2. Sommaire
Introduction
:
-‐
Présentation
d’Ervent
-‐
Présentation
MapClim
-‐
Présentation
MEZ
Aeroseal
PERFORMANCE
ENERGETIQUE
ET
HYGIENE
DE
L’AIR
3
Ateliers
:
Atelier
1
:
Aspect
norma-f
des
tests
de
perméabilité
et
approche
technologique
des
gaines
de
ven-la-on
Atelier
2
:
Fabrica-on
et
pose
de
gaine
rectangulaire
avec
cadre
intégré
Atelier
3
:
Réalisa-on
d’une
étanchéité
d’un
réseau
à
l’aide
de
la
technologie
MEZ-‐AEROSEAL
(Procédé
innovant
d’étanchéité
depuis
l’intérieur
des
gaines)
4. QUELQUES CHIFFRES
• 1978
:
Création
de
l’entreprise.
• 1983
:
Agrandissement
des
locaux
(500m2
d’atelier).
• 1993
:
Rachat
d’Aquitaine
Air.
• 2000
:
Rapprochement
géographique
avec
Aquitaine
Air
à
Villenave
d’Ornon
et
contruction
de
nouveaux
locaux
avec
2000m2
d’atelier.
• 2000
:
Achat
d’une
Tubformer
Spiro
pour
la
fabrication
de
gaines
circulaires.
• 2001
:
Achat
d’une
Gorelocker
Spiro
pour
la
confection
de
coudes
circulaires.
• 2002
:
Achat
de
la
ligne
de
production
FIRMAC
pour
la
fabrication
de
gaines
droites
avec
une
étanchéité
maximale.
• 2007
:
Agrandissement
des
ateliers
pour
une
surface
totale
de
300m2.
• 2014
:
Achat
de
la
ligne
de
production
FIRMAC
gaine
rectangulaire
tout
automatiques.
• CA
:
4,7
millions
d’euros
• Nombre
de
salariés
:
40
6. • Forme
juridique
:
SARL
• Capital
social
de
:
100
000€
• Année
de
création
:
1999
• Deux
co-‐gérants
:
Mr
RODRIGUEZ
et
Mr
TOJAGIC
• Nombre
de
salariés
:
45
(2014)
• CA
:
3
900
000€
(2014)
• Secteurs
d’activités
:
Tertiaire,
Industriel,
Hospitalier
et
Nucléaire
• Lieu
d’intervention
:
National
et
International
QUELQUES CHIFFRES
7. 1. Mise
au
point
en
génie
climatique
:
• Mise
au
point
d’installations
en
génie
climatique
(aéraulique
&
hydraulique).
• Optimisation
de
réglages
d’installations
existantes.
• Support
technique
pour
BE,
expertise
et
constructeur.
• Réalisation
de
QI,
QO,
QP.
2.
QualiWications
et
contrôles
:
• Qualicications
de
salles
à
empoussièrement
contrôlé.
• Contrôles
périodiques
de
salles
à
empoussièrement
contrôlé.
• Qualicications
et
contrôles
périodiques
sur
équipements
de
laboratoires
(PSM,…).
• Qualicications
et
contrôles
de
réseaux
gaz
(azote,
air
comprimé).
• Formations.
NOS METIERS
8. MAP
CLIM
compte
45
collaborateurs
qui
sont
répartis
comme
suit
:
• 4
Responsables
d’Activités
Mise
au
Point
(Ile
de
France,
Rhône
Alpes,
Bretagne,
Sud-‐Ouest).
• 28
Techniciens
metteurs
au
point.
• 6
Techniciens
service
Qualicications
&
Contrôles.
• 1
Technico-‐commerciale
service
Qualicication
&
Contrôles.
• 3
assistantes
(administratives,
comptable
et
RH).
• 1
Responsable
QSE.
• 2
Dessinateurs
projeteurs.
NOS METIERS
9. N o s
i m p l a n t a t i o n s
n o u s
permettent
de
rayonner
sur
tout
le
territoire
national
et
de
ce
fait
nous
permettent
de
répondre
au
mieux
aux
exigences
de
nos
clients.
