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Jacques Nathan, Brussels Airlines
	 « Proximus Budget Manager
	 nous permet d’estimer
	 parfaitement nos coûts. »
Proximus Wireless Office
	 La meilleure solution pour
	 alléger votre budget télécom
Alfacam convaincu après
un essai de Push E-mail
	 Collaborateurs conquis et
	 efficacité accrue
Musique mobile sur le GSM
	 Les intervenants travaillent
	 main dans la main
Le magazine des télécoms mobiles, par et pour les professionnels • décembre 2006
Vous tenez à optimiser l’efficacité et le coût des communications au
sein de votre entreprise. Le nouveau Proximus Wireless Office vous
simplifie considérablement cette tâche. On peut parler de petite
révolution car le Wireless Office transfère maintenant au GSM tous les
avantages traditionnels d’un téléphone fixe. Les câbles disparaissent,
la mobilité et l’accessibilité augmentent, et les coûts diminuent – en
effet, les collègues s’appellent gratuitement. D’un seul coup, votre
gestion des télécoms se trouve allégée.
Frédéric de Braey,
Directeur
Business Mobile Division
Alléger votre budget télécom
Mobile Business Solutions est une publication de
Proximus, le réseau de Belgacom Mobile S.A.
Editeur responsable : Frédéric de Braey, Belgacom
Mobile S.A., rue du Progrès 55, 1210 Bruxelles,
tél. 02 205 40 00.
Toute reproduction, même partielle, par quelque
procédé que ce soit, est interdite sans autorisation
écrite préalable.
12
4
18
22
20
Dans ce numéro
	4	 Wireless Office - le travail mobile gagne en légèreté. Tous les atouts de votre
téléphone fixe sur votre GSM, avec en prime des tarifs très avantageux
	6	 Brussels Airlines - les solutions sans fil constituent l’avenir. D’ici là, les coûts de
communication restent maîtrisés grâce à Proximus Budget Manager
	8	 Paiement du parking par SMS - première application de paiement mobile. Anvers
témoigne au sujet des avantages pour les citoyens et pour l’administration communale
	10	 Proportion croissante de smartphones - la progression des smartphones dans
le secteur des portables stimule l’emploi du multimédia mobile
	12	 Nouveaux portables et accessoires - gros plan sur quelques appareils
14	Vodafone Mobile Data Roaming Bundle - pour un montant fixe par mois,
vous disposez d’un volume de transfert de données de 100 MB, à utiliser sur les
réseaux partenaires de Vodafone dans une vingtaine de pays
	15	Coup d’œil sur l’avenir - quelles variantes futuristes du GSM traditionnel
annonce-t-on ?
16 Bayer HealthCare - utilise une solution mobile unique pour fournir aux milieux
médico-universitaires des données concrètes sur les maladies
18	Musique mobile - passade ou réelle tendance ? Les intervenants travaillent en tout
cas main dans la main
20	 Alfacam - enthousiaste après une période d’essai, et convaincue que Push E-mail
peut accroître l’efficacité de l’entreprise
22	 Achat de GSM - quelle stratégie devez-vous suivre ? Quelques pistes pour attribuer
le bon GSM au bon collaborateur
24	 Amérique latine - profil d’un marché morcelé où croissance ne rime pas toujours
avec bénéfices
26	 « New Dimensions to your business » - quelques points forts du Corporate
Event d’une journée, lors duquel les clients ont eu un aperçu des possibilités qu’offre
le travail mobile
28	 Tarification à l’unité de temps pour les transferts de données - face à la
multiplication et à l’accélération des transferts de données, le décompte par unité de
temps se révèle souvent plus avantageux
29	 3G Haut Débit - la vitesse de téléchargement augmente encore et le réseau se
déploie tout aussi vite
30	Dans la presse - quelques-uns des communiqués de presse les plus marquants
relatifs au secteur télécoms et data
31	Le dernier mot - Rob Bamforth explique pourquoi le bureau mobile conquiert plus
facilement certaines entreprises que d’autres
Lorsque vos collaborateurs se trouvent au bureau, ils n’ont
plus à se demander quel téléphone utiliser : le fixe ou le
mobile ? Un seul appareil suffit et, en tant que respon-
sable, vous réduisez les frais de télécoms.
Allégez votre budget télécom
La tarification de Wireless Office se révèle aussi
simple qu’avantageuse. Au bureau, vos
collaborateurs :
s’appellent gratuitement, tant sur une
ligne fixe que sur un GSM ;
téléphonent vers une ligne fixe en
Belgique et vers des numéros
fixes et mobiles à l’étranger à
un tarif comparable à celui
d’une ligne fixe ;
envoient des SMS à un tarif
réduit.
En plus de ces tarifs avan-
tageux, vous réduisez enco-
re vos frais de télécoms en
épargnant les frais de câbla-
ge, d’entretien du central télé-
phonique, d’achat de téléphones
fixes, etc.
Wireless Office peut être instauré
pour un client possédant plusieurs
sites ; à vous de déterminer les sites de
votre entreprise à équiper avec Wireless
Office. Par exemple, un collaborateur qui
travaille à Anvers pourra appeler gratuitement
un collègue sur son poste fixe situé à Liège.
n
n
n
Le nouveau service Wireless Office vous permet désormais de profiter sur votre
GSM de nombreuses possibilités que vous offrent votre ligne fixe. Vos collaborateurs
gagnent ainsi en mobilité, en productivité et donc en efficacité tandis que votre
budget télécom s’allège.
Proximus Wireless Office
La solution pour alléger
Produits  services
Enfin, détail non négligeable, il n’y a aucun investissement
supplémentaire à prévoir. Tous les GSM existants sont com-
patibles avec Wireless Office.
L’atout de la simplicité
GSM ou téléphone fixe ? Grâce à Wireless Office, vos colla-
borateurs ne doivent plus se préoccuper de savoir quel télé-
phone utiliser. En plus de toutes les facilités déjà présentes
sur votre GSM, vous y ajoutez de nombreuses  fonctions qu’	
offrent les téléphones fixes  afin de vous simplifier la vie :
transfert des appels entrants vers une autre ligne, à partir
de votre GSM ;
renvoi automatique des appels vers un autre numéro ;
organisation sans faille d’une conférence téléphonique
(jusqu’à 5 interlocuteurs) ;
gestion simultanée de deux appels ;
utilisation de numéros abrégés pour appeler des	
collègues.
Vu qu’un seul appareil suffit, vos collaborateurs ne doivent
désormais consulter qu’une seule messagerie vocale et tenir
à jour une seule liste de contacts. Finis, les appels manqués
ou la recherche vaine des coordonnées d’un contact....
Gain de productivité
Wireless Office se distingue par sa simplicité, mais fait
également gagner en productivité. Vos collègues peuvent
se déplacer librement dans les bâtiments. Ils vont d’une
réunion à l’autre, en passant chez un collègue d’un autre
service, tout en restant toujours accessibles au même
numéro.
Idéal aussi pour vos collaborateurs qui partagent leur espace
de travail ou qui effectuent des va-et vient réguliers entre le
bureau et les visites à l’extérieur.
Wireless Office optimise également la gestion de l’espace
de travail. Que vous ayez affaire à un déménagement inter-
n
n
n
n
n
ne, à l’engagement de nouveaux collaborateurs ou à des
travailleurs intérimaires, à des collègues souvent sur la route,
vous ne devez plus vous soucier de l’achat et de l’installation
de téléphones fixes, du câblage, de la programmation du
central et des contrats de maintenance. Vos tâches adminis-
tratives s’en trouvent fortement simplifiées.
Combien coûte Wireless Office ?
Pour un montant mensuel de ¤ 14 par carte SIM, vos appels
entre collègues sont entièrement gratuits et les autres appels
et SMS sont facturés à un tarif avantageux. De plus, vous ne
payez aucuns frais d’activation.
En bref
J Grâce à Wireless Office, vous dotez le GSM de vos
collaborateurs de tous les avantages du téléphone
fixe. Une solution rentable qui renforce la produc-
tivité de votre entreprise et allège sensiblement
votre budget télécom. Wireless Office est compati-
ble avec toutes les solutions mobiles actuellement
proposées aux clients corporate de Proximus.
J	 Trois mois gratuits !
	 Si vous souscrivez à Wireless Office d’ici le 30 juin
2007, Proximus vous rembourse trois mois d’abon-
nement par carte SIM inscrite.
i Découvrez vous-même tous les avantages de
Wireless Office
	 Afin de vous rendre compte par vous-même de la
simplicité et des avantages de cette nouvelle solu-
tion, visionnez la démo sur
	 http://corporate.proximus.be/fr/Wireless_Office/.
	 Votre personne de contact habituelle chez Proximus
se fera également un plaisir de vous renseigner.
vos frais de communication
SN Brussels Airlines est en pleine muta-
tion. La fusion avec Virgin Express est
bien réelle, depuis la naissance annon-
cée en novembre dernier de la nouvelle
compagnie « Brussels Airlines ». Cette fusion
crée de nouvelles opportunités, y compris pour
le département IT (voir encadré). Dans le monde très
compétitif de l’aviation, la maîtrise des coûts reste une
priorité. C’est pourquoi Jacques Nathan utilise Proximus
Budget Manager.
Scission des appels professionnels et
privés
« Cet outil nous intéresse surtout pour le personnel
ground operations, les techniciens et une partie des
cadres moyens. Nous fixons, par groupe, la limite
entre l’usage privé et professionnel. Pour savoir où
placer la barre, nous regardons les dernières factures.
Pas de limite pour les données. Pas de limite non
plus pour les SMS, mais notre département RH vérifie
toujours les factures. En cas de dépassement exces-
sif, les personnes concernées doivent se justifier,
mais c’est rare. »
La sensibilisation : capitale
Jacques Nathan attache une grande importance à
l’utilisation raisonnable du téléphone, ce qui sup-
pose une sensibilisation. Il veille donc à ce que
chaque chef de service de ce que l’on appelait
encore récemment SN Brussels Airlines soit
informé chaque mois des frais totaux de com-
munication de son service. « Par la suite, nous
souhaiterions également informer individuelle-
ment les employés de leur consommation télé-
Brussels Airlines, Proximus Budget Manager et le  
La mobilité, mais
SN Brussels Airlines (rebaptisé depuis quelques
semainesen Brussels Airlines)sesertde Proximus
Budget Manager, entre autres, pour garder les
coûts de communication mobile sous contrôle.
Jacques Nathan, IT Manager, plaide pour
une sensibilisation maximale du person-
nel. Il se rend également compte que les
solutions mobiles peuvent fortement
accroître l’efficacité de la compagnie
aérienne, affirmation qu’il étaie par
différents exemples.
phonique du mois. Il importe de les sensibiliser, même si, en
règle générale, ils se montrent déjà très disciplinés. »
Gain d’efficacité grâce au portable et à la
carte data Vodafone Mobile Connect
La communication de données se développe pleinement
au sein de la compagnie aérienne belge et, pour de nom-
breuses applications, on utilise un portable combiné à la
carte data Vodafone Mobile Connect. Jacques Nathan cite
quelques exemples éloquents :
n	 « Notre équipe de vente y a recours quand elle visite
des agences de voyages et de grandes entreprises dans
le monde entier, y compris dans des villes non desser-
vies directement par nos vols. Nous essayons de vendre
Bruxelles comme étape vers l’Afrique, par exemple. Les
informations actualisées fournies par le portable consti-
tuent un outil précieux dans les discussions. »
n	 « Nos security officers sont également concernés. Le
portable leur permet de procéder à une vérification du
système de réservation sur le tarmac, à côté de l’avion,
dans n’importe quel aéroport étranger. S’ils soupçon-
nent un faux passeport, ils envoient les références du
passeport à Bruxelles, pour vérification, et en quelques
minutes, ils savent si la personne peut légitime-
ment monter à bord. C’est important car les amendes
sont lourdes et toujours à charge de la compagnie	
aérienne. »
n	 « Les ingénieurs en charge des entretiens utilisent éga-
lement un portable avec carte data Vodafone Mobile
Connect. Supposons qu’un de nos appareils connaisse
un problème technique à Milan. Nous envoyons un
ingénieur sur place, qui doit directement pouvoir se
connecter au système SN Maintenance pour consulter les
stocks de pièces de rechange, par exemple. En l’absence
de hotspot WiFi, nous utilisons un portable avec carte
data, qui se connecte par GPRS ou UMTS à SN Intranet
ou à notre interface webmail. La connexion s’établit via
notre propre VPN Client, une ligne sécurisée qui passe
par l’Internet public. »
Brussels Airlines
La compagnie, qui s’appelait SN Brussels Airlines jusqu’en
novembre, emploie plus de 2 170 personnes et assure
plus de 285 vols par jour vers 57 villes européennes et
14 villes africaines, Abu Dhabi dans la région du Golfe et
3 destinations en Amérique du Nord (Chicago, New York
et Toronto), avec différentes connexions aux Etats-Unis.
A partir de juillet 2007, des vols directs vers Pékin seront
assurés en collaboration avec Hainan Airlines. SN Brussels
Airlines et sa société sœur Virgin Express appartiennent
au SN Airholding Group et volent de concert depuis
quelques semaines, sous le nouveau nom de société de
Brussels Airlines.
  travail mobile    
avec des coûts maîtrisés
Applications sans fil en perspective
Jacques Nathan envisage plusieurs projets qui tirent
tous parti de la communication sans fil par PDA et/ou
portable. « Nombre de ces applications sans fil peuvent
aussi bien transiter par un réseau WiFi que par un
réseau GPRS/3G. Proximus est avantagé par rapport
au WiFi, vu son réseau nettement plus étendu et les
multiples accords de roaming. »
Quatre exemples d’applications sans fil potentielles du
côté de l’ex-SN Brussels Airlines :
n	 Flight data : des données aussi capitales pour nos
services Flight Safety que Maintenance, restent pour
l’instant enregistrées sur une carte magnétique. Après
chaque vol, un ingénieur doit les récupérer dans
l’avion. Les envoyer sans fil nous fait gagner du temps
et de la main d’œuvre.
n	 Scheduling : actuellement, les commandants de bord
et les équipages doivent aller consulter leur planning
au bureau. Ils perdent facilement un quart d’heure,
aux heures d’affluence. Si vous multipliez cela par le
nombre de personnes concernées (plus d’un millier
au total), le travail sans fil à partir d’un PDA fait
gagner beaucoup de temps.
n	 Paperless cockpit : au lieu d’accumuler dans le cockpit
des manuels en version papier, qui doivent constam-
ment être mis à jour, il serait beaucoup plus efficace
de fournir aux commandants de bord un portable sur
lequel ils pourraient consulter, après synchronisation,
la version la plus récente des manuels.
n	 Self check-in : il pourrait sans problème se faire via
le réseau GPRS ou 3G. Il suffit d’un portable avec une
connexion sans fil, couplé à une imprimante qui attribue
au passager un ticket muni d’un code à barres. On pour-
rait envisager de placer ces terminaux dans divers hôtels
lors de grands événements : les athlètes du Memorial
Van Damme, par exemple, ne devraient plus s’enregis-
trer à l’aéroport, mais pourraient le faire à l’hôtel.
témoignage
8
Le paiement du parking par SMS, sans
inscription préalable (voir encadré
pour le fonctionnement) constitue
une primeur en Europe occidentale.
Si Anvers en a eu l’honneur, c’est
grâce à l’étroite collaboration entre
le GAPA (Gemeentelijk Autonoom
Parkeerbedrijf Antwerpen), Proximus
et le partenaire ICT Mobile-For. « Nous
cherchions depuis plusieurs années
une solution alternative aux bornes
de paiement existantes, trop sujettes
aux vols : l’administration commu-
nale perdait chaque année jusqu’à
¤ 1,5 million de recettes », explique
Eric Dubois, administrateur délégué
du GAPA. « Nous voulions également
faciliter le paiement. Les nouveaux
appareils installés en 2003 acceptai-
ent Proton, mais nous examinions
déjà la possibilité de payer par SMS.
Après avoir testé la technologie,
nous avons lancé un projet pilote,
dans lequel nous avons essayé dif-
férents opérateurs. Depuis septembre
2006, le système fonctionne de façon
ouverte, sans besoin de s’inscrire au
Le « SMS parking », première application de
paiement par GSM, illustre la manière dont une
entreprise – en l’occurrence la Société Autonome
de Parkings de la ville d’Anvers – augmente le
confort de ses clients tout en collectant une mine
d’informations de gestion. Tant qu’à faire, autant
profiter également de l’image de modernité que
dégage cette application SMS inventive.
L’initiative commence d’ailleurs à inté-
resser d’autres villes et prend de
l’extension…
préalable, en partenariat avec Mobile-For pour la technolo-
gie et Proximus pour le réseau. »  
Un partenaire télécom innovant
Eric Dubois motive le choix de Proximus comme parte-
naire pour le réseau : « Nos tests ont montré que Proximus
offrait la meilleure couverture. Proximus s’est d’ailleurs
aussi avéré le plus innovant, notamment en facturant
directement les coûts des SMS aux
abonnés, via la facture Proximus. »
Dans le cas de cartes prépayées,
le montant est automatiquement
débité de la carte.
Dans le nouveau système, les gar-
diens de parkings anversois sont
munis d’un terminal portable avec
carte SIM intégrée. GAPA en uti-
lise une cinquantaine. Les gardiens
encodent tous les numéros de
plaque des voitures garées ; via
Mobile Internet et le réseau UMTS/
GPRS de Proximus, la carte SIM se
connecte directement à la base de
données de Mobile-For et vérifie
si l’automobiliste règle le parking
par SMS.
Paiement du parking
par SMS : une première
application avant bien
d’autres
Le partenaire technologique Mobile-
For est une jeune entreprise belge
axée sur la conception de techniques
de paiement mobile, d’autorisations
numériques d’accès et autres solu-
tions mobiles. Le paiement du par-
king par SMS est son premier projet
concret. « L’un des plus complexes,
aussi, car nous devions program-
mer le logiciel pour qu’il calcule et
Le paiement mobile accroît l’efficacité des communes
Primeur : le « SMS parking »
inaugure l’ère des paiements par GSM
9
 GSM 
Comment fonc-
tionne le système ?
Comme toute bonne
invention, le paiement du
parking par SMS est aussi
simple que génial.
Après avoir garé votre
voiture, vous envoyez
par SMS la référence
de la borne de paiement ainsi que votre plaque
d’immatriculation au numéro central 3311. La tarifi-
cation commence à courir et s’arrêtera lorsque vous
enverrez la lettre Q (« quit ») au même numéro.  Le
paiement par SMS constitue un système ouvert, ce qui
signifie que tout le monde peut en faire usage pour
régler sa note de parking.  La première fois, le parking
est gratuit, puis les abonnés Proximus reçoivent auto-
matiquement la note sur leur facture.
J	 Paiement du parking par SMS : les citoyens règlent
le parking par SMS, la commune collecte ainsi une
mine d’informations utiles et se profile comme une
institution moderne et conviviale.
i	Plus de détails auprès de votre personne de contact
chez Proximus et sur http://www.park3311.be/
(uniquement en néerlandais).
Mobile-For
-	Fondé en juin 2006 ;
-	objectif : la conception de méthodes de paiement
mobile, d’autorisations numériques d’accès et autres
solutions mobiles sur le marché belge.
GAPA
-	Fondé en juin 2002 ;
-	dépend de l’administration communale d’Anvers ;
-	objectif : l’application d’une politique de station-
nement cohérente en vue de l’amélioration de la
qualité du trafic.
facture rapidement et clairement le tarif en vigueur pour le
temps écoulé entre les deux SMS – début et fin du station-
nement », explique le gérant Frank Loomans. « D’autres
applications qui reposent sur le M-Payment (paiement
mobile) ne font référence qu’à un seul moment de paie-
ment, après la demande par SMS, et sont donc plus simples.
Notre portefeuille de services ne se limite pas au paiement
du parking par SMS. Les M-tickets sont également envi-
sageables pour les transports en commun (trajet en bus, en
train…). Le système peut même convenir pour les musées,
le cinéma, des événements, ou une combinaison de tickets
d’entrée et de parking. »
Le « Mobile Government » a la cote
Le paiement du parking par SMS démarre sur les chapeaux
de roue. Chaque jour, près de 700 personnes en font usage
à Anvers. Voilà un bon exemple de « mobile government »,
où les pouvoirs publics ou la commune se servent de la
communication mobile pour améliorer les services aux
citoyens.
