1. Présentation de la filière forêt-bois
québécoise
Robert Beauregard
Doyen
Faculté de foresterie, de géographie et
de géomatique
Forum franco-québécois
Bois & Forêt 2014
23 septembre 2014
7. Évolution de la possibilité annuelle
Source: MFFP
de coupe et de la récolte
8.
9.
10. 10
Variation de la valeur ajoutée en dollars
constants (taux composé)
Période 1970-1981 1981-1991 1991-2001 2001-2011
Exploitation forestière -0,66 % 1,27 % 3,53 % -3,85 %
Fabrication des produits bois 6,12 % 1,12 % 7,70 % -5,48 %
Fabrication du papier 3,64 % -1,93 % 5,10 % -8,37 %
Total 3,50 % -0,80 % 5,67 % -6,26 %
Sources : Ressources et industries forestières, Ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs et Statistiques
Canada pour l'indice des prix des produits industriels (IPPI).
12. 4
3
2
1
0
2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
$ Milliard
Exportations de produits du bois du
Québec (SCIAN)
Primaire
Secondaire
13. 50000
45000
40000
35000
30000
25000
20000
15000
10000
5000
0
12660
20072
Emplois
48465
16080
11591
9464
11590
40506
10151
8519
Forêt Bois 1e Bois 2e Papier 1e Papier 2e
2004
2011
14. Industrie à processus divergent
SCIURES
ÉQUARRIS
BROYATS
Panneaux fibre
ÉCORCES
Antisalissure
Mousses
isolantes
Absorbants
Colles
Biocides
Antioxydants
Bois d’oeuvre
MSR
Bois traité
Équarris Revêtements
Poutres
lamellé-collées
Sciures Litières
MDF/HDF
Moulures
Buchettes Granules Compost Énergie
Paillis
Biochar
Huiles
pyrolytiques
COPEAUX
Papier
Paillis
Ouate de cellulose
Laine de
bois Lignine
Panneaux
Panneaux
isolants
Liqueur noire
Viscose
Pâte kraft
Nanocellulose
cristalline Source: Y. Dessureault CRIQ
15. Le réseau de création de valeur de l’industrie
forestière
Forêt
Billes
Bois
d’oeuvre OSB
Contreplaqué Pâtes et
papiers
MDF
Résidus industriels
Résidus
industriels
Consommateurs
Sciage
Usine
d’OSB
Usine de
panneaux
Usine de
P&P
Usines
MDF, Prtcl
Billes
Billes
Billes
Résidus de
construction
Usine de
granules
Consommateurs Usine de
Centrale
d’énergie
Consommateurs
chimie verte
Biomasse
forestière
Résidus
forestiers
Résidus
forestiers
Granules
Granules
Éthanol,
bio-diésel,
Composés
chimiques
Électricité,
Chaleur
Produits du bois
Résidus
Energie
Bioénergie & biocarburant
Usine
biochimique
Usine de
granules
Centrale
d’énergie
Sources d’énergie
(électricité, gaz, charbon)
(Adapté de Feng et al. 2010)
17. Portrait du marché
Part de marché du bois au Québec
8000
7000
6000
5000
4000
3000
2000
1000
0
Résidentiel Non Résidentiel
Source: Statistiques Canada
Bois
98 %
7 milliards $
4 milliards $
Bois
6 %
(2006)
18. Portrait du marché
Part de marché du bois au Québec
En 2006 le bois occupait dans le secteur non-résidentiel
6% en valeur des mises en chantier
15% en nombre de mises en chantier
En 2010
20% en nombre de mises en chantier
19. Portrait du marché
Demande canadienne de bois d’oeuvre résineux
Résidentiel;
17%
40 millions de m3
Non
résidentiel;
2%
Réparation et
Rénovation;
50%
Industriel;
31%
20. 20
18
16
14
12
10
8
6
4
2
0
Livraisons québécoises de bois d’oeuvre
2002 2003 2004 2005 2006
G pmp
45 % exporté aux
États-Unis
Source: CIFQ
(Millions de m3)
21. Le panier de produits du Québec
60%
50%
40%
30%
20%
10%
0%
Source: CIFQ
(sciages résineux)
85 %
23. Taux d’utilisation des composants
Murs préfabriqués:
• 25- 30 % NE des EU
• 20 % au Québec
Fermes de toit préfabriquées:
• 75 % au EU.
