GIÁO ÁN DẠY THÊM (KẾ HOẠCH BÀI DẠY BUỔI 2) - TIẾNG ANH 6, 7 GLOBAL SUCCESS (2...
Charlie Hebdo
1. Des actes islamophobes
depuis l'attentat contre Charlie Hebdo
L'humour à la Charlie :
« on brûle les mosquées,
mais c'est seulement pour
rire »
alterinfo.net
Quelques heures après l'attaque meurtrière
contre les locaux du périodique satirique
Charlie Hebdo, une campagne de représailles
planifiée a été enregistrée dans différents
endroits de France et même dans le monde
entier, ciblant principalement les mosquées et
salles de prière. En effet, plus de 100 actes
anti-islamistes ont été signalés dans les
heures ou les jours suivants l'attentat contre
le journal.
Des centaines de mosquées ont été taguées
ou incendiées, comme ici, où l'on voit les
pompiers tenter d'éteindre les flammes.
Je pense personnellement que ces actes de
représailles sont intolérables.
Il ne faut pas confondre les fanatiques qui,
pour « venger le prophète Mahomet » ont
assassiné des journalistes caricaturistes (et
d’autres personnes) et les musulmans qui
pratiquent simplement leur religion. Je pense
qu'il ne fallait en aucun cas s'attaquer à leurs
lieux de culte, étant donné qu’ eux n’y sont
pour rien...La religion est une pratique libre,
personne ne peut juger et se venger sur le
culte d'autrui.
M.INVERNIZZI
2. LA GAUCHE RADICAL AU POUVOIR EN GRECE:
Les conséquences sur le Pacte budgétaire européen.
Les Grecs ont voté. La gauche radicale Syriza est arrivée en tête des législatives. La formation a fait campagne
sur un programme associant, notamment, renégociation de la dette publique et mesures d'urgence pour faire
face à la "crise humanitaire" après six ans de récession.
lexpress.fr
La politique de Syriza peut-elle remettre en cause le
maintien de la Grèce dans l'euro?
Et en quoi risque-t-elle de déstabiliser l'Europe ?
Elle est un nouveau signal, cette fois très alarmant, de la fracture qui divise
le continent sur la politique à mener pour résoudre les problèmes financiers,
économiques et sociaux qu'il traverse depuis sept ans. Cette fracture est
historique, elle date des origines de l'Union européenne ; elle est de nature
idéologique et s'est accentuée avec le temps, au fil de l'élargissement de
l'Europe. La crise atteint des proportions dramatiques dans certains pays
comme la Grèce; elle est au cœur du débat politique autour de l'Europe,
jusqu'à provoquer ici et là la mise en question de son existence même.
Pour le Syriza, la Grèce doit "continuer à faire partie de l'histoire
européenne".
Ce rappel n'est pas inutile si l'on veut évaluer à sa juste mesure l'événement
grec, qu'on a tendance à assimiler à un rejet de l'Europe. À bien analyser les
déclarations d'Alexis Tsipras, président du parti de la gauche radicale Syriza,
c'est à un autre enjeu que répond son combat : l'abandon des mesures
d'austérité imposées par la Commission et la renégociation de la dette
publique de la Grèce. Certes, il assortit ses propos d'une violente attaque
contre la politique européenne, mais il ne cesse d'espérer "une Europe qui
change". C'est un homme politique. Il sait que son pays a tout à perdre dans
cette rupture, il sait que la Grèce vient d'être sauvée par l'Europe au cours
de ces dernières années…
M.INVERNIZZI
Je pense personnellement qu’il n’est pas
nécessaire que la Grèce quitte l’Union
Européenne. Cependant, elle doit rembourser
cette dette pour ne pas pénaliser les autres pays
membres. Elle doit trouver des solutions pour
s’en sortir seule.