Le système offre encore d’autres avantages, qu’énumère
Eric Dubois, du GAPA :
n	 les SMS contiennent une mine d’informations de ges-
tion ; on peut facilement estimer le degré d’occupation
des rues et tous les automobilistes qui se garent sont
répertoriés : qu’ils paient au moyen d’un ticket, par SMS
ou qu’ils fraudent ;
n	 les gardiens de parkings travaillent plus efficacement
car la marge d’erreur est quasiment nulle. La direction
contrôle aussi plus facilement leur travail ;
n	 toute plainte peut immédiatement être vérifiée : on
peut directement retrouver tous les SMS – ce qui évite
toute discussion ;
n	 qui dit moins d’argent liquide dans les bornes de paie-
ment, dit baisse des coûts pour la collecte et l’entretien
des machines ;
n	 le système décourage le vol de voitures. En glissant son
ticket de parking derrière le pare-brise, l’automobiliste
annonçait qu'il comptait s’absenter pendant trois heures,
par exemple. Grâce au paiement par SMS, les personnes
mal intentionnées ne savent jamais quand le conducteur
reviendra ;
n	 la ville renforce son image de marque : les citoyens
aiment voir que l’on investit dans des technologies nou-
velles, conviviales.
Le paiement du parking par SMS pourrait bien se popu-
lariser dans toute la Belgique d’ici peu. Blankenberge,
Knokke, Courtrai, Lokeren, Mortsel, Tirlemont et Wavre,
entre autres, ont déjà manifesté leur volonté d’emboîter
le pas à Anvers.   
Produits  services
10
Le simple téléphone mobile a atteint
un tel degré de pénétration en
Occident qu’il devient difficile d’encore
progresser ; la voie est ouverte aux
« smartphones » et autres portables
spécialisés. Le fait que ces deux
types d’appareils incitent également
les utilisateurs à employer d’autres
fonctions que la téléphonie n’est par
ailleurs pas négligeable.
Les chiffres obtenus par la majorité des bureaux d’études
sont éloquents : ils prédisent presque tous que les années
à venir seront dominées par les smartphones. Une enquête
récente d’Analysys laisse entrevoir que près de 1,5 milliard
de téléphones mobiles se vendront en 2011, contre 800
millions en 2005. Les portables offrant différentes fonctions
en constitueraient environ 30 %. Ceux qui se concentrent
sur une fonction précise, comme la photo ou la télévision
mobile, auront entre-temps conquis la plus grande part
de marché. Un deuxième bureau d’études, Canalys, parle
également de l’essor continu des smartphones. Face à une
progression du marché global des portables d’environ 55 %,
Canalys voit le nombre de « converged devices » (smart-	
phones et ordinateurs de poche sans fil) augmenter de
75 %, alors que ce taux n’était encore que de 33 % l’an
dernier.
Autres chiffres, même conclusion
Les chiffres des confrères d’In-Stat se rapprochent de ceux
d’Analysys. D’après In-Stat, les smartphones représentent
actuellement environ 10 % du marché total de la télépho-
nie mobile. In-Stat voit passer la part des smartphones à
25 % dans les cinq ans à venir.
Rien qu’au premier semestre de 2006, Gartner a déjà vu
augmenter le nombre de PDA et de smartphones de 57 %
par rapport à l’année dernière. Pour l’heure, le compteur
indique 42,1 millions d’unités. Le marché des smartphones
est actuellement quatre fois supérieur à celui des PDA. Le
nombre de PDA vendus n’a augmenté que de 5,7 %, pour
atteindre 7,4 millions d’unités.
Nous citerons encore deux chiffres donnés par d’autres
bureaux d’études : au second trimestre de 2006, IDC a vu
progresser les smartphones jusqu’à près de 20 millions
d’unités et entrevoit pour toute l’année 2006 la vente de
près de 100 millions d’exemplaires. ABI Research, enfin,
prédit pour cette année la vente de quelque 123 millions
de smartphones, soit environ 15 % du marché mobile total.
Selon ABI, cela représente le double de l’année passée.
L’avenir appartient au smartphone
Le smartphone
stimule le multimédia
11
Tendances mobiles
Pas de définition
­univoque
Il n’est pas étonnant que les dif-
férents analystes présentent des
chiffres divergents car après tout,
ce ne sont jamais que des pré-
visions. S’agissant de smartphones,
les choses se compliquent encore.
Il n’existe en effet pas de définition
unique d’un smartphone. Jusqu’il y a peu, on le définissait
comme un GSM qui permettait d’envoyer et de recevoir des
e-mails, dont l’agenda et le carnet d’adresses pouvaient
être synchronisés avec un ordinateur et sur lequel d’autres
applications pouvaient tourner.
Le système d'exploitation comme critère ?
IDC appelle un « smartphone » tout portable basé sur un
système d'exploitation sophistiqué. Parmi ces systèmes
figurent BlackBerry®, Linux, Palm OS, Symbian ou encore
Windows Mobile. Or, les fabricants de certains appareils ont
développé leur propre système d'exploitation qui peut faire
fonctionner quasiment autant d’applications que les appa-
reils précités. De plus, les GSM de la gamme moyenne com-
blent l’écart. Ils deviennent capables d’assumer un nombre
croissant de tâches qui restaient l’apanage du smartphone.
La distinction évoquée plus haut qu’établit Analysys entre
les smartphones et les portables qui n’exécutent qu’une
seule fonction ne fait pas plus l’unanimité. La frontière
est souvent difficile à cerner. Les GSM surtout axés sur
la musique, la photo ou la TV/vidéo peuvent exécuter
quasiment tout ce que fait un smartphone ordinaire, et
inversement. Nokia n’a donc pas fait un si mauvais choix
en décrivant certains de ses appareils comme des « ordina-
teurs multimédias qui permettent de téléphoner ».
Smartphone : essentiel pour le travail
Indépendamment des chiffres, une autre enquête démontre
encore l’importance croissance des smartphones. Une
enquête sur la consommation effectuée par Canalys a, par
exemple, révélé que, par
rapport aux utilisateurs
de PDA ou de portables,
davantage d’utilisateurs
de smartphones consi-
déraient ces appareils
comme essentiels pour
leur travail. Pour Canalys, cela ne signifie pas forcément que
les smartphones seront d’office acceptés et remplaceront
en masse PDA et portables. Mais cela montre l’importance
des smartphones pour les utilisateurs professionnels.
Plus de contenus mobiles
Une enquête de M:Metric apporte un bémol soutenu à ce
dernier constat. M:Metric relativise en effet le fait que les
utilisateurs professionnels n’utilisent leur portable que pour
des applications professionnelles. Une enquête récemment
menée par M:Metric souligne que, même si le smartphone
ne représente qu’une faible part du marché actuel, leurs
détenteurs consomment une masse de contenus mobiles.
Contrairement à ce que l’on croit, ces appareils performants
ne servent donc pas uniquement à accroître la productivité
de leur utilisateur. Ceux-ci s’en servent également pour trai-
ter leurs e-mails personnels et surfer sur Internet. Ou encore
pour regarder des clips vidéos, jouer à des jeux en route ou
écouter de la musique. Comparé à l’utilisateur moyen de
GSM, l’utilisateur de smartphone est donc, selon M:Metrics,
un gros consommateur de multimédias mobiles. Les chiffres
le confirment : en France et en Allemagne, près de la moitié
des détenteurs de smartphones a déjà envoyé une vidéo
ou une photo sur le réseau mobile, contre une moyenne de
18,6 % du marché en France et 19,5 % en Allemagne. Près
d’un quart des utilisateurs de smartphones au Royaume-
Uni écoute de la musique sur son GSM, comparé à une	
moyenne de 5,8 % du marché. Dans d’autres pays, M:Metric
a observé des proportions similaires.
12
Portables   
HTC S620
Un smartphone
comme bureau mobile
Cet ordinateur de poche de HTC (qui fabrique
également les QTek) s’adresse au travailleur
mobile qui veut pouvoir rédiger et lire des e-
mails et d’autres textes courts en déplacement.
Le clavier confortable facilite l’encodage de
textes et l’écran 2,4 est suffisamment large pour
en lire. Grâce à la touche de contrôle HTC JOGGR,
vous naviguerez aisément entre les applications et
les documents.
Le nouveau programme Windows Mobile 5.0 (lisez
également Mobile Business Solutions de septembre)
autorise Push E-mail, mais aussi Windows Mobile de
Vodafone. Grâce aux différentes possibilités de con-
nexion (Quadband, GPRS/EDGE, WiFi et Bluetooth), ce
portable s’utilise presque n’importe où. La mémoire ne lui
fait pas défaut non plus : 128 MB de ROM et 64 MB de RAM,
plus un port pour carte mémoire MicroSD.
Autonomie d’appel : jusqu’à 5 heures
Autonomie en veille : jusqu’à 220 heures
Poids : 130 g
Taille : 111,5 x 62,5 x 12,8 mm
Fréquences : 850 / 900 / 1 800 / 1 900
Résolution d’écran : 240 x 320 pixels
E-mail : oui
Connexions : GPRS / WAP / Bluetooth / USB
Mémoire : 64 MB RAM/128 MB ROM + MicroSD
Appareil photo : oui
PLUS : WiFi b/g
•
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•
Attention : l'appareil affiché ci-dessus montre un clavier qwerty,
mais est également disponible en Belgique avec un clavier azerty.
13
   sous la loupe
NOKIA E50
Un smartphone au look classique
Sous l’apparence d’un GSM Nokia classique,
le E50 offre toutes les fonctions que l’on peut
attendre d’un smartphone moderne. Il partage
d’ailleurs avec d’autres smartphones haut de
gamme le système d'exploitation Symbian
Series 60. Il prend en charge les solutions
Push E-mail, comme Vodafone Direct E-mail,
et lit sans problème des annexes en Word,
Powerpoint ou Excel.
Autonomie d’appel : jusqu’à 6,8 heures
Autonomie en veille : jusqu’à 216 heures
Poids : 104 g
Taille : 113 x 43,5 x 15,5 mm
Fréquences : 850 / 900 / 1 800 / 1 900
Résolution d’écran : 240 x 320 pixels
E-mail : oui
Connexions : GPRS / WAP / Bluetooth / USB / infrarouge
Mémoire : 70 MB de mémoire interne + Micro SD
Appareil photo : non
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HTC P3300
PDA avec GPS
Le logiciel Phone Edition de Windows Mobile
5.0 fait de ce PDA un véritable GSM. On
remarquera le GPS intégré, assez étonnant
sur un appareil aussi mince. Le P3300 fait
donc aussi office de système de navigation.
La dernière version du très populaire TomTom
Navigator y est d’ailleurs installée. La radio FM
surprend tout autant sur ce type d’appareil.
Sony Ericsson K800i
La télévision mobile sur votre GSM
Fort de son appareil photo de 3,2 mégapixels, ce
GSM Cybershot de Sony Ericsson constitue l’un des
meilleurs photophones du marché. Il est aussi un
smartphone à part entière, capable de télécharger
et d’envoyer des e-mails en un clin d’œil, grâce à
l'UMTS. Etant un portable Vodafone live!, il vous
offre en prime le plaisir de la télévision mobile.
Autonomie d’appel : jusqu’à 3,5 heures
Autonomie en veille : jusqu’à 150 heures
Poids : 127 g
Taille : 108 X 58 X 16,3 mm
Fréquences : 850 / 900 / 1 800 / 1 900
Résolution d’écran : 320 x 240 pixels
E-mail : oui
Connexions : GPRS / WAP / Bluetooth / USB / infrarouge
Mémoire : 64 MB RAM/128 MB ROM + MicroSD
Appareil photo : oui
PLUS : WiFi b/g + GPS intégré
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Autonomie d’appel : jusqu’à 7 heures
Autonomie en veille : jusqu’à 350 heures
Poids : 115 g
Taille : 106 x 47 x 22 mm
Fréquences : UMTS / 900 / 1 800 / 1 900
Résolution d’écran : 320 x 240 pixels
E-mail : oui
Connexions : GPRS / WAP / Bluetooth / USB / infrarouge
Mémoire : 64 MB
Appareil photo : oui
PLUS : appareil photo Cybershot 3,2 mégapixels avec
autofocus
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nouveaux gsm et accessoires
1414
Vous voyagez régulièrement à l’étranger
et souhaitez bénéficier des tarifs avanta-
geux pour y consulter vos e-mails et utili-
ser vos applications mobiles d’entreprise ?
Dans ce cas, le Vodafone Data Roaming
Bundle est aussi précieux que votre pas-
seport. Grâce à ce forfait, vous disposez,
pour ¤ 75 par mois (hors TVA), d’un volu-
me de transfert de données de 100 MB, à
utiliser sur les réseaux GPRS et UMTS de
Vodafone, dans une vingtaine de pays.
Au-delà de ce volume, vous payez un tarif
très avantageux par MB  supplémentaire
(¤ 2, hors TVA). Des engagements clairs et
sans surprises. Votre personne de contact
Proximus vous renseignera volontiers.
Bon voyage, en tout cas !
30 secondeS
« Now
boarding... »
15
Cabine téléphonique insonorisée
Dans de nombreux endroits, il n’est pas commode de
téléphoner à partir d’un GSM : celui qui téléphone est
dérangé par les bruits ambiants et ceux qui l’entourent
sont dérangés par sa con-
versation. Le Cell Zone
apporte une solution. Cette
cabine téléphonique a été
conçue spécialement pour
les utilisateurs de GSM. La
cabine est bien insonorisée,
de sorte que ni celui qui
téléphone, ni son entou-
rage ne sont dérangés. Une
solution idéale pour les
endroits bruyants et pour
les lieux où l’on apprécie le
calme et la discrétion.
Nokia Aeon
Le Nokia Aeon a beau n’être qu’un prototype, il est parti-
culièrement séduisant. Sa particularité : un écran LCD sans
marge, qui couvre toute la surface de
l’appareil. Reste à savoir s’il sera un
jour mis en production.
Le niveau de l’eau indique l’état de
la batterie
Le N702 du Japonais NTT DoCoMo propose un économi-
seur d’écran pour le moins original : une image d’eau
dans un verre ou une bouteille. Le niveau de l’eau
indique le niveau de chargement de la batterie : moins
il y a d’eau, plus la batterie est déchargée. Ce ne serait
pas si extraordinaire, en soi, si l’« eau » ne réagissait aux
mouvements de l’appareil. Grâce à un capteur intégré de
mouvements, le niveau de l’eau reste horizontal, même
lorsque le GSM penche.
Identification colorée de l’appelant
Certains téléphones vous permettent d’attribuer une sonne-
rie distincte à certains contacts ou groupes, pour directement
les identifier. Celui-ci fait de même, mais remplace la sonne-
rie par une couleur. Le nombre de couleurs reste cependant
limité à quatre : rouge, vert, pourpre et bleu. On peut ainsi
attribuer une couleur à une personne ou un groupe.
Téléphone mobile en braille
Pour les malvoyants, il n’est pas évident de manipuler
un téléphone mobile. Grâce à ce prototype, Samsung
veut leur prêter main
forte. Au sens littéral,
car cet appareil leur
permet de rédiger et
de lire des textes en
braille, grâce à des
touches spéciales. Il
reste pour l’instant
un concept, mais
Samsung espère le
commercialiser un
jour.
Coup d'œil 	
vers l'avenir
Admirez le design futuriste des appareils ci-dessous.
Qui sait, peut-être en utiliserons-nous tous,
dans un avenir plus ou moins proche ?
Ils constituent des concepts et des prototypes fascinants qui
témoignent de l’évolution des portables et des accessoires.
Tendances mobiles
16
« Nous disposons de peu de données probantes dans le
domaine d’étude des infections respiratoires », expose
Geert Bourgeois, de Bayer. Geert Bourgeois, Group Product
Manager Anti-Infectives, cherchait une solution pour inter-
roger les pneumologues de manière rapide et conviviale au
sujet de la maladie. Il l’a trouvée dans la collaboration avec
Euremis, une filiale de Proximus.
Une solution totale mobile
Euremis est axée sur la conception de solutions mobiles pour
PDA. Maurits van den Eynde, chef de projet chez Euremis
Pharma Division : « Le PDA réunit le meilleur de deux mon-
des : il allie le côté pratique du GSM à l’environnement PC
du portable. Chez Euremis, nous développons des logiciels
spécifiques, à la mesure du client et du projet, mais nous
testons également tous les PDA du marché. Nous savons
ainsi quel modèle convient le mieux à nos applications. Nous
avons plusieurs raisons de recommander le réseau Proximus
à nos clients : il offre une large couverture et un réseau
d’une grande fiabilité. De plus, Proximus propose des tarifs
spéciaux très avantageux pour les données. »
Savoir partagé = savoir renforcé
La solution mobile conçue par Bayer, en collaboration
avec Euremis, fonctionne comme suit : les pneumologues
participants reçoivent un PDA en prêt (Qtek 9000 ou Mio
A701). Au début de chaque mois, Euremis leur envoie un
SMS pour les inviter à synchroniser leur PDA. Il leur suffit
de cliquer sur le logo B-Aware, dans le menu du PDA. Lors
de la synchronisation, un questionnaire leur est envoyé par
GPRS, puis la connexion est coupée dès la fin du transfert
de données. Chaque enquête aborde un sujet déterminé.
Les médecins choisissent librement le moment auquel ils
répondent sur leur PDA à la liste de questions fermées (via
des menus déroulants) et aux quelques questions ouvertes.
Pour envoyer leurs réponses à Bayer, ils cliquent de nou-
veau sur le bouton de synchronisation. Après traitement des
réponses, Bayer leur envoie un « Report Summary » à la fin
du mois, toujours selon la même méthode (un SMS les invite
à synchroniser leur PDA).
Pour l’instant, quelque 25 pneumologues y participent, mais
le groupe va passer à 45. L’essai, d’une durée de deux ans,
a déjà livré des résultats surprenants. Geert Bourgeois : « De
grandes disparités sont apparues dans l’examen du patient
et l’analyse du syndrome, aussi bien entre les médecins
Parfaire ses connaissances et les partager entre
experts médicaux devient une démarche de plus
en plus précise et rapide, grâce au logiciel fait
sur mesure pour les PDA et au fameux réseau
GPRS de Proximus. Bayer et Euremis ont mis au
point une enquête sur PDA, en collaboration avec
Proximus. Le projet pilote « B-Aware » suscite
l’enthousiasme des médecins participants et
profite à la science.
Une solution mobile unique pour Bayer HealthCare  
Un savoir médical    
PDA, via le GPRS
17
qu’entre les régions. D’où l’utilité de faire part des résul-
tats de l’enquête aux médecins : cela permet à chacun de
confronter sa perception de la maladie à celle de leurs con-
frères. Nous n’avons pas choisi par hasard le nom du projet,	
B-Aware : le but est de renforcer la sensibilisation. »
Discret et sans surcroît de travail
Patrick Libotton, marketing manager de Bayer HealthCare,
résume les avantages de la méthode pour son entreprise :
« Il s’agit avant tout d’un service rendu aux spécialistes.
Nous répertorions des données et améliorons la perception
d’une maladie qui évoluait, jusqu’à présent, dans une zone
d’ombre. Le médecin apprécie cette nouvelle méthode dis-
crète, qui lui permet de choisir le moment auquel il répond
à l’enquête par PDA, sans surcharger son emploi du temps.
Plus besoin de consacrer une heure à recevoir un enquêteur
chez soi. »
Vu que le transfert de données s’opère via le réseau GPRS
de Proximus, peu importe où se trouve le médecin. « Grâce
au roaming par GPRS au sein du réseau Vodafone d’une
vingtaine de pays, le médecin peut tout aussi bien recevoir
et remplir l’enquête pendant un congrès à l’étranger »,
ajoute Maurits Van den Eynde. Et de préciser qu’il s’agit d’un
système tout à fait fermé et que l’enquête électronique est
sécurisée par une série de systèmes d’encryptage et de mots
de passe, qui préservent la confidentialité des données.
Un fondement scientifique
Des pneumologues de toutes les universités belges y par-
ticipent et les questionnaires envoyés sont rédigés en col-
laboration avec un comité consultatif du Gasthuisberg, K.U.
Leuven. Patrick Libotton : « Les milieux universitaires sont
demandeurs pour en savoir plus sur certaines maladies,
surtout si les informations reçues sont structurées et pro-
viennent d’un groupe statistiquement significatif. Ce genre
de projet renforce également l’image novatrice de notre
entreprise. Dans le secteur pharmaceutique, l’innovation
constitue l’un des maîtres mots et nous prenons volontiers la
tête de ce genre d’initiatives. A la seule condition que nous
soyons assurés qu’elles fonctionnent. Nous avons donc tenu
à vérifier qu’Euremis se servait d’une technologie éprouvée
et que les applications PDA mises au point avaient déjà fait
leurs preuves dans d’autres secteurs. »
Euremis
Euremis (établi à Braine-l’Alleud) a été fondé en 2002
et conçoit des solutions mobiles basées sur la techno-
logie PDA. En octobre, Euremis est devenu une filiale
de Proximus. Le rachat d’Euremis permet à Proximus
d’encore mieux répondre aux besoins changeants de
ses clients et d’étoffer sa gamme de produits en pro-
posant des solutions totales mobiles à la fois novatrices
et efficaces. 
