Bien commun essentiel à la vie de l’Homme et de toutes les espèces animales et végétales, l’eau est en interaction étroite avec la terre. Elle doit donc être gérée et utilisée de manière optimale par l’agriculture française pour que celle-ci puisse durablement relever les nombreux défis auxquels elle est confrontée : renforcer notre autonomie alimentaire, fournir une eau potable de qualité, préserver les milieux et les équilibres naturels, permettre les autres usages (industriels, domestiques..) et s’adapter au changement climatique. Pour le CESE, l’ampleur et la complexité de ces enjeux de société appellent la mise en œuvre de solutions globales et pérennes au niveau des territoires.
Support de présentation de l'avis "la gestion et l'usage de l'eau en agriculture?" présenté au CESE le 23 avril 2013
Bien commun essentiel à la vie de l’Homme et de toutes les espèces animales et végétales, l’eau est en interaction étroite avec la terre. Elle doit donc être gérée et utilisée de manière optimale par l’agriculture française pour que celle-ci puisse durablement relever les nombreux défis auxquels elle est confrontée : renforcer notre autonomie alimentaire, fournir une eau potable de qualité, préserver les milieux et les équilibres naturels, permettre les autres usages (industriels, domestiques..) et s’adapter au changement climatique. Pour le CESE, l’ampleur et la complexité de ces enjeux de société appellent la mise en œuvre de solutions globales et pérennes au niveau des territoires.
Support de présentation de l'avis "la gestion et l'usage de l'eau en agriculture?" présenté au CESE le 23 avril 2013
L’eau dans les pays en développement : un marché à quel prix ? Quelles soluti...Nancy BOVY
Les risques de la raréfaction de l’eau concernent tous les pays; pays en voie de développement ainsi que pays développés. Mais la « pénurie économique de l’eau », c’est-à-dire, le manque d’investissements appropriés dans le secteur de l’eau - ce qui aggrave considérablement la situation, est une problématique propre aux pays en voie de développement. Le manque d’un cadre législatif (respecté) fragilise encore davantage ces pays.
Comment la GIRE (Gestion Intégrée des Ressources en Eau), peut-elle contribuer à un cadre de stabilité sociale, environnementale et économique ?
Cette rencontre-conférence sera l’occasion d’aborder la question de l’eau en tant qu’enjeu central dans les pays en développement, tout en s'intéressant aux innovations permettant une meilleure gestion de celle-ci.
En seconde partie de rencontre, le focus sera ainsi mis sur le traitement des eaux usées au Maroc à partir des travaux de Fouad Zouhir. Ce dernier mettra en évidence les systèmes d’épuration ayant pour principe le traitement naturel (filtres plantés, lagune, chenal algal,…) ainsi que les traitements plus complexes intensifiant les processus naturels (boues activées, systèmes à bioniques, filtre bactérien aérobie… ).
Stéphane ROBICHON, économiste de lenvironnement à l'agence de l'eau Adour-Gar...AREC Occitanie
Petit-déjeuner / débat "La valeur économique de l'eau", qui s’est déroulé le mardi 20 novembre 2012 de 9h à 11h, en direct de l'agence de l'eau Adour-Garonne à Toulouse.
Accès à la vidéo intégrale, interviews des intervenants et présentations sur www.petitsdejeuners.arpe-mip.com
Document ressource remis aux participants à l'occasion du petit-déjeuner de l...AREC Occitanie
Petit-déjeuner / débat "La valeur économique de l'eau", qui s’est déroulé le mardi 20 novembre 2012 de 9h à 11h, en direct de l'agence de l'eau Adour-Garonne à Toulouse.
Accès à la vidéo intégrale, interviews des intervenants et présentations sur www.petitsdejeuners.arpe-mip.com
Le 3 septembre dernier a vu la naissance d’un nouveau Sage* du Morbihan. Il réunit la Ria d’Etel et le bassin du Golfe du Morbihan. Son objectif est de gérer l’eau en rassemblant les élus et tous les utilisateurs, aussi divers que les pêcheurs, les consommateurs, les agriculteurs.
L’eau dans les pays en développement : un marché à quel prix ? Quelles soluti...Nancy BOVY
Les risques de la raréfaction de l’eau concernent tous les pays; pays en voie de développement ainsi que pays développés. Mais la « pénurie économique de l’eau », c’est-à-dire, le manque d’investissements appropriés dans le secteur de l’eau - ce qui aggrave considérablement la situation, est une problématique propre aux pays en voie de développement. Le manque d’un cadre législatif (respecté) fragilise encore davantage ces pays.
Comment la GIRE (Gestion Intégrée des Ressources en Eau), peut-elle contribuer à un cadre de stabilité sociale, environnementale et économique ?
