L’Afrique n’a pas encore réalisé une transformation productive et continue d’occuper une faible part dans la production manufacturière mondiale même s’il est largement reconnu que le secteur manufacturier a un large potentiel de création d’emplois et de croissance.
Le Plan Émergence est une stratégie industrielle qui a été lancée en 2005. Les objectifs de ce Plan sont la mise à niveau du secteur industriel, sa modernisation et la consolidation de sa compétitivité.
7 ans après sa mise en place, il est temps de remettre en cause ce plan et de dresser un bilan.
Emploi Haute-Normandie : baromètre Qapa pour la rentrée 2015Qapa.fr
A L’OCCASION DE LA RENTRÉE 2015, QAPA.FR VOUS DÉVOILE SES CHIFFRES DE L’EMPLOI POUR LE MOIS DE SEPTEMBRE 2015 DANS LA RÉGION DE LA BRETAGNE ! QUELS SONT LES SECTEURS LES PLUS RECRUTEURS ? QUELS SONT LES MÉTIERS LES PLUS RECHERCHES PAR LES CANDIDATS ?
La planification des économies du continent Africain ne doit pas continuer à être fondée sur de simples extrapolations de la croissance. Ce qui manque à nos pays, ce sont des industries commerciales modernes qui peuvent transformer le potentiel en réalité en agissant comme le moteur interne de croissance de la productivité....
Le Plan Émergence est une stratégie industrielle qui a été lancée en 2005. Les objectifs de ce Plan sont la mise à niveau du secteur industriel, sa modernisation et la consolidation de sa compétitivité.
7 ans après sa mise en place, il est temps de remettre en cause ce plan et de dresser un bilan.
Emploi Haute-Normandie : baromètre Qapa pour la rentrée 2015Qapa.fr
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La planification des économies du continent Africain ne doit pas continuer à être fondée sur de simples extrapolations de la croissance. Ce qui manque à nos pays, ce sont des industries commerciales modernes qui peuvent transformer le potentiel en réalité en agissant comme le moteur interne de croissance de la productivité....
Notre Champs d’Expertise Marché ciblé sur les Technologies au Canada a pour but de vous donner un aperçu des marchés qui pourraient être les vôtres demain, il est composé de 3 parties :
1 | Références SALVEO pour le secteur en question
2 | "Etat du marché", qui récapitule les évolutions récentes du marché et son état actuel.
3 | "Approche du Marche" qui fournit des élément sur la façon d'aborder le marché
Pr. Chahir Zaki a, au cours de cette présentation, fait des commentaires généraux sur le thème du webinaire. Il a mis l'accent sur le contexte conjoncturel et les problèmes structurels auxquels font face les Etats africains.
Guide des investissements industriels au Maroc - IPCIkramJdid
Invest Partners Consulting - IPC Offre un pack accompagnement de bout en bout de vos projets d’investissement industriel :
- Des opportunités d’investissement industriels ou étude complète de votre idée de projets avec des études de marché, études sectorielles, Business case ... avec présence dans toutes les régions du Maroc.
- Conseil en montage financier, fiscal, juridique, logistique, foncier de vos projets d’investissement industriels et suivi des dossiers
- Accompagnement en installation definitif de votre projet: Hospitality pour vos équipes, recrutement avec sourcing local, national et international
- Conseil et accompagnement en croissance commerciale en afrique avec nos experts africains installés dans Zlecaf 54 pays africains
7e édition du panorama Top 250 des éditeurs de logiciels françaisEY
Les excellentes performances des éditeurs de logiciels français observées au cours de ces dernières années ne font que se confirmer : l’année 2016, malgré une croissance plus modérée qu’en 2015, démontre encore un fort dynamisme de l’écosystème et des performances remarquables avec une croissance de 12 % (16 % en 2015).
Plus d'infos : ey.com/FR/top250
6e édition du panorama Top 250 des éditeurs de logiciels françaisEY
Mesurée en chiffre d’affaires, la croissance du secteur des éditeurs et créateurs de logiciels confirme une excellente dynamique, avec des taux de croissance annuels à deux chiffres, sur deux périodes consécutives.
Les assises de cette croissance se consolident : tous les éditeurs, quelle que soit leur taille, y contribuent.