Ces solutions reposent sur une technologie conviviale et
performante, et sont de plus en plus utilisées par des
entreprises de différentes branches d’activités (biens
de consommation rapide, secteur pharmaceutique, etc.)
pour accroître la productivité du personnel et activer la
rentabilisation des investissements.
Vitesse accélérée et multiplication
­des applications
Selon Maurits Van den Eynde, d’Euremis, la possibilité
d’envoyer une enquête électronique et d’y répondre sur
PDA ne constitue que la partie visible de l’iceberg. Ce
genre d’enquêtes peut évidemment s’appliquer à d’autres
domaines médicaux. On peut même envisager d’autres
applications. Le débit hyper rapide du nouveau réseau
HSDPA permet, par exemple, d’envoyer rapidement et faci-
lement des vidéos didactiques. Euremis envisage d’ailleurs
l’envoi de clips de 20 secondes au personnel médical, pour
illustrer, par exemple, la manière exacte d’administrer un
nouveau médicament. « Ce serait nettement plus efficace
que d’envoyer un manuel compliqué ou d’organiser une
formation », assure Maurits Van den Eynde.
    partagé grâce à des enquêtes sur
Bayer
Le groupe Bayer se compose de trois branches :
HealthCare, CropScience et Material Science, et emploie
93 700 personnes dans le monde, dont 1 516 en
Belgique.
BayerHealthCare se subdivise en Pharmaceuticals,
Diabetes Care, Consumer Care et Animal Health. Le
projet data relatif aux PDA porte sur les anti-infectieux,
un domaine de Pharmaceuticals.
Témoignage
18
Touslesacteursdusecteur,qu’ilssoientfabricantsd’appareils
mobiles, acteurs de l’industrie de la musique ou opérateurs
mobiles, en tant que prestataires de services, s’efforcent
de rendre la musique mobile. On pouvait déjà écouter de
la musique (MP3) sur certains téléphones mobiles, mais
depuis un an, presque chaque marque a sorti un appareil,
voire une série d’appareils spécialement vendus comme
« musicophones ». Le Rokr de Motorola compte parmi les
premiers. Sony Ericsson a lancé à peu près en même temps
une série de GSM-walkman, et Nokia et Samsung viennent
à leur tour de lancer des portables axés sur la musique.
La capacité de stockage comme solution
Jusqu’il y a peu, la mémoire disponible constituait une gros-
se pierre d’achoppement pour les GSM musicaux. Depuis,
des portables de plusieurs gigas sont apparus et une carte
mémoire peut être ajoutée à la plupart des appareils. Autre
souci : comment charger la musique ? Cela peut se faire par
le biais d’un ordinateur, mais le plus logique consiste évi-
demment à utiliser une connexion mobile, pour laquelle il
existe entre autres la technologie OTA (« Over the Air »).
Vers une offre intégrée
Pour cette dernière raison surtout, une collaboration
s’impose entre les fabricants de GSM, le monde de la
musique, les opérateurs mobiles et une société qui déve-
loppe concrètement le service. Le transfert de musique via
le réseau GSM vers l'appareil portable de l’utilisateur final
doit en effet se faire en toute légalité. Certains tentent ici
de jouer un rôle plus qu’actif. Nokia, par exemple. L’été
dernier, l’entreprise a acheté Loudeye, un distributeur de
musique en ligne. Une démarche logique pour Nokia, vu
que l’entreprise aura vendu, selon ses dires, quelque 80
millions de GSM musicaux cette année, bien plus que les
iPod d'Apple. En 2007, Nokia compte proposer une offre
intégrée. La rumeur dit qu'Apple aimerait également ouvrir
un volet mobile de sa boutique en ligne d’iTunes.
La musique mobile con-
stitue l’un des « sujets
brûlants » du monde des
télécoms. Il n’est pas
sûr que le phénomène
s’embrase réellement,
mais la quasi-totalité des
intervenants font tout
pour assurer la percée de
la musique mobile. Jetons
un œil sur les différents
scénarios par lesquels
l’industrie du GSM et celle
de la musique tentent de
répondre aux besoins du
client.
La musique mobile : passade ou tendance réelle ?
L’industrie du GSM
19
Ne pas rater le train
L’industrie de la musique compte bien aussi surfer sur la nou-
velle vague de la musique mobile. Elle a déjà manqué deux
occasions : la première sur l’Internet et l’autre quand les
sonneries ont pris leur essor. Sur ces deux fronts, l’industrie
de la musique a perdu beaucoup d’argent en ne suivant pas
la tendance. Cette fois, les grandes entreprises de la musique
veulent donc sauter au plus vite à bord du train.
Les opérateurs mobiles voient eux aussi leur intérêt dans
la musique mobile. Non seulement dans les recettes que
peut générer la vente de musiques, mais aussi du fait
des transferts de données qu’elle suppose. Ici encore, des
entreprises veulent jouer un rôle majeur dans le processus.
L’opérateur britannique O2 sponsorise à grands frais, depuis
l’an dernier, l’extension d’une nouvelle salle de concert au
Millenium Dome, que l’on baptisera O2. L’opérateur a déjà
conclu un accord avec le groupe Universal Music pour gérer
les droits sur la musique de cette maison. En Corée, certains
opérateurs vont même plus loin : ils achètent des maisons
de disques pour posséder ainsi toute la chaîne.
Téléchargements musicaux sur GSM
Les différents acteurs du marché prennent donc clairement
position. Reste à voir si le consommateur suivra. Après le
succès des lecteurs MP3, ce consommateur voudra certai-
nement écouter de la musique de façon mobile. Pour le
faire à partir d’un GSM, il faut cependant franchir certains
seuils. Bien que les GSM musicaux tiennent de plus en plus
du lecteur MP3, ils ne possèdent pas encore l’aura d’un
« vrai » lecteur de musique. Pour nombre d’utilisateurs,
le téléphone mobile sert avant tout à communiquer, et il
n’est pas évident qu’ils s’en servent également pour écou-
ter de la musique. Le téléchargement de musique via le
réseau mobile constitue un seuil encore plus élevé. Même
si l’utilisateur de GSM possède un abonnement data à prix
fixe, il est encore limité, chez la plupart des opérateurs,
par un plafond. Et pour le consommateur lambda, qui ne
transfère pas beaucoup d’autres données que la musique,
l’addition se révèle lourde, pour de simples télécharge-
ments musicaux.
Station de radio personnalisée sur GSM
C’est la raison qui a poussé certains opérateurs à lancer
une sorte de service d’« abonnement ». Comme O2 et son
Music Service : l’utilisateur peut acheter de la musique
aussi bien à partir de son PC et d’une connexion Internet
normale, qu’à partir de certains portables sélectionnés. Un
autre modèle est utilisé pour proposer une sorte de service
radio via le téléphone mobile. O2 formule également des
projets dans ce domaine, avec sa Visual Radio. Cette col-
laboration avec Virgin Radio vise à offrir une valeur ajoutée
aux auditeurs mobiles : pendant qu’ils écoutent la radio, ils
peuvent recevoir des informations et des images au sujet
du programme, sur un Nokia adapté.
En Angleterre, Vodafone projette même d’aller plus loin.
L’opérateur offrirait, avec le service Radio DJ, une station
de radio personnalisée, comme il en existe déjà plusieurs
sur Internet. L’utilisateur indique au départ quelques pré-
férences, un genre, par exemple. En écoutant la musique,
il peut ensuite attribuer une cote aux titres, de sorte que
le système adapte la musique en fonction des goûts de
l’utilisateur en question.
Un succès au présent ?
Si intéressants que semblent les modèles précités, il ne
sera pas évident de faire payer un montant mensuel aux
utilisateurs, pour un service qu’ils ne peuvent utiliser que
sur leur téléphone portable. Les analystes formulent donc
des prévisions contradictoires : certains affichent des chif-
fres selon lesquels la musique mobile serait déjà un succès
aujourd'hui, tandis que d’autres restent plutôt sceptiques et
n’escomptent pas une percée avant quelques années.
 GSM s’associe au secteur de la musique  
Tendances mobiles
20
Alfacam fournit des facilités au monde de la télévision et a
acquis, en une vingtaine d’années, un statut d’acteur mondi-
al. Proximus a invité son fleetmanager Kevin Couvreur à équi-
per les collaborateurs d’Alfacam, lors des Jeux Olympiques
d’hiver de Turin, de quelques appareils compatibles avec
la technologie Push E-mail, pour leur en faire découvrir les
avantages. Pour une entreprise telle qu’Alfacam, le travail
mobile constitue un impératif. « Nonante pour cent du temps,
le personnel d’Alfacam se trouve à l’étranger ; la société
preste des services dans de nombreux pays européens, mais
réalise également des projets en Russie, en Arabie Saoudite,
en Chine… Le GSM est devenu pour nous un outil indispen-
sable », assure le fleetmanager Kevin Couvreur. « Quand
nos techniciens travaillent autour d’un stade de foot
ou d’une salle de concert, par exemple, ils restent
en contact par GSM. Notre personnel est souvent
parti pendant des semaines ou des mois, donc
le GSM permet également de garder le contact
avec le pays. »
Bilan positif
Kevin Couvreur connaissait évidem-
ment depuis un certain temps la
technologie montante Push E-mail,
mais affichait une certaine réserve.
« Je n’aime pas adopter trop vite
de nouvelles applications, je pré-
fère attendre qu’elles aient fait
leurs maladies de jeunesse. En
tant que fleetmanager, je donne
la priorité à la tranquillité : je tiens
à ce que de nouvelles applications
fonctionnent et à ce que les systèmes
restent stables. Rien de plus ennuyeux
que de recevoir, le soir, un appel d’un col-
laborateur paniqué parce que l’une ou l’autre
application ne fonctionne pas. Le « friendly
user test » était donc le bienvenu : nous avons
pu essayer sans risques l’application complète
qu’est Push E-mail. »
Comme d’autres fleetmanagers, Kevin Couvreur, d’Alfacam, avait
entendu beaucoup de bien de Push E-mail. Mais que dit la pratique ?
Un « friendly user test » l’a convaincu, ainsi que ses patrons.
         Un essai de Push E-mail convainc Alfacam
« La technologie « push »
21
Le bilan est positif ; quatre collaborateurs sur cinq à Turin ont
estimé que les appareils et la fonction Push E-mail appor-
taient une valeur ajoutée. « L’un de nos collaborateurs, en
séjour à l’étranger, avait un jour oublié les coordonnées
de son vol. Il a appelé notre responsable du Planning, qui
a ouvert son Nokia. Il a trouvé les informations parmi les
derniers e-mails et les a directement envoyées. Je n’ai
d’ailleurs entendu que des éloges au sujet de Push E-mail,
les utilisateurs critiquaient plus les portables. La durée de
vie de la batterie semble constituer un frein, d’autant plus
que notre personnel travaille parfois dans des endroits
reculés. Le fait que ces smartphones conservent ou non le
« look  feel » d’un vrai GSM semble également importer.
A cela s’ajoute encore le choix auquel je suis confronté en
tant que fleetmanager : quel système d’exploitation choisir,
Symbian ou Windows ? »
Proximus : seul opérateur à offrir un tel
choix de solutions
Proximus a été le premier opérateur à lancer la technologie
Push E-mail en Belgique et est le seul à offrir une telle
variété de solutions Push E-mail, quel que soit l’appareil
que vous utilisiez (GSM, PDA, BlackBerry®) et le logiciel
dont vous disposiez. Les grandes entreprises, souvent
dotées de leur propre serveur d’e-mail, peuvent choisir
entre le BlackBerry Enterprise Server, Windows Mobile from
Vodafone ou Vodafone Direct E-mail Enterprise, selon les
portables utilisés, l’infrastructure de base disponible et les
besoins en matière de sécurité et de « remote manage-
ment ».  
La direction d’emblée convaincue
Chez Alfacam, Kevin Couvreur a opté, après l’essai fruc-
tueux, pour le Nokia 9300 combiné à Vodafone Direct
E-mail Enterprise. Dans un premier temps, la direction
de l’entreprise a été équipée de la technologie « push ».
Le fondateur et CEO Gabriël Fehervari et la gérante Karin
Stoop utilisent un Nokia 9300 équipé de Push E-mail, de
même que l’operational manager et le responsable plan-
ning d’Alfacam. Kevin Couvreur estime qu’une nouvelle
technologie a plus de chances d’être adoptée si la direction
en constate concrètement les avantages.
Alfacam
Alfacam, société 100 % belge de renommée inter-
nationale, possède des studios d’enregistrement, du
personnel de studio, des cameramen et des voitu-
res de régie et satellite. Dans ses studios de Lint,
on réalise entre autres « Steracteur/Sterartiest » et 	
« 1 Jaar Gratis ». TMF y occupe un studio permanent
et la nouvelle chaîne culturelle EXQI y a son port
d’attache. Les 24 voitures de reportage d’Alfacam
assurent entre autres les retransmissions télévisées
de concerts de stars pop et de la Coupe du monde de 	
football. Alfacam emploie 65 collaborateurs et fait
appel à un large fichier d’indépendants.
Opportunités commerciales
Pour l’heure, Push E-mail a déjà prouvé à maintes reprises
son utilité. La possibilité d’accéder de façon immédiate
et permanente aux e-mails et à l’agenda crée des oppor-
tunités commerciales et renforce l’efficacité opération-
nelle de l’entreprise. Push E-mail est déjà venu bien à point
également en termes de services aux clients potentiels.
« Juste avant de s’envoler pour la Russie, notre operational
manager a reçu par Push E-mail une demande de devis. Il
y a travaillé sur son portable pendant le vol, a envoyé le
devis par infrarouge vers son GSM après l’atterrissage et a
directement envoyé l’e-mail. Une expérience de ce genre
est assez probante. »
La convivialité comme atout majeur
En tant que fleetmanager, Kevin Couvreur apprécie le fait
que l’installation reste simple et ponctuelle : on installe
un petit programme, on définit un mot de passe et c’est
parti ! « C’est vrai que cela soulage. Je remarque également
la convivialité du système : vous pouvez faire glisser un
contact à partir d’Outlook vers l’e-mail, joindre les annexes
et envoyer le tout, même depuis l’étranger. C’est pra-
tique pour le technicien qui a besoin d’urgence d’un code
d’activation, des numéros de série de caméras... En d’autres
termes, l’entreprise gagne en efficacité. »
  renforce l’efficacité »
Témoignage
22
Les entreprises qui ont acheté des ordinateurs de bureau
ces dernières années n’ont pas vraiment cherché à différen-
cier les utilisateurs. Même ordinateur pour tout le monde,
même si l’on n’utilise pas les mêmes applications ou on
n’emploie pas l’ordinateur de façon aussi intensive. Parce
qu’il faut tenir compte des utilisateurs les plus intensifs,
cela signifie généralement qu’une majorité reçoit en fait
un ordinateur bien trop performant. La logique : le surcoût
que représente l’entretien de différents types de PC dépasse
l’économie que l’on réaliserait en achetant des ordinateurs
moins puissants pour certains. Jusqu’à présent, on applique
en général la même logique pour l’achat de téléphones
mobiles. La majorité des collaborateurs mobiles reçoit un
notebook et un GSM identiques. Si l’on ajoute, à propos de
ce dernier, l’avantage de pouvoir uniformiser le carkit, le
choix est devenu très restreint.
Subdivision en catégories
Selon le bureau d’études Quocirca, l’achat de téléphones
mobiles appelle aujourd'hui une autre stratégie. Le choix du
bon appareil devient de plus en plus complexe, à mesure
que les PDA et les smartphones accèdent au réseau de
l’entreprise. Quocirca conseille de choisir l’appareil en fonc-
tion du type d’applications que nécessite l’entreprise, mais
aussi de considérer individuellement chaque utilisateur.
Plutôt que d’acheter le même appareil pour tout le monde,
les entreprises devraient commencer par cerner les rôles,
les procédés et les besoins techniques, dans le cadre de
leur stratégie sans fil. Elles choisiraient ensuite l’appareil
adéquat en tenant compte des contraintes budgétaires.
A mesure que les appli-
cations mobiles gagnent
en importance au sein
de l’entreprise, le choix
du bon GSM prend de
l’importance. Plus question
de choisir un même appa-
reil pour tous vos collabo-
rateurs. Le bureau d’études
Quocirca établit une série
de profils d’utilisateurs,
pour aider le gestionnaire
de parc.
Un parc GSM diversifié en fonction des applications  
Choisir le bon GSM
23
MOBILE E-MAIL
De quelles applications mobiles avons-
nous besoin ?
Il faut commencer, affirme Quocirca, par cerner les catégo-
ries d’applications mobiles utiles à l’entreprise. Ceci afin de
définir précisément les applications qui sont indispensa-
bles à certains départements ou profils d’utilisateurs. Une
approche logique des différentes catégories donne une
vue d’ensemble tant de l’aspect télécommunications qu’IT.
Elle permet également d’estimer l’impact opérationnel, les
coûts et les avantages.
Eléments à prendre en considération
Quocirca distingue différents groupes d’applications :
n	Services à valeur ajoutée à travers le réseau : l’opérateur
mobile ajoute une série de services de base au réseau.
On entend par là, entre autres : gain de qualité du ser-
vice, fonctions sécuritaires (« virtual private networks »),
équipes « business intelligence » qui expliquent en détail
le fonctionnement du réseau, et service clientèle ou
d’appui. Ces services assurent une valeur ajoutée et un
contrôle renforcé aux départements IT et financer, mais
contribuent peu à modifier ou à améliorer les procédés
de l’entreprise.
n	Services vocaux améliorés : les téléphones mobiles
s’avèrent très pratiques pour téléphoner, mais les appels
manqués ou les boîtes vocales coûtent cher aux entre-
prises. Pour améliorer les services vocaux, pas besoin de
téléphones coûteux ni compliqués. On peut, par exemple,
faciliter les conférences téléphoniques, indiquer si la per-
sonne à appeler est déjà en ligne, assurer des services de
boîte vocale ou texte en services vocaux. Ces éléments
peuvent être intégrés dans l’infrastructure sans affecter
les appareils.
n	Communication et collaboration : l’e-mail mobile est
probablement devenu l’application qui offre la valeur la
plus tangible pour l’entreprise. Il est devenu un outil de
travail incontournable. L’usage de l’e-mail est aujourd'hui
si généralisé qu’une absence de réponse à un e-mail
ralentit les procédés de l’entreprise. L’e-mail mobile
réduit le cycle décisionnel à un rapide coup d’œil dans la
boîte de réception et à une réponse. Comme l’ont montré
les premières applications sur BlackBerry®, l’e-mail
mobile révèle tous ses avantages dans les fonctions où
une réponse rapide présente le plus de valeur ajoutée.
n	Client/serveur mobile : il est utile à plus d’un égard
d’avoir accès à distance aux données de l’entreprise. Les
applications horizontales, telles que « sales force automa-
tion » et « field service management » offrent toutefois
le maximum d’avantages. A condition d’être bien mises
en œuvre, ces applications présentent le grand avantage
d’offrir un accès immédiat aux données de l’entreprise.
Résultat : des décisions plus rapides pour les clients – leur
satisfaction augmente – et des déplacements limités
– vos coûts diminuent. L’impact est direct sur les person-
nes concernées. Ce genre d’application convient bien aux
projets pilotes sans fil et aux exécutions complètes.
n	Communication de machine à machine (M2M) : il s’agit
de nouvelles manières d’utiliser une connexion sans fil
pour rapatrier vers l’entreprise des données depuis un
lieu distant déterminé. Qu’il s’agisse de lieux risqués, dif-
ficiles d’accès, ou de destinations trop coûteuses pour y
envoyer quelqu’un. Les entreprises peuvent ainsi récolter
des données précieuses et précises sur leurs outils, en
économisant du temps et des dépenses, et en accélérant
la prise de décisions judicieuses.
n	Réception de contenus : dans ce cadre, on pense en
général aux consommateurs qui téléchargent des con-
tenus, mais les travailleurs mobiles peuvent également
connaître des besoins de cet ordre. Même sur la route, on
a souvent besoin de consulter des documents internes,
de recevoir des versions actualisées, des nouvelles inter-
nes…
Tendances mobiles
24
L’Amérique latine compte au total plus de 200 mil-
lions d’abonnés mobiles et leur nombre augmente
par dizaines de pour cent depuis un bon moment.
On observe toutefois de grandes disparités d’un
pays à l’autre.
