Pour une société apprenante - propositions pour une stratégie nationale de l...Collectif PAPERA
Inscrite dans la loi pour l’enseignement supérieuret la recherche du 22 juillet 2013, la stratégie nationale de l'enseignement supérieur (StraNES) a pour ambition de définir les objectifs nationaux engageant l'avenir à l'horizon des 10 prochaines années et de proposer les moyens de les atteindre. Cette page présente le rapport de propositions issu d'une large concertation.
La HELHa veut devenir un acteur de référence de l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles pour la formation de professionnels à hautes valeurs ajoutées : compétence, épanouissement et solidarité.
Meilleur Écoles de spectacle aux États-Unis pour étudier, 2023.pdfTheKnowledgeReview2
Dans le paysage éducatif en constante évolution aux États-Unis, une vague de transformation accélère les normes traditionnelles d’enseignement et d’apprentissage.
Pangaea Lab #1- Apprentissage tout au long de la vie - 20 février 2015PangaeaLab
Première édition de ces ateliers d'échanges autour de l'apprentissage tout au long de la vie avec des participants venant du monde académique, du travail et du communautaire.
Plus d'information : http://bit.ly/1EszDrq
L’Université en 2035 : comment la préparer "à faire société" dès aujourd’hui ?Marcel Lebrun
Communication lors de l'ABC-Day 2017 (ABC-Educ, Association Belge des Chercheurs en Education) du 21 février 2017.
Que sera "l'école" au XXIème siècle ? Quelles sont les tendances actuelles dans lesquelles se nichent les formes de l'enseignement supérieur du début de troisième millénaire ? Quels défis et quelles valeurs fondent ces transformations ? Quelles compétences pour les dirigeants et les enseignants afin de à la fois contribuer à l'émergence de l'innovation et participer à son instauration dans les structures ? Au confluent de différentes tendances telles les approches par compétences ou programme, les méthodes actives et créatives, les dispositifs hybrides, la culture numérique ... peut-on déjà esquisser l’université de demain ? De quelle façon "fera-t-elle société" dans les années à venir ?
À l'occasion de ces 20 ans d'existence, notre laboratoire a mis en place une formule originale pour préparer en mode co-élaboratif et dès à présent les 20 ans à venir : Imaginer l'université en 2035. Basée sur les principes de l’innovation ouverte, à mi- chemin entre un Hackathon et un Thinktank, l'activité Hack’Apprendre est conçue comme un laboratoire, un espace où explorer le futur de la pédagogie pour susciter l’inspiration et encourager l’action. C'est ainsi que pendant toute une journée (amorcée au préalable et collectivement par un recueil d'idées) environ 80 participants (entrepreneurs, responsables, administratifs, enseignants et étudiants) travaillant en 8 groupes tutorés ont problématisé la thématique (à l'aide de différentes techniques de créativité inspirées du Creative Problem solving (CPS) et du Design Thinking tels que PPCo (Plus, Potentiels, Craintes & Options), Concept Box, etc.) avant d'émettre leurs solutions et propositions. Le scénario constitué de différents temps de divergence et de convergence était fortement marqué par le CQFD propre au brainstorming (ne pas Critiquer, favoriser l'émergence d’une Quantité d'idées, idées Farfelues bienvenues et Démultiplication des idées). La journée s'est clôturée par une présentation brève des "projets" sous la forme d’un pitch de 180 secondes et la remise de coups de cœur par des acteurs de l'innovation résolus à accompagner et à continuer le développement de certaines innovations présentées. Même si "le numérique" était bien présent par ses caractéristiques potentielles d'ouverture, de reconfiguration des espaces-temps, d'interpénétration des contextes et d'interdisciplinarité, d'apprentissages toute la vie durant ... il n'était cependant pas placé en point de mire de ces mutations.
Lors de la communication, nous présenterons la méthodologie particulière de cette journée, les perceptions des tuteurs, l'évaluation réalisée auprès des participants et quelques résultats en termes d’orientation pour les années à venir. Les conclusions mettront en évidence 8 pistes qui conduisent l'Université à "faire davantage société".
This document contains a single word - "GMA6PhotoAlbum" - which appears to be the title of an album or collection. In a very concise form, it relates to photos organized into an album potentially related to GMA6.