Plus d'infos : ey.com/FR/TOP250
L’Afrique est un continent immense aux possibilités infinies, aux ressources insoupçonnées et aux aspects humains
emballants. Avec l’un des taux de retour sur l’investissement le plus élevé au monde, l’Afrique devient de
plus en plus la destination d’affaires incontournable pour les Canadiens visionnaires. Toutefois, ses particularités
qui lui sont propres peuvent représenter un défi pour les entrepreneurs débutants et même les plus expérimentés.
Loin de nous l’idée d’épuiser le sujet en moins de 100 pages car cela serait réducteur, il est toutefois de notre
devoir, au Conseil Canadien pour l’Afrique, de sensibiliser les entreprises et organisations canadiennes à l’opportunité
africaine, permettant ainsi notre contribution au développement social et économique sur le continent. De
ce fait, le Conseil Canadien pour l’Afrique se permet de vous remettre ce guide pour faciliter vos premiers pas et
surtout réduire votre courbe d’apprentissage pour pénétrer ces nouveaux marchés. Nous souhaitons votre réussite
et la circulation d’une image de marque canadienne parmi nos confrères africains.
Rencontres eAtlas FAO, Cotonou 2011 / Session introductive 1 : Questions vives de la recherche sur les problématiques TIC/Sociétés/ Territoires. Communication de Stanislas AVALLA, CEFRED / Université d'Abomey-Calavi
Dans sa présentation, Pr Malick Sané a fait des commentaires sur le Moniteur du Commerce Agricole en Afrique (AATM 2019) et discuté des potentiels effets de la COVID19, avant d'indiquer les conditions de succès du commerce agricole africain.
Afrique : nouvelles opportunités - nouveaux partenariats dans un continent en...CMSBFL
Pour vous permettre d'aborder ces marchés en disposant des bonnes clés, les experts de l'équipe Afrique de CMS Bureau Francis Lefebvre et leurs invités vous feront part de leurs expériences et commenteront les thèmes suivants :
panorama des économies africaines
les opportunités d'investissements dans les nouveaux secteurs
les nouvelles bases africaines pour travailler en Afrique : localisation dans les Unions économiques et douanières, les implantations au Maroc et à Maurice
les incidences de la baisse du prix des hydrocarbures et l'adaptation aux exigences de partenariat ou de contenu local en Algérie, en Angola et au Mozambique
les nouveaux partenaires financiers.
Conférence ABLC/PwC "E-Transforming Africa" (25/6/14)PwC France
http://bit.ly/E-TransformingAfrica
Conférence-débat organisée par l'ABLC (African Business Lawyers' Club).
Alors qu’elle a longtemps accusé un retard important en matière de NTICs (Nouvelles Technologies de l’Information et de Communication), l’Afrique connaît un véritable "boom technologique" qui bouleverse les usages mais aussi son rapport à l’innovation, à la diffusion du savoir et à la formation, et ouvre de nouvelles opportunités dans de nombreux secteurs.
Le dernier Briefing de Bruxelles sur le Développement sur le thème « Commerce régional en Afrique : moteurs de développement, tendances et opportunités » s’est tenu le vendredi 3 février 2017 (9h00-13h00) au sein du Secretariat ACP (451 Avenue Georges Henri, 1200 Bruxelles, salle C). Ce Briefing de Bruxelles a été organisé par le Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA) en collaboration avec l’IFPRI, la DG Développement et Coopération de la Commission européenne (CE/DG DEVCO), le secrétariat ACP, et la Confédération européenne des ONG d’urgence et de développement (Concord).
Les dispositifs de soutien Total Développement Régional
Les valeurs de Total Développement Régional
Les outils de Total Développement Régional :
- Aide financière sous forme prêts sans intérêts, sans garantie ni frais de dossier. Ils accompagnent la création et le développement d’entreprise ainsi que la reprise d’entreprise.
- Aide aux projets innovants
- Accompagnement des PME à l’export et à l’international
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1 | Références SALVEO pour le secteur en question
2 | "Etat du marché", qui récapitule les évolutions récentes du marché et son état actuel.
3 | "Approche du Marche" qui fournit des élément sur la façon d'aborder le marché
Pr. Chahir Zaki a, au cours de cette présentation, fait des commentaires généraux sur le thème du webinaire. Il a mis l'accent sur le contexte conjoncturel et les problèmes structurels auxquels font face les Etats africains.
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Les excellentes performances des éditeurs de logiciels français observées au cours de ces dernières années ne font que se confirmer : l’année 2016, malgré une croissance plus modérée qu’en 2015, démontre encore un fort dynamisme de l’écosystème et des performances remarquables avec une croissance de 12 % (16 % en 2015).
