2. ELABORATION DE L’ACIER
FABRICATION
APPLICATIONS
RECYCLAGE
LES PROCEDES INDUSTRIELS
LE LAMINAGE
LE FORGEAGE
LE FRITTAGE
LE MOULAGE AU SABLE
LE MOULAGE PAR INJECTION
L’EMBOUTISSAGE
L’EXTRUSION
LES PROCEDES D’USINAGE
LE TOURNAGE
LE FRAISAGE
L’ELECTRO-EROSION
LE VOCABULAIRE DES FORMES
LES TRANSMISSIONS
POULIES-COURROIS
PIGNON-CHAINES
ENGRENAGES
ACCOUPLEMENTS
LE DESSIN TECHNIQUE
LE CROQUIS
LA VUE ECLATEE
LA REPRESENTATION SYMBOLIQUE
LE DESSIN D’ENSEMBLE
LE DESSIN DE DEFINITION
LA PERSPECTIVE
LES FORMATS
LA CARTOUCHE
LA NOMENCLATURE
LES TRAITS
LA PROJECTION ORTHOGONALE
LA DESIGNATION DES METAUX
ACIERS D’USAGE COURANT
ACIERS POUR TRAITEMENTS THERMIQUES
ACIERS ALLIES
ACIERS FORTEMENT ALLIES
LES TRAITEMENTS THERMIQUES
LA TREMPE
LE REVENUE
LE RECUIT
LES ROULEMENTS
COMPOSITION
TYPES
REPRESENTATION NORMALE ET
CONVENTIONNELLE
L’ETANCHEITE
ETANCHEITE STATIQUE
ETANCHEITE DYNAMIQUE
VIS D’ASSEMBLAGE
ROLE
REPRESENTATION
DESIGNATION
TETE DE VIS
RECONNAÎTRE LA VISSERIE
LE FRAINAGE DES BOULONS
LA LUBRIFICATION
ROLE
BARBOTAGE D’HUILE
BROUILLARD D’HUILE
CIRCUIT FERME
LUBRIFICATION A LA GRAISSE
PRINCIPAUX DISPOSITIFS
PROPRIETES DES GRAISSES
COMPARATIF HUILE GRAISSE
LES AUTOMATISMES
LES SYSTEMES AUTOMATISES
EXEMPLE DE SYSTEME
PARTIE COMMANDE
PARTIE OPERATIVE
ACTIONNEURS
CAPTEURS
APPAREILLAGE EN
ELECTROTHECHNIQUE
LE SECTIONNEUR
LE DISJONCTEUR THERMIQUE
LE DISJONCTEUR MAGNETIQUE
LE DISJONCTEUR DIFFERENTIEL
LE CONTACTEUR
LE RELAI THERMIQUE
LE CONTACT A FERMETURE
LE CONTACT A OUVERTURE
PNEUMATIQUE INDUSTRIELLE
PRODUCTION ENERGIE PNEUMATIQUE
DESCRIPTIF COMPRESSEUR AIR COMPRIME
DISTRIBUTION ENERGIE PNEUMATIQUE
FILTRE
REGULATEUR
LUBRIFICATEUR
SECTIONNEUR
DEMARREUR PROGRESSIF
ACTIONNEURS
VERIN SIMPLE EFFET
VERIN DOUBLE EFFET
AMORTISSEUR
VERIN ROTATIF
DISTRIBUTEURS
DESIGNATION ET REPRESENTATION
EXEMPLES
HYDRAULIQUE INDUSTRIELLE
LE CIRCUIT HYDRAULIQUE
LA POMPE
LE RESERVOIR
LE LIMITEUR DE PRESSION
LE REGULATEUR DE VITESSE
LE DISTRIBUTEUR
LE FILTRE
SOMMAIRE
4. L'agglomération
Le minerai de fer est préparé :
Il est broyé et calibré en grains qui
s'agglomèrent (= s'agglutinent) entre eux.
L'aggloméré obtenu est concassé puis
chargé dans le haut fourneau avec du coke.
Le coke est un combustible puissant, résidu
solide de la distillation de la houille
(variété de charbon très riche en carbone).
5. Le haut-fourneau
On extrait le fer de son minerai.
