LA DIFFERENCE, LA PERTURBATION MENTALE HUMAINE

DLPMH
LA DIFFERENCE,
LA PERTURBATION
MENTALE
HUMAINE?
LA CONCIENCE POUR L’HUMANITE
KOKO MUNJUZA victoire-toussaint
2018
L’HUMANITE
VICTOIRE-TOUSSAINT KOKO MUNJUZA
1 Août,2018
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LA DIFFERENCE, LA PERTUBATION MENTALE HUMAINE ?
KOKO MUNJUZA VICTOIRE-TOUSSAINT
2
LA CONCIENCE POUR L’HUMANITE
LA DIFFERENCE,
LA PERTURBATION MENTALE
HUMAINE?

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"Nous devons apprendre à vivre ensemble
comme des frères, sinon nous allons mourir
tous ensemble comme des idiots."
Martin Luther King

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AVANT PROPOS
Un certain 09 Juin,2018 dans un débat de jeunes, j'ai eu l'inspiration
de panser sur cette préoccupation "la différence humaine" qui
voulait nous embarrasser, tout ce que vous allez bien parcourir
revient d'après moi, malgré le recours de quelques définitions pour
bien faire comprendre le sujet, mais toi avec moi tu comprendras
quelques ou mêmes la totalité du contenu, je t'appelle avec patience
à lire attentivement avec la compréhension de chose, et mets-toi
dans la vie pratique, tu pourras avoir ton propre avis à la réalité
vitale qu'on est acteur, bonne lecture.

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Je parle sans comparaison de race, de langue, de
culture, ou même de continent, je parle comme un humain...
je commencerai vers le début de notre vie, du commencement.
Je dirais que lors de notre naissance, nous naissons de la même
façon, peu importe les conditions près ou poste natale, nous venons
des humains, nous sommes nées nues, ces sont des humains qui ont
dirigé notre accouchement, presque toute personne à pleurer après
sa naissance, compte tenu du changement de la température, mais je
dirais que c'est ne pas la température seul qui nous fait pleurer,
juste que c'est le commencement de la souffrance qui touche ou
agresse notre chair humaine, notre santé a été améliorer par la
bravoure des humains, les vaccins, les médicaments, notre premier
sevrage....., Notre éducation a été fourni par des humains, dans tous
les cas notre commencement dépendait des humains, et petit à petit
nous grandissons et nous vivons en dépendant des humains, jusqu'à
notre mort, ce sont des humains qui nous enterrent,
En vrai dire nous ne sommes pas libres en totalité, pour moi «la
liberté totale désigne la vie hors des humains ». Ce qui nous montre
que l'humain face à son existence ne pas différente de l'autre par les
points communs qui nous unissent.
Nous allons parcourir cinq points essentiels qui pourront nous faire
comprendre comment nous sommes le même, nous ne sommes pas
différents les uns ou les autres de l'autre selon la vie en soi qui a
l'importance capitale pour parler des humains.

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1. HUMAINS
Le mot humain peut faire référence à :
◾Dans un sens premier, l'adjectif relatif à l'être humain est le nom
vernaculaire de la lignée humaine, qui comprend l'espèce humaine
actuelle nommée Homo sapiens, et dans un sens plus large à un
terme évaluatif qui déploie cette acception dans le terme humanité.
•L'environnement humain.
•La biologie de la lignée humaine et de l'espèce humaine actuelle
Homo sapiens.
Qui d'entre nous s'opposera à ça ?
Nous avons surtout une forme de comparaison comme état
physique et mental : si c'est naturel, nous ne sommes pas le
responsable de ce qu'on est.
Il y a des personnes qui naissent avec quelques handicaps, des
fragilités vis-à-vis de l'environnement...
Dire que je suis intelligent que l'autre ne signifie pas être différent
de l'autre, je dirais que chacun est intelligent de sa manière, tu peux
être fort en mathématiques, l'autre peut être fort en peinture, tu
peux être un écrivain, l'autre et un grand dessinateur...;en fonction
de la comparaison intellectuelle je dirai que Nous tous sans
exception, nous vivons dans la folie, en matière d'intelligence nous
sommes des fous, chaque personne a ces qu'il préfère, chaque
personne réagit de sa propre manière, chaque humain a ses propres
caractères, mais le dénominateur commun c'est la folie.