Plus d'infos : ey.com/FR/top250
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Mesurée en chiffre d’affaires, la croissance du secteur des éditeurs et créateurs de logiciels confirme une excellente dynamique, avec des taux de croissance annuels à deux chiffres, sur deux périodes consécutives.
Les assises de cette croissance se consolident : tous les éditeurs, quelle que soit leur taille, y contribuent.
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emballants. Avec l’un des taux de retour sur l’investissement le plus élevé au monde, l’Afrique devient de
plus en plus la destination d’affaires incontournable pour les Canadiens visionnaires. Toutefois, ses particularités
qui lui sont propres peuvent représenter un défi pour les entrepreneurs débutants et même les plus expérimentés.
Loin de nous l’idée d’épuiser le sujet en moins de 100 pages car cela serait réducteur, il est toutefois de notre
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les incidences de la baisse du prix des hydrocarbures et l'adaptation aux exigences de partenariat ou de contenu local en Algérie, en Angola et au Mozambique
les nouveaux partenaires financiers.
Conférence ABLC/PwC "E-Transforming Africa" (25/6/14)PwC France
http://bit.ly/E-TransformingAfrica
Conférence-débat organisée par l'ABLC (African Business Lawyers' Club).
Alors qu’elle a longtemps accusé un retard important en matière de NTICs (Nouvelles Technologies de l’Information et de Communication), l’Afrique connaît un véritable "boom technologique" qui bouleverse les usages mais aussi son rapport à l’innovation, à la diffusion du savoir et à la formation, et ouvre de nouvelles opportunités dans de nombreux secteurs.
Le dernier Briefing de Bruxelles sur le Développement sur le thème « Commerce régional en Afrique : moteurs de développement, tendances et opportunités » s’est tenu le vendredi 3 février 2017 (9h00-13h00) au sein du Secretariat ACP (451 Avenue Georges Henri, 1200 Bruxelles, salle C). Ce Briefing de Bruxelles a été organisé par le Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA) en collaboration avec l’IFPRI, la DG Développement et Coopération de la Commission européenne (CE/DG DEVCO), le secrétariat ACP, et la Confédération européenne des ONG d’urgence et de développement (Concord).
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- Accompagnement des PME à l’export et à l’international
Comment réindustrialiser la France et « sauver l’humanité » grâce à un club c...Nicolas Meilhan
Huit ans après la COP21, la transition énergétique est en panne sèche. Malgré les bonnes volontés, des normes de plus en plus sévères et des investissements pharaoniques dans les énergies renouvelables, nous échouons à décarboner l’économie mondiale. Huit ans après Le Bourget, l’Humanité persiste dans sa schizophrénie climatique. Alors que le réchauffement s’accélère en rythmant notre quotidien, la consommation mondiale de combustibles fossiles bat des records d’année en année.
Et le ciel continue de s’assombrir. Tandis que les pays émergents, Chine et Inde en tête, continuent de privilégier légitimement leur développement en augmentant significativement leur consommation de fossiles, une « bulle verte » est en train d’exploser en Europe. Eoliennes, panneaux solaires, hydrogène, voitures électriques et même Pompes à Chaleur tous les indicateurs sont dans le rouge vif. La faute notamment au prix des matières premières et aux taux d’intérêts qui ont érodé un peu plus la rentabilité déjà faible de projets verts.
Les politiques publiques aujourd’hui engagées nous dirigent vers le scénario SSP4 du GIEC correspondant à un réchauffement de 2,7° à l’horizon 2100. Un scénario principalement dans les mains des pays émergents. Comptant aujourd’hui pour 82% de la population mondiale, ils représenteront 90% des émissions à l’horizon 2050.
Face à cette situation il est impératif de changer de logiciel s’attaquant en priorité à l’électricité charbonnière (27% des émissions mondiales) concentrée à 93% dans un « club » de 14 pays produisant plus de 100 TWh/an. Parallèlement il faudrait constituer un « fonds climat » permettant d’aider les pays les plus pauvres à s’adapter aux conséquences du réchauffement dont 90% des victimes se situent dans les pays émergents.
Pour conjuguer les deux objectifs, nous proposons d’instaurer une taxe à l’importation égale à un quart du pourcentage électrique charbonnier sur les biens en provenance du « club des 14 ». Collectés par un organisme international, les fonds seraient ensuite redistribués aux pays les plus pauvres pour qu’ils puissent à la fois assurer leur transition et surtout s’adapter au réchauffement.
