Billetterie en ligne : Une solution miracle pour le spectacle vivant ? - SOCIAL UNIT
1.
2. ÉTAT DES LIEUX
DU SPECTACLE VIVANT
EN FRANCE ET EN AUVERGNE
3. EN FRANCE
44860 représentations payantes
pour 20,4 millions d’entrées
et 599 Millions d’€ de recettes
50 déclarants concentrent 68 % des recettes
13 % des représentations = 68 % des recettes
Source : Chiffres CNV 2009 – 2010
4. 20 % de la fréquentation totale
et 15 % de la billetterie attribuées au festivals
pour 11 % des représentations
41 % ont lieu dans des salles de variétés
56 % des représentations comptent moins
de 200 entrées
Les représentations qui comptent plus de 1500 entrées
représentent 52 % de la fréquentation et 64 % de la billetterie
Source : Chiffres CNV 2009 – 2010
5. ÉVOLUTION :
Moins 5 % sur la billetterie
et stagnation de la fréquentation
malgré une hausse du nombre de représentations
(+ 7 % hors cabarets et revues)
Source : Chiffres CNV 2009 – 2010
6. Evolution 2009-2010 des représentations payantes
en fonction des classes de prix moyen calculé
NOMBRE DE REPRÉSENTATIONS PAYANTES
NOMBRE D’ENTRÉES
MONTANT TOTAL DE BILLETTERIE
Source : Chiffres CNV 2009 – 2010
7. Caractéristiques des représentations payantes par genre en 2010
Période du 1er janvier au 31 décembre 2010 (déclarations reçues au 30 avril 2011)
Source : Chiffres CNV 2009 – 2010
10. EN AUVERGNE
Représentations déclarées : Total : 765
434 payantes
331 gratuites
Montant de l’assiette déclarée : 8 180 871 €
57 % de représentations payantes
43 % de représentations gratuites
2,2 % des représentations payantes en France
Source : CNV 2010
11. L’Auvergne subit une baisse de ses recettes de billetterie
et également de la diffusion
en termes de nombre de représentations payantes :
Moins 2 %
nombre moyen d’entrées
totales par représentation
Moins 6 %
montant moyen du billet hors taxe
par entrée payante
Source : CNV Chiffres de la la Diffusion 2010
12. Evolution des représentations payantes déclarées par région
du lieu de représentation en 2009-2010
AUVERGNE
Source : Chiffres CNV 2009 – 2010
14. 10 milliards 715 millions d’euros
de dépenses en services culturels en France en 2009 *
Pour 27,4 millions de ménages
Soit 391 € de dépenses en services culturels par ménage et par an
* Services culturels (y compris redevance TV) :
Cinéma, spectacles vivants, musées, abonnements audiovisuels,
développements et tirages de photographies, etc...
Source : INSEE 2009
15. DépensesSource INSEE, comptes et loisirs (en 2009)
culture nationaux, base 2000
Services récréatifs et sportifs, voyages à forfait, weekend, etc... (2) 19,1%
Presse, livres et papeterie 13,6%
Jardinage, animaux de compagnie 12,7%
Télévision, Hi-fi, vidéo, photo 10,9%
Services cullturels (y compris redevance TV) (1) 10,8%
Jeux, jouets et articles de sport 9,8% 1) Cinéma, spectacles vivants,
musées, abonnements audiovi-
Jeux de hasard 9,3% suels, développements et tirages
de photographies
Informatique (y compris logiciels, cédéroms...) 7,1%
2) Sport, location de matériel
Autre biens culturels et de loisirs 3,6% sportif, fêtes foraines ou parcs
d’attractions...