• 98 % au Québec
au Québec
Solives d’ingénierie:
• 40-60% au EU.
• 80 % au Quebec
28. Chaire industrielle de recherche sur la
construction écoresponsable en bois
Concepteurs
Maîtres d’oeuvre
Utilisateurs
Coarchitecture
29. Articulation de la grappe industrielle de la
construction écoresponsable en bois
• La grappe industrielle de la construction
écoresponsable en bois se mobilise pour grandir
– Chaire industrielle de recherche sur la Construction
écoresponsable en bois (CIRCERB-UL)
– La Société d’habitation du Québec (SHQ) articule une
stratégie pour les épauler ce développement, visant
l’exportation du savoir-faire québécois
– D’ici 10 ans potentiel de :
• création de plus de 20 000 emplois;
• Augmentation de 3 B$ de la valeur des exportations.
30. Évolution du réseau de création de valeur de
l’industrie forestière
• A court terme et pour être en mesure de passer au
travers de la crise actuelle, il faut rendre les usines
existantes plus compétitives;
– Moderniser les usines existantes qui ont du potentiel à
moyen et long terme;
– Améliorer la compétitivité de l’approvisionnement en
allouant le bon bois à la bonne usine;
– Optimiser le réseau logistique de production de bois et
d’approvisionnement des usines pour réduire les coûts;
– Le développement de la filière de l’énergie de biomasse
forestière peut contribuer à maintenir les coûts
d’approvisionnement compétitifs…
31. Évolution du réseau de création de valeur de
l’industrie forestière
• Plusieurs initiatives voient le jour pour développer la
filière de la bioénergie de biomasse forestière à partir
de :
– Résidus d’opérations forestières;
– Résidus de transformation du bois;
– Résidus urbains post-consommation;
• Le potentiel existe à court terme pour la création de
réseaux locaux de chaleur substituant du mazout
lourd ainsi que pour la production et éventuellement
l’exportation de granules;
• La filière énergétique doit être développée mais elle
doit être bien dosée …
32. • Nano cellulose cristalline (Windsor);
• Filaments de cellulose (Trois-Rivières);
• Pâte à rayonne ou commerciale (Thurso);
• Bioraffinage et chimie verte;
• Composantes préfabriquées de systèmes de
construction;
• Bâtiments non résidentiels en bois;
• Exportation de systèmes de construction.
32
Des produits d’avenir
33. – Non-utilisation des pesticides chimiques
– Aménagement écosystémique
– Certification forestière
– Réduction des gaz à effet de serre (GES)
– Complémentarité entre les dimensions
économique et environnementale
– Secteur forestier : une force motrice de
l’économie verte de l’avenir (FAO-UNECE (Wood
and Forest Committee))
33
Forêt-bois et environnement
34. L’industrie de transformation du bois et les
ONG de l’environnement
• Les industriels doivent poursuivre leurs efforts de réduction
des coûts mais aussi, développer des modèles d’affaires
basés sur l’innovation et le développement de nouveaux
marchés.
• Les produits forestiers de demain étant des produits verts,
les entreprises forestières doivent développer une relation
partenariale de plus en plus profonde avec le mouvement
environnementaliste.
– Les initiatives telles que FSC, l’Entente boréale ou la
Coalition bois Québec sont autant d’exemples d’alliances
entre des industriels et le mouvement environnementaliste.
– Ces deux acteurs ont des intérêts différents mais ils ont
suffisamment d’intérêts communs pour devoir développer une
communauté de vues et d’action sur l’avenir du secteur.
