Mona 2017 / Webséminaire : Les bonnes questions à se poser avant de mettre en...MONA
Tourisme et Community Manager !!! Quelle stratégie adoptée en fonction du réseau social utilisé ? Pour ne pas aller dans toutes les directions et bien choisir son angle d'attaque selon les cibles visée, nous avons demandé à Sébastien Repéto de My Destination de répondre à cette question.
Guide réseaux sociaux (ministère culture)Build Green
Le ministère de la Culture et de la Communication a fait réalisé un guide des réseaux sociaux, afin de mieux comprendre comment fonctionnent ces plateformes et comment mieux les maîtriser.
Mona 2017 / Webséminaire : Les bonnes questions à se poser avant de mettre en...MONA
Tourisme et Community Manager !!! Quelle stratégie adoptée en fonction du réseau social utilisé ? Pour ne pas aller dans toutes les directions et bien choisir son angle d'attaque selon les cibles visée, nous avons demandé à Sébastien Repéto de My Destination de répondre à cette question.
Guide réseaux sociaux (ministère culture)Build Green
Le ministère de la Culture et de la Communication a fait réalisé un guide des réseaux sociaux, afin de mieux comprendre comment fonctionnent ces plateformes et comment mieux les maîtriser.
A presentation I gave for the HEG (Geneva School of Business Administartion), aimed at presenting social media management to SME owners and/or managers, institutional communication managers and business administrattion students
Présentation interne le jeudi 7 novembre 2013 :
- Définitions et usages
- Caractéristiques et codes d'écriture
- Exemples : Twitter, Facebook, Youtube, Slideshare, Viadeo et Linkedin
- La galaxie Google
- Les tendances lourdes des médias sociaux
- Usages
- Cas d'entreprise
- Outils de mesure
- Médias sociaux et précautions d'usage
- ...
Extrait livre moi 2.0 devenez l'entrepreneur de votre vie grâce au personal b...Fadhila BRAHIMI
Extrait du livre Moi 2.0 "Devenez l'entrepreneur de votre vie grâce au Personal Branding" une adaptation de Me 2.0 de Dan Schawbel adapté pour la France par Fadhila Brahimi aux Editions Leduc s.
socio performance : introduction du rapport d'innovation de courts circuitsnous sommes vivants
Rapport d'innovation de courts circuits : la socio performance (intelligence collective, crowdsourcing, community planning, réseaux, communautés de sens, autonomie collective, participation, innovation et création collective, créatif culturels)
La socio-performance vise la réussite des enjeux collectifs, personnels et communautaires. Dans un contexte de mondialisation l’aventure humaine est plus que jamais collective. Ainsi la performance individuelle se situe de plus en plus dans un contexte de performance collective. Celle des groupes, des équipes, des communautés de tous ordres : communautés sociales, politiques, économiques, d’entreprises comme de pays ou communes, de sociétés ou d’associations et toutes les formes classiques ou nouvelles de communautés d’enjeu et de devenir.
La performance des entreprises dépend plus que jamais de leur capacité à mobiliser les personnes externes à l'entreprise autour du développement de leurs marques à chaque niveau d'interaction : corporate ou commercial, marketing ou communication, média ou RH....
On parle de socio-performance pour évaluer cette capacité à créer du lien social et culturel avec les parties prenantes et à faire fonctionner en mode participatif des communautés d'interets pourtant divergentes. Toute construction collective dépend de l'implication de chaque individu et n'est que la somme des actions engagées dans une même finalité.
C'est pourquoi les entreprises « socio performantes » sont celles qui parviennent à donner un sens commun à leurs activités sans perdre de vue l'intéret personnel poursuivit par chacun, et qui réussissent à faire interagir l'ensemble de leurs parties prenantes autour d'un projet collectif, de valeurs communes, et de rêgles plus justes.