Le Brésil dans le groupe de tête
Le record est détenu par le Brésil, qui compte 95
millions d’utilisateurs, soit un taux d’utilisation
de 50 %. Pas moins de 40 opérateurs mobiles
y sont actifs et quasiment toutes les normes de
téléphonie mobile y sont exploitées, même si la norme
GSM domine le marché. La couverture de ces réseaux se
limite cependant aux régions les plus peuplées ; la forêt
amazonienne constitue littéralement une zone aveugle sur
la carte. Le constat vaut d’ailleurs également pour les autres
pays d’Amérique latine. Le succès des cartes prépayées,
adoptées par la majorité des Brésiliens, peut lui aussi être
généralisé au reste du continent. Malgré la différence de
langue avec les voisins, le Brésil donne souvent le ton
pour tout le continent : on y lance souvent en primeur les
nouveaux services tels que les téléchargements musicaux
ou la vidéo mobile. Le groupe de tête comprend encore le
Mexique, la Colombie et l’Argentine, trois pays où le taux
d'utilisation oscille autour de 50 %. Au Venezuela et au
Chili, le pourcentage avoisine même 70 %. Dans les autres
pays, l’offre n’est pas encore aussi développée et le nom-
bre d’utilisateurs est inférieur.
Cas à part
Les nombreux archipels que compte la région forment
autant de cas à part. Leur nombre d’abonnés est et reste
faible, mais le taux d’utilisation varie de 90 % (Aruba et
La téléphonie mobile prospère
depuis quelques années déjà sur
le continent latino-américain. Ce
succès s’explique par la popula-
tion jeune, l’économie florissante
qui touche de nombreux pays et
les manquements de la télépho-
nie fixe. La révolution mobile en
est une qui, pour une fois, s’est
faite de façon paisible et sans
effusion de sang. Mais elle a mal-
gré tout fait des victimes.
L’Amérique latine
se soumettrait
volontiers à la
révolution mobile
25
Antilles néerlandaises) à 50 % (Sainte-Lucie, Saint-Vincent
et Trinité). En queue de liste, on retrouve la République
dominicaine, Haïti et Cuba.
La révolution du GSM
La proximité des Etats-Unis s’est clairement fait sentir
dans le domaine de la mobilophonie en Amérique latine.
Quelques entreprises américaines de télécoms étaient ou
sont encore actives en Amérique latine et y ont apporté leur
propre technologie. Les premiers réseaux de téléphonie
mobile reposaient donc sur la technologie CDMA et TDMA,
courante aux Etats-Unis. L’arrivée d’opérateurs latino-amé-
ricains a cependant fait pencher la balance en faveur de la
norme GSM. Ainsi, contre 4 pays dotés d’un réseau GSM en
1999, on en dénombrait 36 en 2003. La norme TDMA en a
été la première victime. En 2003, seulement 6 opérateurs
sont passés d’un réseau TDMA à la norme plus moderne
CDMA, tandis que 32 opérateurs ont opté pour les réseaux
GSM/GPRS. Le GSM avait clairement le vent en poupe car
les opérateurs qui ont persévéré dans la norme TDMA ont
même perdu des abonnés. En juin de cette année, les parts
de marché s’élevaient respectivement à 63 % pour le GSM
(800 / 900 et 1 800/1 900 MHz), 22 % pour le TDMA et	
14 % pour le CDMA.
Le prochain défi consistera à faire face à l’arrivée des
réseaux 3G. La plupart des opérateurs mobiles rechignent à
passer au W-CDMA, vu les investissements consentis dans
les réseaux GSM, GPRS ou EDGE actuels.
Des airs d’Europe
Cette transition vers la norme GSM était et reste liée
aux racines des grands opérateurs mobiles présents en
Amérique latine. Movistar, numéro 1 au Chili, au Venezuela
et au Pérou, entre autres, et numéro 2 au Mexique,
appartient à l’opérateur espagnol Telefónica. Autre acteur
majeur : América Móvil, numéro 1 au Mexique et présent
dans six autres pays, dont le Chili et l’Argentine, totalise
93,3 millions d’abonnés en Amérique latine. Au Brésil, il
est cependant devancé par deux autres concurrents : Vivo,
une co-entreprise entre Telefónica et Telecom Portugal, et
TIM Brazil, propriété de Telecom Italia. A ceux-là s’ajoutent
des dizaines d’opérateurs mobiles de petite taille. Souvent,
il s’agit des anciennes compagnies publiques de téléphonie
ou de sociétés détenues par des fonds de capital à risque.
Assez étonnamment, les opérateurs mobiles américains
brillent par leur absence : il n’y a qu’à Puerto Rico que
Verizon Wireless et Cingular jouent un rôle significatif. Sur
de nombreuses îles, Cable  Wireless détenait ou détient
un monopole, que les autorités locales tentent de faire
disparaître.
Il ne manque plus que les bénéfices
Les chiffres de croissance annoncés plus haut n’excluent
toutefois pas certains problèmes potentiels. Selon certains
analystes, le marché aurait déjà atteint son apogée et	
il ne faut plus espérer des taux de croissance de 50 à	
100 % par an. Ils affirment même que les ventes de
portables devraient plutôt diminuer. Le peu ou l’absence
de bénéfices que réalisent la plupart des opérateurs con-
stitue un autre problème. En cause, le faible revenu par
utilisateur. En Amérique latine, on téléphone en moyenne	
31 minutes par abonné par mois, contre 76 minutes en
Europe de l’Est, par exemple. De nombreux opérateurs
cherchent donc de nouvelles sources de revenus, comme
le « mobile banking » par exemple, mais la tâche semble
pour l’instant ardue.
monde mobile
26
une activité qui ne doit pas être liée à un lieu
précis », affirment Grégoire van Cutsem et
Peter Joos (pour une présentation complète
de Wireless Office, voir page 4).
N’attendez pas pour essayer
La vitesse de transfert de données prend tou-
jours plus d’importance. Le nouveau réseau
3G Haut Débit (HSDPA) de Proximus place la barre encore
plus haut en matière de vitesse de téléchargement : à
la vitesse maximale, vous téléchargez un clip vidéo de 4
minutes (9 MB) en 60 secondes, et un e-mail contenant une
présentation d’entreprise de 3 MB en 20 secondes ! Armé
d’un portable et d’un GSM, vous disposez de possibilités
infinies pour travailler de manière mobile.
Jan Callewaert, CEO d’Option, évoquait, dans son exposé
au Corporate Event, la tendance de l’ « embedded techno-
logy », le fait que les fabricants de portables et de cartes
data intègrent déjà dans leurs produits la technologie 3G
Haut Débit. Plus besoin de mise à niveau : en achetant un
nouveau portable, la dernière technologie mobile sera très
probablement intégrée (« embedded »). Jan Callewaert a
même affirmé sans embages que le 3G Haut Débit était
devenu une réalité.  « Il existe déjà 120 réseaux dans le
monde entier et le HSUPA – upload à haut débit – s’est
déjà concrétisé. » Le défi réside dans le seamless ubiquity :
tous les réseaux et applications doivent pouvoir fonctionner
conjointement sans faille ; la « common connectivity »
devient le nouveau mot d’ordre. Jan Callewaert :	
« D’ici cinq à dix ans, la mobilité sans fil sera reine
dans le monde des entreprises. Mais plutôt que
d’attendre les technologies à venir, essayez-vous
déjà aux solutions qui existent. »
Au-delà des frontières
Pour les entreprises, la possibilité d’accélérer le travail
mobile va de pair avec le travail par-delà les frontières.
C’est ici que les clients corporate profitent de la force du
réseau Vodafone : les accords de roaming conclus avec 47
opérateurs dans 34 pays permettent d’assurer une couver-
ture sur 98 % du globe. En tant que partenaire Vodafone,
Proximus propose d’ailleurs des formules tarifaires simples
et prévisibles, pour la voix (Vodafone World) comme pour
les données (Vodafone Data Roaming Bundle).
Le titre « New Dimensions to Your Business »
en disait long sur le contenu : les participants
ont pu entendre les nouvelles tendances en
matière de communication mobile, ainsi que quel-
ques cas concrets (dont Dexia, Carlsberg Importers et TNT)
susceptibles de servir de références. Enfin, cet événement
corporate du mercredi 11 octobre 2006 a également permis
de rencontrer divers partenaires de Proximus dans le sec-
teur ICT, pour étendre son réseau de relations. La présence
de vingt partenaires, tous pionniers dans leur domaine,
illustrait d’ailleurs le rôle que joue Proximus, passé d’une
société de téléphonie pure à une entreprise qui offre une
valeur ajoutée en partenariat avec des spécialistes ICT.
Tendances en matière de communication
mobile
La « mobilité pour tous » constitue le slogan dans les milieux
ICT ; elle devient en effet un mode de vie. Grégoire van
Cutsem, responsable du service Marketing chez Proximus,
et Peter Joos, responsable de Corporate Sales, font cepen-
dant remarquer que l’offre actuelle est assez complexe
dans les télécoms et les transferts de données, avec une
foule de solutions et d’applications. Tout le contraire de ce
que demande le client : simplicité et convivialité. Les entre-
prises souhaitent de plus en plus externaliser la gestion des
flux de communication, afin de mieux se concentrer sur
leurs activités centrales. Qui dit externalisation, dit souci
des coûts. On s’attend non seulement à pouvoir maîtriser
ces coûts de télécommunications et transferts de données,
mais aussi à pouvoir les estimer : les entreprises veulent
pouvoir prédire les coûts avec exactitude.
Wireless Office : sauter dans le train
Wireless Office, la nouvelle solution mobile que Proximus
a présentée en primeur au Corporate Event, cadre parfai-
tement dans la tendance décrite plus haut. « Le travail est
Les clients corporate 	
reçoivent un aperçu 	
de l’avenir proche
Début octobre, Proximus a organisé un événement exclusif
pour ses clients corporate. Pendant toute une journée, ils ont
pu voir de quoi sera faite la communication mobile de
demain, avec des témoignages d’entreprises similai-
res venues étayer par des chiffres les possibilités
concrètes qu’offre le travail mobile. Vu le succès
de l’événement, voici une rétrospective rapide.
ook voor data (Vodafone Data Roaming Bundle).
CORPORATE EVENT
27
Jehan Snyers d’Attenhoven
(IT Manager chez Cherokee
International) :
« Cette journée était surtout intéressante pour se forger
une vision stratégique : les mouvements et l’évolution du
marché, la percée future du « wireless »... J’étudierai égale-
ment avec attention le nouveau Wireless Office. Trop sou-
vent, notre personnel de vente utilise le GSM au bureau,
où nous disposons également d’une ligne fixe. »
Günter Mollen (IT  Supply Chain Manager de
Glacio) : « Il appartient à notre Account Manager
chez Proximus de passer au crible les partenaires IT qui
proposent des applications susceptibles d’intéresser notre
entreprise. À nous ensuite d’y réfléchir – en tenant compte
du prix à payer. » Werner Van Springel (CFO de Glacio)
ajoute : « Un événement comme celui-ci, qui réunit un
grand nombre de partenaires de Proximus, est donc très
intéressant pour scanner le marché. »
Jacky Malschaert (Corporate Telecom  Accomodation
Manager, Philips Belgium) se joint aux remarques de ses
confrères de chez Glacio. « Je compte sur notre personne
de contact chez Proximus pour connaître l’offre du marché,
opérer un tri et me proposer les meilleures solutions. Cet
événement se révèle surtout intéressant pour resserrer
les liens informels au sein du secteur. J’ai bien enregistré
l’appel lancé par Jan Callewaert, d’Option. Le fait qu’un
leader de l’industrie nous encourage à surtout ne pas
attendre pour utiliser les applications mobiles constitue
un argument précieux pour défendre auprès de la
direction de nouveaux investissements dans les don-
nées mobiles. »  
Mobile Business Solutions a également recueilli
quelques réactions de telecom managers présents
au Corporate Event.
28
Afin de baisser vos coûts, Proximus facture dorénavant
ses clients corporate en fonction du temps et non plus du
volume. Ce changement se justifie par deux tendances.
Primo, de plus en plus de clients utilisent un volume crois-
sant de données. Cela paraît assez logique, vu le nombre
croissant de solutions mobiles axées sur les données que
l’on met à la disposition des entreprises. Secundo, les
vitesses de transfert de données ne cessent d’augmenter.
Les services mobiles de données font actuellement appel
à différents réseaux : le transfert de données peut s’ef-
fectuer par le réseau GPRS, EDGE, UMTS ou HSDPA. Chaque
nouveau réseau permet de surfer encore plus vite et de
télécharger encore plus de données en un temps toujours
plus court. Conclusion : comparé à il y a quelques années,
une entreprise peut télécharger plus de données en moins
de minutes.
Facturation à l’unité de temps :
plus avantageuse ?
La facturation à l’unité de temps se révèle, dans la plupart
des cas, nettement plus avantageuse, comme l’illustre
l’exemple ci-dessous. De plus, elle apparaît généralement
plus facile à évaluer, donc plus prévisible.
En quelques années, le volume mensuel de données que vous et vos collaborateurs
transférez de manière mobile a augmenté de façon exponentielle. Proximus vous pro-
pose donc de ne plus vous facturer ces transferts par unités de volume, mais par unités
de temps. Vu l’accélération considérable des transferts de données, cette transition se
révèle, pour la majorité des clients, une solution très avantageuse.
Les transferts de données se multiplient et s’accélèrent
Le décompte par unité de
temps souvent plus avantageux
Règles d’or
Pour savoir si vous avez intérêt à être facturé au volume
ou au temps, mieux vaut vous référer à votre personne de
contact habituelle chez Proximus. Il vaut souvent la peine
de se demander si vos collaborateurs doivent rester connec-
tés en permanence ou s’il suffit de transferts de données
concentrés à certaines heures.
On applique en général les règles suivantes :
Vous optez pour la facturation en unités de temps (à la
minute) pour
n	les connexions de données purement liées à des événe-
ments spécifiques ;  
n	le téléchargement de données dans un court laps de
temps.
Vous optez pour la facturation au volume (par MB) pour
n	les applications de données de machine à machine ;
n	les applications de données sophistiquées destinées aux
techniciens/personnel de maintenance (« Field Force
Management »).
  
i	Votre personne de contact chez Proximus vérifiera
volontiers avec vous si la facturation par unité de
temps vous avantage également, ou si vous avez
intérêt à être facturé au volume
Produits  services
29
30 secondes
70 fois
plus vite
5 ans
plus tard
La technologie n’est utile que si vous pouvez pleinement en profiter.
Comme le 3G Haut Débit, par le biais du réseau UMTS de Proximus. En cette
fin d’année 2006, le 3G Haut Débit est accessible à plus de 80 % de la
population belge. Ces derniers mois, la couverture s’est étendue de façon
aussi spectaculaire que la vitesse de téléchargement a augmenté. On
peut actuellement atteindre une vitesse maximale théorique de 3,6 Mbps.
Comparez avec le réseau GPRS, qui proposait, à son lancement durant
l’été 2001, une vitesse de... 54 kbps. Le transfert s’effectue maintenant
septante fois plus vite. Seulement cinq ans plus tard. Pour en savoir plus
sur la suite, surfez sur http://www.proximus.be/total_mobility.html
30
Presse mobile
Les Belges préfèrent le
mobile à la ligne fixe
Un quart des ménages belges possèdent un ou
plusieurs GSM à la maison, mais plus de ligne fixe.
C’est ce qui ressort d’une enquête d’Eurobaromè-
tre. Le rapport révèle encore que 17 % de nos
compatriotes ne disposent que d’une ligne fixe et
pas de GSM, tandis que 56 % des ménages utili-
sent les deux outils de communication.
Source : Inside
Rabobank opte résolument pour le M-payment
Rabobank a créé Rabo Mobiel, une filiale axée sur la conception de modes de
paiement mobiles, entre autres. La première application existe déjà : depuis la mi-
novembre, les clients de Rabobank peuvent déjà effectuer des opérations bancaires
à partir de leur GSM ; tout le site Internet de la banque est disponible sur téléphone
mobile. Prochainement, ils pourront également acheter des billets de train. Grâce
à une puce, ils pourront acheter leur billet en plaçant le GSM devant le distributeur
de tickets. Rabobank espère attirer l’an prochain jusqu’à 200 000 clients grâce à la
banque mobile.
Source : De Standaard
Un avenir sans fil et sans
interruption
Dans le cadre de la « Seamless Mobility » ou
mobilité sans interruption, Motorola vient de
présenter diverses applications expérimentales
qui montrent à quoi ressemblera le monde
mobile de demain. La navigation sans fil dans
les bus citadins constitue un premier exemple.
Elle s’effectue via le Mobile Network Gateway,
qui recherche le meilleur réseau WiFi dans les
environs du bus et le traduit en un réseau WiFi
à bord du bus. Motorola et France Telecom ont
également conçu un logiciel censé concrétiser
un passage sans faille d’un réseau à l’autre (du
WiFi à Edge, par exemple). Autre application
mobile évocatrice : la lecture par GSM de car-
tes de visite et la mise à jour automatique du
carnet d’adresses de votre portable. Motorola
signale en outre de nouvelles applications
en matière de reconnaissance vocale. Rien
que par la voix, vous pourriez ainsi deman-
der à votre GSM de chercher un numéro de
téléphone dans la base de données de votre
entreprise, lui dicter un SMS et l’envoyer direc-
tement à votre correspondant.
Source : De Standaard
Le HSPA, clé du succès du multimédia mobile
« Comme la norme GSM a autrefois servi de catalyseur
à la téléphonie cellulaire, le High Speed Packet Access
sera l’élément clé qui permettra à l’utilisateur final
d’accéder n’importe où et n’importe quand aux services
multimédias, à Internet et à la télévision. » C’est ce
qu’affirmait Carl-Henric Svanberg, CEO d’Ericsson, à la
réunion stratégique au sommet de l’entreprise à Tokyo,
à la mi-novembre. « Les opérateurs qui ont opté pour
la technologie HSPA ont fait le bon choix – ils disposent
de nombreux avantages par rapport aux concurrents qui
ont choisi d’autres solutions à haut débit. » Plus tôt dans
le mois, la Global Mobile Suppliers Association signalait
que 18 opérateurs dans le monde entier offraient au
total 58 services adaptés au HS(D)PA. Source : Cellular News
Actualité GSM 
internationale
récente
Mobile Business Solutions a
parcouru la presse nationale et
internationale à la recherche
d’événements marquants	
dans le secteur de	
la télécommunication mobile.
Proximus et Vodafone s’associent à Microsoft
Microsoft Windows Live Messenger, mieux connu sous le nom de MSN, est
maintenant aussi disponible via le réseau Proximus. Dorénavant, les utilisateurs
pourront, à partir de leur GSM, échanger des messages et partager des fichiers
avec d’autres utilisateurs de Windows Live Messenger (connectés sur PC ou sur un
GSM). Vodafone a annoncé une collaboration étroite avec Microsoft, le but étant
de concevoir ensemble des applications mobiles qui reposent sur la plate-forme
Windows Mobile. Dans les cinq ans à venir, Vodafone veut d’ailleurs se concentrer
sur trois plates-formes standard : Windows Mobile, Symbian/S60 et Linux.
Source : Cellular News
columnChronique mobile
MBS : « Quels sont, selon vous, les principaux résultats de l’enquête ? »
Rob Bamforth : « L’un des constats essentiels de notre enquête est que l’introduction de la technologie mobile – sous quel-
que forme que ce soit – ne doit pas forcément rester l’apanage de managers individuels ou de la direction IT, mais qu’il vaut
mieux impliquer toute l’entreprise. J’entends par là aussi bien la direction que le service du personnel, les chefs de services
des départements où la technologie sera introduite, sans oublier les collaborateurs concernés.
Chacun d’entre eux a en effet ses propres préoccupations. Les employés, par exemple, espèrent perdre moins de temps
dans les embouteillages ou mieux pouvoir répartir le travail sur la journée. Les « cadres moyens » peuvent, à leur tour,
se demander comment superviser leurs employés à distance, quelle autonomie ils peuvent et doivent recevoir, etc. La
direction de l’entreprise voit les choses de manière plus globale : quels sont les coûts totaux et quel est le ROI ? »
MBS : « Existe-t-il des règles d’or pour superviser du personnel à distance ? »
Rob Bamforth : « La plupart des entreprises adoptent facilement un système formalisé pour mesurer la productivité
des employés. C’est évidemment plus simple de le faire chez un technicien qui répare à domicile des machines
à laver que chez un employé de bureau, mais le travail de ce dernier peut également être mesuré, ou du moins
contrôlé. Nous constatons également qu’un projet de travail mobile cause souvent des effets secondaires inat-
tendus. De nombreuses entreprises sont forcées de remettre en question leur façon de travailler et en arrivent à
changer radicalement. Ce n’est pas forcément négatif, au contraire. »
MBS: « La taille de l’entreprise joue-t-elle un rôle dans la mise sur pied de projets ? »
Rob Bamforth : « C’est surtout la direction de l’entreprise qui joue un rôle capital. La plupart des entreprises sont
conscientes des avantages économiques, mais la mise en œuvre diffère. Dans les petites entreprises, les choses
se mettent plus aisément en place : la « bureaucratie » est moins présente, on libère plus facilement les budgets
et on s’accroche moins à une infrastructure IT ou télécom peu flexible et dépassée, qui rend la mise en œuvre techni-
que plus difficile ou plus coûteuse. Les petites entreprises rechignent aussi moins à permettre aux collègues mobiles
d’accéder de façon intégrale aux applications de l’entreprise, un facteur qui nous paraît absolument indispensable
pour augmenter le ROI. »
MBS: « Face à l’éventail toujours plus large de technologies offertes, devient-il plus difficile d’effec-
tuer le bon choix ? »
Rob Bamforth : « Non, et c’est la bonne nouvelle. Jusqu’il y a quelques années, nous
étions confrontés à des contraintes de couverture, de vitesse, etc. Tout cela appar-
tient au passé : on peut maintenant envisager la solution qui semble le mieux
convenir à l’entreprise, sans se soucier des limites technologiques. Tant du
côté des fournisseurs que des opérateurs, le marché offre un savoir-faire
amplement suffisant pour pouvoir mettre en pratique
quasiment n’importe quelle solution, à des prix tout à fait
acceptables. »
Rob Bamforth sur le travail mobile
Le travail mobile : par où
commencer pour réussir ?