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Example:
 10 joueurs de basket-ball, qui court derrière une balle en cuir
pour la faire lancée dans un panier, les vieux qui le chapeautent
dont les arbitres et les coachs qui les guides, les publics
animent sans contrainte avec émotions, c'est un
divertissement ;
 Il y a ceux qui prennent de l'alcool d'autres n'en prennent pas,
tous sont réjoui selon sa satisfaction ;
Ici la folie c'est tous ces qu'on pense, toutes nos réactions, tous ces
qu'on fait d'une manière individuelle, et qui aboutit à un résultat
quelconque.
Donc personne n'est intelligent que l'autre, tout dépend de la
conception individuelle de chose.
A propos du handicap
Chaque personne est malade ou handicap de sa manière, il y a les
maladies qui se montrent visiblement et d'autres sont cachés dans
nos matériels génétiques qu'on transmet de génération en
génération qui pourra se dévoiler à la longue,
Exemple : Quelques forme de diabète, le cancer, l'albinisme, la
drépanocytose...
Nous ne sommes pas tous parfait.

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2. LA SOUFFRANCE
La souffrance, ou la douleur au sens large, est une expérience
de désagrément et d'aversion liée à un dommage ou à une menace
de dommage chez l'individu. La souffrance est l'élément
fondamental qui constitue la valence négative des phénomènes
affectifs.
La souffrance peut être physique ou mentale, selon qu'elle se
rattache principalement à un processus somatique ou psychique
dans un organisme. La douleur (comme sensation), la nausée, la
détresse respiratoire, et la démangeaison sont des exemples de
souffrance physique. L'anxiété, le deuil, la haine, l'ennui sont des
exemples de souffrance mentale. L'intensité de la souffrance peut
présenter tous les degrés, depuis l’anodin négligeable jusqu’à
l’atroce insupportable. En même temps que l’intensité, deux autres
facteurs sont souvent pris en considération, la durée et la fréquence
d’occurrence. L'attitude des individus envers la souffrance peut
varier énormément, selon la mesure où, estiment-ils, elle est légère
ou sévère, évitable ou inévitable, utile ou inutile, méritée ou
imméritée, choisie ou non voulue, acceptable ou inacceptable, de
conséquences mineures ou graves.
Les mots douleur et souffrance peuvent prêter à confusion et
demander une attention particulière :
◾ils peuvent être synonymes et interchangeables ;
◾ils sont parfois utilisés en opposition l'un à l'autre, par ex. « la
douleur est physique, la souffrance est mentale » ;

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◾un mot peut désigner une variété de ce que désigne l'autre mot,
par ex. « une douleur, c'est une souffrance physique », ou « une
souffrance, c'est une douleur sévère, physique ou mentale » ;
◾et les deux mots sont parfois utilisés encore d'autres façons.
Tous les individus souffrent au cours de leur vie, de diverses façons,
et souvent dramatiquement. Aucun champ de l'activité humaine ne
s'occupe du sujet de la souffrance dans son ensemble, mais plusieurs
s’intéressent à sa nature ou à ses processus, à ses origines ou à ses
causes, à sa signification ou à son importance, aux comportements
personnels ou sociaux ou culturels qui y sont reliés, à ses remèdes, à
sa gestion, à ses utilisations.
Tu peux être millionnaire ou même milliardaire et tu souffres de
l'obésité, des infarctus du myocarde, d'accident vasculo
cérébrale(AVC), diabète..., Tu peux avoir une vie de luxe mais tu
souffres de l'insomnie, ... Tu comprendras que ta souffrance sera
causée par les conséquences liées aux excès ! Ce qui stipule que
l'argent soit le luxe ne peut pas faire que nous soyons différents des
autres humains qui ont une vie modeste ou qui n'ont presque rien,
face à la souffrance, parce que eux aussi peut avoir leurs maladies,
leurs douleurs, soit leur souffrance peut être causé de carence, par
exemple la malnutrition sévère, les avitaminoses...
À chaque fois dans notre vie nous souffrons en voulant survivre,
dans nos différents travaux, que ça soit dangereux ou non nous
tenons toujours, donc nous vivons dans la souffrance...Notre
dénominateur commun est la souffrance, la douleur.

