«Incroyable mais vrai: cinq agresseurs de policiers relâchés», titre le syndicat Alliance Police nationale, dans un tract. Un brin remonté, c’est peu de le dire, contre la décision du juge des libertés et de la détention (JLD) de relâcher trois personnes qui ont agressé des policiers et devaient être jugés en comparution immédiate. Ils sont convoqués devant le tribunal correctionnel en juin.