Franz Anton Mesmer - Le magnétisme humain, un phénomène paranormal de biophys...FrederiqueLavaldelaMajorie
Franz Anton Mesmer a présenté sa théorie . Selon Mesmer l'origine de la frontière entre l'animé et l' inanimé est une question d'imagination purement humaine . La théorie de Mesmer a une interaction dynamique dans la teneur entre l'animé et la matière inanimée, le soi-disant « magnétisme humain ».
Cet homme , qui est considéré comme le père fondateur de l'hypnose moderne a fait valoir l'existence d' une forme particulière d'énergie qui peut être utilisé entre autres pour mener une hypnose, qu' il a utilisé à des fins de guérison . Suite à des critiques massives, Mesmer se décidait a quitter son Allemagne natale pour se réfugier en France . A la demande du Roi Louis XVI, à l'université de Paris, en collaboration avec les scientifiques de renom Hector Durville et Albert de Rochas,il a tenté d'expliquer ce phénomène par une recherche scientifique rigoureuse . Cependant , il y réussi, mais avec un succès si modéré,que son travail ne fut pas reconnu et qu'il ne pu se faire accepter par les membres de la commission,qui étaient,entre autres, le chimiste Antoine Lavoisier,le physicien Joseph Ignace Guillotin et l'astronome Jean Sylvain Bailly, ainsi que l'ambassadeur Américain Benjamin Franklin.
Conférence de Miroslaw Magola
Franz Anton Mesmer - Le magnétisme humain, un phénomène paranormal de biophys...FrederiqueLavaldelaMajorie
Franz Anton Mesmer a présenté sa théorie . Selon Mesmer l'origine de la frontière entre l'animé et l' inanimé est une question d'imagination purement humaine . La théorie de Mesmer a une interaction dynamique dans la teneur entre l'animé et la matière inanimée, le soi-disant « magnétisme humain ».
Cet homme , qui est considéré comme le père fondateur de l'hypnose moderne a fait valoir l'existence d' une forme particulière d'énergie qui peut être utilisé entre autres pour mener une hypnose, qu' il a utilisé à des fins de guérison . Suite à des critiques massives, Mesmer se décidait a quitter son Allemagne natale pour se réfugier en France . A la demande du Roi Louis XVI, à l'université de Paris, en collaboration avec les scientifiques de renom Hector Durville et Albert de Rochas,il a tenté d'expliquer ce phénomène par une recherche scientifique rigoureuse . Cependant , il y réussi, mais avec un succès si modéré,que son travail ne fut pas reconnu et qu'il ne pu se faire accepter par les membres de la commission,qui étaient,entre autres, le chimiste Antoine Lavoisier,le physicien Joseph Ignace Guillotin et l'astronome Jean Sylvain Bailly, ainsi que l'ambassadeur Américain Benjamin Franklin.
Conférence de Miroslaw Magola
Revue « Le Psy Déchaîné » n°15 – AFFEP – Novembre 2015
Nouvelle rubrique depuis le numéro 13 de votre journal, Parole au patient vient de notre envie d’aller à la rencontre des patients dans un autre cadre que celui de notre travail quotidien. Pas un entretien, mais plutôt une conversation avec ceux qui ont l’expérience de la maladie, et des soins en psychiatrie. Dans ce numéro, c’est dans un service de Grenoble que nous avons eu le plaisir d’aller rencontrer MJT, qui a accepté de répondre à nos questions, de nous raconter des petits bouts de son histoire. Nous la remercions de tout coeur.
1. Quel a été votre premiercontact avec la psychiatrie ?
Mon premier contact avec la psychiatrie, j’avais 14 ans. C’était après un long voyage en bateau de la Martinique au Havre. J’avais été malade pendant le voyage, je me plaignais beaucoup du ventre. On a cru que j’avais le mal de mer, j’ai vu des médecins de bord qui ne trouvaient pas ce que j’avais. En face de la cabine de mes parents, il y avait un médecin psychiatre à la Martinique qui rentrait en métropole. Il avait dit à mes parents : « Si on ne voit rien, c’est qu’elle fait une crise d’angoisse ». Encore maintenant je souffre beaucoup du ventre, et on me dit « c’est psychosomatique ». J’ai su après que ma mère, en rentrant de la Martinique sur le bateau des années avant, avait fait une tentative de suicide. Est-ce que c’est ça dont je me suis souvenu ? J’ai commencé à me rendre compte que j’avais une maladie mentale, à l’hôpital Sud quand j’avais 17 ans. Je suis tombé malade pour la première fois, après avoir fait une tentative de suicide. J’y suis restée jusqu’à mes 28 ans, à sortir, rentrer, sortir, rentrer. Depuis j’ai connu également l’hôpital de Saint-Egrève, plusieurs pavillons, je les ai fait tous… ça fait 39 ans de psychiatrie maintenant.
