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2. Sommaire
1) Historique et enjeux de la projection numérique
1) Recommandations DCI
1) SI actuel de la filière cinématographique
1) Vers un SI pour une filière tout numérique

3. 1) Historique et enjeux de la projection numérique
1) Recommandations DCI
1) SI actuel de la filière cinématographique
1) Vers un SI pour une filière tout numérique

4. Numérisation progressive du
cinéma en France
Production Post-Production Distribution Exploitation
1977 1977 2006 1980
• Son numérique • Son numérique • Dématérialisation • Son numérique
des copies 2002
1995 1980 2006 •Projection
• Caméras numériques • Effets spéciaux • Dématérialisation numérique
de la sécurité
1998 2009
• Etalonnage • Dématérialisation
numérique du transport

5. 1) Historique et enjeux de la projection numérique
1) Recommandations DCI
1) SI actuel de la filière cinématographique
1) Vers un SI pour une filière tout numérique

6. Présentation de DCI
 2002: création de l’entité DCI (Digital Cinema Initiatives),
GIE composé de7 studios américains.
 2005: recommandations portant sur le cinéma numérique
 Objectif: Aligner les professionnels du monde entier sur un
mode de fonctionnement unifié
 Principes:
– Fournir au spectateur final un produit de qualité supérieure
– Favoriser l’interopérabilité des équipements et prestations
– Sécuriser les transactions

7. Recommandations sur le matériel
Source: DCI

8. Recommandations sur les produits et la
sécurité
Source: D. Goudineau

9. 1) Historique et enjeux de la projection numérique
1) Recommandations DCI
1) SI actuel de la filière cinématographique
1) Vers un SI pour une filière tout numérique

10. Architecture technique actuelle (1/2)
Source: S. Suppervielle adapté de StudioCanal

11. Architecture technique actuelle (2/2)
 Taux d’équipement en projecteurs numériques = 4%
 Transport par disque dur
Situationd’attentisme
Schéma

12. Un modèle économique en construction
(1/2)
Institutions
Fournisseurs de
contenus alternatifs
Distributeurs
Film Exploitants
numérique
Nouveaux entrants
• Fournisseurs de
technologies
• Constructeurs
• Promoteurs
• Sociétés de transport et
sécurité

13. Un modèle économique en construction
(2/2)
 Distributeurs, exploitants, qui finance?
 Le système des VPF : une solution
 La gestion de clés: activité stratégique impliquant une
concurrence acharnée
 Pénétration des américains sur les marchés nationaux:
quelle solution pour préserver le modèle français
Schéma

14. Le système d’information actuel: le cas
StudioCanal
Comparatif
Source: S. Suppervielle adapté de StudioCanal

15. Analyse du SI existant et identification des
axes d’amélioration
 Le SI actuel couvre les besoins du distributeur…
 …mais dans un contexte de mutation vers le modèle
DCI, le SI ne facilite pas:
– L’arrivée de nouveaux entrants car fonctionne « en silo »
– La modification centralisée de règles métiers
– L’adaptation des applications transverses à de nouveaux usages
– Le contrôle des redondances
– L’arrivée de nouveaux standards et nouvelles technologies
 Il doit donc être restructuré
Schéma

16. 1) Historique et enjeux de la projection numérique
1) Recommandations DCI
1) SI actuel de la filière cinématographique
1) Vers un SI pour une filière tout numérique

17. Le moteur du changement: le « tout
numérique » est inéluctable
 Raisons techniques
– Gain en qualité
– Capacités accrues pour la restauration
– Nouveaux usages: les contenus alternatifs
 Raisons économiques
– Economie sur le tirage de copies
– Economie sur le transport
– Le système des VPF est une solution qui fait consensus
– Les contenus alternatifs permettent le « Yield Management »
 Raisons stratégiques
– DCI est un véritable lobby
– La lutte contre le piratage est facilitée

18. Le système d’information cible
Comparatif
Source: S. Suppervielle adapté de Capgemini, Unilog et StudioCanal

19. Besoins couverts et cas d’utilisation
 Ce SI permet une vision transversale de la filière
cinématographique entièrement dématérialisée
 Il répond aux besoins d’une filière cinématographique « tout
numérique » car:
 Permet à chaque entreprise de gérer ses processus internes
 Mutualise les activités transverses
 S’adapte aux changements de règles métier grâce à l’édition de services dans
l’orchestrateur
 Gère intelligemment les nouveaux usages par l’ajout centralisé de
fonctionnalités
 Evite les doublons
 Est plus souple aux évolutions technologiques car langages simples
Schéma