Le thème a une portée sur :
- le lobbying de marque et la mobilisation des communautés d'interet
- les nouvelles valeurs et perspectives corporate en externe et interne
- la nouvelle construction identitaire des marques qui étendent leur portée
- l'innovation collective et le crowdsourcing
- l'engagement planning, nouveaux discours de marque plus impliquants
- nouvelle approche de connexion planning : créer du lien entre les gens
- plus loin que le community management, le community planning
- médias participatifs
- l'interactivité dans les médias
- les systèmes organisationnels coopératif et web 3.0
Rapport d'innovation de courts circuits : la socio performance (intelligence collective, crowdsourcing, community planning, réseaux, communautés de sens, autonomie collective, participation, innovation et création collective, créatif culturels)
La socio-performance vise la réussite des enjeux collectifs, personnels et communautaires. Dans un contexte de mondialisation l’aventure humaine est plus que jamais collective. Ainsi la performance individuelle se situe de plus en plus dans un contexte de performance collective. Celle des groupes, des équipes, des communautés de tous ordres : communautés sociales, politiques, économiques, d’entreprises comme de pays ou communes, de sociétés ou d’associations et toutes les formes classiques ou nouvelles de communautés d’enjeu et de devenir.
La performance des entreprises dépend plus que jamais de leur capacité à mobiliser les personnes externes à l'entreprise autour du développement de leurs marques à chaque niveau d'interaction : corporate ou commercial, marketing ou communication, média ou RH....
On parle de socio-performance pour évaluer cette capacité à créer du lien social et culturel avec les parties prenantes et à faire fonctionner en mode participatif des communautés d'interets pourtant divergentes. Toute construction collective dépend de l'implication de chaque individu et n'est que la somme des actions engagées dans une même finalité.
C'est pourquoi les entreprises « socio performantes » sont celles qui parviennent à donner un sens commun à leurs activités sans perdre de vue l'intéret personnel poursuivit par chacun, et qui réussissent à faire interagir l'ensemble de leurs parties prenantes autour d'un projet collectif, de valeurs communes, et de rêgles plus justes.
Le thème a une portée sur :
- le lobbying de marque et la mobilisation des communautés d'interet
- les nouvelles valeurs et perspectives corporate en externe et interne
- la nouvelle construction identitaire des marques qui étendent leur portée
- l'innovation collective et le crowdsourcing
- l'engagement planning, nouveaux discours de marque plus impliquants
- nouvelle approche de connexion planning : créer du lien entre les gens
- plus loin que le community management, le community planning
- médias participatifs
- l'interactivité dans les médias
- les systèmes organisationnels coopératif et web 3.0
GUIDE DE COMMUNICATION A L’USAGE DES ASSOCIATIONSJamaity
La communication associative
La communication associative découle du concept assez controversé du
marketing associatif*. Quand on évoque ce concept, des voix s’élèvent souvent
pour le dénoncer car, justement, on l’associe au marketing commercial* et à ses
techniques de vente et de manipulation. Or, le marketing associatif, de par ses
objectifs en faveur de l’intérêt général, loin des objectifs commerciaux et financiers
du marketing* classique est avant tout une démarche. C’est un effort de réflexion qui
consiste à conjuguer trois variables : objectifs, cibles et moyens de communication
afin de permettre à l’association de cibler son public pour mieux communiquer avec
lui dans le but d’atteindre les objectifs qu’elle s’est fixés.Aujourd’hui, cette démarche du marketing associatif semble incontournable au sein
des associations si elles veulent poursuivre leurs missions caritatives* et étendre
leurs actions. Dans cette logique, s’ensuit un autre concept non moins important :
La communication associative. Celle-ci s’impose pour plusieurs raisons :
- Elle garantit la visibilité, la notoriété* et la pérennité* des associations.
- Elle permet l’instauration d’un climat de confiance, d’échange et de partage entre
les différents acteurs aussi bien en interne qu’en externe.
- Elle permet aux associations de se démarquer les unes des autres pour collecter
des fonds, recruter des bénévoles et défendre leur cause.
Il s’agit, à terme, de donner au public l’envie de soutenir l’association. La
communication associative est, à ce titre, essentielle et plurielle puisqu’elle
varie en fonction de la spécificité de l’objet de chaque OSC. Il faut noter que les
associations n’ont pas besoin d’avoir une stratégie de communication élaborée
mais une méthode régulière de communication. La communication n’est pas figée,
elle est à repenser et à adapter à chaque contexte et à chaque objet
Influenceurs digitaux : entre nouveaux modèles communicationnels et sociologi...SarahMarcassin
Mémoire de Master 1 Information Communication parcours Médias, Publics et Cultures Numériques réalisé à l'Institut Français de Presse (Paris 2) portant sur les influenceurs.
