article - paru dans "20 minutes" du 26 novembre 2015 - suite à la conférence "Les acteurs de l'Aquitaine mobilisés pour les énergies verte" organisée par Le Crédit Agricole d'Aquitaine et "Valeurs Vertes"
Spécialisé dans la mise en œuvre de solutions utilisant des ressources propres et renouvelables, Alpes Energies Nouvelles est un acteur majeur dans le passage de la France vers de nouveaux modes de production et de consommation énergétique moins polluants.
Energies renouvelables au service de l'humanité - Ademe - CNRSBuild Green
Placés sous le Haut Patronage du Président de la République française, se sont déroulés à Paris le octobre 2013, le colloque scientifique international « Les énergies renouvelables au service de l’humanité » et la cérémonie qui célébrait le 40e anniversaire du premier congrès international « Le soleil au service de l’homme », tenue à l’UNESCO en 1973.
Cet évènement a voulu marquer les progrès accomplis depuis 40 ans dans le développement des énergies renouvelables, mais aussi les défis énergétiques et climatiques à relever avant l’échéance de 2050.
Animés par la même ambition universaliste que lors du Congrès de 1973, l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie (ADEME), le Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) et l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) ont co-organisé ces rencontres internationales sur les enjeux actuels et
perspectives des énergies renouvelables aux horizons 2030 et 2050.
Des experts de haut niveau et des représentants d’organisations internationales ont échangé sur
les aspects scientifiques, techniques, politiques, économiques et sociaux des différentes filières
des énergies renouvelables à l’échelle mondiale. Il s’agissait de faire le bilan du développement des énergies renouvelables, de mettre en perspective leur contribution dans la transition énergétique mondiale et d’appeler à une solidarité internationale renforcée.
Les actes de cet évènement reprennent les interventions des différents orateurs, complétées
par des contributions écrites additionnelles sur les énergies renouvelables dans le monde.
Total Energie Gaz vous accompagne dans vos démarches d'efficacité énergétique Mickaël Marcellin - TOTAL
Plus d'informations sur :
www.gaz-naturel.total.fr/fr/marche-du-gaz-naturel/tout-sur-le-gaz-naturel/la-maitrise-des-energies/certificats-deconomie
La consommation mondiale d’énergie est en constante hausse depuis les trente dernières années et devrait augmenter de 56% entre 2010 et 2040.
En conséquence de cette croissance, les émissions de CO2 liées à l’énergie devraient augmenter de 46% d’ici 2040.
Ceci entrainerait une augmentation de la température moyenne du globe de 2°C jusqu’à 2100 et transformerait profondément la physionomie de notre planète.
Face à ce constat, la France envisage de réduire de moitié sa consommation énergétique d’ici 2050.
Pour une énergie maîtrisée, Total Energie Gaz, votre partenaire durable...
Bénéficiez :
d’une relation de proximité avec notre équipe dédiée,
de conseils professionnels adaptés aux exigences de votre activité,
de la fiabilité d’un grand groupe énergéticien.
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Spécialisé dans la mise en œuvre de solutions utilisant des ressources propres et renouvelables, Alpes Energies Nouvelles est un acteur majeur dans le passage de la France vers de nouveaux modes de production et de consommation énergétique moins polluants.
Energies renouvelables au service de l'humanité - Ademe - CNRSBuild Green
Placés sous le Haut Patronage du Président de la République française, se sont déroulés à Paris le octobre 2013, le colloque scientifique international « Les énergies renouvelables au service de l’humanité » et la cérémonie qui célébrait le 40e anniversaire du premier congrès international « Le soleil au service de l’homme », tenue à l’UNESCO en 1973.
Cet évènement a voulu marquer les progrès accomplis depuis 40 ans dans le développement des énergies renouvelables, mais aussi les défis énergétiques et climatiques à relever avant l’échéance de 2050.
Animés par la même ambition universaliste que lors du Congrès de 1973, l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie (ADEME), le Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) et l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) ont co-organisé ces rencontres internationales sur les enjeux actuels et
perspectives des énergies renouvelables aux horizons 2030 et 2050.
