Nous vous proposons ce mois-ci un focus sur des avancées technologiques qui offrent des perspectives intéressantes
pour les systèmes énergétiques de demain.
Avec la démocratisation des objets connectés, l’Internet of Things trouve toujours plus d’applications. Nous mettons
en avant dans ce numéro la façon dont cette technologie peut se mettre au service de l’efficacité énergétique.
Nous vous proposons également de revenir sur la découverte récente d’un laboratoire du MIT, où des chercheurs
ont réussi à dépasser le rendement théorique des cellules photovoltaïques. Autre technologie d’avenir,
l’hydrogène tient une place centrale dans ce numéro. Dans cet article, vous découvrirez le rôle important que ce
gaz pourrait avoir dans la transition énergétique.
Nous consacrons également quelques pages aux énergies conventionnelles avec un zoom sur l’industrie offshore
oil & gas.
Enfin, dans ce numéro, c’est au tour du programme énergétique de la candidate frontiste Marine Le Pen d’être
présenté.
Sans oublier un petit clin d’oeil aux élèves qui se sont distingués au concours CNF CIGRE en février.
Bonne lecture !
Revue de presse IOT/ data du 03/12/2016Romain Bochet
Premier exemplaire d'une revue de presse IOT que j'essaie de mettre en place sur les sujets au croisement de l'IoT/data/énergie.
Je suis preneur d'infos et de sources en plus !
Insight #6 - édition Afrique - juin 2017FINERGREEN
Ce sixième insight se tourne vers le continent africain et offre une analyse de l’électrification rurale de l’Afrique, en se penchant notamment sur les systèmes solaire individuels en Pay As You Go. Nate Heller, Co-fondateur et Directeur des Opérations de PEG et Mark Roesink, Directeur des Investissements Energies Renouvelables d’Oikocredit ont répondu à nos questions pour approfondir le sujet.
Une Communaute d'Energie sur le parc des Hauts-Sarts - 02/04/2021Cluster TWEED
Webinaire relatif au projet de communauté d'énergie sur le parc des Hauts-Sarts du 2 avril 2021. Orateurs : TWEED, Resa, Engie, Université de Liège, Klinkenberg, SPI.
Nous vous proposons ce mois-ci un focus sur des avancées technologiques qui offrent des perspectives intéressantes
pour les systèmes énergétiques de demain.
Avec la démocratisation des objets connectés, l’Internet of Things trouve toujours plus d’applications. Nous mettons
en avant dans ce numéro la façon dont cette technologie peut se mettre au service de l’efficacité énergétique.
Nous vous proposons également de revenir sur la découverte récente d’un laboratoire du MIT, où des chercheurs
ont réussi à dépasser le rendement théorique des cellules photovoltaïques. Autre technologie d’avenir,
l’hydrogène tient une place centrale dans ce numéro. Dans cet article, vous découvrirez le rôle important que ce
gaz pourrait avoir dans la transition énergétique.
Nous consacrons également quelques pages aux énergies conventionnelles avec un zoom sur l’industrie offshore
oil & gas.
Enfin, dans ce numéro, c’est au tour du programme énergétique de la candidate frontiste Marine Le Pen d’être
présenté.
Sans oublier un petit clin d’oeil aux élèves qui se sont distingués au concours CNF CIGRE en février.
Bonne lecture !
Revue de presse IOT/ data du 03/12/2016Romain Bochet
Premier exemplaire d'une revue de presse IOT que j'essaie de mettre en place sur les sujets au croisement de l'IoT/data/énergie.
Je suis preneur d'infos et de sources en plus !
Insight #6 - édition Afrique - juin 2017FINERGREEN
Ce sixième insight se tourne vers le continent africain et offre une analyse de l’électrification rurale de l’Afrique, en se penchant notamment sur les systèmes solaire individuels en Pay As You Go. Nate Heller, Co-fondateur et Directeur des Opérations de PEG et Mark Roesink, Directeur des Investissements Energies Renouvelables d’Oikocredit ont répondu à nos questions pour approfondir le sujet.
Une Communaute d'Energie sur le parc des Hauts-Sarts - 02/04/2021Cluster TWEED
Webinaire relatif au projet de communauté d'énergie sur le parc des Hauts-Sarts du 2 avril 2021. Orateurs : TWEED, Resa, Engie, Université de Liège, Klinkenberg, SPI.
De la I.A. la calcul paralel, pentru un univers cibernetic mai sigurCostin Raiu
De la I.A. la calcul paralel, pentru un univers cibernetic mai sigur. Prezentare tinuta la UPB, Facultatea de Automatica si calculatoare pe 27 Feb 2010.
Vie à Lasne 139 de mars 2016 partie 1 de 2 comlasne
Vous n'avez pas reçu le dernier numéro du bulletin communal?
Le numéro 139 du trimestriel communal est consultable ici. Ne manquez pas le point sur les travaux
Vie à Lasne 139 de mars 2016 partie 2 de 2comlasne
Vous n'avez pas reçu le dernier numéro du bulletin communal?
Le numéro 139 du trimestriel communal est consultable ici. Ne manquez pas le point sur les travaux
This is a presentation from Cimeon Ellerton, Head of Programmes at The Audience Agency, delivered at Nordic Grammy Award Conference in Oslo on 29 January 2015.
Dossier de presse
Face aux enjeux d’une société de plus en plus digitalisée et de plus en plus dépendante des services numériques, et indépendamment des bénéfices environnementaux que certains de ces services numériques peuvent fournir, l’ADEME souhaite alerter sur les impacts environnementaux négatifs du numérique et identifier les leviers pour les réduire.
En ce début d’été, l’actualité du monde de l’énergie aura été plus calme que celle du sport. Désormais championne du monde du ballon rond, la France renoue avec un sentiment de fierté tant jalousé à nos pays voisins. Comme un heureux épilogue à la volonté présidentielle de (re-)mettre la France sur le devant de la scène internationale, la deuxième étoile des bleus donne une publicité bienvenue à un pays qui se veut leader sur de nombreux combats. La question Climatique bénéficiera-t-elle de cette aura ?
Le capitaine à la barre, Nicolas Hulot, ne manque pas de soutien ni d’initiative avec les plans solaire, hydrogène et biodiversité, mais peut-il compter sur le même réalisme que Didier Deschamps avec des joueurs presque tous au sommet de leur carrière ? Ce nouveau numéro vous permettra de vous faire une idée assez complète grâce à une revue des mécanismes de soutien aux énergies renouvelables et un panorama des filières biogaz et photovoltaïque.
Enfin, vous retrouverez deux thèmes trop souvent laissés sur le banc de touche des politiques environnementales : l’eau et l’agriculture. Des enjeux majeurs qui montrent que la route est encore longue avant de crier victoire sur des champs dépollués.
L’ensemble du mastère OSE vous souhaite un excellent été et une agréable lecture.
Louis POLLEUX
La technologie des smart grids - Fabien HegoburuFabien Hegoburu
Introduction rapide au technologie des smart grids.
Dans quelle mesure la technologie Smart Grid peut-elle replacer le consommateur au centre du dialogue économique et écologique?