Minerai et coke solides sont enfournés par le haut. L'air
chaud (1200 °C) insufflé à la base provoque la
combustion du coke (carbone presque pur).
L'oxyde de carbone ainsi formé va "réduire" les oxydes
de fer, c'est-à-dire leur prendre leur oxygène et, de ce
fait, isoler le fer.
La chaleur dégagée par la combustion fait fondre fer et
gangue en une masse liquide où la gangue, de densité
moindre, flotte sur un mélange à base de fer, appelé
"fonte".
Les résidus formés par la gangue fondue (laitiers) sont
exploités par d'autres industries : construction de
routes, cimenterie, etc..
6. La cokerie
Le coke est un combustible obtenu par distillation
(gazéification des composants indésirables) de la
houille dans le four de la cokerie.
Le coke est du carbone presque pur doté d'une
structure poreuse et résistante à l'écrasement.
En brûlant dans le haut fourneau, le coke apporte la
chaleur nécessaire à la fusion du minerai et les gaz
nécessaires à sa réduction.
7. L
E
Le convertisseur
On y convertit la fonte en acier.
La fonte en fusion est versée sur un lit de ferraille. On
brûle les éléments indésirables (carbone et résidus)
contenus dans la fonte en insufflant de l'oxygène pur.
On récupère les résidus (laitier d'aciérie).
On obtient de l'acier liquide "sauvage", qui est versé
dans une poche.
Il est appelé acier sauvage, car, à ce stade, il est
encore imparfait.
8. La station d'affinage
(décarburation et additions chimiques)
Les opérations ont lieu dans un récipient sous vide,
l'acier étant mis en mouvement entre poche et récipient
à l'aide d'un gaz neutre (argon).
On insuffle de l'oxygène pour activer la décarburation et
réchauffer le métal.
Ce procédé permet une grande précision dans
l'ajustement de la composition chimique de l'acier
("mise à nuance").
9.
10. Le laminoir
Des ébauches aux produits finis :
Ici : de la brame à la tôle.
La brame est réchauffée dans un four pour rendre le
métal plus malléable, donc plus facile à étirer et à
mettre en forme.
L'ébauche est ensuite amincie par écrasements
progressifs entre les cylindres du laminoir.
11. Le four électrique
La matière première enfournée peut aller du matériau brut (par exemple des
pièces de machine) dûment sélectionné, jusqu'à la ferraille livrée préparée, triée,
broyée, calibrée, avec une teneur minimale en fer de 92 %.
On fond les ferrailles dans un four électrique.
L'acier liquide obtenu est ensuite soumis aux mêmes opérations d'affinage et de
mise à nuance que dans la filière fonte.
Les ferrailles proviennent des emballages jetés, des bâtiments, machines et
véhicules démontés, des chutes de fonte ou d'acier récupérés dans la sidérurgie.
Chaque nuance d'acier nécessite un choix rigoureux de la matière première, en
fonction notamment des "pollutions" que peut représenter, pour cette nuance
précise, tel métal ou autre minerai contenu dans les ferrailles.
Filière électrique : processus
Un "panier à ferrailles", chargé à l'aide d'un aimant, achemine la matière première
jusqu'au four.
La fusion a lieu grâce à des arcs électriques puissants, qui jaillissent entre des
électrodes et la charge à fondre.
On récupère les résidus ( laitier ).
On obtient de l'acier liquide, qui va être acheminé vers l'installation d'affinage et
de mise à nuance.
13. Le laminage est un procédé de fabrication par
déformation plastique du métal.. Cette
déformation est obtenue par compression
continue au passage entre deux cylindres
tournant dans des sens opposés appelés
laminoir.
Un laminoir est une installation industrielle
ayant pour but la réduction d'épaisseur d'un
matériau (généralement du métal). Il permet
également la production de barres profilés
(produits longs).
LE LAMINAGE
14. Le forgeage consiste à former
par déformation plastique après
chauffage des pièces brutes.
Le forgeage est une opération de
forge effectuée à l'aide d'outillage
appelés des matrices (demi
matrice supérieure et demi
matrice inférieure). Les matrices
portent en creux la forme de la
pièce.
