Voilà bientôt 30 ans qu’Internet a révolutionné le quotidien des citoyens du monde entier : accessibilité 24h/7j, multi-supportabilité, dématérialisation de l’information, diffusion instantanée… Mais quel est l’impact réel du web sur notre environnement ? Le digital est-il le plus propre des médias ? Que se cache-t-il derrière la toile ? Levons le voile et lançons le débat pour stopper les idées reçues !
La nouvelle économie climatique, une meilleure croissance, un meilleur climat
Partout dans le monde, les gens aspirent à une vie meilleure pour eux-mêmes et pour leurs enfants. Les gouvernements veulent assurer la croissance économique, améliorer le niveau de vie, créer de l’emploi et réduire la pauvreté. Les entreprises veulent se développer et devenir plus rentables.
Aujourd’hui, nous savons aussi que la planète doit relever le défi du changement climatique. Ces aspirations peuvent-elles toutes être satisfaites en même temps ? Est-il possible de faire face au changement climatique sur le long terme tout en favorisant aujourd’hui la croissance économique et le développement ? Devons-nous choisir entre notre sécurité future et nos niveaux de vie actuels ?
La nouvelle économie climatique, une meilleure croissance, un meilleur climat
Partout dans le monde, les gens aspirent à une vie meilleure pour eux-mêmes et pour leurs enfants. Les gouvernements veulent assurer la croissance économique, améliorer le niveau de vie, créer de l’emploi et réduire la pauvreté. Les entreprises veulent se développer et devenir plus rentables.
Aujourd’hui, nous savons aussi que la planète doit relever le défi du changement climatique. Ces aspirations peuvent-elles toutes être satisfaites en même temps ? Est-il possible de faire face au changement climatique sur le long terme tout en favorisant aujourd’hui la croissance économique et le développement ? Devons-nous choisir entre notre sécurité future et nos niveaux de vie actuels ?
La nouvelle économie climatique, une meilleure croissance, un meilleur climat
Partout dans le monde, les gens aspirent à une vie meilleure pour eux-mêmes et pour leurs enfants. Les gouvernements veulent assurer la croissance économique, améliorer le niveau de vie, créer de l’emploi et réduire la pauvreté. Les entreprises veulent se développer et devenir plus rentables.
Aujourd’hui, nous savons aussi que la planète doit relever le défi du changement climatique. Ces aspirations peuvent-elles toutes être satisfaites en même temps ? Est-il possible de faire face au changement climatique sur le long terme tout en favorisant aujourd’hui la croissance économique et le développement ? Devons-nous choisir entre notre sécurité future et nos niveaux de vie actuels ?
La nouvelle économie climatique, une meilleure croissance, un meilleur climat
Partout dans le monde, les gens aspirent à une vie meilleure pour eux-mêmes et pour leurs enfants. Les gouvernements veulent assurer la croissance économique, améliorer le niveau de vie, créer de l’emploi et réduire la pauvreté. Les entreprises veulent se développer et devenir plus rentables.
Aujourd’hui, nous savons aussi que la planète doit relever le défi du changement climatique. Ces aspirations peuvent-elles toutes être satisfaites en même temps ? Est-il possible de faire face au changement climatique sur le long terme tout en favorisant aujourd’hui la croissance économique et le développement ? Devons-nous choisir entre notre sécurité future et nos niveaux de vie actuels ?
Présentation donnée par Fabrice Flipo, Philisophe à l'Institut des Mines-Télécom, à l'occasion de la 5e journée Open Conférence de Transitions² sur la sobriété numérique.
Vous vous intéressé à l'écologie et à la pollution numérique ? Vous souhaitez réduire votre empreinte carbone numérique ?
Ce document vous donne des chiffres et des conseils pour y parvenir.