Cette rencontre-conférence sera l’occasion d’aborder la question de l’eau en tant qu’enjeu central dans les pays en développement, tout en s'intéressant aux innovations permettant une meilleure gestion de celle-ci.
En seconde partie de rencontre, le focus sera ainsi mis sur le traitement des eaux usées au Maroc à partir des travaux de Fouad Zouhir. Ce dernier mettra en évidence les systèmes d’épuration ayant pour principe le traitement naturel (filtres plantés, lagune, chenal algal,…) ainsi que les traitements plus complexes intensifiant les processus naturels (boues activées, systèmes à bioniques, filtre bactérien aérobie… ).
Stéphane ROBICHON, économiste de lenvironnement à l'agence de l'eau Adour-Gar...AREC Occitanie
Petit-déjeuner / débat "La valeur économique de l'eau", qui s’est déroulé le mardi 20 novembre 2012 de 9h à 11h, en direct de l'agence de l'eau Adour-Garonne à Toulouse.
Accès à la vidéo intégrale, interviews des intervenants et présentations sur www.petitsdejeuners.arpe-mip.com
Document ressource remis aux participants à l'occasion du petit-déjeuner de l...AREC Occitanie
Petit-déjeuner / débat "La valeur économique de l'eau", qui s’est déroulé le mardi 20 novembre 2012 de 9h à 11h, en direct de l'agence de l'eau Adour-Garonne à Toulouse.
Accès à la vidéo intégrale, interviews des intervenants et présentations sur www.petitsdejeuners.arpe-mip.com
Le 3 septembre dernier a vu la naissance d’un nouveau Sage* du Morbihan. Il réunit la Ria d’Etel et le bassin du Golfe du Morbihan. Son objectif est de gérer l’eau en rassemblant les élus et tous les utilisateurs, aussi divers que les pêcheurs, les consommateurs, les agriculteurs.
Programme d'actions 2017-2019 du Contrat de Rivière de la HaineCRHAINE
Dans ce document, 41 maîtres d'oeuvre s'engagent à réaliser 638 actions pour les années 2017, 2018 et 2019 en faveur des cours d'eau du sous-bassin hydrographique de la Haine.
200 agents du Département mobilisés pour nettoyer les routes et protéger la petite faune.
Pour la 7e édition de l’opération « Moi aussi j’agis pour l’environnement », le Département se mobilise autour de la biodiversité. Tout au long du mois de mars, la « nature ordinaire » révèle une biodiversité remarquable et une richesse patrimoniale exceptionnelle à travers 40 actions soutenues par le Département et menées par des associations et des scolaires dans 28 communes de Loire-Atlantique. Les agents du Département sont eux aussi mobilisés eux aussi lors de deux journées spéciales de ramassage des déchets sur le bord des routes. Plus de 200 d’entre eux vont nettoyer plus de 450 km de fossés. A l’issue de la première journée, ils ont déjà ramassé 5,3 tonnes de déchets. Ce jeudi 6 mars, ils combinent un ramassage des déchets et une opération de réfection d’un passage à petite faune sur le bord de la RD 723, entre Saint-Jean-de-Boiseau et Nantes.
La Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique de 340 kilomètres de long traverse 4 bassins versants (l’Indre, la Vienne, la Charente et la Dordogne) incluant chacun de nombreux cours d’eau, des zones humides ou encore des nappes d’eau souterraine.
Les bassins versants sont des entités hydrologiques cohérentes dans lesquels tous les écoulements des eaux convergent vers un même point, exutoire de ce bassin.
Les ressources en eau d’un bassin versant peuvent être soumises à de fortes pressions anthropiques (usages domestiques, agricoles, industriels, etc.) qui peuvent dégrader sa qualité et porter atteinte aux milieux aquatiques.
Potentiellement, la construction d’une infrastructure de transport comme la LGV SEA peut elle aussi avoir de nombreux impacts sur les ressources en eau aussi bien pendant la phase de travaux (2012-2016) que pendant la phase d’exploitation (à partir de 2017).
Afin d’évaluer ces impacts, des suivis des différentes ressources en eau sont nécessaires ; ils portent aussi bien sur des aspects quantitatifs que qualitatifs.
Rapport d'activité et liste des projets 2015-2016 - Fondation LISEA BiodiversitéLISEA
Dotée de 5 millions d’euros pour la période 2012-2020, la Fondation participe au financement de projets de proximité qui sont proposés par des associations, entreprises ou établissements publics de recherche implantés dans l’un des six départements concernés par le tracé de la ligne à grande vitesse : Indre-et-Loire, Vienne, Deux-Sèvres, Charente, Charente-Maritime et Gironde.