• Bretagne
• Ile
de
France
• Rhône-‐Alpes
• Sud-‐Ouest
LOCALISATION GEOGRAPHIQUE
11. Présenta-on
:
Siège
social
:
Reutlingen,
sud
de
Stu3gart
(Allemagne)
Origine
de
la
société
MEZ
:
1875
CréaCon
de
la
société
MEZ-‐TECHNIK
:
1996
Filiale
française
située
à
Lyon
(créée
en
2014)
EffecCf
global
de
20
personnes
Chiffre
d’affaires
global
2014
:
9
M€
Ac-vité
principale
:
ConcepCon,
fabricaCon
et
commercialisaCon
d’accessoires
pour
la
fabrica-on,
la
maintenance
et
l’installa-on
des
gaines
de
ven-la-on
12. Quelques
produits
phares
:
• Profil
pour
gaine
rectangulaire
MEZ-‐SYPHON-‐FLANGE
• Gel
d’étanchéité
MEZ-‐BLUEMASTIC-‐GEL
• Trappe
de
visite
• Volet
de
dosage
Classe
B
/
Classe
4
• Rails
de
supportage
et
accessoires
de
montage
• Système
de
suspension
par
câble
• Supportage
en
toiture
MEZ-‐BIGFOOT,
…
14. PERFORMANCE
ENERGETIQUE
ET
HYGIENE
DE
L’AIR
Partie
I
:
L’étanchéité
des
réseaux
de
ventilation
-‐
Introduction
:
Contexte
Règlementaire.
-‐
Chap.
1
:
Les
normes
en
vigueur.
-‐
Chap.
2
:
Les
prérequis
des
réalisations.
-‐
Chap.
3
:
Les
attendus
(feuille
de
résultats).
-‐
Chap.
4
:
Un
cas
concret.
Partie
II
:
constat
de
performance
sur
gaine
rectangulaire.
-‐
Introduction
:
Contexte
des
essais.
-‐
Contenu
global.
Partie
III
:
Ensemble
vers
des
bâtiments
plus
sains.
15. P
Partie
I
:
L’étanchéité
des
réseaux
de
ventilation
16. Aujourd’hui,
la
perméabilité
ou
l’étanchéité
à
l’air
des
réseaux
aérauliques
fait
partie
des
critères
essentiels
retrouvés
dans
la
plupart
des
cahiers
des
charges
et
normes
destinés
à
la
ventilation.
On
y
retrouve
:
§
La
Règlementation
Thermique
2012
(RT2012).
§ NF
EN
13779
Exigences
de
performances
pour
les
systèmes
de
ventilation
et
de
conditionnement
d'air
(juillet
2007).
§ NF
EN
12599
Procédures
d'essai
et
méthodes
de
mesure
pour
la
réception
des
installations
de
conditionnement
d'air
et
de
ventilation
dans
les
milieux
résidentiels
et
d’habitations
(décembre
2012).
Toutes
ces
normes
doivent
permettre
d’optimiser
les
performances
énergétiques
des
bâtiments.
CONTEXTE REGLEMENTAIRE
18. ETUDE SUR L’ETANCHEITE DES RESEAUX
Varia-on
de
la
puissance
absorbée
du
ven-lateur
et
du
SFP
en
fonc-on
du
changement
de
classe
d'étanchéité
Débit
fuite
10%
Classe
A
Classe
B
Classe
C
Classe
D
La
Puissance
Spécifique
du
ven-lateur
SFP
(efficacité
énergéCque
du
venClateur)
varie
proporConnellement
avec
le
carré
du
débit.
La
puissance
absorbée
du
ven-lateur
varie
proporConnellement
avec
le
cube
du
débit
19. LES CAHIERS DES CHARGES DE PLUS EN PLUS PRECIS
La
déWinition
des
attentes
sur
la
qualité
et
la
réalisation
des
réseaux
de
ventilation
se
fait
de
plus
en
plus
précise
dans
les
CCTP.
20. CONTEXTE REGLEMENTAIRE POUR LES MESUREURS
A
ce
jour
aucune
règlementation
ne
régie
une
quelconque
accréditation
pour
les
mesureurs.
Néanmoins
aWin
de
répondre
aux
nouvelles
exigences
des
bâtiments
très
basse
consommation,
préWigurées
par
le
Label
EFFINERGIE
Plus
et
les
prochains
Labels
RT
2012
HPE
et
THPE,
une
qualiWication
«
MESUREUR
DES
RESEAUX
AERAULIQUES
».