Le forgeage
15. Le principe est fondé sur la déformation plastique du
matériau (en général un métal), déformation consistant
en un allongement ou un rétreint local de la tôle pour
obtenir la forme désirée. Par suite de la conservation
globale (au moins approximative) du volume du
matériau, les zones d’étirement subissent un
amincissement (qui doit rester limité pour éviter la
rupture) et les zones de rétreint (compression)
subissent une combinaison d’épaississement et de
plissement : on cherche en général à éviter ce dernier
effet, mais il ne peut jamais être complètement absent
et on cherche donc à le déplacer dans des parties de
tôle qui seront éliminées dans la suite du processus de
fabrication.
L’estampage
16. L'extrusion est un procédé de fabrication
mécanique par lequel un matériau mis sous
pression est contraint de traverser une filière
qui lui donnera la forme d'un profilé de
grande longueur.
Ce procédé est conduit à froid.Ce procédé
donne des pièces aux formes encore plus
précises que celles qui sont réalisées avec
l'estampage ou le matriçage et présentent
des états de surface excellents, ce qui
permet souvent de les utiliser sans usinage
complémentaire. Contrairement au laminage
de bandes qui se limitent généralement à
des formes simples, elle permet d'obtenir
des formes très complexes et des profilés
creux.
L'extrusion
17. Le frittage est un procédé de
fabrication de pièces consistant à
chauffer une poudre sans la mener
jusqu’à la fusion. Sous l'effet de la
chaleur, les grains se soudent entre
eux, ce qui forme la cohésion de la
pièce.
Le frittage
21. Perçage borgne
C’est un perçage qui ne traverse pas
complètement la pièce. Son
extrémité est généralement pointue.
Embase
Élément d’une pièce servant de
base, on dit aussi « semelle »
22. Nervure
Partie de faible épaisseur destinée à
augmenter la rigidité d’une pièce.
Alésage
Désigne généralement une forme
creuse précise (un trou) destinée à
recevoir un arbre. C’est le
contenant d’un assemblage.
23. Chambrage
C’est un évidemment réalisé à
l’intérieur d’un alésage destiné à
limiter la portée (surface en
contact) de l’arbre contenu dans
l’alésage.
Lamage
Usinage cylindrique réalisé à l’entrée
d’un perçage destiné à noyer (cacher)
la tête d’une vis.
24. Fraisure
Usinage conique réalisé à l’entrée
d’un perçage destiné à recevoir la
tête d’une vis.
Bossage
Surépaisseur de matière,
généralement située à l’entrée d’un
perçage, destinée à limiter les
surfaces à usiner.
25. Perçage
Trou, débouchant ou non, généralement
réalisé avec un foret à extrémité pointue.
Évidement
Vide prévu dans une pièce pour
en diminuer le poids ou réduire
une surface d’appui.
26. Trou oblong
Trou de forme allongée, terminé par 2
demi-cylindres.
Arrondi
Surface arrondie destinée à supprimer
l’arrête vive d’un angle saillant.
27. Congé
Surface arrondie qui raccorde deux
surfaces formant un angle rentrant.
Épaulement
Changement de la section d’une
pièce pour obtenir une surface
d’appui.
28. Arbre
Désigne généralement une pièce
cylindrique précise. C’est le contenu
dans un assemblage avec un alésage.
Dégagement
Usinage effectué dans le fond d’un
angle pour assurer un bon contact ou
pour faciliter un usinage.
29. Filetage
Rainure hélicoïdale exécutée sur un
cylindre. C’est la forme qui a été
réalisée sur une vis.
Taraudage
Rainure hélicoïdale exécutée dans
un alésage ou un perçage. C’est la
forme qui a été réalisée dans un
écrou.
30. Chanfrein
Surface conique ou plane obtenue
par suppression d’une arrête vive sur
un cylindre ou sur un prisme.
Gorge
Usinage dans une pièce cylindrique
souvent destiné à recevoir un
anneau élastique ou un joint
d’étanchéité.
31. Rainure
Entaille longue pratiquée dans une
pièce(logement de clavette
Méplat
Surface plane réalisée sur un
cylindre. On dit aussi plat. Deux
méplats opposés sur une pièce
cylindrique permettent
l’utilisation d’une clef plate.
