Le Gimélec, accélérateur des transition énergétique et numérique
À l’occasion des élections présidentielles et législatives de mai et juin 2017, le Gimélec a souhaité rappeler dans son rapport d’activité les propositions de valeur des entreprises qu’il fédère.
Au croisement des technologies de l’électricité, de l’automatisation et du numérique, et présentes dans tous les secteurs de l’économie, nos entreprises sont porteuses de solutions essentielles pour accélérer les transitions énergétique et numérique et faire en sorte que la France en recueille tous les fruits :
• Les technologies de l’industrie du futur, grâce au numérique, permettent à nos PME industrielles de gagner en compétitivité.
• Les systèmes électriques intelligents facilitent l’intégration des énergies renouvelables, favorisent la maîtrise de la demande d’énergie et la flexibilité, limitent le recours à des sources de production carbonées et optimisent les investissements dans les réseaux.
• Les bâtiments, désormais connectés, réduisent leur empreinte environnementale, offrent de nouveaux services à leurs occupants et deviennent un élément de flexibilité du système énergétique.
• Les data centers, infrastructures essentielles à la performance et à la disponibilité des services numériques, se déploient sur l’ensemble du territoire national pour assurer le développement de l’économie numérique tout en maîtrisant leurs consommations d’énergie et de ressources.
• Le véhicule électrique associé à des solutions de recharge intelligente révolutionne la mobilité en réduisant drastiquement nos émissions de CO2 tout en permettant d’auto-consommer une production locale d’énergie renouvelable.
Start-ups et PMI : au cœur de la décarbonation du système énergétique dans le...Gimélec
Récupération de chaleur industrielle, gestion intelligente de l'éclairage public, climatisation solaire réversible, panneaux solaires hybrides produisant électricité et eau chaude sanitaire, centrales solaires à concentration, valorisation des déchets organiques par méthanisation : startups et PME industrielles proposent de nombreuses solutions innovantes pour une industrie, des bâtiments et des transports moins émetteurs de gaz à effet de serre. Compétitives et créatrices d’emplois locaux, ces solutions participent à la mise en œuvre d’une stratégie énergétique à l’échelle locale.
Le collectif France Green Industries organisait le 7 décembre 2015, dans le cadre de la COP21 (Espaces Générations Climat), une conférence-débat consacrée au rôle central des startups et des PMI dans la décarbonation du système énergétique dans les territoires.
Le Gimélec, accélérateur des transition énergétique et numérique
À l’occasion des élections présidentielles et législatives de mai et juin 2017, le Gimélec a souhaité rappeler dans son rapport d’activité les propositions de valeur des entreprises qu’il fédère.
Au croisement des technologies de l’électricité, de l’automatisation et du numérique, et présentes dans tous les secteurs de l’économie, nos entreprises sont porteuses de solutions essentielles pour accélérer les transitions énergétique et numérique et faire en sorte que la France en recueille tous les fruits :
• Les technologies de l’industrie du futur, grâce au numérique, permettent à nos PME industrielles de gagner en compétitivité.
• Les systèmes électriques intelligents facilitent l’intégration des énergies renouvelables, favorisent la maîtrise de la demande d’énergie et la flexibilité, limitent le recours à des sources de production carbonées et optimisent les investissements dans les réseaux.
• Les bâtiments, désormais connectés, réduisent leur empreinte environnementale, offrent de nouveaux services à leurs occupants et deviennent un élément de flexibilité du système énergétique.
• Les data centers, infrastructures essentielles à la performance et à la disponibilité des services numériques, se déploient sur l’ensemble du territoire national pour assurer le développement de l’économie numérique tout en maîtrisant leurs consommations d’énergie et de ressources.
• Le véhicule électrique associé à des solutions de recharge intelligente révolutionne la mobilité en réduisant drastiquement nos émissions de CO2 tout en permettant d’auto-consommer une production locale d’énergie renouvelable.