Disques, cassettes, pellicules photo 3%
Prix moyen d’un billet :
32 € H.T soit
41 € en moyenne prix public
Source : CNV Chiffres de la la Diffusion 2010
16. 175 évènements culturels *
renseignés en décembre 2011 sur les 4 départements de l’Auvergne
(environ 3000 évènements renseignés sur l’année 2011)
La Baie des Singes - Cournon Démesurées - Maison de la Culture HUMOUR
DIMANCHE 6 NOVEMBRE MARDI 8 NOVEMBRE d’Auvergne - 19h et 20h33 20h30 Bob Brozman - La Baie des Singes - VENDREDI 18 NOVEMBRE
CINÉMA CONCERT CONCERT CONCERT Cournon d’Auvergne - 20h33 FESTIVAL
Ici on noie les Algériens -17 Octobre Il Diluvio Universale de Miles Kane + St Augustine - La Deportivo + Joseph D’anvers - La 12e édition de La Biennale du
1961. Film de Yasmina Adi - Cinéma Michelangelo Falvetti - La Comédie Coopérative de Mai - 20h30 Coopérative de Mai - 20h30 MERCREDI 16 NOVEMEBRE Carnet de Voyage - Polydôme - du
Le Rio - jusqu’au 7 novembre Maison de la Culture - 20h30 CONCERT CONCERT CONCERT 18 au 20 novembre
FESTIVAL CONFÉRENCE / DÉBAT Norfolk + Josh Houseman + Franck La Ruda + La Milca - La Puce a Jenifer - Zénith - Cournon CONCERT
Musiques Démesurées - du 3 au 13 Bar Des Sciences : Risques Arbaretaz - Le Tremplin - Beaumont l’Oreille - Riom - 20h30 d’Auvergne - 20h30 Keren Ann + Doriand - La
novembre Alimentaires - La Baie des Singes - 20h30 CONCERT CONCERT Coopérative de Mai - 20h30
THÉÂTRE Cournon d’Auvergne - 20h33 CONFÉRENCE LDLF + When We Were 21 - Le La Grosse Caisse d’occasion - Jazz CONCERT
Nous Autres d’après le roman CONCERT La Perspective et ses Avatars Baraka - 21h dansant - Le Puy de la Lune - 21h30 Big D And The Kids Table + Dj Flore -
d’Eugène Zamiatine - Lili Label Cie - Colt Silvers + Guests Surprises - Le Musée de la Vigne et du Vin - CONCERT Le Baraka - 21h
La Cour des Trois Coquins - 17h Baraka - 21h Aubiére - 20h DIMANCHE 13 NOVEMBRE Absynthe Minded + Syd Matters + THÉÂTRE
HUMOUR THÉÂTRE CONCERT CONCERT Delbi - La Coopérative de Mai - L’histoire terrible mais inachevée
Nicolas Canteloup - Zénith - Moi, Caravage - D’après Roll’ And Bop Quintet - Le Puy de la Les arbres ont bougé pendant la 20h30 de Norodom Sihanouk, Roi du
Cournon d’Auvergne - 15h Dominique Fernandez - Les Escales Lune - 21h30 nuit - Festival Musiques Démesurées THÉÂTRE Cambodge d’Hélène Cixous - La
CONCERT clermontoises - La Cour des Trois Maison de l’Oradou - 17h La Ronde, de Arthur Schnitzler - Cie Comédie, Scène Nationale - Maison
Float Riverer + Baptiste (Wendy Coquins - 20h30 VENDREDI 11 NOVEMBRE CONCERT Les Obstinés - La Baie des Singes - de la Culture - 20h
Darlings) - Le Baraka - 21h CONCERT CONCERT Skip Jensen Group + David (Plastic Cournon d’Auvergne - 20h33 CONCERT
CONCERT Bernard Lavilliers - La Coopérative Blitz The Ambassador + Milk Coffee Invaders) - Le Baraka - 21h Daniel Kahn And The Painted Birds +
Apéro Jazz Manouche Trio Rofrena - de Mai - 20h30 And Sugar - La Coopérative de Mai CONCERT JEUDI 17 NOVEMBRE Bekar et Les Imposteurs - La Puce a
Le Puy de la Lune - 18h30 CINÉMA - 20h30 Metronomy + Gross Magic - La JEUNE PUBLIC l’Oreille - Riom - 20h30
CONCERT Cinéma Paradiso - De Giuseppe CONCERT Coopérative de Mai - 20h30 Être ou ne pas être dans les nuages CONCERT
Déambulation Sonore - Festival Tornatore (Cinéfac) - Amphithéâtre Yannick Noah - Zénith - Cournon DANSE Compagnie Cincle Plongeur - Noasis (Jazz au Poco) - Pocoloco -
Musiques Démesurées - Centre Gergovia - 20h30 d’Auvergne - 20h Oulala... Opus 2 - Collectif Dynamo- Graines de Spectacles - 17 et 18 21h
Blaise-Pascal - 10h CONCERT THÉÂTRE La Cour des Trois Coquins - 18h novembre - Maison de quartier de DANSE
CONCERT Révolutions Vocales - Festival Horizon Babel - La Batahola de la Croix-de-Neyrat Le Lac des Cygnes - Zénith -
Regards sur l’Europe (B. Berne et Musiques Démesurées - Auditorium Pintura Cie - Etc... Art - Rue du Bien LUNDI 14 NOVEMBRE CONCERT Cournon d’Auvergne - 20h
V. Lhermet)- Festival Musiques Emmanuel-Chabrier - 20h30 Assis - 11 et 12 novembre - 20h30 EXPOSITION Les Alligators Jazz New Orléans - Le
Démesurées - Chapelle des Dove Allouche / Le Diamant d’une Puy de la Lune - 21h30 SAMEDI 19 NOVEMBRE
Cordeliers - 17h MERCREDI 9 NOVEMBRE SAMEDI 12 NOVEMBRE étoile a rayé le fond du ciel - FRAC CONCERT SPECTACLE
CONCERT CONCERT RENCONTRES / DÉDICACES Auvergne - jusqu’au 30 décembre Divine Paiste + Little Ants - Le Baraka Symphonie Equestre II - Zénith -