....
reseauprosante.fr
Revue "Le Psy déchainé" n°18 - AFFEP - Mars 2017
Quand je suis arrivée en médecine, j’avais un certain a priori sur la psychiatrie : mélange de littérature de bureau de tabac farcie de psychologie de bas étage et fascination intellectuelle teintée de classe dont Hannibal Lecteur pourrait avoir été l’instigateur premier. Dans tous les cas je m’attendais à une discipline assez fouillie, farfelue, avec une nette prédilection pour le brassage inutile des pensées, des interprétations fumeuses aux notes érotisées.
Devant cette définition personnelle franchement attirante de la discipline, je me suis donc empressée de me dégoter un stage en psychiatrie dès la 3ème année d’externat. J’ai pris soin de choisir un service assez lourd, cliché asilaire, histoire de commencer directement dans le vif du sujet et de ne pas y aller par quatre chemins. Et là, quelle délicieuse surprise, pour mon esprit cartésien de jeune carabine, j’ai fait la connaissance des cases diagnostiques, des classifications internationales type CIM, DSM... bref, des cases !
Oh, elles m’étaient familières ces cases, depuis 4 ans, comme tous les autres étudiants, nous tentions de les empiler savamment dans nos esprits sans qu’elles ne s’écroulent. On nous a appris tout notre cursus que les petites cases étaient nos amies.
Question de prof : « Quels sont les critères ECG de l’hyperkaliémie ? » « Allez-y, tirez les tiroirs, toujours le même, ça doit devenir automatique dans vos esprits, pas besoin de réfléchir ! ». Il fallait absolument caser les choses, les classer... (...)
http://www.reseauprosante.fr
Guy Simonin, Synthèse du colloque Des clowns et des sciencesGroupe Traces
Synthèse par Guy Simonin, directeur scientifique d'Universcience, du colloque "Des clowns et des sciences" qui s'est tenu du 20 au 22 juin 2012 à l'Espace des sciences Pierre-Gilles de Gennes, à la Cité des sciences et de l'industrie et au Palais de la Découverte.
L’inclusion dans les équipes agiles : les personnes neuro-atypiquesAlice Barralon
Ayant travaillé avec des personnes neuro-atypiques (HPI, troubles autistiques), je me suis interrogée sur leur position dans une équipe agile dite auto-managée.Quelle est leur place?Comment gère ton leur émotions?Comment les comprendre?Comment accueillir nos différences?On en entend beaucoup parler chez les enfants (DYS, HPI, zèbre, etc). Mais chez les adultes c'est silence radio... que deviennent-ils ?
Folie Culture et Ethnopsychiatrie - Le risque de l’exotisme à deux sousRéseau Pro Santé
Revue « Le Psy Déchaîné » n°15 – AFFEP – Novembre 2015
L’ethnopsychiatrie, selon celui qui est considéré par tous comme son chef de file, se détache de la psychiatrie transculturelle, qui « permet au psychiatre de continuer à pratiquer le même métier auprès de populations culturellement hétérogènes, de parvenir, par exemple, à un diagnostic de schizophrénie ou de dépression, même dans un monde où le mot – et peut-être jusqu’à la chose – n’existe pas. » 1
Professeur de psychologie, désigné ethno-psychiatre, Tobie Nathan affirme sur son blog que la schizophrénie n’existe pas dans le « monde » africain. Laissant une limite floue entre « monde des esprits » et « monde des humains », son discours laisse entendre que la schizophrénie serait une invention de l’Homme blanc importée en Afrique avec la colonisation.
Invité quasi systématique des émissions de radios qui traitent du sujet de la Folie en Afrique, et multipliant les interviews auprès des magazines de vulgarisation psychologique, il assène auprès du grand public l’idée qu’ « un Africain, un Malais, un Indien, un Européen seront malades différemment », et que « les peuples traditionnels ont leur propre psychopathologie ».