Start-ups et PMI : au cœur de la décarbonation du système énergétique dans le...Gimélec
Récupération de chaleur industrielle, gestion intelligente de l'éclairage public, climatisation solaire réversible, panneaux solaires hybrides produisant électricité et eau chaude sanitaire, centrales solaires à concentration, valorisation des déchets organiques par méthanisation : startups et PME industrielles proposent de nombreuses solutions innovantes pour une industrie, des bâtiments et des transports moins émetteurs de gaz à effet de serre. Compétitives et créatrices d’emplois locaux, ces solutions participent à la mise en œuvre d’une stratégie énergétique à l’échelle locale.
Le collectif France Green Industries organisait le 7 décembre 2015, dans le cadre de la COP21 (Espaces Générations Climat), une conférence-débat consacrée au rôle central des startups et des PMI dans la décarbonation du système énergétique dans les territoires.
Systèmes d'Information Energétique (SIE) : Engager une démarche d'efficacité ...Gimélec
A l’occasion d’Interclima+Elec, présentation des avantages des SIE en termes de :
- réduction et contrôle des dépenses de fonctionnement,
- réalisation de rapports sur la performance énergétique d'un bâtiment,
- validation du retour sur investissement des projets d'efficacité énergétique.
Concevoir et exploiter des BEPOS flexibles et connectés au réseau Gimélec
A l'occasion d'Interclima+Elec, intervention sur les bénéfices des bâtiments à énergie positive (BEPOS) - éléments de flexibilité du système électrique, réponse à la variabilité des EnR - et le rôle de la gestion active pour l'optimisation dynamique des consommations énergétiques.
Efficacité des ressources des Data Centers : 10 ans de travail collaboratifGimélec
A l'occasion d'Interclima+Elec, intervention des constructeurs sur les actions entreprises au cours des 10 dernières années pour améliorer l'efficacité des ressources des data centers et présentation des futurs enjeux.
Les solutions de collecte et traitement disponibles pour les DEEE du bâtimentGimélec
A l'occasion d'Interclima+Elec, interventions des entreprises sur leur démarche collective et de l'éco-organisme Récyclum sur les solutions mises en place et l'expérience Démoclès.
Data Center Resource Efficiency : a 10-year collaborative effortGimélec
Les Data Centers sont généralement considérés comme d’importants consommateurs de ressources, d’énergie en particulier. Cependant, pour répondre à la forte croissance du trafic de données, l’industrie des Data Centers s’est mobilisée très tôt, aux côtés des organismes de normalisation et des administrations, pour améliorer l’efficacité des Data Centers dans l’utilisation des ressources. Cette courte publication du Comité de marché Data Centers fait le point sur dix ans de travail des équipementiers en faveur de l’efficacité énergétique des Data Centers, exemples à l’appui.
Présentation du Guide Gimélec de reporting RSE au Colloque "La RSE en Actes" ...Gimélec
La Plateforme RSE, rattachée à France Stratégie, et le Conseil économique, social et environnemental (CESE) a organisé le 17 novembre de 8h00 à 18h30 un colloque intitulé « La RSE en actes ». Cet événement a permis un échange autour des propositions formulées par les institutions sollicitées par le gouvernement sur la RSE et de débattre de ce que devrait être un Plan National d’Action ambitieux en matière de RSE.
Le Gimélec est intervenu pour présenter son Guide sectoriel de reporting RSE, publié en 2014 dans le but d’aider toutes les entreprises qui veulent construire leur reporting RSE en conformité avec la loi Grenelle 2. Les membres de Gimélec sont fortement engagés dans une réflexion sur le développement durable et la responsabilité sociétale, notamment au travers de leur Commission développement durable.
Systèmes d'information énergétique : Recommandations pour les décideursGimélec
Contexte réglementaire (fin des tarifs réglementés de vente, obligation d’audit énergétique…) et hausse des factures énergétiques incitent les entreprises et les collectivités à maîtriser les consommations de leur parc immobilier. Afin d’accompagner les décideurs dans cette démarche, le Gimélec publie un recueil de recommandations pour la mise en œuvre de systèmes d’information énergétique (SIE). En décrivant les fonctions et principaux bénéfices apportés par les SIE, ce document montre que leur mise en œuvre est partie intégrante de toute démarche d’efficacité énergétique dans les bâtiments.
