encgdakhla, Le Troisième Congrès International sur l'Économie du Désert, Éco...Desert Development
La finalité du Congrès International sur l'Économie du Désert – Dakhla, est d'être une plateforme de recherche scientifique interdisciplinaire sur l'économie, le management, et le développent du désert (développement rural), du Sahara et des régions arides (zones arides, semi-arides, hyperarides, sèches, oasis et zones rurales éloignées), afin de contribuer efficacement dans la bonne gouvernance et le développement durable des régions désertiques, partout dans le monde, en passant par l'encouragement et la promotion des investissements dans le Sahara et les déserts, et en suscitant des rencontres entres toutes les parties prenantes à l’échelle mondiale: Universitaires, professionnels, décideurs politiques, société civile et les ONG, en vue de favoriser la coopération et le partenariat entre les pays désertiques : l’Afrique et les pays du Golfe (MENA et Sahel ...), les États-Unis d'Amérique, l'Australie, la Chine, l’Inde…, dans le but de valoriser et de promouvoir la connaissance du désert et les conclusions et recommandations des études et conférences qui y sont en relation, et de créer un environnement propice d’échange d’expériences, d’expertise, de formations, de pratiques pédagogiques et d'innovation, autour des thèmes relevant de l’économie du désert et du management des régions arides, tels que L'industrie et l’économie du tourisme et du voyage; L’agriculture, l'aquaculture et l’économie agricole (l’économie rurale); L'économie de l'eau; Les énergies renouvelables, l’économie de l'énergie et la gestion de l'énergie; Les mines et la gestion des ressources naturelles; Le transport et la logistique; La pêche maritime, l'économie de la mer et l'économie (bleue) océanique; La technologie et l’innovation; Les sports nautiques et loisirs, l'économie et la gestion du sport (management du sport); Le patrimoine culturel, matériel et immatériel; Conservation et gestion de la nature, de l'environnement, de la biodiversité et des zones humides… Ainsi chaque année une édition sera organisée. Outre le thème principal de cette troisième édition intitulée « Économie de l'Énergie entre Déserts et Océans», elle sera également consacrée à des questions générales relatives à l'économie et au management des régions arides, du Sahara et du désert et à leur développement durable.
A noter que cette troisième édition devait être organisée les 21 et 22 avril 2020, mais en raison de la situation pandémique actuelle liée au Covid-19 (Coronavirus), elle est reportée à l'année prochaine, pour les 20 et 21 Octobre 2021.
Le Congrès International sur l'Économie du Désert - Dakhla (ICDED) est co-organisé chaque année par l'École Nationale de Commerce et de Gestion (ENCG) de Dakhla-Maroc et le Conseil Régional de la région de Dakhla Oued Eddahab. Cette troisième édition se tiendra les 20 et 21 Octobre 2021 à Dakhla-Maroc.
Rapport synthetique journées études 10 11avril 2015Youssef Ouadijane
résultats des travaux des ateliers de travail sur la conservation des sols et lutte contre les inondations au Haut-Atlas oriental; organisés le 10 et 11 avril 2015 à Imilchil par l'Association Akhiam, dans le cadre de la mise en œuvre des objectifs et des recommandations de la soixante huitième Assemblée Générale de l'ONU (A/RES/68/232) qui a déclaré 2015 Année internationale des sols.
Le 22 mars 2017 a marqué la célébration de la Journée mondiale de l'eau sous le thème «eaux usées». Cette journée a réuni de nombreuses organisations à travers le monde pour prendre des mesures afin de s'attaquer à la crise de l'eau.