33. ELEMENTS DE TOUR PARALLELE
CHARIOT
LONGITUDINAL
(TRAINARD)
VIS MERE
POUPEE FIXE
(MANDRIN)
POUPEE
MOBILE
BOITE DES
VITESSES
BOITE DES
AVANCES
CHARIOT
TRANSVERSAL
BARRE DE
FILETAGE
CHARIOT
PORTE OUTIL
34. Alésage usinage d’un
diametre interieur
Chariotage (l'outil se rapproche
plus de la broche qu'il ne se
déplace vers l'axe de rotation)
Dressage (l'outil se rapproche
plus de l'axe de rotation qu'il ne se
déplace vers la broche)
Défonçage (pour l'usinage de
gorges axiales et radiales)
Copiage (obtention d'une pièce de
révolution dont la génératrice est
un profil composé complexe)
Perçage réalisation d’un troue
dont le diamètre est celui du foret
Le principe du tournage est le suivant : la pièce
est solidaire d'une broche tournante (donc elle
tourne) et l'outil se déplace dans un plan. La
trajectoire de l'outil dans son plan d'évolution
donne la génératrice de la pièce de révolution.
LES OPERATIONS DU TOURNAGE
35. ELEMENTS DE FRAISEUSE
FRAISE
ETAU PORTE
PIECE
CHARIOT
LONGITUDINAL
CHARIOT
TRANSVERSAL
CHARIOT
VERTICAL
TETE PORTE OUTIL
PIVOTANTE
VOLANTS DE
COMMANDE
ECRAN DE
COMMANDE
BATI
36. Surfaçage (fraisage de surface)
Fraisage en profil
Surfaçage (fraisage de forme)
Surfaçage (fraisage de surface)
Fraisage en bout
Lamage (obtention d'une cavité
en début de trou pour loger
des têtes de vis)
Perçage (obtention d'un trou
de diamètre peu précis)
Alésage (mise au diamètre précis
d'un trou déjà existant)
Le fraisage, comme son nom l'indique, regroupe
les opérations d'usinage pouvant être effectuées
sur une fraiseuse. Ces opérations aboutissent à
l'obtention d'une géométrie quelconque
(généralement une forme prismatique).
LES OPERATIONS DU FRAISAGE
37. LES TRANSMISSIONS
LES TRANSMISSIONS PAR COURROIES
LES TRANSMISSIONS PAR CHAINE
LES TRANSMISSIONS PAR ENGRENAGE
LES TRANSMISSIONS PAR ACCOUPLEMENTS
38.
39. I. TRANSMISSIONS PAR
POULIES ET COURROIES
Fonction : Transmettre par ADHERENCE, à l’aide d’un lien
flexible « courroie », un mouvement de rotation continu entre
deux arbres éloignés.
POULIES
POULIES
COURROIE
40. PRINCIPALES CARACTERISTIQUES :
AVANTAGES INCONVENIENTS
Transmission silencieuse
« Grandes » vitesses de transmission (de
60 à 100 m/s pour les courroies plates)
Grand entraxe possible entre les poulies
Durée de vie limitée
Couple transmissible faible pour les
courroies plates
Tension initiale de la courroie nécessaire
pour garantir l’adhérence
I. TRANSMISSIONS PAR
POULIES ET COURROIES
COMPOSITION D’UNE COURROIE : COMPOSITION D’UNE POULIE :
Fonte, Acier , Alliages légers, Bois
41. I. TRANSMISSIONS PAR
POULIES ET COURROIES
PRINCIPAUX TYPES DE COURROIES :
TYPES CARACTERISTIQUES
COURROIES
PLATES
Très silencieuses
Transmission de vitesses élevées.
COURROIES
POLY « V » ou « RIPPENBAND »
Puissance transmissible élevée (emploie
de gorges multiples)
Corroies poly « V »très
utilisées en électroménager.