35. Évolution de la possibilité annuelle
Source: MFFP
de coupe et de la récolte
36. 36
Histoire des régimes forestiers
• En 1849, adoption de la Loi sur
l’administration des bois et forêts de la
Couronne (Législature du Canada Uni)
– Définit le pouvoir de l’état d’accorder des
licences de coupe sur le domaine public;
– Début des concessions forestières;
– L’octroi de concessions se fait par appel d’offre et
enchères à partir de 1872.
37. 37
Histoire des régimes forestiers
• En 1910
– Interdiction de l’exportation de billes (grumes)
non transformées en provenance des terres
publiques;
– Création de l’École forestière de l’Université
Laval, ancêtre de la FFGG.
– Obligation aux exploitants forestiers de fournir
les renseignements sur leurs opérations en forêt;
• Localisation des assiettes de coupe;
• Planification de récolte;
• Volume récoltés la saison précédente par qualité,
essence et provenance.
38. 38
Histoire des régimes forestiers
• En 1922
– Adoption de la Loi sur les inventaires forestiers
• Vise à encadrer l’action industrielle en forêt;
• Des inventaires forestiers sont définis et requis et ils
deviennent préalables à l’obtention de permis de
coupe;
• L’industrie doit produire des plans d’aménagement
pour rendre soutenue l’exploitation des forêts.
39. 39
Histoire des régimes forestiers
• En 1925
– Création du cadre des forêts domaniales;
• Réserve de bois pour alimenter les besoins de
l’industrie;
• Planification et réalisation des travaux réalisés par le
gouvernement;
• Ce nouveau mode de tenure sera peu utilisé (Lac
Edouard en Mauricie et Kipawa dans l’Outaouais);
• Les concessions forestières demeurent le mode de
tenure le plus répandu.
40. 40
Histoire des régimes forestiers
• En 1956
– La loi sur la mise en marché des produits
agricoles;
• Les agriculteurs regroupés obtiennent du
gouvernement le droit de mettre en marché
collectivement et de contrôler les prix des bois à
pâte récolté en forêt privée.
41. 41
Histoire des régimes forestiers
• En 1972;
– Nouveau régime forestier (Kevin Drummond);
– Le gouvernement manifeste la volonté de récupérer
au Ministère des terres et forêts la planification et la
gestion forestière;
– Avec comme objectif d’assurer la permanence d’une
récolte de matière ligneuse à prix compétitif;
– On vise que, sur l’horizon 1982, toutes les concessions
soient révoquées et remplacées par des forêts
domaniales.
42. 42
Histoire des régimes forestiers
• En 1975;
– Pour soutenir l’implantation de la nouvelle politique
forestière, on crée le groupe COGEF;
– Une équipe de fonctionnaires et d’experts-conseils;
– On crée 44 Unités de gestion regroupées dans des
administrations régionales du MTF;
– On rédige des profils biophysiques pour chacune;
– On fait un exercice de prévision de la demande,
incluant les flux de bois inter-unités, pour chaque
unité de gestion et pour balancer la production de
bois et la demande à l’échelle de la province;
– L’idée est de faire une première passe de planification
et de passer le système aux fonctionnaires du MTF.
43. 43
Histoire des régimes forestiers
• En 1977;
– Le gouvernement de René Lévesque se rend compte
que le régime forestier ne peut livrer ses fruits sans
une explosion des coûts de planification et
d’aménagement;
– Dans un contexte de crise pétrolière, de poussée
inflationniste et de ralentissement de l’économie
mondiale, la réforme de 1972 est interrompue;
– En 1983, Lévesque lance le programme de plantation
de 300 millions d’arbres, un programme de création
d’emplois sans engagements à long terme;
– En 1984, le projet de révocation des concessions
forestières est abandonné.