Projets de la transition énergétique : états des lieux | TWEED - 25 avril 2019Cluster TWEED
Evénement de conférences permettant de faire le point sur les projets actuels et futurs en transition énergétique. Nombreux orateurs & projets : Brugel (cadre légal ACC – RBC), Cabinet Crucke (cadre légal ACC – RW), Cenaero & Multitel (projet Wal-E-Cities), CMI (projet Copernic), Desimone (projet Accutherm), Flux50 (zoom Flandre), ORES & Elia (projet Internet of Energy), Pôle Medee & Art et Métiers (projet ZAV Saint-Sauveur), Powerdale (projet EM2), Th!nk E (projet Rolecs), TWEED (mapping projets & memorandum), UTC (projet Mobel_City).
SOREA Mag' n°5 - La newsletter électrique - Novembre 2017SOREA
Le Soréa Mag' vous informe des actualités et innovations du secteur de l’électricité et des énergies renouvelables.
SOREA (SOciété des Régies de l'Arc) regroupe 8 régies communales d'électricité en Savoie (Vallée de la Maurienne), c'est un acteur régional de la transition énergétique et digitale.
Son savoir-faire historique de gestion du réseau de distribution électrique l'a conduit à se développer dans la production d'électricité à base d'énergie renouvelables (hydraulique, solaire, biomasse) et par extension sur les communications électroniques via sa filiale Fibréa.
Depuis 2015, elle permet également aux entreprises et collectivités de se fournir en électricité avec les offres de marché (Electricité de Savoie) et de réaliser des économies sur l'éclairage grâce à Idwatt (Solution d'éclairage LED).
Au sommaire de ce nouveau numéro :
* Les réseaux électriques de demain
* Les primes à l'achat de véhicules électriques et hybrides
* Les hydroliennes
Compte-rendu conférence "Green Economy : Objets Connectés et Opportunités cré...IE-Club
L’IE-Club, en partenariat avec le Club Cleantech AFIC, Clean Tuesday et l'Echangeur PME, a tenu le 09/04/2014 la cinquième édition de son évènement : « Green Economy : Objets Connectés et Opportunités créées par les Cleantech »
L’objectif de cette 5ème édition est de mettre en avant la grande capacité d’ Innovation et d’ Exécution des sociétés en développement et matures de cet écosystème. A l’occasion de cet évènement nous ferons un focus sur les objets connectés et, de façon générale, les opportunités créées par les entreprises des
« cleantech
De la I.A. la calcul paralel, pentru un univers cibernetic mai sigurCostin Raiu
De la I.A. la calcul paralel, pentru un univers cibernetic mai sigur. Prezentare tinuta la UPB, Facultatea de Automatica si calculatoare pe 27 Feb 2010.
Vie à Lasne 139 de mars 2016 partie 1 de 2 comlasne
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Vie à Lasne 139 de mars 2016 partie 2 de 2comlasne
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Le numéro 139 du trimestriel communal est consultable ici. Ne manquez pas le point sur les travaux
This is a presentation from Cimeon Ellerton, Head of Programmes at The Audience Agency, delivered at Nordic Grammy Award Conference in Oslo on 29 January 2015.
Dossier de presse
Face aux enjeux d’une société de plus en plus digitalisée et de plus en plus dépendante des services numériques, et indépendamment des bénéfices environnementaux que certains de ces services numériques peuvent fournir, l’ADEME souhaite alerter sur les impacts environnementaux négatifs du numérique et identifier les leviers pour les réduire.
En ce début d’été, l’actualité du monde de l’énergie aura été plus calme que celle du sport. Désormais championne du monde du ballon rond, la France renoue avec un sentiment de fierté tant jalousé à nos pays voisins. Comme un heureux épilogue à la volonté présidentielle de (re-)mettre la France sur le devant de la scène internationale, la deuxième étoile des bleus donne une publicité bienvenue à un pays qui se veut leader sur de nombreux combats. La question Climatique bénéficiera-t-elle de cette aura ?
Le capitaine à la barre, Nicolas Hulot, ne manque pas de soutien ni d’initiative avec les plans solaire, hydrogène et biodiversité, mais peut-il compter sur le même réalisme que Didier Deschamps avec des joueurs presque tous au sommet de leur carrière ? Ce nouveau numéro vous permettra de vous faire une idée assez complète grâce à une revue des mécanismes de soutien aux énergies renouvelables et un panorama des filières biogaz et photovoltaïque.
Enfin, vous retrouverez deux thèmes trop souvent laissés sur le banc de touche des politiques environnementales : l’eau et l’agriculture. Des enjeux majeurs qui montrent que la route est encore longue avant de crier victoire sur des champs dépollués.
L’ensemble du mastère OSE vous souhaite un excellent été et une agréable lecture.
Louis POLLEUX
La technologie des smart grids - Fabien HegoburuFabien Hegoburu
Introduction rapide au technologie des smart grids.
Dans quelle mesure la technologie Smart Grid peut-elle replacer le consommateur au centre du dialogue économique et écologique?
Projets de la transition énergétique : états des lieux | TWEED - 25 avril 2019Cluster TWEED
Evénement de conférences permettant de faire le point sur les projets actuels et futurs en transition énergétique. Nombreux orateurs & projets : Brugel (cadre légal ACC – RBC), Cabinet Crucke (cadre légal ACC – RW), Cenaero & Multitel (projet Wal-E-Cities), CMI (projet Copernic), Desimone (projet Accutherm), Flux50 (zoom Flandre), ORES & Elia (projet Internet of Energy), Pôle Medee & Art et Métiers (projet ZAV Saint-Sauveur), Powerdale (projet EM2), Th!nk E (projet Rolecs), TWEED (mapping projets & memorandum), UTC (projet Mobel_City).
SOREA Mag' n°5 - La newsletter électrique - Novembre 2017SOREA
Le Soréa Mag' vous informe des actualités et innovations du secteur de l’électricité et des énergies renouvelables.
SOREA (SOciété des Régies de l'Arc) regroupe 8 régies communales d'électricité en Savoie (Vallée de la Maurienne), c'est un acteur régional de la transition énergétique et digitale.
Son savoir-faire historique de gestion du réseau de distribution électrique l'a conduit à se développer dans la production d'électricité à base d'énergie renouvelables (hydraulique, solaire, biomasse) et par extension sur les communications électroniques via sa filiale Fibréa.
Depuis 2015, elle permet également aux entreprises et collectivités de se fournir en électricité avec les offres de marché (Electricité de Savoie) et de réaliser des économies sur l'éclairage grâce à Idwatt (Solution d'éclairage LED).
Au sommaire de ce nouveau numéro :
* Les réseaux électriques de demain
* Les primes à l'achat de véhicules électriques et hybrides
* Les hydroliennes
Compte-rendu conférence "Green Economy : Objets Connectés et Opportunités cré...IE-Club
L’IE-Club, en partenariat avec le Club Cleantech AFIC, Clean Tuesday et l'Echangeur PME, a tenu le 09/04/2014 la cinquième édition de son évènement : « Green Economy : Objets Connectés et Opportunités créées par les Cleantech »
L’objectif de cette 5ème édition est de mettre en avant la grande capacité d’ Innovation et d’ Exécution des sociétés en développement et matures de cet écosystème. A l’occasion de cet évènement nous ferons un focus sur les objets connectés et, de façon générale, les opportunités créées par les entreprises des
« cleantech
Dans le numéro d’avril, nous vous proposons cette fois un double-regard sur la France.