encgdakhla, Le Troisième Congrès International sur l'Économie du Désert, Éco...Desert Development
La finalité du Congrès International sur l'Économie du Désert – Dakhla, est d'être une plateforme de recherche scientifique interdisciplinaire sur l'économie, le management, et le développent du désert (développement rural), du Sahara et des régions arides (zones arides, semi-arides, hyperarides, sèches, oasis et zones rurales éloignées), afin de contribuer efficacement dans la bonne gouvernance et le développement durable des régions désertiques, partout dans le monde, en passant par l'encouragement et la promotion des investissements dans le Sahara et les déserts, et en suscitant des rencontres entres toutes les parties prenantes à l’échelle mondiale: Universitaires, professionnels, décideurs politiques, société civile et les ONG, en vue de favoriser la coopération et le partenariat entre les pays désertiques : l’Afrique et les pays du Golfe (MENA et Sahel ...), les États-Unis d'Amérique, l'Australie, la Chine, l’Inde…, dans le but de valoriser et de promouvoir la connaissance du désert et les conclusions et recommandations des études et conférences qui y sont en relation, et de créer un environnement propice d’échange d’expériences, d’expertise, de formations, de pratiques pédagogiques et d'innovation, autour des thèmes relevant de l’économie du désert et du management des régions arides, tels que L'industrie et l’économie du tourisme et du voyage; L’agriculture, l'aquaculture et l’économie agricole (l’économie rurale); L'économie de l'eau; Les énergies renouvelables, l’économie de l'énergie et la gestion de l'énergie; Les mines et la gestion des ressources naturelles; Le transport et la logistique; La pêche maritime, l'économie de la mer et l'économie (bleue) océanique; La technologie et l’innovation; Les sports nautiques et loisirs, l'économie et la gestion du sport (management du sport); Le patrimoine culturel, matériel et immatériel; Conservation et gestion de la nature, de l'environnement, de la biodiversité et des zones humides… Ainsi chaque année une édition sera organisée. Outre le thème principal de cette troisième édition intitulée « Économie de l'Énergie entre Déserts et Océans», elle sera également consacrée à des questions générales relatives à l'économie et au management des régions arides, du Sahara et du désert et à leur développement durable.
A noter que cette troisième édition devait être organisée les 21 et 22 avril 2020, mais en raison de la situation pandémique actuelle liée au Covid-19 (Coronavirus), elle est reportée à l'année prochaine, pour les 20 et 21 Octobre 2021.
Le Congrès International sur l'Économie du Désert - Dakhla (ICDED) est co-organisé chaque année par l'École Nationale de Commerce et de Gestion (ENCG) de Dakhla-Maroc et le Conseil Régional de la région de Dakhla Oued Eddahab. Cette troisième édition se tiendra les 20 et 21 Octobre 2021 à Dakhla-Maroc.
Rapport synthetique journées études 10 11avril 2015Youssef Ouadijane
résultats des travaux des ateliers de travail sur la conservation des sols et lutte contre les inondations au Haut-Atlas oriental; organisés le 10 et 11 avril 2015 à Imilchil par l'Association Akhiam, dans le cadre de la mise en œuvre des objectifs et des recommandations de la soixante huitième Assemblée Générale de l'ONU (A/RES/68/232) qui a déclaré 2015 Année internationale des sols.
Le 22 mars 2017 a marqué la célébration de la Journée mondiale de l'eau sous le thème «eaux usées». Cette journée a réuni de nombreuses organisations à travers le monde pour prendre des mesures afin de s'attaquer à la crise de l'eau.
Coopération internationale dans la recherche scientifique pour le développeme...Desert Development
La coopération internationale dans la recherche scientifique pour le développement du désert et des régions arides.
Dr. Elouali AAILAL.
Président et Fondateur du Congrès International sur l’Economie du Désert - Dakhla. Maroc.
Professeur à l'École Nationale de Commerce et de Gestion - Dakhla, ENCG Dakhla.
Président de l’Association « Desert Action » – Dakhla.
Le renforcement du travail de l'humanité en termes de la coopération en recherche scientifique sur les déserts, les zones arides et les terres sèches a au moins deux récompenses assez significatives. Le premier bénéfice est lié à notre quête d'exploration, d'exploitation (mines et matières premières) et de colonisation de l'espace extra-atmosphérique, donc à notre avenir à moyen et long terme. Le deuxième intérêt est étroitement lié aux préoccupations les plus urgentes auxquelles nous sommes actuellement confrontés sur Terre.
Dans le but d'augmenter les chances d'une implantation humaine réussie dans l'espace extérieur de la Terre, et en raison du coût insupportable d'une véritable expérimentation dans cet espace extra-atmosphérique, il convient de bien connaître et d'étudier nos déserts terrestres. En fait, jusqu'à présent, les planètes explorées sont des déserts, espérons que ce ne sera pas toujours le cas, mais ces planètes correspondent à la définition des zones arides. Compte tenu des ressemblances entre les déserts terrestres et les déserts de l'espace extra-atmosphérique, les simulations spatiales sur les déserts de la Terre sont raisonnablement abordables, économiquement parlant. Non seulement devons-nous élargir la recherche scientifique et technologique sur les déserts pour être prêts à faire de même dans l'espace, mais nous aurons également la tâche d'approfondir la recherche sur l'économie du désert, sa richesse, ses ressources et son mode de gestion. Car il s'agit d'un raccourci précieux pour comprendre ce que pourraient être l'industrie spatiale et l'économie de l'espace. En effet, plusieurs activités liées à l'économie de l'espace ont déjà démarré, comme le tourisme spatial et les opérations économiques attribuées aux stations spatiales (centres de lancement, stations désertiques d'expérimentation et de simulation...).