The Secretary General concludes the meeting by thanking the participants for their rich and productive conversation. She notes they focused on challenges and solutions for higher education to increase social innovation, including recognition in academia and interdisciplinarity. While some viewed universities negatively, discussions highlighted positive examples like supportive research funders in Canada and universities creating innovation labs. The diversity of participants enriched the discussions by providing contextual insights. All agreed new problems require new solutions and a paradigm shift is needed in learning, research and community engagement to better address social issues through social innovation. The Secretary General thanks all involved in organizing the successful meeting.
Pour une société apprenante - propositions pour une stratégie nationale de l...Collectif PAPERA
Inscrite dans la loi pour l’enseignement supérieuret la recherche du 22 juillet 2013, la stratégie nationale de l'enseignement supérieur (StraNES) a pour ambition de définir les objectifs nationaux engageant l'avenir à l'horizon des 10 prochaines années et de proposer les moyens de les atteindre. Cette page présente le rapport de propositions issu d'une large concertation.
La HELHa veut devenir un acteur de référence de l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles pour la formation de professionnels à hautes valeurs ajoutées : compétence, épanouissement et solidarité.
Meilleur Écoles de spectacle aux États-Unis pour étudier, 2023.pdfTheKnowledgeReview2
Dans le paysage éducatif en constante évolution aux États-Unis, une vague de transformation accélère les normes traditionnelles d’enseignement et d’apprentissage.
Pangaea Lab #1- Apprentissage tout au long de la vie - 20 février 2015PangaeaLab
Première édition de ces ateliers d'échanges autour de l'apprentissage tout au long de la vie avec des participants venant du monde académique, du travail et du communautaire.
Plus d'information : http://bit.ly/1EszDrq
L’Université en 2035 : comment la préparer "à faire société" dès aujourd’hui ?Marcel Lebrun
Communication lors de l'ABC-Day 2017 (ABC-Educ, Association Belge des Chercheurs en Education) du 21 février 2017.
Que sera "l'école" au XXIème siècle ? Quelles sont les tendances actuelles dans lesquelles se nichent les formes de l'enseignement supérieur du début de troisième millénaire ? Quels défis et quelles valeurs fondent ces transformations ? Quelles compétences pour les dirigeants et les enseignants afin de à la fois contribuer à l'émergence de l'innovation et participer à son instauration dans les structures ? Au confluent de différentes tendances telles les approches par compétences ou programme, les méthodes actives et créatives, les dispositifs hybrides, la culture numérique ... peut-on déjà esquisser l’université de demain ? De quelle façon "fera-t-elle société" dans les années à venir ?
À l'occasion de ces 20 ans d'existence, notre laboratoire a mis en place une formule originale pour préparer en mode co-élaboratif et dès à présent les 20 ans à venir : Imaginer l'université en 2035. Basée sur les principes de l’innovation ouverte, à mi- chemin entre un Hackathon et un Thinktank, l'activité Hack’Apprendre est conçue comme un laboratoire, un espace où explorer le futur de la pédagogie pour susciter l’inspiration et encourager l’action. C'est ainsi que pendant toute une journée (amorcée au préalable et collectivement par un recueil d'idées) environ 80 participants (entrepreneurs, responsables, administratifs, enseignants et étudiants) travaillant en 8 groupes tutorés ont problématisé la thématique (à l'aide de différentes techniques de créativité inspirées du Creative Problem solving (CPS) et du Design Thinking tels que PPCo (Plus, Potentiels, Craintes & Options), Concept Box, etc.) avant d'émettre leurs solutions et propositions. Le scénario constitué de différents temps de divergence et de convergence était fortement marqué par le CQFD propre au brainstorming (ne pas Critiquer, favoriser l'émergence d’une Quantité d'idées, idées Farfelues bienvenues et Démultiplication des idées). La journée s'est clôturée par une présentation brève des "projets" sous la forme d’un pitch de 180 secondes et la remise de coups de cœur par des acteurs de l'innovation résolus à accompagner et à continuer le développement de certaines innovations présentées. Même si "le numérique" était bien présent par ses caractéristiques potentielles d'ouverture, de reconfiguration des espaces-temps, d'interpénétration des contextes et d'interdisciplinarité, d'apprentissages toute la vie durant ... il n'était cependant pas placé en point de mire de ces mutations.
Lors de la communication, nous présenterons la méthodologie particulière de cette journée, les perceptions des tuteurs, l'évaluation réalisée auprès des participants et quelques résultats en termes d’orientation pour les années à venir. Les conclusions mettront en évidence 8 pistes qui conduisent l'Université à "faire davantage société".
