Haute Couture to take place in Paris on Tuesday 3 October. In association with Kerry Taylor Auctions, it
will offer at auction 140 Petites robes noires, “little back dresses” from the private collection of Didier Ludot. Sotheby’s offered a glimpse of Ludot’s
collection in July 2015, when legendary items by the greatest Paris couturiers were exhibited at the Galerie Charpentier, attracting the keen interest of
major collectors, women who wished to buy to wear, alike. This second sale celebrates an iconic garment - La petite robe noire (the little black dress), a
timeless wardrobe staple that has fascinated couturiers, flattered women and enchanted men for almost a century.
48. 19/10/2017 Sotheby's to offer 140 haute couture pieces from the private collection of Didier Ludot
The sale on 3 October will offer a fresh look at this fashion classic as Ludot again calls on Sotheby’s savoir-faire to sell part of his collection. “Today I pay
tribute to the astonishing story of the little black dress and to the designers who wrote its story, a dizzying tale that finds itself retold in the catalogue, from
the Roaring Twenties to the new millennium. Lovingly collected, these pieces – whose estimates range between 800 and 5,000 euros – were created by
the greatest of couturiers, from Chanel to Jean Patou to Marc Vaughan. Some of these dresses, by Balenciaga, Yves Saint Laurent, Pierre Balmain or
Yohji Yamamoto, have previously been loaned to the Metropolitan Museum in New York. A group of twenty by Christian Dior worthily celebrate the 70th
anniversary of that distinguished house. And as the little black dress doesn’t like to go out by itself, it will be accompanied at the sale by Roger Vivier
pumps and a selection of furs.”
Didier Ludot, the dealer in vintage Haute Couture famous in Paris as the “fashion antiquarian”, hardly needs an introduction. His name is already known
to cultivated fashion-lovers in search of a unique piece, rich with history, that will lend new chic to their wardrobes. Women from all over the world know
Ludot’s boutique in the arcades of the Palais Royal, where they find the best of old and new. Alongside his business, Didier Ludot has built up, over a
period of almost forty years, a private collection of rare and important pieces by the greatest designers.
He is also the author of La petite robe noire, published by Assouline in September 2001, is considered an essential work of reference on the subject.
Eight years later, he curated an exhibition on the Little black dress mounted in the windows of the Ministry of Culture, just around the corner from his
shop.
The Little black dress from its birth in 1926, under the aegis of Coco Chanel, through its role in Nouvelle vague cinema and to the recent creations of
Viktor and Rolf, the sale traces the story of the little black dress through almost a century of fashion history. “There should be no misunderstanding about
that adjective ‘little’. … It is an expression of the woman’s emotional attachment to the dress she wears. For the little black dress is much more than an
item of clothing. It is the symbol of Parisian chic, the very model of refinement, the sensual armour slipped on by generations of women who have found
themselves transformed by a sublime raiment that forgives their failings and glorifies their virtues, turning heads everywhere it went. Its ambassadors
have been Monica Vitti, Jeanne Moreau, Delphine Seyrig, Catherine Deneuve and Monica Bellucci. An object of must-haves for some, it is an
inexhaustible inspiration of fantasy for others. While it may be ‘little’ in size – the black dress has always been worn short – it is immense in the story it
tells.” (Didier Ludot)
Shoes by Roger Vivier
To complete the look, the catalogue also includes a dozen creations by Roger Vivier, some of them extremely rare, designed for Christian Dior and
embroidered by Rebé. The colour and brilliance of these delicate shoes perfectly set off the sobriety of the little black dress. One might mention, among
other triumphs, a pair of pumps with Ottoman toe, and another in duck-blue silk trimmed in kingfisher feathers.
Kerry Taylor, specialist fashion auctioneer says of the collection: “Didier Ludot has a genius for spotting historically important dresses which are at the
same time super-wearable which makes the gowns objects of desire on so many levels. Although some may be regarded as museum pieces – I’m sure
that others will be seen at elegant soirees in the years to come.”