Il existe de nos jours toutes sortes de solutions qui font en sorte que les collaborateurs ne soient plus
liés à un poste de travail fixe. Le bureau britannique d’études et d’analyse Quocirca a interrogé les
entreprises au sujet de la manière dont elles mettent en œuvre le travail mobile et a publié une série
de recommandations. Nous avons demandé à l’analyste principal Rob Bamforth de les expliquer.
Rob Bamforth est analyste principal auprès de la société
britannique Quocirca LtD., spécialiste indépendant en
analyses économiques.
Les Proximus Mobile Business Solutions optimisent
les investissements dans la téléphonie mobile par :
■ l'augmentation de votre productivité
■ le contrôle de vos coûts
■ la communication avec vos clients
■ les avantages pour vos employés
Pour en savoir davantage sur l’intérêt des Proximus Mobile
Business Solutions pour votre entreprise, prenez contact avec
votre personne de confiance chez Proximus.

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MBS COR FR december 2006

  • 1. Jacques Nathan, Brussels Airlines « Proximus Budget Manager nous permet d’estimer parfaitement nos coûts. » Proximus Wireless Office La meilleure solution pour alléger votre budget télécom Alfacam convaincu après un essai de Push E-mail Collaborateurs conquis et efficacité accrue Musique mobile sur le GSM Les intervenants travaillent main dans la main Le magazine des télécoms mobiles, par et pour les professionnels • décembre 2006
  • 2. Vous tenez à optimiser l’efficacité et le coût des communications au sein de votre entreprise. Le nouveau Proximus Wireless Office vous simplifie considérablement cette tâche. On peut parler de petite révolution car le Wireless Office transfère maintenant au GSM tous les avantages traditionnels d’un téléphone fixe. Les câbles disparaissent, la mobilité et l’accessibilité augmentent, et les coûts diminuent – en effet, les collègues s’appellent gratuitement. D’un seul coup, votre gestion des télécoms se trouve allégée. Frédéric de Braey, Directeur Business Mobile Division Alléger votre budget télécom Mobile Business Solutions est une publication de Proximus, le réseau de Belgacom Mobile S.A. Editeur responsable : Frédéric de Braey, Belgacom Mobile S.A., rue du Progrès 55, 1210 Bruxelles, tél. 02 205 40 00. Toute reproduction, même partielle, par quelque procédé que ce soit, est interdite sans autorisation écrite préalable.
  • 3. 12 4 18 22 20 Dans ce numéro 4 Wireless Office - le travail mobile gagne en légèreté. Tous les atouts de votre téléphone fixe sur votre GSM, avec en prime des tarifs très avantageux 6 Brussels Airlines - les solutions sans fil constituent l’avenir. D’ici là, les coûts de communication restent maîtrisés grâce à Proximus Budget Manager 8 Paiement du parking par SMS - première application de paiement mobile. Anvers témoigne au sujet des avantages pour les citoyens et pour l’administration communale 10 Proportion croissante de smartphones - la progression des smartphones dans le secteur des portables stimule l’emploi du multimédia mobile 12 Nouveaux portables et accessoires - gros plan sur quelques appareils 14 Vodafone Mobile Data Roaming Bundle - pour un montant fixe par mois, vous disposez d’un volume de transfert de données de 100 MB, à utiliser sur les réseaux partenaires de Vodafone dans une vingtaine de pays 15 Coup d’œil sur l’avenir - quelles variantes futuristes du GSM traditionnel annonce-t-on ? 16 Bayer HealthCare - utilise une solution mobile unique pour fournir aux milieux médico-universitaires des données concrètes sur les maladies 18 Musique mobile - passade ou réelle tendance ? Les intervenants travaillent en tout cas main dans la main 20 Alfacam - enthousiaste après une période d’essai, et convaincue que Push E-mail peut accroître l’efficacité de l’entreprise 22 Achat de GSM - quelle stratégie devez-vous suivre ? Quelques pistes pour attribuer le bon GSM au bon collaborateur 24 Amérique latine - profil d’un marché morcelé où croissance ne rime pas toujours avec bénéfices 26 « New Dimensions to your business » - quelques points forts du Corporate Event d’une journée, lors duquel les clients ont eu un aperçu des possibilités qu’offre le travail mobile 28 Tarification à l’unité de temps pour les transferts de données - face à la multiplication et à l’accélération des transferts de données, le décompte par unité de temps se révèle souvent plus avantageux 29 3G Haut Débit - la vitesse de téléchargement augmente encore et le réseau se déploie tout aussi vite 30 Dans la presse - quelques-uns des communiqués de presse les plus marquants relatifs au secteur télécoms et data 31 Le dernier mot - Rob Bamforth explique pourquoi le bureau mobile conquiert plus facilement certaines entreprises que d’autres
  • 4. Lorsque vos collaborateurs se trouvent au bureau, ils n’ont plus à se demander quel téléphone utiliser : le fixe ou le mobile ? Un seul appareil suffit et, en tant que respon- sable, vous réduisez les frais de télécoms. Allégez votre budget télécom La tarification de Wireless Office se révèle aussi simple qu’avantageuse. Au bureau, vos collaborateurs : s’appellent gratuitement, tant sur une ligne fixe que sur un GSM ; téléphonent vers une ligne fixe en Belgique et vers des numéros fixes et mobiles à l’étranger à un tarif comparable à celui d’une ligne fixe ; envoient des SMS à un tarif réduit. En plus de ces tarifs avan- tageux, vous réduisez enco- re vos frais de télécoms en épargnant les frais de câbla- ge, d’entretien du central télé- phonique, d’achat de téléphones fixes, etc. Wireless Office peut être instauré pour un client possédant plusieurs sites ; à vous de déterminer les sites de votre entreprise à équiper avec Wireless Office. Par exemple, un collaborateur qui travaille à Anvers pourra appeler gratuitement un collègue sur son poste fixe situé à Liège. n n n Le nouveau service Wireless Office vous permet désormais de profiter sur votre GSM de nombreuses possibilités que vous offrent votre ligne fixe. Vos collaborateurs gagnent ainsi en mobilité, en productivité et donc en efficacité tandis que votre budget télécom s’allège. Proximus Wireless Office La solution pour alléger
  • 5. Produits services Enfin, détail non négligeable, il n’y a aucun investissement supplémentaire à prévoir. Tous les GSM existants sont com- patibles avec Wireless Office. L’atout de la simplicité GSM ou téléphone fixe ? Grâce à Wireless Office, vos colla- borateurs ne doivent plus se préoccuper de savoir quel télé- phone utiliser. En plus de toutes les facilités déjà présentes sur votre GSM, vous y ajoutez de nombreuses fonctions qu’ offrent les téléphones fixes afin de vous simplifier la vie : transfert des appels entrants vers une autre ligne, à partir de votre GSM ; renvoi automatique des appels vers un autre numéro ; organisation sans faille d’une conférence téléphonique (jusqu’à 5 interlocuteurs) ; gestion simultanée de deux appels ; utilisation de numéros abrégés pour appeler des collègues. Vu qu’un seul appareil suffit, vos collaborateurs ne doivent désormais consulter qu’une seule messagerie vocale et tenir à jour une seule liste de contacts. Finis, les appels manqués ou la recherche vaine des coordonnées d’un contact.... Gain de productivité Wireless Office se distingue par sa simplicité, mais fait également gagner en productivité. Vos collègues peuvent se déplacer librement dans les bâtiments. Ils vont d’une réunion à l’autre, en passant chez un collègue d’un autre service, tout en restant toujours accessibles au même numéro. Idéal aussi pour vos collaborateurs qui partagent leur espace de travail ou qui effectuent des va-et vient réguliers entre le bureau et les visites à l’extérieur. Wireless Office optimise également la gestion de l’espace de travail. Que vous ayez affaire à un déménagement inter- n n n n n ne, à l’engagement de nouveaux collaborateurs ou à des travailleurs intérimaires, à des collègues souvent sur la route, vous ne devez plus vous soucier de l’achat et de l’installation de téléphones fixes, du câblage, de la programmation du central et des contrats de maintenance. Vos tâches adminis- tratives s’en trouvent fortement simplifiées. Combien coûte Wireless Office ? Pour un montant mensuel de ¤ 14 par carte SIM, vos appels entre collègues sont entièrement gratuits et les autres appels et SMS sont facturés à un tarif avantageux. De plus, vous ne payez aucuns frais d’activation. En bref J Grâce à Wireless Office, vous dotez le GSM de vos collaborateurs de tous les avantages du téléphone fixe. Une solution rentable qui renforce la produc- tivité de votre entreprise et allège sensiblement votre budget télécom. Wireless Office est compati- ble avec toutes les solutions mobiles actuellement proposées aux clients corporate de Proximus. J Trois mois gratuits ! Si vous souscrivez à Wireless Office d’ici le 30 juin 2007, Proximus vous rembourse trois mois d’abon- nement par carte SIM inscrite. i Découvrez vous-même tous les avantages de Wireless Office Afin de vous rendre compte par vous-même de la simplicité et des avantages de cette nouvelle solu- tion, visionnez la démo sur http://corporate.proximus.be/fr/Wireless_Office/. Votre personne de contact habituelle chez Proximus se fera également un plaisir de vous renseigner. vos frais de communication
  • 6. SN Brussels Airlines est en pleine muta- tion. La fusion avec Virgin Express est bien réelle, depuis la naissance annon- cée en novembre dernier de la nouvelle compagnie « Brussels Airlines ». Cette fusion crée de nouvelles opportunités, y compris pour le département IT (voir encadré). Dans le monde très compétitif de l’aviation, la maîtrise des coûts reste une priorité. C’est pourquoi Jacques Nathan utilise Proximus Budget Manager. Scission des appels professionnels et privés « Cet outil nous intéresse surtout pour le personnel ground operations, les techniciens et une partie des cadres moyens. Nous fixons, par groupe, la limite entre l’usage privé et professionnel. Pour savoir où placer la barre, nous regardons les dernières factures. Pas de limite pour les données. Pas de limite non plus pour les SMS, mais notre département RH vérifie toujours les factures. En cas de dépassement exces- sif, les personnes concernées doivent se justifier, mais c’est rare. » La sensibilisation : capitale Jacques Nathan attache une grande importance à l’utilisation raisonnable du téléphone, ce qui sup- pose une sensibilisation. Il veille donc à ce que chaque chef de service de ce que l’on appelait encore récemment SN Brussels Airlines soit informé chaque mois des frais totaux de com- munication de son service. « Par la suite, nous souhaiterions également informer individuelle- ment les employés de leur consommation télé- Brussels Airlines, Proximus Budget Manager et le La mobilité, mais SN Brussels Airlines (rebaptisé depuis quelques semainesen Brussels Airlines)sesertde Proximus Budget Manager, entre autres, pour garder les coûts de communication mobile sous contrôle. Jacques Nathan, IT Manager, plaide pour une sensibilisation maximale du person- nel. Il se rend également compte que les solutions mobiles peuvent fortement accroître l’efficacité de la compagnie aérienne, affirmation qu’il étaie par différents exemples.
  • 7. phonique du mois. Il importe de les sensibiliser, même si, en règle générale, ils se montrent déjà très disciplinés. » Gain d’efficacité grâce au portable et à la carte data Vodafone Mobile Connect La communication de données se développe pleinement au sein de la compagnie aérienne belge et, pour de nom- breuses applications, on utilise un portable combiné à la carte data Vodafone Mobile Connect. Jacques Nathan cite quelques exemples éloquents : n « Notre équipe de vente y a recours quand elle visite des agences de voyages et de grandes entreprises dans le monde entier, y compris dans des villes non desser- vies directement par nos vols. Nous essayons de vendre Bruxelles comme étape vers l’Afrique, par exemple. Les informations actualisées fournies par le portable consti- tuent un outil précieux dans les discussions. » n « Nos security officers sont également concernés. Le portable leur permet de procéder à une vérification du système de réservation sur le tarmac, à côté de l’avion, dans n’importe quel aéroport étranger. S’ils soupçon- nent un faux passeport, ils envoient les références du passeport à Bruxelles, pour vérification, et en quelques minutes, ils savent si la personne peut légitime- ment monter à bord. C’est important car les amendes sont lourdes et toujours à charge de la compagnie aérienne. » n « Les ingénieurs en charge des entretiens utilisent éga- lement un portable avec carte data Vodafone Mobile Connect. Supposons qu’un de nos appareils connaisse un problème technique à Milan. Nous envoyons un ingénieur sur place, qui doit directement pouvoir se connecter au système SN Maintenance pour consulter les stocks de pièces de rechange, par exemple. En l’absence de hotspot WiFi, nous utilisons un portable avec carte data, qui se connecte par GPRS ou UMTS à SN Intranet ou à notre interface webmail. La connexion s’établit via notre propre VPN Client, une ligne sécurisée qui passe par l’Internet public. » Brussels Airlines La compagnie, qui s’appelait SN Brussels Airlines jusqu’en novembre, emploie plus de 2 170 personnes et assure plus de 285 vols par jour vers 57 villes européennes et 14 villes africaines, Abu Dhabi dans la région du Golfe et 3 destinations en Amérique du Nord (Chicago, New York et Toronto), avec différentes connexions aux Etats-Unis. A partir de juillet 2007, des vols directs vers Pékin seront assurés en collaboration avec Hainan Airlines. SN Brussels Airlines et sa société sœur Virgin Express appartiennent au SN Airholding Group et volent de concert depuis quelques semaines, sous le nouveau nom de société de Brussels Airlines. travail mobile avec des coûts maîtrisés Applications sans fil en perspective Jacques Nathan envisage plusieurs projets qui tirent tous parti de la communication sans fil par PDA et/ou portable. « Nombre de ces applications sans fil peuvent aussi bien transiter par un réseau WiFi que par un réseau GPRS/3G. Proximus est avantagé par rapport au WiFi, vu son réseau nettement plus étendu et les multiples accords de roaming. » Quatre exemples d’applications sans fil potentielles du côté de l’ex-SN Brussels Airlines : n Flight data : des données aussi capitales pour nos services Flight Safety que Maintenance, restent pour l’instant enregistrées sur une carte magnétique. Après chaque vol, un ingénieur doit les récupérer dans l’avion. Les envoyer sans fil nous fait gagner du temps et de la main d’œuvre. n Scheduling : actuellement, les commandants de bord et les équipages doivent aller consulter leur planning au bureau. Ils perdent facilement un quart d’heure, aux heures d’affluence. Si vous multipliez cela par le nombre de personnes concernées (plus d’un millier au total), le travail sans fil à partir d’un PDA fait gagner beaucoup de temps. n Paperless cockpit : au lieu d’accumuler dans le cockpit des manuels en version papier, qui doivent constam- ment être mis à jour, il serait beaucoup plus efficace de fournir aux commandants de bord un portable sur lequel ils pourraient consulter, après synchronisation, la version la plus récente des manuels. n Self check-in : il pourrait sans problème se faire via le réseau GPRS ou 3G. Il suffit d’un portable avec une connexion sans fil, couplé à une imprimante qui attribue au passager un ticket muni d’un code à barres. On pour- rait envisager de placer ces terminaux dans divers hôtels lors de grands événements : les athlètes du Memorial Van Damme, par exemple, ne devraient plus s’enregis- trer à l’aéroport, mais pourraient le faire à l’hôtel. témoignage
  • 8. 8 Le paiement du parking par SMS, sans inscription préalable (voir encadré pour le fonctionnement) constitue une primeur en Europe occidentale. Si Anvers en a eu l’honneur, c’est grâce à l’étroite collaboration entre le GAPA (Gemeentelijk Autonoom Parkeerbedrijf Antwerpen), Proximus et le partenaire ICT Mobile-For. « Nous cherchions depuis plusieurs années une solution alternative aux bornes de paiement existantes, trop sujettes aux vols : l’administration commu- nale perdait chaque année jusqu’à ¤ 1,5 million de recettes », explique Eric Dubois, administrateur délégué du GAPA. « Nous voulions également faciliter le paiement. Les nouveaux appareils installés en 2003 acceptai- ent Proton, mais nous examinions déjà la possibilité de payer par SMS. Après avoir testé la technologie, nous avons lancé un projet pilote, dans lequel nous avons essayé dif- férents opérateurs. Depuis septembre 2006, le système fonctionne de façon ouverte, sans besoin de s’inscrire au Le « SMS parking », première application de paiement par GSM, illustre la manière dont une entreprise – en l’occurrence la Société Autonome de Parkings de la ville d’Anvers – augmente le confort de ses clients tout en collectant une mine d’informations de gestion. Tant qu’à faire, autant profiter également de l’image de modernité que dégage cette application SMS inventive. L’initiative commence d’ailleurs à inté- resser d’autres villes et prend de l’extension… préalable, en partenariat avec Mobile-For pour la technolo- gie et Proximus pour le réseau. » Un partenaire télécom innovant Eric Dubois motive le choix de Proximus comme parte- naire pour le réseau : « Nos tests ont montré que Proximus offrait la meilleure couverture. Proximus s’est d’ailleurs aussi avéré le plus innovant, notamment en facturant directement les coûts des SMS aux abonnés, via la facture Proximus. » Dans le cas de cartes prépayées, le montant est automatiquement débité de la carte. Dans le nouveau système, les gar- diens de parkings anversois sont munis d’un terminal portable avec carte SIM intégrée. GAPA en uti- lise une cinquantaine. Les gardiens encodent tous les numéros de plaque des voitures garées ; via Mobile Internet et le réseau UMTS/ GPRS de Proximus, la carte SIM se connecte directement à la base de données de Mobile-For et vérifie si l’automobiliste règle le parking par SMS. Paiement du parking par SMS : une première application avant bien d’autres Le partenaire technologique Mobile- For est une jeune entreprise belge axée sur la conception de techniques de paiement mobile, d’autorisations numériques d’accès et autres solu- tions mobiles. Le paiement du par- king par SMS est son premier projet concret. « L’un des plus complexes, aussi, car nous devions program- mer le logiciel pour qu’il calcule et Le paiement mobile accroît l’efficacité des communes Primeur : le « SMS parking » inaugure l’ère des paiements par GSM
  • 9. 9 GSM Comment fonc- tionne le système ? Comme toute bonne invention, le paiement du parking par SMS est aussi simple que génial. Après avoir garé votre voiture, vous envoyez par SMS la référence de la borne de paiement ainsi que votre plaque d’immatriculation au numéro central 3311. La tarifi- cation commence à courir et s’arrêtera lorsque vous enverrez la lettre Q (« quit ») au même numéro. Le paiement par SMS constitue un système ouvert, ce qui signifie que tout le monde peut en faire usage pour régler sa note de parking. La première fois, le parking est gratuit, puis les abonnés Proximus reçoivent auto- matiquement la note sur leur facture. J Paiement du parking par SMS : les citoyens règlent le parking par SMS, la commune collecte ainsi une mine d’informations utiles et se profile comme une institution moderne et conviviale. i Plus de détails auprès de votre personne de contact chez Proximus et sur http://www.park3311.be/ (uniquement en néerlandais). Mobile-For - Fondé en juin 2006 ; - objectif : la conception de méthodes de paiement mobile, d’autorisations numériques d’accès et autres solutions mobiles sur le marché belge. GAPA - Fondé en juin 2002 ; - dépend de l’administration communale d’Anvers ; - objectif : l’application d’une politique de station- nement cohérente en vue de l’amélioration de la qualité du trafic. facture rapidement et clairement le tarif en vigueur pour le temps écoulé entre les deux SMS – début et fin du station- nement », explique le gérant Frank Loomans. « D’autres applications qui reposent sur le M-Payment (paiement mobile) ne font référence qu’à un seul moment de paie- ment, après la demande par SMS, et sont donc plus simples. Notre portefeuille de services ne se limite pas au paiement du parking par SMS. Les M-tickets sont également envi- sageables pour les transports en commun (trajet en bus, en train…). Le système peut même convenir pour les musées, le cinéma, des événements, ou une combinaison de tickets d’entrée et de parking. » Le « Mobile Government » a la cote Le paiement du parking par SMS démarre sur les chapeaux de roue. Chaque jour, près de 700 personnes en font usage à Anvers. Voilà un bon exemple de « mobile government », où les pouvoirs publics ou la commune se servent de la communication mobile pour améliorer les services aux citoyens. Le système offre encore d’autres avantages, qu’énumère Eric Dubois, du GAPA : n les SMS contiennent une mine d’informations de ges- tion ; on peut facilement estimer le degré d’occupation des rues et tous les automobilistes qui se garent sont répertoriés : qu’ils paient au moyen d’un ticket, par SMS ou qu’ils fraudent ; n les gardiens de parkings travaillent plus efficacement car la marge d’erreur est quasiment nulle. La direction contrôle aussi plus facilement leur travail ; n toute plainte peut immédiatement être vérifiée : on peut directement retrouver tous les SMS – ce qui évite toute discussion ; n qui dit moins d’argent liquide dans les bornes de paie- ment, dit baisse des coûts pour la collecte et l’entretien des machines ; n le système décourage le vol de voitures. En glissant son ticket de parking derrière le pare-brise, l’automobiliste annonçait qu'il comptait s’absenter pendant trois heures, par exemple. Grâce au paiement par SMS, les personnes mal intentionnées ne savent jamais quand le conducteur reviendra ; n la ville renforce son image de marque : les citoyens aiment voir que l’on investit dans des technologies nou- velles, conviviales. Le paiement du parking par SMS pourrait bien se popu- lariser dans toute la Belgique d’ici peu. Blankenberge, Knokke, Courtrai, Lokeren, Mortsel, Tirlemont et Wavre, entre autres, ont déjà manifesté leur volonté d’emboîter le pas à Anvers. Produits services