8721
21. CHAP. I : Les normes en vigueur
Normes
de
performances
• NF
12
237
Résistance
et
étanchéité
des
conduits
circulaires
en
tôle
(Juin
2003)
• NF
EN
1507
Conduits
aéraulique
rectangulaire
en
tôle
(Juillet
2006)
• FD
E51-‐767
Mesures
d'étanchéité
à
l'air
des
réseaux
(Mars
2014)
Il
est
à
noter
que
ces
normes
remplacent
la
norme
expérimentale
X
10-‐236,
de
novembre
1985
• NF
EN
14239
Mesurage
de
l'aire
superWicielle
des
conduits
(Août
2004)
Normes
de
moyens
22. CHAP. I : Les normes en vigueur
Nous
traiterons
des
deux
normes
suivantes
:
• NF
12
237
Résistance
et
étanchéité
des
conduits
circulaires
en
tôle
(Juin
2003)
• NF
EN
1507
Conduits
aéraulique
rectangulaire
en
tôle
(Juillet
2006)
Ces
deux
normes
font
apparaitre
deux
parties,
à
savoir
:
• L’étanchéité
à
l’air
(Essais
à
réaliser
sur
site)
• La
résistance
mécanique
(Réservé
au
essais
de
laboratoire)
Tableau
de
Synthèse
des
Performances
attendues:
NF
EN
1507
(Rectangulaire)
NF
EN
12237
(Circulaire)
26. LONGUEUR TOTALE DU JOINT
L’échantillon
du
tronçon
doit
comprendre
une
représentation
de
joint
(jonction)
représentatif,
cette
représentation
est
régie
par
la
formule
suivante
:
27. CHAP. II : Les pré-requis de réalisations
La
gestion
de
la
construction
des
réseaux
aérauliques
devant
répondre
à
des
contrôles
de
performances.
Analyser
les
spécicications
aérauliques
contenues
dans
le
CCTP
(classe
d’étanchéité
attendue).
Sélectionner
les
accessoires
répondant
aux
exigences
du
CCTP
(registres,
CCF,…).
Décinir
avec
la
maîtrise
d’ouvrage
les
tronçons
à
soumettre
à
essais.
Planicier
les
essais
dans
le
processus
de
construction.
28.
Pré
requis
administratifs
avant
intervention
• La
préparation
de
l’intervention
doit
répondre
à
plusieurs
données
essentielles
nécessaires
au
bon
déroulement
de
la
prestation,
à
savoir
:
– Fourniture
du
plan
avec
détermination
du
réseau
à
tester.
– La
pression
d’essai.
– La
classe
d’étanchéité
requise
contractuellement.
– Le
développé
du
tronçon
de
gaine.
Pré
requis
fonctionnels
avant
intervention
La
préparation
de
l’intervention
doit
répondre
à
plusieurs
données
essentielles
nécessaires
au
bon
déroulement
de
la
prestation,
à
savoir
:
– Obturation
des
tronçons
à
tester.
– La
présence
d’un
piquage
pour
raccordement
de
l’appareil
de
test.
– L’absence
de
calorifugeage
sur
les
tronçons
de
gaines.
CHAP. II : Les pré-requis de réalisations
29.
Synthèse
des
résultats
contenue
dans
le
rapport
MAP
CLIM
CHAP. III : Les attendus
Rapport
intermédiaire
Rapport
final
30. CHAP. IV : Cas concret
L’impact
d’une
fuite
sur
un
plafond
de
bloc
opératoire
• Les
luminaires
• Le
fut
du
scialy-que
• Les
organes
de
détec-on
31. P
Partie
II
:
constat
de
performance
sur
gaine
rectangulaire.
32. ETUDE SUR L’ETANCHEITE DES RESEAUX
Représenta-on
des
fuites
par
classe
d’étanchéité
d’un
réseau
de
démonstra-on
Réseau
de
démonstra-on
:
Surface
développée
:
5
m²
/
Pression
de
test
:
1500
Pa
Fabrica-on
:
Ervent
Aquitaine
1x
Gaine
Ervent
700
x
700
x
1390
mm
avec
cadre
intégré
étanche
et
agrafage
piTsburgh
automa-que
mas-qué
2x
Capots
avec
profils
de
cadre
MEZ-‐SYPHON-‐FLANGE
étanche
avec
gel
injecté
MasCcage
:
Angles
+
bords
tombés
+
piquages
diam.