Des experts de haut niveau et des représentants d’organisations internationales ont échangé sur
les aspects scientifiques, techniques, politiques, économiques et sociaux des différentes filières
des énergies renouvelables à l’échelle mondiale. Il s’agissait de faire le bilan du développement des énergies renouvelables, de mettre en perspective leur contribution dans la transition énergétique mondiale et d’appeler à une solidarité internationale renforcée.
Les actes de cet évènement reprennent les interventions des différents orateurs, complétées
par des contributions écrites additionnelles sur les énergies renouvelables dans le monde.
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Plus d'informations sur :
www.gaz-naturel.total.fr/fr/marche-du-gaz-naturel/tout-sur-le-gaz-naturel/la-maitrise-des-energies/certificats-deconomie
La consommation mondiale d’énergie est en constante hausse depuis les trente dernières années et devrait augmenter de 56% entre 2010 et 2040.
En conséquence de cette croissance, les émissions de CO2 liées à l’énergie devraient augmenter de 46% d’ici 2040.
Ceci entrainerait une augmentation de la température moyenne du globe de 2°C jusqu’à 2100 et transformerait profondément la physionomie de notre planète.
Face à ce constat, la France envisage de réduire de moitié sa consommation énergétique d’ici 2050.
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Du local à Energie Partagée... et réciproquementRéseau Tepos
L'INVESTISSEMENT DES CITOYENS ET DES COLLECTIVITES DANS LES GRANDS PROJETS ENERGETIQUES
La réappropriation démocratique des moyens de production, de distribution et de gestion d’énergie par les collectivités locales et les citoyens est un enjeu fondamental. Les projets énergétiques publics ou citoyens émergent de la mobilisation de citoyens, d’associations ou d’élus locaux, tous concernés par la politique énergétique des territoires. Ils doivent s’appuyer sur les critères suivants : ancrage local, finalité non spéculative, «bonne gouvernance» et respect de l’environnement.
Animé par Yannick Régnier, chargé de mission Territoires au CLER, Réseau pour la transition énergétique
Intervenants :
> Projet éolien participatif "Les Landes du Mené"
Gilles Aignel et Gilles Rault, gérants de la CIMES1, structure d’investissement local du Mené
> Le parc éolien citoyen de Béganne
Pierre Jourdain, chargé de développement de projets éoliens citoyens, Éoliennes en Pays de Vilaine
> Du local à Energie Partagée... et réciproquement
Christelle Sauvage, présidente d'Enercoop Ardennes-Champagne et de l'association Énergie Partagée
> Une société d'investissement dédiée au développement des énergies renouvelables en Région Bretagne
Dominique Ramard, vice-Président chargé de l'énergie de la région Bretagne
> Une régie de production d'énergies renouvelables portée par le syndicat d'énergies
Patrick Villalon, chef du Service Énergie - Environnement du SyDEV (syndicat départemental d’énergie de la Vendée)
Cet atelier s'est déroulé le jeudi 12 juin 2011 dans le Mené, dans le cadre des 1ères rencontres nationales "énergie et territoires ruraux, vers des territoires à énergie positive".
Plus d'informations: www.territoires-energie-positive.fr
Réduisez votre retour sur investissement, améliorez vos couts d\'exploitation, profitez de généreuses subventions. Quand être "vert" est profitable!