44. 44
Histoire des régimes forestiers
• En 1986
– Réforme forestière d’Albert Côté qui met en
place le régime des Contrats
d’approvisionnement et d’aménagement
forestier (CAAF);
– Une tentative de retour à l’aménagement
forestier par l’industrie en échange de
garanties d’approvisionnement.
45. 45
Histoire des régimes forestiers
• En 1999 L’Erreur Boréale;
– Deux critiques principales;
• On coupe trop de bois;
• Un détenteur d’intérêt privé gère un bien public;
• En 2004 La Commission Coulombe
• En 2005 On crée l’institution du Forestier en
chef et on abaisse de la possibilité forestière
• 1er avril 2010 Nathalie Normandeau
– Adoption à l’Assemblée Nationale de la
– Loi sur l’aménagement durable du territoire forestier
46. 46
Le nouveau cadre d’aménagement
forestier
• Loi sur l’aménagement durable du territoire
forestier
– Sépare l’aménagement des forêts de
l’approvisionnement des usines;
– Confie la responsabilité de la planification
opérationnelle et tactique au MFFP;
– Attribue des droits d’approvisionnement aux anciens
détenteurs de CAAF pour 75% des bois;
– Crée un marché libre pour la vente de 25% des bois;
– Maintien du principe de résidualité dans le marché
pour les bois en provenance de la forêt publique par
rapport à ceux de la forêt privée.
47. 47
Le nouveau cadre d’aménagement
forestier
• Loi sur l’aménagement durable du territoire
forestier
– Confie aux Commissions régionales des élus (CRÉ),
via leurs Commissions régionales des ressources
naturelles et du territoire (CRRNT) la tâche de
définir des orientations et objectifs régionaux;
– Confie aux CRRNT la responsabilité de définir le
cadre de gestion intégrée des ressources et du
territoire (tables de GIRT) à l’échelle de l’Unité
d’aménagement (UA);
– Obligation de consultation des premières nations;
– Poursuite de l’application de la Paix des braves et
discussions similaires avec les Innus.
48. 48
Le nouveau cadre d’aménagement
forestier
• Loi sur l’aménagement durable du territoire
forestier
– L’aménagement éco-systémique : une orientation
stratégique parmi les mieux articulées;
– La cible des aires protégées passe de 8 à 12%;
– La lutte aux changements climatiques : une
orientation centrale qui se cherche à l’intérieur
d’une stratégie d’ensemble;
– L’intensification de l’aménagement forestier pour
la création de valeur : beaucoup reste encore à
définir.
49. La forêt privée un potentiel à mobiliser
• Une possibilité annuelle de coupe de plus de 12M m3;
• Un niveau de récolte de l’ordre de 4 à 6M m3;
• 130 000 propriétaires;
• Dont 34 000 producteurs forestiers;
• Un système d’aide publique à l’aménagement;
• Mise en marché collective des bois.
51. La sylviculture et l’aménagement durable des
forêts
• Chantier de production de bois: Volet économique de
la Stratégie d’aménagement durable des forêts;
• Chantier de reconstruction des forêts feuillues;
• Intensification de la production de bois dans les
forêts résineuses et mixtes;
• Viser la production de valeur ajoutée (volume,
qualité, réseau intégré d’approvisionnement);
• Pour faire tout cela, il sera impératif de mobiliser les
budgets appropriés, ce qui constitue un défi de taille.
52. Une voie de passage pour un aménagement
forestier dans le cadre du nouveau régime
• Le défi sylvicole et de l’aménagement forestier durable
requiert impérativement que tous les acteurs forestiers
se concertent et se coordonnent pour intégrer leur
action;
• On doit en arriver à agir de façon cohésive dans la
logique de Société d’aménagement forestier-
Fournisseur intégré de ressources forestières
(SAFFIR);
53. Marchés
Demandes
SAFFIR
MRNF
CRÉ / CRRNT
Organismes
régionaux
Communautés
autochtones
Sociétés
récréotouris
tiques
Autres
utilisateurs
du territoire
DGR
PRDIRT
PAFI - T
TGIRT PAFI - O
PAPT
AÉF
RADF
SADF
….