La méthode est triplement vertueuse. Renchérissant le prix des produits exportés, elle encouragerait le « Club 14 » à déplacer rapidement son électricité charbonnière vers des sources décarbonées, elle inciterait le consommateur à réorienter ses achats vers
des produits à empreinte carbone plus faible, elle permettrait aux pays les plus pauvres de financer massivement leurs projets d’atténuation et surtout d’adaptation indispensables à leur survie face au réchauffement climatique. Elle ne pourrait toutefois s’appliquer qu’avec un assentiment mondial voté au niveau de la Conférence des Parties.
Dans un marché du travail tendu, les demandeurs d'emploi acquièrent un pouvoir de négociation qui leur permet d'améliorer la qualité de leurs emplois — c'est du moins ce que l'on croit généralement.
Michael Willcox, économiste, CIMT, a présenté des résultats qui révèlent un affaiblissement de la relation entre le resserrement du marché du travail et les indicateurs de qualité de l'emploi à la suite de la pandémie. Le resserrement du marché du travail a coïncidé avec la croissance des salaires réels pour une partie seulement des travailleurs : ceux qui occupent des emplois peu rémunérés nécessitant peu d'éducation. Plusieurs facteurs — notamment la composition du marché du travail, le comportement des travailleurs et des employeurs, et les pratiques du marché du travail — ont contribué à l'absence d'avantages pour les travailleurs. Ces facteurs feront l'objet d'une étude plus approfondie dans le cadre de travaux futurs.
Les données d’offres d’emplois en ligne d'entreprises telles que Vicinity Jobs servent de plus en plus de complément aux sources traditionnelles de données sur la demande de main-d'œuvre, telles que les enquêtes sur les postes vacants et les salaires (EPVS). Ibrahim Abuallail, candidat au Ph. D., Université d’Ottawa, a présenté la recherche relative aux biais dans les offres d’emploi en ligne et une approche proposée pour rajuster efficacement les données de ces offres d’emploi afin de compléter les données officielles existantes (telles que celles des EPVS) et d'améliorer la mesure de la demande de main-d'œuvre.
Les offres d’emploi en ligne deviennent une ressource essentielle pour les décideurs et les chercheurs qui étudient le marché du travail. Le CIMT continue de travailler avec les données de Vicinity Jobs tirées des offres d’emploi en ligne, qui peuvent être analysées dans notre
tableau de bord des tendances de l'emploi au Canada. Notre analyse des données provenant des offres d’emploi en ligne a permis d'obtenir des informations précieuses, notamment le
récent rapport
de Suzanne Spiteri sur l'amélioration de la qualité et de l'accessibilité des offres d'emploi afin de réduire les obstacles à l'emploi pour les personnes neurodivergentes.
Les données de Vicinity Jobs englobent plus de trois millions d'offres d'emploi en ligne pour 2023 ainsi que des milliers de compétences. La plupart des compétences apparaissent dans moins de 0,02 % des offres d'emploi, de sorte que la plupart des offres reposent sur un petit sous-ensemble de termes couramment utilisés, comme le travail en équipe.
Laura Adkins-Hackett, économiste, CIMT, et Sukriti Trehan, scientifique de données, CIMT, ont présenté leurs recherches sur les tendances relatives aux compétences répertoriées dans les offres d’emploi en ligne afin de mieux comprendre les compétences les plus en demande. Ce projet de recherche utilise l'information mutuelle spécifique et d'autres méthodes pour extraire davantage d'informations sur les compétences communes à partir des relations entre les compétences, les professions et les régions.
La capacité de travailler en équipe est-elle vraiment importante ? Au-delà de...
Politiques Publiques pour la Transformation Productive en Afrique
1. UNION AFRICAINE
Mars 2019
Yaoundé, Cameroun
Réunions des Experts
Conférence Ministérielle
COMMISSION DE L’UNION
AFRICAINE
DEPARTEMENT DES AFFAIRES
ECONOMIQUES
QUELLES POLITIQUES PUBLIQUES POUR LA
TRANSFORMATION PRODUCTIVE EN AFRIQUE?
Dr. Ligane Massamba Jacques SENE,
Département des Affaires Economiques
2. Plan
Introduction
2
Contraintes à la transformation productive
4
Autour du concept de transformation productive
33
31
Stratégies pour la transformation
productive & conclusion
3. Source: CUA/OCDE, 2018
Forte croissance, une faible part dans la production
manufacturière mondiale, manque d’inclusion
4. • I
• L’Afrique n’a pas encore réalisé une transformation productive et continue
d’occuper une faible part dans la production manufacturière mondiale même
s’il est largement reconnu que le secteur manufacturier a un large potentiel de
création d’emplois et de croissance.