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3. LA CHAIR HUMAINE
Tissu musculaire et conjonctif du corps humain. Au sens un peu
développé, la chair c'est nous, c'est ce qui nous donne l'apparence
d'un humain, il nous protège de différentes intempéries, elle est
agressée de tout genre de souffrance physique bien sûr !
Qui serait un humain sans avoir la chair, avec tous ces caprices ?
4. LA DÉPENDANCE
La Dépendance...Plusieurs formes : Physique, Psychique, Sociale...
La dépendance = Incapacité pour une personne à accomplir seule
les gestes de la vie quotidienne.
La dépendance s'oppose à l'autonomie
On n'est pas toujours dépendant d'une situation, de quelqu'un, à
quelque chose...A réfléchir !
Il existe plusieurs formes de dépendances :
I) PHYSIQUE
Une personne qui est dans l'incapacité de se déplacer, à s'adapter
aux différentes situations rencontrées, à réaliser les gestes de la vie
quotidienne, sans aide, on peut considérer que cette personne est en
état de dépendante physique.
Rappel : Incapacité = déficience qui donne lieu à un degré
d'invalidité qui engendre une baisse de performance dans les
activités de la vie quotidienne.

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Rappel : Déficience = Altération d'une structure ou d'une fonction
physiologique, psychologique ou anatomique. Cette déficience peut
provoquer une incapacité, qui, dans un milieu social donné, pourra
entraîner un désavantage ou un handicap.
Rappel : Handicap = déficience ou incapacité qui limite ou interdit
l'accomplissement d'un rôle normal. C'est à dire, en rapport avec
l'âge, le sexe, les facteurs socioprofessionnels et culturels. Le
désavantage correspond à l'aspect situationnel du handicap.
II) PSYCHIQUE
Une personne qui n'a pas un comportement et des règles de
conduite librement choisis, peut être considérée en état de
dépendance psychique. Les dépendances peuvent se superposer ;
Par exemple, une personne avec addiction / drogue, est en état de
dépendance psychique et physique (état de manque = angoisse,
dépression... troubles du comportement ...)
III) SOCIALE
Une personne qui ne peut pas maintenir une vie sociale, une
ouverture sur le monde, des liens avec sa famille, ses amis,
s'adonner à des loisirs...
Par exemple ; Une personne qui ne peut subvenir à ses besoins par
ses propres moyens est de fait, en état de dépendance sociale :
Besoin des deniers de la collectivité pour vivre !
DANS NOTRE COMMUNAUTÉ
Depuis longtemps l'homme a voulu créer une doctrine appelée
"Inégalité sociale" qui a fait une division des humains face au

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catégorie de vie, il n'a jamais sût que Chacun dépendait de l'autre
d'une manière communautaire, sans vivre dans un état de
parasitisme, d'autres peuvent employer le verbe "se compléter",
comment on se complète alors que chacun veut avoir tant de choses
que l'autre ? Comment on se complète alors que chacun ne
s'inquiète pas pour l'autre ?
Chaque personne veut s'accrocher à la vie, qui fait que nous ne
voyons même pas qu'on forme une chaine de "dépendance
communautaire".
Prenons quelques exemples qui pourront nous éclaircir à ce qui
concerne ce point :
- un riche et entouré toujours des ouvriers, depuis le temps de
Seigneur et des vassales,
Parce qu'il ne veut pas toucher à des travaux dit "minimes", ou bien
parce qu'il n'a pas le temps de faire ces tâches, ou bien il a quelques
handicaps, ..., la vérité est qu'il a de l'argent.
On peut conclure que la personne fliquée dépend des ouvriers, dans
le sens ou si l'ouvrier disparaît sur la carte, le riche sera obligé de
faire ses devoirs,
Mêmement a l'ouvrier, il travaille pour gagner le pain quotidien, il y
a ce qui peut dire venant de sa force, bien sur, mais la vérité c'est
pour gagner de l'argent. Et si le patron n'est plus ? Je sais que tu as
la réponse !
Nous comprenons que chacun a besoin de l'autre dans presque tous
les cas...

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- prenons un commerçant avec ses clients : les clients ont besoin des
marchandises, tout comme le commerçant a besoin d'une personne
pour vider les marchandises appeler client.
Dans tous les cas l'argent joue un rôle important dans "la non-
reconnaissance" de valeur qu'un être humain possède vis-à-vis de la
dépendance communautaire.
5. LA LIBERTÉ
Concept désignant la possibilité d'action ou de mouvement sans
contrainte,
De façon générale, la liberté est un concept qui désigne la possibilité
d'action ou de mouvement.
En mécanique par exemple, on parle de degrés de liberté pour
comptabiliser les mouvements possibles d'une pièce.
Pour le sens commun, la liberté s'oppose à la notion d'enfermement
ou de séquestration. Une personne qui vient de sortir de prison est
dite libre. Le sens originel du mot liberté est d'ailleurs assez proche :
l'homme libre est celui qui n'a pas le statut d'esclave.
En philosophie, en sociologie, en droit et en politique, la liberté est
une notion majeure : elle marque l'aptitude des individus à exercer
leur volonté avec :
 Selon l'orientation politique des discours tenus
 La mise en avant de nuances dont aucune n'épuise le sens
intégral :