Ce rapport offre un condensé des actions menées en 2013 par le Gimélec sur les marchés de l’Energie, du Bâtiment, de l’Industrie et de la Distribution basse tension. Il présente également les activités transverses de notre Groupement : adaptation de l’offre de formation à la numérisation de l’énergie, consolidation de notre présence dans les organismes de normalisation, mobilisation en faveur d’évolutions législatives porteuses d’une politique d’efficacité énergétique volontariste, notamment.
Gimélec : des industriels au service de l’intelligence énergétiqueGimélec
Le Gimélec fédère 200 entreprises qui fournissent des solutions électriques et d’automatismes sur les marchés de l’énergie, du bâtiment, de l’industrie, des Data Centers et des infrastructures.
Deciding where to locate your future Datacenter is the first strategic decision for any company seeking to optimize the value of its investment and secure its asset on a long term basis.
This is a strategic equation that needs a careful due diligence process to assess critical factors. Among them are political stability, security, competitive and growing market, international laws and compliance, and many other key benefits such as cost, engineering capabilities, availability and quality of power, fibre connectivity, tax incentives...
FRANCE provides significant guarantees and advantages to ensure successful strategic investments.
Photovoltaïque : normes et règlements, premiers retours experience
Tablomag n°7 12/2012
1. TABL MAG’L’actualité du tableau de distribution basse tension - No
07 - 12/2012
M a g a z i n e é d i t é p a r l e s c o n s t r u c t e u r s d e t a b l e a u x d e d i s t r i b u t i o n b a s s e t e n s i o n
La griffe
de l’exigence
Également dans ce numéro :
Valider les propriétés
diélectriques du tableau (2) :
Lignes de fuites
et tensions d’isolement
Votre tableau :
le cœur et le cerveau
de l’installation électrique
2. 2 n˚07
Dans les éditions précédentes de
tablomag, nous avons présenté les
contraintes mécaniques et ther-
miques liées au courant. En complé-
ment du n°6 consacré aux contraintes
diélectriques, il est proposé d’aborder
celles liées aux tensions d’isolement,
lignes de fuites et à l’isolation solide.
La ligne de fuite est la plus courte dis-
tance cheminant le long d’un isolant
entre :
• deux conducteurs actifs ;
• un conducteur actif et la masse.
La longueur de la ligne de fuite est dé-
terminée principalement par quatre
paramètres :
• la tension d’isolement (Ui),
• la nature du support isolant
(groupe de matériau),
• le degré de pollution environnant,
• la présence de rainures ou de
nervures.
Tension d’isolement
Elle est choisie par le constructeur
d’origine, pour tout circuit donné. La
tension assignée d’isolement ne doit
pas être inférieure à la tension assi-
gnée d’emploi (Ue) (Ui ≥ Ue).
Groupe de matériaux
Les matériaux sont classés en quatre
groupes selon les valeurs de leur
Indice de Résistance au Chemine-
ment (CEI 60112). L’appareillage mo-
derne utilise des isolants de groupe
II (400 ≤ IRC < 600) et la majorité des
supports de barres sont de groupe I
avec un IRC > 600.
Degré de pollution environnant
Pour les lignes de fuites, cette notion
caractérise les conditions ambiantes
à proximité immédiate des éléments
considérés (cf. tableau 1).
La combinaison des trois premiers
paramètres permet de définir les
lignes de fuite minimales à prendre
en compte en mm. Par exemple, pour
une tension d’isolement de 500 V la
norme donne les valeurs suivantes,
indiquées sur le tableau 2.
Présence de rainures ou de nervures
Ces dispositions diminuent considé-
rablement les courants de fuite. Pour
la prise en compte de la mesure du
chemin de la ligne de fuite à vérifier,
il est nécessaire de valider que la lar-
geur de cette rainure est compatible
avec le degré de pollution au niveau
de cette ligne de fuite (cf. tableau 3).
Exemple 1: Le chemin de ligne de
fuite comprend une rainure, dont la
profondeur est prise en compte si la
largeur est égale ou supérieure à X mm
(X dépendant du degré pollution).
Exemple 2 : Le chemin de ligne de fuite
comprend une nervure Les nervures
diminuent aussi considérablement la
formation des courants de fuite.
Si la nervure dépasse 2 mm, la valeur
du chemin de cette ligne de fuite donnée
par le tableau 2 de la EN 61439-1 peut
être réduite de 20%.