Le rapport d'innovation finalisé de courts circuits sur les Communautés 2.0 : STRATEGIES 2.0, INNOVATION 2.0, MARKETING 2.0, MEDIA 2.0, WEB 2.0, COMMUNICATION 2.0, ENTREPRISE 2.0, CREATION 2.0 (réflexions, tendances, innovations, cas concrets)
Communautés 2.0
Après s’être alarmé pour la planète et avoir inclus l’écologie et le développement durable dans le champ de responsabilité des marques, une mutation s’opère dans la manière d’appréhender l’innovation, le marketing, la communication, les média et la création. Les marques commencent à étendre leur champ de responsabilité à la sphère sociale.
Ce mouvement est mû par l’apparition d’éléments nouveaux qu’il nous faut désormais prendre en compte dans l’approche stratégique de nos disciplines (voir premiere partie ci dessous).
- Après avoir redonné un sens à la consommation via l’accomplissement personnel, la nouveauté c’est de recontextualiser la consommation dans un parcours de vie, et de se mettre au service de la réalisation des projets de chacun : le développement approprié
- Les affaires humaines sont plus que jamais communautaires. On observe l’émergence de nouvelles communautés de Sens et de projet qui fonctionnent de manière ouverte, autonome et démocratique : la démocratie communautaire
- Les NTIC permettent, facilitent et accélèrent l’apparition et le développement des communautés : Le web comme toile transactionnelle inter humaine
Il se passe donc beaucoup de choses autour de nous, certaines personnes proposent des solutions concrètes pour réinventer le système… Il nous faut évoluer vers une nouvelle approche des affaires humaines.
Les 3 axes ayant guidé notre réflexion de groupe (partie 1
- Quelle est la nouvelle vision des personnes qui remettent l’homme au centre de l’économie, du marketing, de la création, des médias et de toutes les affaires humaines ?
- Qu’est-ce qui réunit les nouvelles communautés humaines ? Qu’y a-t-il à l’origine de ces « communions humaines » ? Des valeurs ? des projets ? Pourquoi agissent ils (agissons nous) ensemble ? Quelles coopérations se mettent en place, comment ?etc.
- En quoi les nouvelles technologies modifient-elles la constitution et le fonctionnement de ces nouvelles communautés humaines ?
Une exigence : des exemples concrets et menés a bien par des marques (partie 2, 3, 4, 5, 6)
- Entreprise 2.0
- Marketing 2.0
- Création 2.0
- Média 2.0
- Communication 2.0
Communication publique : ''le community manager doit apporter sa patte, déve...Damien ARNAUD
Emilie Naouri (@EmilieNaouri) est responsable de la communication digitale et des relations presse de l'Etablissement public d'aménagement Paris-Saclay (@ParisSaclay).
QUELLE MEDIATION SUR LES REPRESENTATIONS DU MONDE DU TRAVAIL ?Chauvet André
Conférence André Chauvet Rencontre avec l'entreprise 2018
Faire des choix professionnels éclairés suppose un recueil et une analyse d’informations multiples, en lien avec ses souhaits et talents mais bien évidemment relatives au monde du travail lui-même, les métiers, leurs caractéristiques, les emplois possibles, les évolutions qui les impactent et les transforment plus ou moins rapidement. Se pose alors la question de la nature, la richesse, l’actualisation des informations détenues par les personnes dans ce processus de décision. Une liberté de choix pour tous supposerait déjà au préalable un accès aux informations facilité mais également des possibilités de traitement et d’analyse partagées. Mais cela pourrait sous entendre que le monde de travail peut se décrire de manière rationnelle et objective et qu’il suffirait de transmettre des messages précis pour que chaque personne partage ces données communes. Cette observation, qui peut paraître de bon sens, se heurte vite à plusieurs difficultés majeures.
Mémoire de fin d'études : Créer de l'engagement sur les réseaux sociauxNina Mangeot
Mémoire de fin d'étude : Comment les marques peuvent-elles réussir à créer de l'engagement sur les principaux réseaux sociaux Facebook et Twitter, alors que leurs publications sont de moins en moins visibles ?
A presentation I gave for the HEG (Geneva School of Business Administartion), aimed at presenting social media management to SME owners and/or managers, institutional communication managers and business administrattion students
Présentation interne le jeudi 7 novembre 2013 :
- Définitions et usages
- Caractéristiques et codes d'écriture
- Exemples : Twitter, Facebook, Youtube, Slideshare, Viadeo et Linkedin
- La galaxie Google
- Les tendances lourdes des médias sociaux
- Usages
- Cas d'entreprise
- Outils de mesure
- Médias sociaux et précautions d'usage
- ...