De la responsabilité sociale d’Hydro-Québec dans la lutte aux Changements Cli...CollectifScientifique
Conférence de Bernard Saulnier
événement : Gazoduq / Énergie Saguenay : Où en est-on avec le projet de GNL Québec ? | Conférence du 27 novembre 2019 | Collectif scientifique gaz de schiste
L’Initiative pour l’Emploi Vert à Madagascar (IEVM)
Présentation de Hanta RABETALIANA (SG MEEMF) & Michaela PAWLICZEK
Journée Madagascar COP21 le 9 décembre 2015
Réseaux de chaleur et transition énergétique: les collectivités et les profes...Via seva
Communiqué de presse
La loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte a fixé pour objectif une multiplication par cinq de la quantité d’énergies renouvelables et de récupération livrée par les réseaux de chaleur et de froid d’ici à 2030. Alors que le Fonds Chaleur de l’ADEME a permis une vraie dynamique de développement des réseaux depuis 2009, leur avenir semble aujourd’hui incertain. En effet, dans un contexte de forte baisse du prix du gaz et de difficulté, voire d’impossibilité d’investissement des collectivités, les dispositifs de soutien actuels sont à la peine et ne permettent plus de créer ou de développer des réseaux vertueux. Le doublement du Fonds Chaleur annoncé par la ministre de l’Environnement est désormais une nécessité absolue.
250 000 nouveaux logements raccordés aux réseaux de chaleur en 10 ans.Via seva
Les réseaux de chaleur séduisent de plus en plus de Français
250 000 logements, bureaux et commerces supplémentaires raccordés à un réseau de chaleur: c’est le chiffre révélé par l’enquête annuelle de branche menée par le SNCU . Ainsi, ce sont aujourd’hui près de 7 millions de Français qui sont chauffés grâce aux réseaux de chaleur. Et ce n’est qu’un début ! Pour Guillaume Planchot, Président de l’association Via sèva : « Cette progression va aller crescendo puisque que ce type de chauffage répond à la fois aux attentes des Français mais également aux objectifs environnementaux de notre pays dans le cadre de la transition énergétique ».
La commune de Saint-Nicolas de la Grave accueille le programme Renovillages d...butagaz3
Butagaz, toujours plus proche et à l’écoute des consommateurs, propose d’apporter les réponses à ses problématiques d’économie d’énergie avec le programme « Rénovillages de France » lancé avec succès en 2012
[FRANCE] Newsletter Innovation décembre 2016LEYTON
Découvrez notre nouvelle newsletter dédiée au financement l'innovation. Au programme : réseaux énergétiques intelligents, microplastiques dans l'environnement, dépôt de brevet...
Une société d'investissement dédiée au développement des énergies renouvelabl...Réseau Tepos
L'INVESTISSEMENT DES CITOYENS ET DES COLLECTIVITES DANS LES GRANDS PROJETS ENERGETIQUES
La réappropriation démocratique des moyens de production, de distribution et de gestion d’énergie par les collectivités locales et les citoyens est un enjeu fondamental. Les projets énergétiques publics ou citoyens émergent de la mobilisation de citoyens, d’associations ou d’élus locaux, tous concernés par la politique énergétique des territoires. Ils doivent s’appuyer sur les critères suivants : ancrage local, finalité non spéculative, «bonne gouvernance» et respect de l’environnement.
Animé par Yannick Régnier, chargé de mission Territoires au CLER, Réseau pour la transition énergétique
Intervenants :
> Projet éolien participatif "Les Landes du Mené"
Gilles Aignel et Gilles Rault, gérants de la CIMES1, structure d’investissement local du Mené
> Le parc éolien citoyen de Béganne
Pierre Jourdain, chargé de développement de projets éoliens citoyens, Éoliennes en Pays de Vilaine
> Du local à Energie Partagée... et réciproquement
Christelle Sauvage, présidente d'Enercoop Ardennes-Champagne et de l'association Énergie Partagée
> Une société d'investissement dédiée au développement des énergies renouvelables en Région Bretagne
Dominique Ramard, vice-Président chargé de l'énergie de la région Bretagne
> Une régie de production d'énergies renouvelables portée par le syndicat d'énergies
Patrick Villalon, chef du Service Énergie - Environnement du SyDEV (syndicat départemental d’énergie de la Vendée)
Cet atelier s'est déroulé le jeudi 12 juin 2011 dans le Mené, dans le cadre des 1ères rencontres nationales "énergie et territoires ruraux, vers des territoires à énergie positive".
Plus d'informations: www.territoires-energie-positive.fr
À l’heure du déconfinement pour certains pays dont le nôtre, les élèves du mastère OSE se sont attelés à la rédaction d’articles en faveur de la lutte contre le réchauffement climatique.
