Le Capitoul était un journal écrit par et pour des étudiants. Il était centré sur la discipline Histoire de l'art à Toulouse et sur le patrimoine toulousain.
Il y eut six numéros.
1. Du 1er juillet au 21 septembre
2016, le sous-sol de la Fondation
Bemberg accueille une incroyable
collection d’orfèvrerie allemande du
XVIe siècle. Ces objets appartiennent
au géant de l’agroalimentaire Rudolf
August Oetker (1916-2007), ex-
propriétaire de la firme " Dr. Oetker ".
L’histoire aurait pu s’arrêter là si le 6
juillet 2016, la journaliste Sarah
Hougounenq n’avait pas publié un
article au sein du Quotidien de l’Art,
accusant la Fondation Bemberg d’avoir
caché sciemment le passé nazi du
collectionneur, et par ce fait, la
provenance des œuvres qui peut paraître
douteuse.
L’article " À Toulouse, la collection
d’un ancien nazi exposée à la Fondation
Bemberg soulève des questions "
dénonce tout d’abord le fait que 27 des
44 notices du catalogue d’expositions
ne mentionnent pas la provenance des
œuvres. Ensuite, la journaliste affirme
que l’entreprise de Rudolf August
Oetker fut distinguée cinq années
consécutives en tant qu’ " entreprise
nationale socialiste modèle " au sein du
IIIe Reich. En effet, la firme " Dr.
Oetker " fut le fournisseur alimentaire
des soldats allemands sur les fronts
européens. La compagnie Dr. Oetker
avait adhéré à un cercle d’industriels, le
Freundes Kreis Reichführer SS, qui
permettait aux entreprises, en échange
d’un soutien financier au parti, de
bénéficier de contrats importants ainsi
que de mains d’œuvre à un coût
imbattable, issu des camps de
concentration.
Pour mieux appréhender cette affaire, il
faut savoir que le beau-père de Rudolf
Le gros dossier - Alice Chicheportiche
Les trésors d'un nazi
Menu
▪ Le gros dossier : Les trésors d'un
nazi
P.1 & 2
▪ Jeux
P. 2 & 3
▪ Master : Les laraires d'Herculanum
▪ Focus : Lettrine d'un manuscrit
médiéval
P. 3
▪ Agenda : Avril 2017
▪ Conservation : Silicium.org:
Patrimoine informatique et vidéo
ludique
P.4
Allemagne. Au sein, de ce carnet, le
nom de Günther S hiedlausky
n’apparaît pas moins de douze fois, au
côté du nom d’Hermann Goering par
exemple. Cet élément remet en cause
l’acquisition et la bonne foi de la
collection de Rudolf August Oetker.
Face à cet article du 6 juillet 2016, de
nombreux médias nationaux ont relayé
l e s i n f o r m a t i o n s d e S a r a h
Hougounenq. C’est donc les jours
suivants cette polémique que la
Fondation Bemberg et la Fondation
Oetker, ainsi que la Mairie de
Toulouse ont tenté de justifier la
bonne foi de cette exposition et
surtout de la provenance de la
collection.
Tout d’abord, la Fondation Bemberg
réfute la polémique à travers le site du
Parisien, le 9 juillet 2016. Les
responsables affirment qu’il n’est pas
dans leurs habitudes de donner des
informations sur la biographie des
J'enfile l'art mur pour bombarder des mots coeurs. Miss Tic.
N°3 — Mercredi 5 avril 2017 P. 1
Le
CAPITOULLe journal des historiens
DE L'ART
Au g u s t Oet k er ét ai t R i ch ard
Kaselowsky, un proche d’Himmler, à
l’origine de l’Holocauste. C’est pour
cela, selon la journaliste, que Oetker
atteint si vite le grade d’unter-
scharführer, c’est-à-dire responsable en
charge du gazage des Juifs. En effet,
après un entrainement au sein de l’école
SS de Dachau, Oetker acquit ce grade
haut placé. Mais il s’agirait peut-être
d’un grade honorifique. En effet, selon
Sarah Hougounenq, Oetker, beau-fils de
Richard Kaselowsky aurait pu bénéficier
d’une sorte d’emploi fictif, sans pour
autant avoir participé à la tuerie de
masse.