Voilà bientôt 30 ans qu’Internet a révolutionné le quotidien des citoyens du monde entier : accessibilité 24h/7j, multi-supportabilité, dématérialisation de l’information, diffusion instantanée… Mais quel est l’impact réel du web sur notre environnement ? Le digital est-il le plus propre des médias ? Que se cache-t-il derrière la toile ? Levons le voile et lançons le débat pour stopper les idées reçues !
La nouvelle économie climatique, une meilleure croissance, un meilleur climat
Partout dans le monde, les gens aspirent à une vie meilleure pour eux-mêmes et pour leurs enfants. Les gouvernements veulent assurer la croissance économique, améliorer le niveau de vie, créer de l’emploi et réduire la pauvreté. Les entreprises veulent se développer et devenir plus rentables.
Aujourd’hui, nous savons aussi que la planète doit relever le défi du changement climatique. Ces aspirations peuvent-elles toutes être satisfaites en même temps ? Est-il possible de faire face au changement climatique sur le long terme tout en favorisant aujourd’hui la croissance économique et le développement ? Devons-nous choisir entre notre sécurité future et nos niveaux de vie actuels ?
La nouvelle économie climatique, une meilleure croissance, un meilleur climat
Partout dans le monde, les gens aspirent à une vie meilleure pour eux-mêmes et pour leurs enfants. Les gouvernements veulent assurer la croissance économique, améliorer le niveau de vie, créer de l’emploi et réduire la pauvreté. Les entreprises veulent se développer et devenir plus rentables.
Aujourd’hui, nous savons aussi que la planète doit relever le défi du changement climatique. Ces aspirations peuvent-elles toutes être satisfaites en même temps ? Est-il possible de faire face au changement climatique sur le long terme tout en favorisant aujourd’hui la croissance économique et le développement ? Devons-nous choisir entre notre sécurité future et nos niveaux de vie actuels ?
La nouvelle économie climatique, une meilleure croissance, un meilleur climat
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Présentation donnée par Fabrice Flipo, Philisophe à l'Institut des Mines-Télécom, à l'occasion de la 5e journée Open Conférence de Transitions² sur la sobriété numérique.
Vous vous intéressé à l'écologie et à la pollution numérique ? Vous souhaitez réduire votre empreinte carbone numérique ?
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Economie Numérique : durable ou jetable ? - Green MêléeLaurent Ruel
Présentation lors de la Commission Green Mêlée du 10 sept 2015 sur l'économie numérique, ses modèles, ses excès et les gains apportés à la société - Auteurs : Sophie Nicklaus | Florian Simoni
Dossier de presse
Face aux enjeux d’une société de plus en plus digitalisée et de plus en plus dépendante des services numériques, et indépendamment des bénéfices environnementaux que certains de ces services numériques peuvent fournir, l’ADEME souhaite alerter sur les impacts environnementaux négatifs du numérique et identifier les leviers pour les réduire.
Journée De Recyclage Des déchets d'équipements électriques et électroniquesArt'site
Informatique Chez Vous.com vous invite les 12 et 19 septembre 2009 de 9h00 à 12h30 et de 13h30 à 19h00 à venir faire recycler vos équipements informatique en état de marche ou non au 21 rue Louis Braille 37000 Tours !
Participez à un projet écologique et social.
Contact : 09.71.26.37.56
Le Green IT : facteur incontournable pour laver plus vert le web responsableChristophe Clouzeau
Conférence à ParisWeb 2017
Un « web responsable » passe par la connaissance de son impact environnemental. Le secteur numérique n'est pas écolo : il est devenu le 3e territoire le plus consommateur d'électricité derrière la Chine et les Etats-Unis. Il est aussi émetteur de gaz à effet de serre, a un fort impact en eau et en utilisation des ressources. Les médias pointent du doigt la responsabilité des GAFAM et de leurs datacenters, mais qu'en est-il des concepteurs et des utilisateurs ?