Depuis 2013 et ce sont près de 50 journées de formation qui ont été organisées par les structures engagées. Les actions aidées par la Fondation sont complémentaires des engagements réglementaires déjà pris par LISEA, COSEA et SNCF Réseau, et viennent en sus des mesures compensatoires du projet. La fondation s'est tourné vers 3 axes : améliorer les connaissances naturalistes, protéger les espèces et leurs habitats, sensibiliser et former les acteurs du territoire.
Direction de la Protection de l’Environnement
Marie-Cécile de CHEZELLES
Suez Environnement
Colloque Tourisme des bords de Seine de l'Association Seine en Partage. Octobre 2011
Le 2ème RDV de l’Eau a eu lieu le mardi 22 mars à 18h30 au Palais des Congrès, dans le cadre de la Journée Mondiale de l’Eau. A cette occasion, les maîtres de conférences de l’Université de Corse, MM. ORSINI et MORI, ont présenté dans un premier temps les principales sources de pollution des milieux aquatiques et l’impact des différentes activités industrielles, agricoles, de loisirs ainsi que les obstacles au bon écoulement des rivières. Par suite, l’historique, le rôle et les objectifs du Schéma Directeur d’Aménagement et de Gestion des Eaux du bassin de Corse ont été rappelés. En conclusion, la démarche de Schéma d’Aménagement et de Gestion des Eaux et de Contrat de baie initiée par la CAPA, avec l’appui de différents partenaires, a été explicitée afin de démontrer l’importance des démarches de gestion intégrée de la ressource en eau et la nécessaire implication de tous dans la reconquête de la qualité des milieux aquatiques, en mer et en rivière
La future Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique de 340 kilomètres de long traverse 4 bassins versants (l’Indre, la Vienne, la Charente et la Dordogne) incluant chacun de nombreux cours d’eau (884 cours d’eau au total), des zones humides ou encore des nappes d’eau souterraines.
Les bassins versants sont des entités hydrologiques cohérentes dans lesquels tous les écoulements des eaux convergent vers un même point, exutoire de ce bassin.
Les ressources en eau d’un bassin versant sont cependant soumises à de fortes pressions anthropiques (usages domestiques, agricoles industriels …) qui peuvent dégrader sa qualité et porter atteinte aux milieux aquatiques.
Potentiellement, la construction d’une infrastructure de transport comme la LGV SEA peut elle aussi avoir de nombreux impacts sur les ressources en eau aussi bien pendant la phase de travaux que pendant la phase d’exploitation.
Afin d’évaluer ces impacts, des suivis des différentes ressources en eau sont nécessaires ; ils portent aussi bien sur des aspects quantitatifs que qualitatifs.
Dans le cadre de la LGV-SEA, la construction de près de 600 ouvrages hydrauliques (buses ou cadres pour les petits écoulements, viaducs ou ponts pour les cours d’eau les plus importants) est prévue sur l’ensemble du tracé afin de faciliter l’écoulement des eaux. Ils ont fait l’objet d’aménagements particuliers pour rétablir la circulation des poissons et des animaux à proximité. Au niveau du bassin de la Dordogne, 6 viaducs ont été construits : Goujonne, Saye, Falaise, Virvée, Dordogne, Ambarès.
Ces ouvrages hydrauliques sont prévus pour perturber le moins possible les écoulements naturels mais ne sont pas sans conséquence et peuvent porter atteinte au milieu aquatique et influer sur la continuité des cours d’eau. La réalisation des ouvrages et du rétablissement hydraulique doit respecter le principe de libre circulation des poissons (Code rural) et l’implantation de l’ouvrage doit se faire au plus proche du lit naturel du cours d’eau existant pour éviter une dérivation trop importante.
Politic of a local authority for the protection of ocean activate - Marie-Chr...
Lettre de la seiche n°1
1. N° 1 - Janvier 2013
4
Chemin des bosquets - L’Orangerie
35 410 CHÂTEAUGIRON
Tél : 02 99 00 76 41
www.syndicatdelaseiche.fr
Directeur de la publication : Michel DEMOLDER
Création : FLT-Graphisme(.com)
Impression : Imprimerie du Rimon
Crédits photographiques : SIBVS
w w w. s y n d i c a t d e l a s e i c h e. f r
Lemotdu Président
Parce que l’eau est vitale pour chacun d’entre
nous, la préservation et la restauration des
ressources impliquent d’associer l’ensemble des
acteurs d’un territoire hydrographique. Créé en
1982 et composé en 2008 de 19 communes,
le Syndicat Intercommunal du Bassin Aval de
la Seiche a modifié ses statuts pour devenir
en 2009 le Syndicat Intercommunal du Bassin
Versant de la Seiche.