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◾formulation négative : où l'on pointe l'absence de soumission, de
servitude, de contrainte, d'aliénation... que celles-ci soient exercées
par d'autres individus (exemple : l'esclavage) ou - non plus
physiquement mais opérant sur les mentalités - par la société
(exemples : la propagande, le contrôle social ou la loi, dès lors que
certaines dispositions sont vécues comme liberticides, comme la
vidéosurveillance).
◾formulation positive : où l'on affirme l'autonomie et la spontanéité
du sujet rationnel ; les comportements humains volontaires se
fondent sur la liberté et sont qualifiés de libres.
◾formulation relative : différents adages font ressortir l'équilibre à
trouver dans une alternative, visant notamment à rendre la liberté
compatible avec des principes de philosophie politique tels que
l'égalité et la justice. Ainsi : La « liberté consiste à pouvoir faire tout
ce qui ne nuit pas à autrui » (art. 4 de la Déclaration des droits de
l'homme), ce qui implique la possibilité de « faire tout ce qui n'est
point interdit, comme ne pas faire ce qui n'est point obligatoire »
(art. 5), la « liberté de dire ou de faire ce qui n'est pas contraire à
l'ordre public ou à la morale publique » (droit administratif) ou
encore « La liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres
» (peut-être inspiré par John Stuart Mill)[1]. Dans une telle
formulation, la liberté est étroitement liée au concept de droit, allant
jusqu'à confondre les deux notions.
Cette notion renvoie à une double réflexion :
1. D'une part sur la liberté en tant que questionnement sur la
capacité de choisir et de faire,

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2. D'autre part comme questionnement sur l'exercice concret de ce
pouvoir de choisir et de faire.
Dans la mesure où ces deux perspectives se recoupent de diverses
manières, leur chevauchement peut provoquer des erreurs
d'interprétation dans les analyses et la confusion dans les débats. Il
faut donc prendre soin de distinguer les différents sens de ce mot.
Définition
D'un point de vue sémantique, on peut considérer la liberté comme
un état où le sujet n'est pas l'objet de contrainte [2].
Liberté et possibilité de choix
L'existence d'un degré de liberté suppose que le sujet soit confronté
au moins à une alternative. Le propre de cette situation implique
qu'un libre choix est possible, qui ne peut s'exprimer que par un
renoncement aux autres possibilités. Il en résulte que
nécessairement, l'attribution d'une possibilité d'agir, rend
impossible une ou plusieurs autres possibilités d'agir et modifie
donc d'autant le champ de libertés d'un individu. D'autre part,
l'interprétation des contraintes contenues dans l'alternative
rencontrée n'est pas neutre dans la détermination du choix tant
cette analyse conditionne l'évaluation du champ des possibilités. Il
existe évidemment une infinité de tels ensembles : Pour une même
situation, des opérateurs distincts voient donc sous le mot « liberté »
des notions parfois fort différentes. A fortiori lorsque cette même
situation se reporte dans un contexte différent.

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Liberté source de droits et de devoirs
La liberté peut donc constituer un attribut de l'être humain, de sa
volonté, et être la condition de droits naturels ou positifs, mais aussi
de devoirs.
Libertés individuelles
On distingue au niveau de l'individu plusieurs « types » de libertés :
La liberté naturelle : selon laquelle la nature autorise l'homme à
employer l'ensemble de ses facultés comme il l'entend.
La liberté civile : elle s'inscrit dans le cadre d'un homme citoyen
étant libre de ses actes, tant que ceux-ci ne nuisent pas à autrui et ne
sont contraires à aucune Loi. Cette liberté est très délicate
d'application, en particulier en ce qui concerne le droit de la
concurrence, puisque toute création de commerce nuit par principe
aux commerces antérieurs existant dans le voisinage. On y associe
souvent la maxime suivante : « La liberté des uns s’arrêtent là où
commence celle des autres ».
La liberté de circulation : dans la même optique que la précédente,
elle reconnaît à l'homme le droit d'aller et venir librement sur le
territoire national, ce qui inclut la possibilité d'y entrer ou d'en
sortir. Cette liberté a été étendue en Europe grâce aux accords de
Schengen, permettant la libre circulation des personnes dans
l'espace de la Communauté Européenne.
La liberté de culte ainsi que la liberté de conscience : la liberté de
culte permet à chaque individu de pratiquer la religion de son choix,
la liberté de conscience permet de ne pas avoir de croyance
religieuse.

