Il y a quelques années, je bidouillais en JavaScript. Un effet “bling bling” par-ci, un contrôle de saisie par-là. L’essentiel de mon application était écrite en Java et tournait côté serveur.
Mais voilà, Gmail et Google Spreadsheets sont sortis depuis longtemps. On s’attend maintenant à des applications web qui répondent instantanément et qui fonctionnent offline.
Et pour cela, il faut bien plus de code JavaScript qu’avant.
Mais 20 000 lignes de JavaScript pour un site web ? Sérieux ? Dans ce langage sale, qui n’a pas la moitié des outils de Java ?
J’ai appris. Et l’écosystème JavaScript a évolué.
Lors de cette session, je vous dévoilerai comment maintenant j’écris, sans stress, des applications JavaScript complexes.
5. Nous ne sommes pas…
Des gourous JavaScript
John Resig - jQuery
Douglas Crockford – JSLint,
"JavaScript, The Good Parts"
6. Parlons de JavaScript entre Javaïstes
JavaScript is to Java as Hamster is to Ham
http://coding.smashingmagazine.com/2009/07/29/misunderstanding-markup-xhtml-2-comic-strip/
http://www.flickr.com/photos/naturesauraphotography/
http://commons.wikimedia.org/wiki/User:DocteurCosmos
13. Nouveaux besoins
Les utilisateurs veulent des applications vivantes, réactives et
dynamiques !
Enjeu de qualité
Volume de code important
à Fini de jouer !
58. jQuery, c'est surtout :
• Lisibilité du code, expressivité
• Simplification de ce qui est utile : manipulation du DOM, Ajax…
Mais aussi :
• Structuration du code en plugins
• Nombreux plugins existants
71. Détecter et alerter
Quand un test échoue
Quand une partie sale est utilisée
S'il y a une erreur de syntaxe
à Jasmine
à JsLint
à Google Closure Compiler
Intégration dans Maven, Jenkins ou Sonar