Today's News
June 23, 2017
Rare artefacts on show in the UK for the first time for major new Jacobites
exhibition
Sotheby's to offer one of the great American collections of non-western art
remaining in private hands
Eli Wilner & Company creates a frame for a Cassatt at the North Carolina
Museum of Art
Christie's to offer the Jean-François and Marie-Aline Prat Collection
Most comprehensive overview of Frank Bowling's monumental paintings ever
mounted opens at Haus der Kunst
Exhibition at Tanya Bonakdar Gallery weaves together three bodies of work by
Meschac Gaba
Imperial War Museum North presents largest UK retrospective of Wyndham Lewis
Capitain Petzel opens exhibition of new paintings, drawings and films by Sarah
Morris
Sotheby's to offer 140 haute couture pieces from the private collection of Didier
Ludot
Galerie Thaddaeus Ropac opens exhibition of new works by Daniel Richter
Most Popular Last Seven Days
1.- $37.7 million bowl sets Chinese ceramic auction record at
Sotheby's Hong Kong
2.- Major new show at Picasso Museum focuses on pivotal year in
Picasso's life and work
3.- 63 Dutch Masters return home to Holland for an exhibition at
the Hermitage Amsterdam
4.- Exhibition reveals new insights into Renoir's celebrated
"Luncheon of the Boating Party"
5.- Nazi-looted Pissarro painting at centre of legal tussle
6.- The Herbert F. Johnson Museum of Art presents 'Lines of
Inquiry: Learning from Rembrandt's Etchings'
7.- Pristine Hermès Himalayan Gris Cendre Birkin bag sells for
$112,500 at Heritage Auctions
8.- Tom Petty, heartland rocker with dark streak, dead at 66
9.- Exhibition presenting the art of Marcel Duchamp and Salvador
Dalí opens in London
10.- Private collectors using online appraisal platform to get
25 septembre 2017
49. 13 octobre 2017
19/10/2017 The Little Black Dress's Lost Underclass Origins - The Atlantic
https://www.theatlantic.com/technology/archive/2017/10/the-underclass-origins-of-the-little-black-dress/542910/ 1/8
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Last week, Sotheby’s auctioned off 140 little black dresses. The event, “Les
Petites Robes Noires, 1921–2010,” featured vintage dresses collected by the
fashion antiquarian Didier Ludot. A dazzling mix of silk faille, velvet, jersey, and
tulle—all in black—cut simple silhouettes. The collection included iconic pieces
The Underclass Origins of the Little Black Dress
The upper classes once imposed the fashion staple on their servants—then
they stole it back from them. An Object Lesson.
SHELLEY PUHAK
OCT 13, 2017 | TECHNOLOGY
Stephanie Keith / Reuters
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50. 13 octobre 2017
19/10/2017 The Little Black Dress's Lost Underclass Origins - The Atlantic
https://www.theatlantic.com/technology/archive/2017/10/the-underclass-origins-of-the-little-black-dress/542910/ 2/8
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from Chanel, Givenchy, and Hermès. The more expensive lots fetched over
20,000 euros.
To introduce the collection, Ludot wrote, “Today I pay tribute to the astonishing
story of the little black dress and to the designers who wrote its story, a dizzying
tale ... from the Roaring Twenties to the new millennium.” But the most
astonishing part of the little black dress’s story might be its prologue, the
backstory left out of the auction catalogue, the glossy coffee-table books, and
the fashion magazines. The most important acolytes of the little black dress
were not designers nor aristocrats, but masses of working-class women.
* * *
In October 1926, Vogue featured a sketch of a long-sleeved, calf-length, black
sheath dress by a plucky young designer named Coco Chanel. Dubbed “Chanel’s
Ford,” the dress was promoted as equivalent in egalitarianism to the Model T.
At the time, Vogue’s editors wrote that Chanel’s little black dress would “become
sort of a uniform for all women of taste.” That seems like an astute prediction, in
hindsight. But in 1926, the proclamation was tone-deaf at best, as the little
black dress was already the actual uniform of many working-class women. The
little black dress (or LBD, as it is commonly abbreviated) was a uniform designed
to keep certain women in their place. Only later was it co-opted as haute couture
for women of taste.
https://www.theatlantic.com/technology/archive/2017/10/the-underclass-origins-of-the-little-black-dress/542910/ 2/8
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tale ... from the Roaring Twenties to the new millennium.” But the most
astonishing part of the little black dress’s story might be its prologue, the
backstory left out of the auction catalogue, the glossy coffee-table books, and
the fashion magazines. The most important acolytes of the little black dress
were not designers nor aristocrats, but masses of working-class women.
