Portrait statistique des entreprises du spectacle vivantLa French Team
L’Observatoire de la CPNEF-SV publie un portrait statistique intitulé « Entreprises et entrepreneurs de spectacle vivant », qui présente les principaux indicateurs : volume, évolution, taille, ancienneté, statut juridique… Il montre notamment que la tendance est à la pérennisation (71 % des entreprises ont plus de 5 ans d’ancienneté en 2013).
Ce document présente les résultats de l'exercice 2016 des régimes Agirc et Arrco ainsi que l'historique des paramètres et des séries statistiques.
Sont successivement passés en revue :
- les paramètres (taux de cotisation, valeur de point, salaires de référence, rendement),
- les cotisants et salaires (nombre de cotisants, répartition par âge, lieu de travail, leurs salaires),
- les assiettes salariales
- les droits (affiliés, droits acquis par âge)
- les retraités et pensions (nombre de retraités, par type de droit, nombre de réversion, âge moyen de départ en retraite, montant annuel moyen des pensions, bénéficiaires d'une majoration, régimes de base des nouveaux retraités),
- les factures au tiers (AGFF, Unédic, Etat),
- les états réglementaires (effectif par institution, entreprise cotisantes. nombre d'allocataires...)
A s’en tenir aux données de l’année 2018, le ralentissement de l’économie française, est limité.
Plusieurs indicatifs sont à des niveaux positifs :
Les créations nettes d’emplois sont en baisse par rapport à 2017, mais restent supérieures aux niveaux atteints en 2015 et 2016.
L’industrie manufacturière, qui était le principal secteur victime de pertes d’emplois en 2009, reste à un bon niveau. La plupart des secteurs industriels ont évolué positivement si l’on compare deux périodes, 2009-2013 et 2014-2018. Les ouvertures d’usines restent supérieures aux fermetures en 2018.
Les startups atteignent un montant record de levées de fonds.
Le secteur des banques et de l’assurance sort du rouge et crée des emplois, pour la première fois depuis 2013.
Malgré cela, quelques signes sont inquiétants.
En valeur absolue, la dégradation des créations d’emplois, 28 000 créations nettes en moins par rapport à 2017, est la plus forte depuis 2009. Une part importante de cette dégradation est liée au secteur du commerce.
En fin d’année, les trois derniers mois ont vu notre indicateur usines se dégrader et passer en négatif.
L’analyse du comportement des entreprises du CAC 40 montre que la situation difficile de l’emplois peut provenir plus d’une langueur à investir que d’une ardeur à supprimer des emplois.
Au vu de l’ensemble de ces points, il est difficile de prédire si 2019 sera une année de reprise, après une pause en 2018, ou si la baisse de régime de 2018 se prolongera, voire s’amplifiera, en 2018.
Une bonne raison pour suivre en continu nos données tout au long de l’année…
La 8ème vague du baromètre annuel « Fractures françaises » réalisée par Ipsos/Sopra Steria pour Le Monde, le CEVIPOF, La Fondation Jean-Jaurès et l’Institut Montaigne met en évidence les grandes lignes de clivage qui traversent la société française.
En savoir plus : http://bit.ly/fractures-francaises-2020
Portrait statistique des entreprises du spectacle vivantLa French Team
L’Observatoire de la CPNEF-SV publie un portrait statistique intitulé « Entreprises et entrepreneurs de spectacle vivant », qui présente les principaux indicateurs : volume, évolution, taille, ancienneté, statut juridique… Il montre notamment que la tendance est à la pérennisation (71 % des entreprises ont plus de 5 ans d’ancienneté en 2013).
Ce document présente les résultats de l'exercice 2016 des régimes Agirc et Arrco ainsi que l'historique des paramètres et des séries statistiques.
Sont successivement passés en revue :
- les paramètres (taux de cotisation, valeur de point, salaires de référence, rendement),
- les cotisants et salaires (nombre de cotisants, répartition par âge, lieu de travail, leurs salaires),
- les assiettes salariales
- les droits (affiliés, droits acquis par âge)
- les retraités et pensions (nombre de retraités, par type de droit, nombre de réversion, âge moyen de départ en retraite, montant annuel moyen des pensions, bénéficiaires d'une majoration, régimes de base des nouveaux retraités),
- les factures au tiers (AGFF, Unédic, Etat),
- les états réglementaires (effectif par institution, entreprise cotisantes. nombre d'allocataires...)