Le premier, centré sur les Bouches du Rhône, où les étudiants du Mastère Spécialisé OSE ont été reçus par des
professionnels du monde de l’énergie qui ont partagé avec eux leurs problématiques et leurs métiers. Un grand
merci au Centre CEA de Cadarche, à ENGIE et à RTE pour ces visites enrichissantes.
Le deuxième regard est plus large : au lendemain du premier tour des Présidentielles, nous vous proposons de
vous pencher sur le programme énergie/climat d’Emmanuel Macron, qualifié pour le second tour. Un article sur
celui de Jean-Luc Mélenchon, dernier des 5 “grands candidats” à ne pas avoir été scruté par le MS OSE, vous est
également proposé, et pourra être utile pour les législatives à venir.
Enfin, nous terminerons avec un sujet de société qui occupe le devant de la scène énergétique depuis plusieurs
mois : le compteur communicant Linky.
Bonne lecture !
Chers lectrices et lecteurs de l’Inf’Ose
Dans l’édition du mois de Mai, nous vous proposions un article sur le compteur intelligent Linky et les opportunités
de valorisation des données qu’il collecte. Dans ce numéro, les données sont encore à l’honneur, cette fois
à l’échelle des entreprises et de la révolution que leur utilisation implique. Les données open source des grands
utilities de l’industrie énergétique promettent pour leur part de stimuler l’innovation et la croissance économique
et d’accompagner la transition énergétique.
Dans un autre registre, nous nous intéresserons aux énergies renouvelables et à l’environnement. D’abord à travers
l’avion électrique qui passe de mythe à réalité suscitant de plus en plus de projets. Nous vous proposons ensuite
un regard sur le recyclage des installations photovoltaïques, enjeu qui prend de l’importance du fait de la
croissance du secteur, dans la lignée des objectifs de la PPE d’ici 2020.
Enfin, nous faisons un point sur le CO2, à l’heure où la dynamique des projets de CSC semble se lénifier et où de
nouvelles voies de valorisation de ce gaz à effet de serre sont explorées par les chercheurs.
Bonne lecture!
French for smart electricity minalogic project by David Excoffier on June 7th, 2011 - INEOV is a symposium on user-centered innovations about software & green IT.
L'objectif du séminaire proposé par TECHNIFUTUR® était de sensibiliser les ingénieurs à ces nouvelles technologies d'optimisation des flux d'électricité en mettant l'accent sur les opportunités que présentent les Smart-Grid en termes de marché pour les industriels.
Similaire à Revue de presse IoT / Data du 15/01/2017 (20)
Revue de presse IoT / Data / Energie du 02/04/2017Romain Bochet
Bonjour,
Voici la revue de presse IoT/data/energie du 2 avril 2017.
Cette semaine moins d’articles, mais de très intéressantes analyses sur le futur des entreprises de distribution d’électricité. Un futur a composer avec plus de renouvelables, de micro voire nano-grids, et des technologies qui vont dans le sens de la désintermédiation. Avec en trame de fond (et en dernier article) l’importance du mix IOT x data x intelligence artificielle.
C’est long mais ça vaut le coup, alors bonne lecture !
- How Blockchain Tech Will Create a Distributed Future for the Energy Sector
- Nanogrids, Microgrids, and Big Data: The Future of the Power Grid
- Innovative Technologies Driving the Energy Revolution
- Blockchain 2.0 dans l'énergie vue par France Stratégie
- How Will Artificial Intelligence Improve the Internet of Things?
Revue de presse IoT / Data du 26/03/2017Romain Bochet
Sommaire :
- From the Edge To the Enterprise
- The Internet of Energy: Smart Sockets
- Google's big data calculates US rooftop solar potential
- Energy management: Oracle Utilities launches smart grid and IoT device management solution in the cloud
- Are vehicles the mobile sensor beds of the future?
Revue de presse IoT / Data du 19/03/2017Romain Bochet
Bonjour,
Voici la revue de presse IoT/data/energie du 19 mars 2017.
Cette semaine, Google étend son projet de détection des potentiels toits solaires (à tester !), plusieurs villes qui ne sont pas des hubs de l’innovation se lancent dans des initiatives de smartcity et de 5G. La data des réseaux subit des évolutions dans différents points de vues, d’une fabrication qui met en doute au compteur communicant à l’exploitation (en Chine) en passant par les datacenter Schneider pour traiter les données au plus proche du lieu de leur production.
Bonne lecture et à la semaine prochaine !
Sommaire :
- Bradford City Council, the Internet-of-Things and better public service
- D’un pays à l’autre, les compteurs communicants sont-ils les mêmes ?
- Turin to become Italy’s first 5G city, aims for total deployment by 2020
- Schneider Electric targets IoT and edge apps with micro data centre
- Big data lab to boost digital economy
- Project Sunroof Now Predicting Rooftop Solar Potential In All 50 US States
Revue de presse IoT / Data du 13/03/2017Romain Bochet
Bonjour,
Voici la revue de presse IoT/data/energie du 13 mars 2017.
Je suis preneur d'autres artices / sources !
Bonne lecture !
- Les compteurs connectés surestiment la consommation d'électricité
- Robots could run UK power grid: British company DeepMind in talks
- UK project seeks to turn car park into large-scale energy storage battery
- After Shale, Data Could Be Next Big Energy Innovation
- GE’s $30 Million Streetlamp Upgrade Illuminates The Rewards And Risks Of Smart Cities
- Que pensent les plus grands innovateurs de la question énergétique ?
Revue de presse IoT / Data du 04/03/2017Romain Bochet
Bonjour, Voici la revue de presse IoT/data/energie du 4 mars 2017. Cette semaine au programme :
- The Disruption And Global Transformation Of The Energy Industry
- How ENEL is using IoT to embrace the ‘energy revolution’
- IBM, VELCO join forces to create smart energy solutions firm Utopus
- How IIoT is revolutionizing utilities
- How energy-data-as-a-service is enabling innovation
- Renewable energy IoT to hit $5.3 billion annually by 2030
A lire le court article sur ENEL.
Je suis preneur d'autres artices / sources !
Bonne lecture !
Revue de presse IoT / Data du 26/02/2017Romain Bochet
Bonjour,
Voici la revue de presse IoT/data/energie du 26 février 2017.
Je suis preneur d'autres artices / sources !
Bonne lecture !
- Power grid operators expect their ‘Uber moment’
- European power grid operators gear up for digital transformation
- Ericsson, Panasonic Introduce EaaS Platform for Telecom - Energy Manager Today
- Openergy, la start-up qui allie big data et simulation énergétique temps réel
- Progress on business IoT adoption slower than expected
- SolarCoin showcased as Global Renewable Energy Incentive at Event Horizon
- GRDF - Energycamp #6 – Comment l’IoT et la data permettront-ils de créer de nouveaux services B2C ?