Un pas de géant potentiel dans le sens de l'exploration et la conquête de l'espace extra-atmosphérique et de l'exploitation de ses ressources pourrait nous amener à revoir les postulats et les hypothèses les plus évidentes et triviales sur lesquels reposent nos systèmes économiques et pourrait même conduire à les bouleverser. Par exemple, quelle serait notre réaction vis-à-vis du concept de la rareté si nous tombions sur une planète massive constituée en grande partie d'un des minéraux que nous considérons comme rares sur Terre (l'or, par exemple)? Quelles sont les transformations les plus extraordinaires et les plus provocantes qui pourraient survenir dans nos économies si un tel scénario devenait réalité ?
Dans un contexte international marqué par une
Publications: L'Afrique au rendez-vous de la COP 21; une approche en six poin...Africa Cheetah Run
Le réchauffement climatique, également appelé changement climatique, est l'augmentation observée de l'échelle du siècle dans la température moyenne du système climatique de la Terre et ses effets connexes. Plusieurs lignes de preuves scientifiques montrent que le système climatique se réchauffe.
La note de décryptage actualisée du Réseau Climat & Développement sur l'adaptation au changement climatique et les pertes et dommages.
Note préparée par Abdoul Madjidi Moutari.
Quels défis l'accord de Paris doit-il relever pour répondre aux besoins des p...rac_marion
Les prochaines négociations internationales sur le climat (COP21) se tiendront du 30 novembre au 11 décembre 2015 à Paris en France. Le sommet de Paris sera déterminant car il doit aboutir à un accord international sur le climat qui préservera des chances de contenir le réchauffement global en deçà de 2°C d’ici 2100. Pour le Réseau Climat & Développement, ce sommet doit répondre au double défi de la lutte contre les changements climatiques et contre la pauvreté dans les pays les plus affectés par ces derniers. Le RC&D appelle à un accord qui :
- Protège et renforce les droits humains et l’égalité des genres
- Finance la lutte contre les changements climatiques dans les pays les plus pauvres et les plus vulnérables
- Investit massivement dans l’accès aux services énergétiques durables pour tous
- Permet aux populations les plus vulnérables de faire face aux impacts des changements climatiques
- Préserve la sécurité alimentaire et le climat en investissant massivement dans l’agriculture familiale et agro-écologique.
Découvrez dans la dernière publication du RC&D "Quels défis l'accord de paris doit-il relever pour répondre aux besoins des populations africaines ?" les enjeux majeurs liés au climat pour la société civile africaine et les recommandations politique qu'elle propose.
Chers lecteurs et partenaires, il y a de cela trois ans, un groupe formé de volontaires, expertsen Communication et Action Publique Internationales, acceptait se mettre en synergie,
dans l’optique de donner naissance au Centre pour la Communication et le Développement
Durable pour Tous(CECOSDA). Ce faisant, nous avions l’intime conviction qu’il importait
d’agir pour la protection de l’environnement. Cet objectif nous semblait davantage pertinent,
eu égard au contexte de plus en plus orienté, de façon inexorable, vers les Objectifs pour le
Développement Durable.
La création du CECOSDA s’inscrit dans l’objectif ultime de construction d’un monde et plus
particulièrement d’une Afrique durable, prête à répondre aux besoins de développement
contemporains et futurs. Le présent rapport qui fait état des réalisations et des résultats atteints par le CECOSDA au cours de l’année 2014 témoigne du dynamisme de l’organisation
dans la lutte pour la construction d’un Cameroun plus durable.
Nous sommes nourris de la conviction selon laquelle, la communication sur le développement durable, l’amélioration de la sensibilisation à la protection de l’environnement, sont de
nature à encourager la remise en question des manières de penser et d’agir le développement
durable chez le grand-public. Non seulement pour la protection de l’environnement et des
ressources naturelles, mais également pour la préservation des ressources en eau et à la sé-
curité alimentaire pour tous.
L’année à venir nous permettra, certainement avec votre appui à tous, d’achever notre processus de structuration d’une part, mais davantage de renforcer et consolider nos secteurs
d’intervention prioritaires, afi de faire de la communication sur le développement durable
un lieu commun de la majorité des axes de développement au Cameroun
Durablement votre.
Coopération internationale dans la recherche scientifique pour le développeme...Desert Development
La coopération internationale dans la recherche scientifique pour le développement du désert et des régions arides.
Dr. Elouali AAILAL.