Vérification par le constructeur
d’origine des lignes de fuite et des
tensions de tenue à fréquence
industrielle :
Lors de la conception de l’ensemble,
a) Les lignes de fuites sont à vérifier
par évaluation (mesure) (selon le
tableau 2 de la CEI 61439-1)
b) La tension de tenue à fréquence
industrielle des circuits princi-
paux, auxiliaires et de commande
connectés au circuit principal est
validée par un test sous tension
d’essai (selon le tableau 8 de la CEI
61439-1)
Cet essai doit être mené avec une
source pouvant délivrer au moins
200 mA en court-circuit. L’essai d’au
moins 5 s est accepté si le courant de
fuite reste inférieur à 100 mA.
Dans la continuité de la présentation de la norme CEI 61439,
nous abordons les principes relatifs aux vérifications des propriétés diélectriques.
Lignes de fuite
et tension d’isolement (Ui)
≥ X mm
distance dans l’air ligne de fuite
distance dans l’air
ligne de fuite
≥ X mm
distance dans l’air ligne de fuite
distance dans l’air
ligne de fuite
CEI 1499/05
CEI 1497/05
3. 3n˚07
Vérification systématique par le
constructeur d’ensemble des propriétés
diélectriques :
La rigidité des isolants solides est
bien plus importante que celle de
l’air ; la norme de référence CEI 60664
précise, en plus des distances dans
l’air et des lignes de fuites, qu’il est
nécessaire de valider la tenue dans le
temps de l’isolation solide des com-
posants mis en œuvre. Contrairement
à l’air, le non renouvellement des iso-
lants solides durant la vie de l’équi-
pement, fait qu’il est nécessaire de
s’assurer du bon vieillissement prévi-
sionnel de l’équipement.
Cet essai de tenue à fréquence indus-
trielle est mené sur tous les circuits
mais pendant une durée de 1s ; en
variante il est accepté, pour les équi-
pement jusqu’à 250 A une mesure de
l’isolement par rapport à la masse
sous 500 V d.c. ; la mesure doit dépas-
ser 1000 Ω /V. (voir tableau 4)
Les circuits auxiliaires et de com-
mande non connectés au circuit prin-
cipal doivent être soumis à la tension
d’essai selon le tableau 5.
R. ALAZARD et B. SERRAS-RIMBAUD
Tableau 5 : Extrait du tableau 9 de la CEI 61439-1 : Tension de tenue à fréquence
industrielle pour les circuits auxiliaires (10.9.3)
Tableau 2 : Lignes de fuites minimales en mm (EN 61439-1 ; extrait du tableau 2)
Tableau 4 : Extrait du tableau 8 de la CEI 61439-1 : Tension de tenue à fréquence
industrielle pour les circuits principaux (10.9.2)
Tension assignée d’isolement
entre phases Ui (en V)
Tension d’essais diélectrique (en V)
a.c. efficace d.c.
300< Ui ≤ 690 1890 2670
690< Ui ≤ 800 2000 2830
800< Ui ≤ 1000 2200 3110
Tension assignée d’isolement
entre phases Ui (en V)
Tension d’essais diélectrique
a.c. efficace (en V)
Ui ≤ 12 250
12< Ui ≤ 60 500
60< Ui Voir tableau 8
Pollutions Applications
Degré Type
1 Sèche non conductrice Sans objet
2 Non conductrice / condensation temporaire Tertiaires
3
Conductrice/non conductrice qui devient con-
ductrice par suite de condensation
Industrielles
4*
Poussière conductrice persistante,
pluie, autres conditions humides.
Sans objet
Groupe de matériau
Degré I II III IIIb
1 1,5 1,5 1,5 1,5
2 2,5 3,6 5 5
3 6,3 7,1 8 8
Degré 1 2 3
Valeur minimale de la
largeur X des rainures
1,5 1,5 1,5
Tableau 1 : Définition des degrés de pollution (EN 61439-1 ; selon §7.1.3)
(*) Le degré de pollution 4 n’est pas applicable pour un micro-environnement à l’intérieur d’un ENSEMBLE conforme à la norme EN 61439
Tableau 3 : Largeur minimale des rainures en mm (EN 61439-1 ; extrait du tableau F1)