• Son modèle économique qui repose sur l’exportation de produits non-
transformés a fini de montrer ses limites.
• Ces grands enjeux de notre temps (la nouvelle révolution de la production, le
dividende démographique, la transition urbaine et l’expansion de la classe
moyenne, le renforcement du rôle des pays émergents, le changement
climatique), et quelques autres, vont influencer les trajectoires des pays
africains dans leur marche vers la transformation optimale de leur structure de
production.
• Nouvelle ère pour le continent avec la ZLECAf. Pour que cet accord soit efficace
et durable, l'Afrique doit diversifier sa production et ses exportations.
• La transformation productive et les politiques publiques y afférentes sont des
aspects fondamentaux du développement économique et constituent une
partie intégrante de l’agenda 2063 de l’Union africaine.
I. Introduction
5. • I
• La transformation productive est le processus par lequel les pays peuvent
améliorer leurs activités en devenant plus productifs dans un secteur donné ou
en réaffectant des ressources à de nouvelles activités.
• Elle se manifeste fondamentalement par
o La diversification vers de nouveaux produits et des activités à plus forte valeur
ajoutée;
o La modernisation technologique;
o La création d'emplois plus productifs et de meilleure qualité;
o Des modèles entraînant une hausse des salaires et
o Une réduction de la pauvreté.
I. Autour du concept de Transformation Productive
6. • Ces caractéristiques de la transformation productive n’ont pas été observées
en Afrique.
• Le secteur industriel en Afrique est encore au stade embryonnaire et ne
parvient pas à absorber l’excédent de main-d’œuvre.
• La transformation numérique émergente de l’Afrique avec la disponibilité de
technologies telles que la robotique, l’infonuagique, l’intelligence artificielle et
l’Internet haut débit offre aux entreprises africaines d’énormes possibilités de
créer de nouveaux biens et services, améliorer leur productivité et diversifier
leurs activités commerciales.
• Les entreprises privées sont les principaux moteurs de la transformation
productive de l’Afrique, car elles sont essentielles pour : créer des emplois,
offrir des biens et services compétitifs, mobiliser des recettes, stimuler
l’innovation et le progrès technique qui sont des moteurs importants du
développement économique et de la croissance de la productivité globale.
I. Autour du concept de Transformation Productive
7. 0
10
20
30
40
50
60
AFRIQUE
Agriculture
Industrie
Services
0
10
20
30
40
50
60
Afrique de l'Est
Agriculture
Industrie
Services
0
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20
30
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60
Afrique Central
Agriculture
Industrie
Services
0
10
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40
50
60
Afrique du Nord
Agriculture
Industrie
Services
0
10
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60
70
80
Afrique Australe
Agriculture
Industrie
Services
0
10
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30
40
50
60
70
Afrique de l'Ouest
Agriculture
Industrie
Services
o L’Agriculture a contribué à hauteur de 16 % en 2016, l’Industrie 28 % et les services à 56 %, en moyenne au niveau du
continent.
o Alors qu’on note une évolution stagnante voire baissière de la contribution de l’Agriculture et de l’Industrie, celle des Services
a augmenté au fil des années.
Dynamique des contributions sectorielles
8. 0
5
10
15
20
25
30
35
40
45
Produits
alimentaires
et animaux
vivants
Boissons et
tabacs
Matières
brutes non
comestibles,
sauf
carburants
Combustibles
minéraux,
lubrifiants et
produits
connexes
Huiles,
graisses et
cires
d'origine
animale ou
végétale
Produits
chimiques et
produits
connexes,
n.d.a.
Articles
manufacturés
Machines
et matériel
de transport
Articles
manufacturés
divers
Articles et
transactions,
n.d.a.