Président et Fondateur du Congrès International sur l’Economie du Désert - Dakhla. Maroc.
Professeur à l'École Nationale de Commerce et de Gestion - Dakhla, ENCG Dakhla.
Président de l’Association « Desert Action » – Dakhla.
Le renforcement du travail de l'humanité en termes de la coopération en recherche scientifique sur les déserts, les zones arides et les terres sèches a au moins deux récompenses assez significatives. Le premier bénéfice est lié à notre quête d'exploration, d'exploitation (mines et matières premières) et de colonisation de l'espace extra-atmosphérique, donc à notre avenir à moyen et long terme. Le deuxième intérêt est étroitement lié aux préoccupations les plus urgentes auxquelles nous sommes actuellement confrontés sur Terre.
Dans le but d'augmenter les chances d'une implantation humaine réussie dans l'espace extérieur de la Terre, et en raison du coût insupportable d'une véritable expérimentation dans cet espace extra-atmosphérique, il convient de bien connaître et d'étudier nos déserts terrestres. En fait, jusqu'à présent, les planètes explorées sont des déserts, espérons que ce ne sera pas toujours le cas, mais ces planètes correspondent à la définition des zones arides. Compte tenu des ressemblances entre les déserts terrestres et les déserts de l'espace extra-atmosphérique, les simulations spatiales sur les déserts de la Terre sont raisonnablement abordables, économiquement parlant. Non seulement devons-nous élargir la recherche scientifique et technologique sur les déserts pour être prêts à faire de même dans l'espace, mais nous aurons également la tâche d'approfondir la recherche sur l'économie du désert, sa richesse, ses ressources et son mode de gestion. Car il s'agit d'un raccourci précieux pour comprendre ce que pourraient être l'industrie spatiale et l'économie de l'espace. En effet, plusieurs activités liées à l'économie de l'espace ont déjà démarré, comme le tourisme spatial et les opérations économiques attribuées aux stations spatiales (centres de lancement, stations désertiques d'expérimentation et de simulation...).
Un pas de géant potentiel dans le sens de l'exploration et la conquête de l'espace extra-atmosphérique et de l'exploitation de ses ressources pourrait nous amener à revoir les postulats et les hypothèses les plus évidentes et triviales sur lesquels reposent nos systèmes économiques et pourrait même conduire à les bouleverser. Par exemple, quelle serait notre réaction vis-à-vis du concept de la rareté si nous tombions sur une planète massive constituée en grande partie d'un des minéraux que nous considérons comme rares sur Terre (l'or, par exemple)? Quelles sont les transformations les plus extraordinaires et les plus provocantes qui pourraient survenir dans nos économies si un tel scénario devenait réalité ?
Dans un contexte international marqué par une
Publications: L'Afrique au rendez-vous de la COP 21; une approche en six poin...Africa Cheetah Run
Le réchauffement climatique, également appelé changement climatique, est l'augmentation observée de l'échelle du siècle dans la température moyenne du système climatique de la Terre et ses effets connexes. Plusieurs lignes de preuves scientifiques montrent que le système climatique se réchauffe.
La note de décryptage actualisée du Réseau Climat & Développement sur l'adaptation au changement climatique et les pertes et dommages.
Note préparée par Abdoul Madjidi Moutari.
Quels défis l'accord de Paris doit-il relever pour répondre aux besoins des p...rac_marion
Les prochaines négociations internationales sur le climat (COP21) se tiendront du 30 novembre au 11 décembre 2015 à Paris en France. Le sommet de Paris sera déterminant car il doit aboutir à un accord international sur le climat qui préservera des chances de contenir le réchauffement global en deçà de 2°C d’ici 2100. Pour le Réseau Climat & Développement, ce sommet doit répondre au double défi de la lutte contre les changements climatiques et contre la pauvreté dans les pays les plus affectés par ces derniers. Le RC&D appelle à un accord qui :
- Protège et renforce les droits humains et l’égalité des genres
- Finance la lutte contre les changements climatiques dans les pays les plus pauvres et les plus vulnérables
- Investit massivement dans l’accès aux services énergétiques durables pour tous
- Permet aux populations les plus vulnérables de faire face aux impacts des changements climatiques
- Préserve la sécurité alimentaire et le climat en investissant massivement dans l’agriculture familiale et agro-écologique.
Découvrez dans la dernière publication du RC&D "Quels défis l'accord de paris doit-il relever pour répondre aux besoins des populations africaines ?" les enjeux majeurs liés au climat pour la société civile africaine et les recommandations politique qu'elle propose.
