Le Centre Médico-Social (CMS) de Saint-Sébastien-sur-Loire a pris, depuis le 25 avril, ses quartiers au rez-de-chaussée du 15, rue Mainguet.
Ses nouveaux locaux, spacieux et accessibles, répondent mieux à l’accueil du public, de plus en plus nombreux à se déplacer dans le centre sébastiennais (+12,8% de personnes reçues l’année dernière par rapport à 2011).
Vaccins, examens, visites à domicile auprès des familles d’enfants âgés de moins de 6 ans, attribution d’aides financières aux familles en situation de précarité, accompagnement des allocataires du RSA… : neuf professionnels de l’action sociale (4 assistantes sociales, 2 puéricultrices, 2 secrétaires médico-sociales et 1 médecin) y écoutent, informent et aident les habitants de la commune.
Le Centre Médico-Social (CMS) de Saint-Sébastien-sur-Loire a pris, depuis le 25 avril, ses quartiers au rez-de-chaussée du 15, rue Mainguet.
Ses nouveaux locaux, spacieux et accessibles, répondent mieux à l’accueil du public, de plus en plus nombreux à se déplacer dans le centre sébastiennais (+12,8% de personnes reçues l’année dernière par rapport à 2011).
Vaccins, examens, visites à domicile auprès des familles d’enfants âgés de moins de 6 ans, attribution d’aides financières aux familles en situation de précarité, accompagnement des allocataires du RSA… : neuf professionnels de l’action sociale (4 assistantes sociales, 2 puéricultrices, 2 secrétaires médico-sociales et 1 médecin) y écoutent, informent et aident les habitants de la commune.
1.
Ils
offrent
leur
RTT
à
un
collègue
pour
sa
fille
malade,
la
hiérarchie
refuse
24/02/2014
Mis
à
jour
le
24/02/2014
à
9:18
Ils
voulaient
offrir
leurs
RTT
à
un
collègue
pour
lui
permettre
de
rester
auprès
de
sa
fille,
hospitalisée.
La
hiérarchie
a
refusé.
Christophe
Grosjean
est
brigadier-‐chef
de
police
au
commissariat
de
Nancy,
père
d'une
petite
fille
de
8
ans
atteinte
d'une
maladie
génétique
rare
(le
syndrone
de
Schwachman).
Elle
doit
subir
une
greffe
de
moëlle
osseuse
pour
laquelle
elle
restera
hospitalisée
6
mois,
à
l'hôpital
Necker
de
Paris.
Pour
qu’il
puisse
rester
auprès
d'elle,
une
centaine
de
ses
collègues
ont
décidé
de
lui
offrir
des
jours
de
RTT.
Mais
la
hiérarchie
a
refusé
car
la
loi
ne
prévoit
pas
de
don
de
jours
de
congés
entre
agents
de
l'Etat.
Une
déception
pour
le
papa,
même
s'il
préfère
retenir
l'élan
de
solidarité.
"Aucune
loi
ni
règlement
n’existe,
m'a
répondu
l'administration.
Je
pense
que
lors
d’une
situation
exceptionnelle,
il
y
a
une
autre
réponse
à
donner.
Ce
qui
me
réconforte,
c’est
d’avoir
pu
remarquer
que
la
solidarité
était
toujours
présente.
C’est
très
émouvant.
La
seule
chose
qui
m’anime,
c’est
d’être
près
de
ma
fille."
Une
proposition
de
loi
autorisant
le
don
de
jours
de
repos
entre
salariés
et
agents
de
l'administration
a
été
votée
en
janvier
2012
à
l'Assemblée
mais
elle
n'est
toujours
pas
entrée
en
vigueur.
Elle
n'a
même
jamais
franchi
les
portes
du
Sénat...
”Faire
preuve
d’humanité”
"On
n’a
pas
retenu
l’humanité
du
dossier",
a
déploré
Virgnie
Grosjean,
la
mère
d'Eva.
"Il
s’agit
d’une
petite
fille
de
8
ans,
qui
a
besoin
de
son
père.
L'opération
est
très
douloureuse.
Même
pour
un
adulte,
c’est
très
douloureux.
Je
sais
que
l’administration
est
une
grande
machine.
Mais
même
la-‐dedans,
on
attend
qu’une
personne
fasse
preuve
d’humanité
et
débloque
les
choses."
Dans
le
privé,
des
cas
de
dons
de
RTT
existant:
en
2011,
les
salariés
de
Badoit
avaient
par
exemple
offert
170
jours
de
RTT
à
l'un
de
leurs
collègues
pour
accompagner
jusqu'au
bout
son
enfant
atteint
d'un
cancer
du
foie.
Même
élan
de
solidarité
chez
Fuji-‐Autotech,
cette
fois
en
faveur
d'une
employée
dont
le
mari
souffrait
d'un
lymphome.
La
Rédaction
avec
Martin
Bodrero