Courroie
croisée
43. I. TRANSMISSIONS PAR
POULIES ET COURROIES
PRINCIPAUX TYPES DE COURROIES :
TYPES CARACTERISTIQUES
COURROIES
CRANTEES
Transmission silencieuse sans glissement
(r2/1 précis)
Une des deux poulies doit être flasquée
afin que la courroie ne sorte pas des poulies
Entraînement de l’arbre à came
d’une automobile
Courroie de
distribution
44. I. TRANSMISSIONS PAR
POULIES ET COURROIES
RAPPORT DE TRANSMISSION :
Le rapport de transmission (r) est égal :
r = =
N poulie menée
N poulie menante
poulie menante
poulie menée
Vitesse de
rotation
45.
46. II. TRANSMISSIONS PAR
PIGNONS ET CHAINES
Fonction : Transmettre par OBSTACLE, à l’aide d’un lien articulé
« chaîne », un mouvement de rotation continu entre deux arbres
éloignés parallèles.
POULIES
PIGNONS
CHAINE
47. II. TRANSMISSIONS PAR
PIGNONS ET CHAINES
PRINCIPALES CARACTERISTIQUES :
AVANTAGES INCONVENIENTS
Longue durée de vie
Entraînement de plusieurs arbres
récepteurs en même temps
«Basses » vitesses de transmission (de 13
à 20 m/s pour les chaînes silencieuses)
Supportent des conditions de travail plus
rudes que les poulies-courroies.
Plus bruyantes
Vitesses de rotation plus faibles
Lubrification nécessaire
48. CHAINES A ROULEAUX :
Ce sont les plus utilisées en transmission de puissance. Vitesse limite : 12 à 15 m/s.
Fermeture de la chaîne
douille
Principaux constituants
II. TRANSMISSIONS PAR
PIGNONS ET CHAINES
49. II. TRANSMISSIONS PAR
PIGNONS ET CHAINES
RAPPORT DE TRANSMISSION :
Le rapport de transmission (r) est le même que pour une transmission par engrenages ::
r = = =
N pignon mené
N pignon menant
pignon menant
pignon menée
Vitesse de
rotation
Z pignon menant
Z pignon menée
Nombre
de dents
50. EXEMPLE :
Exprimer et calculer rapport de transmission de
cette transmission composée de deux pignons et
d’une chaîne :
Brin tendu
Brin mou
Z2 = 20
Z1 = 52
M
r = = = =
N 2
N 1
Z 1
Z 2
52
20
2,6
r > 1 : C’est un multiplicateur de vitesse
II. TRANSMISSIONS PAR
PIGNONS ET CHAINES
52. LES ENGRENAGES
Les engrenages cylindriques à denture droite:
Très utilisé, c’est l’engrenage le plus simple.
Il se comporte cinématiquement comme
deux cylindres (roues de friction) en
contact sur une génératrice.
53. LES ENGRENAGES
Les engrenages cylindriques à denture droite:
Contact extérieur Contact intérieur Pignon
crémaillère
Inversion du sens de rotation Conservation du sens de rotation
Transformation de
rotation en translation
ou inversement
Redution
Multiplication
54. LES ENGRENAGES
Les engrenages cylindriques à denture droite:
Très utilisés dans beaucoup de
mécanismes, ils présentent
cependant comme inconvénient
du bruit et des vibrations dus
essentiellement à la flexion des
dents durant l’engrènement.
Boite de vitesse pour machine
55. LES ENGRENAGES
Les engrenages cylindriques à denture hélicoïdale:
Pour supprimer cet inconvénient, l’engrènement doit être plus progressif
56. LES ENGRENAGES
Les engrenages cylindriques à denture hélicoïdale:
Très utilisés, ces engrenages présentent
cependant l’inconvénient de générer des efforts
axiaux induits par l’inclinaison des dents.
57. LES ENGRENAGES
Les engrenages cylindriques à denture hélicoïdale:
Dans les mécanismes
de grande puissance,
ces efforts axiaux
sont à l’origine de
fatigue et d’usure sur
les paliers de guidage
des arbres.
58. LES ENGRENAGES
Les engrenages cylindriques à chevrons:
Il peut alors s’avérer intéressant d’utiliser des roues à chevrons.
59. LES ENGRENAGES
Les engrenages cylindriques à chevrons:
Cette solution qui pourrait paraître idéale
est peu utilisée car le coût de fabrication
des roues à chevrons est très élevé.