Depuis 2011 je m'intéresse au sujet du Green IT et du IT4Green afin de sensibiliser le grand public. Je propose de faire un point sur :
- l'impact globalisé du numérique,
- l'évolution des chiffres constatés et la prise de conscience des grands acteurs du web qui se sont engagés, depuis, dans une démarche les amenant aux 100% d'énergies vertes,
- les bonnes pratiques qui se dessinent et celles concrètes dès aujourd'hui permettant de réduire collectivement les impacts.
Support de présentation utilisé lors d'une conférence le 21 avril 2020 sur les enjeux environnementaux de l'industrie informatique. Les slides sont commentées et sourcées (cf onglet Remarques)
Insight #6 - édition Afrique - juin 2017FINERGREEN
Ce sixième insight se tourne vers le continent africain et offre une analyse de l’électrification rurale de l’Afrique, en se penchant notamment sur les systèmes solaire individuels en Pay As You Go. Nate Heller, Co-fondateur et Directeur des Opérations de PEG et Mark Roesink, Directeur des Investissements Energies Renouvelables d’Oikocredit ont répondu à nos questions pour approfondir le sujet.
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Présentation lors de la Commission Green Mêlée du 10 sept 2015 sur l'économie numérique, ses modèles, ses excès et les gains apportés à la société - Auteurs : Sophie Nicklaus | Florian Simoni
Dossier de presse
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Participez à un projet écologique et social.
Contact : 09.71.26.37.56
Le Green IT : facteur incontournable pour laver plus vert le web responsableChristophe Clouzeau
Conférence à ParisWeb 2017
Un « web responsable » passe par la connaissance de son impact environnemental. Le secteur numérique n'est pas écolo : il est devenu le 3e territoire le plus consommateur d'électricité derrière la Chine et les Etats-Unis. Il est aussi émetteur de gaz à effet de serre, a un fort impact en eau et en utilisation des ressources. Les médias pointent du doigt la responsabilité des GAFAM et de leurs datacenters, mais qu'en est-il des concepteurs et des utilisateurs ?
Depuis 2011 je m'intéresse au sujet du Green IT et du IT4Green afin de sensibiliser le grand public. Je propose de faire un point sur :
- l'impact globalisé du numérique,
- l'évolution des chiffres constatés et la prise de conscience des grands acteurs du web qui se sont engagés, depuis, dans une démarche les amenant aux 100% d'énergies vertes,
- les bonnes pratiques qui se dessinent et celles concrètes dès aujourd'hui permettant de réduire collectivement les impacts.
Support de présentation utilisé lors d'une conférence le 21 avril 2020 sur les enjeux environnementaux de l'industrie informatique. Les slides sont commentées et sourcées (cf onglet Remarques)
Insight #6 - édition Afrique - juin 2017FINERGREEN
Ce sixième insight se tourne vers le continent africain et offre une analyse de l’électrification rurale de l’Afrique, en se penchant notamment sur les systèmes solaire individuels en Pay As You Go. Nate Heller, Co-fondateur et Directeur des Opérations de PEG et Mark Roesink, Directeur des Investissements Energies Renouvelables d’Oikocredit ont répondu à nos questions pour approfondir le sujet.
4. Les grandes lignes
Partie 1- L’impact environnemental / social / sur la santé du digital
a-L’internet et son impact écologique
b-Les ondes et leur impact sur la santé
Partie 2- La révolution numérique : responsabilité sociétale et écologique
a-Transition numérique et transition écologique
b-Faire converger les transitions numérique et écologique
6. Depuis un siècle, nous assistons à une évolution technologique effrénée du
digital qui a considérablement accéléré le rythme de nos modes de vie entraînant
un besoin de toujours plus, toujours plus vite.
Mais prenons-nous le temps et pensons-nous
à évaluer pleinement l’impact de ces
nouvelles technologies sur nos vies, en
particulier sur notre santé et
notre environnement ?
Avons-nous bien mesuré les conséquences
de cette course à l’innovation sans limites ?