Le cerveau des hommes d’origine africaine fonctionnerait- il donc différemment de celui des hommes d’origine caucasienne ? Cette idée absurde est toutefois maintes et maintes fois reprises dans le discours de l’expert autoproclamé des maladies mentales en Afrique.
Selon sa vision dualiste, le psychisme, composé « des esprits, des démons, ou encore des dieux », pourrait être détaché du biologique, vulgairement réduit à « des virus et bactéries, ou des gènes »…
La Folie se traiterait donc en Afrique grâce aux thérapeutes traditionnels, ayant pour fonction « d’éloigner du patient ces êtres maléfiques en les dupant ».
reseauprosante.fr
La santé mentale parlons-en - Un projet intergénérationnel & internationalRéseau Pro Santé
Revue « Le Psy Déchaîné » n°15 – AFFEP – Novembre 2015
L’International Mental Health Congress (IMHC) s’est déroulé dans notre jolie ville de Lille du 28 au 30 avril sur le thème de la « santé mentale pour tous ».
L’Association Lilloise de l’Internat et du Post-internat de Psychiatrie (ALI2P) a eu la chance d’y participer, en animant une discussion virtuelle, à la rencontre des congressistes, venus des quatre coins du monde et issus de différentes générations. L’objectif était de partager des réflexions, des expériences, et des idées sur divers sujets autour de la santé mentale, en invitant chaque personne à rebondir sur ce qui avait été dit par la précédente.
Vous trouverez dans ces quelques pages le résultat de notre projet, on vous souhaite une bonne lecture !
QU’EST-CE QUE LA SANTE MENTALE ?
Senior : Il n’y a pas vraiment de définition. Chaque praticien a la sienne. Même si une définition consensuelle existe, donnée par l’OMS, nous ne sommes pas forcément en accord avec.
Junior : Je suis d’accord avec ça, chacun a sa propre définition. Pour moi, c’est le sentiment qu’on a quand on contrôle sa vie.
Senior : La santé mentale n’existe pas. Il y a des maladies mentales et la santé mentale ne fait pas partie de la psychiatrie.
Junior : En fait, je pense que cela a plus à voir avec le bonheur.
Senior : Les jeunes se plaignent d’être malheureux et c’est un vrai problème, mais ce n’est pas une maladie telle qu’elle est considérée par le CIM.
Junior : Quand tu as la santé mentale, alors tu n’es pas malade.
Junior : L’approche du praticien devrait être plus humaniste et pas seulement clinique.
Senior : Je suis d’accord. De plus, nous (les psychiatres) devrions prescrire moins de médicaments, particulièrement pour les patients psychotiques. Nous devrions nous intéresser plus aux pratiques chinoises et africaines : ils sont plus focalisés sur le patient en tant que personne, selon mon opinion.
...
reseauprosante.fr
Stratégie et philosophie. La stratégie est de la philosophie en action. Il s'agit de réconcilier la pensée et l'action en privilégiant l'utilitarisme sur le moralisme.
Lumière sur la sclérose en plaques : la maladie, ses maux, mis en images par 4 femmes atteintes de SEP et deux photographes. Album réalisé pour la journée mondiale de la SEP.
WorldMSday organisé par la MSIF.
Revue "What's Up Doc" n°28 - Septembre Octobre 2016
Dans ce dossier :
J'ai exercé sous préjugés
Ces clichés qui nous collent à la peau
La fabrique des préjugés
Comment lutter contre les préjugés ?
L'IA ne nous affranchira pas de nos préjugés
Conclusion de l'enquête
Qui pense exercer sans préjugés peut être certain qu’il n’a pas conscience des siens… Les médecins que nous sommes doivent en permanence lutter contre leurs idées préconçues sur les obèses, les beaux, les hyper-propres, les très sales, les blancs, les noirs, les voilées, les métrosexuels, les personnes âgées, les ados, les handicapés, les « tox’ », les « psy »… La liste est longue tant les stéréotypes sont nombreux, chacun faisant plus ou moins profondément écho en nous.N'en déplaise à Hippocrate, il ne suffit pas de s'en dédouaner par serment pour en libérer notre exercice médical !Voyage introspectif dans la fabrique des préjugés pour comprendre comment ils nous influencent et comment, s’il se peut, nous pouvons nous en prémunir.