Ceux-ci sont à l’image d’une remise en question de certains choix de société, nécessaire à la survie de notre espèce : mieux et moins consommer afin d’assurer une gestion équitable et durable de ressources existantes, pour la plupart en quantités limitées.
Du local à Energie Partagée... et réciproquementRéseau Tepos
L'INVESTISSEMENT DES CITOYENS ET DES COLLECTIVITES DANS LES GRANDS PROJETS ENERGETIQUES
La réappropriation démocratique des moyens de production, de distribution et de gestion d’énergie par les collectivités locales et les citoyens est un enjeu fondamental. Les projets énergétiques publics ou citoyens émergent de la mobilisation de citoyens, d’associations ou d’élus locaux, tous concernés par la politique énergétique des territoires. Ils doivent s’appuyer sur les critères suivants : ancrage local, finalité non spéculative, «bonne gouvernance» et respect de l’environnement.
Animé par Yannick Régnier, chargé de mission Territoires au CLER, Réseau pour la transition énergétique
Intervenants :
> Projet éolien participatif "Les Landes du Mené"
Gilles Aignel et Gilles Rault, gérants de la CIMES1, structure d’investissement local du Mené
> Le parc éolien citoyen de Béganne
Pierre Jourdain, chargé de développement de projets éoliens citoyens, Éoliennes en Pays de Vilaine
> Du local à Energie Partagée... et réciproquement
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> Une société d'investissement dédiée au développement des énergies renouvelables en Région Bretagne
Dominique Ramard, vice-Président chargé de l'énergie de la région Bretagne
> Une régie de production d'énergies renouvelables portée par le syndicat d'énergies
Patrick Villalon, chef du Service Énergie - Environnement du SyDEV (syndicat départemental d’énergie de la Vendée)
Cet atelier s'est déroulé le jeudi 12 juin 2011 dans le Mené, dans le cadre des 1ères rencontres nationales "énergie et territoires ruraux, vers des territoires à énergie positive".
Plus d'informations: www.territoires-energie-positive.fr
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De la responsabilité sociale d’Hydro-Québec dans la lutte aux Changements Cli...CollectifScientifique
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événement : Gazoduq / Énergie Saguenay : Où en est-on avec le projet de GNL Québec ? | Conférence du 27 novembre 2019 | Collectif scientifique gaz de schiste
L’Initiative pour l’Emploi Vert à Madagascar (IEVM)
Présentation de Hanta RABETALIANA (SG MEEMF) & Michaela PAWLICZEK
Journée Madagascar COP21 le 9 décembre 2015
Réseaux de chaleur et transition énergétique: les collectivités et les profes...Via seva
Communiqué de presse
La loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte a fixé pour objectif une multiplication par cinq de la quantité d’énergies renouvelables et de récupération livrée par les réseaux de chaleur et de froid d’ici à 2030. Alors que le Fonds Chaleur de l’ADEME a permis une vraie dynamique de développement des réseaux depuis 2009, leur avenir semble aujourd’hui incertain. En effet, dans un contexte de forte baisse du prix du gaz et de difficulté, voire d’impossibilité d’investissement des collectivités, les dispositifs de soutien actuels sont à la peine et ne permettent plus de créer ou de développer des réseaux vertueux. Le doublement du Fonds Chaleur annoncé par la ministre de l’Environnement est désormais une nécessité absolue.
250 000 nouveaux logements raccordés aux réseaux de chaleur en 10 ans.Via seva
Les réseaux de chaleur séduisent de plus en plus de Français
250 000 logements, bureaux et commerces supplémentaires raccordés à un réseau de chaleur: c’est le chiffre révélé par l’enquête annuelle de branche menée par le SNCU . Ainsi, ce sont aujourd’hui près de 7 millions de Français qui sont chauffés grâce aux réseaux de chaleur. Et ce n’est qu’un début ! Pour Guillaume Planchot, Président de l’association Via sèva : « Cette progression va aller crescendo puisque que ce type de chauffage répond à la fois aux attentes des Français mais également aux objectifs environnementaux de notre pays dans le cadre de la transition énergétique ».