* * *
In October 1926, Vogue featured a sketch of a long-sleeved, calf-length, black
sheath dress by a plucky young designer named Coco Chanel. Dubbed “Chanel’s
Ford,” the dress was promoted as equivalent in egalitarianism to the Model T.
At the time, Vogue’s editors wrote that Chanel’s little black dress would “become
sort of a uniform for all women of taste.” That seems like an astute prediction, in
hindsight. But in 1926, the proclamation was tone-deaf at best, as the little
black dress was already the actual uniform of many working-class women. The
little black dress (or LBD, as it is commonly abbreviated) was a uniform designed
to keep certain women in their place. Only later was it co-opted as haute couture
for women of taste.
51. 13 octobre 2017
19/10/2017 The Little Black Dress's Lost Underclass Origins - The Atlantic
https://www.theatlantic.com/technology/archive/2017/10/the-underclass-origins-of-the-little-black-dress/542910/ 3/8
When the lower classes adopt the fashions of the elite, the elites often respond
by changing course abruptly—a neckline or a hemline rises or falls dramatically,
perhaps, or a voluminous silhouette narrows. But sometimes, rather than
quickly changing styles, the upper classes simply wear the clothes the poor have
discarded.
For example, as towns populated in the 14th century, a merchant class arose
within them. This middle class had some discretionary income, and they spent it
on the most conspicuous consumer good: clothing. Finally, they could afford
jewel-studded velvets, gold and silver trimmings, brightly colored coats, and
sumptuous furs. As the fashion historian Anne Hollander has explained, when
the aristocracy couldn’t outlaw or outspend these medieval nouveau riche, they
started wearing baggy and threadbare clothing. This new fashion—looking like
one had thrown on any old thing—served as a not-so-subtle reminder to the
upstarts that, while money could buy clothes, it couldn’t buy class.
“Ladies do not like to see their maids dressed in the
clothes they themselves have worn.”
Blue jeans offer a more recent example. Jeans began as cheap and durable work
pants for miners and farmers. They were the de facto uniform of the rural
working class. But once working-class men had access to ready-to-wear trousers,
their jeans started showing up on postwar suburban youths, and then in trendy
boutiques. Recently, Nordstrom even sold a $425 pair of jeans with fake mud
stains—the ultimate blue-collar costume. Once more, the wealthy turn the tables
by appropriating the clothing of the poor.
The LBD also finds its origins among the poor. Before the 19th century,
domestic servants wore whatever they could—homemade dresses, often, but
also their employers’ hand-me-downs. But in the 1860s, the British upper
classes required their maids to wear a common uniform: a white mobcap, an
apron, and a simple black dress. Soon after, wealthy American and French
families followed suit.
52. 19/10/2017 The Little Black Dress's Lost Underclass Origins - The Atlantic
https://www.theatlantic.com/technology/archive/2017/10/the-underclass-origins-of-the-little-black-dress/542910/ 4/8
Relationships between upper-class women and their servants had changed,
becoming “less intimate and more authoritarian,” as the sociologist Diana
Crane puts it. At this time, servants ceased to be “the help,” a somewhat
collegial characterization, and became known as “domestics.” And domestics
wearing upper-class castoffs, especially young and pretty ones, led to
embarrassing mix-ups. A caller mistaking the maid for the mistress of the house
raised uncomfortable questions about recently erected class barriers.
Cassell’s Household Guide, which billed itself as an encyclopedia of domestic and
social economy, summed up the problem like this, circa 1880: “As a general
rule, ladies do not like to see their maids dressed in the clothes they themselves
have worn—the difference in the social scale of mistress and maid renders this
unpleasing.”
But Cassell’s made one exception: “a black or a dark-colored silk.” Previously, a
simple black dress meant a wealthy woman was “dressing down.” But by the
19th century, the black dress had become a staple of the lower and middle
classes. It was the perfect hand-me-down for the help.
* * *
There was a time when black signified wealth. It was favored by 15th-century
Spanish aristocrats and wealthy Dutch merchants. Later, Baldassare
Castiglione’s 1528 The Book of the Courtier advised others to follow their lead, to
appear above the petty fads of commoners. Black clothing conveyed plainness
and piety, for one thing. But it was also incredibly expensive to produce,
requiring vast quantities of imported “oak apples”—a bulbous growth left behind
on oak leaves from insect egg sacs. By the early 19th century, a newer dye made
from logwood and ferrous sulfate made the color cheap to produce. In 1863, an
even cheaper synthetic aniline black dye was developed.