Arthur Le Dur + Kelidon - Le Tremplin The Cat Empire + Mama Kin - La 3e édition Itineraire du Livre - Salle EXPOSITION - 21h Cournon d’Auvergne - 15h et 20h
- Beaumont - 18h Coopérative de Mai - 20h30 polyvalente - Pont du Château - De Voyages - Exposition collective des DANSE CONCERT
CINÉMA / CONCERT THÉÂTRE / MARIONNETTES 10h à 12h et de 14h à 18h élèves de Jérome Palle - Galerie Oulala Opus 1 & Wossou - Collectif La Fouine + Metodik + Sultan - La
La Divine (Film De Wu Yonggang) + Hänsel & Gretel - Mise en scène et CONCERT Dolet - jusqu’au 30 novembre Dynamo Et Cie Komusin - Les Coopérative de Mai - 20h30
Le Quatuor Prima Vista - Cinéma Le lumières Johanny Bert - La 2Deuche Ensemble Da Camera - Eglise St Automnales - Espace Verger du CONCERT
Rio - 17h Lempdes - 18h Genès - 15h MARDI 15 NOVEMBRE Caire - Le Cendre - 20h30 Rakibalkans + Ktipietok Orkestar -
CONCERT CONCERT CINÉMA THÉÂTRE Le Baraka - 21h
LUNDI 7 NOVEMBRE Nolwenn Leroy - Zénith - Cournon Ec Acoustic Trio Jazz - Le Puy de la Enquête sur un citoyen au-dessus Hänsel & Gretel - Mise en scène et BAL TRAD
CHORALE d’Auvergne - 20h30 Lune - 21h30 de tout soupçon - De Elio Petri lumières Johanny Bert - La 2Deuche Termajik & Les Brayauds - Le
Le Chœur Régional D’auvergne CONCERT THÉÂTRE (Cinéfac) - Amphithéâtre Gergovia - Lempdes - 20h30 Gamounet - St-Bonnet-près-Riom -
- La Maison des Beaumontois - Boeuf Blues - Le Puy de la Lune - 21h Incultures - Texte de Franck Lepage - 20h30 CONCERT dès 19h
Beaumont - 20h30 et la Scop Le Pavé - La Cour des THÉÂTRE Telerama Dub Festival : Ruts Dc + THÉÂTRE
FESTIVAL JEUDI 10 NOVEMBRE Trois Coquins - 19h30 Immigration 2011 - Bienvenue Dub Syndicate + Mad Professor + Désir Rouge - Music of the people -
Sémpahore en Chanson - du 7 au CONCERT CONCERT dans un monde de chien - Brut de Cultural Soulja - La Coopérative de Brut de Béton Production - La Cour
12 novembre - Cébazat Compositions Ornithologiques- Préparation Du Hasard - Relecture Béton Production - La Cour des Trois Mai - 20h30 des Trois Coquins - 20h30
Festival Musiques Démesurées Cage - Festival Musiques Coquins - 15 et 16 novembre - 20h30 HUMOUR
Audrey Lamy - La 2Deuche -
* Agenda culturel du TRANSFO
18. MARKETING
Volet le plus visible du marketing,
la publicité n’en est toutefois qu’une des composantes,
celle que l’on définit en dernier une fois décidés le groupe de
consommateurs auquel on s’adressera (segment),
le produit qu’on offrira,
son prix et où ce produit sera disponible;
seulement ensuite peut-on penser
au meilleur moyen de communiquer ces informations.
19. LES 4 P
PRODUIT
PRIX
PLACEMENT (DISTRIBUTION)
PROMOTION
constituent la « composition commerciale »
ou le « marketing mix »
20. MARKETING TRADITIONNEL ET MARKETING CULTUREL
2 façons de concevoir le marketing :
Celle des entreprises traditionnelles du monde des affaires :
Offrir au marché ce qu’il attend quitte à modifier le produit
jusqu’à ce que le client soit satisfait.
Celle des entreprises culturelles :
Partir de la vision de l’artiste et chercher le public
le plus susceptible de s’intéresser à l’œuvre.
21. MARKETING CLASSIQUE
FIGURE 1 : LE MODELE MARKETING CLASSIQUE
Entreprise Système d’information Marché
2 1
Composition commerciale
3 4
Source : LES ÉLÉMENTS DU MARKETING DES ARTS ET DE LA CULTURE par François Colbert/ www.managementculturel.com
22. DÉFINITION DU MARKETING CULTUREL : 3P VS 4P
L’art d’atteindre les segments de marché susceptibles de
s’intéresser au produit, en ajustant à celui-ci les variables
de la composition commerciale :
LES 3 P :
prix
placement (distribution)
promotion
= Mettre le produit en contact avec un nombre suffisant de
consommateurs et d’atteindre ainsi les objectifs conformes
à la mission de l’entreprise
23. LES 4 MARCHÉS D’UNE ENTREPRISE CULTURELLE :
MARCHÉ DE LA CONSOMMATION
MARCHÉ DE LA DISTRIBUTION
MARCHÉ DE l’ÉTAT
MARCHÉ DES COMMANDITAIRES OU MÉCÈNES
Source : LES ÉLÉMENTS DU MARKETING DES ARTS ET DE LA CULTURE par François Colbert/ www.managementculturel.com
24. FIGURE 2: LE MODÈLE MARKETING DE LA CULTURE EST CENTRÉ SUR LE PRODUIT :
Entreprise Système d’information Marché
1 2
Mission Mission Consommateurs
Départ
4 3
Analyse
Objectifs
Plannification Composition commerciale État Comman-
Mise en résiduelle ditaires
Oeuvre
Contrôle 5 Prix 6
Promotion Intermédiaires
Distribution de distribution
Le point de départ du processus est le produit,
en l’occurrence l’œuvre d’un artiste,
et le point d’arrivée est le marché.