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La déclaration des droits de l'homme et du citoyen en fixe pour
limite : l’absence de trouble à l'ordre public.
La liberté d'opinion consiste en la liberté de pensée associée à la
liberté d'expression : elle permet à chacun de penser et d'exprimer
ses pensées sans censure préalable, mais non sans sanctions, si cette
liberté porte préjudice à quelqu'un. Elle va de pair avec la liberté de
la presse, qui est celle d'un propriétaire de journal de dire ce qu'il
veut dans son journal.
La liberté économique : elle permet à chacun de percevoir des
revenus de son travail et de pouvoir affecter ces derniers librement :
liberté de travailler et de consommer.
Nul ne peut se voir refuser par principe un emploi pour des
considérations autres que de qualification professionnelle (par
exemple sexe, origine ethnique, âge ou religion).
La liberté contractuelle : les individus doivent être libres de définir
eux-mêmes les termes des contrats qu'ils passent entre eux.
Libertés collectives
La liberté n'est pas qu'individuelle, elle existe aussi à un niveau
global, plus collectif, avec par exemple la liberté de la presse, qui
permet une libre publication, sans subir de censure.
Les différentes libertés collectives: la liberté d'association la liberté
de la presse : elle permet à chacun de publier librement ses pensées
ou ses opinions, sans être sujet à la censure ou à tout autre mesure
arbitraire ou autoritaire ;la liberté de réunion : elle permet aux
individus de se réunir librement pour débattre de leurs opinions ;la
liberté syndicale : elle permet aux salariés de former et d'adhérer ou

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non à des organisations syndicales pour les représenter et faire
valoir leurs droits et revendications.
o La question nous revient, Est-ce qu’au courant de notre vie
nous sommes libres ? Avec toute la souffrance, les inégalités
sociales, le mépris, la violence avec ces formes, les guerres, les
catastrophes naturelles, les affaires politiques, les irrationalités
juridiques, les attentats terroristes, les tribalismes, le racisme...
L'homme a toujours chercher à être libre, à être épanoui durant sa
vie, mais l'environnement, la tendance dominatrice de l'homme, ...,
en vrai dire chacun veut sauver sa peau, ce qui fait que l'humain,
détruise sa nature, détruit l'autre, et se détruire lui-même, ...
Pour ce fait, Est-ce que nous sommes libres ?

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CONCLUSION
Nous venons de parcourir 5 points essentiels, qui nous
montrent comment l’homme vit avec une concordance par apport à
l'autre, qu'il soit où, dans un continent quelconque, c'est sur la terre
toujours.
Humain a tendance à se différencie de l'autre par les matériels,
l'âge, la race, la nationalité, le tribut, le rang social, ...
Mais en réalité nous sommes le même, nous avons tous les mêmes
problèmes.
Je sais qu'un nombre de personnes accepteront mon avis, et
les autres donneront l'avis contraire, mais la réalité est dans notre
Cœur !
Merci !

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WEB GRAPHIE
Wikipédia m'a aidé à avoir les maximums des définitions, et quelques
recherches, au courant ce travail.

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Victoire-toussaint KOKO MUNJUZA,
Congolais(RDC) né à
Bukavu 1Novembre,1996,
je vis à Goma depuis fin 1997,
j'ai poursuivi mes études maternelle,
primaire, secondaire à Goma,
actuellement j'étudie à L'UNIVERSITÉ
CATHOLIQUE LA SAPIENTIA
(UCS/GOMA) dans la faculté de
médecine humaine.
La motivation d'effectuer une telle penser est due aux injustes
sociaux, aux mutineries, aux souffrances... Qui se voit dans nos
différentes communautés jours après jours et qui laisse des
cicatrices au niveau de nos cœurs, de nos pensées, et parfois même
de nos comportements quotidiens ;
C'est à nous maintenant de pallier ce problème pour préparer notre
postérité.
"Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous
allons mourir tous ensemble comme des idiots."
Martin Luther King

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