Afrique
Monde
Dynamique des contributions sectorielles
9. 0% 20% 40% 60% 80% 100%
1995-1999
2000-2004
2005-2009
2010-2014
2015-2017
Afrique
Afrique Amérique Asie Europe Océanie
0% 20% 40% 60% 80% 100%
1995-1999
2000-2004
2005-2009
2010-2014
2015-2017
Afrique de l'Est
Afrique Amérique Asie Europe Océanie
0% 20% 40% 60% 80% 100%
1995-1999
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2005-2009
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Afrique Centrale
Afrique Amérique Asie Europe Océanie
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1995-1999
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Afrique Australe
Afrique Amérique Asie Europe Océanie
0% 20% 40% 60% 80% 100%
1995-1999
2000-2004
2005-2009
2010-2014
2015-2017
Afrique du Nord
Afrique Amérique Asie Europe Océanie
0% 20% 40% 60% 80% 100%
1995-1999
2000-2004
2005-2009
2010-2014
2015-2017
Afrique de l'Ouest
Afrique Amérique Asie Europe Océanie
Destination des Exportations
10. Diversification: Concentration & variété
o On remarque une convergence de la variété des produits exportés entre les entités économiques du monde. Cependant, il
est observé une grande hétérogénéité entre les pays au sein de l’Afrique
o L’Angola, le Botswana, la Guinée-Bissau, le Tchad, le Nigeria et la Lybie sont les pays où les exportations sont les plus
concentrées sur un certain nombre de produits tandis que l’Afrique du Sud, la Tunisie, l’Egypte, Djibouti et le Maroc ont les
exportations les moins concentrées. Les Communautés économiques de la CEDEAO et l’ECCAS sont clairement celles ayant les
exportations les plus concentrées.
o Les pays les plus diversifiés sont donc ceux qui se trouvent sur le quadrant Sud-Est. On peut citer entre autres l’Afrique du
Sud, le Maroc, la Tunisie, l’Egypte, le Kenya etc.
11. Diversification: Similitude des exportations
Ces pays diversifiés (diapo précédente) ont une structure des exportations qui se rapproche le plus aussi de la
structure moyenne prévalant dans le monde et de celle des pays développées
12. o La région de l’Afrique du Nord et de l’Afrique de l’Est exportent en moyenne les produits les plus sophistiqués tandis que
l’Afrique centrale présente le niveau moyen de sophistication le plus faible.
o Les trois pays ayant les niveaux de complexité les plus élevées sont la Tunisie, l’Afrique du Sud et l’Egypte. La part des
exportations manufacturières dans ces pays est relativement élevée.
o Les pays de l’Afrique du Nord ont bénéficié de leur proximité avec l’Europe avec notamment la délocalisation de
quelques industries manufacturières. Cependant, des produits relativement peu sophistiqués dominent en général le
panier d’exportation de la zone (fils et câbles électriques, vêtements et huiles).
Complexité Economique en Afrique
13. o S’il apparait que les pays de l’Afrique du Nord ont les niveaux de complexité les plus élevés en
raison de la place qu’occupe l’industrie manufacturière dans les pays non-producteurs de
pétrole, il est évident que des efforts doivent être faits pour monter en gamme.
o La région a une faible part de produit high-tech dans ses exportations de produits
manufacturés.
0
5
10
15
20
25
30
Africa World OECD members Latin America &
Caribbean
South Asia East Asia & Pacific SSA-average
HTEC 2010-2014 HETC 2015-2018
4 4
3
6
4
3
8
2
11
4
-1
1
3
5
7
9
11
13
15
West Africa East Africa North Africa Central Africa Southern Africa
HTEC 2010-2014 HETC 2015-2018
Part des produits de haute technologie dans les
exportations de produits manufacturés
14. • La transformation productive et le processus d’industrialisation sont
lents sur le continent.
• Le manque d’innovation technique et de main-d’œuvre qualifiée, le
faible niveau d’intégration, les infrastructures peu développées et
des coûts de transactions élevés, faible accès à l’éléctricité, les
interventions publiques non-optimales, entre autres, ont une part de
responsabilité dans ce retard.
• L’ampleur de certains de ces défis est illustrée dans ce qui suit.
II. Les obstacles de la Transformation Productive
16. 0
0.5
1
1.5
2
2.5
3
3.5
4
Africa World OECD members Latin America &
Caribbean
South Asia East Asia & Pacific Sub-Saharan Africa
LPI 2010-2014 LPI 2015-2018
2.46 2.34
2.65
2.40
2.562.45 2.53 2.51
2.35
2.61
West Africa East Africa North Africa Central Africa Southern Africa
LPI 2010-2014 LPI 2015-2018
o L’efficience des services logistiques, appréhendée par l’Indice global de Performance Logistique demeure faible en Afrique par
rapport à l’Amérique Latine et les Caraïbes et ne s’est pratiquement pas améliorée entre 2010-2014 et 2015-2018.
o Dans certaines régions comme l’Afrique du Nord on observe même un petit recul. La Somalie, la Sierra Léone, la Guinée
Equatoriale et la Mauritanie ont les scores les plus faibles sur la période 2015-2018 tandis que l’Afrique du Sud, le Kenya, le
Botswana et l’Egypte ont les indices les plus élevés.