Le multimillionnaire était également un
proche de Günther Shiedlausky. Cet
homme " constitua un facteur impor-
tant " pour la collection Oetker, selon
Monika Bachtler, présidente de la
Fondation Oetker, au sein du catalogue
de l’exposition Trésors d’Orfèvrerie
Allemande du XVIe siècle. Mais cette
phrase si innocente renvoie très vite aux
carnets de Rose Valland, une attachée
de conservation Française présente au
sein du Jeu de Paume, qui a tenu un
journal tout au long de la guerre,
comme une liste des œuvres d’art
appartenant aux collections juives,
spoliées puis déplacées de France en
DE
TOULOUSE
2. Aujourd’hui nous nous interrogeons sur
le lien existant entre le musée et
l’histoire. Selon l’historienne de l’art
Laurence Bertrand Dorléac, les musées
n’ont pas un rôle passif face à
l’histoire, au contraire, ils doivent faire
partie de cette volonté de transparence.
Elle signifie d’ailleurs au sein d’un
article de Lacroix.fr qu' " il serait
temps d’arrêter de prendre les œuvres
pour des objets de délectations hors
sol ". Selon elle, histoire et musées ont
un lien fort. Les institutions doivent
jouer un rôle central dans les problèmes
de provenance.
Durant la Seconde Guerre mondiale,
des œuvres d'art ont été pillées de
façons brutales, notamment aux
premières victimes de ce conflit, les
Juifs, et acquises par des nazis. Grâce à
la conférence de Washington de 1998,
qui a permis de faire connaitre ce
problème de la spoliation d’œuvres
d’art à un plus large public, des
restitutions ont été au-devant de la
scène. L'Histoire et les musées allant de
pair, il est essentiel que ceux-ci se
mettent au service des restitutions,
même soixante-dix ans après les faits,
que les œuvres soient actrices d’une
exposition temporaire découlant d’une
collection privée, comme dans notre
cas, ou bien qu’il s’agisse de tableaux
qualifiés MNR (Musée national
récupération). Les MNR ont en effet un
statut particulier. Il s’agit d’œuvres
d’art récupérées par les Monuments
Men en Allemagne à la fin de la guerre.
Ces œuvres ont retrouvé les pays
desquels elles avaient été arrachées.
C'est le pays qui récupère ces objets
bien qu'ils avaient été pris dans une
collection appartenant à un particulier
avant d’être volés à la France. Les
tableaux MNR n'étant pas soumis aux
lois de d’inaliénabilité qui régissent les
collections des musées français, un
ayant-droit peut faire reconnaitre sa
légitimité à l’héritage d’un tableau
classé MNR, et celui-ci lui sera rendu.
À travers cette affaire, nous comprenons
l’importance du statut de l’œuvre d’art.
En effet, ces œuvres, ces orfèvreries
sont un ancrage à travers l’Histoire,
puisque le parcours de ces œuvres ne
nous permet pas d’oublier les horreurs
commises au cours de la Seconde
Guerre Mondiale. Depuis la fin des
années 1990, le grand public se rend
compte à quel point ces questions de
spoliations, d’acquisitions ou de
restitutions sont importantes. Le
patrimoine participe à la mémoire
collective, et il se doit donc d’être
juste.
collectionneurs. La F ondation
Bemberg, ainsi que la mairie de
Toulouse, justifient ensuite le fait que
ces œuvres ont déjà été exposées,
notamment au MoMA de New York, ce
qui ne poserait donc plus de problèmes
quant à la provenance de ces œuvres.
Guillermo di Osma, président de la
Fondation parle notamment d’une
polémique qui concerne l’Histoire et
non les musées. D’évidence, selon la
Fondation Bemberg, le parcours d’une
œuvre à travers l’Histoire importe peu.