A s’en tenir aux données de l’année 2018, le ralentissement de l’économie française, est limité.
Plusieurs indicatifs sont à des niveaux positifs :
Les créations nettes d’emplois sont en baisse par rapport à 2017, mais restent supérieures aux niveaux atteints en 2015 et 2016.
L’industrie manufacturière, qui était le principal secteur victime de pertes d’emplois en 2009, reste à un bon niveau. La plupart des secteurs industriels ont évolué positivement si l’on compare deux périodes, 2009-2013 et 2014-2018. Les ouvertures d’usines restent supérieures aux fermetures en 2018.
Les startups atteignent un montant record de levées de fonds.
Le secteur des banques et de l’assurance sort du rouge et crée des emplois, pour la première fois depuis 2013.
Malgré cela, quelques signes sont inquiétants.
En valeur absolue, la dégradation des créations d’emplois, 28 000 créations nettes en moins par rapport à 2017, est la plus forte depuis 2009. Une part importante de cette dégradation est liée au secteur du commerce.
En fin d’année, les trois derniers mois ont vu notre indicateur usines se dégrader et passer en négatif.
L’analyse du comportement des entreprises du CAC 40 montre que la situation difficile de l’emplois peut provenir plus d’une langueur à investir que d’une ardeur à supprimer des emplois.
Au vu de l’ensemble de ces points, il est difficile de prédire si 2019 sera une année de reprise, après une pause en 2018, ou si la baisse de régime de 2018 se prolongera, voire s’amplifiera, en 2018.
Une bonne raison pour suivre en continu nos données tout au long de l’année…
La 8ème vague du baromètre annuel « Fractures françaises » réalisée par Ipsos/Sopra Steria pour Le Monde, le CEVIPOF, La Fondation Jean-Jaurès et l’Institut Montaigne met en évidence les grandes lignes de clivage qui traversent la société française.
En savoir plus : http://bit.ly/fractures-francaises-2020
La durée de chômage baisse au 4e trimestre 2018France Travail
Au 4e trimestre 2018, la durée d’inscription à Pôle emploi, mesurée à partir de l’indicateur conjoncturel de durée au chômage (ICDC) diminue et s’établit à 374 jours, en baisse de 12 jours par rapport au trimestre précédent.
L'Insee a publié, le 24 janvier 2017, des données sur les créations d'entreprises en 2016.
Selon l'Insee, en 2016, 554 000 entreprises ont été créées en France, soit 6% de plus qu'en 2015.
Les créations d’entreprises individuelles classiques et celles de sociétés augmentent fortement (+ 10 %). En revanche, les immatriculations de micro-entrepreneurs sont en léger recul (– 0,3 %). Avec un accroissement des créations de 56 % en 2016, le secteur « transports et entreposage » contribue pour près de la moitié à la hausse générale.
Ainsi, selon les données de l'Insee, la plus forte hausse depuis 6 ans, est portée par le secteur des transports.
Au 3e trimestre 2018, la durée d’inscription à Pôle emploi, mesurée à partir de l’indicateur conjoncturel de durée au chômage (ICDC) augmente légèrement et s’établit à 396 jours, en hausse de 4 jours par rapport au trimestre précédent.
Au 4e trimestre 2016, la durée d’inscription à Pôle emploi, mesurée à partir de l’indicateur conjoncturel de durée au chômage (ICDC) s’établit à 353 jours. Si la conjoncture économique de ce trimestre se maintenait, un demandeur d’emploi resterait, en moyenne, inscrit moins de 12 mois consécutifs à Pôle emploi. Après une hausse au trimestre précédent, l’indicateur reprend sa tendance à la baisse depuis le point haut du 2e trimestre 2015.
Le raccourcissement de la durée moyenne d’inscription au sens de l’ICDC bénéficie à presque toutes les catégories de population.