(...)
http://www.reseauprosante.fr/
Concevoir autrement, Une architecture pour autiste RababJkaoua
Projet de fin d'étude pour l'obtention du diplome d'architecte.
Réalisation d'un établissement secondaire adapté aux personnes atteintes d'autisme. Un projet fonctionnel, basé sur une recherche profonde, réalisé avec passion et sensibilité.
A toute personne atteinte d'autisme, ce travail est pour vous !
Libérer le Potentiel à l'Ère de la Transformation Numérique pour des Organisa...Mohamed Bouanane
À l'ère de l'Intelligence Artificielle (IA) et dans le monde interconnecté et à l'évolution hyperrapide d'aujourd'hui, la transformation numérique n'est plus un choix mais un impératif stratégique pour les organisations qui cherchent à devancer la concurrence ou à rendre des services à forte valeur ajoutée pour leurs clients ou leurs administrés.
En effet, les organisations sont de plus en plus sous pression pour s'adapter et exploiter la puissance des données, de l'analytique et de la transformation numérique afin d’améliorer leur efficacité au quotidien. Avec l'avènement de IA, le potentiel d'amélioration de l'efficacité opérationnelle, d'augmentation de la productivité et de satisfaction des clients et citoyens est plus grand que jamais. Pourtant, de nombreux dirigeants d'entreprises et du secteur public peinent à comprendre par où commencer et comment mesurer l'impact de ces technologies de pointe.
En somme, cet essai explore l’alchimie entre la transformation numérique, la gouvernance et l’intelligence des données, et l’adoption de l’IA pour réinventer les organisations, fournir des services innovants et créer de la valeur pour tous, en comprenant les subtilités de ces forces convergentes.
A la 23e position au classement général, le Luxembourg enregistre son plus mauvais résultat à ce jour. Cela témoigne de l’indéniable perte de compétitivité du pays. La dégradation des résultats du Luxembourg est continue depuis 2021 et particulièrement rapide depuis l’année 2022, le pays perdant 10 places en seulement 2 ans, entre 2022 et 2024.
Revue « Le Psy Déchaîné » n°15 – AFFEP – Novembre 2015
Nouvelle rubrique depuis le numéro 13 de votre journal, Parole au patient vient de notre envie d’aller à la rencontre des patients dans un autre cadre que celui de notre travail quotidien. Pas un entretien, mais plutôt une conversation avec ceux qui ont l’expérience de la maladie, et des soins en psychiatrie. Dans ce numéro, c’est dans un service de Grenoble que nous avons eu le plaisir d’aller rencontrer MJT, qui a accepté de répondre à nos questions, de nous raconter des petits bouts de son histoire. Nous la remercions de tout coeur.
1. Quel a été votre premiercontact avec la psychiatrie ?
Mon premier contact avec la psychiatrie, j’avais 14 ans. C’était après un long voyage en bateau de la Martinique au Havre. J’avais été malade pendant le voyage, je me plaignais beaucoup du ventre. On a cru que j’avais le mal de mer, j’ai vu des médecins de bord qui ne trouvaient pas ce que j’avais. En face de la cabine de mes parents, il y avait un médecin psychiatre à la Martinique qui rentrait en métropole. Il avait dit à mes parents : « Si on ne voit rien, c’est qu’elle fait une crise d’angoisse ». Encore maintenant je souffre beaucoup du ventre, et on me dit « c’est psychosomatique ». J’ai su après que ma mère, en rentrant de la Martinique sur le bateau des années avant, avait fait une tentative de suicide. Est-ce que c’est ça dont je me suis souvenu ? J’ai commencé à me rendre compte que j’avais une maladie mentale, à l’hôpital Sud quand j’avais 17 ans. Je suis tombé malade pour la première fois, après avoir fait une tentative de suicide. J’y suis restée jusqu’à mes 28 ans, à sortir, rentrer, sortir, rentrer. Depuis j’ai connu également l’hôpital de Saint-Egrève, plusieurs pavillons, je les ai fait tous… ça fait 39 ans de psychiatrie maintenant.