Logistique peu développée et coûts de transaction élevés
17. 0
20
40
60
80
100
Africa World OECD members Latin America &
Caribbean
South Asia East Asia & Pacific Sub-Saharan Africa
Access to electricity (% of population) Access to electricity, rural (% of rural population)
Access to electricity, urban (% of urban population)
42
48
90
44 43
23
38
83
28 25
69
74
97
67
72
0
10
20
30
40
50
60
70
80
90
100
West Africa East Africa North Africa Central Africa Southern Africa
Access to electricity (% of population) Access to electricity, rural (% of rural population)
Access to electricity, urban (% of urban population)
Faible accès à l’électricité
18. Contraintes Ouest Est Nord Centrale Australe Afrique
Finance 22,5 12,7 17,0 18,5 24,9 19,2
Electricité 26,5 15,7 9,1 26,8 10,9 18,6
Pratiques de l'informel 9,0 8,4 13,2 9,3 11,2 9,8
Instabilité Politique 5,5 7,9 24,6 10,1 7,6 9,4
Taux de taxation 9,3 10,5 5,5 6,7 7,0 8,3
Corruption 5,7 8,7 4,1 6,2 8,7 7,0
Crime, vols et désordre 2,7 6,5 6,2 3,5 4,9 4,7
Terre 2,9 4,7 1,9 3,7 7,5 4,4
Réglementations douanières et commerciales 4,0 4,8 3,0 4,9 3,4 4,1
Transports 4,0 4,8 3,7 2,9 2,8 3,7
Administration Taxes 4,2 4,0 2,1 3,3 3,1 3,5
Main-d'œuvre insuffisamment éduquée 1,7 4,2 5,4 1,9 3,2 3,1
Licences et permis d'affaires 1,0 4,5 2,4 1,1 2,4 2,4
Réglementation du travail 0,6 1,8 1,8 0,4 1,2 1,1
Des firmes soumises à des contraintes affectant leur dynamique de
développement, 2005-2017
19. o Dernière-née des initiatives porteuses de projets intégrateurs du continent, le processus de mise en place
de la zone de libre-échange continentale africaine constitue une grande opportunité pour la
transformation productive.
o Le niveau du commerce intra-communautaire est généralement moins élevé en Afrique que dans le reste
du monde.
o La part du commerce intra-africain dans le commerce total en Afrique est évaluée à 14.5% en moyenne sur
la période 2010-2015 et demeure très faible comparée aux autres régions économiques. Les pays de la
CAE (18.7% en moyenne sur 2010-2015) et la SADC (18.4%) sont ceux qui échangent le plus tandis que
ceux l’CEEAC (1.5%) et de l’UMA (3.4%) échangent le moins.
Faible niveau d’intégration
20. La stabilité politique
s'améliore, la lutte
contre la corruption,
l'amélioration du
cadre de gestion
macroéconomique et
de la gouvernance
Croissance économique des
années 2000 rapide par
rapport aux années 80-90 /
Optimisme sur les
perspectives de croissance
/Industrie 4.0/
Dividende démographique
Environnement
politique favorable
aux marchés,
amélioration du
climat des affaires,
efforts d'intégration
régionale et accords
commerciaux avec
d'autres régions
Nouvelles opportunités
pour
entreprises,
entrepreneurs et PME,
augmentant la
demande intérieure et
régionale
Urbanisation rapide
Des programmes
régionaux
complets
d'investissement
dans l'industrie,
l'agriculture,
l'énergie, les
infrastructures, le
tourisme etc.
o Promouvoir les investissements transfrontaliers pour le développement de projets régionaux et
continentaux dans les domaines de l'énergie, des eaux, des technologies de l'information et de
la communication, des chaînes de valeur, du commerce et des finances.
o Encourage les États membres à améliorer la cohérence des politiques pour une transformation
productive en harmonisant les politiques industrielles et commerciales et en les alignant sur les
initiatives régionales et continentales.
o Développer des réseaux régionaux de production et de distribution en investissant dans les
infrastructures et en renforçant l'efficacité des systèmes de gestion logistique afin d'assurer
plus de visibilité et de traçabilité des produits.