100
mm
Pose
:
Ervent
Aquitaine
JoncCon
par
joint
mousse
croisé
15
x
5
mm
Griffes
serre-‐cadres
MEZ-‐LATZ
Responsabilité
Fabrica-on
/
Pose
dans
l’étanchéité
d’une
gaine
de
ven-la-on
70
%
(pose)
/
30
%
(fab.)
33. ETUDE SUR L’ETANCHEITE DES RESEAUX
Résultat
:
Débit
de
fuite
@
1500
Pa
=
0,40
l/s
(1,44
m3/h)
Classe
D
Limites
admissibles
:
Classe
A
15,67
l/s
(ou
56,4
m3/h)
Classe
B
5,22
l/s
(ou
18,8
m3/h)
Classe
C
1,74
l/s
(ou
6,3
m3/h)
Classe
D
0,58
l/s
(ou
2,1
m3/h)
Fuite
5,1
cm²
Trou
diam.
4
cm
Fuite
1,7
cm²
Trou
diam.
2,31
cm
Fuite
0,6
cm²
Trou
diam.
1,37
cm
Fuite
0,2
cm²
Trou
diam.
0,79
cm
Superficie
de
fuite
:
0,1
cm²
=>
équivalence
trou
(fuite)
diamètre
0,56
cm
Représenta-on
des
fuites
par
classe
d’étanchéité
d’un
réseau
de
démonstra-on
34. CONTEXTE
Dans
un
soucis
de
performances
et
d’amélioration
continue,
la
société
ERVENT
s’est
rapprochée
de
la
Sté
Map
Clim
pour
mener
une
campagne
de
contrôle
de
performances
sur
différents
concepts
de
fabrication
de
sa
production.
A
ce
titre
des
tests
ont
été
menés
sur
les
échantillons
suivants
:
Gaines
rectangulaires
identiques
(1,34x1,20x1,40)
soit
10,32m²
Agrafage
PITTSBURG
avec
et
sans
joint
Agrafage
SNAPLOCK
avec
et
sans
joint
Cadre
intégré
Cadre
rapporté
Gaine
rectangulaire
assemblée
(0,8x0,85x2,68)
soit
10,19m²
35. CONSTAT DE PERFORMANCES
Désignation Dimension Epaisseur Section
totale Matières Profil
de
cadre Plaque
d'obturation
par
essais
4
vis
dans
les
angles
2
vis
intermediaires
par
cotés
TABLEAU DES CARACTERISTIQUES TECHNIQUES DE LA GAINE
IntégréTole
galvanisé10
m²0,08
cm0,85x0,8x2,68
Caractéristiques
de
la
gaine
38. CONSTATS DE PERFORMANCES
TABLEAU
DE
SYNTHESE
DES
MESURES
REALISES
SUR
SITE
Type
de
cadre
testé
Type
de
technique
d’agrafage
Surface
(mm²)
Pression
mesuré
en
gaine
(Pa)
Pression
atmosphérique
(Pa)
/
Température
(°C)
Taux
de
fuite
Corrigé
(l/s)
Seuil
limite
(l/s)par
classe
Classe
Classe
A
Classe
B
Classe
C
Classe
D
Gaine
+
Cadre
Rapporté
non
jointé
Type
Snaplock
1,34x1,20x1,40
(10,32m²)
250
1021
/
27,8
12,28
10,06
3,35
1,11
0,37
500
1021
/
28,1
18,92
15,79
5,26
1,75
0,58
754
1021
/
28,0
27,77
20,62
6,87
2,29
0,76
997
1021
/
28,2
35,48
24,73
8,24
2,74
0,91
Gaine
+
cadre
rapporté
jointé
Type
Snaplock
1,34x1,20x1,40
(10,32m²)
247
1021
/
29,3
8,08
9,98
3,32
1,10
0,36
500
1021
/
29,0
12,74
15,79
5,26
1,75
0,58
753
1021
/
29,3
16,67
20,61
6,87
2,29
0,76
1005
1021
/
29,5
20,28
24,86
8,28
2,76
0,92
Gaine
+
cadre
intégré
Type
Pi3sburgh
0,80x0,85x2,68
(10,19m²)
245
1019
/
26,9
0,44
9,64
3,21
1,07
0,35
506
1019
/
27,5
1,08
15,45
5,15
1,71
0,57
750
1018
/
27,4
1,38
19,95
6,65
2,21
0,73
1000
1019
/
27,4
1,73
24,06
8,02
2,67
0,89
Conception
et
fabrication
de
gaines
39. MEZ-‐AEROSEAL
est
une
technologie
révolu-onnaire
d‘étanchéifica-on
ultérieure
par
l‘intérieur
des
réseaux
de
ven-la-on
existants
ou
récemment
installés.