  • 10. 10 Le simple téléphone mobile a atteint un tel degré de pénétration en Occident qu’il devient difficile d’encore progresser ; la voie est ouverte aux « smartphones » et autres portables spécialisés. Le fait que ces deux types d’appareils incitent également les utilisateurs à employer d’autres fonctions que la téléphonie n’est par ailleurs pas négligeable. Les chiffres obtenus par la majorité des bureaux d’études sont éloquents : ils prédisent presque tous que les années à venir seront dominées par les smartphones. Une enquête récente d’Analysys laisse entrevoir que près de 1,5 milliard de téléphones mobiles se vendront en 2011, contre 800 millions en 2005. Les portables offrant différentes fonctions en constitueraient environ 30 %. Ceux qui se concentrent sur une fonction précise, comme la photo ou la télévision mobile, auront entre-temps conquis la plus grande part de marché. Un deuxième bureau d’études, Canalys, parle également de l’essor continu des smartphones. Face à une progression du marché global des portables d’environ 55 %, Canalys voit le nombre de « converged devices » (smart- phones et ordinateurs de poche sans fil) augmenter de 75 %, alors que ce taux n’était encore que de 33 % l’an dernier. Autres chiffres, même conclusion Les chiffres des confrères d’In-Stat se rapprochent de ceux d’Analysys. D’après In-Stat, les smartphones représentent actuellement environ 10 % du marché total de la télépho- nie mobile. In-Stat voit passer la part des smartphones à 25 % dans les cinq ans à venir. Rien qu’au premier semestre de 2006, Gartner a déjà vu augmenter le nombre de PDA et de smartphones de 57 % par rapport à l’année dernière. Pour l’heure, le compteur indique 42,1 millions d’unités. Le marché des smartphones est actuellement quatre fois supérieur à celui des PDA. Le nombre de PDA vendus n’a augmenté que de 5,7 %, pour atteindre 7,4 millions d’unités. Nous citerons encore deux chiffres donnés par d’autres bureaux d’études : au second trimestre de 2006, IDC a vu progresser les smartphones jusqu’à près de 20 millions d’unités et entrevoit pour toute l’année 2006 la vente de près de 100 millions d’exemplaires. ABI Research, enfin, prédit pour cette année la vente de quelque 123 millions de smartphones, soit environ 15 % du marché mobile total. Selon ABI, cela représente le double de l’année passée. L’avenir appartient au smartphone Le smartphone stimule le multimédia
  • 11. 11 Tendances mobiles Pas de définition ­univoque Il n’est pas étonnant que les dif- férents analystes présentent des chiffres divergents car après tout, ce ne sont jamais que des pré- visions. S’agissant de smartphones, les choses se compliquent encore. Il n’existe en effet pas de définition unique d’un smartphone. Jusqu’il y a peu, on le définissait comme un GSM qui permettait d’envoyer et de recevoir des e-mails, dont l’agenda et le carnet d’adresses pouvaient être synchronisés avec un ordinateur et sur lequel d’autres applications pouvaient tourner. Le système d'exploitation comme critère ? IDC appelle un « smartphone » tout portable basé sur un système d'exploitation sophistiqué. Parmi ces systèmes figurent BlackBerry®, Linux, Palm OS, Symbian ou encore Windows Mobile. Or, les fabricants de certains appareils ont développé leur propre système d'exploitation qui peut faire fonctionner quasiment autant d’applications que les appa- reils précités. De plus, les GSM de la gamme moyenne com- blent l’écart. Ils deviennent capables d’assumer un nombre croissant de tâches qui restaient l’apanage du smartphone. La distinction évoquée plus haut qu’établit Analysys entre les smartphones et les portables qui n’exécutent qu’une seule fonction ne fait pas plus l’unanimité. La frontière est souvent difficile à cerner. Les GSM surtout axés sur la musique, la photo ou la TV/vidéo peuvent exécuter quasiment tout ce que fait un smartphone ordinaire, et inversement. Nokia n’a donc pas fait un si mauvais choix en décrivant certains de ses appareils comme des « ordina- teurs multimédias qui permettent de téléphoner ». Smartphone : essentiel pour le travail Indépendamment des chiffres, une autre enquête démontre encore l’importance croissance des smartphones. Une enquête sur la consommation effectuée par Canalys a, par exemple, révélé que, par rapport aux utilisateurs de PDA ou de portables, davantage d’utilisateurs de smartphones consi- déraient ces appareils comme essentiels pour leur travail. Pour Canalys, cela ne signifie pas forcément que les smartphones seront d’office acceptés et remplaceront en masse PDA et portables. Mais cela montre l’importance des smartphones pour les utilisateurs professionnels. Plus de contenus mobiles Une enquête de M:Metric apporte un bémol soutenu à ce dernier constat. M:Metric relativise en effet le fait que les utilisateurs professionnels n’utilisent leur portable que pour des applications professionnelles. Une enquête récemment menée par M:Metric souligne que, même si le smartphone ne représente qu’une faible part du marché actuel, leurs détenteurs consomment une masse de contenus mobiles. Contrairement à ce que l’on croit, ces appareils performants ne servent donc pas uniquement à accroître la productivité de leur utilisateur. Ceux-ci s’en servent également pour trai- ter leurs e-mails personnels et surfer sur Internet. Ou encore pour regarder des clips vidéos, jouer à des jeux en route ou écouter de la musique. Comparé à l’utilisateur moyen de GSM, l’utilisateur de smartphone est donc, selon M:Metrics, un gros consommateur de multimédias mobiles. Les chiffres le confirment : en France et en Allemagne, près de la moitié des détenteurs de smartphones a déjà envoyé une vidéo ou une photo sur le réseau mobile, contre une moyenne de 18,6 % du marché en France et 19,5 % en Allemagne. Près d’un quart des utilisateurs de smartphones au Royaume- Uni écoute de la musique sur son GSM, comparé à une moyenne de 5,8 % du marché. Dans d’autres pays, M:Metric a observé des proportions similaires.
  • 12. 12 Portables HTC S620 Un smartphone comme bureau mobile Cet ordinateur de poche de HTC (qui fabrique également les QTek) s’adresse au travailleur mobile qui veut pouvoir rédiger et lire des e- mails et d’autres textes courts en déplacement. Le clavier confortable facilite l’encodage de textes et l’écran 2,4 est suffisamment large pour en lire. Grâce à la touche de contrôle HTC JOGGR, vous naviguerez aisément entre les applications et les documents. Le nouveau programme Windows Mobile 5.0 (lisez également Mobile Business Solutions de septembre) autorise Push E-mail, mais aussi Windows Mobile de Vodafone. Grâce aux différentes possibilités de con- nexion (Quadband, GPRS/EDGE, WiFi et Bluetooth), ce portable s’utilise presque n’importe où. La mémoire ne lui fait pas défaut non plus : 128 MB de ROM et 64 MB de RAM, plus un port pour carte mémoire MicroSD. Autonomie d’appel : jusqu’à 5 heures Autonomie en veille : jusqu’à 220 heures Poids : 130 g Taille : 111,5 x 62,5 x 12,8 mm Fréquences : 850 / 900 / 1 800 / 1 900 Résolution d’écran : 240 x 320 pixels E-mail : oui Connexions : GPRS / WAP / Bluetooth / USB Mémoire : 64 MB RAM/128 MB ROM + MicroSD Appareil photo : oui PLUS : WiFi b/g • • • • • • • • • • • Attention : l'appareil affiché ci-dessus montre un clavier qwerty, mais est également disponible en Belgique avec un clavier azerty.
  • 13. 13 sous la loupe NOKIA E50 Un smartphone au look classique Sous l’apparence d’un GSM Nokia classique, le E50 offre toutes les fonctions que l’on peut attendre d’un smartphone moderne. Il partage d’ailleurs avec d’autres smartphones haut de gamme le système d'exploitation Symbian Series 60. Il prend en charge les solutions Push E-mail, comme Vodafone Direct E-mail, et lit sans problème des annexes en Word, Powerpoint ou Excel. Autonomie d’appel : jusqu’à 6,8 heures Autonomie en veille : jusqu’à 216 heures Poids : 104 g Taille : 113 x 43,5 x 15,5 mm Fréquences : 850 / 900 / 1 800 / 1 900 Résolution d’écran : 240 x 320 pixels E-mail : oui Connexions : GPRS / WAP / Bluetooth / USB / infrarouge Mémoire : 70 MB de mémoire interne + Micro SD Appareil photo : non • • • • • • • • • • HTC P3300 PDA avec GPS Le logiciel Phone Edition de Windows Mobile 5.0 fait de ce PDA un véritable GSM. On remarquera le GPS intégré, assez étonnant sur un appareil aussi mince. Le P3300 fait donc aussi office de système de navigation. La dernière version du très populaire TomTom Navigator y est d’ailleurs installée. La radio FM surprend tout autant sur ce type d’appareil. Sony Ericsson K800i La télévision mobile sur votre GSM Fort de son appareil photo de 3,2 mégapixels, ce GSM Cybershot de Sony Ericsson constitue l’un des meilleurs photophones du marché. Il est aussi un smartphone à part entière, capable de télécharger et d’envoyer des e-mails en un clin d’œil, grâce à l'UMTS. Etant un portable Vodafone live!, il vous offre en prime le plaisir de la télévision mobile. Autonomie d’appel : jusqu’à 3,5 heures Autonomie en veille : jusqu’à 150 heures Poids : 127 g Taille : 108 X 58 X 16,3 mm Fréquences : 850 / 900 / 1 800 / 1 900 Résolution d’écran : 320 x 240 pixels E-mail : oui Connexions : GPRS / WAP / Bluetooth / USB / infrarouge Mémoire : 64 MB RAM/128 MB ROM + MicroSD Appareil photo : oui PLUS : WiFi b/g + GPS intégré • • • • • • • • • • • Autonomie d’appel : jusqu’à 7 heures Autonomie en veille : jusqu’à 350 heures Poids : 115 g Taille : 106 x 47 x 22 mm Fréquences : UMTS / 900 / 1 800 / 1 900 Résolution d’écran : 320 x 240 pixels E-mail : oui Connexions : GPRS / WAP / Bluetooth / USB / infrarouge Mémoire : 64 MB Appareil photo : oui PLUS : appareil photo Cybershot 3,2 mégapixels avec autofocus • • • • • • • • • • • nouveaux gsm et accessoires
  • 14. 1414 Vous voyagez régulièrement à l’étranger et souhaitez bénéficier des tarifs avanta- geux pour y consulter vos e-mails et utili- ser vos applications mobiles d’entreprise ? Dans ce cas, le Vodafone Data Roaming Bundle est aussi précieux que votre pas- seport. Grâce à ce forfait, vous disposez, pour ¤ 75 par mois (hors TVA), d’un volu- me de transfert de données de 100 MB, à utiliser sur les réseaux GPRS et UMTS de Vodafone, dans une vingtaine de pays. Au-delà de ce volume, vous payez un tarif très avantageux par MB supplémentaire (¤ 2, hors TVA). Des engagements clairs et sans surprises. Votre personne de contact Proximus vous renseignera volontiers. Bon voyage, en tout cas ! 30 secondeS « Now boarding... »
  • 15. 15 Cabine téléphonique insonorisée Dans de nombreux endroits, il n’est pas commode de téléphoner à partir d’un GSM : celui qui téléphone est dérangé par les bruits ambiants et ceux qui l’entourent sont dérangés par sa con- versation. Le Cell Zone apporte une solution. Cette cabine téléphonique a été conçue spécialement pour les utilisateurs de GSM. La cabine est bien insonorisée, de sorte que ni celui qui téléphone, ni son entou- rage ne sont dérangés. Une solution idéale pour les endroits bruyants et pour les lieux où l’on apprécie le calme et la discrétion. Nokia Aeon Le Nokia Aeon a beau n’être qu’un prototype, il est parti- culièrement séduisant. Sa particularité : un écran LCD sans marge, qui couvre toute la surface de l’appareil. Reste à savoir s’il sera un jour mis en production. Le niveau de l’eau indique l’état de la batterie Le N702 du Japonais NTT DoCoMo propose un économi- seur d’écran pour le moins original : une image d’eau dans un verre ou une bouteille. Le niveau de l’eau indique le niveau de chargement de la batterie : moins il y a d’eau, plus la batterie est déchargée. Ce ne serait pas si extraordinaire, en soi, si l’« eau » ne réagissait aux mouvements de l’appareil. Grâce à un capteur intégré de mouvements, le niveau de l’eau reste horizontal, même lorsque le GSM penche. Identification colorée de l’appelant Certains téléphones vous permettent d’attribuer une sonne- rie distincte à certains contacts ou groupes, pour directement les identifier. Celui-ci fait de même, mais remplace la sonne- rie par une couleur. Le nombre de couleurs reste cependant limité à quatre : rouge, vert, pourpre et bleu. On peut ainsi attribuer une couleur à une personne ou un groupe. Téléphone mobile en braille Pour les malvoyants, il n’est pas évident de manipuler un téléphone mobile. Grâce à ce prototype, Samsung veut leur prêter main forte. Au sens littéral, car cet appareil leur permet de rédiger et de lire des textes en braille, grâce à des touches spéciales. Il reste pour l’instant un concept, mais Samsung espère le commercialiser un jour. Coup d'œil vers l'avenir Admirez le design futuriste des appareils ci-dessous. Qui sait, peut-être en utiliserons-nous tous, dans un avenir plus ou moins proche ? Ils constituent des concepts et des prototypes fascinants qui témoignent de l’évolution des portables et des accessoires. Tendances mobiles
  • 16. 16 « Nous disposons de peu de données probantes dans le domaine d’étude des infections respiratoires », expose Geert Bourgeois, de Bayer. Geert Bourgeois, Group Product Manager Anti-Infectives, cherchait une solution pour inter- roger les pneumologues de manière rapide et conviviale au sujet de la maladie. Il l’a trouvée dans la collaboration avec Euremis, une filiale de Proximus. Une solution totale mobile Euremis est axée sur la conception de solutions mobiles pour PDA. Maurits van den Eynde, chef de projet chez Euremis Pharma Division : « Le PDA réunit le meilleur de deux mon- des : il allie le côté pratique du GSM à l’environnement PC du portable. Chez Euremis, nous développons des logiciels spécifiques, à la mesure du client et du projet, mais nous testons également tous les PDA du marché. Nous savons ainsi quel modèle convient le mieux à nos applications. Nous avons plusieurs raisons de recommander le réseau Proximus à nos clients : il offre une large couverture et un réseau d’une grande fiabilité. De plus, Proximus propose des tarifs spéciaux très avantageux pour les données. » Savoir partagé = savoir renforcé La solution mobile conçue par Bayer, en collaboration avec Euremis, fonctionne comme suit : les pneumologues participants reçoivent un PDA en prêt (Qtek 9000 ou Mio A701). Au début de chaque mois, Euremis leur envoie un SMS pour les inviter à synchroniser leur PDA. Il leur suffit de cliquer sur le logo B-Aware, dans le menu du PDA. Lors de la synchronisation, un questionnaire leur est envoyé par GPRS, puis la connexion est coupée dès la fin du transfert de données. Chaque enquête aborde un sujet déterminé. Les médecins choisissent librement le moment auquel ils répondent sur leur PDA à la liste de questions fermées (via des menus déroulants) et aux quelques questions ouvertes. Pour envoyer leurs réponses à Bayer, ils cliquent de nou- veau sur le bouton de synchronisation. Après traitement des réponses, Bayer leur envoie un « Report Summary » à la fin du mois, toujours selon la même méthode (un SMS les invite à synchroniser leur PDA). Pour l’instant, quelque 25 pneumologues y participent, mais le groupe va passer à 45. L’essai, d’une durée de deux ans, a déjà livré des résultats surprenants. Geert Bourgeois : « De grandes disparités sont apparues dans l’examen du patient et l’analyse du syndrome, aussi bien entre les médecins Parfaire ses connaissances et les partager entre experts médicaux devient une démarche de plus en plus précise et rapide, grâce au logiciel fait sur mesure pour les PDA et au fameux réseau GPRS de Proximus. Bayer et Euremis ont mis au point une enquête sur PDA, en collaboration avec Proximus. Le projet pilote « B-Aware » suscite l’enthousiasme des médecins participants et profite à la science. Une solution mobile unique pour Bayer HealthCare Un savoir médical PDA, via le GPRS
  • 17. 17 qu’entre les régions. D’où l’utilité de faire part des résul- tats de l’enquête aux médecins : cela permet à chacun de confronter sa perception de la maladie à celle de leurs con- frères. Nous n’avons pas choisi par hasard le nom du projet, B-Aware : le but est de renforcer la sensibilisation. » Discret et sans surcroît de travail Patrick Libotton, marketing manager de Bayer HealthCare, résume les avantages de la méthode pour son entreprise : « Il s’agit avant tout d’un service rendu aux spécialistes. Nous répertorions des données et améliorons la perception d’une maladie qui évoluait, jusqu’à présent, dans une zone d’ombre. Le médecin apprécie cette nouvelle méthode dis- crète, qui lui permet de choisir le moment auquel il répond à l’enquête par PDA, sans surcharger son emploi du temps. Plus besoin de consacrer une heure à recevoir un enquêteur chez soi. » Vu que le transfert de données s’opère via le réseau GPRS de Proximus, peu importe où se trouve le médecin. « Grâce au roaming par GPRS au sein du réseau Vodafone d’une vingtaine de pays, le médecin peut tout aussi bien recevoir et remplir l’enquête pendant un congrès à l’étranger », ajoute Maurits Van den Eynde. Et de préciser qu’il s’agit d’un système tout à fait fermé et que l’enquête électronique est sécurisée par une série de systèmes d’encryptage et de mots de passe, qui préservent la confidentialité des données. Un fondement scientifique Des pneumologues de toutes les universités belges y par- ticipent et les questionnaires envoyés sont rédigés en col- laboration avec un comité consultatif du Gasthuisberg, K.U. Leuven. Patrick Libotton : « Les milieux universitaires sont demandeurs pour en savoir plus sur certaines maladies, surtout si les informations reçues sont structurées et pro- viennent d’un groupe statistiquement significatif. Ce genre de projet renforce également l’image novatrice de notre entreprise. Dans le secteur pharmaceutique, l’innovation constitue l’un des maîtres mots et nous prenons volontiers la tête de ce genre d’initiatives. A la seule condition que nous soyons assurés qu’elles fonctionnent. Nous avons donc tenu à vérifier qu’Euremis se servait d’une technologie éprouvée et que les applications PDA mises au point avaient déjà fait leurs preuves dans d’autres secteurs. » Euremis Euremis (établi à Braine-l’Alleud) a été fondé en 2002 et conçoit des solutions mobiles basées sur la techno- logie PDA. En octobre, Euremis est devenu une filiale de Proximus. Le rachat d’Euremis permet à Proximus d’encore mieux répondre aux besoins changeants de ses clients et d’étoffer sa gamme de produits en pro- posant des solutions totales mobiles à la fois novatrices et efficaces.  Ces solutions reposent sur une technologie conviviale et performante, et sont de plus en plus utilisées par des entreprises de différentes branches d’activités (biens de consommation rapide, secteur pharmaceutique, etc.) pour accroître la productivité du personnel et activer la rentabilisation des investissements. Vitesse accélérée et multiplication ­des applications Selon Maurits Van den Eynde, d’Euremis, la possibilité d’envoyer une enquête électronique et d’y répondre sur PDA ne constitue que la partie visible de l’iceberg. Ce genre d’enquêtes peut évidemment s’appliquer à d’autres domaines médicaux. On peut même envisager d’autres applications. Le débit hyper rapide du nouveau réseau HSDPA permet, par exemple, d’envoyer rapidement et faci- lement des vidéos didactiques. Euremis envisage d’ailleurs l’envoi de clips de 20 secondes au personnel médical, pour illustrer, par exemple, la manière exacte d’administrer un nouveau médicament. « Ce serait nettement plus efficace que d’envoyer un manuel compliqué ou d’organiser une formation », assure Maurits Van den Eynde. partagé grâce à des enquêtes sur Bayer Le groupe Bayer se compose de trois branches : HealthCare, CropScience et Material Science, et emploie 93 700 personnes dans le monde, dont 1 516 en Belgique. BayerHealthCare se subdivise en Pharmaceuticals, Diabetes Care, Consumer Care et Animal Health. Le projet data relatif aux PDA porte sur les anti-infectieux, un domaine de Pharmaceuticals. Témoignage