Le 13 juillet 2016, la Fondation Oetker
obtient un droit de réponse au sein du
Quotidien de l’art. Bien sûr, elle réfute
totalement les accusations de la
journaliste. L’équipe justifie le fait que
certaines notices sont manquantes car il
est difficile de retracer les provenances
des orfèvreries. Et selon eux, Rudolf
August Oetker avait bien obtenu le
grade d’unterscharführer mais n’aurait
commis aucun acte en lien avec celui-
ci. La Fondation affirme également que
le passé peu glorieux du collectionneur
n’apporte rien à la qualité des œuvres,
ce qui rejoint d’évidence la défense de
Guillermo di Osma. En dernier lieu,
elle dénonce les propos du Quotidien
de l’art et annonce que les objets prêtés
à la Fondation Bemberg ne figurent en
aucun cas sur des bases de biens
spoliés. Mais c’était sans compter sur
les recherches de Sarah Hougounenq.
La journaliste a en effet découvert que
l’une des orfèvreries présentes à
l’exposition de l’été 2016 montre des
liens étroits avec une restitution
effectuée par la collection Oetker (la
première) en janvier 2017, suite à
l’article du Quotidien de l’art et du
Point de la journaliste. Cette restitution
concerne un collectionneur juif, Hedwig
Ullmann, qui aurait été forcé de vendre
un tableau d’Hans Thoma durant la
Seconde Guerre mondiale. Lequel
tableau fut retrouvé au sein de la
collection Oetker. Ce dernier l’aurait
acquis de bonne foi en 1950, selon la
Fondation. Mais l’une des pièces
d’orfèvreries exposées à Toulouse
appartiendrait également à la famille
Ullmann.
D’ailleurs, toute la collection du mania
de l’agroalimentaire aurait été acquise
après la Seconde Guerre mondiale.
C’est à la fin de la guerre, lorsque le
trafic d’œuvres d’art spoliées était très
important, qu’Oetker a acquis une
partie de sa collection auprès de
marchands d’art véreux. Mais quelques
preuves démontrent également que des
acquisitions de sa collection auraient pu
commencer avant même la fin de la
guerre.
Jeux
N°3 — Mercredi 5 avril 2017 P. 2
Ce chapiteau sculpté est
conservé au musée des
Augustins de Toulouse.
Sauras-tu retrouver les scènes
qui sont représentées sur les
côtés ?
a. La danse d'Ursule
b. La danse de Salomé
a.Le sacrifice d'Isaac
b. La mort de Saint Jean-Baptiste
Parmi ces églises, laquelle est
romane ?
1. La Basilique Saint-Denis
2. La Cathédrale Notre Dame de
Noyon
3. L'Abbatiale Sainte-Foy de
Conque
4. La Cathédrale Notre Dame de
Paris
5. La Cathédrale Saint-Étienne
de Sens
6. La Cathédrale Notre Dame de
Laon
Qu'a fait l'abbé Suger?
a) Il a reconstruit la Basilique
Saint-Denis.
b) Il a constitué un trésor
d'orfèvreries dans la Basilique
Saint-Denis.
3. Mots croisés
Horizontal
2. Pour créer quelle couleur utilise t-
on de l'oxyde de manganèse ?
4. Quelle est la grottre la plus
ancienne ? Chauvet ou Lascaux ?
6. Pech- ... est une grotte ornée du
Lot. Son nom est composé d'un nom
d'oiseau, lequel ?
8. La grotte de Chauvet a été
présentée dans un documentaire en
3D par un grand réalisateur en 2010.
Quel est le nom de celui-ci ?
Vertical
1. Petite venus iconique autrichienne
en calcaire, datant du paléolithique
supérieur.
3. Le nombre de reproductions de la
grotte de Lascaux. La dernière créée
est d'ailleurs itinérante.
5. Au XXe siècle, un abbé a
beaucoup contribué à la
connaissance de l'art pariétal et de la
préhistoire. Quel est son nom?
7. La Statue-menhir nommée la "Dame
de Saint-Sernin" a-t-elle un lien avec
Toulouse ?
Le saviez-vous ?
En 2005, cette pierre représentant un
homme poussant un caddie, imitant
l'art pariétal, est exposée durant
plusieurs jours au British museum.
Quel célèbre street artiste est à
l'origine de ce canular ?
Peux-tu nous présenter ton sujet ?
Je travaille sur les laraires à
Herculanum. Un laraire c'est un petit
temple domestique que l'on trouve
dans les demeures romaines. Presque
toutes les maisons en ont mais elles ne
sont pas toutes conservées. À
Herculanum, comme à Pompéi,
l'éruption a recouvert les villes et
presque tout est toujours en place.