Source : LES ÉLÉMENTS DU MARKETING DES ARTS ET DE LA CULTURE par François Colbert/ www.managementculturel.com
25. OBJECTIF MARKETING CLASSIQUE
=
OPTIMISATION DU PROFIT
L’OBJECTIF MARKETING
D’UNE ENTREPRISE CULTURELLE
EST D’ORDRE ARTISTIQUE
Source : LES ÉLÉMENTS DU MARKETING DES ARTS ET DE LA CULTURE par François Colbert/ www.managementculturel.com
26. LA SEGMENTATION :
Un segment de marché est un sous-groupe de consommateurs
qui ont des caractéristiques similaires, expriment des besoins et des
désirs semblables et réagissent à la même stratégie de marketing.
Les fonctions de la segmentation :
ANALYSE DU MARCHÉ
ANALYSE DE POSITIONNEMENT
Source : LES ÉLÉMENTS DU MARKETING DES ARTS ET DE LA CULTURE par François Colbert/ www.managementculturel.com
27. LA CONCURRENCE :
CONCURRENCE DE PRODUITS DE MÊME TYPE
ex : 2 expos d’art dans la même ville
CONCURRENCE ENTRE DES PRODUITS CULTURELS DE GENRES DIFFERENTS
ex : concert musique classique vs spectacle de danse
CONCURRENCE ENTRE PRODUITS CULTURELS ET PRODUITS DE LOISIRS
ex : concert vs tourisme
Source : LES ÉLÉMENTS DU MARKETING DES ARTS ET DE LA CULTURE par François Colbert/ www.managementculturel.com
28. AVANTAGE CONCURRENTIEL :
Toute entreprise doit tenter d’acquérir une position de force
qui lui permette de se démarquer de ses concurrents.
Cette position sera obtenue grâce à un élément distinctif qui,
s’il est perçu positivement par les consommateurs, constituera un avantage concurrentiel.
Cet élément peut être, entre autres, une particularité du produit,
une façon différente d’utiliser les réseaux de distribution, un outil de promotion
ou une politique de prix avantageuse.
Pour l’entreprise, il s’agit d’acquérir une position unique
grâce à une particularité qui lui donne prépondérance
sur toute autre entreprise.
Source : LES ÉLÉMENTS DU MARKETING DES ARTS ET DE LA CULTURE par François Colbert/ www.managementculturel.com
29. MARQUE
CULTURE
LEGITIMITE TERRITOIRE
RELATION
CLIENTS
Source FACECOM 2011
30. ANALYSE DES VARIABLES :
Environnement démographique
Environnement culturel
Environnement économique
Environnement politico-réglementaire
Environnement technologique
Source : LES ÉLÉMENTS DU MARKETING DES ARTS ET DE LA CULTURE par François Colbert/ www.managementculturel.com
31. LE PLAN MARKETING :
Analyse de la situation (Où sommes-nous et où allons-nous?)
Marchés, Consommateurs, Demande, Segments, Concurrence et environnement, Entreprise , Mission et objectifs,
Forces et faiblesses, Avantage distinctif
Détermination des objectifs et des stratégies (Où voulons-nous aller?)
Objectifs marketing Ventes, part de marché, Contribution aux profits Stratégies marketing,
Segments ciblés, positionnement désiré
Affectation des ressources (Quel effort désirons-nous y mettre?)
Budget, Ressources humaines
Détermination de la composition commerciale (Comment voulons-nous y aller?)
Objectifs et stratégies
Mise en oeuvre (Comment procéder?)
Énoncé des activités (programme) pour chacune des variables de la composition commerciale
Définition des responsabilités de chaque membre de l’unité marketing
Coordination des opérations, Calendrier des activités
Plan de rechange, Description des moyens de contrôle
Contrôle
Source : LES ÉLÉMENTS DU MARKETING DES ARTS ET DE LA CULTURE par François Colbert/ www.managementculturel.com
36. VIDÉO 4 :
« LA BILLETTERIE EN LIGNE,
ÇA VOUS PARLE ? »
37. ANALYSE DE LA SITUATION
DE LA BILLETTERIE
DU SPECTACLE VIVANT EN FRANCE
PHYSIQUE ET DÉMATERIALISÉE :
concerne le champ culturel
mais aussi les manifestations sportives
38. CONTEXTE
Le billet est un titre d’accès à un spectacle.
