The document is an English exercise that provides a conversation between a boy and his mother about a photo from when she was in Africa in 1974-1975. It uses the words "was", "wasn't", "were", and "weren't" to complete sentences in the conversation. The second part of the exercise continues using these words to complete sentences describing a strange dream that Martha had last night. The summary is in 3 sentences or less.
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Les cas d’obésité augmentent dans le monde. Préoccupés par la menace à long terme de l’obésité sur la santé, les médecins et les chercheurs tentent de comprendre ce qui rend obèse afin de créer un traitement plus efficace, ainsi que des stratégies de prévention.
Le syndrome metabolique ou syndrome d'insulino resistance est connue responsable dans plusieurs anomalies tel que les dyslipidémies, les maladies cardio vasculaires, et le diabéte. Donc qu'est ce qu'un syndrome metabolique ? quel est son histoire ? et quels sont ses possibles complications?
Comment vivre avec une maladie rénale par Dr Moussayer Khadija.pdfKhadija Moussayer
Les maladies rénales chroniques ont tout pour faire peur, alors qu’avec une attention minutieuse, on peut ralentir leur progression et même bien les contrôler. Cela passe en particulier par une bonne observance de l’hygiène de vie du patient.
Il faut d’abord savoir que nombre total de malades souffrant d’insuffisance rénale est difficile à évaluer car elle ne se manifeste que lorsqu’elle a atteint un stade très avancé, parfois au bout de plusieurs dizaines d’années d’évolution silencieuse. Ainsi elle se manifeste rarement avant 45 ans, et sa prévalence augmente avec l’âge, notamment après 65 ans. En fait la plupart des gens ignorent l’état réel de leurs reins.
Les personnes déjà atteintes ne sont pas encore au stade de l’insuffisance réelle mais en situation sub-pathologique avant le déclenchement de l’insuffisance. Quel que soit l'état d'un malade ou d'une personne en en bonne santé, le fonctionnement des reins dépend avant tout de notre mode de vie (hygiène alimentaire, tabagie, activités physiques, usage raisonné des médicaments…);
On peut affirmer que les 8 règles pour prendre soin de ses reins se résument en : 1. Bois suffisamment 2. Mange sainement 3. Garde un poids sain 4. Pratique une activité sportive régulière 5. Surveille ta tension artérielle 6. Ne fume pas 7. Surveille ta glycémie 8. Réduis ta consommation de sel et de plats préparés.
À l'occasion de la Journée mondiale du rein, le 14 mars, qui célèbre cette année sa dix-neuvième édition, passons en revue quelques-unes de ces recommandations.
SOMMAIRE : I/ Un régime équilibrée et adaptée cas de maladie rénale chronique, II/ Le tabac en accusation, III/La prise en charge médicale de la maladie, GRANDE GALERIE DE PHOTOS A LA FIN DE L'ARTICLE
I/ Un régime équilibrée et adaptée cas de maladie rénale chronique
La diététique tient une place fondamentale dans le traitement de l'insuffisance rénale et la nutrition adoptée par malade doit tenir compte du stade de la maladie. Toutes les règles à suivre sans exception doivent être discutées et s’établir en concertation avec le médecin traitant et/ou éventuellement un diététicien
Il est d’abord important de manger à un rythme chronologique régulier (3 repas par jour) et d'avoir une alimentation variée, équilibrée et calorique.
Il est conseillé de boire en moyenne 1,5 litre d'eau ou de boissons non sucrées et non alcoolisées. L’alcool est fortement déconseillé. Si le malade est enclin à la formation de calculs rénaux, au moins deux litres d'eau seront nécessaires en moyenne durant la journée (et un verre d'eau quand on se lève la nuit) pour assurer la fonction urinaire.
La diminution de la consommation de sel est recommandée (en général, pas plus de 6 g par jour). Pour cela, il faut éviter en particulier de trop consommer de plats industriels riches en sel (plats préparés, biscuits apéritifs...).
L'apport en protéines recommandé est en général de 0,8 à 1 g par kg de poids et par jour (cela représente 48 à 60 g de protéines par jour
Qui sont les seniors d'aujourd'hui ? Quel est l'impact de l'alimentation sur leur santé ?