7. L’impact environnemental d’internet
l’empreinte carbone des recherches
quotidiennes sur le moteur de
recherche Google
+
33 mails envoyés/pers/jour
=
806 g gaz a effet de serres
en extrapolant à tous les usages des 3,5 milliards
d’internautes, 365 jours par an
8. La répartition des impacts écologiques d’internet
en % des émissions de gaz à effet de serre
Les usages des internautes
comptent pour 47% des gaz à effet
de serre émis par internet
Les datas centers, très souvent
diabolisés, ne représentent que
25% de ces impacts.
9. Nous sommes en tant qu’utilisateurs le véritable problème
La fabrication d’un ordinateur rejette presque 1000 kg de gaz
à effet de serre,
Son lutilisation en nécessite seulement 7 kg par an.
Il faut donc 140 ans d’utilisation pour que le bilan soit neutre.
Mais dans la réalité nous changeons d’ordinateur tous les 3
ans en moyenne.
Nous envoyons / jours plus de 300 milliards de mails,
Chacune de nos recherches Google représente 20 mg de gaz
à effet de serre soit 9,9 Kg par an
Le visionnage des vidéos sur Youtube représente 1,2% de la
consommation électrique mondiale
10. Les bonnes pratiques utilisateurs
Allonger le temps d’utilisation et la durée de vie des équipements :
En moyenne, les utilisations sont de 4-5 ans pour un laptop, et 6-7ans pour un ordinateur fixe, 2 ans pour un smartphone.
Penser à éteindre la box et le boîtier TV le soir :
Allumés 24 heures sur 24, ils consomment en une année à eux deux l’équivalent de la consommation électrique annuelle
de 5 à 10 ordinateurs portables utilisés 8 h par jour.
Limiter au maximum l'usage du Cloud : favoriser au maximum le stockage local des données
Le stockage en ligne des photos, vidéos, musiques entraîne des transferts de données permanents entre les utilisateurs
et les serveurs, ce qui consomme plus d’énergie. Transporter une donnée sur l’internet consomme 2 fois plus d’énergie
que de la stocker pendant 1 an.
Regarder la télévision
La vidéo en ligne représente plus de 60% du trafic internet si bien que regarder une émission en streaming HD émet
autant de gaz à effet de serre que de fabriquer, transporter et lire un DVD.
11. Les bonnes pratiques utilisateurs
Limiter les destinataires en copie des emails
Chaque destinataire ajouté représenterait 6g de CO2 supplémentaires émis.
Limiter les requêtes inutiles :
Utiliser la barre URL. Au lieu de taper dans un moteur de recherche, préférer l’accès direct au site via les Favoris
Trier sa boîte mail régulièrement
Les boîtes mails regorgent de mails inutiles stockés sur des serveurs, qui mobilisent de l’énergie pour les conserver. Bien
penser à effacer ses mails d’envoi avec PJ
Penser à envoyer des emails moins lourds
Vérifier la nécessité d’envoi de la pièce jointe ou alors la compresser. L’énergie utilisée pour le transfert et le traitement
du message sera moindre. Echanger les fichiers trop lourds en utilisant une clé USB ou des plateformes de transfert type
“web transfer”.
14. Le risque des micro-ondes ou hyperfréquences sur la santé
Il s’agit du sujet le plus problématique compte-tenu de l’évolution significative de notre environnement
électromagnétique au cours de ces vingt dernières années, avec notamment l’apparition de la
téléphonie mobile et de l’internet.