  • 18. 18 Touslesacteursdusecteur,qu’ilssoientfabricantsd’appareils mobiles, acteurs de l’industrie de la musique ou opérateurs mobiles, en tant que prestataires de services, s’efforcent de rendre la musique mobile. On pouvait déjà écouter de la musique (MP3) sur certains téléphones mobiles, mais depuis un an, presque chaque marque a sorti un appareil, voire une série d’appareils spécialement vendus comme « musicophones ». Le Rokr de Motorola compte parmi les premiers. Sony Ericsson a lancé à peu près en même temps une série de GSM-walkman, et Nokia et Samsung viennent à leur tour de lancer des portables axés sur la musique. La capacité de stockage comme solution Jusqu’il y a peu, la mémoire disponible constituait une gros- se pierre d’achoppement pour les GSM musicaux. Depuis, des portables de plusieurs gigas sont apparus et une carte mémoire peut être ajoutée à la plupart des appareils. Autre souci : comment charger la musique ? Cela peut se faire par le biais d’un ordinateur, mais le plus logique consiste évi- demment à utiliser une connexion mobile, pour laquelle il existe entre autres la technologie OTA (« Over the Air »). Vers une offre intégrée Pour cette dernière raison surtout, une collaboration s’impose entre les fabricants de GSM, le monde de la musique, les opérateurs mobiles et une société qui déve- loppe concrètement le service. Le transfert de musique via le réseau GSM vers l'appareil portable de l’utilisateur final doit en effet se faire en toute légalité. Certains tentent ici de jouer un rôle plus qu’actif. Nokia, par exemple. L’été dernier, l’entreprise a acheté Loudeye, un distributeur de musique en ligne. Une démarche logique pour Nokia, vu que l’entreprise aura vendu, selon ses dires, quelque 80 millions de GSM musicaux cette année, bien plus que les iPod d'Apple. En 2007, Nokia compte proposer une offre intégrée. La rumeur dit qu'Apple aimerait également ouvrir un volet mobile de sa boutique en ligne d’iTunes. La musique mobile con- stitue l’un des « sujets brûlants » du monde des télécoms. Il n’est pas sûr que le phénomène s’embrase réellement, mais la quasi-totalité des intervenants font tout pour assurer la percée de la musique mobile. Jetons un œil sur les différents scénarios par lesquels l’industrie du GSM et celle de la musique tentent de répondre aux besoins du client. La musique mobile : passade ou tendance réelle ? L’industrie du GSM
  • 19. 19 Ne pas rater le train L’industrie de la musique compte bien aussi surfer sur la nou- velle vague de la musique mobile. Elle a déjà manqué deux occasions : la première sur l’Internet et l’autre quand les sonneries ont pris leur essor. Sur ces deux fronts, l’industrie de la musique a perdu beaucoup d’argent en ne suivant pas la tendance. Cette fois, les grandes entreprises de la musique veulent donc sauter au plus vite à bord du train. Les opérateurs mobiles voient eux aussi leur intérêt dans la musique mobile. Non seulement dans les recettes que peut générer la vente de musiques, mais aussi du fait des transferts de données qu’elle suppose. Ici encore, des entreprises veulent jouer un rôle majeur dans le processus. L’opérateur britannique O2 sponsorise à grands frais, depuis l’an dernier, l’extension d’une nouvelle salle de concert au Millenium Dome, que l’on baptisera O2. L’opérateur a déjà conclu un accord avec le groupe Universal Music pour gérer les droits sur la musique de cette maison. En Corée, certains opérateurs vont même plus loin : ils achètent des maisons de disques pour posséder ainsi toute la chaîne. Téléchargements musicaux sur GSM Les différents acteurs du marché prennent donc clairement position. Reste à voir si le consommateur suivra. Après le succès des lecteurs MP3, ce consommateur voudra certai- nement écouter de la musique de façon mobile. Pour le faire à partir d’un GSM, il faut cependant franchir certains seuils. Bien que les GSM musicaux tiennent de plus en plus du lecteur MP3, ils ne possèdent pas encore l’aura d’un « vrai » lecteur de musique. Pour nombre d’utilisateurs, le téléphone mobile sert avant tout à communiquer, et il n’est pas évident qu’ils s’en servent également pour écou- ter de la musique. Le téléchargement de musique via le réseau mobile constitue un seuil encore plus élevé. Même si l’utilisateur de GSM possède un abonnement data à prix fixe, il est encore limité, chez la plupart des opérateurs, par un plafond. Et pour le consommateur lambda, qui ne transfère pas beaucoup d’autres données que la musique, l’addition se révèle lourde, pour de simples télécharge- ments musicaux. Station de radio personnalisée sur GSM C’est la raison qui a poussé certains opérateurs à lancer une sorte de service d’« abonnement ». Comme O2 et son Music Service : l’utilisateur peut acheter de la musique aussi bien à partir de son PC et d’une connexion Internet normale, qu’à partir de certains portables sélectionnés. Un autre modèle est utilisé pour proposer une sorte de service radio via le téléphone mobile. O2 formule également des projets dans ce domaine, avec sa Visual Radio. Cette col- laboration avec Virgin Radio vise à offrir une valeur ajoutée aux auditeurs mobiles : pendant qu’ils écoutent la radio, ils peuvent recevoir des informations et des images au sujet du programme, sur un Nokia adapté. En Angleterre, Vodafone projette même d’aller plus loin. L’opérateur offrirait, avec le service Radio DJ, une station de radio personnalisée, comme il en existe déjà plusieurs sur Internet. L’utilisateur indique au départ quelques pré- férences, un genre, par exemple. En écoutant la musique, il peut ensuite attribuer une cote aux titres, de sorte que le système adapte la musique en fonction des goûts de l’utilisateur en question. Un succès au présent ? Si intéressants que semblent les modèles précités, il ne sera pas évident de faire payer un montant mensuel aux utilisateurs, pour un service qu’ils ne peuvent utiliser que sur leur téléphone portable. Les analystes formulent donc des prévisions contradictoires : certains affichent des chif- fres selon lesquels la musique mobile serait déjà un succès aujourd'hui, tandis que d’autres restent plutôt sceptiques et n’escomptent pas une percée avant quelques années. GSM s’associe au secteur de la musique Tendances mobiles
  • 20. 20 Alfacam fournit des facilités au monde de la télévision et a acquis, en une vingtaine d’années, un statut d’acteur mondi- al. Proximus a invité son fleetmanager Kevin Couvreur à équi- per les collaborateurs d’Alfacam, lors des Jeux Olympiques d’hiver de Turin, de quelques appareils compatibles avec la technologie Push E-mail, pour leur en faire découvrir les avantages. Pour une entreprise telle qu’Alfacam, le travail mobile constitue un impératif. « Nonante pour cent du temps, le personnel d’Alfacam se trouve à l’étranger ; la société preste des services dans de nombreux pays européens, mais réalise également des projets en Russie, en Arabie Saoudite, en Chine… Le GSM est devenu pour nous un outil indispen- sable », assure le fleetmanager Kevin Couvreur. « Quand nos techniciens travaillent autour d’un stade de foot ou d’une salle de concert, par exemple, ils restent en contact par GSM. Notre personnel est souvent parti pendant des semaines ou des mois, donc le GSM permet également de garder le contact avec le pays. » Bilan positif Kevin Couvreur connaissait évidem- ment depuis un certain temps la technologie montante Push E-mail, mais affichait une certaine réserve. « Je n’aime pas adopter trop vite de nouvelles applications, je pré- fère attendre qu’elles aient fait leurs maladies de jeunesse. En tant que fleetmanager, je donne la priorité à la tranquillité : je tiens à ce que de nouvelles applications fonctionnent et à ce que les systèmes restent stables. Rien de plus ennuyeux que de recevoir, le soir, un appel d’un col- laborateur paniqué parce que l’une ou l’autre application ne fonctionne pas. Le « friendly user test » était donc le bienvenu : nous avons pu essayer sans risques l’application complète qu’est Push E-mail. » Comme d’autres fleetmanagers, Kevin Couvreur, d’Alfacam, avait entendu beaucoup de bien de Push E-mail. Mais que dit la pratique ? Un « friendly user test » l’a convaincu, ainsi que ses patrons. Un essai de Push E-mail convainc Alfacam « La technologie « push »
  • 21. 21 Le bilan est positif ; quatre collaborateurs sur cinq à Turin ont estimé que les appareils et la fonction Push E-mail appor- taient une valeur ajoutée. « L’un de nos collaborateurs, en séjour à l’étranger, avait un jour oublié les coordonnées de son vol. Il a appelé notre responsable du Planning, qui a ouvert son Nokia. Il a trouvé les informations parmi les derniers e-mails et les a directement envoyées. Je n’ai d’ailleurs entendu que des éloges au sujet de Push E-mail, les utilisateurs critiquaient plus les portables. La durée de vie de la batterie semble constituer un frein, d’autant plus que notre personnel travaille parfois dans des endroits reculés. Le fait que ces smartphones conservent ou non le « look feel » d’un vrai GSM semble également importer. A cela s’ajoute encore le choix auquel je suis confronté en tant que fleetmanager : quel système d’exploitation choisir, Symbian ou Windows ? » Proximus : seul opérateur à offrir un tel choix de solutions Proximus a été le premier opérateur à lancer la technologie Push E-mail en Belgique et est le seul à offrir une telle variété de solutions Push E-mail, quel que soit l’appareil que vous utilisiez (GSM, PDA, BlackBerry®) et le logiciel dont vous disposiez. Les grandes entreprises, souvent dotées de leur propre serveur d’e-mail, peuvent choisir entre le BlackBerry Enterprise Server, Windows Mobile from Vodafone ou Vodafone Direct E-mail Enterprise, selon les portables utilisés, l’infrastructure de base disponible et les besoins en matière de sécurité et de « remote manage- ment ». La direction d’emblée convaincue Chez Alfacam, Kevin Couvreur a opté, après l’essai fruc- tueux, pour le Nokia 9300 combiné à Vodafone Direct E-mail Enterprise. Dans un premier temps, la direction de l’entreprise a été équipée de la technologie « push ». Le fondateur et CEO Gabriël Fehervari et la gérante Karin Stoop utilisent un Nokia 9300 équipé de Push E-mail, de même que l’operational manager et le responsable plan- ning d’Alfacam. Kevin Couvreur estime qu’une nouvelle technologie a plus de chances d’être adoptée si la direction en constate concrètement les avantages. Alfacam Alfacam, société 100 % belge de renommée inter- nationale, possède des studios d’enregistrement, du personnel de studio, des cameramen et des voitu- res de régie et satellite. Dans ses studios de Lint, on réalise entre autres « Steracteur/Sterartiest » et « 1 Jaar Gratis ». TMF y occupe un studio permanent et la nouvelle chaîne culturelle EXQI y a son port d’attache. Les 24 voitures de reportage d’Alfacam assurent entre autres les retransmissions télévisées de concerts de stars pop et de la Coupe du monde de football. Alfacam emploie 65 collaborateurs et fait appel à un large fichier d’indépendants. Opportunités commerciales Pour l’heure, Push E-mail a déjà prouvé à maintes reprises son utilité. La possibilité d’accéder de façon immédiate et permanente aux e-mails et à l’agenda crée des oppor- tunités commerciales et renforce l’efficacité opération- nelle de l’entreprise. Push E-mail est déjà venu bien à point également en termes de services aux clients potentiels. « Juste avant de s’envoler pour la Russie, notre operational manager a reçu par Push E-mail une demande de devis. Il y a travaillé sur son portable pendant le vol, a envoyé le devis par infrarouge vers son GSM après l’atterrissage et a directement envoyé l’e-mail. Une expérience de ce genre est assez probante. » La convivialité comme atout majeur En tant que fleetmanager, Kevin Couvreur apprécie le fait que l’installation reste simple et ponctuelle : on installe un petit programme, on définit un mot de passe et c’est parti ! « C’est vrai que cela soulage. Je remarque également la convivialité du système : vous pouvez faire glisser un contact à partir d’Outlook vers l’e-mail, joindre les annexes et envoyer le tout, même depuis l’étranger. C’est pra- tique pour le technicien qui a besoin d’urgence d’un code d’activation, des numéros de série de caméras... En d’autres termes, l’entreprise gagne en efficacité. » renforce l’efficacité » Témoignage
  • 22. 22 Les entreprises qui ont acheté des ordinateurs de bureau ces dernières années n’ont pas vraiment cherché à différen- cier les utilisateurs. Même ordinateur pour tout le monde, même si l’on n’utilise pas les mêmes applications ou on n’emploie pas l’ordinateur de façon aussi intensive. Parce qu’il faut tenir compte des utilisateurs les plus intensifs, cela signifie généralement qu’une majorité reçoit en fait un ordinateur bien trop performant. La logique : le surcoût que représente l’entretien de différents types de PC dépasse l’économie que l’on réaliserait en achetant des ordinateurs moins puissants pour certains. Jusqu’à présent, on applique en général la même logique pour l’achat de téléphones mobiles. La majorité des collaborateurs mobiles reçoit un notebook et un GSM identiques. Si l’on ajoute, à propos de ce dernier, l’avantage de pouvoir uniformiser le carkit, le choix est devenu très restreint. Subdivision en catégories Selon le bureau d’études Quocirca, l’achat de téléphones mobiles appelle aujourd'hui une autre stratégie. Le choix du bon appareil devient de plus en plus complexe, à mesure que les PDA et les smartphones accèdent au réseau de l’entreprise. Quocirca conseille de choisir l’appareil en fonc- tion du type d’applications que nécessite l’entreprise, mais aussi de considérer individuellement chaque utilisateur. Plutôt que d’acheter le même appareil pour tout le monde, les entreprises devraient commencer par cerner les rôles, les procédés et les besoins techniques, dans le cadre de leur stratégie sans fil. Elles choisiraient ensuite l’appareil adéquat en tenant compte des contraintes budgétaires. A mesure que les appli- cations mobiles gagnent en importance au sein de l’entreprise, le choix du bon GSM prend de l’importance. Plus question de choisir un même appa- reil pour tous vos collabo- rateurs. Le bureau d’études Quocirca établit une série de profils d’utilisateurs, pour aider le gestionnaire de parc. Un parc GSM diversifié en fonction des applications Choisir le bon GSM
  • 23. 23 MOBILE E-MAIL De quelles applications mobiles avons- nous besoin ? Il faut commencer, affirme Quocirca, par cerner les catégo- ries d’applications mobiles utiles à l’entreprise. Ceci afin de définir précisément les applications qui sont indispensa- bles à certains départements ou profils d’utilisateurs. Une approche logique des différentes catégories donne une vue d’ensemble tant de l’aspect télécommunications qu’IT. Elle permet également d’estimer l’impact opérationnel, les coûts et les avantages. Eléments à prendre en considération Quocirca distingue différents groupes d’applications : n Services à valeur ajoutée à travers le réseau : l’opérateur mobile ajoute une série de services de base au réseau. On entend par là, entre autres : gain de qualité du ser- vice, fonctions sécuritaires (« virtual private networks »), équipes « business intelligence » qui expliquent en détail le fonctionnement du réseau, et service clientèle ou d’appui. Ces services assurent une valeur ajoutée et un contrôle renforcé aux départements IT et financer, mais contribuent peu à modifier ou à améliorer les procédés de l’entreprise. n Services vocaux améliorés : les téléphones mobiles s’avèrent très pratiques pour téléphoner, mais les appels manqués ou les boîtes vocales coûtent cher aux entre- prises. Pour améliorer les services vocaux, pas besoin de téléphones coûteux ni compliqués. On peut, par exemple, faciliter les conférences téléphoniques, indiquer si la per- sonne à appeler est déjà en ligne, assurer des services de boîte vocale ou texte en services vocaux. Ces éléments peuvent être intégrés dans l’infrastructure sans affecter les appareils. n Communication et collaboration : l’e-mail mobile est probablement devenu l’application qui offre la valeur la plus tangible pour l’entreprise. Il est devenu un outil de travail incontournable. L’usage de l’e-mail est aujourd'hui si généralisé qu’une absence de réponse à un e-mail ralentit les procédés de l’entreprise. L’e-mail mobile réduit le cycle décisionnel à un rapide coup d’œil dans la boîte de réception et à une réponse. Comme l’ont montré les premières applications sur BlackBerry®, l’e-mail mobile révèle tous ses avantages dans les fonctions où une réponse rapide présente le plus de valeur ajoutée. n Client/serveur mobile : il est utile à plus d’un égard d’avoir accès à distance aux données de l’entreprise. Les applications horizontales, telles que « sales force automa- tion » et « field service management » offrent toutefois le maximum d’avantages. A condition d’être bien mises en œuvre, ces applications présentent le grand avantage d’offrir un accès immédiat aux données de l’entreprise. Résultat : des décisions plus rapides pour les clients – leur satisfaction augmente – et des déplacements limités – vos coûts diminuent. L’impact est direct sur les person- nes concernées. Ce genre d’application convient bien aux projets pilotes sans fil et aux exécutions complètes. n Communication de machine à machine (M2M) : il s’agit de nouvelles manières d’utiliser une connexion sans fil pour rapatrier vers l’entreprise des données depuis un lieu distant déterminé. Qu’il s’agisse de lieux risqués, dif- ficiles d’accès, ou de destinations trop coûteuses pour y envoyer quelqu’un. Les entreprises peuvent ainsi récolter des données précieuses et précises sur leurs outils, en économisant du temps et des dépenses, et en accélérant la prise de décisions judicieuses. n Réception de contenus : dans ce cadre, on pense en général aux consommateurs qui téléchargent des con- tenus, mais les travailleurs mobiles peuvent également connaître des besoins de cet ordre. Même sur la route, on a souvent besoin de consulter des documents internes, de recevoir des versions actualisées, des nouvelles inter- nes… Tendances mobiles
  • 24. 24 L’Amérique latine compte au total plus de 200 mil- lions d’abonnés mobiles et leur nombre augmente par dizaines de pour cent depuis un bon moment. On observe toutefois de grandes disparités d’un pays à l’autre. Le Brésil dans le groupe de tête Le record est détenu par le Brésil, qui compte 95 millions d’utilisateurs, soit un taux d’utilisation de 50 %. Pas moins de 40 opérateurs mobiles y sont actifs et quasiment toutes les normes de téléphonie mobile y sont exploitées, même si la norme GSM domine le marché. La couverture de ces réseaux se limite cependant aux régions les plus peuplées ; la forêt amazonienne constitue littéralement une zone aveugle sur la carte. Le constat vaut d’ailleurs également pour les autres pays d’Amérique latine. Le succès des cartes prépayées, adoptées par la majorité des Brésiliens, peut lui aussi être généralisé au reste du continent. Malgré la différence de langue avec les voisins, le Brésil donne souvent le ton pour tout le continent : on y lance souvent en primeur les nouveaux services tels que les téléchargements musicaux ou la vidéo mobile. Le groupe de tête comprend encore le Mexique, la Colombie et l’Argentine, trois pays où le taux d'utilisation oscille autour de 50 %. Au Venezuela et au Chili, le pourcentage avoisine même 70 %. Dans les autres pays, l’offre n’est pas encore aussi développée et le nom- bre d’utilisateurs est inférieur. Cas à part Les nombreux archipels que compte la région forment autant de cas à part. Leur nombre d’abonnés est et reste faible, mais le taux d’utilisation varie de 90 % (Aruba et La téléphonie mobile prospère depuis quelques années déjà sur le continent latino-américain. Ce succès s’explique par la popula- tion jeune, l’économie florissante qui touche de nombreux pays et les manquements de la télépho- nie fixe. La révolution mobile en est une qui, pour une fois, s’est faite de façon paisible et sans effusion de sang. Mais elle a mal- gré tout fait des victimes. L’Amérique latine se soumettrait volontiers à la révolution mobile