Sur le trimestre, cette amélioration des conditions de retour à l’emploi profite autant aux femmes (-14 jours) qu’aux homme (-11 jours).
Seuls les demandeurs d’emploi âgés de 50 ans ou plus restent pénalisés par un allongement de leur durée moyenne de chômage (+51 jours sur le trimestre).
Parmi les catégories socio-professionnelles, seuls les cadres voient leur indicateur de durée de chômage augmenter (+19 jours sur le trimestre).
Les fins de mission d’intérim et les fins de CDD sont les seuls motifs d’inscription (avec les autres cas) qui bénéficient de la réduction de la durée moyenne de chômage (respectivement -24 jours et -9 jours sur les 3 derniers mois).
La durée de chômage augmente au 1er trimestre 2019France Travail
Au premier trimestre 2019, la durée d’inscription à Pôle emploi, mesurée à partir de l’indicateur conjoncturel de durée au chômage (ICDC) s’établit à 376 jours.
Une publication annuelle de référence qui vise à éclairer l’action des pouvoirs publics et le débat social en fournissant un panorama des données relatives à l’environnement socio-économique régional.
La durée de chômage baisse au 4e trimestre 2018France Travail
Au 4e trimestre 2018, la durée d’inscription à Pôle emploi, mesurée à partir de l’indicateur conjoncturel de durée au chômage (ICDC) diminue et s’établit à 374 jours, en baisse de 12 jours par rapport au trimestre précédent.
L'Insee a publié, le 24 janvier 2017, des données sur les créations d'entreprises en 2016.
Selon l'Insee, en 2016, 554 000 entreprises ont été créées en France, soit 6% de plus qu'en 2015.
Les créations d’entreprises individuelles classiques et celles de sociétés augmentent fortement (+ 10 %). En revanche, les immatriculations de micro-entrepreneurs sont en léger recul (– 0,3 %). Avec un accroissement des créations de 56 % en 2016, le secteur « transports et entreposage » contribue pour près de la moitié à la hausse générale.
Ainsi, selon les données de l'Insee, la plus forte hausse depuis 6 ans, est portée par le secteur des transports.
Au 3e trimestre 2018, la durée d’inscription à Pôle emploi, mesurée à partir de l’indicateur conjoncturel de durée au chômage (ICDC) augmente légèrement et s’établit à 396 jours, en hausse de 4 jours par rapport au trimestre précédent.
Au 4e trimestre 2016, la durée d’inscription à Pôle emploi, mesurée à partir de l’indicateur conjoncturel de durée au chômage (ICDC) s’établit à 353 jours. Si la conjoncture économique de ce trimestre se maintenait, un demandeur d’emploi resterait, en moyenne, inscrit moins de 12 mois consécutifs à Pôle emploi. Après une hausse au trimestre précédent, l’indicateur reprend sa tendance à la baisse depuis le point haut du 2e trimestre 2015.
Le raccourcissement de la durée moyenne d’inscription au sens de l’ICDC bénéficie à presque toutes les catégories de population.
Sur le trimestre, cette amélioration des conditions de retour à l’emploi profite autant aux femmes (-14 jours) qu’aux homme (-11 jours).
Seuls les demandeurs d’emploi âgés de 50 ans ou plus restent pénalisés par un allongement de leur durée moyenne de chômage (+51 jours sur le trimestre).
Parmi les catégories socio-professionnelles, seuls les cadres voient leur indicateur de durée de chômage augmenter (+19 jours sur le trimestre).
Les fins de mission d’intérim et les fins de CDD sont les seuls motifs d’inscription (avec les autres cas) qui bénéficient de la réduction de la durée moyenne de chômage (respectivement -24 jours et -9 jours sur les 3 derniers mois).
La durée de chômage augmente au 1er trimestre 2019France Travail
Au premier trimestre 2019, la durée d’inscription à Pôle emploi, mesurée à partir de l’indicateur conjoncturel de durée au chômage (ICDC) s’établit à 376 jours.
Une publication annuelle de référence qui vise à éclairer l’action des pouvoirs publics et le débat social en fournissant un panorama des données relatives à l’environnement socio-économique régional.