Dans
le
process
MEZ-‐AEROSEAL,
une
résine
d‘étanchéité
est
chauffée,
comprimée
puis
insufflée
à
l‘état
gazeux
dans
le
réseau
aéraulique.
Les
parCcules
adhésives
pulvérisées
viennent
alors
se
coller
sur
les
rebords
des
fuites
afin
de
les
colmater
progressivement
sans
déposer
de
résidu
dans
les
gaines.
Comment
ça
marche
?
40.
41. DescripCon
:
• Procédé
prouvé
et
breveté
• Etanchéité
depuis
l’intérieur
• RéducCon
d’environ
90%
des
débit
de
fuite
• Aucune
contrainte
d’accès
• Rapidité
d’applicaCon
• IdenCficaCon
des
fuites
et
étanchéité
• RéducCon
des
moyens
humains
• GaranCe
de
résultats
(vérifiable)
42. Aperçu
d’une
applica-on
MEZ-‐AEROSEAL
:
2)
Isolement
des
ven-lateurs
et
CTA
3)
Re-rer
toutes
les
instrumenta-ons
(capteurs,
croix
de
mesure,
…)
4)
Connecter
l’équipement
au
réseau
5)
Test
d’étanchéité
réalisé
(AVANT)
6)
Étanchéifica-on
avec
injec-on
de
résine
sans
laisser
de
résidu
dans
le
réseau
(colmatage
des
fuites
jusqu’au
diamètre
15
mm)
7)
Test
d’étanchéité
réalisé
(APRES)
8)
Cer-ficat
de
performance
généré
1)
Obturer
les
entrées
et
sor-es
d’air
du
réseau
à
étancher
(limite
de
réseau
de
60
mètres
linéaires
par
injec-on)
43. FAQ
Résine
MEZ-‐AEROSEAL
:
• SoluCon
aqueuse
pulvérisée
à
base
de
poly-‐acétate
de
vinyle
(cf.
chewing
gum,
laque
cheveux
et
peinture
acrylique)
• CerCfié
selon
UL
1381
(norme
américaine)
pour
:
Résistance
au
feu
en
surface
Moisissure
et
humidité
Résistance
au
feu
intérieur
de
gaine
RéducCon
de
débit
de
fuite
• Résistance
thermique
-‐29°C
à
249°C
• CerCfié
VDI
6022
(direcCve
hygiène
de
l’air)
• Faible
émission
de
COV
(test
en
cours)
• État
final
(séchage)
2
heures
• Durée
de
vie
(supérieure
à
10
ans,
cf.
historique)
• GaranCe
3
ans
44. LA
NOUVELLE
CLASSE
D‘ÉTANCHÉITÉ
DES
RÉSEAUX
DE
VENTILATION
!