Le responsable de la billetterie est le producteur, qui organise le spectacle,
ou le diffuseur, lorsque le producteur lui a cédé les droits d’exploitation
par un contrat de cession ou de coréalisation.
Le billet est un contrat conclu entre le spectateur et le producteur/diffuseur :
contrat de location, et contrat de prestation de services.
Source : PRODISS (Union du Spectacle Musical et de Variétés) et article L 132-1 du code de la
consommation, citant expressément les billets comme support d’un contrat.
Le spectateur, en achetant le billet, loue une place pour assister à la représentation, et est
bénéficiaire d’une prestation de services de la part de l’organisateur du spectacle, qui lui
présente le spectacle, et ce dans les conditions annoncées au programme et sur les affiches.
Source : Rapport sur la situation de la billetterie du spectacle vivant en France, physique et dématérialisée / Ministère de la Culture et de a Communication / Septembre 2011
39. La commercialisation de la billetterie
Elle est assurée directement par le détenteur de la billetterie
(producteur ou diffuseur du spectacle), ou confiée à des distributeurs (et sous- distributeurs), tels que FNAC, Ticketnet, Digitick...
Source : analayse Roland Berger, interviews
40. LE MARCHÉ DE LA BILLETTERIE EN 2009
Source : Roland Berger Panorama du marché de la billetterie en ligne Paris, juillet 2010
41. 1) Inclus vente en
marque blanche
2) Estimation, inclus vente
en marque blanche
3) Ticket pocket, Billet
reduc, Ticketack, …
Source : analayse
Roland Berger, interviews
Source : Roland Berger Panorama du marché de la billetterie en ligne Paris, juillet 2010
42. LE MARCHÉ DE LA BILLETTERIE EN 2009
50 % de part de marché pour la FNAC
Chiffres 2008 Prodiss :
70 à 80 % des billets distribués par les réseaux
(FNAC, Ticketnet, Digitick)
15 % de part de marché pour Digitick en 2011
Source : Roland Berger Panorama du marché de la billetterie en ligne Paris, juillet 2010
43. PART DE MARCHÉ VALEUR INTERNET
SUR LE MARCHÉ GRAND PUBLIC :
LES BIEN CULTURELS
Source : GFK / Bilan de l’E-Commerce en France / Septembre 2011
44. MUTATIONS TECHNOLOGIQUES
Les mutations technologiques se traduisent par le développement
du e-ticket, et requièrent des investissements en matériel
de la part des producteurs et des salles de spectacle
(logiciels de billetterie, matériel de contrôle d’accès..).
La révolution numérique a aussi engendré la multiplication
des sites de revente de billets sur internet
qui en font une activité professionnelle, voire spéculative,
ainsi que la création de plateformes d’échange proposant
la revente de billets à caractère occasionnel.
45. MUTATIONS COMMERCIALES
La révolution numérique et le e-ticket engendrent de nouvelles pratiques :
Achats groupés
Bundles ou packs
Concerts privés
46. DEVELOPPEMENT À VENIR
YIELD MANAGEMENT =
tarification en temps réel des biens et services offerts
sur le marché du billet de spectacle.
Le Yield management consiste dans la gestion fine des capacités disponibles
afin d’optimiser le chiffre d’affaires d’une entreprise, en utilisant la technique
marketing de tarification flexible. Appelé aussi revenue management, il institue la tarification
en temps réel des biens et services offerts à la vente.
Pratiqué aujourd’hui à large échelle dans les transports aériens, à la SNCF ou dans l’hôtellerie,.
Avantages : prix les plus avantageux pour le consommateur
Inconvénients :
absence de lisibilité des conditions tarifaires
Problème :
comment justifier un tarif à -70 % auprès des 1ers acheteurs (fans)
47. PROBLEMATIQUES ENTRE
ENTREPRISES DE SPECTACLES ET DISTRIBUTEURS DE BILLETS
Maîtrise de la base de données clients :
la gestion de la relation au client (GRC)
ou CRM (Customer Relationship Management)
Contrôle du plan de salle
Apparition du second marché et vide juridique
entourant cette pratique
48. PROBLÈMES LEGISLATIFS ET MENACES
QUI CONCERNENT TOUS LES ACTEURS CULTURELS
PROBLEMES LEGISLATIFS :
La défense du consommateur/spectateur
La préservation d’une profession
Le maintien d’un objectif de démocratisation culturelle
Le maintien d’un objectif de promotion de la diversité culturelle et artistique
MENACES :
Envol des tarifs sur le second marche : Il s’agit tout particulièrement de traiter
des pratiques illicites : L’urgence est avérée en raison de la multiplication de ces pratiques
sur «le second marché»
Concentration de la consommation sur les grands événements culturels
Le rachat récent de Ticketnet par Live Nation
Les nouveaux entrants (ex : vente privée)
52. BILLETTERIE DEMATERIALISÉE
La billetterie dématérialisée est en vigueur depuis 2007,
et permet donc la vente de billets à distance par internet ou par téléphone mobile :
les billets print@home (c’est-à-dire les billets que le spectateur
peut imprimer lui-même sur support papier) ou les code-barres reçus
sur les téléphones portables constituent de véritables billets.