III. Stratégies de Transformation Productive
Renforcer l’intégration régionale
21. La stabilité politique
s'améliore, la lutte
contre la corruption,
l'amélioration du
cadre de gestion
macroéconomique et
de la gouvernance
Croissance économique des
années 2000 rapide par
rapport aux années 80-90 /
Optimisme sur les
perspectives de croissance
/Industrie 4.0/
Dividende démographique
Environnement
politique favorable
aux marchés,
amélioration du
climat des affaires,
efforts d'intégration
régionale et accords
commerciaux avec
d'autres régions
Nouvelles opportunités
pour
entreprises,
entrepreneurs et PME,
augmentant la
demande intérieure et
régionale
Urbanisation rapide
Des programmes
régionaux
complets
d'investissement
dans l'industrie,
l'agriculture,
l'énergie, les
infrastructures, le
tourisme etc.
o Encourager davantage la Commission, les CER et les États membres à promouvoir l'esprit
d’entrepreneuriat et faciliter l'accès aux services financiers et aux programmes de
développement des compétences.
o Inviter la Commission à procéder à une évaluation de la transformation productive en Afrique
et à mettre en place une plate-forme pour le partage d'expériences sur les stratégies de
transformation productive fructueuses mises en œuvre à l’intérieur et à l’extérieur du
continent afin de capitaliser sur les expériences passées et d'identifier les pôles de
compétitivité industriels prospères en Afrique.
o Encourager les États Membres à mettre en place des cadres juridiques et réglementaires et des
systèmes institutionnels plus efficaces pour soutenir les politiques publiques visant la
transformation productive.
III. Stratégies de Transformation Productive
Le secteur privé comme moteur de la transformation productive
22. La stabilité politique
s'améliore, la lutte
contre la corruption,
l'amélioration du
cadre de gestion
macroéconomique et
de la gouvernance
Croissance économique des
années 2000 rapide par
rapport aux années 80-90 /
Optimisme sur les
perspectives de croissance
/Industrie 4.0/
Dividende démographique
Environnement
politique favorable
aux marchés,
amélioration du
climat des affaires,
efforts d'intégration
régionale et accords
commerciaux avec
d'autres régions
Nouvelles opportunités
pour
entreprises,
entrepreneurs et PME,
augmentant la
demande intérieure et
régionale
Urbanisation rapide
Des programmes
régionaux
complets
d'investissement
dans l'industrie,
l'agriculture,
l'énergie, les
infrastructures, le
tourisme etc.
o Améliorer l’environnement des affaires pour attirer les IDE et pour l’épanouissement du
secteur manufacturier puis prôner des stratégies d’investissements responsables combinant les
atouts des investisseurs externes, nationaux et des producteurs locaux et se basant sur des
études de préfaisabilité.
o Améliorer la productivité, l’innovation et la compétitivité des entreprises dans tous les
secteurs: Développer une main-d’œuvre qualifiée et aligner les offres de formation aux besoins
des marchés; faciliter l’insertion réussie dans les chaines de valeur; faciliter l’accès au
financement; tirer profit de la révolution digitale; faciliter les gains de productivité en appuyant
davantage la mise en place de programmes assurant une meilleure couverture sanitaire
o Exhorter les États Membres à continuer de promouvoir un partenariat public-privé productif et
à trouver le juste équilibre entre financement par emprunt et par fonds propres afin de
garantir la stabilité des finances publiques et de créer des conditions macroéconomiques à la
mesure des objectifs à long terme pour une transformation productive durable.
III. Stratégies de Transformation Productive
Le secteur privé comme moteur de la transformation productive
Malgré sa très forte croissance, 4.6% observée entre 2000 et 2017
Et son rang de deuxième région la plus dynamique sur cette période
L’Afrique continue d’occuper une faible part dans la production manufacturière mondiale
Ces pays diversifiés (diapo précédente) ont une structure des exportations qui se rapproche le plus aussi de la structure moyenne prévalant dans le monde et de celle des pays développées
Les pays de l’Afrique centrale affichent une forte similarité dans leurs structures de production nationale (production des matières premières). Celle-ci réduit le potentiel des échanges entre les pays de la région et augmente la dépendance dans les exportations de matières premières
S’il est reconnu qu’il existe des acquis dans le domaine du commerce en dépit du niveau du commerce intra-africain encore faible, il est moins évident de trouver un consensus dans les autres dimensions de l’intégration (infrastructures, finances, énergie etc.)