By the 1880s, most awkward maid-or-mistress mix-ups had been eliminated
thanks to the trusty black dress. But another sort of working-class woman now
had the opportunity to dress above her station. Rapid industrialization gave
consumers more disposable income, and they wanted places to spend it. More
shops opened in urban centers, and cheap labor was needed to staff them.
13 octobre 2017
53. 19/10/2017 The Little Black Dress's Lost Underclass Origins - The Atlantic
https://www.theatlantic.com/technology/archive/2017/10/the-underclass-origins-of-the-little-black-dress/542910/ 5/8
Unmarried young women began pouring into the cities to work as “shopgirls” in
dry-good establishments, dress stores, hat and glove shops, and department
stores.
There was a “revolution in dress, not by the fashionable
folk, but by New York’s army of shopgirls.”
The shopgirl enjoyed more freedom and less supervision than domestic servants
did. Often, for the first time in her life, she also enjoyed some disposable income
of her own. The sewing machine, invented in 1846 and mass-produced in the
1870s, made it easier than ever to imitate these fashions. Mated to the precut
paper pattern, devised by the upscale American designer Ellen Curtis Demorest,
women could duplicate the latest fashions from Paris with relative ease. And
advances in efficiency at textile factories made a wider variety of fabrics and
trims available with which to do so.
The new cheap aniline dyes that made the domestic’s black uniform possible
also made brightly colored dresses—the vivid scarlets, blues, and greens that
were once only for the upper classes—affordable, too. With a few dollars and a
few nights’ work, an enterprising shopgirl could create a passable imitation of a
dress from the society pages. Or instead, she could shop the sale rack at her
place of employment—one of the large, new department stores—and purchase a
ready-to-wear dress. She could then alter and trim the dress with lace, sequins,
or buttons to make it appear custom-made.
So attired, she might successfully blend in with a store’s clientele—or even
outshine them. This wasn’t a desirable state of affairs. Writing in the June 4,
1910, edition of the International Gazette, a Methodist minister urged that “the
craze of the shopgirl ... as fashionably attired as the rich woman she waits on had
become a menace.” Even earlier, in response to customer complaints,
employers had brainstormed ways to neutralize the threat. In 1890, The Sun
declared there was a “revolution in dress” underway, “not by the fashionable
folk, but by New York’s army of shopgirls.”
13 octobre 2017
54. 19/10/2017 The Little Black Dress's Lost Underclass Origins - The Atlantic
https://www.theatlantic.com/technology/archive/2017/10/the-underclass-origins-of-the-little-black-dress/542910/ 6/8
In response, many employers began requiring their female employees to dress
like domestic servants, in simple black dresses. An 1892 San Francisco Call
headline summarized the reaction among the labor pool: “The Shopgirls Hate
It.” Sometimes they even went on strike in response. But threatened with
termination, most shopgirls buckled, and by the 1890s the little black dress was
the required uniform in New York, London, and Paris.
In the summer of 1894, wearing a black dress became a condition of
employment for Jersey City telephone operators, too. The “‘hello’ girls,” as they
were called, also protested. Newspapers presented their case sympathetically; in
1892, for example, the Reading Times pointed out that the women were opposed
not to the dress itself, but “to the idea of showing by their dress that they are
working girls.”
The little black dress marked and mediated social
boundaries.
For these reasons, the little black dress became a marker of class. When young
working-class women complained that being forced into uniform was
“inconsistent with our ideals of freedom and independence,” as the The San
Francisco Call reported in 1892, they weren’t just complaining about self-
expression. Embedded in their ideals was the promise of social mobility.
These women were the fin de siècle equivalent of medieval merchants. They
mixed with the upper classes, whether in drawing rooms or on retail shop floors,
and they saw what the wealthy wore up close. Thanks to the sewing machine,
the paper pattern, and affordable fabrics, the working classes could finally,
feasibly, dress like high society—even if they were now only permitted to do so
after work hours.
* * *
Society matrons exacted their revenge by dressing like shopgirls and maids,
reappropriating their little black dresses for the upper crust.