Pourquoi les légumes sont-ils un atout «nutrition» des plus âgés ? Quels sont les freins à
une alimentation équilibrée ?
Alors qu’au XIXe siècle, le « ventre bourgeois » était vu comme un signe de réussite sociale, le surpoids est aujourd’hui considéré comme un phénomène épidémique mondial qui menace la santé des individus, réduit l’espérance de vie et augmente les dépenses de santé.
Le gras dans la viande, le poisson ou les végétaux est bon pour la santé.
Les acides gras saturés sont neutres du point de vue du risque cardiovasculaire, certains polyinsaturés sont indispensables et les mono-insaturés sont goûteux comme les avocats, les olives ...
Le gras du lait est excellent.
Les seuls produits à supprimer sont ceux qui contiennent des acides gras trans résultant d'un process industriel d'hydrogénation. Ceci est important.
Il faut toujours tenir compte chez la personne âgée (PA) des modifications physiologiques et de la présence de diverses pathologies s’accumulant avec l’avancée dans l’âge. Ainsi, les PA souhaitant observer le jeûne du ramadan sont invitées à prendre conseil auprès de leur médecin quelques semaines avant le début du jeûne, afin de recevoir des conseils adaptés à leur situation et ainsi minimiser le risque de complications et garantir une bonne tolérance du jeûne. Ce dernier est à éviter en cas de certaines pathologies : diabète non équilibré ou de surcroit traité à l'insuline, d'insuffisance rénale ou de maladie cardiaque sous traitement diurétique qui en éliminant le surplus de liquides de l’organisme, peut engendrer une déshydratation. Il est aussi déconseillé pour les seniors atteints de maladies auto-immunes et de nombreuses maladies rares
1/ Les risques associés au jeûne
Le jeûne intermittent, alternant des périodes de jeûne avec des périodes de consommation alimentaire normale, en particulier lorsqu'il est pratiqué à long terme, peut contribuer à limiter le risque d’événements cardiaques et avoir des effets positifs sur la santé métabolique.
Néanmoins, au cours du jeûne du Ramadan, la prise des repas est concentrée dans le temps et l’alimentation se caractérise par une densité énergétique souvent élevée par rapport aux besoins. Ainsi, les bienfaits du jeûne sont battus en brèche par les excès alimentaires observés à la rupture de ce dernier.
Chez les patients diabétiques, le jeûne du mois de Ramadan peut avoir des effets néfastes et générer des accidents métaboliques -hypoglycémie, hyperglycémie ou acidocétose diabétique-, voire aggraver les complications dégénératives du diabète. Le patient diabétique peut être exposé à d’autres complications aiguës, notamment la déshydratation et la constitution de caillots sanguins au niveau des vaisseaux.
2/ Des recommandations spécifiques en termes de durée du jeûne ou de gestion des repas
Il faut veiller à une alimentation bien équilibrée et surtout ne pas diminuer sa consommation alimentaire habituelle pour ne pas aggraver la fonte musculaire. En effet, Le capital musculaire diminue avec l’âge et cette diminution de la masse musculaire peut être source de troubles nutritionnels et de l’hydratation. En effet, 73% de l’eau totale du corps sont stockés dans les muscles, une baisse des réserves en eau sera ainsi corrélative à cette diminution de la masse musculaire. Ce phénomène, la sarcopénie, a des répercussions considérables par les faiblesses qu’il provoque : risques infectieux par baisse des réserves protéiques nécessaires aux défenses immunitaires, chutes et fractures éventuelles compromettant l’autonomie de la PA…
Ainsi, pour éviter l’aggravation de la fonte musculaire, l’apport protéique, doit être supérieur à celui de l’adulte jeune et une activité physique quotidienne de 15 à 30 mn par jour est également nécessaire pour lutter contre cette sarcopénie.
Les cas d’obésité augmentent dans le monde. Préoccupés par la menace à long terme de l’obésité sur la santé, les médecins et les chercheurs tentent de comprendre ce qui rend obèse afin de créer un traitement plus efficace, ainsi que des stratégies de prévention.