Le
partenaire
français
:
46. Basée à Bordeaux, CertifAir noue des partenariats avec les acteurs
incontournables de la QAI :
§ APPA : Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique
§ AIR : Air Intérieur en Réseau
§ ARS: Agence Régionale de Santé région Aquitaine
§ AFNOR : Association Française de Normalisation
§ Association HQE : Association Haute Qualité Environnementale
§ IREPS Aquitaine : Instance Régionale d’Education et de promotion de
la santé
§ LaSie : LAboratoire des Sciences de l’Ingénieur pour l’Environnement
§ Map Clim: le partenaire du traitement d’Air
§ OQAI: Observatoire de la Qualité de l’Air
§ CSTB: Centre Scientifique et Technique du Bâtiment
Nous sommes un laboratoire accrédité
NF EN ISO 17025 COFRAC LAB REF 30 n° 1-5742
NOS PARTENAIRES
48. La science de l’air intérieur s’est développée dès les années 1970 avec la
préoccupation d’économie d’énergie, mettant à jour une réalité complexe :
§ bâtiments moins perméables à l’air
§ renouvellements d’air réduits
§ utilisation de matériaux de construction avantageux (mode
constructif rapide, coûts réduits) mais participant à l’émission de
nombreux polluants nouveaux dans l’air intérieur
§ équipements et installations de climatisation et de traitement d’air,
mobilier et articles de consommation courante
Hiérarchisation scientifique
et évolution des politiques publiques
ENJEUX SANITAIRES IMPORTANTS
49. Ainsi, après une première hiérarchisation des polluants en 2002, mise à
jour en 2005 puis en 2010, ce sont aujourd’hui 1026 substances ou
mélanges de substances chimiques qui sont classées au regard de leur
toxicité et de l’exposition des populations. Un certain nombre d’entre elles
sont reconnues comme hautement prioritaires pour les différents
environnements :
§ 15 substances pour les logements
§ 6 pour les écoles (formaldéhyde, benzène, acétaldéhyde, PM10 et PM2,5,
chrome + 20 substances très prioritaires
§ 5 pour les bureaux ( benzène, PM 2,5, éthylbenzène , formaldéhyde,
PCB).
Hiérarchisation selon toxicité à court et long terme,
niveaux d’exposition et fréquence
d’apparition des polluants.
HIERARCHISATION ET CLASSIFICATION
DES POLLUANTS
50. § Tous les Composés Organiques Volatils (COV) sont présents dans 80 à
100% des logements français ( source OQAI campagne nationale
2003/05).
§ Le formaldéhyde est le composé dont la médiane de concentration est
la plus élevée.
§ Les hydrocarbures sont détectés dans 83 à 100% des logements
français.
§ 50% des logements ont des teneurs en allergènes d’acariens dans la
poussière.
§ 37% des logements présentent des contaminations en moisissures
visibles ou masquées.
§ 50% des logements ont des teneurs en particules supérieures à
19 µg/m³ pour des particules de diamètre inférieur à 2,5 µm (PM 2,5).
La valeur guide de l’OMS est de 10 µg/m³
QAI dans nos logements : le constat
51. L’association HQE a établi un protocole , qui permet de qualifier, selon une méthode
scientifiquement fondée, l’Air Intérieur effectivement respiré par les occupants
dans le bâtiment. Destiné aux maîtres d’ouvrage et aux maîtres d’œuvre
désireux d’intégrer la préoccupation de la QAI dans leurs projets de construction.
Sur les phases clés du projet, le guide établi donne des éléments de réponse concrets
sur :
§ L’intégration d’objectifs de performance et de mesure à réception, de la
QAI dans la conception et dans le management du projet, dès la programmation.
§ L’organisation et la mise en œuvre de la campagne de mesure
§ L’interprétation des résultats et les actions possibles pour les améliorer
CONSTRUIRE EN INTEGRANT LA QAI
53. • Nous passons 20 à 22 heures dans des espaces clos.
• La montée des préoccupations écologiques a favorisé la recherche
d’un cadre de qualité et d’un environnement protégé.
• Une mauvaise qualité de l’environnement intérieur (qualité
de l’air, niveau sonore, éclairage, etc.) dans les bâtiments de
bureaux peut être à l’origine d’une détérioration de la santé
(irritations, asthme, allergies, maux de tête, somnolence, etc.)
(Wolkoff, 2013), mais également d’une diminution du bien-être
des occupants (Tanabe et al., 2007), ce bien-être faisant
d’ailleurs partie intégrante de la santé selon l’Organisation
Mondiale de la Santé (OMS).
Pourquoi s’intéresser à la QAI dans les
logements ?
55. § Accompagnement des maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre dans la QAI
§ Formation des équipes construction et exploitation sur la QAI.
§ Support QAI dans le management du projet dès la phase de
programmation.
§ Possibilité de mise en place d’un suivi à distance des performances QAI
du bâtiment pendant la phase d’exploitation du bâtiment.
§ Mise en place d’un carnet sanitaire QAI du bâtiment global, et des
logements .
LES SOLUTIONS CERTIFAIR
56. PERFORMANCE
ENERGETIQUE
ET
HYGIENE
DE
L’AIR
Atelier
2
:
Fabrica-on
et
pose
de
gaine
rectangulaire
avec
cadre
intégré