....
reseauprosante.fr
Revue "Le Psy déchainé" n°18 - AFFEP - Mars 2017
Quand je suis arrivée en médecine, j’avais un certain a priori sur la psychiatrie : mélange de littérature de bureau de tabac farcie de psychologie de bas étage et fascination intellectuelle teintée de classe dont Hannibal Lecteur pourrait avoir été l’instigateur premier. Dans tous les cas je m’attendais à une discipline assez fouillie, farfelue, avec une nette prédilection pour le brassage inutile des pensées, des interprétations fumeuses aux notes érotisées.
Devant cette définition personnelle franchement attirante de la discipline, je me suis donc empressée de me dégoter un stage en psychiatrie dès la 3ème année d’externat. J’ai pris soin de choisir un service assez lourd, cliché asilaire, histoire de commencer directement dans le vif du sujet et de ne pas y aller par quatre chemins. Et là, quelle délicieuse surprise, pour mon esprit cartésien de jeune carabine, j’ai fait la connaissance des cases diagnostiques, des classifications internationales type CIM, DSM... bref, des cases !
Oh, elles m’étaient familières ces cases, depuis 4 ans, comme tous les autres étudiants, nous tentions de les empiler savamment dans nos esprits sans qu’elles ne s’écroulent. On nous a appris tout notre cursus que les petites cases étaient nos amies.
Question de prof : « Quels sont les critères ECG de l’hyperkaliémie ? » « Allez-y, tirez les tiroirs, toujours le même, ça doit devenir automatique dans vos esprits, pas besoin de réfléchir ! ». Il fallait absolument caser les choses, les classer... (...)
http://www.reseauprosante.fr
Guy Simonin, Synthèse du colloque Des clowns et des sciencesGroupe Traces
Synthèse par Guy Simonin, directeur scientifique d'Universcience, du colloque "Des clowns et des sciences" qui s'est tenu du 20 au 22 juin 2012 à l'Espace des sciences Pierre-Gilles de Gennes, à la Cité des sciences et de l'industrie et au Palais de la Découverte.
L’inclusion dans les équipes agiles : les personnes neuro-atypiquesAlice Barralon
Ayant travaillé avec des personnes neuro-atypiques (HPI, troubles autistiques), je me suis interrogée sur leur position dans une équipe agile dite auto-managée.Quelle est leur place?Comment gère ton leur émotions?Comment les comprendre?Comment accueillir nos différences?On en entend beaucoup parler chez les enfants (DYS, HPI, zèbre, etc). Mais chez les adultes c'est silence radio... que deviennent-ils ?
Folie Culture et Ethnopsychiatrie - Le risque de l’exotisme à deux sousRéseau Pro Santé
Revue « Le Psy Déchaîné » n°15 – AFFEP – Novembre 2015
L’ethnopsychiatrie, selon celui qui est considéré par tous comme son chef de file, se détache de la psychiatrie transculturelle, qui « permet au psychiatre de continuer à pratiquer le même métier auprès de populations culturellement hétérogènes, de parvenir, par exemple, à un diagnostic de schizophrénie ou de dépression, même dans un monde où le mot – et peut-être jusqu’à la chose – n’existe pas. » 1
Professeur de psychologie, désigné ethno-psychiatre, Tobie Nathan affirme sur son blog que la schizophrénie n’existe pas dans le « monde » africain. Laissant une limite floue entre « monde des esprits » et « monde des humains », son discours laisse entendre que la schizophrénie serait une invention de l’Homme blanc importée en Afrique avec la colonisation.
Invité quasi systématique des émissions de radios qui traitent du sujet de la Folie en Afrique, et multipliant les interviews auprès des magazines de vulgarisation psychologique, il assène auprès du grand public l’idée qu’ « un Africain, un Malais, un Indien, un Européen seront malades différemment », et que « les peuples traditionnels ont leur propre psychopathologie ».
Le cerveau des hommes d’origine africaine fonctionnerait- il donc différemment de celui des hommes d’origine caucasienne ? Cette idée absurde est toutefois maintes et maintes fois reprises dans le discours de l’expert autoproclamé des maladies mentales en Afrique.