Fin 2012, il regroupe 39 communes et d’autres
communes ont sollicité leur adhésion. Agir pour
l’amélioration de la qualité de l’eau et des
milieux aquatiques, rechercher et expérimenter
des solutions pour réduire les pollutions et les
impacts liés aux différentes activités humaines,
tels sont les objectifs du Syndicat. Cette première
Lettre vous invite à découvrir quelques actions
mises en œuvre sur le bassin versant.
Michel DEMOLDER
Témoignage
de Laurent THIEBOT,
agriculteur à Piré-sur-Seiche.
Avec ses associés du GAEC,
Monsieur THIEBOT a bénéficié du
programme Breizh Bocage cet hiver
avec la plantation de plus de 2 Km
de haies bocagères.
Monsieur THIEBOT, pour quelles raisons avez-vous souhaité
planter des haies sur l’exploitation ?
« Le parcellaire de l’exploitation, qui compte 198 ha, est très groupé
avec des îlots de 25 à 30 ha sans arbres. Les parcelles atteignent
une surface telle que les auxiliaires des cultures se font rares.
Nous avons donc décidé de replanter des haies dans un double
objectif.
D’une part, nous voulons redonner à la haie sa place dans notre
exploitation en plantant autour des îlots qui ont atteint une taille
« plafond ». D’autre part, nous souhaitons que la biodiversité et
notamment les auxiliaires de culture soient stimulés grâce aux
haies qui leur serviront d’habitat.
Les haies nouvelles joueront un rôle limité contre l’érosion et le
lessivage des sols puisque les terres de l’exploitation sont cultivées
en semis direct.
Enfin, même si les projets restent à définir, l’exploitation du bois
produit sera sans doute, tôt ou tard, recherchée. »
Qu’est-cequ’unbassinversant?
Un bassin versant est une aire délimitée par une ligne de partage des eaux à l’intérieur
de laquelle toutes les eaux tombées alimentent un même cours d’eau. D’une superficie
de 831 Km2
, le bassin versant de la Seiche compte plus de 700 Km de cours d’eau. La
Seiche prend sa source sur la commune du Pertre et parcourt 97 Km avant de se jeter
dans la Vilaine sur la commune de Bruz. Ses principaux affluents sont de l’amont à l’aval :
l’Ardenne, la Quincampoix, l’Yaigne et l’Ise.
Les débits de la Seiche
sont principalement liés aux
pluies. En effet, le bassin
versant de la Seiche se
caractérise par de faibles
capacités de stockage des
eaux du fait de son sous-sol
imperméable, essentiellement
composé de schiste.
Accompagnerla reconstitutiondubocage...
Les intérêts du bocage sont multiples. On peut notamment évoquer un
rôle avéré sur la réduction des transferts de polluants vers les eaux
superficielles, la protection des sols et du bétail, la préservation de la
biodiversité et la production de bois ...
Conscients de ses bienfaits, l’Europe, l’Agence de l’Eau, le Conseil
Régional, le Conseil Général et le Syndicat de la Seiche ont souhaité
participer à sa réintroduction par le biais du programme Breizh
Bocage, qui peut permettre la fourniture des plants et du paillage mais
aussi la réalisation et le financement des travaux de plantation les plus
pertinents chez les candidats.
Ainsi, cet hiver, la plantation de plus de 30 Km de haies est prévue
dont une vingtaine sur les communes de Bruz, Bourgbarré et Piré-sur-
Seiche.
En 2013, d’autres communes feront l’objet de ce programme. Les
exploitants agricoles seront contactés individuellement par le technicien
bocage du Syndicat afin de les sensibiliser aux intérêts du bocage et
pour réfléchir à d’éventuels projets de plantation.
Les 39 communes adhérentes au Syndicat Intercommunal
du bassin versant de la Seiche.
Marie-Hélène
de BOISBOISSEL
Secrétaire-Comptable
secretaire.bvseiche@orange.fr
Guillaume DERAY
Technicien rivière
technicien.bvseiche@orange.fr
06 72 94 62 72
Jean-François POULARD
Technicien bocage
bocage.bvseiche@orange.fr
06 72 94 49 86
Sandrine GARNIER
Animatrice-coordinatrice
bvseiche@orange.fr
06 86 38 07 98
Camille GILLARD
Animatrice agricole
agricole.bvseiche@orange.fr
07 87 85 90 18
Camille a été recrutée en ce
début d’année pour mettre en
œuvre les actions agricoles
sur le bassin versant.
Sandrine assure la conduite
et le développement du
Syndicat à travers l’animation
de l’ensemble des volets du
Contrat Territorial de Bassin
Versant.
Création d’une haie bocagère