Revue de presse IoT / Data du 19/02/2017Romain Bochet
Bonjour,
Voici la revue de presse IoT/data/energie du 19 février 2017. Au sommaire :
- Why IoT is key to industrial energy efficiency
- How Technology Influences the Future of Energy Management
- Disruption at the Edge: IoT Transforming Energy Grids
- Arkados Partners with SparkFund to Offer Lighting-as-a-Service To Commercial and Industrial Customers
- IoT And AI: Improving Customer Satisfaction
- Flutura raises US$7.5M Series A to provide industrial IoT to engineering, energy firms
- IoT Tech Expo: Convergence of Tech, Business Model Innovation, Collaboration and Smart Cities
- Sigfox to Transform Global Asset Tracking with Spot’it, a Low Cost GPS-free Geolocation Service
Revue de presse IoT / Data du 04/02/2017Romain Bochet
Bonjour,
Voici la revue de presse IoT/data/energie du 4 février 2017.
Sommaire :
1. Le radiateur intelligent Lancey, probable futur « pilier » des smart grids
2. Bosch, Cisco and Foxconn join blockchain and IoT consortium
3. Why artificial intelligence could be key to future-proofing the grid
4. Energy Harvesting Extends The IoT To Billions Of Smart Assets
5. The Distributed Energy Resource Management System Comes of Age
6. Avec Scale Zone, IBM et Sigfox industrialisent les start-ups IoT
Je suis preneur d'autres artices / sources !
Bonne lecture !
Revue de presse IoT / Data du 28/01/2017Romain Bochet
Bonjour,
Voici la revue de presse IoT/data/energie du 28 janvier 2017.
Cette semaine au programme :
- 3 New Technologies Changing IoT and Remote Power
- 7 Reasons Why IIoT Projects Fail
- Energy is the new new internet
- Street lights will learn from the bigger picture in IBM, Echelon IoT partnership
- We’re Building a World-Size Robot, and We Don’t Even Realize It
- This is the year of the Internet of ‘SOME’ Things - Data Economy
Je suis preneur d'autres artices / sources !
Bonne lecture !
Revue de presse IoT / Data du 22/01/2017Romain Bochet
Bonjour,
Voici la revue de presse IoT/data/energie du 22 janvier 2017.
Au programme :
- IBM Watson wants to help streetlights become smarter
- Monetizing Utility Data: The ‘Utility Data as a Service’ Opportunity
- Carnival Ocean Medallion: 5 takeaways from one of 2017's premier IoT projects
- DC's Gramercy District to become a $500m smart city test project
- Plateformes de données urbaines : quelle place pour l'énergie ?
- Acuity says it has deployed IoT lighting in 40 million square-feet of retail space
Je suis preneur d'autres artices / sources !
Bonne lecture !
Usage based security Framework for Collaborative Computing Systems
Revue de presse IoT / Data du 15/01/2017
1. Revue de presse IoT / Data du 15/01/2017
Bonjour,
Voici la revue de presse IoT/data/energie du 15 janvier 2017.
Je suis preneur d'autres artices / sources !
Bonne lecture !
Table des matières
1. Low-Cost Off-Grid Solar For Remote Areas Will Require New Business Models
2. IoT : Ingenu veut bousculer Lora et Sigfox en Europe avec sa technologie RPMA
3. Schneider Electric & Arcadia Power Partner To Offer Wiser Air Thermostat For $0
Upfront
4. Girish Shivakumar: The electric grid, prosumers and climate change risks
5. UK Studying Track Side Solar Panels To Power Electric Trains −
6. Smart City – What’s the Business Models?
7. Kayrros, le Big Data au service de la prévision pétrolière
8. Elum ou comment un industriel peut réduire sa facture d'électricité - EnergyStream
Low-Cost Off-Grid Solar For Remote
Areas Will Require New Business Models
Source URL: https://cleantechnica.com/2017/01/10/low-cost-off-grid-solar-remote-
areas-will-require-new-business-models/
January 10th, 2017 by Joshua S Hill
Solar energy has been identified as a potential low-cost and highly-efficient means of
providing electricity to those in off-grid remote areas, but a new study has concluded that
with little access to financial resources, new business models will be required to make this
happen.
For many years, the traditional thinking has been that, to provide reliable electricity to
those living without access to basic electricity services — often in remote and very poor
areas of the world — large-scale infrastructure and fossil fuel energy generation
technology was required. In 2014, a report published by Peabody Energy claimed that
coal was “essential to meet the scale of Africa’s desperate need for electricity” — a
blatant lie and horrifying misrepresentation of the new global energy reality.
2. However, over the last decade, with the rise and proliferation of solar energy throughout
the first world, these assumptions have changed, with many now considering the benefits
of large-scale deployment of renewable energy technologies like solar energy across
developing nations and remote areas. One of the primary reasons for this shift away from
fossil fuels is the fact that fossil fuels like coal require massive infrastructure to deliver
electricity — infrastructure that is missing in developing countries (and could be used a
guide for whether a country is ‘developing’ or not) and is well beyond their ability to
finance and develop. Comparatively, solar can be developed without the massive
infrastructure, delivering clean electricity onsite
More than 1.2 billion people currently live on planet Earth without access to basic
electricity. These people are primarily living in developing nations, and live in rural and
isolated areas in high poverty conditions.
Over the past few years, investment in renewable energy development throughout
developing nations has increased dramatically.
A Pew Charitable Trusts study published in early-2015 showed that investment and
deployment of electricity infrastructure was shifting into the “global south” — the
collective name for the developing economies located below the prosperous north. In
addition, this shift incorporated a turn away from fossil fuels toward clean energy
technologies. Just under a year later, this shift had resulted in a return on investments in
renewable energy projects across emerging markets providing returns that are on average
28% higher than returns on renewable energy projects in Europe or North America.
However, a new study released this month has shown that low-cost off-grid solar energy
will likely require new business models to be able to reach these rural and poor
communities.
According to Inara Scott, an assistant professor in the College of Business at Oregon
State University, developing a successful business model that is able to deliver off-grid
solar energy to these poverty-stricken communities must address challenges unique to
each community. These communities inherently don’t have the finances necessary to
jump at solar, and don’t have access to the commercial institutions or markets necessary
to deliver solar electricity. Add in the inherent difficulty in developing renewable energy in
remote locations (though it is still less of a problem than developing fossil fuel) and you
end up with a problem.
“Surviving and growing in this market is very different than in a typical commercial
enterprise,”said Inara Scott. “There are a lot of people working on off-grid solar products
on the small scale, but the problem becomes how can they scale the programs up and
make them profitable?”
3. But these problems are worth solving. Providing electricity to these remote communities
have literal life-changing results. Children are better equipped to attend school because
they can suddenly use light at home to study by. Health is impacted as well, as the need
for dirty kerosene lamps disappears, removing indoor air pollution. Additionally, electricity
can extend working hours for adults, which means a better change to earn money or build
a business.
“Providing electricity starts an incredible cycle of improvement for communities without
reliance on charities or government aid,” explained Scott. “There are also environmental
benefits to encouraging sustainable development using renewable resources.”