Mais les fouilles n'ont pas toujours été
bien réalisées, de nombreux laraires ont
été détruits. À Pompéi un corpus a
déjà été rédigé par G. K. Boyce, et moi
je fais la même chose, mais pour
Herculanum. Je dois donc répertorier
tous les laraires qui y sont à partir des
fouilles déjà réalisées et à partir du
terrain puisque je me suis rendu à
Herculanum.
T u as donc un suj et mêl ant
archéologie et histoire de l'art ?
Alors que je n'ai aucune formation
archéologique. Je me base sur ce qui a
déjà été écrit et ma partie archéologique
était surtout d'identifier les laraires. Je
suis redoublante, c'est l'écriture du
mémoire qui m'a posé problème, J'ai
beaucoup de données à traiter, c'est
plus compliqué.
Le master Sciences de l'antiquité a une
particularité, il est pluridisciplinaire,
peux-tu nous en parler ?
Nous étudions à la fois l'histoire,
l'histoire de l'art, la philosophie,
l'archéologie, les lettres, avec des cours
de philologie par exemple.
Nous avons plus de cours que les
autres masters recherche, mais c'est
positif, parce que cela nous permet
d'avoir un point de vue plus global, nous
ne pouvons pas étudier un sujet par un
aspect unique.
Quel est ton projet pour ta deuxième année
de master ?
Si je devais continuer en master 2
j'aimerais bien resserrer sur un aspect
particulier des laraires. En fait, je travaille
à la fois sur les laraires, qui sont des
temples, et sur le mobilier qui est dedans,
c'est-à-dire des petites statuettes de
divinités qui dépassent très rarement les 20
cm et aussi toute une vaisselle à côté de
cela. C'est un peu plus compliqué, car on
ne peut pas déterminer ce qui est vaisselle
religieuse et vaisselle quotidienne. Moi
j'aimerais bien me centrer sur l'aspect
plastique des statuettes, et essayer de
définir les styles etc... Cela fait déjà partie
de mon mémoire, dire combien il y a de
divinités, lesquelles. Est-ce qu'on trouve
plus Mercure, Hercule ? Et j'aimerais
aborder aussi l'aspect physique parce que
j'ai lu quelque chose de très intéressant là-
dessus : une chercheuse italienne qui arrive
à faire des distinctions stylistiques et dire
par exemple qu'ici il y a une influence
grecque, là c'est plutôt ceci,.. Du coup je
pense que cela peut être très intéressant de
voir par maison. Parfois on sait qui
habitait la maison, son histoire. Et ainsi
dire qu'elles étaient leurs influences,
comment elles se reflètent dans les laraires.
Mon M2 s'orienterait vers cela.
Aurais-tu quelque chose à dire aux futurs
étudiants du master ?
J'ai vu les sujets des M1, ils sont
intéressants. Il y a encore pleins de sujets à
aborder. Le master est bien, divers, et nous
sommes bien encadrés pour nos recherches.
Master
Les laraires d'Herculanum
Emeline Munos est actuellement en première année du master Sciences de
l'antiquité, sous la direction de Mme Alexandra Dardenay.
Lettrine du Psaume 109, folio 79, Ms 144,
Psautier Catalan 2nde moitié du XIVe siècle.
Bibliothèque d'étude et du patrimoine,
Toulouse
La Trinité est représentée ici par le père et le fils
assis côte à côte et la colombe du Saint Esprit
entre eux, pour évoquer le premier vers du
psaume " Dixit dominus... ". Dans les Trinités,
Dieu n'apparaît que christomorphe jusqu'au XIIIe
siècle. Il s'agit d'une iconographie que l'on
retrouve souvent sur les initiales illustrées qui
introduisent ce texte dans les psautiers.