This document contains a single word - "GMA6PhotoAlbum" - which appears to be the title of an album or collection. In a very concise form, it relates to photos organized into an album potentially related to GMA6.
The Secretary General concludes the meeting by thanking the participants for their rich and productive conversation. She notes they focused on challenges and solutions for higher education to increase social innovation, including recognition in academia and interdisciplinarity. While some viewed universities negatively, discussions highlighted positive examples like supportive research funders in Canada and universities creating innovation labs. The diversity of participants enriched the discussions by providing contextual insights. All agreed new problems require new solutions and a paradigm shift is needed in learning, research and community engagement to better address social issues through social innovation. The Secretary General thanks all involved in organizing the successful meeting.
This document summarizes the findings of a global study on organizational structures that support community-university research partnerships (CURPs). The study included a global survey of 336 respondents from 53 countries as well as 12 case studies. Key findings include that most higher education institutions have created structures to support CURPs in the last 10 years, but there is still a large variation in how CURPs are conceptualized and practiced globally. National policies that explicitly include community engagement and research in higher education tend to encourage the institutionalization of CURPs. Specific funding programs and knowledge-sharing platforms at the national level also help strengthen CURPs. While many countries have made progress, true co-creation of knowledge and accountability to communities is still lacking in most partnerships.
This document contains the opening remarks from the Secretary General of the International Association of Universities (IAU) at the 6th Global Meeting of Associations. The Secretary General welcomed participants and thanked partners for hosting the event in Montreal. Originally planned for Accra, Ghana, the meeting was relocated due to Ebola and the theme was changed to "Social Innovation". Over the two-day event, participants will discuss the role of universities and associations in social innovation through case studies and panels on defining social innovation, measuring impact, and engaging stakeholders. The Secretary General emphasized that while technology is important, social problems require social solutions and universities are well-positioned to contribute through learning, research, and outreach.
Rémi Quirion, Chief Scientist of Québec, discusses social innovation and the future of higher education. As Chief Scientist, he advises the government on research strategy and chairs boards that fund intersectoral research on major societal challenges. The three Fonds de recherche du Québec support research, training, and knowledge mobilization. Examples of knowledge mobilization centers focus on social issues. The FRQ also supports innovative social practices through strategic clusters, research teams, and Actions concertées programs that foster co-creation with partners. Looking ahead, Quirion suggests increasing social innovation training and focusing research on challenges like demographic changes, the labor market, sustainability, and measuring social impact. Key will be
This document discusses measuring the impact of higher education on social innovation. It notes that while impact has become a popular concept, universities have always aimed to serve society. Measuring impact is challenging as it involves both qualitative and quantitative factors. The workshop will discuss how higher education contributes to social innovation and how this is currently being measured and monitored within universities and their effects on society. The impact of universities is complex and involves things like research, teaching, culture, projects and generating trust.
The document summarizes a citizens' agenda for science, technology and innovation organized by UDUAL and various Mexican universities and government institutions. It describes a national consultation process held in Mexico from 2012-2013 that allowed citizens to vote on and discuss 10 proposed challenges. The top 3 voted challenges were to modernize education, ensure clean drinking water, and improve environmental protection. Over 70 organizations participated in the initiative. Following the consultation, 10 volumes of analysis and solutions were published. A university contest was also held asking students to propose innovative projects addressing the 10 challenges. The overall goals were to increase citizen participation in science policy and promote social innovation.
The document discusses social innovation at Kenyatta University in Kenya. It defines social innovation as novel solutions to socio-economic challenges. The benefits of social innovation include social outcomes like inclusion, education, and health, as well as workplace benefits like productivity and improved services. Universities can promote social innovation through programs, labs, and developing leaders to solve challenges. Kenyatta University engages in several social innovation initiatives including a business incubation center, funeral home, legal aid clinic, supporting orphans, student work programs, and building a teaching hospital. It emphasizes the importance of partnerships, leadership, and institutionalizing creativity to promote social innovation.
The document discusses social innovation and transformative change in higher education. It argues that social innovation often ignores power imbalances and fails to build community capacity for change. True social change requires higher education to challenge injustice, environmental degradation, and inequality through transformative knowledge that values multiple ways of knowing. It calls for universities to form equal partnerships with communities and social movements to co-create knowledge aimed at sustainable, inclusive development. The document recommends that higher education educate citizens committed to ethical values and social responsibility by linking teaching, research, and engagement to real-world problems through participatory learning.