Le syndrome metabolique ou syndrome d'insulino resistance est connue responsable dans plusieurs anomalies tel que les dyslipidémies, les maladies cardio vasculaires, et le diabéte. Donc qu'est ce qu'un syndrome metabolique ? quel est son histoire ? et quels sont ses possibles complications?
Comment vivre avec une maladie rénale par Dr Moussayer Khadija.pdfKhadija Moussayer
Les maladies rénales chroniques ont tout pour faire peur, alors qu’avec une attention minutieuse, on peut ralentir leur progression et même bien les contrôler. Cela passe en particulier par une bonne observance de l’hygiène de vie du patient.
Il faut d’abord savoir que nombre total de malades souffrant d’insuffisance rénale est difficile à évaluer car elle ne se manifeste que lorsqu’elle a atteint un stade très avancé, parfois au bout de plusieurs dizaines d’années d’évolution silencieuse. Ainsi elle se manifeste rarement avant 45 ans, et sa prévalence augmente avec l’âge, notamment après 65 ans. En fait la plupart des gens ignorent l’état réel de leurs reins.
Les personnes déjà atteintes ne sont pas encore au stade de l’insuffisance réelle mais en situation sub-pathologique avant le déclenchement de l’insuffisance. Quel que soit l'état d'un malade ou d'une personne en en bonne santé, le fonctionnement des reins dépend avant tout de notre mode de vie (hygiène alimentaire, tabagie, activités physiques, usage raisonné des médicaments…);
On peut affirmer que les 8 règles pour prendre soin de ses reins se résument en : 1. Bois suffisamment 2. Mange sainement 3. Garde un poids sain 4. Pratique une activité sportive régulière 5. Surveille ta tension artérielle 6. Ne fume pas 7. Surveille ta glycémie 8. Réduis ta consommation de sel et de plats préparés.
À l'occasion de la Journée mondiale du rein, le 14 mars, qui célèbre cette année sa dix-neuvième édition, passons en revue quelques-unes de ces recommandations.
SOMMAIRE : I/ Un régime équilibrée et adaptée cas de maladie rénale chronique, II/ Le tabac en accusation, III/La prise en charge médicale de la maladie, GRANDE GALERIE DE PHOTOS A LA FIN DE L'ARTICLE
I/ Un régime équilibrée et adaptée cas de maladie rénale chronique
La diététique tient une place fondamentale dans le traitement de l'insuffisance rénale et la nutrition adoptée par malade doit tenir compte du stade de la maladie. Toutes les règles à suivre sans exception doivent être discutées et s’établir en concertation avec le médecin traitant et/ou éventuellement un diététicien
Il est d’abord important de manger à un rythme chronologique régulier (3 repas par jour) et d'avoir une alimentation variée, équilibrée et calorique.
Il est conseillé de boire en moyenne 1,5 litre d'eau ou de boissons non sucrées et non alcoolisées. L’alcool est fortement déconseillé. Si le malade est enclin à la formation de calculs rénaux, au moins deux litres d'eau seront nécessaires en moyenne durant la journée (et un verre d'eau quand on se lève la nuit) pour assurer la fonction urinaire.
La diminution de la consommation de sel est recommandée (en général, pas plus de 6 g par jour). Pour cela, il faut éviter en particulier de trop consommer de plats industriels riches en sel (plats préparés, biscuits apéritifs...).
L'apport en protéines recommandé est en général de 0,8 à 1 g par kg de poids et par jour (cela représente 48 à 60 g de protéines par jour
Qui sont les seniors d'aujourd'hui ? Quel est l'impact de l'alimentation sur leur santé ?
Pourquoi les légumes sont-ils un atout «nutrition» des plus âgés ? Quels sont les freins à
une alimentation équilibrée ?
Alors qu’au XIXe siècle, le « ventre bourgeois » était vu comme un signe de réussite sociale, le surpoids est aujourd’hui considéré comme un phénomène épidémique mondial qui menace la santé des individus, réduit l’espérance de vie et augmente les dépenses de santé.