Selon sa vision dualiste, le psychisme, composé « des esprits, des démons, ou encore des dieux », pourrait être détaché du biologique, vulgairement réduit à « des virus et bactéries, ou des gènes »…
La Folie se traiterait donc en Afrique grâce aux thérapeutes traditionnels, ayant pour fonction « d’éloigner du patient ces êtres maléfiques en les dupant ».
reseauprosante.fr
La santé mentale parlons-en - Un projet intergénérationnel & internationalRéseau Pro Santé
Revue « Le Psy Déchaîné » n°15 – AFFEP – Novembre 2015
L’International Mental Health Congress (IMHC) s’est déroulé dans notre jolie ville de Lille du 28 au 30 avril sur le thème de la « santé mentale pour tous ».
L’Association Lilloise de l’Internat et du Post-internat de Psychiatrie (ALI2P) a eu la chance d’y participer, en animant une discussion virtuelle, à la rencontre des congressistes, venus des quatre coins du monde et issus de différentes générations. L’objectif était de partager des réflexions, des expériences, et des idées sur divers sujets autour de la santé mentale, en invitant chaque personne à rebondir sur ce qui avait été dit par la précédente.
Vous trouverez dans ces quelques pages le résultat de notre projet, on vous souhaite une bonne lecture !
QU’EST-CE QUE LA SANTE MENTALE ?
Senior : Il n’y a pas vraiment de définition. Chaque praticien a la sienne. Même si une définition consensuelle existe, donnée par l’OMS, nous ne sommes pas forcément en accord avec.
Junior : Je suis d’accord avec ça, chacun a sa propre définition. Pour moi, c’est le sentiment qu’on a quand on contrôle sa vie.
Senior : La santé mentale n’existe pas. Il y a des maladies mentales et la santé mentale ne fait pas partie de la psychiatrie.
Junior : En fait, je pense que cela a plus à voir avec le bonheur.
Senior : Les jeunes se plaignent d’être malheureux et c’est un vrai problème, mais ce n’est pas une maladie telle qu’elle est considérée par le CIM.
Junior : Quand tu as la santé mentale, alors tu n’es pas malade.
Junior : L’approche du praticien devrait être plus humaniste et pas seulement clinique.
Senior : Je suis d’accord. De plus, nous (les psychiatres) devrions prescrire moins de médicaments, particulièrement pour les patients psychotiques. Nous devrions nous intéresser plus aux pratiques chinoises et africaines : ils sont plus focalisés sur le patient en tant que personne, selon mon opinion.
...
reseauprosante.fr
Stratégie et philosophie. La stratégie est de la philosophie en action. Il s'agit de réconcilier la pensée et l'action en privilégiant l'utilitarisme sur le moralisme.
Lumière sur la sclérose en plaques : la maladie, ses maux, mis en images par 4 femmes atteintes de SEP et deux photographes. Album réalisé pour la journée mondiale de la SEP.
WorldMSday organisé par la MSIF.
Revue "What's Up Doc" n°28 - Septembre Octobre 2016
Dans ce dossier :
J'ai exercé sous préjugés
Ces clichés qui nous collent à la peau
La fabrique des préjugés
Comment lutter contre les préjugés ?
L'IA ne nous affranchira pas de nos préjugés
Conclusion de l'enquête
Qui pense exercer sans préjugés peut être certain qu’il n’a pas conscience des siens… Les médecins que nous sommes doivent en permanence lutter contre leurs idées préconçues sur les obèses, les beaux, les hyper-propres, les très sales, les blancs, les noirs, les voilées, les métrosexuels, les personnes âgées, les ados, les handicapés, les « tox’ », les « psy »… La liste est longue tant les stéréotypes sont nombreux, chacun faisant plus ou moins profondément écho en nous.N'en déplaise à Hippocrate, il ne suffit pas de s'en dédouaner par serment pour en libérer notre exercice médical !Voyage introspectif dans la fabrique des préjugés pour comprendre comment ils nous influencent et comment, s’il se peut, nous pouvons nous en prémunir.
(...)
http://www.reseauprosante.fr/
Concevoir autrement, Une architecture pour autiste RababJkaoua
Projet de fin d'étude pour l'obtention du diplome d'architecte.
Réalisation d'un établissement secondaire adapté aux personnes atteintes d'autisme. Un projet fonctionnel, basé sur une recherche profonde, réalisé avec passion et sensibilité.
A toute personne atteinte d'autisme, ce travail est pour vous !