La commune de Saint-Nicolas de la Grave accueille le programme Renovillages d...butagaz3
Butagaz, toujours plus proche et à l’écoute des consommateurs, propose d’apporter les réponses à ses problématiques d’économie d’énergie avec le programme « Rénovillages de France » lancé avec succès en 2012
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La réappropriation démocratique des moyens de production, de distribution et de gestion d’énergie par les collectivités locales et les citoyens est un enjeu fondamental. Les projets énergétiques publics ou citoyens émergent de la mobilisation de citoyens, d’associations ou d’élus locaux, tous concernés par la politique énergétique des territoires. Ils doivent s’appuyer sur les critères suivants : ancrage local, finalité non spéculative, «bonne gouvernance» et respect de l’environnement.
Animé par Yannick Régnier, chargé de mission Territoires au CLER, Réseau pour la transition énergétique
Intervenants :
> Projet éolien participatif "Les Landes du Mené"
Gilles Aignel et Gilles Rault, gérants de la CIMES1, structure d’investissement local du Mené
> Le parc éolien citoyen de Béganne
Pierre Jourdain, chargé de développement de projets éoliens citoyens, Éoliennes en Pays de Vilaine
> Du local à Energie Partagée... et réciproquement
Christelle Sauvage, présidente d'Enercoop Ardennes-Champagne et de l'association Énergie Partagée
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Dominique Ramard, vice-Président chargé de l'énergie de la région Bretagne
> Une régie de production d'énergies renouvelables portée par le syndicat d'énergies
Patrick Villalon, chef du Service Énergie - Environnement du SyDEV (syndicat départemental d’énergie de la Vendée)
Cet atelier s'est déroulé le jeudi 12 juin 2011 dans le Mené, dans le cadre des 1ères rencontres nationales "énergie et territoires ruraux, vers des territoires à énergie positive".
Plus d'informations: www.territoires-energie-positive.fr
À l’heure du déconfinement pour certains pays dont le nôtre, les élèves du mastère OSE se sont attelés à la rédaction d’articles en faveur de la lutte contre le réchauffement climatique.
Ceux-ci sont à l’image d’une remise en question de certains choix de société, nécessaire à la survie de notre espèce : mieux et moins consommer afin d’assurer une gestion équitable et durable de ressources existantes, pour la plupart en quantités limitées.
Conférence de madame Pauline D’Amboise, secrétaire générale et vice-présidente Gouvernance, Responsabilité sociale du Mouvement Desjardins sur la tendance de l’innovation sociétale : l’économie verte.
Troisième Révolution Industrielle et Agricole - Vision 2020 en Pays de la LoireInterconsulaire 909
Co-écrite par les 3 Chambres consulaires des Pays de la Loire (Agriculture, Commerce et Industrie, Artisanat et Métiers), la "Vision 2020" est un document stratégique à 5 ans qui vise à créer une dynamique partagée autour d'objectifs et d'opportunités pour les entreprises.
Il s'appuie sur des actions, acteurs déjà mobilisées et décrit des transformations probables dans le paysage économique de la région.
- Selon les définitions de l’Observatoire national des emplois et métiers de l’économie verte, ce sont aujourd’hui 4,4 millions de personnes qui occupent des métiers dits « verts » ou « verdissants », dont près de 800 000 cadres du privé
- Sous l’effet de la transition écologique, le verdissement des emplois va s’amplifier dans de nombreuses activités et entreprises, notamment pour intégrer des modes de production et de consommation moins énergivores et plus durables
- Le développement de l’économie verte nécessite la maîtrise de compétences pointues dans les métiers « verts » et aussi la montée en compétences liée au verdissement
GreenUnivers a publié son Panorama des cleantech en France en 2016, réalisé en partenariat avec le cabinet EY et le Pexe, le réseau des éco-entreprises. C’est la cinquième édition de ce document de référence qui dresse un bilan des politiques publiques, des financements verts publics et privés, des tendances en matière d’innovation et de business dans huit secteurs clés et qui, cette année, s’intéresse aussi au nouveau rôle joué par les régions, promues chefs de file de la transition énergétique. Cette édition 2016, riche de près de 100 pages, a été réalisée grâce au soutien de nos partenaires, tous des acteurs clés de la transition énergétique : le groupe Engie, Business France, le groupe Ecosys et le Cleantech Open France et le fonds Demeter Partners.