60. LES ENGRENAGES
Les engrenages coniques:
Lorsque les axes ne sont pas parallèles, il est nécessaire d’utiliser
d’autres types d’engrenages. Les engrenages coniques permettent
de transmettre le mouvement entre deux axes concourants.
Conique droit
Conique hypoïde
62. LES ENGRENAGES
Les engrenages à roue et vis sans fin:
Intéressants pour le grand rapport de
réduction qu’ils peuvent offrir (1/200),
ces systèmes sont aussi généralement
irréversibles et donc utilisés comme
anti-retour (sécurité).
Ils présentent cependant l’inconvénient
d’un faible rendement et d’une usure
rapide dues au glissement important
des surfaces de contact.
63. LES ENGRENAGES
Les engrenages à roue et vis sans fin:
Pour remédier à cet inconvénient, on utilise très souvent
une roue creuse.
64. LES ENGRENAGES
Les engrenages à roue et vis sans fin:
La majorité des systèmes roue et vis
sans fin qui transmettent de la
puissance utilisent une vis en acier
et une roue creuse en bronze pour
réduire le frottement et concentrer
l’usure sur la roue dont le prix de
revient est inférieur à celui de la vis.
65. LES ENGRENAGES
Les engrenages à roue et vis sans fin:
Notons pour finir, que la vis peut avoir plusieurs filets (dents).
66.
67. I - FONCTION ETANCHEITE
Soit deux solides S1 et S2 (voir schéma ci-contre)
possédant des surfaces de contact communes,
séparant deux milieux contenant des fluides
distincts et/ou ayant des pressions différentes.
L’étanchéité doit :
EMPECHER les impuretés du milieu extérieur d’accéder aux surfaces à protéger.
EMPECHER le fluide de s’échapper vers le milieu extérieur.
Les flèches symbolisent ces deux types de fuites )
Pression p
S1 S2
Milieu ext. pression
atmosphérique pa
Zone à étancher
68. II - TYPES D’ETANCHEITE
Une étanchéité peut être réalisée par interposition ou non d’une pièce spéciale (joint) entre les
deux solides S1 et S2.
Seringue Discardit II
Étanchéité assurée directement
entre le corps et le piston
Seringue Plastipak
Étanchéité avec interposition d’un
JOINT entre le corps et le piston
Joint
Type d’étanchéité à réaliser
Contact entre S1 et S2
Interposition d’un joint
entre S1 et S2
Mouvement relatif
S1/S2
Type d’étanchéité à réaliser
Fixe
Mobile en Rotation
Mobile en Translation
Étanchéité DIRECTE
Étanchéité INDIRECTE
Étanchéité STATIQUE
Étanchéité DYNAMIQUE
Étanchéité DYNAMIQUE
69. Surface de contact sphérique
II - ETANCHEITE STATIQUE
II.1. ETANCHEITE STATIQUE DIRECTE :
Étanchéité assurée uniquement par l’état des surfaces en contact entre S1 et S2, sans élément
d’étanchéité supplémentaire (sans joint). Cette étanchéité peut être réalisée soit :
En RODANT les surfaces de contact à lier l’une sur l’autre afin d’obtenir des états de surfaces
parfaits (surfaces « poli-miroir »)
Exemple : Raccord à joint conique
En utilisant un produit de collage et d’étanchéité.
PATTE A JOINT
70. II - ETANCHEITE STATIQUE
II.2. ETANCHEITE STATIQUE INDIRECTE :
Interposition d’un joint de commerce. Il peut s’agir :
D’un JOINT PLAT :
Exemple : Vis de
vidange
Joint plat
découpé
D’un JOINT TORIQUE :
71. IIi - ETANCHEITE DYNAMIQUE
III.1. CAS D’UNE TRANSLATION :
Les technologies mises en œuvre dépendent des mouvements relatifs entre les deux pièces.
Dans ce cas, on utilise des joints toriques ou de section sensiblement carrée :
Joint torique à section circulaire :
Joint quadrilobes (section « carrée ») :
Exemple : Vérin ou de bride hydraulique
Joint torique Joint quadrilobes
73. IIi - ETANCHEITE DYNAMIQUE
III.2. CAS D’UNE ROTATION :
On peut utiliser un joint torique lorsque la vitesse de rotation reste faible.