The document discusses the establishment of the Inter-American Network of Co-Laboratories in Social Innovation (REDICIS) by the Inter-American Organization for Higher Education (IOHE). REDICIS aims to encourage knowledge sharing and partnerships between higher education institutions working in social innovation. It currently includes 14 universities and 5 organizations across 9 countries in the Americas. The network seeks to consolidate reference centers for social innovation, develop training in the field, and support decision-making around measuring, evaluating, and funding social innovation initiatives.
The document discusses social innovation at the University of Gothenburg. It notes that global challenges require new solutions and universities are well-positioned partners. The University of Gothenburg has strong interdisciplinary research and education, a focus on sustainable development, and a history of stakeholder collaboration. It provides support for social innovation projects that address societal problems through knowledge and are sustainable over time. An example success story is the University of Gothenburg Centre for Person-centred Care, which improved patient care while reducing costs through interdisciplinary research. Challenges include understanding societal problems and increasing investment in certain fields of study.
This document discusses social innovation and its relationship to social impact. It explores how social innovation can drive systemic change through four elements: being purpose driven, viewed as a new phenomenon, led by communities, and through developing equipped ecosystems. The document also examines challenges and perspectives for social innovation in higher education, including the need for theoretical and practical knowledge, motivation, transdisciplinary work, and strategic development. Finally, it poses questions about how institutions can transition towards new collaborations and whether they are currently part of the problem or solution regarding social innovation.
The document discusses measuring the impact of social innovation. It makes three key points:
1. Measuring the impact of social innovation is challenging due to its complex, long-term nature and dependence on social contexts.
2. Universities should better support the evaluation of social innovation through monitoring inputs/outputs, using relevant indicators, and developing new evaluation models like developmental evaluation.
3. Networks like OLTIS, CLT, and RQIS in Quebec help catalyze social innovation and support its evaluation through knowledge transfer between researchers and communities.
The document summarizes the 6th Global Meeting of Associations held in Montreal from 6-8 May 2015. It discusses GUNi's membership network and projects focusing on analyzing the dual responsibilities of universities at local and global scales. Key areas of focus include identifying best practices for universities to improve social, cultural, and economic impact locally and globally while addressing conflicts between local/global demands. International expert working groups will be formed among UNESCO chairs and city-university partnerships to test frameworks in Catalonia and make recommendations.
The document discusses social innovation, specifically regarding drone technology. It notes that drones have promising economic and social applications, and their use could create significant economic opportunities. However, several challenges around regulation, safety, privacy, and public acceptance must be overcome to realize the benefits of drone technology. Social innovation requires collaboration between government, academia, the private sector, and communities. Government can play various roles in supporting social innovation from regulating to enabling to endorsing.
The document discusses social innovation and its place in higher education for sustainability. It defines sustainability as meeting present needs without compromising future generations' ability to meet their own needs. Social innovation moves from an unsustainable model of separate disciplines to a transdisciplinary approach that provides a more comprehensive understanding. Higher education needs to become more future-oriented, challenge existing approaches, and focus on community through practices like social innovation to work toward a more balanced and sustainable model.
The document discusses the benefits of exercise for mental health. Regular physical activity can help reduce anxiety and depression and improve mood and cognitive function. Exercise causes chemical changes in the brain that may help protect against developing mental illness and improve symptoms for those who already suffer from conditions like anxiety and depression.