Il en résulte que l’organisateur du spectacle ou l’exploitant de la salle
doit disposer d’un système de contrôle informatique de ces titres d’accès.
53. LES ACTEURS
Live Nation
Universal Music
(depuis décembre 2010)
Source : Roland Berger Panorama du marché de la billetterie en ligne Paris, juillet 2010
54. Source : Roland Berger Panorama du marché de la billetterie en ligne Paris, juillet 2010
55. Source : Roland Berger Panorama du marché de la billetterie en ligne Paris, juillet 2010
56. Source : Roland Berger Panorama du marché de la billetterie en ligne Paris, juillet 2010
57. Source : Roland Berger Panorama du marché de la billetterie en ligne Paris, juillet 2010
58. La vente physique est appelée à perdurer
mais dans une proportion bien moindre qu’aujourd’hui
Certains producteurs estiment déjà la part
du e-ticket à 40 % de leurs ventes
70% des ventes de billets se feront en ligne
dans les salles de musiques actuelles (smac)
à l’horizon 2015
Source : SMA (Syndicat des Musiques Actuelles)
60. ÉVOLUTION DU NOMBRE DE MOBINAUTES EN FRANCE
en million
Février 2010 14,2
Mars 2010 14,8
Avril 2010 15,1
Mai 2010 14,9
Juin 2010 14,6
Juillet 2010 14,8
Août 2010 15,8
Septembre 2010 16,2
Octobre 2010 16,7
Novembre 2010 16,7
Décembre 2010 17,1
Janvier 2011 17,5
Février 2011 18
0 5 10 15 20
Source : Comscore Mobilens, Media Metrix, Février 2011
61. LES RAISONS À L’ACHAT SUR MOBILE
Pour quelle(s) raison(s) avez-vous choisi d’acheter ce produit
à partir de votre téléphone mobile ?
Je n’avais pas d’autre mode accès à Internet 42%
J’étais contraint par le temps (vente flash, enchère...) 25%
Je voulais profiter d’un temps mort (transports en
commun, salle d’attente...) pour passer 20%
J’avais déjà repéré le produit, il ne me restait plus 19%
qu’à passer commande
Je trouve l’application ou le site mobile 14%
plus simple à utiliser que le site Web
J’ai reçu une relance (sur mon téléphone mobile) 6%
0% 10% 20% 30% 40% 50%
Plusieurs réponses possibles
Sur la base des acheteurs sur mobile
Source : CCM BENCHMARK / Etude sur le M-Commerce Septembre 2011-12-05
62. Avez-vous déjà acheté ces produits ou services à partir de votre téléphone mobile ?
Voyages (billets de train, d’avions, hôtels, locations...) 33% 29%
Biens culturels (disques, DVD, livres, jeux vidéo...) 28% 41%
Habillement, chaussures pour adultes 26% 25%
Image, son, vidéo (hi-fi, vidéo, téléphonie, 15% 34%
appareil photo numérique)
Informatique (ordinateurs, écrans...) 14% 35%
Jeux, jouets, loisirs créatifs 11% 37%
Electroménager (petit ou grand) 7% 37%
0% 20% 40% 60% 80%
Oui, j’ai déjà acheté Non, mais c’est envisageable
Source : CCM BENCHMARK / Etude sur le M-Commerce Septembre 2011-12-05
64. Source : SOCIAL BAKERS / Yearbook 2010 (actualisation : Décembre 2011)
65. RÉPARTITION & CROISSANCE
DES ÂGES DES UTILISATEURS DE FACEBOOK DANS LE MONDE - 2010 vs 2009
Source : SOCIAL BAKERS / Yearbook 2010 (actualisation : Décembre 2011)
66. Source : SOCIAL BAKERS / Yearbook 2010 (actualisation : Décembre 2011)
67. Les chiffres IFOP de la présence sur Facebook
45%
Hommes
40%
54%
54%
Cadres
Femmes
Employés
Ouvriers
29%
57%
76%
18-‐24
ans
37%
25
à
34
ans
35
à
49
ans
50
à
64
ans
65
ans
et
plus
41%
59%
Sources
IFOP
:
Observatoire
des
réseaux
sociaux
Novembre
2011
68. ...INTERNET EN PASSE DE DEVENIR LE MEDIA PRÉFERÉ DES FRANÇAIS
La grande révolution numérique s’étend
à toutes les couches de la population française.
Si la télévision reste encore le média préféré des français,
elle est suivie de près par internet.
Selon Médiamétrie, la consommation Internet en France
a progressé de 10 % entre 2009 et 2010 :
70 % des Français (de 11 ans et plus) sont connectés à Internet en 2011
69. ...NOTAMMENT GRACE AU SUCCÈS DES RÉSEAUX SOCIAUX :
Les réseaux sociaux connaissent une croissance exponentielle :
78 % des internautes sont membres d’au moins un réseau social
Etude IFOP – Oct 2010
70 % des internautes français utilisent Facebook
soit 32,7 millions de visiteurs uniques et un temps moyen de visite de 4,25 heures
Etude Comscore – Déc 2010
24 Millions de Français se connectent chaque jour sur Facebook et Twitter
+ 3,2 millions par rapport en 2009
Etude Comscore – Déc 2010
Facebook en France c’est :
Plus de 32, 7 millions de visiteurs uniques.
