L’association Arrimage a été créée en 1996 par un maitre de conférences en Géographie à l’université Paris 1 Panthéon- Sorbonne. Rassemblant des étudiant.e.s, enseignant.e.s mais aussi des personnes d’horizons très différents, ses trois principaux objectifs sont : la promotion de la photographie et du cinéma documentaire, la sensibilisation à l’image et l’initiation à la réalisation de projets documentaire. Ces objectifs sont menés à travers diverses actions comme les projections hebdomadaires, des stages d’initiation ou encore le festival Territoires en Images.
2. sommaireLe mot de l’équipe
L’association & son équipe
Le festival
Les lauréats 2017
La sélection 2018
Les jurys
Événements
Programme
Infos pratiques
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3. 5
le mot de l’équipe
Le terme “territoire” évoque chez chacun.e des représentations diverses : certain.e.s
se focalisent sur les limites, d’autres sur ce qu’elles contiennent, quand d’autres
encore s’intéressent à ce qui fait du terme “territoire” une notion floue, ambiguë, qui
révèle beaucoup des dynamiques sociales et des comportements humains, mais qui
en cache au moins autant.
Ce sont ces richesses de l’incertitude que nous souhaitons mettre en avant un instant,
lors du festival Territoires en Images.
Les outils médiatiques et cinématographiques façonnent justement ces territoires :
d’un regard sur un bout du monde, puis d’une photographie, on capture un paysage,
on façonne un espace et on imprime son territoire.
Au festival Territoires en Images, on croit à la fabrique du savoir par l’image ! L’entrée
du festival Territoires en Images est libre et gratuite ! Pour répondre à ses ambitions,
l’association étudiante Arrimage à l’initiative du festival s’assurera que cette
manifestation culturelle soit un moment exceptionnel de convivialité et d’inspiration
pour tous les publics.
Perpétuel ! Décrit comme un rendez-vous dédié à la culture, aux techniques de l’image
et à la recherche scientifique, c’est surtout un appel à la rencontre entre démarche
documentaire et création audiovisuelle, un pont négligé et pourtant précieux. On y
rencontre, depuis 22 ans, des étudiant.e.s à l’université (en tout cas les plus curieux),
des enseignant.e.s-chercheurs.euses (principalement là pour évaluer les promesses
de leurs étudiant.e.s), des photographes (amateur.trice.s, reporters, artistes-designers
de sensibilités diverses), des cinéastes (jeunes ou puristes, qui savent parfois de quoi
ils parlent), et des visiteurs de tous les horizons, avec chacun sa destination. L’Institut
de Géographie de Paris nous ouvre encore une fois ses portes ! Venez voyager au gré
des images, et proposer dans les débats une vision singulière du monde que nous
avons en commun.
Inédit ! Pour la première année depuis son lancement, le festival Territoires en Images
exposera à l’Université Paris Nanterre. Au terme de la manifestation qui aura lieu du
22 au 24 novembre 2018 à l’Institut de Géographie de Paris (191 rue Saint-Jacques,
75005), l’exposition sera prolongée au sein de la Maison de l’Étudiant, sur le campus
de Nanterre, du 10 au 14 décembre 2018. L’association Arrimage animera également
les projections-débats d’un film lauréat du festival.
5
5. 98
le thème
« espace délimité, approprié par un individu, une communauté,
sur lequel peut s’exercer l’autorité d’un État, d’une collectivité. »
Géoconfluences.ens-lyon.fr
Ce thème, volontairement choisi pour ses multiples interprétations, donne
une sélection de films et de projets photographiques originale et très diverse.