13 octobre 2017
55. 19/10/2017 The Little Black Dress's Lost Underclass Origins - The Atlantic
https://www.theatlantic.com/technology/archive/2017/10/the-underclass-origins-of-the-little-black-dress/542910/ 7/8
Lillie Langtry, a famous British beauty who would go on to become a successful
actress, conquered London society in 1886 “dressed in a simple little black
frock,” as the Emporia Daily News described it. By the early 1900s, socialites
who wanted to appear especially youthful and edgy donned little black dresses.
The LBD appeared in fashion magazines and society pages decades before
Chanel’s dress appeared in Vogue. It was such an established trend by 1915 that
even the wife of the U.S. Secretary of the Treasury appeared in public looking
“like a college girl, in her short little black dress.”
While Coco Chanel didn’t invent the little black dress, she was astute enough to
pick up on the underlying trend that made it popular—la pauvreté de luxe, she
called it, or “luxurious poverty.” It was a look reserved exclusively for those who
could “afford” to look poor by pretending that they simply couldn’t be bothered
with fashion. But while a rich woman might now better blend into the crowd, on
closer inspection, there would be some small detail in her seemingly anonymous
garment—a certain cut or fabric or label—that acted as a secret handshake for
those in the know.
Today, the fashion industry sometimes celebrates the little black dress as an
equal-opportunity fashion—versatile, classic, and chic. But this neutral garment
was never ideologically neutral—nor was it the democratic creation of a
visionary designer. The little black dress marked and mediated social
boundaries, a collaboration between cutting-edge technology and age-old class
politics.
Today, in addition to little black-dress auctions, there are LBD-themed dinner
parties and wine tastings, galas and charity balls. A little black dress has become
a shorthand for instant glamour, promising to disguise both figure flaws and
mundane lives. This blue-collar costume has successfully crossed over. Women
wear little black dresses to feel more like Audrey Hepburn or Princess Diana or
even a model in a Robert Palmer music video. But when they do, those women
also conjure other predecessors: the women who wore them while they balanced
trays, stocked shelves, folded shirts, worked the switchboards, and wrung out
the laundry.
13 octobre 2017
56. 22 juillet 2017
THE IRISH TIMES - Is this the best
collection of ‘little black dresses’ in the
world?
Rare pieces from the greatest of fashion designers at Sothebys’ sale, leather
accessories and hats for the races
Sat, Jul 22, 2017, 06:00
Dominique McMullan, Deirdre McQuillan
Black dresses from the private collection of Didier Ludot in Paris
Up to 140 little black dresses from the private collection of Didier Ludot in Paris will
come up for sale in Sothebys Paris on October 3rd during fashion week. These rare and
important pieces from the greatest of fashion designers, mostly dating from the 1950s, are
from a collection built up over 40 years. Didier Ludot’s boutique in the Palais Royale in
Paris will be well known to lovers of fashion and the haute couture “petites robes noires”
(little black dresses) are from Balenciaga, Balmain, Coco Chanel, Patou, Yohji Yamamoto
and others with estimates ranging from €500-€5,000. The little black dress has, according
to Sothebys “fascinated couturiers, flattered women and enchanted men for nearly a
century” since it made its debut with Chanel in 1926. There are 20 pieces from Christian
Dior alone. Visit sothebys.com
57. 4 octobre 201719/10/2017 A Collection of LBDs from Didier Ludot Just Sold For Over $720K | Observer
http://observer.com/2017/10/didier-ludot-little-black-dresses-broke-records-at-sothebys/ 1/7
A Collection of Little Black
Dresses Just Sold For Over $720K
They say that the little black dress (a.k.a.
the LBD) is the staple of any woman’s
wardrobe, from when it was first
introduced in 1926 to today. A recent
auction at Sotheby’s just proved that
point with some very solid evidence: a
record breaking sale.
It took place on October 3rd, in Paris,
when esteemed vintage fashion
collector Didier Ludot pulled together a
58. 4 octobre 2017
19/10/2017 A Collection of LBDs from Didier Ludot Just Sold For Over $720K | Observer
http://observer.com/2017/10/didier-ludot-little-black-dresses-broke-records-at-sothebys/ 2/7
collection of 160 iconic vintage and
couture pieces, including mostly little
black dresses, plus a few notable
accessories. Spanning a period of 90
years, from 1920 to 2010, the lot
contained celebrated frocks like a piece
from Alexander McQueen‘s first
collection for Givenchy Haute Couture
in 1998 and a Jean Patou dress from 1925
that was displayed in the Metropolitan
Museum’s “China: Through the Looking
Glass” exhibition.