Exemple : Robinet à tournant sphérique
74. IIi - ETANCHEITE DYNAMIQUE
Lorsque la vitesse de translation est importante, on utilise un joint à lèvre :
Joint à lèvre à frottement radial :
Lèvre
Exemple : Vérin à double effet
75. On peut également dans certain cas, prévoir une étanchéité sans frottement avec les pièces,
exemples :
Par chicanes :
Par rondelles « Z » :
IIi - ETANCHEITE DYNAMIQUE
76. IV - SYMBOLISATION DES JOINTS A LEVRES
IV.1. REPRESENTATION GENERALE :
Dans TOUS LES CAS, le contour exact du joint est représenté par un rectangle.
La croix centrale, peut être complétée par une flèche indiquant l’étanchéité principale assurée.
= ou
77. IV - SYMBOLISATION DES JOINTS A LEVRES
IV.1. REPRESENTATION PARTICULIERE :
Joint d’étanchéité à lèvre
à frottement radial
Joint d’étanchéité à lèvre
à frottement radial + lèvre
antipoussiere
Joint d’étanchéité à lèvre
à frottement axial (V. RING)
Symbole Rep. réelle Symbole Rep. réelle Symbole Rep. réelle
ou ou ou
Lèvre
antipoussière
Lèvre
antipoussière
Lèvre
principale
Lèvre
principale
80. • La vue éclatée en perspective
La vue éclatée
Cette représentation précise
la position de chacune des
pièces d'un ensemble et
impose un ordre
d'assemblage.
Elle est exploitée pour le
montage ou le démontage
d'un système.
81. • La représentation symbolique
Représentation simplifiée pour schémas
électrique, pneumatique etc…
82. • Le dessin d’ensemble
Le dessin d'ensemble
Il est l'élément de base d'un
dessin technique et doit
permettre la compréhension du
fonctionnement du système
mécanique. Il précise les
positions, les formes et les liens
des différentes pièces de
l'ensemble.
83. • Le dessin de définition
Le dessin de définition
Chaque pièce qui doit être
fabriquée fait l'objet d'un
dessin de définition. Ce
dessin précise toutes les
dimensions, les tolérances
dimensionnelles et
géométriques nécessaires
au bon fonctionnement de
l'ensemble. C'est un
document de travail pour la
fabrication.
84. • La perspective
La perspective
Ce type de tracé facilite la
compréhension des formes d'une
pièce ou d'un ensemble. Une
perspective peut être cotée.
85. Le dessin industriel
• Les formats
A0 (1m²)
1189 x 841 mm
A1
841 x 594 mm
594 x 420 mm
A2 A3
420 x 297 mm
A4
297 x 210 mm
Les cartouches s’insèrent en bas à droite
de tous les formats sauf le A4 ( en bas
sur toute la largeur)
87. Le dessin industriel
• Les traits
DESIGNATION APPLICATIONS EXEMPLES
Continu fort
Contours et arêtes
visibles
Interrompu fin
Contours et arêtes
non visible
Continu fin Hachures et cotations
Mixte fin
Axe de symétrie et de
révolution
Continu fin à
main levée
Limite ou interruption de
vue
88. Le dessin industriel
• Les traits
Si plusieurs traits différents coïncident, l’ordre de priorité est le suivant :
• CONTINU FORT
• INTERROMPU FIN
• MIXTE FIN
• CONTINU FIN
89. En dessin technique, les vues sont des figures planes
( deux dimensions) que l’on voit en se plaçant directement
devant chaque face de l’objet.
Largeur
Hauteur
LA PROJECTION ORTHOGONALE
90. Dans le type de projections
utilisé, on imagine l’objet à
dessiner au centre d’une
boîte transparente.
Les différentes vues de
l’objet sont projetées sur
les côtés de cette boîte.
91. La boîte de projection et ses six
vues se déploient de façon à
placer toutes les vues sur un
même plan.
Les autres vues pivotent autour
de la vue de face.