Si la baisse de la productivité est effective dans toutes les économies développées... elle est particulièrement marquée en France. Au niveau national, cet essoufflement touche tous les secteurs, et plus particulièrement celui de l’industrie, usuellement caractérisé par des gains de productivité élevés. Depuis la crise Covid, le secteur industriel contribue pour 35 % environ à cette perte, alors qu’il ne représente que 9,3 % de la valeur ajoutée nationale brute en 2023. Dans ce contexte, est-il possible de mener une politique de réindustrialisation du pays sans y associer un objectif de hausse des gains de productivité ?Non rappelle ce Cube. Au contraire, ces deux objectifs, jusqu’alors indépendants l’un de l’autre, sont désormais deux défis à relever conjointement. En analysant les différents explications à la baisse de celle-ci observée en France et dans les autres économies développées, ce Cube suggère que l’augmenter en parallèle d’une politique de réindustrialisation sous-entend une réallocation des facteurs de production vers les entreprises industrielles à fort potentiel. Elle suppose également une une meilleure affectation des ressources.
Dans un contexte où la transmission et l'installation d'agriculteurs sont des enjeux cruciaux pour la profession agricole, de nouveaux agriculteurs s'installent chaque année et, parmi eux, certains Bac+5 ou plus. Les cursus des écoles d'ingénieurs n'ont pas vocation à former de futurs agriculteurs. Pourtant, certains apprenants ayant suivi ces cursus BAC + 5, qu'ils soient ou non issus du milieu agricole, tentent l'aventure de l'entrepreneuriat agricole. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs motivations et visions ? Comment travaillent-ils ?
Webinaire Qui sont les jeunes installés avec un bac +5 ?
Statistiques du barreau de Liège 18 19
1. 1
Statistiques 2019 du barreau de Liège
REMARQUES LIMINAIRES
Contrairement à l’étude 2013 d’avocats.be, il ne s’agit pas d’un baromètre mais de statistiques. Elles aboutissent à des chiffres plus
fiables (voy. par exemple la moyenne de la taille des cabinets liégeois fixée à 14 membres dans le baromètre et à 3 membres selon
nos statistiques). Cela doit toutefois être nuancé par le fait que certaines données sont inférées (parfois manuellement) parce
qu’elles n’ont pas fait l’objet d’une collecte explicite (essentiellement les associations qui sont inférées des adresses postales,
numéros de téléphone et BP quand elles ne résultent pas d’une communication explicite) ou parce que nous n’avons pas un outil
moderne. Ce rapport suggère donc la collecte de nouvelles données et de nouvelles fonctionnalités du logiciel de gestion.
Ces statistiques sont possibles du fait qu’elles sont autorisées par les membres du barreau chaque année par leur adhésion à notre
police vie privée.
NOMBRE et DENSITÉ D’AVOCATS PAR ARRONDISSEMENT JUDICIAIRE
(chiffres issus de la base de données et du baromètre d’avocats.be)
Au 17 juin 2019, le barreau de Liège compte 940 avocats (+4 ou augmentation de 0,4 %, par rapport au 15 juin 2018).
2016 2018 2019
Avocats
/100.000
habitants1
2016
Avocats
/100.000
habitants
2018
Avocats
/100.000
habitants
2019
Progression
entre
2013/2016
Progression
entre
2016/2018
Progression
entre
2018/2019
Huy 113 115 108 101 107 100 10,78% 1,76% -6,08%
Liège 951 936 940 153 150 151 1,38% -1,47% 0,42%
Verviers 137 138 133 48 49 47 0% 0,72% -3,62%
1
En fonction de l’arrondissement
3. 3
Ancienneté par tranches de 10 ans :
Pour l’anecdote, la plus ancienne d’entre nous a 86 ans et 62 ans de barreau !
Depuis l’année passée, la 1ère tranche gagne une 10aine d’unités, la 2ème tranche en perd 4, la 3ème tranche en gagne 5, la 4ème
tranche en perd 2 et la dernière en perd 7.
L’ancienneté moyenne est de 19 ans (=), 14 ans pour les femmes (=) et 23 ans pour les hommes (-1).
L’âge moyen est de 42 ans (-2), 35 ans chez les femmes (-4) et 49 ans chez les hommes (=).