Le gras dans la viande, le poisson ou les végétaux est bon pour la santé.
Les acides gras saturés sont neutres du point de vue du risque cardiovasculaire, certains polyinsaturés sont indispensables et les mono-insaturés sont goûteux comme les avocats, les olives ...
Le gras du lait est excellent.
Les seuls produits à supprimer sont ceux qui contiennent des acides gras trans résultant d'un process industriel d'hydrogénation. Ceci est important.
Il faut toujours tenir compte chez la personne âgée (PA) des modifications physiologiques et de la présence de diverses pathologies s’accumulant avec l’avancée dans l’âge. Ainsi, les PA souhaitant observer le jeûne du ramadan sont invitées à prendre conseil auprès de leur médecin quelques semaines avant le début du jeûne, afin de recevoir des conseils adaptés à leur situation et ainsi minimiser le risque de complications et garantir une bonne tolérance du jeûne. Ce dernier est à éviter en cas de certaines pathologies : diabète non équilibré ou de surcroit traité à l'insuline, d'insuffisance rénale ou de maladie cardiaque sous traitement diurétique qui en éliminant le surplus de liquides de l’organisme, peut engendrer une déshydratation. Il est aussi déconseillé pour les seniors atteints de maladies auto-immunes et de nombreuses maladies rares
1/ Les risques associés au jeûne
Le jeûne intermittent, alternant des périodes de jeûne avec des périodes de consommation alimentaire normale, en particulier lorsqu'il est pratiqué à long terme, peut contribuer à limiter le risque d’événements cardiaques et avoir des effets positifs sur la santé métabolique.
Néanmoins, au cours du jeûne du Ramadan, la prise des repas est concentrée dans le temps et l’alimentation se caractérise par une densité énergétique souvent élevée par rapport aux besoins. Ainsi, les bienfaits du jeûne sont battus en brèche par les excès alimentaires observés à la rupture de ce dernier.
Chez les patients diabétiques, le jeûne du mois de Ramadan peut avoir des effets néfastes et générer des accidents métaboliques -hypoglycémie, hyperglycémie ou acidocétose diabétique-, voire aggraver les complications dégénératives du diabète. Le patient diabétique peut être exposé à d’autres complications aiguës, notamment la déshydratation et la constitution de caillots sanguins au niveau des vaisseaux.
2/ Des recommandations spécifiques en termes de durée du jeûne ou de gestion des repas
Il faut veiller à une alimentation bien équilibrée et surtout ne pas diminuer sa consommation alimentaire habituelle pour ne pas aggraver la fonte musculaire. En effet, Le capital musculaire diminue avec l’âge et cette diminution de la masse musculaire peut être source de troubles nutritionnels et de l’hydratation. En effet, 73% de l’eau totale du corps sont stockés dans les muscles, une baisse des réserves en eau sera ainsi corrélative à cette diminution de la masse musculaire. Ce phénomène, la sarcopénie, a des répercussions considérables par les faiblesses qu’il provoque : risques infectieux par baisse des réserves protéiques nécessaires aux défenses immunitaires, chutes et fractures éventuelles compromettant l’autonomie de la PA…
Ainsi, pour éviter l’aggravation de la fonte musculaire, l’apport protéique, doit être supérieur à celui de l’adulte jeune et une activité physique quotidienne de 15 à 30 mn par jour est également nécessaire pour lutter contre cette sarcopénie.
3. Le surpoids et l’obésité sont définis par l’OMS
comme « une accumulation anormale ou
excessive de graisse qui présente un risque pour
la santé » et qui peuvent développer des
maladies chroniques, tel que diabète, maladies
cardio-vasculaires et cancer. Une mauvaise
alimentation et la sédentarité sont les causes
majeures de la prise de poids.
4. Perdre du poids oui mais pas n’importe
comment ! Les régimes proposés dans les
magazines sont dangereux et peuvent
provoquer de graves conséquences sur la santé,
tant physique que psychologique. Le seul régime
à conseiller : changer ses habitudes alimentaires
en réapprenant à manger et pratiquer une
activité physique régulièrement.