Rapport Bioinitiative (un groupe de 14 chercheurs internationaux) dirigé par David Carpenter,
directeur de l’institut de la santé et de l’environnement de l’université américaine de New York
La liste des effets nocifs potentiels est impressionnante:
Altération génétique au niveau de l’ADN / Effets sur la fonction immunitaire / Effets neurologiques et
comportementaux / Risque de tumeurs cérébrales / leucémie et cancer du sein / Effets sur la mémoire
et la maladie d’Alzheimer / Baisse de la fertilité / Effets sur l’apprentissage et l’autisme, …
15. Le point de vue des autorités
L’OMS et son Centre international de Recherche sur le Cancer le CIRC, a classé les champs
électromagnétiques de radiofréquences comme peut‐être cancérogènes pour l’homme (Groupe 2B), sur
la base d’un risque accru de gliome, un type de cancer malin du cerveau, associé à l’utilisation du
téléphone sans fil.
Le rapport Résolution 1815 publié par l’assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe propose une
réduction du seuil maximal d’exposition, ne dépassant par 0,6 Volt par mètre, et de le ramener à moyen
terme à 0,2 volt par mètre"
0,6 Volt par mètre équivaut à redescendre à 100 fois la puissance d'aujourd'hui.
Pour rappel, les opérateurs peuvent aller de 41 à 61 Volt par mètre.
Mai 2011
16. Le point de vue des autorités en France
Loi Abeille février 2015
Le wifi sera désormais interdit dans les espaces dédiées à l’accueil, au repos et aux activités des
enfants de moins de 3 ans.
Le wifi devra être désactivé dans les écoles primaires, excepté pendant les activités pédagogiques.
une information préalable est désormais obligatoire auprès des communes pour un nouveau projet
d’installation d’antennes relais.
une étude concernant l’électrosensibilité devra être également
transmise au parlement avant mars 2016.
Elle est introuvable à ce jour, même sur le site ehs.org
17. A ce jour le seuil
maximal d’exposition
n’est pas modifié
malgré ce nouveau texte
18. Règles d’utilisation concernant le mobile
Réduire l’usage / ne pas l’appliquer à l’oreille. Activer le haut-parleur et poser le téléphone. Eloigner
le téléphone à plus d’un mètre de soi (l’amplitude du champ em est 50 fois plus faible à cette distance)
L’utilisation d’écouteurs est recommandé dans les autres cas. Le système Bluetooth émettant
cependant des rayonnements d’hyperfréquence à 2,4 GHz, il est donc préférable d’utiliser de simples
écouteurs filaires. Cependant, même ce type d’oreillette relaye une partie des hautes fréquences via le
fil de connexion => oreillettes à tube à air qui transmettent le son quasiment sans ondes hautes
fréquences.
Eviter de téléphoner lorsqu’il y a “peu de réseau”, car le téléphone émettra plus fort pour atteindre
l’antenne relais.
19. Règles d’utilisation concernant le mobile
Eviter de téléphoner pendant un déplacement (voiture, train ou avion). Le téléphone émet plus fortement en se
connectant à différentes antennes le long du parcours. Même à l'arrêt dans un voiture
Les organes en développement étant les plus sensibles aux ondes électromagnétiques, le téléphone mobile est
fortement déconseillé pour les enfants de moins de 12 ans.
Choisissez un téléphone mobile avec un DAS (Débit d’Absorption Spécifique, exprimé en W/kg) le plus bas possible.
Il s’agit d’une donnée constructeur importante qui représente la quantité d’énergie émise par les rayonnements du
téléphone mobile.
Hors utilisation, il est important de ne pas garder le téléphone mobile trop près de soi, encore moins dans la poche,
même en “veille”.
Mettre le mobile en mode avion pendant la nuit et l’éloigner de la tête de quelques dizaines de centimètres minimum.
20. Règles d’utilisation concernant le WIFI
Le wifi émet également des ondes électromagnétiques à hyperfréquences d’environ 2,4 Hz, sur le
même modèle que celui de la téléphonie mobile.
La résolution 1815 du Conseil de l’Europe recommande des connexions filaires plutôt que le wifi
pour les enfants en général.
Eviter au maximum l’utilisation du wifi, privilégier les connexions ethernet, fibre optique etc.