Extrait livre moi 2.0 devenez l'entrepreneur de votre vie grâce au personal b...Fadhila BRAHIMI
Extrait du livre Moi 2.0 "Devenez l'entrepreneur de votre vie grâce au Personal Branding" une adaptation de Me 2.0 de Dan Schawbel adapté pour la France par Fadhila Brahimi aux Editions Leduc s.
socio performance : introduction du rapport d'innovation de courts circuitsnous sommes vivants
Rapport d'innovation de courts circuits : la socio performance (intelligence collective, crowdsourcing, community planning, réseaux, communautés de sens, autonomie collective, participation, innovation et création collective, créatif culturels)
La socio-performance vise la réussite des enjeux collectifs, personnels et communautaires. Dans un contexte de mondialisation l’aventure humaine est plus que jamais collective. Ainsi la performance individuelle se situe de plus en plus dans un contexte de performance collective. Celle des groupes, des équipes, des communautés de tous ordres : communautés sociales, politiques, économiques, d’entreprises comme de pays ou communes, de sociétés ou d’associations et toutes les formes classiques ou nouvelles de communautés d’enjeu et de devenir.
La performance des entreprises dépend plus que jamais de leur capacité à mobiliser les personnes externes à l'entreprise autour du développement de leurs marques à chaque niveau d'interaction : corporate ou commercial, marketing ou communication, média ou RH....
On parle de socio-performance pour évaluer cette capacité à créer du lien social et culturel avec les parties prenantes et à faire fonctionner en mode participatif des communautés d'interets pourtant divergentes. Toute construction collective dépend de l'implication de chaque individu et n'est que la somme des actions engagées dans une même finalité.
C'est pourquoi les entreprises « socio performantes » sont celles qui parviennent à donner un sens commun à leurs activités sans perdre de vue l'intéret personnel poursuivit par chacun, et qui réussissent à faire interagir l'ensemble de leurs parties prenantes autour d'un projet collectif, de valeurs communes, et de rêgles plus justes.
Le thème a une portée sur :
- le lobbying de marque et la mobilisation des communautés d'interet
- les nouvelles valeurs et perspectives corporate en externe et interne
- la nouvelle construction identitaire des marques qui étendent leur portée
- l'innovation collective et le crowdsourcing
- l'engagement planning, nouveaux discours de marque plus impliquants
- nouvelle approche de connexion planning : créer du lien entre les gens
- plus loin que le community management, le community planning
- médias participatifs
- l'interactivité dans les médias
- les systèmes organisationnels coopératif et web 3.0
Rapport d'innovation de courts circuits : la socio performance (intelligence collective, crowdsourcing, community planning, réseaux, communautés de sens, autonomie collective, participation, innovation et création collective, créatif culturels)
La socio-performance vise la réussite des enjeux collectifs, personnels et communautaires. Dans un contexte de mondialisation l’aventure humaine est plus que jamais collective. Ainsi la performance individuelle se situe de plus en plus dans un contexte de performance collective. Celle des groupes, des équipes, des communautés de tous ordres : communautés sociales, politiques, économiques, d’entreprises comme de pays ou communes, de sociétés ou d’associations et toutes les formes classiques ou nouvelles de communautés d’enjeu et de devenir.
La performance des entreprises dépend plus que jamais de leur capacité à mobiliser les personnes externes à l'entreprise autour du développement de leurs marques à chaque niveau d'interaction : corporate ou commercial, marketing ou communication, média ou RH....
On parle de socio-performance pour évaluer cette capacité à créer du lien social et culturel avec les parties prenantes et à faire fonctionner en mode participatif des communautés d'interets pourtant divergentes. Toute construction collective dépend de l'implication de chaque individu et n'est que la somme des actions engagées dans une même finalité.
C'est pourquoi les entreprises « socio performantes » sont celles qui parviennent à donner un sens commun à leurs activités sans perdre de vue l'intéret personnel poursuivit par chacun, et qui réussissent à faire interagir l'ensemble de leurs parties prenantes autour d'un projet collectif, de valeurs communes, et de rêgles plus justes.