Stratégies
sylvicoles
Sphère de
contrôle
Sphère
d’influence
Bois ronds,
Biomasse,
Services,
Etc.
UAF
Fournisseur-
Intégrateur
Optimiser
Coordonner
Monitorer
Réseaux de partenaires et de fournisseurs
Ressources internes
Coopératives forestières
Entrepreneurs forestiers
Travailleurs indépendants
Entrepreneurs généraux
Entreprises de sylviculture
Entreprises de transport
Services logistiques
BGAF BGAF BGAF
Acheteur
de bois
Réseaux de distribution
Experts
BGAF
Ordres de récolte
Contrats de sylviculture
Ordres de construction
Inventaires
Informations de suivi
Échanges de données…
Concilier
et intégrer
des plans
Utilisateurs
du territoire
Source : Statistique Canada dans Ressources et industries forestières pour l’industrie et l’exploitation forestière
Rapport annuel du réseau SÉPAQ
BCDM Conseil : Retombées économiques des activités de chasse, de pêche et de piégeage
Service canadien des forêts
Exploitation forestière : Scian 11331 exploitation forestière
NRCan-CFS 2012 “A Focus On Innovation”
NRCan-CFS 2012 “A Focus On Innovation”
NRCan-CFS 2012 “A Focus On Innovation”
Forêt -25%; Bois primaire – 40%; Papier primaire; -36%; Total secteur -25%
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27
Le groupe de partenaire est le reflet de cette approche multidisciplinaire, avec 2 cabinets d’architecture, Provencher Roy + Architectes Associés et Coarchitecture et CIMA+ au niveau de la conception, Pomerleau, Chantiers Chibougamau, Kruger, Maibec au niveau de la mise en œuvre et WoodPlus coatings et la SHQ au niveau des utilisateurs. Enfin le MRN et FPInnovations représente des partenaires clefs, le MRN avec la division de l’industrie forestière mais aussi le bureau de l’efficacité et innovation énergétique. FPInnovations à qu’en à lui plusieurs pan de programme de recherche existant ou en développement qui sont complémentaires à la présente initiative.
NRCan-CFS 2012 “A Focus On Innovation”
-Analogie déficiente avec le secteur automobile
-Dans cette position, l’Intégrateur se trouve donc dans le croisement des intérêts de plusieurs organismes et entreprises. En pratique, aucune de ses organismes et entreprises ne pourrait avoir le contrôle total de l’Intégrateur. D’où l’importance du rôle de l’intégrateur comme conciliateur et responsable d’attacher ensemble les objectifs de tous ces clients et d’en optimiser la réalisation sur le terrain.
-Deux grands rôles au niveau de la planification pour l’intégrateur : Conciliation avec les plans du MRNF. Optimisation des plans pour satisfaire les besoins de tous ses clients.
Il faut qu’il y ait beaucoup d’interaction entre la DGR et le FI.
La DGR pourrait être une cliente – si elle paie. Sinon, elle pose le cadre qu’il faut respecter, elle est la législatrice. Il faut très clairement définir les rôles et responsabilités.
Il y a un défi de faire face à plusieurs demandes à la table GIR. Qui va payer pour les « autres » demande? C’est la clé pour les industriels – ils ne veulent plus payer, ils veulent stabiliser leurs coûts et c’est probablement mieux de fixer ces coûts dans la rente plutôt que de le les voir fluctuer dans le temps.
-Pour réussir dans ce rôle, et en même temps offrir des produits et services à forte valeur ajoutée et générateurs de croissance, l’Intégrateur devra réunir plusieurs compétences. Il a le défi de créer un climat de véritable collaboration et non seulement des relations de sous-traitance ou la juxtaposition de compétences. Ces produits, services et compétences sont détaillés dans les sections qui suivent.