TERRITOIRE(S)
les lauréats 2017
photographies
films
GRAND PRIX DU JURY
Olivier GASSIES pour Le voyage suspendu | Calais (France)
MENTION SPÉCIALE DU JURY
Benjamin BECHET pour 1km2
, Les Patûrages | Rome (Italie)
PRIX DU PUBLIC
Lucie GUESNIER pour Stigmates au présent | Îles Svalbard (Norvège)
GRAND PRIX DU JURY
Charlotte PENCHENIER
pour Planète Marseille, enfants des Comores
2016 | 52min
MENTION SPÉCIALE DU JURY
Magali ROUCAUT
pour Derrière les pierres
2016 | 59min
PRIX ARRIMAGE
Benjamin GEMINEL et Tristan THIL
pour Congo Paradiso
2016 | 56min
6. 1110
la sélection 2018
photographies séléctionnées
Hanoï : Surimpression urbaine multiscalaire
Hanoï (Vietnam) | 2018
de CALOSCI Loup-Marie
Blanc Dehors
Lorraine (France)
de DAHLAB Lou
BØRNES
Carrière-sous-Poissy (France)
de DAVIN Floriane
Bénin, à la rencontre du Vaudou
Bénin | 2016
de DE KEUKELEIRE Julien
Claudine
Quercy (France)
de HÉLIOT Lilian
Deux familles syriennes au pays
des 100 vallées : Histoire d’un nouveau départ
Naucelle (France) | 2017
de ILCINKAS Anne
Nos Monstres
Quartier des 4 routes - La Courneuve (France)
de MOTTEAU Hélène
Des câbles électriques
comme des toiles d’araignée dans la ville
Ibadan (Nigéria) | 2018
de NICOLAS Andrée-Anne
Tâches de silence
Marseille (France)
Minguettes Vénissieux (France)
Nazaré (Portugal) | 2017-2018
de SIMON Juliette
Terra Incognita
Paris (France) | 2017
de TARON-RIEUSSEC Gabrielle
10
FRANCE | VOSTFR | 2017 | 18 min
BELGIQUE/SUISSE | VF | 2016 | 27 min
Los Come Sombras
Les mangeurs d’ombres
La saison du silence
de CHLOÉ BELLOC
de TIZIAN BÜCHI
Une compagnie de danse en plein cœur de Bogota. Les corps dialoguent avec la ville, les
montagnes… et les menaces de morts. Comment vit on avec ces menaces ? Comment fait on le
deuil de ceux qui ne sont plus ? Peut-on transformer la violence extérieure par un mouvement
intérieur ? C’est ce que tente d’accomplir ces artistes “mangeurs d’ombres”. Une manifestation
des vivants qui ne fuit pas devant les spectres.
Max est un paysan du Haut
Jura. Il vit dans une ferme
isolée, à La Côte-aux-Fées.
C’est l’hiver, la neige et les
éléments s’emparent peu
à peu du quotidien des
hommes et des bêtes. Le
temps s’étire, et ouvre une
brèche à l’imaginaire.
films sélectionnés
7. 1312
FRANCE | VF | 2018 | 35 min
FRANCE | VF | 2017 | 26 min
Amazones, l’art de revivre
Main Basse
sur les studios
de Bry de SABINE CHEVRIER
de VIANNEY SOTÈS & LAURE MARTIN HERNANDEZ
Les studios de cinéma et de télévision de
Bry-sur-Marne sont une usine à rêves unique,
l’outil de travail de milliers de techniciens
et d’artistes. Ce film retrace la mobilisation
menée par une équipe de professionnels du
cinéma pour sauver ce lieu de création face
à une spéculation immobilière destructrice.
Commentvivreaprèslecancer?AvecungroupedefemmesAmazonesenMartinique,
Alexandra mène en parallèle une double reconstruction, physique et morale. Elle
alterne les opérations chirurgicales et la réalisation de portraits d’Amazones réalisés
par des artistes photographes. L’Art devient une thérapie pour briser les tabous et
assumer les cicatrices.
FRANCE | VF | 2017 | 52 min
FRANCE | VF | 2017 | 52 min
Ils sont jeunes et puissants. Ce sont des rugbymen professionnels. Une
carrière courte. Un engagement physique et mental extrême. Grâce à un
accès rare dans un club de rugby français, le LOU, le spectateur est immergé
en son coeur : là où l’on prépare, où l’on façonne et répare les joueurs. Le film
retrace la tension d’une semaine de travail de l’équipe et du staff jusqu’au
match. Elle capte la petite musique des corps des athlètes que l’on forme au
combat, sans jamais perdre de vue qu’ils sont des hommes.