Le thème a une portée sur :
- le lobbying de marque et la mobilisation des communautés d'interet
- les nouvelles valeurs et perspectives corporate en externe et interne
- la nouvelle construction identitaire des marques qui étendent leur portée
- l'innovation collective et le crowdsourcing
- l'engagement planning, nouveaux discours de marque plus impliquants
- nouvelle approche de connexion planning : créer du lien entre les gens
- plus loin que le community management, le community planning
- médias participatifs
- l'interactivité dans les médias
- les systèmes organisationnels coopératif et web 3.0
GUIDE DE COMMUNICATION A L’USAGE DES ASSOCIATIONSJamaity
La communication associative
La communication associative découle du concept assez controversé du
marketing associatif*. Quand on évoque ce concept, des voix s’élèvent souvent
pour le dénoncer car, justement, on l’associe au marketing commercial* et à ses
techniques de vente et de manipulation. Or, le marketing associatif, de par ses
objectifs en faveur de l’intérêt général, loin des objectifs commerciaux et financiers
du marketing* classique est avant tout une démarche. C’est un effort de réflexion qui
consiste à conjuguer trois variables : objectifs, cibles et moyens de communication
afin de permettre à l’association de cibler son public pour mieux communiquer avec
lui dans le but d’atteindre les objectifs qu’elle s’est fixés.Aujourd’hui, cette démarche du marketing associatif semble incontournable au sein
des associations si elles veulent poursuivre leurs missions caritatives* et étendre
leurs actions. Dans cette logique, s’ensuit un autre concept non moins important :
La communication associative. Celle-ci s’impose pour plusieurs raisons :
- Elle garantit la visibilité, la notoriété* et la pérennité* des associations.
- Elle permet l’instauration d’un climat de confiance, d’échange et de partage entre
les différents acteurs aussi bien en interne qu’en externe.
- Elle permet aux associations de se démarquer les unes des autres pour collecter
des fonds, recruter des bénévoles et défendre leur cause.
Il s’agit, à terme, de donner au public l’envie de soutenir l’association. La
communication associative est, à ce titre, essentielle et plurielle puisqu’elle
varie en fonction de la spécificité de l’objet de chaque OSC. Il faut noter que les
associations n’ont pas besoin d’avoir une stratégie de communication élaborée
mais une méthode régulière de communication. La communication n’est pas figée,
elle est à repenser et à adapter à chaque contexte et à chaque objet
Influenceurs digitaux : entre nouveaux modèles communicationnels et sociologi...SarahMarcassin
Mémoire de Master 1 Information Communication parcours Médias, Publics et Cultures Numériques réalisé à l'Institut Français de Presse (Paris 2) portant sur les influenceurs.
Le rapport d'innovation finalisé de courts circuits sur les Communautés 2.0 : STRATEGIES 2.0, INNOVATION 2.0, MARKETING 2.0, MEDIA 2.0, WEB 2.0, COMMUNICATION 2.0, ENTREPRISE 2.0, CREATION 2.0 (réflexions, tendances, innovations, cas concrets)
Communautés 2.0
Après s’être alarmé pour la planète et avoir inclus l’écologie et le développement durable dans le champ de responsabilité des marques, une mutation s’opère dans la manière d’appréhender l’innovation, le marketing, la communication, les média et la création. Les marques commencent à étendre leur champ de responsabilité à la sphère sociale.
Ce mouvement est mû par l’apparition d’éléments nouveaux qu’il nous faut désormais prendre en compte dans l’approche stratégique de nos disciplines (voir premiere partie ci dessous).
- Après avoir redonné un sens à la consommation via l’accomplissement personnel, la nouveauté c’est de recontextualiser la consommation dans un parcours de vie, et de se mettre au service de la réalisation des projets de chacun : le développement approprié
- Les affaires humaines sont plus que jamais communautaires. On observe l’émergence de nouvelles communautés de Sens et de projet qui fonctionnent de manière ouverte, autonome et démocratique : la démocratie communautaire
- Les NTIC permettent, facilitent et accélèrent l’apparition et le développement des communautés : Le web comme toile transactionnelle inter humaine
Il se passe donc beaucoup de choses autour de nous, certaines personnes proposent des solutions concrètes pour réinventer le système… Il nous faut évoluer vers une nouvelle approche des affaires humaines.
Les 3 axes ayant guidé notre réflexion de groupe (partie 1
- Quelle est la nouvelle vision des personnes qui remettent l’homme au centre de l’économie, du marketing, de la création, des médias et de toutes les affaires humaines ?