  • 25. 25 Antilles néerlandaises) à 50 % (Sainte-Lucie, Saint-Vincent et Trinité). En queue de liste, on retrouve la République dominicaine, Haïti et Cuba. La révolution du GSM La proximité des Etats-Unis s’est clairement fait sentir dans le domaine de la mobilophonie en Amérique latine. Quelques entreprises américaines de télécoms étaient ou sont encore actives en Amérique latine et y ont apporté leur propre technologie. Les premiers réseaux de téléphonie mobile reposaient donc sur la technologie CDMA et TDMA, courante aux Etats-Unis. L’arrivée d’opérateurs latino-amé- ricains a cependant fait pencher la balance en faveur de la norme GSM. Ainsi, contre 4 pays dotés d’un réseau GSM en 1999, on en dénombrait 36 en 2003. La norme TDMA en a été la première victime. En 2003, seulement 6 opérateurs sont passés d’un réseau TDMA à la norme plus moderne CDMA, tandis que 32 opérateurs ont opté pour les réseaux GSM/GPRS. Le GSM avait clairement le vent en poupe car les opérateurs qui ont persévéré dans la norme TDMA ont même perdu des abonnés. En juin de cette année, les parts de marché s’élevaient respectivement à 63 % pour le GSM (800 / 900 et 1 800/1 900 MHz), 22 % pour le TDMA et 14 % pour le CDMA. Le prochain défi consistera à faire face à l’arrivée des réseaux 3G. La plupart des opérateurs mobiles rechignent à passer au W-CDMA, vu les investissements consentis dans les réseaux GSM, GPRS ou EDGE actuels. Des airs d’Europe Cette transition vers la norme GSM était et reste liée aux racines des grands opérateurs mobiles présents en Amérique latine. Movistar, numéro 1 au Chili, au Venezuela et au Pérou, entre autres, et numéro 2 au Mexique, appartient à l’opérateur espagnol Telefónica. Autre acteur majeur : América Móvil, numéro 1 au Mexique et présent dans six autres pays, dont le Chili et l’Argentine, totalise 93,3 millions d’abonnés en Amérique latine. Au Brésil, il est cependant devancé par deux autres concurrents : Vivo, une co-entreprise entre Telefónica et Telecom Portugal, et TIM Brazil, propriété de Telecom Italia. A ceux-là s’ajoutent des dizaines d’opérateurs mobiles de petite taille. Souvent, il s’agit des anciennes compagnies publiques de téléphonie ou de sociétés détenues par des fonds de capital à risque. Assez étonnamment, les opérateurs mobiles américains brillent par leur absence : il n’y a qu’à Puerto Rico que Verizon Wireless et Cingular jouent un rôle significatif. Sur de nombreuses îles, Cable Wireless détenait ou détient un monopole, que les autorités locales tentent de faire disparaître. Il ne manque plus que les bénéfices Les chiffres de croissance annoncés plus haut n’excluent toutefois pas certains problèmes potentiels. Selon certains analystes, le marché aurait déjà atteint son apogée et il ne faut plus espérer des taux de croissance de 50 à 100 % par an. Ils affirment même que les ventes de portables devraient plutôt diminuer. Le peu ou l’absence de bénéfices que réalisent la plupart des opérateurs con- stitue un autre problème. En cause, le faible revenu par utilisateur. En Amérique latine, on téléphone en moyenne 31 minutes par abonné par mois, contre 76 minutes en Europe de l’Est, par exemple. De nombreux opérateurs cherchent donc de nouvelles sources de revenus, comme le « mobile banking » par exemple, mais la tâche semble pour l’instant ardue. monde mobile
  • 26. 26 une activité qui ne doit pas être liée à un lieu précis », affirment Grégoire van Cutsem et Peter Joos (pour une présentation complète de Wireless Office, voir page 4). N’attendez pas pour essayer La vitesse de transfert de données prend tou- jours plus d’importance. Le nouveau réseau 3G Haut Débit (HSDPA) de Proximus place la barre encore plus haut en matière de vitesse de téléchargement : à la vitesse maximale, vous téléchargez un clip vidéo de 4 minutes (9 MB) en 60 secondes, et un e-mail contenant une présentation d’entreprise de 3 MB en 20 secondes ! Armé d’un portable et d’un GSM, vous disposez de possibilités infinies pour travailler de manière mobile. Jan Callewaert, CEO d’Option, évoquait, dans son exposé au Corporate Event, la tendance de l’ « embedded techno- logy », le fait que les fabricants de portables et de cartes data intègrent déjà dans leurs produits la technologie 3G Haut Débit. Plus besoin de mise à niveau : en achetant un nouveau portable, la dernière technologie mobile sera très probablement intégrée (« embedded »). Jan Callewaert a même affirmé sans embages que le 3G Haut Débit était devenu une réalité. « Il existe déjà 120 réseaux dans le monde entier et le HSUPA – upload à haut débit – s’est déjà concrétisé. » Le défi réside dans le seamless ubiquity : tous les réseaux et applications doivent pouvoir fonctionner conjointement sans faille ; la « common connectivity » devient le nouveau mot d’ordre. Jan Callewaert : « D’ici cinq à dix ans, la mobilité sans fil sera reine dans le monde des entreprises. Mais plutôt que d’attendre les technologies à venir, essayez-vous déjà aux solutions qui existent. » Au-delà des frontières Pour les entreprises, la possibilité d’accélérer le travail mobile va de pair avec le travail par-delà les frontières. C’est ici que les clients corporate profitent de la force du réseau Vodafone : les accords de roaming conclus avec 47 opérateurs dans 34 pays permettent d’assurer une couver- ture sur 98 % du globe. En tant que partenaire Vodafone, Proximus propose d’ailleurs des formules tarifaires simples et prévisibles, pour la voix (Vodafone World) comme pour les données (Vodafone Data Roaming Bundle). Le titre « New Dimensions to Your Business » en disait long sur le contenu : les participants ont pu entendre les nouvelles tendances en matière de communication mobile, ainsi que quel- ques cas concrets (dont Dexia, Carlsberg Importers et TNT) susceptibles de servir de références. Enfin, cet événement corporate du mercredi 11 octobre 2006 a également permis de rencontrer divers partenaires de Proximus dans le sec- teur ICT, pour étendre son réseau de relations. La présence de vingt partenaires, tous pionniers dans leur domaine, illustrait d’ailleurs le rôle que joue Proximus, passé d’une société de téléphonie pure à une entreprise qui offre une valeur ajoutée en partenariat avec des spécialistes ICT. Tendances en matière de communication mobile La « mobilité pour tous » constitue le slogan dans les milieux ICT ; elle devient en effet un mode de vie. Grégoire van Cutsem, responsable du service Marketing chez Proximus, et Peter Joos, responsable de Corporate Sales, font cepen- dant remarquer que l’offre actuelle est assez complexe dans les télécoms et les transferts de données, avec une foule de solutions et d’applications. Tout le contraire de ce que demande le client : simplicité et convivialité. Les entre- prises souhaitent de plus en plus externaliser la gestion des flux de communication, afin de mieux se concentrer sur leurs activités centrales. Qui dit externalisation, dit souci des coûts. On s’attend non seulement à pouvoir maîtriser ces coûts de télécommunications et transferts de données, mais aussi à pouvoir les estimer : les entreprises veulent pouvoir prédire les coûts avec exactitude. Wireless Office : sauter dans le train Wireless Office, la nouvelle solution mobile que Proximus a présentée en primeur au Corporate Event, cadre parfai- tement dans la tendance décrite plus haut. « Le travail est Les clients corporate reçoivent un aperçu de l’avenir proche Début octobre, Proximus a organisé un événement exclusif pour ses clients corporate. Pendant toute une journée, ils ont pu voir de quoi sera faite la communication mobile de demain, avec des témoignages d’entreprises similai- res venues étayer par des chiffres les possibilités concrètes qu’offre le travail mobile. Vu le succès de l’événement, voici une rétrospective rapide.
  • 27. ook voor data (Vodafone Data Roaming Bundle). CORPORATE EVENT 27 Jehan Snyers d’Attenhoven (IT Manager chez Cherokee International) : « Cette journée était surtout intéressante pour se forger une vision stratégique : les mouvements et l’évolution du marché, la percée future du « wireless »... J’étudierai égale- ment avec attention le nouveau Wireless Office. Trop sou- vent, notre personnel de vente utilise le GSM au bureau, où nous disposons également d’une ligne fixe. » Günter Mollen (IT Supply Chain Manager de Glacio) : « Il appartient à notre Account Manager chez Proximus de passer au crible les partenaires IT qui proposent des applications susceptibles d’intéresser notre entreprise. À nous ensuite d’y réfléchir – en tenant compte du prix à payer. » Werner Van Springel (CFO de Glacio) ajoute : « Un événement comme celui-ci, qui réunit un grand nombre de partenaires de Proximus, est donc très intéressant pour scanner le marché. » Jacky Malschaert (Corporate Telecom Accomodation Manager, Philips Belgium) se joint aux remarques de ses confrères de chez Glacio. « Je compte sur notre personne de contact chez Proximus pour connaître l’offre du marché, opérer un tri et me proposer les meilleures solutions. Cet événement se révèle surtout intéressant pour resserrer les liens informels au sein du secteur. J’ai bien enregistré l’appel lancé par Jan Callewaert, d’Option. Le fait qu’un leader de l’industrie nous encourage à surtout ne pas attendre pour utiliser les applications mobiles constitue un argument précieux pour défendre auprès de la direction de nouveaux investissements dans les don- nées mobiles. » Mobile Business Solutions a également recueilli quelques réactions de telecom managers présents au Corporate Event.
  • 28. 28 Afin de baisser vos coûts, Proximus facture dorénavant ses clients corporate en fonction du temps et non plus du volume. Ce changement se justifie par deux tendances. Primo, de plus en plus de clients utilisent un volume crois- sant de données. Cela paraît assez logique, vu le nombre croissant de solutions mobiles axées sur les données que l’on met à la disposition des entreprises. Secundo, les vitesses de transfert de données ne cessent d’augmenter. Les services mobiles de données font actuellement appel à différents réseaux : le transfert de données peut s’ef- fectuer par le réseau GPRS, EDGE, UMTS ou HSDPA. Chaque nouveau réseau permet de surfer encore plus vite et de télécharger encore plus de données en un temps toujours plus court. Conclusion : comparé à il y a quelques années, une entreprise peut télécharger plus de données en moins de minutes. Facturation à l’unité de temps : plus avantageuse ? La facturation à l’unité de temps se révèle, dans la plupart des cas, nettement plus avantageuse, comme l’illustre l’exemple ci-dessous. De plus, elle apparaît généralement plus facile à évaluer, donc plus prévisible. En quelques années, le volume mensuel de données que vous et vos collaborateurs transférez de manière mobile a augmenté de façon exponentielle. Proximus vous pro- pose donc de ne plus vous facturer ces transferts par unités de volume, mais par unités de temps. Vu l’accélération considérable des transferts de données, cette transition se révèle, pour la majorité des clients, une solution très avantageuse. Les transferts de données se multiplient et s’accélèrent Le décompte par unité de temps souvent plus avantageux Règles d’or Pour savoir si vous avez intérêt à être facturé au volume ou au temps, mieux vaut vous référer à votre personne de contact habituelle chez Proximus. Il vaut souvent la peine de se demander si vos collaborateurs doivent rester connec- tés en permanence ou s’il suffit de transferts de données concentrés à certaines heures. On applique en général les règles suivantes : Vous optez pour la facturation en unités de temps (à la minute) pour n les connexions de données purement liées à des événe- ments spécifiques ; n le téléchargement de données dans un court laps de temps. Vous optez pour la facturation au volume (par MB) pour n les applications de données de machine à machine ; n les applications de données sophistiquées destinées aux techniciens/personnel de maintenance (« Field Force Management »). i Votre personne de contact chez Proximus vérifiera volontiers avec vous si la facturation par unité de temps vous avantage également, ou si vous avez intérêt à être facturé au volume Produits services
  • 29. 29 30 secondes 70 fois plus vite 5 ans plus tard La technologie n’est utile que si vous pouvez pleinement en profiter. Comme le 3G Haut Débit, par le biais du réseau UMTS de Proximus. En cette fin d’année 2006, le 3G Haut Débit est accessible à plus de 80 % de la population belge. Ces derniers mois, la couverture s’est étendue de façon aussi spectaculaire que la vitesse de téléchargement a augmenté. On peut actuellement atteindre une vitesse maximale théorique de 3,6 Mbps. Comparez avec le réseau GPRS, qui proposait, à son lancement durant l’été 2001, une vitesse de... 54 kbps. Le transfert s’effectue maintenant septante fois plus vite. Seulement cinq ans plus tard. Pour en savoir plus sur la suite, surfez sur http://www.proximus.be/total_mobility.html
  • 30. 30 Presse mobile Les Belges préfèrent le mobile à la ligne fixe Un quart des ménages belges possèdent un ou plusieurs GSM à la maison, mais plus de ligne fixe. C’est ce qui ressort d’une enquête d’Eurobaromè- tre. Le rapport révèle encore que 17 % de nos compatriotes ne disposent que d’une ligne fixe et pas de GSM, tandis que 56 % des ménages utili- sent les deux outils de communication. Source : Inside Rabobank opte résolument pour le M-payment Rabobank a créé Rabo Mobiel, une filiale axée sur la conception de modes de paiement mobiles, entre autres. La première application existe déjà : depuis la mi- novembre, les clients de Rabobank peuvent déjà effectuer des opérations bancaires à partir de leur GSM ; tout le site Internet de la banque est disponible sur téléphone mobile. Prochainement, ils pourront également acheter des billets de train. Grâce à une puce, ils pourront acheter leur billet en plaçant le GSM devant le distributeur de tickets. Rabobank espère attirer l’an prochain jusqu’à 200 000 clients grâce à la banque mobile. Source : De Standaard Un avenir sans fil et sans interruption Dans le cadre de la « Seamless Mobility » ou mobilité sans interruption, Motorola vient de présenter diverses applications expérimentales qui montrent à quoi ressemblera le monde mobile de demain. La navigation sans fil dans les bus citadins constitue un premier exemple. Elle s’effectue via le Mobile Network Gateway, qui recherche le meilleur réseau WiFi dans les environs du bus et le traduit en un réseau WiFi à bord du bus. Motorola et France Telecom ont également conçu un logiciel censé concrétiser un passage sans faille d’un réseau à l’autre (du WiFi à Edge, par exemple). Autre application mobile évocatrice : la lecture par GSM de car- tes de visite et la mise à jour automatique du carnet d’adresses de votre portable. Motorola signale en outre de nouvelles applications en matière de reconnaissance vocale. Rien que par la voix, vous pourriez ainsi deman- der à votre GSM de chercher un numéro de téléphone dans la base de données de votre entreprise, lui dicter un SMS et l’envoyer direc- tement à votre correspondant. Source : De Standaard Le HSPA, clé du succès du multimédia mobile « Comme la norme GSM a autrefois servi de catalyseur à la téléphonie cellulaire, le High Speed Packet Access sera l’élément clé qui permettra à l’utilisateur final d’accéder n’importe où et n’importe quand aux services multimédias, à Internet et à la télévision. » C’est ce qu’affirmait Carl-Henric Svanberg, CEO d’Ericsson, à la réunion stratégique au sommet de l’entreprise à Tokyo, à la mi-novembre. « Les opérateurs qui ont opté pour la technologie HSPA ont fait le bon choix – ils disposent de nombreux avantages par rapport aux concurrents qui ont choisi d’autres solutions à haut débit. » Plus tôt dans le mois, la Global Mobile Suppliers Association signalait que 18 opérateurs dans le monde entier offraient au total 58 services adaptés au HS(D)PA. Source : Cellular News Actualité GSM internationale récente Mobile Business Solutions a parcouru la presse nationale et internationale à la recherche d’événements marquants dans le secteur de la télécommunication mobile. Proximus et Vodafone s’associent à Microsoft Microsoft Windows Live Messenger, mieux connu sous le nom de MSN, est maintenant aussi disponible via le réseau Proximus. Dorénavant, les utilisateurs pourront, à partir de leur GSM, échanger des messages et partager des fichiers avec d’autres utilisateurs de Windows Live Messenger (connectés sur PC ou sur un GSM). Vodafone a annoncé une collaboration étroite avec Microsoft, le but étant de concevoir ensemble des applications mobiles qui reposent sur la plate-forme Windows Mobile. Dans les cinq ans à venir, Vodafone veut d’ailleurs se concentrer sur trois plates-formes standard : Windows Mobile, Symbian/S60 et Linux. Source : Cellular News
  • 31. columnChronique mobile MBS : « Quels sont, selon vous, les principaux résultats de l’enquête ? » Rob Bamforth : « L’un des constats essentiels de notre enquête est que l’introduction de la technologie mobile – sous quel- que forme que ce soit – ne doit pas forcément rester l’apanage de managers individuels ou de la direction IT, mais qu’il vaut mieux impliquer toute l’entreprise. J’entends par là aussi bien la direction que le service du personnel, les chefs de services des départements où la technologie sera introduite, sans oublier les collaborateurs concernés. Chacun d’entre eux a en effet ses propres préoccupations. Les employés, par exemple, espèrent perdre moins de temps dans les embouteillages ou mieux pouvoir répartir le travail sur la journée. Les « cadres moyens » peuvent, à leur tour, se demander comment superviser leurs employés à distance, quelle autonomie ils peuvent et doivent recevoir, etc. La direction de l’entreprise voit les choses de manière plus globale : quels sont les coûts totaux et quel est le ROI ? » MBS : « Existe-t-il des règles d’or pour superviser du personnel à distance ? » Rob Bamforth : « La plupart des entreprises adoptent facilement un système formalisé pour mesurer la productivité des employés. C’est évidemment plus simple de le faire chez un technicien qui répare à domicile des machines à laver que chez un employé de bureau, mais le travail de ce dernier peut également être mesuré, ou du moins contrôlé. Nous constatons également qu’un projet de travail mobile cause souvent des effets secondaires inat- tendus. De nombreuses entreprises sont forcées de remettre en question leur façon de travailler et en arrivent à changer radicalement. Ce n’est pas forcément négatif, au contraire. » MBS: « La taille de l’entreprise joue-t-elle un rôle dans la mise sur pied de projets ? » Rob Bamforth : « C’est surtout la direction de l’entreprise qui joue un rôle capital. La plupart des entreprises sont conscientes des avantages économiques, mais la mise en œuvre diffère. Dans les petites entreprises, les choses se mettent plus aisément en place : la « bureaucratie » est moins présente, on libère plus facilement les budgets et on s’accroche moins à une infrastructure IT ou télécom peu flexible et dépassée, qui rend la mise en œuvre techni- que plus difficile ou plus coûteuse. Les petites entreprises rechignent aussi moins à permettre aux collègues mobiles d’accéder de façon intégrale aux applications de l’entreprise, un facteur qui nous paraît absolument indispensable pour augmenter le ROI. » MBS: « Face à l’éventail toujours plus large de technologies offertes, devient-il plus difficile d’effec- tuer le bon choix ? » Rob Bamforth : « Non, et c’est la bonne nouvelle. Jusqu’il y a quelques années, nous étions confrontés à des contraintes de couverture, de vitesse, etc. Tout cela appar- tient au passé : on peut maintenant envisager la solution qui semble le mieux convenir à l’entreprise, sans se soucier des limites technologiques. Tant du côté des fournisseurs que des opérateurs, le marché offre un savoir-faire amplement suffisant pour pouvoir mettre en pratique quasiment n’importe quelle solution, à des prix tout à fait acceptables. » Rob Bamforth sur le travail mobile Le travail mobile : par où commencer pour réussir ? Il existe de nos jours toutes sortes de solutions qui font en sorte que les collaborateurs ne soient plus liés à un poste de travail fixe. Le bureau britannique d’études et d’analyse Quocirca a interrogé les entreprises au sujet de la manière dont elles mettent en œuvre le travail mobile et a publié une série de recommandations. Nous avons demandé à l’analyste principal Rob Bamforth de les expliquer. Rob Bamforth est analyste principal auprès de la société britannique Quocirca LtD., spécialiste indépendant en analyses économiques.
  • 32. Les Proximus Mobile Business Solutions optimisent les investissements dans la téléphonie mobile par : ■ l'augmentation de votre productivité ■ le contrôle de vos coûts ■ la communication avec vos clients ■ les avantages pour vos employés Pour en savoir davantage sur l’intérêt des Proximus Mobile Business Solutions pour votre entreprise, prenez contact avec votre personne de confiance chez Proximus.