Scott’s research concluded that a successful renewable energy enterprise dedicated to
serving these remote communities would have four components:
Community interaction: Work with local communities to understand local norms,
culture, social issues and economic systems that might influence the effort.
Partnerships: Join forces with other companies, government organizations, non-
profit groups or non-governmental organizations to share ideas and resources and
gain support.
Local capacity building: People in the community may lack product knowledge and
have little experience with technology, while the community may not have typical
distribution channels. Consider the potential customers as both producers and
consumers, training local entrepreneurs as distributors, marketers and equipment
installation/repair technicians.
Barriers unique to the off-grid market: Address issues such as financing of upfront
costs, which may be prohibitive to consumers; educate people on the products and
their benefits; build trust in quality and reliability; and develop multiple strong
distribution networks.
“You’re not going to be successful just trying to sell a product,” she said. “This is really a
social enterprise, with the goal of trying to bring people out of poverty while also
emphasizing sustainable development.”
IoT : Ingenu veut bousculer Lora et Sigfox
en Europe avec sa technologie RPMA
4. Source URL: http://www.silicon.fr/iot-ingenu-vise-europe-technologie-rpma-
167178.html
Fort d’une technologie LPWA qui se distingue de Lora et Sigfox sur plusieurs points
essentiels, l’opérateur américain d’IoT Ingenu devrait arriver en Europe en 2017.
Les acteurs de Lora et Sigfox s’apprêtent à affronter un nouveau concurrent sur le
marché de l’Internet des objets (IoT) en Europe. Et pas franchement un débutant.
L’Américain Ingenu déploie son réseau dédié aux objets connectés et autres systèmes
M2M depuis 7 ans aux Etats-Unis. Des réseaux déployés à Las Vegas, Boston, Los
Angeles, Jacksonville, Atlanta, Columbus ou encore à la Nouvelle Orléans pour y exploiter
des solutions de logistique, d’agriculture connectée, de smart cities, d’énergie ou de
mesure de l’environnement.
Couvrir 50 % de la population mondiale
Aujourd’hui, on retrouve également son « Machine Network » au Canada, au Chili, au
Japon, en République Dominicaine et au Nigeria, notamment. Au total, 38 réseaux
déployés à ce jour dans le monde. Et des accords de licence avec des partenaires ont été
signés en Australie, Chine, Nouvelle-Zélande, Indonésie, Taïwan, Thaïlande, Afrique du
Sud et aux Émirats Arabes Unis. Bref, il ne reste guère que l’Europe qui échappe encore à
Ingenu.
L’opérateur basé à San Diego n’a cependant officiellement rien annoncé. Mais, il
ambitionnerait de planter son premier réseau sur le Vieux Continent dès cette année, croit
savoir le journal spécialisé IoT Global Network. En février 2016, le CEO de la société, John
Horn, annonçait vouloir se déployer dans 25 pays sur six continents (en distinguant
l’Amérique du Nord de l’Amérique du Sud) couvrant plus de 50 % de la population
mondiale. Difficile de ne faire l’impasse sur l’Europe dans une telle ambition. Et l’accord
passé en novembre 2016 avec le fournisseur suisse de composants électroniques et de
modules U-Blox tend à confirmer l’intérêt d’Ingenu pour le marché européen. Le premier
module issu de ce partenariat, le Nano-S100 dédié aux suivis des biens et aux compteurs
connectés, devrait arriver sur le marché dans le courant du premier trimestre.
80 MHz de bande libre exploités
Pour affronter ses concurrents, Ingenu met en avant les capacités de sa technologie de
communication pour les réseaux bas débit et longue portée (LPWAN) dédiée aux objets
connectés. Baptisée RPMA (Random Phase Multiple Access ou accès multiple par phase
aléatoire), ce protocole bidirectionnel s’appuie sur les 80 MHz de la bande libre des 2,4
GHz. Notamment utilisée pour le Wifi, ce spectre présente l’avantage d’être disponible à
l’échelle de la planète ce qui renda prioriuniversel l’accès à RPMA quand les autres
bandes libres à basse fréquence ne disposent d’aucune base commune internationale
(915 MHz en Amérique du Nord et Océanie, 868 MHz en Europe, 780 MHz en Asie…).
D’autre part, chaque canal de la technologie d’Ingenu utilise 1 MHz de largeur de spectre.
Ce qui, avec un autre MHz tampon, lui permet d’exploiter 40 canaux par antenne. Soit
une bande passante 85% plus large que celles des autres technologies LPWA, assure
Ingenu. Le RPMA supporte jusqu’à 2 millions de connexions par point d’accès. Et un
point haut peut couvrir jusqu’à 640 km carrés (400 miles carrés). Un département comme
5. le Rhône (3 200 km2) pourrait ainsi être couvert avec 17 antennes. Soit 15 000 dollars
(14 000 euros), assure l’opérateur qui a levé 118 millions de dollars en cinq tours de table.
Un complément à Lora
Sur le papier, le RPMA présente donc des avantages certains sur les technologies
concurrentes Lora et Sigfox. Un point d’accès d’Ingenu permettrait de couvrir l’équivalent
de 18 antennes Lora, de 70 antennes chez Sigfox, et de 30 accès NB-IoT sur réseaux
cellulaires, rapporte le blogueur expert Bob Emmerson sur IoT Global Network. La durée
de vie des modules peut atteindre une vingtaine d’année, soit le double de celle
annoncée par la concurrence. Quant à la sécurité des communications, elle est assurée
par un chiffrement à 256 bits et une authentification à double sens garantie par un hash
de 16 bits. « Ce qui signifie qu’il y a seulement un 1 chance sur 2 256 que quelqu’un
devine aléatoirement la signature », calcule l’expert.
Si Ingenu a (sur le papier) tout pour plaire, il lui restera néanmoins à conquérir un territoire
aujourd’hui grandement occupé par Sigfox (présent dans une quinzaine de marchés
européens ainsi qu’aux Etats-Unis) et par les opérateurs mobiles qui ont recours à Lora
pour opérer leurs offres de services IoT à l’échelle nationale (comme Bouygues Telecom
et Orange en France). Sans parler des futurs déploiements de technologies IoT sur les
réseaux mobiles LTE (NB-IoT principalement pour les objets à faible consommation de
données). Mais des complémentarités ne sont pas à exclure. « LoRa et RPMA pourraient
se compléter dans des scénarios impliquant un réseau local comprenant des centaines,
voire quelques milliers d’appareils communiquant avec une passerelle MultiTech
compatible Lora, souligne Bob Emmerson. Un module RPMA intégré à la passerelle [Lora]
permettrait alors une connectivité de grande portée sur les réseaux RPMA. » Autrement
dit, la technologie d’Ingenu pourrait aider les réseaux Lora à élargir leur portée. Il restera
néanmoins à vérifier la stratégie de l’opérateur américain. A l’occasion du Mobile World
Congress (MWC) de Barcelone fin février prochain ?