Chers lecteurs et partenaires, il y a de cela trois ans, un groupe formé de volontaires, expertsen Communication et Action Publique Internationales, acceptait se mettre en synergie,
dans l’optique de donner naissance au Centre pour la Communication et le Développement
Durable pour Tous(CECOSDA). Ce faisant, nous avions l’intime conviction qu’il importait
d’agir pour la protection de l’environnement. Cet objectif nous semblait davantage pertinent,
eu égard au contexte de plus en plus orienté, de façon inexorable, vers les Objectifs pour le
Développement Durable.
La création du CECOSDA s’inscrit dans l’objectif ultime de construction d’un monde et plus
particulièrement d’une Afrique durable, prête à répondre aux besoins de développement
contemporains et futurs. Le présent rapport qui fait état des réalisations et des résultats atteints par le CECOSDA au cours de l’année 2014 témoigne du dynamisme de l’organisation
dans la lutte pour la construction d’un Cameroun plus durable.
Nous sommes nourris de la conviction selon laquelle, la communication sur le développement durable, l’amélioration de la sensibilisation à la protection de l’environnement, sont de
nature à encourager la remise en question des manières de penser et d’agir le développement
durable chez le grand-public. Non seulement pour la protection de l’environnement et des
ressources naturelles, mais également pour la préservation des ressources en eau et à la sé-
curité alimentaire pour tous.
L’année à venir nous permettra, certainement avec votre appui à tous, d’achever notre processus de structuration d’une part, mais davantage de renforcer et consolider nos secteurs
d’intervention prioritaires, afi de faire de la communication sur le développement durable
un lieu commun de la majorité des axes de développement au Cameroun
Durablement votre.
1. Rapport d’atelier Final du Programme de la Croix-Rouge sénégalaise – ANACIM – NFP
Date : 20-21 Novembre 2012 à l’hôtel Sakhamo, Dakar, Sénégal
Thème : Echange humanitaire pilote de science du climat : Etude de cas expérimentale du
Sénégal et Kenya
Dans le but de garantir la sécurité alimentaire à l’échelle planétaire, principalement dans les pays
du Tiers-Monde, un projet de renforcement des capacités en matière de transmission des
informations climatiques et météorologiques aux populations a été mis sur pied. Et Kaffrine a été
désigné pour dérouler le projet pilote, en s’appuyant sur le modèle du Kenya où un protocole
d’accord a été signé entre le département météorologique du Kenya, Christian Aid et ses
partenaires de projet, fournissant des prévisions saisonnières, mensuelles et hebdomadaires aux
groupes d’agriculteurs de Mbeere.
Les partenaires de l’échange de cette atelier sont : Croix-Rouge du Sénégal, Agence nationale
sénégalaise pour l’aviation civile et la météorologie (ANACIM), Université du Sussex, UK Met
Office, Université de Liverpool et Programme Humanitaire Futures, King’s College de Londres.
Cet avant projet pilote à regrouper plusieurs structures du pays notamment, le CSE, l’ISRA,
ENCAR, l’ANAMS etc.
Plusieurs points ont été abordés lors de cet atelier, notamment l’importance de la diffusion des
informations climatiques et météorologiques. Elle permettra non seulement d’accroître la
production agricoles, mais surtout d’éviter le pire c’est-à-dire les excès d’eau (inondation,
hydromorphie de surface) ou d’insuffisance (poche de sécheresse). C’est pour cette raison que, la
Croix-Rouge et ces partenaires ont travaillé avec les communautés exposées aux risques
d’inondation et de sécheresse à surmonter les obstacles afin de soutenir un dialogue plus efficace
entre scientifiques du climat, communautés vulnérables et organisations humanitaires et de
développement. Cette étude a été en mesure de :
Renforcer l’accès aux décideurs de la communauté et des responsables politiques aux
sources pertinentes d’informations climatiques.
Démontrer la capacité des informations météorologiques et climatiques à mieux
informer les processus de prise de décision des moyens d’existences à des périodes
2. différentes au sein des communautés vulnérables à la variabilité et au changement
climatiques.
Améliorer la compréhension par les scientifiques du climat des besoins climatiques
pour les plus exposés aux risques.
Identifier les façons dont la recherche climatique actuelle et future pourrait mieux
soutenir la survie de la communauté face aux aléas climatiques.
De créer un apprentissage soutenu et transmissible.
Au terme de cet atelier tous les partenaires et structures ayant pris part à ce débat d’idées et
d’échanges, s’engagent dès à présent à se mettre à la tâche dans le souci du bien être des
populations du monde rural et promouvoir le développement du secteur agricole qui est une
composante essentielle de l’économie du pays.