Focus - Juliana Gil
Lettrine d'un manuscrit médiéval
Jeux
N°3 — Mercredi 5 avril 2017 P. 3
1
4
5
6 7
8
2
3
4. Résultats des jeux
Page 2 : b - b - 3 - a
Page 3 :
1. Willendorf, 2. Noire, 3. Quatre, 4.
Chauvet, 5. Breuil, 6. Merle, 7.Non,
8. Herzog
Banksy
Pour avoir accès aux
bibliographies de chaque
article,
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" Le Capitoul. Le journal des
historiens de l'art de
Toulouse "
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Rédactrices : Mathilde Roy, Juliana
Gil et Lili Renauld
Crédits photographiques :
AnticStore, Musée des Augustins,
Grace Collins, Silicium.org
Agenda
Avril 2017
Conservation - Florie Valton
Silicium.org: Patrimoine informatique et vidéo ludique
La patrimonialisation en général se
définit comme le processus par lequel
l’objet pris au sens large devient
patrimoine. La patrimonialisation des jeux
vidéo et de l’informatique obsolète a
commencé il y a une quinzaine d’années.
Sa reconnaissance officielle est signée par
l’exposition Game Story qui s’est tenue au
Grand Palais de novembre 2011 à janvier
2012. Il existe une dizaine d’association en
Europe consacrées à la préservation du
patrimoine informatique et vidéoludique.
L’association Silicium.org est l’une d’entre
elles. C’est une association de type loi 1901
qui conserve ses collections dans un local
dans le Tarn, renommé le " Bunker ".
Comme il s’agit d’une communauté de
passionnés, la gestion et l’organisation du
local ne sont pas assurées par des
professionnels de la conservation. Cela n’a
pas de réelle importance car les membres de
l’association sont les plus aptes à connaître
les causes de dégradation et comment les
prévenir.
Il faut noter aussi que la diffusion de ce
patrimoine se fait par l’expérimentation. En
effet, quoi de mieux pour appréhender un
jeu vidéo ou un logiciel que de l’utiliser.
Ce qui se traduit par des participations à des
expositions comme L’Apple II Festival
France en août 2016 dans le Gers. Ce sont
des moyens de diffusion comme les articles
produits par l’association, qui sont
essentiellement mis en ligne sur son site
internet.
Il faut savoir que cette association est
d’abord née en ligne par l’intermédiaire d’un
forum. Enfin, elle participe à la fabrication
d’émulateurs pour pallier l’aspect obsolète
de ce patrimoine. Ce qui permet de faire
fonctionner des logiciels anciens sur des
machines récentes.
N°3 — Mercredi 5 avril 2017 P. 4
Conférences, journées d'étude,
colloques
Séminaire BAnDITI: Les artisans
Italiens en France, aux XVIIIe et XIXe
siècles: " badigeonneurs ", sculpteurs,
stucateurs et autres métiers d'art.
Autour des notions de " réseaux " et
de " transferts culturels "
Le 20/04, de 9h à 18h - salle D30
Maison de la Recdherche, UT2J
Séminaire Le vrai et le faux: Les
qualités du faux: autour de la
porcelaine de Chine
Le 29/04, de 9h à 18h - salle 306,
Maison de la Recherche, UT2J
F rançoi s B on: Br as s ages et
métissages préhistorique. Les
origines métisses de l'humanité
Le 26/04, à 18h30 - salle San Subra -
2€
Journée d'étude: Décoloniser l'objet?
Le 20/04 de 9h45 à 18h et le 21/04
de 9h30 à 16h - Auditorium des
Abattoirs
Françoise Merlet: Persépolis et les
fastes du règne de Cyrus: le grand
Pasargades et le thème du paradis,
les jardins, les Mille et une Nuits
Le 11/04 à 18h - Le centre culturel
Bellegarde
Expositions
Vernissage de l'exposition Pourquoi
pas rouge ?
Le 27/04, à 18h - CIAM, UT2J
Femmes Fractales, exposition de
Carmen Herrera Norlove
Du 10 mars au 26 avril à l'Institut
Cervantes
Tandem 2.0, exposition de Patrick
Meunier & Jacques Tison
Du 1 mars au 29 avril, à l'Espace
Croix Baragnon
Tropismes, exposition de Soia et
Timo Hateau
Du 25/04 au 31/05, Le centre culturel
Bellegarde
Mirabili'art
Association d'étudiants en Histoire de
l'art
Virginie Czerniack: Les peintures
murale de la Basilique Saint sernin
et de Notre Dame du Taur
Le 28/04, à 14 - Rdv devant la
Basilique Saint Sernin