Vous trouverez ci-dessous une synthèse de ce Panorama 2016 dont vous pouvez télécharger la version intégrale en fin d’article.
Nous vous souhaitons une bonne lecture.
Lors du conseil des ministres du 18 juin, Ségolène Royal a présenté les grands axes du projet de loi de programmation pour la transition énergétique transmis au Parlement en juillet, ainsi que les actions qui la mettent concrètement en œuvre.
Voir aussi : http://reseauxchaleur.wordpress.com/2014/06/26/les-reseaux-de-chaleur-dans-le-projet-de-loi-de-transition-energetique/
Ce document exclusif fait le point en 120 pages sur les politiques publiques, les financements publics et privés, l’action des grands groupes et les stratégies d’innovation et passe au crible près de dix secteurs clés (solaire, éolien, énergies marines, écomobilité, bâtiment vert, smart grids…). Il permet de voir comment évolue l’économie verte dans l’Hexagone à quelques mois de la conférence climat de l’ONU qui va braquer les projecteurs sur notre pays.
Plusieurs tendances transversales se dégagent :
La reprise des investissements, en fonds propres et dans les projets : amorcée en 2014, elle devrait se poursuivre cette année.
L’internationalisation des entreprises, notamment dans les énergies renouvelables. C’est en allant chercher la croissance ailleurs que de belles ETI sont en train d’émerger.
Le décloisonnement de l’innovation : c’est l’ère de l’open innovation où grands groupes, PME, start-up, laboratoires publics apprennent à travailler ensemble.
La digitalisation des cleantech : de l’écomobilité à l’efficacité énergétique, l’innovation verte fait de plus en plus de place aux technologies numériques et aux objets connectés.
La montée en puissance des territoires, entre la multiplication des appels à projets et la mise en place de financements régionaux.
L’émergence progressive de la ville de demain entre la mise en place des réseaux intelligents, l’essor des nouvelles formes de mobilité et des bâtiments économes en énergie.
Nous vous souhaitons une bonne lecture de ce Panorama, réalisé avec le soutien de GDF Suez, Business France, HSBC, Demeter Partners et Ecosys group/Cleantech Open.
GreenUnivers et EY
Les données d’offres d’emplois en ligne d'entreprises telles que Vicinity Jobs servent de plus en plus de complément aux sources traditionnelles de données sur la demande de main-d'œuvre, telles que les enquêtes sur les postes vacants et les salaires (EPVS). Ibrahim Abuallail, candidat au Ph. D., Université d’Ottawa, a présenté la recherche relative aux biais dans les offres d’emploi en ligne et une approche proposée pour rajuster efficacement les données de ces offres d’emploi afin de compléter les données officielles existantes (telles que celles des EPVS) et d'améliorer la mesure de la demande de main-d'œuvre.
Dans un marché du travail tendu, les demandeurs d'emploi acquièrent un pouvoir de négociation qui leur permet d'améliorer la qualité de leurs emplois — c'est du moins ce que l'on croit généralement.
Michael Willcox, économiste, CIMT, a présenté des résultats qui révèlent un affaiblissement de la relation entre le resserrement du marché du travail et les indicateurs de qualité de l'emploi à la suite de la pandémie. Le resserrement du marché du travail a coïncidé avec la croissance des salaires réels pour une partie seulement des travailleurs : ceux qui occupent des emplois peu rémunérés nécessitant peu d'éducation. Plusieurs facteurs — notamment la composition du marché du travail, le comportement des travailleurs et des employeurs, et les pratiques du marché du travail — ont contribué à l'absence d'avantages pour les travailleurs. Ces facteurs feront l'objet d'une étude plus approfondie dans le cadre de travaux futurs.