- Qu’est-ce qui réunit les nouvelles communautés humaines ? Qu’y a-t-il à l’origine de ces « communions humaines » ? Des valeurs ? des projets ? Pourquoi agissent ils (agissons nous) ensemble ? Quelles coopérations se mettent en place, comment ?etc.
- En quoi les nouvelles technologies modifient-elles la constitution et le fonctionnement de ces nouvelles communautés humaines ?
Une exigence : des exemples concrets et menés a bien par des marques (partie 2, 3, 4, 5, 6)
- Entreprise 2.0
- Marketing 2.0
- Création 2.0
- Média 2.0
- Communication 2.0
Communication publique : ''le community manager doit apporter sa patte, déve...Damien ARNAUD
Emilie Naouri (@EmilieNaouri) est responsable de la communication digitale et des relations presse de l'Etablissement public d'aménagement Paris-Saclay (@ParisSaclay).
QUELLE MEDIATION SUR LES REPRESENTATIONS DU MONDE DU TRAVAIL ?Chauvet André
Conférence André Chauvet Rencontre avec l'entreprise 2018
Faire des choix professionnels éclairés suppose un recueil et une analyse d’informations multiples, en lien avec ses souhaits et talents mais bien évidemment relatives au monde du travail lui-même, les métiers, leurs caractéristiques, les emplois possibles, les évolutions qui les impactent et les transforment plus ou moins rapidement. Se pose alors la question de la nature, la richesse, l’actualisation des informations détenues par les personnes dans ce processus de décision. Une liberté de choix pour tous supposerait déjà au préalable un accès aux informations facilité mais également des possibilités de traitement et d’analyse partagées. Mais cela pourrait sous entendre que le monde de travail peut se décrire de manière rationnelle et objective et qu’il suffirait de transmettre des messages précis pour que chaque personne partage ces données communes. Cette observation, qui peut paraître de bon sens, se heurte vite à plusieurs difficultés majeures.
Mémoire de fin d'études : Créer de l'engagement sur les réseaux sociauxNina Mangeot
Mémoire de fin d'étude : Comment les marques peuvent-elles réussir à créer de l'engagement sur les principaux réseaux sociaux Facebook et Twitter, alors que leurs publications sont de moins en moins visibles ?
Similaire à Boson - prise de position des salons (20)
This document discusses the evolution of event marketing in an era of data and technology. It finds that event marketing is a high priority for most companies and they are increasing their spending and activity in this area. However, only 23% of surveyed companies say they can calculate an ROI for events, which is challenging for justifying continued investment. Faster growing companies are investing the most in events. The document explores how new technologies are helping companies better track events and connect them to business outcomes, leading to more sophisticated event strategies.
Itw parole publique_sept19_anthony_faure_unimev_innovatoireUNIMEV_FR
Evénement, objet et outil sociétal
Rédigé pour Communication Publique par Anthony Fauré, Directeur Marketing et Innovation d'Unimev et Rédacteur en Chef de l'Innovatoire
Vous souhaitez contribuer à l'Innovatoire, la nouvelle plateforme digitale de tendances et d'innovation ? Téléchargez notre kit du contributeur et participez à l'aventure !
1. Le salon apparaît de prime abord comme une entité neutre, et
très souvent dépeinte comme le lieu physique de la rencontre
d’exposants et visiteurs ayant en commun l’appartenance à
un secteur d’activité. Ainsi, le salon comme entité détenant une
existence et une identité propre s’est longtemps effacée au pro-
fit d’une valorisation de l’identité professionnelle du secteur en
question. Mais finalement, le salon n’aurait-il pas une âme ?
De plus en plus les salons prennent position dans le sens où ces
derniers sortent progressivement de leur rôle d’intermédiaire
auquel ils sont assignés pour s’adresser directement à un ou
des publics.
La prise de position
des salons
2. L Le discours de la prise de position
Plus que le discours c’est le narratif qui nous impor-
tera. En effet, les outils comme les réseaux sociaux
doivent être des vecteurs d’une prise de position
pensée comme une stratégie plurielle (qui se sert de
langages différents et contenus divers, de l’informa-
tion Twitter, au ludique éphémère de Snapshat, en
passant par l’animation de communauté Facebook et
l’émotion esthétisée d’Instagram), une stratégie au
service d’un projet. Cette fluidité qu’offre le passage
d’outil en outil n’est possible que si un travail préa-
lable sur les valeurs du salon a été mené. Le narratif
est ici compris comme un alignement parfait entre la
façon de penser le salon, la manière de le réaliser et
les messages qui y sont véhiculés.