The lots included notable designs from
Hermès, Jeanne Lanvin, Paco Rabanne,
Helmut Lang, Pierre Cardin and
Balenciaga, so you know this Sotheby’s
auction was fodder for fashion lovers of
all kinds. There were also over-the-top
shoes created by Roger Vivier for the
Christian Dior maison.
59. 4 octobre 2017
19/10/2017 A Collection of LBDs from Didier Ludot Just Sold For Over $720K | Observer
http://observer.com/2017/10/didier-ludot-little-black-dresses-broke-records-at-sothebys/ 3/7
“Today I pay tribute to the astonishing
story of the little black dress and to the
designers who wrote its story, a dizzying
tale that finds itself retold in the
catalogue, from the Roaring Twenties to
the new millennium,” Ludot told
Sotheby’s. Well-known for being an
encyclopedia of fashion—and his must-
visit shops in the arcades of the Palais
Royal—Ludot is a fixture on the Parisian
fashion scene.
The priciest item in Ludot’s sale, which
was held in conjunction with Kerry
Taylor Auctions, was an Yves Saint
Laurent dress that dates back to the
fall/winter collection of 1976-1977.
Krystyna Campbell-Pretty scooped up
the black frock for a cool $61K, which
was five times over the estimated price;
she intends to donate her haul to the
National Gallery of Victoria in Australia.
But she’s not the only one who intends
to donate her purchase for the public’s
consumption; the Museo de la Moda y
Textil in Chile was the confirmed buyer
of a Pierre Cardin Haute Couture dress.
The British woman who won the
aforementioned McQueen designed
gown said that she will be donating her
acquisition to a UK museum, while
a rare Balenciaga bridal gown is
reportedly heading to an American
museum, though it’s unclear which one.
60. 4 octobre 2017
19/10/2017 A Collection of LBDs from Didier Ludot Just Sold For Over $720K | Observer
“The results illustrate the timelessness
and enduring quality of the little black
dress…We are delighted with the sale
results, which was a real victory for
taste,” Ludot said afterwards. It’s also a
win for avid consumers of fashion, as it
seems likely that they might be able to
feast their eyes on these magnificent
creations at forthcoming museum
expositions around the globe.
SEE ALSO: These 5 Designers Are
Ruffling Feathers at Paris Haute Couture
63. 17 juillet 2017
EVENTI lunedì 17 luglio 2017
FASHION MAGAZINE.IT - Sotheby’s: all’asta 140 little
black dress
Sotheby’s, celebre casa d’aste del Regno Unito con numerose filiali nel mondo, mette all’asta 140 iconici little
black dress appartenenti alla collezione privata di Didier Ludot, negozio d’antiquariato parigino.
L’asta in agenda il 3 ottobre, realizzata in collaborazione con Kerry Taylor Auctions, offrirà abiti il cui valore
oscilla tra gli 800 e i 5mila euro, creati dai più famosi couturier, a partire dagli anni 20 fino al nuovo millennio
(nella foto, il little black dress di Chanel del 1960, indossato da Delphine Seyrig nel film “L’anno scorso a
Marienbad” di Alain Resnais).
Tra i capi figurano alcuni modelli di Balenciaga, Balmain e Yves Saint Laurentprecedentemente esibiti
al Metropolitan Museum di New York.
All’incanto anche un classico Lanvin del 1938, un abito da cocktail di seta firmato Dior, simbolo della frivolezza
controversa del secondo dopoguerra e un Givenchy dalla schiena scoperta, disegnato nel 1998 da Alexander
McQueen.
Non mancano alcuni complementi del look come le calzature Roger Vivier e una serie di selezionate pelliccie.
a cura della redazione
64. 22 août 2017
MODAES.ES - Macro-subasta de ‘little
black dresses’
La casa de subasta Sotheby’s pondrá a la venta un conjunto de 140 vestidos de negros de marcas
como Dior, que presenta veinte diseños.
22 AGO 2017 — 05:00
Buenas noticias para las fans del little black dress. La casa de subasta Sotheby’s, junto con Kerry
Taylor Auctions, pondrá a la venta 140 artículos de la pieza de vestir icónica el próximo otoño.