1. Association Internationales des Universités<br />13e Conférence générale<br />Atelier parallèle<br />Construire un espace universitaire mondial et solidaire<br />16 juillet 2008 – Utrecht - Pays-Bas<br />Introduction : JD Assié *<br />Entraîné par le processus de mondialisation, l’enseignement supérieur a été universellement marqué, au cours de cette décennie, par une évolution considérable, notamment attisée par l'importante augmentation de la mobilité des étudiants, des personnels académiques, par l’émergence d'une offre renforcée de l’enseignement supérieur privé et par l’avènement de l’enseignement à distance.<br />Par l'effet de la mondialisation, les écarts entre les institutions de formation et de recherche à travers le monde n'ont jamais été aussi visibles et sans doute importants, tant en termes d'approches culturelles qu'en niveaux de développement. Et pourtant, les échanges et les rapprochements semblent n'avoir jamais été aussi intenses entre elles.<br />Tout porte heureusement à considérer que le monde qui vient ne sera ni unifié, ni uniformisé.<br />Il devrait exprimer plutôt une pluralité fondée sur des bases redéfinies non seulement en termes de marché, de sécurité, d’identité, mais aussi en termes d’appui au développement.<br />Souhaitons qu'il ne repose plus sur l’opposition entre les universités du Nord, riches et les universités du Sud dites pauvres, mais sur leurs permanents échanges, sur leur renouvellement, sur leurs capacités d’innovation et sur leur volonté de conjuguer leurs efforts et leurs engagements. A ce titre, il est important d’observer qu’une université comme celle de Montréal a adopté, en 2006, dans son plan de développement, l’idée d’apporter 1% de son budget en appui à deux universités du Sud (Université d’Etat d’Haïti et Université de Ouagadougou). S’agit d’un signe du nouveau changement majeur ?<br />Dès lors, comment les universités peuvent-elles conjuguer l’exigence de compétitivité avec le souci du développement ?<br />Comment transformer la mondialisation universitaire, marquée par ses fractures, en une culture de partage des savoirs, de solidarité et de refus de modèles imposés ?<br />Comment organiser le nécessaire dialogue entre les universités, quelles que soient leurs forces et leurs faiblesses, pour partager une culture commune sur la mobilité, la diplômation et l’excellence ?<br />Comment renforcer l'offre de formation et de recherche des universités du Sud apte à répondre aux besoins exigés par leur environnement en termes de développement humain ?<br />Comment concilier le besoin de normalisation internationale pour favoriser les échanges et la mobilité dans une dynamique de qualité ET la prise en compte de la diversité des cultures et des contextes ?<br />Finalement, la construction d’un espace universitaire mondial et solidaire, où prime le dialogue plus que l’affrontement, la solidarité autant que la compétition, n'est-elle pas autant nécessaire que possible? Mais alors comment le construire ?<br />C'est sur ce thème que l'atelier invite ses participants à s'exprimer :<br />Mr Jamil Salmi est le coordinateur du réseau de la Banque mondiale pour les professionnels de l'enseignement tertiaire et a été le représentant officiel de la Banque mondiale lors de la Conférence mondiale de l'UNESCO sur l'enseignement supérieur de 1998 et en 2003.<br />Mr Salmi est également, entre autres responsabilités internationales notoires :<br />−membre du Réseau consultatif international de la Fondation du Leadership pour l'enseignement supérieur, Royaume-Uni,<br />−membre du Comité de rédaction de la revue de l'OCDE quot;
Politiques et gestion de l'enseignement supérieurquot;
.<br />Il est diplômé de la grande école française ESSEC (École supérieure des sciences économiques et commerciales), de l’Université de Pittsburgh (master), Etats-Unis et de l’Université de Sussex, Royaume-Uni (Doctorat en études du développement).<br />Il a largement contribué ces dix dernières années aux réformes de l’enseignement tertiaire de plus de<br />35 pays à travers le monde. Il a aussi étroitement accompagné la planification stratégique de plusieurs universités publiques et privées en Colombie, au Kenya, au Mexique et au Pérou.<br />Mr Alain Arconte est Président de la CORPUCA (conférence régionale des présidents d'université de la Caraïbe) et Président Honoraire de l'Université française des Antilles et de la Guyane.<br />Au cours de sa carrière, il a occupé divers postes de haut niveau dans le secteur de l’enseignement supérieur, entre autres Membre nommé du Conseil d'Administration de l'Institut de Recherche sur le Développement (IRD), Membre élu du Comité Directeur de la FFSportU (Fédération française du sport universitaire) et Président du Conseil d'administration du CREPS Antilles-Guyane.<br />Il a été élu également Chevalier de l'ordre national du Mérite.<br />Mr Arconte est un brillant mathématicien dont les travaux de recherche portent essentiellement sur les problèmes de convergence en analyse des données.<br />M. Arconte va nous présenter une situation concrète et significative dans la région Caraïbe. Expérience de solidarité régionale pour promouvoir la modernisation des institutions de la région.<br />* Directeur, Programme « Renforcement de l’excellence universitaire, partenariats et relations avec les entreprises», Agence universitaire de la Francophonie (AUF)<br />