La relation avec un public
La réflexion portant sur la fonction du Salon comme
média se doit de prendre en considération le rapport
qui est établi avec le public (qu’il s’agisse de profes-
sionnels, de particuliers, ou d’une sphère média-
tique qui tourne autour d’eux). En effet, si la relation
était auparavant asymétrique : le Salon s’adresse
au public, il semble que celle-ci se voit aujourd’hui
recomposée. Le public a désormais un moyen de
réponse, notamment grâce aux réseaux sociaux, et
perd de son caractère flou. Par ailleurs, tel que le
souligne Sonia Livingstone, « le public implique
aussi une certaine orientation vers une action col-
lective et consensuelle » ainsi la mutation des Salons
en modèles empruntés à l’univers des médias pose
la question de qui compose le public et déplace le
chantier vers le rôle que le Salon se doit d’adopter en
face de son public. Enfin, il semble que plus qu’in-
former le public ou de véhiculer des informations sur
soi, le Salon devra, à l’image d’une marque, proposer
au travers d’un positionnement un marqueur d’ap-
partenance collective qui soit caractéristique d’une
identité et d’un style de vie partagés à la fois par le
Salon que le public en question.
Prendre position est une manière pour les salons
d’exister, au-delà de leur contenu strict et de la
forme ponctuelle que ces derniers peuvent prendre,
il s’agit d’exister en soi, il s’agit d’avoir une identité
propre et assumée qui se décline en un projet qui dé-
passe largement le cadre du Salon et qui fait du pu-
blic un acteur à part entière.
*Sonia Livingstone, « Du rapport entre audiences et publics », Réseaux
2004/4 (no 126), p. 17-55.
a posture comme prise de position
On oublie trop souvent que le Salon résulte de l’or-
ganisation d’individus détenant eux-mêmes des opi-
nions plus ou moins tranchées sur les thématiques
qui traversent l’événement. Le choix d’affirmer sa
posture répond à un double impératif. Le premier,
de plus en plus prégnant, celui de salon comme
marque en propre, consiste à véhiculer des informa-
tions et partager ce qui fait la singularité, l’identité
propre du Salon. D’autre part, le deuxième impé-
ratif est bien celui de se positionner. C’est une né-
cessité impérieuse pour exister demain. Cela passe
le plus souvent dans des préoccupations de l’ordre
de l’éthique, tel que proposer des solutions écolo-
giques et durables par exemple, ou encore de revalo-
riser le local (en opposition à la frénésie de la globali-
sation) ou encore de pousser des choix et décisions à
contre-courant ou en avant-garde afin de provoquer
le questionnement et le changement au sein d’une
filière. C’est ainsi, au travers de ces deux choix de
posture, que le salon sort de sa neutralité pour se do-
ter de caractéristiques propres.
Les outils de la prise de position
Les moyens utilisés par les Salons afin de communi-
quer sont aussi des choix clairs de positionnement.
Il ne s’agit finalement pas tant des plateformes uti-
lisées (Twitter, Facebook, Instagram, YouTube,
Snapchat, entre autres) que la manière dont celles-ci
sont appréhendées. En effet, si Facebook permet,
notamment au travers de ses fonctionnalités commu-
nautaires, d’éveiller l’appartenance de groupe, Ins-
tagram permet d’entretenir un rapport plus person-
nalisé au public, mais aussi plus interactif et moins
formel que YouTube, par exemple. Il s’agit parfois
aussi de repenser profondément les manières de
travailler en incluant certains acteurs de ces réseaux
dans la production du salon et de ses messages. C’est
ce qu’a fait par exemple Who’s Next qui a mobilisé
des acteurs de différents horizons (influenceurs et
influenceuses, créateurs et créatifs de la mode et du
design, entre autres) dans une campagne célébrant
tout ce qu’il y a de participatif et optimiste dans la
mode et ses sphères, partant du postulat que les nou-
velles économies et le digital forment des experts
dans des lieux inopinés. Ainsi, le collaboratif est mis
en avant comme un mode de production des salons
innovant et prometteur, il s’agit en effet d’une ap-
proche bottom-up qui élargit aussi les contours de la
filière et de la profession.