Schneider Electric & Arcadia Power
Partner To Offer Wiser Air Thermostat For
$0 Upfront
Source URL: https://cleantechnica.com/2017/01/11/schneider-electric-arcadia-power-
partner-offer-wiser-air-thermostat-0-upfront/
January 11th, 2017 by Derek Markham
In what might be an industry first for smart thermostats, a new partnership will offer
customers a Wiser Air Thermostat for $0 upfront, which will be paid for through a pay-as-
you-save program. The partnership between Schneider Electric, which is the company
behind the Wiser Air device, and Arcadia Power, which offers US customers clean “energy
as a service,” aims to combine the energy management expertise of Schneider with the
utility billing platform of Arcadia.
6. According to the press release, new customers can sign up with Arcadia Power, which will
give them the option to offset some or all of their electrical consumption with wind energy
or community solar, after which Schneider Electric will send its Wiser Air thermostat direct
to their home, anywhere in the US, for zero money down. The customers allow Arcadia to
manage their electric bill, and the energy savings gained by using the new smart
thermostat over time will help pay for the cost of the device.
The Wiser Air thermostat is said to deliver “energy efficient comfort” thanks to its self-
learning feature, which avoids the need for residents to manually create a schedule or
input desired temperature points, and the device is said to “reduce energy costs by as
much as 30%.”
“Thermostats are the energy ‘brain’ of the home, and with Wiser Air we can upgrade all
customers at no cost to them. Not only will customers have more control with the smart
thermostat, but they’ll save money over time. It takes just three minutes to make their
home smart and efficient.” – Kiran Bhatraju, Founder and CEO of Arcadia Power
In addition to the ‘free’ smart thermostat available through this partnership, the two
companies are said to also be working to integrate time-of-use and demand response
programs into the thermostat offer, which could unlock additional savings for consumers.
Find out more about the $0-upfront Wiser Air offerat Arcadia Power.
Girish Shivakumar: The electric grid,
prosumers and climate change risks
Source URL: http://masdar.ae/en/intiatives/detail/girish-shivakumar-the-electric-grid-
prosumers-and-climate-change-risks
Electricity generation accounts for nearly 50% of CO2 emissions in the world. Renewable
Energy (RE) sources have begun to account for a significant share in the grid mix thereby
reducing the emissions Year on Year (YoY). An increasing RE in the electric grid is not a
straight solution to reduce carbon emissions and combat climate change. RE is
7. intermittent and in order to completely leverage it there is a need for a technological
solution that also captures the economic benefits of this low carbon transition.
carbcarbon transition.carbon transition.
The electric grid of today
11. former driven by a buoyant adoption of rooftop solar PV.
Why do we need a smart grid?
RE is intermittent as widely known. In an ideal case we would prefer power production at
times when we consume. In real world to meet power demand when RE generation is low
there is a need to look for alternatives which in general happens to be turning on the fossil
fuel power plants just to ‘keep the lights on’ as the utility would claim.
In order to mitigate the potential damage caused by these scenarios it is critical to ensure
the fossil fuel powered plants are not turned on, let alone operate them at a lower
efficiency thereby compounding the damage. Battery storage will be a key breakthrough
but unless the devices and the grid is in place, the net effect of energy storage will be
minimal.
Can prosumers make an impact?
Technology at the RE generator level enables forecasting at a better accuracy on a day
ahead level. The information if shared to the consumers by utilities along with the price
incentive will enable them to shift loads to low price periods thereby reducing the net
overall demand. Demand Side Management (DSM) is another possibility considering the
penetration of smart meters at residential consumer level. Utilities and DSM service
providers anticipate that with technological advancements, prosumers will not only be
able to sell their excess PV but also be able to automate their battery backup systems to
respond to utility signals by discharging energy back to the grid during peak load.
Overall, technological adoption will be key to ensure a successful RE transition. The idea
of smart grid and smart meters controlling the devices has been mooted for long but with
an increasing RE capacity addition, the technology will be indispensable. The penetration
of intelligent appliances in households will leverage the smart grid technology in delivering
value thereby providing the prosumers’ (who will be a significant majority) with a tool to
know more about their electricity use, reduce demand, cost and carbon emissions.
UK Studying Track Side Solar Panels To
Power Electric Trains −
Source URL: http://solarlove.org/uk-studying-track-side-solar-panels-power-electric-
trains/
January 11th, 2017 by Steve Hanley
Electrical grids are inefficient and outdated. A partnership between Imperial College
London and 10:10, a climate change organization, is exploring the possibility of installing
solar panels along side railway lines and using them to power electric trains directly.
Rather than feeding electricity from the panels back into the grid to be redistributed to the
railway system, the idea of connecting trains directly to the solar panels would be far
more efficient.
12. According to the university, the research team will be the first in the world to test the
“completely unique” idea, which it said would have a “wide impact with commercial
applications on electrified rail networks all over the world. It would also open up
thousands of new sites to small and medium scale renewable developments by removing
the need to connect to the grid.”
The British train authority, National Rail, is already investing heavily in increasing the
number of trains in the UK that are powered by electricity in order to curb costs and
reduce greenhouse gas emissions from the the railway system.
In many rural areas of the UK, the electrical grid has reached its limit for both integrating
distributed energy generation and supplying power to train firms. “What is particularly
galling is that peak generation from solar and peak demand from the trains more or less
match but we can’t connect the two,” explained 10:10’s Leo Murray, who is leading the
project. “I actually believe this represents a real opportunity for some innovative thinking.”
The project will start by studying how to convert existing third rail systems which supply
electricity through an auxiliary rail running alongside the main rails. “Many railway lines run
through areas with great potential for solar power but where existing electricity networks
are hard to access,” explained professor Tim Green, director of Energy Futures Lab at
Imperial College London.
The university will collaborate on the technical aspects of the project with Turbo Power
Systems — a firm that works on distribution and management of power in the railway
sector — while 10:10 is leading on research looking at the size of the long-term power
purchase agreement (PPA) market for directly connecting renewables to transport
systems. “I don’t think you get a better fit for PPA than a train line,” added Murray. “A rural
13. train line even more so, the project would open up many investment opportunities across
the country and further afield.”
Solar power is often best used in microgrids which provide electricity directly to the areas
near where it is generated. Microgrids are especially important to rural areas and places
where no grid infrastructure currently exists.
The research is spurred by news that as of the first of the year, every one of the trains
operated by NS, the railway company owned by the government of the Netherlands, are
now being powered entirely by wind energy. NS teamed up with energy firm Eneco in
2015 to develop strategies for reducing its emissions. The transition to using 100%
renewables for all its trains occurred a year sooner then the original 2018 target date.
Smart City – What’s the Business
Models?
Source URL: https://iotworld.co/2017/01/13/smart-city-whats-the-business-models/
Frost & Sullivan suggested 4 Smart City Business Models. [Source: “Global Smart City
Market”, 2013]
1. Build Own Operate (BOO) – The smart city planner independently builds the city
infrastructure and delivers smart city services. The operation and maintenance of
the services are fully under the planner’s control
2. Build Operate Transfer (BOT) – The smart city planner appoints, a trusted partner
to build the city infrastructure and provide smart city services for a particular area
within a period. After completion, the operation is handover to the smart city
planner.
3. Open Business Model (OPM)– The city planner allows any qualified company or
business organization to build city infrastructure and provide city services. The city
planner, however, will impose some regulatory obligations.