16,26 millions d’hommes / 16,5 millions de femmes
Etude Comscore – Déc 2010
70. CE QUE LES RÉSEAUX SOCIAUX VONT VOUS APPORTER :
Une visibilité sur des sites jusqu’à 800 Millions d’utilisateurs.
Une communication adaptée au passage du « one to many » au « one to one ».
Une audience ciblée = une communauté choisie et engagée autour de votre marque.
Une qualification de contacts.
La transformation du lead en client.
Une gestion de relation client (satisfaction client,
avis de consommateurs, etc.).
71. 255 420 FANS
Chiffres septembre 2011
Source : FACECOM Septembre 2011
74. MARQUE CULTURE
FIDELISATION DU PUBLIC VIA UNE EXPERIENCE PERSONNALISEE
+
RENFORCEMENT ATTACHEMENT A LA MARQUE VIA ENGAGEMENTS
+
RENVOI VERS OFFRES
=
ATTACHEMENT A LA MARQUE CULTURE
HARMONISATION DES CANAUX ET CONTENUS
+
ANALYSES STATISTIQUES
=
ROI
SUCCES DE LA SEGMENTATION
OFFRES :
MISE EN PLACE D’OFRES CIBLEES :
CONTENUS + APPLICATIONS MOBILES + SERVICES
=
CONQUETE NOUVEAUX PUBLICS
=
RELAIS DE CROISSANCE SUR SITES COMMERCIAUX
EMPECHER / FREINER ARRIVEE DE NOUVEAUX ENTRANTS :
VENTES PRIVEES / GROUPON / GROUPES MEDIAS AUDIOVISUELS …
Source FACECOM 2011
75. SERVICES MARKETING
INFORMATIONS RECOMMANDATIONS
HUB NUMERIQUE RÉGIE
A
ENTREPRISE CULTURELLE.FR N
PA RT E N AI R E S
N
ROI O
N
C
HYPER SEGMENTATION DES CIBLES E
U
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 R
S
ROI
OFFRES CIBLÉES
Merchandising.fr Billetterie.fr Services.fr OffresPack.fr
Evènements.fr
INFORMATIONS TRAITÉES
Source FACECOM 2011
76. UN EXEMPLE DE MARQUE CULTURE : L’OLYMPIA
UNE MARQUE DISTRIBUTEUR / DIFFUSEUR : L’OLYMPIA
Un cas pour l’instant particulier parmi les entreprises privées de spectacles
est celui de l’Olympia, dans la mesure où c’est la salle elle-même, et non le
producteur ou le distributeur, qui s’occupe principalement
de la vente de la billetterie.
Selon son directeur, l’Olympia réalise directement les deux tiers des
places vendues pour les spectacles présentés dans la salle. Il est vrai que
l’Olympia est une » marque «, c’est-à-dire une salle mythique où les artistes
et leurs producteurs souhaitent ardemment être présents, et qu’en outre,
une quinzaine de personnes est dédiée à cette tâche au sein de l’équipe.
79. INVESTISSEMENTS
La billetterie dématérialisée requiert un investissement en matériel.
Les logiciels de billetterie nécessitent l’installation sur les sites de vente et de distribution
de billetterie de serveurs et d’un environnement informatique dédié,
sans oublier les frais de maintenance.
Le matériel de contrôle d’accès est généralement fourni par les distributeurs
(FNAC, Digitick), qui le vendent ou, plus souvent, le louent aux salles ou aux producteurs :
en tous cas pour ce qui est du secteur des musiques actuelles et des variétés.
S’agissant des réseaux d’institutions culturelles, notamment les théâtres nationaux,
les scènes nationales et les CDN, elles font ou feraient appel davantage à des petites
sociétés spécialisées dans le logiciel de billetterie (Rodrigue, Sirius ...).
80. ABONNEMENTS VS E-TICKET ?
Le fait est qu’il n’existe pas d’éléments statistiques permettant de savoir,
pour l’ensemble des entreprises de spectacles et des réseaux d’institutions culturelles,
à quel type de matériel et de fournisseur les uns et les autres font appel,
et qu’il serait donc souhaitable de procéder à un recensement.
Les réseaux d’institutions culturelles assurent souvent eux- mêmes
leur billetterie, sans s’appuyer principalement sur les distributeurs, et ce notamment
parce qu’une part importante de leur billetterie est vendue par les abonnements
ou les systèmes de cartes en vigueur.
La compatibilité des matériels des différents fournisseurs, qui posait problème auparavant,
est aujourd’hui assurée, de sorte que les douchettes (lecteurs de code-barres mobiles)
lisent tous les billets. Mais les problèmes techniques ne sont pas clos pour autant.