346
168
175
170
92
331
203
168
161
73
343
199
173
159
66
0 50 100 150 200 250 300 350 400
0 - 10
11 - 20
21 - 30
31 - 40
41+
Nombre d'avocats
Tranchesd'âge
2019 2018 2016
4. 4
Ancienneté par sexe
Le barreau compte 431 femmes (-1) et 509 hommes (+5), soit 45,85 % de femmes (- 0,30 %), mais les femmes sont majoritaires
jusqu’à 22 ans d’ancienneté (le même âge que l’année passée). La moitié des femmes ont moins de dix ans d’exercice, tandis que la
moitié des hommes en ont moins de 24.
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10111213141516171819202122232425262728293031323334353637383940414243444546474849505152535962
Femmes 28292118172318201117142018 6 6 15 7 7 8 10 6 9 5 8 6 10 3 6 5 5 2 8 4 3 3 5 6 7 4 1 1 3 1 1 1 2 0 0 1 0 0 0 0 1 0 1
Hommes 2012 9 1611 4 8 15 9 14 9 9 9 9 6 1211 9 7 17 7 14 9 101412 7 9 161211 9 13 9 1710131115 9 11 4 9 10 5 7 7 2 2 1 3 2 1 1 1 0
28
29
21
18
17
23
18
20
11
17
14
20
18
6 6
15
7 7
8
10
6
9
5
8
6
10
3
6
5 5
2
8
4
3 3
5
6
7
4
1 1
3
1 1 1
2
0 0
1
0 0 0 0
1
0
1
20
12
9
16
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9 9 9 9
6
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9
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9
13
9
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13
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9
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4
9
10
5
7 7
2 2
1
3
2
1 1 1
0
-10
-5
0
5
10
15
20
25
30
35
Ancienneté
Femmes Hommes Linéaire (Femmes) Linéaire (Hommes)
10. 10
Activités préférentielles et spécialités
Notre barreau compte 57 spécialistes (+16), dont 26 ont une double spécialité (+5), sur 940 membres, soit 6 %.
335 avocats ne déclarent pas d’activités préférentielles (-19) :
Oui
64%
Non
36%
Activités préférentielles déclarées
11. 11
Le top 5 est : 1. Responsabilité, assurance, circulation routière | 2. Droit des personnes | 3. Droit des biens | 4. Droit commercial | 5.
Droit pénal
0 50 100 150 200 250 300 350 400 450
20 Droit des médias
14 Droit humanitaire
08 Droit des transports / 08.01 droit du transport terrestre / 08.03 droit du…
17 Droit des technologies de l'information et de la communication
16 Droit de l'Union européenne / 16.01 droit de la concurrence
15 Droit international / 15.01 droit international privé / 15.02 droit…
21 Droit du sport
09 Droits intellectuels / 09.01 droits d'auteur / 09.02 droit des brevets,…
19 Droit médical / 19.01 droit de la responsabilité médicale / 19.02 droit…
18.01 Conseil en médiation / 18.02 Médiateur agréé en matière familiale /…
22.01 droits de l'homme / 22.02 droit pénal international / 22.03 droit…
11 Droit fiscal / 11.01 impôts directs / 11.02 impôts indirects
05 Droit judiciaire / 05.01 saisies et voies d'exécution / 05.02 arbitrage /…
04 Droit de la construction
10 Droit social / 10.01 droit du travail / 10.02 droit de la sécurité sociale
13 Droit public / 13.01 droit constitutionnel / 13.02 droit administratif /…
06 Sociétés et personnes morales / 06.01 droit des sociétés / 06.02 droit des…
12 Droit pénal / 12.01 droit pénal général / 12.02 droit pénal des affaires
07 Droit commercial / 07.01 droit des contrats et de la distribution / 07.02…
02 Droit des biens / 02.01 propriété, servitudes et autres droits réels / 02.02…
01 Droit des personnes / 01.01 droit de la famille / 01.02 droit patrimonial de…
03 Responsabilité, assurances, circulation routière / 03.01 responsabilité…
12. 12
Chiffre d’affaire net (au sens du règlement relatif au calcul de la cotisation)
En 2019, les catégories ont été revues :
- Anciennes catégories : « Sans activité », « T1 <40.000 », « T2 40.000<60.000 », « T3 60.000<85.000 », « T4 85.000<143.000 »
et « T5 >143.000 », « T6 pas déclaré »
- Nouvelles catégories : « T1 <60.000 », « T2 60.000<120.000 », « T3 >120.000 », « T6 pas déclaré »
Seule l’ancienne T4 pose problème dans les nouvelles catégories, je l’ai donc divisée dans les nouvelles catégories à raison de 60%
en T2 et 40 % en T3 en fonction du calcul suivant :
120 - 85 = 35 | 143 - 120 = 23 |35 + 23 = 58
35 = 60% de 58 |23 = 40% de 58
Il n’y a plus de catégorie « sans activité », il n’y a donc plus de statistiques, ni de modifications du graphique, à ce propos.