Lorsqu’il n’est plus utilisé, il est conseillé de désactiver le wifi sur la box et sur tous les appareils. Les
hotspot wifi sont également désactivables, tout comme le DECT pour les téléphones sans fils, émettant
en permanence même si il n’y a pas de téléphone sans fil.
22. Transition écologique et numérique
La transition écologique repose sur la double prise de
conscience de la finitude des ressources sur lesquelles
repose la croissance économique mondiale et de
l’empreinte environnementale issue de notre
consommation énergétique.
La transition numérique résulte, quant à elle,
d’innovations techniques, dont l’une des conséquences
essentielles est de créer de la valeur pricipalement sur la
production et sur l’analyse des données Ce qui est certain, c’est qu’aucune transition ne se
fera l’une sans l’autre, et elles devront se croiser
pour inventer la société de demain.
23. Transition écologique et numérique : la problématique
le modèle économique du secteur numérique reste linéaire, basé sur l’obsolescence technique des
matériels.
La durée de vie des ordinateurs a ainsi été divisée par 3 en 30 ans et il faut 100 fois plus de mémoire
pour faire tourner un système d’exploitation aujourd’hui qu’il y a 20 ans, et sans compter la multiplication
des versions des téléphones portables (6 versions Iphone en 5 ans).
On sait que ce modèle n’est pas tenable, qu’il s’inscrit dans une dynamique de consommation
excessivement productrice de déchets, et qu’il repose pour l’essentiel sur un marketing de la
nouveauté qui ne peut perdurer...
25. Les exemples de convergence
Le challenge Data For Climate Action : l’idée est que des data scientists et innovateurs du monde entier
soient encouragés à soumettre leurs idées d’exploitation du Big Data en faveur de l’environnement.
La smart city avec les édifices à énergie positive; les smart grids : les nouveaux réseaux intelligents de
production et distribution d’énergie,
La blockchain permettrait aussi de certifier l’origine décarbonée de l’énergie échangée.
La blockchain est donc un très bon exemple de disruption numérique au service de la transition
écologique
26. Rennes Grid: Campus de Ker Lann 165 hectares
La rentabilité sera en grande partie assurée par la revente de la
production d’énergie verte aux entreprises, aux établissements
d’enseignement et/ou de recherche et aux particuliers présents
sur le site.
Ce site regroupe :
-20 établissements de formation publics et privés
-60 entreprises spécialisées High Tech
-Ensemble immobilier résidentiel de plus de 1000
chambres, avec restauration et hébergement pour
des étudiants.
L’autoconsommation de la production électrique renouvelable locale permettra
•sur le plan social, de lutter contre les problématiques de précarité énergétique
•sur le plan environnemental, de réduire les émissions de CO2 et les consommations
d’énergie fossile.
27. Le compostmètre
Guider : 3 actions clés pour réussir un compost.
Informer : du niveau de maturité du compost.
Obtenir :
un compost « fait maison » de haute qualité
agronomique.
Conseiller : sur les usages possibles du compost produit
28. La serre connectée : Myfood, start-up française
Récolter 400 kg de fruits et légumes par an
et 40 kg de poisson, en y consacrant
seulement une heure par semaine,
c’est désormais possible....
● Simplicité
● Responsabilité
● Transparence
31. MAIS…
En revoyant en profondeur nos modèles de production et de consommation
En l’orientant et la soutenant, notamment par les pouvoirs publics, si l’on veut vraiment
qu’elle vise un objectif de protection de l’environnement.
Notes de l'éditeur
Si nous considérons l’empreinte carbone des recherches quotidiennes sur le moteur de recherche Google et les 33 mails envoyés en moyenne par personne et par jour, cela équivaut à 806 g de gaz à effet de serre rejetés. Cela peut sembler quelque peu abstrait. Mais en extrapolant à tous les usages des 3,5 milliards d’internautes, 365 jours par an