En 1936, à l’occasion de la naissance de son
fils, Robert Bernas achète à Vienne une
caméra Eumig 8 mm pour filmer la vie de
sa famille. Juifs franco-autrichiens, ils fuient
Vienne puis Paris et s’exilent aux Etats-Unis
pour revenir en France en 1947. Des images
fortes, inventives et joyeuses qui racontent
une formidable victoire de survie face aux
menaces de l’Allemagne nazie et de ses
alliés. Harry Bernas, le fils de Robert, a vécu
cette histoire qu’il partage aujourd’hui avec
nous.
Plaquages
Journal filmé d’un exil
de FLORIAN GEYER
de MAGALI MAGNE
8. 1514
IRAN/BELGIQUE | VOSTFR | 2017 | 47 min
ESPAGNE | VOSTFR | 2018 | 55 min
Gurs est plus qu’un lieu. Gurs était
un camp de réfugiés construit pour
reloger des républicains espagnols,
camp qui a rapidement été transformé
en prison. Ce film est un précieux
document qui relate cette histoire,
une reconnaissance pour ceux qui ont
subi la brutalité du camp et un rappel
pour le présent.
Les filles
Gurs, Historia y memoria
À travers des ateliers de photographie dans différentes écoles en Iran, Les filles nous
emmène à la rencontre de jeunes écolières iraniennes pour découvrir leurs rêves et
leurs peurs de l’avenir dans la société iranienne moderne.
de FERY MALEK-MADANI
de VERONICA SAENZ GIMENEZ
BELGIQUE/FRANCE | VF | 2018 | 27 min
FRANCE | VOSTFR | 2018 | 39 min
Pour la Russie pour la foi
Une fille de Ouessant
de ELEONOR SAINTAGNAN
de ALEXIS ZELENSKY
L’île d’Ouessant est la plus à l’ouest, tout au
bout de la pointe de la Bretagne. La dernière
terre française avant l’Amérique... Autrefois,
les hommes y travaillaient tous en mer,
pour la pêche ou dans la marine, et de ce
fait l’île était peuplée presque uniquement
de femmes. En immersion sur cette terre,
Éléonore Saintagnan plonge dans les archives,
et dans un flottement entre rêve et réalité,
s’identifie à Barba, une fille de Ouessant, dont
le père a disparu en mer sans laisser de traces.
Comment alors faire son deuil? Entre film de
vacances, documentaire a thropologique et
fiction, Une Fille de Ouessant prend la forme
d’un conte ethnographique.
En1917,aumomentdelaRévolutionbolchéviqueenRussie,descentainesdefamilles,
partisanes du Tsar et de la Russie impériale déchue, fuient partout en Europe.
Cent ans après, la nostalgie du pays est toujours aussi forte...
9. 1716
Renaissance
PROJECTION : 17H30 | 35 min
PROJECTION : 18H20 | 44 min
Plongée dans São Paulo, métropole
brésilienne, centre d’une aire urbaine
de 25 millions d’habitants. L’art peut-
il permettre d’habiter une ville à
l’apparence hostile et chaotique ?
Comment les artistes s’inspirent de
leur ville et créent les points d’attache
quepourrontutiliserleshabitantspour
s’y lier ? Quatre artistes interrogés, une
caméra flotte dans la ville, divers lieux
d’accès à l’Art.
Pela arte, habitar :
uma metrópole do XXI século
À Khao Lak, en Thaïlande, le tsunami
de 2004 a tué plusieurs milliers de
personnes et a complètement freiné
l’activité touristique pendant plusieurs
années. Treize ans après la catastrophe,
le tourisme s’est très nettement
redéveloppé. Malgré tout, l’ombre du
tsunami y est encore très présente.
Aujourd’hui, « rien n’affectera jamais
l’industrie du tourisme en Thaïlande »
nous disent certains. À part peut-être le
tourisme lui-même.
de AURÉLIEN DOUSSERON
de ARTHUR LECOCQ
ชีวิตใหม่Renaissance
Un film de Aurélien Dousseron
ชีวิตใหม่
Renaissance
Un film de Aurélien Dousseron
Avec le soutien de
de LÉO BENOIR A LA GUILLAUME,
HONORINE FAMBY & LUCIE LACROIX
Premier
PROJECTION : 17H | 6 min 30
PROJECTION : 17H15 | 5 min 40
La gentrification est un processus
que les parisiens connaissent bien.