Libérer le Potentiel à l'Ère de la Transformation Numérique pour des Organisa...Mohamed Bouanane
À l'ère de l'Intelligence Artificielle (IA) et dans le monde interconnecté et à l'évolution hyperrapide d'aujourd'hui, la transformation numérique n'est plus un choix mais un impératif stratégique pour les organisations qui cherchent à devancer la concurrence ou à rendre des services à forte valeur ajoutée pour leurs clients ou leurs administrés.
En effet, les organisations sont de plus en plus sous pression pour s'adapter et exploiter la puissance des données, de l'analytique et de la transformation numérique afin d’améliorer leur efficacité au quotidien. Avec l'avènement de IA, le potentiel d'amélioration de l'efficacité opérationnelle, d'augmentation de la productivité et de satisfaction des clients et citoyens est plus grand que jamais. Pourtant, de nombreux dirigeants d'entreprises et du secteur public peinent à comprendre par où commencer et comment mesurer l'impact de ces technologies de pointe.
En somme, cet essai explore l’alchimie entre la transformation numérique, la gouvernance et l’intelligence des données, et l’adoption de l’IA pour réinventer les organisations, fournir des services innovants et créer de la valeur pour tous, en comprenant les subtilités de ces forces convergentes.
A la 23e position au classement général, le Luxembourg enregistre son plus mauvais résultat à ce jour. Cela témoigne de l’indéniable perte de compétitivité du pays. La dégradation des résultats du Luxembourg est continue depuis 2021 et particulièrement rapide depuis l’année 2022, le pays perdant 10 places en seulement 2 ans, entre 2022 et 2024.
10 erreurs ChatGPT les plus courantes à avoir sous la main pour maximiser votre expérience lors de l'utilisation de cette interface conversationnelle qui vous met en relation avec l'IA. Que vous soyez un nouvel utilisateur ou un.e habitué.e de ChatGPT, la connaissance de ces 10 erreurs à éviter, vous aidera à faire un usage efficace et pertinent de l'interface. L'essentiel de ces 10 choses à ne pas faire avec ChatGPT est également disponible sur le blog .
https://axiz-ebusiness.com/10-erreurs-chatgpt-a-eviter/
Exemple Prompt ChatGPT Gratuit détaillé en 6 étapes pour une compréhension facile et simple à appliquer à la communication avec ChatGPT, Perplexity ou autres IA similaires.
*exemple Prompt ChatGPT pas à pas*
Vous trouvez que ChatGPT est plus une énigme qu'une solution? Il est temps de revoir *votre communication avec ChatGPT* pour obtenir des résultats efficaces.
Avec l'exemple prompt ChatGPT décortiqué dans cette vidéo, vous apprendrez en 6 étapes comment transformer vos prompts ChatGPT habituels en prompts magiques.
*Ingrédients d'un prompt ChatGPT magique*
Exemple prompt cas d'usage rédaction post de blog sur le thème "les bienfaits de la méditation"
1. Commencez toujours par un **verbe d'action**.
L'ordre doit être spécifique pour guider l'IA de manière précise.
2. Fournissez le *contexte* de la thématique abordée
Il est crucial de délimiter le cadre de votre demande : détails sur la situation, la circonstance, l'atmosphère, le cadre, la conjoncture, ou la toile de fond.
3. Donnez-lui un *exemple*
Cela peut être un paragraphe d'un post, une URL, ou même une maquette visuelle. Laissez l'IA s'inspirer de cet exemple pour produire un contenu de qualité.
4. Présentez-lui le *persona*
Définissez clairement le persona ciblé à qui le billet du blog est destiné.
5. Précisez le *format*
Spécifiez le format du rendu souhaité. Cela peut être un texte avec des puces, un email, un script vidéo, un post de blog, un tableau comparatif, etc.
6. Précisez la *tonalité*
La tonalité du contenu est également importante. Indiquez si vous souhaitez un ton professionnel, conversationnel, humoristique, inspirant, ou autre. Par exemple, pour un article sur la méditation, vous pourriez demander un ton optimiste et positif, avec la personnalité d'un professeur de yoga amical et passionné.
7. Ajoutez **votre touche**!
N'hésitez pas à demander à ChatGPT d'ajouter une touche personnelle ou créative. Par exemple, vous pourriez dire "Surprends-moi avec un rebondissement inattendu" ou "Inclure une référence drôle".