Les 170 (+16) qui ne font pas de déclaration ne sont pas nécessairement les plus riches. Parfois, ce sont des négligents qui ont du
mal à nouer les 2 bouts mais je dois tous les considérer ici comme ayant un CA Net >120.000 € :
13. 13
550 (-16) avocats (dont 165 (+7) stagiaires) ont un « chiffre d’affaire net » inférieur à 60.000 €.
58.5 % (-0.9%) du barreau a un CA net inférieur à 60.000 €.
En un an, 6 confrères en moins ont un CA net de moins de 40, les confrères ayant un CA net entre 60 et 120 ont augmenté de 36.
La TVA semble commencer à toucher les avocats, les confrères ayant un CA « net » de plus de 120.000 continue à chuter (-23).
532
170
246
556
162
224
550
198
201
0 100 200 300 400 500 600
T1 <60.000
T2 60.000<120.000
T3 >120.000
Avocats
FourchettesdeCA"net" CA "net"
2018
2017
2016
14. 14
T1 <60.000; 550; 58%
T2 60.000<120.000;
198; 21%
T3 >120.000; 201; 21%
CA "NET"
15. 15
BAJ
Les bajistes forment 49% (+2%) du barreau, pour 47% en 2018 et 62% en 2017.
7.275.727,15 € ont été distribués à 462 bajistes mais 46 avocats seulement se partagent la moitié de cette somme, à concurrence
d’indemnités allant de 42.000 € à 682.000 €.
60 % des bajistes reçoivent des indemnités inférieures à 10.000 €.
(La moyenne des indemnités est de 15.748 €).
Oui
49%
Non
51%
BAJ 2017
0
100
200
300
400
500
600
Nombre d'avocats bajistes
595
441 462
2016
2017
2018
18. 18
Localisation des cabinets
80 % des cabinets sont localisés en ville :
Cinq confrères ont un cabinet secondaire respectivement au Rwanda (2), en Allemagne (3).
4000
56%
4020
20%
4030 - 4031
4%
Autres
20%
Localisation
20. 20
Langues
La majorité des avocats du barreau n’est pas bilingue :
Les langues étrangères les plus parlées sont l’anglais, le néerlandais, et l’allemand.
Quelques avocats parlent l’italien, le polonais, l’espagnol, l’arabe, le roumain, le persan et le turc.
Il faut encore vraisemblablement diminuer ces chiffres, la déclaration (à l’inscription, en général) de l’anglais ou du néerlandais
comme langue pratiquée étant souvent justifiée par une formation scolaire, souvent insuffisante.
Oui; 419; 45%
Non; 521; 55%
Bilingues ou +
22. 22
Moyens de communication
1 (-1) avocat n’a pas d’adresse de courriel 160 avocats (-13) ont une boite palais
Les chiffres des boites palais ont considérablement chutés, même si le nombre est presque équivalent à celui de l’année passée.
À peine un cinquième (17 %) d’avocats ont encore une boite palais, contre 18% l’année passée et 37 % auparavant.
592 avocats (+20) ont un site web
Oui; 939;
100%
Non; 1; 0%
Adresse de courriel
Oui
17%
Non
83%
B.P.
Oui
63%
Non
37%
Site web