Ce film offre un éclairage sur un
des acteurs du front pionnier de
l’embourgeoisement du quartier de
Belleville : un restaurant vegan. Le
gérant nous expose quelles sont les
raisons qui le poussent à ouvrir son
restaurant dans ce quartier encore
populaire, et comment il s’y intègre.
« La Butte-aux-Cailles, échos de vie,
bruits de quartier » ; montre à travers ce
documentaire, une vision d’un quartier
atypique de Paris, la Butte-aux-Cailles. Quel
estleressentideshabitantsoucommerçants
de ce quartier dans leur vie quotidienne ?
Notre documentaire s’articule autour de la
question du bruit ou plutôt du ressenti de
la vie de quartier à travers le bruit. Grâce au
témoignage de deux personnes, nous vous
faisons découvrir un documentaire inédit à
ce sujet.
La Butte-aux-Cailles :
échos de vie, bruits de quartier
de ANAËLLE BRAND, LOUISON GICQUEL, AURÉLIA PACITTI & MORGANE TANGUY
les films étudiant.e.s
10. 1918
Chargé de recherche au CNRS. Il s’intéresse à l’urbanisation du monde et les
transformations des villes du Sud ainsi qu’à la place de l’image dans la recherche en
sciences sociales, notamment en contribuant à des expositions photographiques
itinérantes (« The City of Waste » et « La mise en image du rebus » avec le réseau
Sociétés Urbaines et Déchets).
Chloé Buire est chargée de recherche au CNRS. Après un doctorat en Géographie à
l’université Paris Est Nanterre sur la justice spatiale et la gouvernance dans les villes du
sud, elle enchaîne deux contrats doctoraux en Afrique du Sud et en Angleterre. Elle
s’attache aujourd’hui aux études urbaines et à l’anthropologie politique dans les pays
du Sud. Attachée aux outils audiovisuels, c’est également une ancienne de l’association
Arrimage.
Rémi Lainé est documentariste et reporter. Il alterne depuis une vingtaine d’années
des coproductions internationales (La Rançon – enquête sur le business des otages,
Global Gay –pour qu’aimer ne soit plus un crime, etc.), des films intimistes (Vingt ans
le bel âge, Nés séropositifs, etc.) et une approche singulière d’histoires retentissantes
(Outreau notre histoire, Beautés volées-retour sur l’affaire Maure, etc.). Il collabore
occasionnellement à la revue XXI en tant que photographe et a été de 2009 à 2017
administrateur de la SCAM dont il a présidé la commission audiovisuelle de 2013 à 2017.
MARIE-PIERRE SUBTIL
RÉMI LAINÉ
SYLVAINE CONORD
PAUL HUBEAUX
ÉLISA RAMIREZ
JULIEN CHAUZIT
RÉMI DE BERCEGOL
CHLOÉ BUIRE
ANTOINE PELLETIER
CÉCILE FALIES
Journaliste passée par Le Monde pendant 20 ans puis par 6 mois en tant que rédactrice
en chef. Organisatrice des Rendez-vous de juillet, le festival des histoires vraies, à
Autun en Bourgogne.
Photographe depuis son plus jeune âge, Elisa Ramirez est passée par l’école des Beaux
Arts de Nantes et par l’école SPEOS à Paris dont elle est tout juste diplômée. En 2017,
elle expose seule pour la première fois à la Maison du Chili à Paris.
Cécile Faliès (Université Paris 1 – UMR 8586 PRODIG) est géographe. Depuis son premier
terrain de recherche au Chili, la photographie occupe une place importante dans son
travail en raison de son approche paysagère des espaces ruraux. Elle utilise également
l’imagerie satellite pour l’analyse des processus en cours comme celui des incendies à
l’interface habitat-forê. Son intérêt plus personnel pour le cinéma et les arts visuels
l’amène à introduire des vidéos comme supports pédagogiques et d’encadrer des
mémoires documentaires.
Géographe en formation à travers un Master de Géographie humaine à Paris 1 Panthéon-
Sorbonne, Paul Hubeaux est spécialisé dans l’étude de l’espace post-yougoslave.
Après une classe préparatoire littéraire et une licence de lettres, Julien Chauzit étudie
le cinéma à la Sorbonne. Auteur de plusieurs courts-métrages et d’un long-métrage
amateurs, il se destine à l’écriture et à la réalisation de films.
les jurys
le jury photographie
le jury film
19
Sylvaine Conord est sociologue, Maître de conférences à l’université de Paris Nanterre.