6. Notre source d’énergie principale est le glucose.
Pour que l’organisme puisse l’utiliser, il faut qu’il
soit transporté par le sang à l’intérieur des
cellules. L’insuline, une hormone fabriquée par
le pancréas, est la clé qui ouvre les portes des
cellules. On parle de diabète quand la glycémie
(taux de sucre dans le sang) est trop élevée (> à
1.26 g/L).
7. Le diabète de type 2 (autrefois appelé diabète
sucré ou non insulinodépendant) est dû à une
alimentation trop riche en sucres et en graisses.
Ce trouble du métabolisme du glucose provient
d’un déficit de sécrétion d’insuline associé à un
déficit de l’action de l’insuline. Dans 80%, le
diabète est dû à l’obésité.
8. En raison d’une hyperglycémie constante, le
diabète de type 2 peut causer diverses
complications s’il n’est pas traité et bien suivi.
Pratiquement toutes les parties du corps
peuvent subir les contrecoups d’un diabète mal
contrôlé : système cardio-vasculaire, yeux, reins,
nerfs et pieds (suite aux infections fréquentes).
10. Substance indispensable à l’organisme, la
majeure partie du cholestérol est fabriqué par
le foie, mais nous en apportons aussi par
l’alimentation (oeufs, abats, beurre,
crème…). On parle de bon et de mauvais
cholestérol mais il s’agit de leur transporteur,
les lipoprotéines. Les LDL favorisent la
formation de plaques d’athérome alors que les
HDL permettent l’élimination du cholestérol en
excès dans les cellules.
11. Si le taux de cholestérol dans le sang est trop
élevé, on parle alors d’hypercholestérolémie,
avec de graves conséquences sur la santé cardiovasculaire. Le cholestérol se dépose sur les
parois des artères (plaques d’athérome),
réduisant leur calibre et rendant le passage du
sang plus difficile, puis formation de caillots.
13. Vitamine C (acide ascorbique): les carences ont
été découvertes lors des longs voyages de
marins qui ne mangeaient que des aliments
secs, dépourvus de vitamine C. Ils étaient tous
atteints de scorbut : épuisement,
déchaussement des dents, dégénérescence
musculaire, anémie.
14. Vitamine B1 (thiamine) : les marins japonais,
eux, ne mangeaient que du riz blanc et
souffraient de béribéri, maladie causée par le
manque de vitamine B1 qu’on trouve dans
l’enveloppe du riz (blé complet). L’alimentation
déséquilibrée peut aussi causer une carence en
B1, ainsi que la dépendance à l’alcool.
Vitamine B9 (acide folique) : contenu dans les
feuilles des végétaux, l’acide folique permet la
formation des globules rouges du sang à partir
des cellules de la moelle osseuse. Une carence
entraîne une diminution des globules rouges.
15. Vitamine D : une carence peut causer rachitisme et
ostéoporose, car la vitamine D est nécessaire à la
fixation du calcium dans le tissu osseux. Trop de
vitamine D se caractérise par une hypercalcémie
(taux de calcium dans le sang trop élevé) et par des
troubles rénaux.
Vitamine A : sans elle, on observe des retards de
croissance chez les enfants, une baisse de
l’immunité et cécité nocturne. Par contre, en excès,
la vitamine A provoque des nausées, des troubles
de la peau et du foie ainsi que des malformations
fœtales chez les femmes enceintes.
17. Boulimie : consommation compulsive de
quantités considérables de nourriture, avec ou
sans vomissement, touchant surtout les femmes
dès leur adolescences.
Anorexie : refus de manger, amaigrissement,
perte d’appétit, aménorrhée, l’anorexie peut
avoir de graves conséquences sur la santé, avec
risque de mortalité. On parle d’anorexie mentale
quand la peur de manger augmente avec la
perte de poids, et déni de la maigreur observée
dans le miroir.
19. L’ostéoporose est une maladie qui provoque la
fragilité des os, avec risque de fracture ou
tassement des vertèbres, due à une carence
en calcium et en vitamine D chez les personnes
âgées. Les femmes sont plus touchées par
l’ostéoporose en raison des changements
hormonaux lors de la ménopause.