Les offres d’emploi en ligne deviennent une ressource essentielle pour les décideurs et les chercheurs qui étudient le marché du travail. Le CIMT continue de travailler avec les données de Vicinity Jobs tirées des offres d’emploi en ligne, qui peuvent être analysées dans notre
tableau de bord des tendances de l'emploi au Canada. Notre analyse des données provenant des offres d’emploi en ligne a permis d'obtenir des informations précieuses, notamment le
récent rapport
de Suzanne Spiteri sur l'amélioration de la qualité et de l'accessibilité des offres d'emploi afin de réduire les obstacles à l'emploi pour les personnes neurodivergentes.
Comment réindustrialiser la France et « sauver l’humanité » grâce à un club c...Nicolas Meilhan
Huit ans après la COP21, la transition énergétique est en panne sèche. Malgré les bonnes volontés, des normes de plus en plus sévères et des investissements pharaoniques dans les énergies renouvelables, nous échouons à décarboner l’économie mondiale. Huit ans après Le Bourget, l’Humanité persiste dans sa schizophrénie climatique. Alors que le réchauffement s’accélère en rythmant notre quotidien, la consommation mondiale de combustibles fossiles bat des records d’année en année.
Et le ciel continue de s’assombrir. Tandis que les pays émergents, Chine et Inde en tête, continuent de privilégier légitimement leur développement en augmentant significativement leur consommation de fossiles, une « bulle verte » est en train d’exploser en Europe. Eoliennes, panneaux solaires, hydrogène, voitures électriques et même Pompes à Chaleur tous les indicateurs sont dans le rouge vif. La faute notamment au prix des matières premières et aux taux d’intérêts qui ont érodé un peu plus la rentabilité déjà faible de projets verts.
Les politiques publiques aujourd’hui engagées nous dirigent vers le scénario SSP4 du GIEC correspondant à un réchauffement de 2,7° à l’horizon 2100. Un scénario principalement dans les mains des pays émergents. Comptant aujourd’hui pour 82% de la population mondiale, ils représenteront 90% des émissions à l’horizon 2050.
Face à cette situation il est impératif de changer de logiciel s’attaquant en priorité à l’électricité charbonnière (27% des émissions mondiales) concentrée à 93% dans un « club » de 14 pays produisant plus de 100 TWh/an. Parallèlement il faudrait constituer un « fonds climat » permettant d’aider les pays les plus pauvres à s’adapter aux conséquences du réchauffement dont 90% des victimes se situent dans les pays émergents.
Pour conjuguer les deux objectifs, nous proposons d’instaurer une taxe à l’importation égale à un quart du pourcentage électrique charbonnier sur les biens en provenance du « club des 14 ». Collectés par un organisme international, les fonds seraient ensuite redistribués aux pays les plus pauvres pour qu’ils puissent à la fois assurer leur transition et surtout s’adapter au réchauffement.
La méthode est triplement vertueuse. Renchérissant le prix des produits exportés, elle encouragerait le « Club 14 » à déplacer rapidement son électricité charbonnière vers des sources décarbonées, elle inciterait le consommateur à réorienter ses achats vers
des produits à empreinte carbone plus faible, elle permettrait aux pays les plus pauvres de financer massivement leurs projets d’atténuation et surtout d’adaptation indispensables à leur survie face au réchauffement climatique. Elle ne pourrait toutefois s’appliquer qu’avec un assentiment mondial voté au niveau de la Conférence des Parties.
Les données de Vicinity Jobs englobent plus de trois millions d'offres d'emploi en ligne pour 2023 ainsi que des milliers de compétences. La plupart des compétences apparaissent dans moins de 0,02 % des offres d'emploi, de sorte que la plupart des offres reposent sur un petit sous-ensemble de termes couramment utilisés, comme le travail en équipe.