Las prendas de ropa tienen una antigüedad de hasta los años veinte. Entre las enseñas que se
pondrán a la venta se encuentran veinte vestidos de Dior, propiedad del coleccionista Didier
Ludot, Chanel o Jean Patou.
El rango de precios por los que saldrán a subasta va de los 800 euros a los 5.000 euros. Algunas de las
piezas que se presentarán han estado expuestas en museos como el Met, en alguna de sus
exposiciones anuales dedicadas a la moda.
65. 22 septembre 2017
París, Francia | AFP.
Más de 140 vestidos negros diseñados por los grandes creadores entre 1920 y los
años 2000 serán subastados el 3 de octubre en París, celebrando la intemporalidad
de esta elegante prenda femenina.
Los vestidos, subastados por la casa Sotheby's, proceden de la colección personal
del francés Didier Ludot, "anticuario de la moda" y especialista de esta pieza,
consagrada por Gabrielle Chanel en 1926.
Las estimaciones oscilan entre 500 y 5.000 euros (600 y 6.000 dólares).
"El vestido negro es mucho más que una prenda de vestir. Es el símbolo del chic
parisino, un modelo absoluto de refinamiento, una armadura sensual en la que se
deslizan generaciones de mujeres", explicó Didier Ludot.
Las prendas a la venta, en colaboración con la casa Kerry Taylor Auctions, fueron
creadas entre 1921 y 2010 por los diseñadores más célebres, de Chanel a Marc
Vaughan, pasando por Christian Dior, Jean Patou, Balenciaga, Yves Saint Laurent,
Pierre Balmain, Yohji Yamamoto y Alexander McQueen.
Entre los lotes más antiguos, destaca una creación de Givenchy en satén duquesa
(1956-1957), estimada entre 1.800 y 2.500 euros, y un vestido cóctel en faya de
seda de Christian Dior por Yves Saint Laurent (1960-1961), valorada entre 1.200 y
1.500 euros.
De los años 1950-1960, resalta una prenda en muselina de seda de Chanel, idéntica
a la que llevó Deplhine Seyrig en la película "El año pasado en Marienbad" de Alain
Resnais y estimada entre 2.500 y 3.000 euros. También un elegante vestido de
Balenciaga, con bordados en forma de claveles (3.000 y 5.000 euros).
Sotheby's ya organizó en julio de 2015 una primera venta de 150 prendas de la
colección de Ludot.
70. 22 septembre 2017
Publicado por
Bernardita Villa
| La Información es de
Agence France-Presse
Más de 140 vestidos negros diseñados por los grandes creadores entre 1920 y los años 2000
serán subastados el 3 de octubre en París, celebrando la intemporalidad de esta elegante
prenda femenina.
Los vestidos, subastados por la casa Sotheby’s, proceden de la colección personal del
francésDidier Ludot, “anticuario de la moda” y especialista de esta pieza, consagrada por
Gabrielle Chanel en 1926.
Las estimaciones oscilan entre 500 (más de 370 mil pesos chilenos) y 5.000 euros (casi
cuatro millones de pesos chilenos).
“El vestido negro es mucho más que una prenda de vestir. Es el símbolo del chic parisino, un
modelo absoluto de refinamiento, una armadura sensual en la que se deslizan generaciones
de mujeres”, explicó Didier Ludot.
Las prendas a la venta, en colaboración con la casa Kerry Taylor Auctions, fueron creadas
entre 1921 y 2010 por los diseñadores más célebres, de Chanel a Marc Vaughan, pasando
por Christian Dior, Jean Patou, Balenciaga, Yves Saint Laurent, Pierre Balmain, Yohji
Yamamoto y Alexander McQueen.
Entre los lotes más antiguos, destaca una creación de Givenchy en satén duquesa (1956-
1957), estimada entre 1.800 y 2.500 euros, y un vestido cóctel en faya de seda de Christian
Dior por Yves Saint Laurent (1960-1961), valorada entre 1.200 y 1.500 euros.
De los años 1950-1960, resalta una prenda en muselina de seda de Chanel, idéntica a la que
llevó Deplhine Seyrig en la película “El año pasado en Marienbad” de Alain Resnais y
estimada entre 2.500 y 3.000 euros. También un elegante vestido de Balenciaga, con
bordados en forma de claveles (3.000 y 5.000 euros).
Sotheby’s ya organizó en julio de 2015 una primera venta de 150 prendas de la colección de
Ludot.
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