Après deux ans passés en tant que photographe documentaire pour des agences de
presse (Paris, New York, Londres) dans les années 1990, elle enseigne maintenant la
sociologie visuelle à l’université, suite à la soutenance d’une thèse de doctorat portant
sur l’apport de la photographie en anthropologie (2001). Elle valorise tous ses travaux
de recherche par l’organisation d’expositions photographiques scientifiques itinérantes
qu’elle présente comme un bon moyen de diffusion des résultats de la recherche.
Antoine Pelletier est né à Paris en 1996. Après une jeunesse passée à Mennecy, en
région parisienne, il intègre une double licence de géographie et d’économie à Paris
1 Panthéon Sorbonne en 2014. Durant ses 3 années de licence, il entreprend des
voyages photographiques dans différentes parties du monde. De son voyage à bord
du transsibérien, il retire des photographies présentées à l’occasion d’une exposition
en mai 2017 à l’atelier du 55 (Paris 20ème). Son ambition est de capter les territoires
et leurs habitants pour mieux comprendre le monde qui l’entoure. En 3ème année
à l’Institut de Géographie, il réalise un dossier portant sur l’utilisation du médium
photographique en Géographie.
11. 2120
FILMS D’ÉTUDIANT.E.S
du 22 au 24 novembreévénements
l’inauguration
de l’exposition photo
à Paris à Nanterre
à l’Institut de Géographie
projection-débat
« le documentaire dans
l’apprentissage de la Géographie »
Jeudi 22 novembre à partir de 18h aura
lieu le vernissage de l’exposition des dix
projets photographiques sélectionnés pour
le festival et de l’Atelier photos Arrimage.
Cet évènement sera l’occasion de discuter
avec les photographes de leurs projets. Ce
temps sera aussi un temps de rencontre
où spectateurs.trices, artistes, juré.e.s,
étudiant.e.s, enseignant.e.s ou simples
curieux.ses pourront discuter autour d’un
verre. Un évènement à ne pas rater !
Le festival se poursuit ! Le mardi 11 décembre
à 18h30, venez profiter de l’exposition photo
à la Maison de l’Étudiant de l’Université de
Nanterre, qui accueillera l’exposition photo,
la projection-débat autour du film lauréat et
une intervention musicale de l’association
Traddamus.
En 1999, Xavier Browaeys, fondateur et membre très actif de l’association, écrivait « Penser
l’image et penser en images c’est aussi placer le géographe du côté du vivant. ». Le
documentaire vidéo ou photographique est de plus en plus présent dans les recherches
scientifiques, et notamment en Géographie. Chaque année, des étudiant.e.s de tous
niveaux suivent des enseignements de documentaire et produisent des films ou des
projets photographiques en lien avec leurs recherches. Le samedi 24 novembre, de 17h à
19h, venez découvrir quelques films d’étudiant.e.s et en discuter avec eux !
12. informations
pratiques
ENTRÉE LIBRE ET GRATUITE
À L’INSTITUT DE GÉOGRAPHIE
191 rue Saint-Jacques 75005 Paris
RER B : Luxembourg
Métro : Odéon (L10) | Place Monge (L7)
À LA MAISON DE L’ETUDIANT
Campus de l’Université de Nanterre
92000 Nanterre
RER A : Nanterre-Université
Un grand merci à l’Université Paris 1 Panthéon-
Sorbonne, l’Université Paris Nanterre, le CROUS
Culture ainsi qu’à nos adhérent.e.s et aux
personnes ayant participé au crowdfunding pour
leur soutien. Merci à l’Institut de Géographie et à
l’Université Paris Nanterre pour le prêt des locaux,
aux réalisateur.trice.s et aux photographes qui
nous ont envoyé leurs oeuvres pour la sélection
et aux jurés qui ont accepté de participer à cette
aventure et à notre partenaire Traddamus pour
leur intervention lors du vernissage à Nanterre. De
grands remerciements également à Laura Reboul,
notre scénographe, et à Mathilde Selli, notre
graphiste ô combien investie.
et partenariats
remerciements
Mise en page : Mathilde Selli