4. Build Operate Manage (BOM) – The smart city planner appoints a trusted partner
to develop city infrastructure and services. The partner operates and manages the
smart city services. The city planner has no role further. Most of the public-private
partnerships are build on this model.
Sometimes the dilemma is in the scale of deployment. It’s good to start small, but the
impact will not be as effective. It’s also good to deploy big time but the cost can be
unbearable, and the risk can be high. Technology moves too fast and can make
infrastructure obsolete before getting the ROI.
To help government leaders find the resources and make an investment in a pilot project,
it is recommended:
Educate key decision makers and build support.
Use success stories from other cities and vendor ROI and other performance
metrics to make the business case.
Aim for investment in discrete point solutions as pilots.
Find key private sector and university partners.
14. Depending on the economic, readiness, complexity and probably culture of a country, the
business model can vary between one country and the other. We have a fascinating
discussion (please join the discussion) in this Forum which posed the question “Who Pays
for Smart Cities Initiatives?”.
We want to see how the investment on Smart Cities pays by itself. It’s excellent and
fortunate when Government have the vision and allocate funds for smart cities trials. What
if they don’t? How do we start such initiatives?
About the Author
Dr. Mazlan Abbas is an IOT Evangelist, Thought Leader and CEO of REDtone IOT. You
can reach him on LinkedIn at https://my.linkedin.com/in/mazlan/ or Twitter
at http://twitter.com/mazlan_abbas . Check all presentation slides HERE.
For further details, check out http://about.me/mazlan.abbas
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Kayrros, le Big Data au service de la
prévision pétrolière
Source URL: http://business.lesechos.fr/entrepreneurs/actu/0211595063703-kayrros-le-
big-data-au-service-de-la-prevision-petroliere-304388.php#Xtor=AD-6000
Créée en 2016, la société Kayrros vient de lever 9 millions
d'euros. Fondée par des anciens de Schlumberger, elle
prévoit les flux de production ou de consommation de
pétrole et de gaz.
C'est une association de talents improbable qui phosphore au troisième étage de cet
immeuble anonyme de la rue de Richelieu, à Paris. D'un côté, Antoine Rostand, ex-
Schlumberger, et ses trente ans d'expérience au plus haut niveau dans le pétrole et le
conseil. De l'autre, une quinzaine de jeunes cerveaux, frais émoulus des grandes écoles
ou universités françaises et internationales les plus prestigieuses, et capables de jongler
avec une quantité gigantesque de données (le fameux Big Data). Bienvenue chez Kayrros,
la jeune pousse qui prévoit les flux de production, de stockage ou de consommation
de pétrole ou de gaz sur la planète.
« Aujourd'hui, les données sur les flux physiques sont de très mauvaise qualité : soit elles
sont gardées secrètes sur ce marché très opaque, soit elles sont publiées avec plusieurs
années de retard »,explique Antoine Rostand, président et l'un des cinq fondateurs de la
société.« Or un grand nombre d'informations sont en réalité disponibles en temps réel :
l'incroyable puissance de calculdésormais disponible pour un coût modeste permet
aujourd'hui de les analyser. »
15. Des parrains prestigieux
A partir de données publiques (trafic routier, statistiques douanières, données
environnementales ou techniques, activité des navires pétroliers ou des pipelines, etc.),
d'images satellites, ou encore d'informations recueillies sur les réseaux sociaux, les
ingénieurs de Kayrros conçoivent des modèles complexes permettant non seulement de
reconstituer le passé proche, mais aussi d'effectuer des prévisions à court terme. « Sur
un horizon de trois à six mois, nous parvenons à des résultats de bonne qualité »,
avance Antoine Rostand.
Créé en février 2016, basé à Paris, Kayrros vient tout juste de boucler un deuxième tour
de table de 9 millions d'euros, mené par Index Ventures. La société bénéficie du soutien
de parrains prestigieux, comme l'ex-patron de Schlumberger Andrew Gould, ou, en
France, l'ancien PDG de Paribas André Levy Lang : tous deux sont investisseurs de la
première heure (le premier tour d'amorçage a porté sur 2 millions d'euros) et membres du
conseil de la jeune pousse. Antoine Rostand s'est aussi entouré de mathématiciens et de
chercheurs de haut niveau, cofondateurs de Kayrros, ainsi que de pointures dans le
secteur de l'énergie.
La société a de grandes ambitions. Lemarché de l'intelligence sur l'énergie représente
4 à 5 milliards de dollars, mais il reste qualitatif et très peu quantitatif.« Les besoins sont
immenses, et nous sommes les seuls à faire ce qu'on fait », avance Antoine Rostand.
Kayrros espère séduire les traders de pétrole et de gaz, les raffineurs, les « hedge funds »,
les banques, les compagnies pétrolières, les grands consommateurs d'énergie et même,
à terme, les maires ou les gouvernements. « Nous commençons par le pétrole et le gaz,
mais nous regarderons à terme l'ensemble du mix énergétique »,précise le dirigeant.
Ayant passé ses premiers mois à bâtir son offre, la jeune pousse, qui a commencé à
tester ses produits chez quelques clients potentiels, compte entrer dans une phase
commerciale active dès le premier trimestre 2017.
Elum ou comment un industriel peut
réduire sa facture d'électricité -
EnergyStream
Source URL: https://www.energystream-wavestone.com/2017/01/elum-industriel-
reduire-facture-delectricite/
Elum est l’une des startups françaises qui ambitionnent de révolutionner le monde de
l’énergie. Récompensée par déjà de nombreux prix,notamment lauréat de la Greentech
Verte(concours organisé par Ségolène Royale et le Ministère de l’Environnement, de
l’Energie et de la Mer), et présente à la COP22, Elum est une start-up à suivre. Ainsi, nous
avons rencontré l’un de ses cofondateurs, Karim El Alami qui a accepté de nous présenter
son projet entrepreneurial.
Bonjour Karim, pouvez-vous nous décrire en quelques
16. mots la start-up ELum ?
Elum développe une plateforme logicielle l’Energy OS qui permet aux bâtiments
industriels et commerciaux d’être à la fois producteurs et consommateurs d’énergie.
L’Energy OS grâce à des algorithmes d’intelligence artificielle avancés permet d’optimiser
les flux d’énergie entre les panneaux photovoltaïques, les batteries, le réseau et le
bâtiment (figure 1). De manière concrète, nous récupérons différentes données provenant
du bâtiment : des données de consommation, de météorologie, opérationnelles et des
données liées à la tarification de la facture d’électricité. De là, l’algorithme va prédire la
consommation du bâtiment et la production solaire et va par la suite optimiser la charge
et la décharge de la batterie en prenant en compte ces prévisions. Par exemple dans
certains pays, la tarification dépend de l’heure de la journée avec des heures creuses peu
chères et des heures de pointes chères, l’algorithme va donc charger la batterie la
quantité optimale d’énergie en heure creuse et décharger cette énergie en heure de pointe
permettant au client une réduction de facture.
Figure 1 : Positionnement et offre d’Elum
L’objectif est la réduction de facture de l’électricité pour l’industriel de 20%, réduction des
gaz à effet de serre de 30% provenant de sa consommation électrique et une sécurisation
de son alimentation en éliminant les microcoupures qui sont problématiques pour
certaines industries dans les pays émergents.