Laura Adkins-Hackett, économiste, CIMT, et Sukriti Trehan, scientifique de données, CIMT, ont présenté leurs recherches sur les tendances relatives aux compétences répertoriées dans les offres d’emploi en ligne afin de mieux comprendre les compétences les plus en demande. Ce projet de recherche utilise l'information mutuelle spécifique et d'autres méthodes pour extraire davantage d'informations sur les compétences communes à partir des relations entre les compétences, les professions et les régions.
1. Des contraintes de temps, mais de nombreuses possibilités à exploiter
C’est un fait : notre avenir énergétique est contraint à une indispensable transition
pour stabiliser les températures sous la barre des 2 °C d’augmentation. Hervé Le
Treut, climatologue et membre du GIEC décrit l’urgence de la situation, et mentionne
l’engagement de 146 pays, dans un processus vertueux, pour atteindre la « neutralité
carbone » à la fin du siècle. Pour Ivan Grenetier, consultant-enseignant en respon-
sabilité sociétale, la clé réside aussi dans la promotion de nouveaux comportements
et de modèles économiques : le mix énergétique, constitué par les énergies solaire,
éolienne, hydraulique et la biomasse, pourrait couvrir une partie de nos besoins. En la
matière, les initiatives entrepreneuriales ont heureusement devancé les politiques, et
certains organismes financiers, s’attachent à favoriser l’émergence d’une économie
« décarbonée ».
L’exemple aquitain
Territoire dynamique, l’Aquitaine accueille le plus grand parc solaire d’Europe,
bénéficie d’un certain potentiel éolien et est doté d’une filière bois-énergie
très performante. Il a notamment vu naître les sociétés VALOREM, et EXO-
SUN, pionnières dans leur domaine respectif : la première est spécialisée dans
la conception et la construction de parcs éoliens, et la seconde a développé
un tracker (ou suiveur) solaire pour les grandes centrales solaires au sol. Pour
grandir, puis exporter leur expertise et leurs produits, ces entreprises de talent
ont bénéficié du soutien d’Unifergie, filiale du Crédit Agricole, dans le cadre de
son financement régional de projets liés à l’efficacité énergétique et à l’énergie
renouvelable.
Jack Bouin, directeur général du Crédit Agricole Aquitaine
Un panel d’actions en faveur de la transition énergétique sur le territoire
« Nous proposons des financements spécifiques aux ménages pour la rénovation énergétique des
logements, avec en 2014, près de 700 dossiers, pour 72 millions d’euros d’encours. Nous accompagnons
le développement des entreprises par le biais de prêts ou de prises de participation dans leur capital, et nous
soutenons des projets photovoltaïques, avec le concours de la Région. Nous participons à un fonds de dotation
en faveur du reboisement avec Alliance Forêts Bois. Enfin, en tant qu’entreprise, notre démarche RSE passe
notamment par la dématérialisation des documents, l’adoption de la signature électronique, le recyclage du
papier et des cartes de crédit, l’utilisation de véhicules électriques et nous privilégions les Web conférences. »
ENERGIES VERTES : Une conférence réunit les acteurs de l’Aquitaine
Un territoire dans la dynamique du changement climatique
ÀquelquesjoursdelaCOP21,leCréditAgricoleAquitaineetlemagazine« Valeursvertes »ontconviélesacteursengagés-scientifiques,
chefs d’entreprises et financeurs - à nourrir le débat à l’échelon régional. L’écosystème Darwin de Bordeaux, lieu éco-responsable, a tout
naturellement accueilli cet événement.
Laurence Fauché-Nicoleau
PUBLICITÉ
CAISSE RÉGIONALE DE CRÉDIT AGRICOLE MUTUEL D’AQUITAINE - Société coopérative à capital variable, agréée en tant qu’établissement de crédit. Société de courtage d’assurances immatriculée au registre des
intermédiaires en assurance sous le N° 07 022 491. 304, bd du Président Wilson - 33076 BORDEAUX CEDEX. RCS BORDEAUX 434 651 246.