La Fedurock réfléchit en ce moment au développement d’un logiciel de billetterie
permettant l’interconnexion entre salle et distributeurs,
au lieu du dispositif actuel d’allotement des billets par distributeur.
82. Source : Roland Berger Panorama du marché de la billetterie en ligne Paris, juillet 2010
83. DEUX TYPES DE CONTRATS
Schémas récapitulatifs
Contrat transparent :
Rémunération TVA : 19,6%
Fournisseur Distributeur Consommateur
Intégralité Recette Billetterie : TVA 2,1 ou 5,5%
Contrat opaque :
Fournisseur Distributeur Consommateur
Prix Billet : TVA 2,1 ou 5,5% Prix Billet + Droits de loc : TVA 2,1 ou 5,5%
Circulation du billet
Source IRMA : La Billetterie des Spectacles Vivants
84. Des rapports contractuels régissent les relations
producteur/distributeur,
contrat « opaque » ou contrat « transparent »,
modalités de rémunération des distributeurs
et « droits de location »,
tandis que les conditions générales de vente (CGV)
précisent les clauses imposées par le vendeur au consommateur.
85. Le contrat de mandat, appelé contrat transparent,
et le contrat de commission à la vente, appelé contrat opaque.
Dans le contrat transparent, le distributeur, simple intermédiaire ou relais, agit au nom du
producteur/diffuseur, selon leurs instructions, et le spectateur contracte avec le
producteur/diffuseur, non avec le distributeur. Dans le contrat opaque, le distributeur agit en son
nom propre, même s’il obéit aux directives du producteur/diffuseur,
il est un acheteur/revendeur, et le spectateur contracte avec lui.
Dans le contrat transparent,
le producteur/diffuseur contrôle toutes les opérations de billetterie, mais il est aussi seul
responsable aux yeux du spectateur en cas de mévente ou d’annulation du spectacle, et non pas le
distributeur, dont la TVA applicable à sa rémunération est de 19,6%.
Dans le contrat opaque,
le producteur/ diffuseur maîtrise moins la chaîne de distribution, mais ne rémunère plus le
distributeur; le distributeur en revanche prend plus de risques, notamment vis-à-vis du spectateur,
mais a plus de libertés quant au choix de ses partenaires, et le prix du billet est soumis dans son
intégralité à la TVA au taux de 2,10%.
86. PERSPECTIVES
Source : Roland Berger Panorama du marché de la billetterie en ligne Paris, juillet 2010
88. PERSPECTIVES SOMBRES :
UNE OFFRE PLETHORIQUE EN PARTIE EXPLIQUÉE PAR LE TRANSFERT
DE LA BAISSE DES REVENUS DU DISQUE SUR LE SPECTACLE VIVANT
UNE POLARISATION DES VENTES SUR DES SPECTACLES « GRAND PUBLIC »
UN PRIX MOYEN EN CONSTANTE AUGMENTATION :
42 € en moyenne
UNE MENACE D’AUGMENTATION DE LA PRESSION FISCALE :
HAUSSE DE LA TVA
UNE BAISSE DES SUBVENTIONS D’ÉTAT
DES COLLECTIVITES EN PROIE À UNE CRISE DU FINANCEMENT
89. 2 RAISONS PRINCIPALES
ÉVOQUÉES QUI EMPECHENT DE SE RENDRE A UN SPECTACLE :
MANQUE DE TEMPS
MANQUE D’ARGENT
PROPORTION DES DIPLOMES UNIVERSITAIRES FREQUENTANT
LES ARTS SAVANTS : 50 à 75 %
LES ARTS POPULAIRES 10 à 25 %
LES FOYERS AUX REVENUS MODÉRÉS REPRÉSENTENT 75 % à 90 %
DE LA FRÉQUENTATIONS DES SALLES
UN POURCENTAGE DE CONSOMMATEURS RÉGULIERS
TRÈS FAIBLES
90. MAIS DES SOLUTIONS :
IL N’EXISTE PAS UNE MAIS DES SOLUTIONS DE BILLETTERIE EN LIGNE
À DETERMINER EN FONCTION :
DE SES BESOINS
DE SES RESSOURCES
APRÈS CALCUL DES SEUILS DE RENTABILITÉ
91. ET DES PERSPECTIVES ENCOURAGEANTES :
UN MARCHÉ EN PLEINE CROISSANCE AMENÉ À SUPPLANTER
CELUI DE LA BILLETTERIE PAPIER
UNE FORMIDABLE OPPORTUNITÉ COMMERCIALE
DANS UN ENVIRONNEMENT NUMÉRIQUE MAÎTRISÉ
DE NOUVEAUX OUTILS DE MEDIATIONS CULTURELLES
ET DE CONNAISSANCE DES PUBLICS ET DE DITRIBUTION
UN RECENTREMENT SUR L’IDENTITÉ
PROPRE DE CHAQUE PROJET CULTUREL
UN CANAL DE DISTRIBUTION SUR-MESURE