Comment est née la startup ELum ?
Le projet a émergé suite à la rencontre avec Cyril Colin, cofondateur d’Elum, lorsque nous
étions en double diplôme à UC Berkeley en Californie. Nous avions travaillé pendant un
an dans un laboratoire sur les smart grids. Ayant eu une expérience dans l’optimisation
des processus industriels dans une usine à la zone Franche de Tanger, j’avais pensé que
réduire la facture énergétique était essentielle dans le développement de l’industrialisation
du Maroc car elle constitue le deuxième voire le premier poste de dépenses devant les
17. salaires des employés. Une solution intelligente, verte et durable semble adaptée dans ce
contexte au Maroc et en Afrique de manière plus générale. Avec notre formation
entrepreneuriale dispensée à l’Ecole Polytechnique, nous avons donc décidé de créer une
startup voulant contribuer à la transition énergétique dans les pays européens et africains.
Une fois notre cursus achevé nous avons intégré l’accélérateur CleanTech Open à San
Francisco considéré comme étant le meilleur accélérateur dans les énergies
renouvelables, puis nous avons créé par la suite l’entité Elum en France et intégré les
incubateurs parisiens d’Agoranov et d’Impulse Partners.
Alors qu’un certain nombre de startups, bien que
françaises, choisissent de se délocaliser rapidement
dans la Silicon Valley, vous avez fait le choix inverse de
quitter les États-Unis pour revenir en France ; pourquoi
?
La Silicon Valley est en effet très attrayante pour tous ceux qui souhaitent démarrer une
startup innovante. Il y a là un écosystème très avancé qui regroupe universités (Berkeley,
Stanford), incubateurs (YCombinators pour ne citer qu’eux), investisseurs et startups
ayant réussi qui est unique en son genre aux États-Unis. Cependant, nous avons fait le
choix de revenir en France car nous pensons que du fait de la nature de notre activité
portée sur l’intelligence artificielle et sur les marchés que nous visons, être en France est
un atout considérable.
La France présente un environnement propice au développement des startups
technologiques telles que la nôtre. Elle propose un écosystème très favorable au
développement de la startup avec la présence d’incubateurs d’excellence. Nous sommes
actuellement incubés à Agoranov et à Impulse Partners Energy&Construction.
Le secteur de l’énergie est en train d’opérer une révolution grâce à la technologie solaire
qui va bouleverser la manière de consommer son énergie dans les pays européens et
africains. Être en France constitue donc un atout pour comprendre ces enjeux et permet
de déployer sa technologie sur ces deux continents. De plus, sa formation scientifique et
mathématique est reconnue. Ce n’est pas pour rien qu’il y a plus de 60 000 français à la
Silicon Valley. La formation scientifique en France est excellente et reconnue au-delà des
frontières françaises. Si certains font le choix d’aller aux Etats-Unis d’autres préfèrent
baser leur R&D en France comme Cisco, Facebook, Google. Preuve de l’excellence des
ingénieurs que la France forme. Il est donc plus facile pour nous de recruter des
ingénieurs de bon niveau.
Quels sont les problèmes auxquels les bâtiments
industriels sont confrontés ? Comment y répondez-vous
?
Aujourd’hui les bâtiments industriels sont uniquement dépendants d’un réseau
d’électricité centralisé. Cet état de fait les rend vulnérables et fragiles vis à vis de leur
fourniture d’électricité qui est vitale pour leur activité. Cette fragilité peut être économique
18. par les augmentations des tarifs d’électricité mais elle peut aussi se matérialiser via des
coupures d’électricité qui entrainent des dommages matériels au niveau des machines
ainsi que des pertes d’exploitation qui peuvent s’avérer conséquentes.
Pour répondre à cette problématique, nous encourageons les industriels à produire et
consommer localement leur énergie via l’installation des panneaux solaires, batteries ainsi
que de la mise en place de l’Energy OS.
Nous opérons ce processus par 3 étapes :
1/ Compréhension : nous installons des capteurs intelligents qui permettent de visualiser
la consommation en temps réel des machines. Grâce à cela, nous pouvons avoir une
traçabilité de la consommation énergétique et ainsi réduire la facture d’énergie en amont.
2/ Conception : Une fois les capteurs installés, nous utilisons ces données pour
dimensionner et déterminer le bon nombre de panneaux photovoltaïques et batteries afin
de garantir le retour sur investissement de cette installation et permettre la meilleure
réduction de facture possible.
3/ Opération : Une fois le système énergétique installé nous mettons en place le logiciel
qui va déterminer la meilleure allocation d’énergie entre la production solaire future et la
consommation future du bâtiment. Ce logiciel repose sur des algorithmes qui apprennent
les habitudes de consommation et de production du bâtiment de manière automatique.
Nous visons 2 marchés principaux. Le premier est le marché connecté au réseau. On peut
penser aux bâtiments industriels et commerciaux qui paient déjà leur facture d’électricité.
Le second est le marché non connecté au réseau et qui ne fonctionne principalement
qu’avec des générateurs diesel. L’intérêt de notre solution est de réduire la consommation
de carburant.Comme cas d’application, nous pouvons penser à l’industrie minière, au
pompage d’eau ou encore aux tours de télécommunications hors réseau.
Le concept d’ELum est basé sur un besoin de
décentralisation de l’énergie, pensez-vous que ce
phénomène de décentralisation de l’énergie va
s’accroître ? Pourquoi ?
Nous sommes en train d’assister à une révolution dans le domaine de l’énergie : la baisse
spectaculaire des prix des modules photovoltaïques, et la baisse des coûts du stockage
qui rendent l’autoconsommation possible dans certaines géographies et certaines
situations. Une étude de Lazard (voir figure 2) démontre la baisse massive des coûts des
technologies renouvelables.
Au XXème ces solutions décentralisées existaient mais n’étaient pas compétitives par
rapport aux centrales de production (mines, gaz, nucléaire, charbon). Cette baisse du
coût de revient provenant de l’électricité renouvelable change la donne et va bouleverser
le paysage énergétique des prochaines années.
19. Figure 2 : La baisse des coûts du solaire et de stockage étudiée par Lazard (2015)
Et en particulier, pensez-vous que ce processus de
décentralisation va s’accroître en France ? Pourquoi ?
Des initiatives en France ont vu le jour et montrent clairement la volonté des industriels et
commerciaux à réfléchir au système d’autoconsommation comme étant un modèle
économique viable par rapport au tarif d’électricité. Par ailleurs, la France a été pionnière
dans le développement du stockage notamment dans les zones non interconnectées. Du
fait de la haute pénétration des énergies renouvelables (>30%) dans les territoires
d’outremer, tous les nouveaux projets renouvelables devront comporter du stockage pour
stabiliser le réseau. C’est la raison pour laquelle la Commission de Régulation de l’Energie
a lancé un appel d’offres (une initiative pionnière) pour la mise en place d’installations
couplant production solaire et stockage. Cependant quelques obstacles sont à lever
notamment au niveau de la législation française pour favoriser le développement des
technologies renouvelables distribuées.