VUE DE DESSOUS
VUE DE GAUCHE
VUE ARRIÈRE VUE DE FACE VUE DE DROITE
VUE DE DESSUS
92. Parmi les six vues possibles, on
choisit de représenter celles qui sont
nécessaires à la description de la
forme de l’objet. Trois vues sont
habituellement suffisantes pour décrire
un objet. Plusieurs objets simples ne
demandent q’une ou deux vues.
VUE DE FACE VUE DE DROITE
VUE DE DESSUS
VUE DE GAUCHE
VUE ARRIÈRE
VUE DE DESSOUS
93. VUE DE DESSUS
VUE DE FACE VUE DE DROITE
On retrouve, ici, la représentation
habituelle des vues en projections
orthogonales à vues multiples.
Ce type de dessin est employé en
technologie parce qu’il permet de décrire
sans déformation les faces des objets.
95. 2) Différents types d’acier:
Il existe quatre classes d’acier:
Acier d’usage courant sont désignés par:
Ils ne possèdent pas d’éléments d’addition.
Ils sont nommés acier d’usage courant et acier pour traitements thermiques.
A) Les aciers non alliés :
Lettre représentant le type d’acier ex: S: aciers d’usages généraux,
E: acier de construction mécanique, P: acier pour appareil à pression, etc…
S 235
Le nombre précédant la lettre indique la résistance minimale de la limite élastique en
Mpa (N/mm²).
C’est un essaie mécanique qui permet de connaître la limite élastique de l’acier (S235 on peut
placer un poids de 23.5 kg sur un fil de 1 x 1 mm sans qui ne se déforme après étirement)
G
Lettre représentant une spécification de l’acier ex: G:
galvanisation, W: résistant à la corrosion atmosphérique, S:
construction naval, etc…
DESIGNATION NORMALISEE DE L'ACIER
96. Symbole Désignation Symbole Désignation
G+….. Aciers moulés R Acier pour ou sous forme de rails
Aciers d’usages généraux H Produit plats laminés à froid, acier a haute
résistance pour emboutissage
Aciers pour appareil à pression D Produits plats pour le formage a froid (sauf ceux
préciser en H)
L Aciers pour tubes de conduits T Fer noir, fer blanc, fer chromé
( acier pour emballage)
Acier de construction
mécanique
M Acier magnétique
B Acier à béton Y Acier pour béton précontraint
Divers symboles de types d’aciers d’usage courant:
S
P
E
DESIGNATION NORMALISEE DE L'ACIER
97. Symbole Désignation Symbole Désignation
C Formage à froid spécial N Normalisée ou laminage normalisant
D Galvanisation O Offshore
E Emaillage Q Trempé et revenu
F Forgeage S Construction navale
L Basse température T Tube
M Formation thermomécanique W Résistant à la corrosion atmosphérique
Acier pour traitement thermique sont désignés par:
Lettre représentant le type d’acier C: aciers pour traitement thermique.
C 40
Le nombre précédant la lettre indique le pourcentage de carbone diviser par 100 (ex:
40/100 =0,4%)
Suivant sa spécification, l’acier sera constitué d’une autre lettre. Elle sera placée derrière la
résistance de la limite élastique ex: P235W.
DESIGNATION NORMALISEE DE L'ACIER
98. Ils possèdent des éléments d’additions ( ils ont un maximum de 5%)
Cr Al Mo 18 10
40
Le nombre précédant la lettre indique le pourcentage de carbone diviser par 100
(ex: 40/100 =0,4%)
Les éléments d’addition , un nombre en pourcentage correspond à chaque éléments (il est
calculé suivant un barème) si un éléments ne comporte pas de nombre c’est qu’il en a
quelques traces.
B) Les aciers alliés :
/4 Chrome ( Cr), cobalt (Co), manganèse (Mn), nickel (Ni), silicium (Si).
/10 Pour les autres
/100 Célium (Ce), phosphore (P), niobium (Nb), souffre (S)
/1000 Bore (B)
DESIGNATION NORMALISEE DE L'ACIER
Calculer à l’aide du tableau : 18 : 4 = 4.5 % de chrome
Calculer à l’aide du tableau : 10 : 10 = 1 % d’aluminium
Il n’y a pas de nombre
lui correspondant, il en a
quelques traces -1%
Cr 18
Al 10
Mo -
99. Ils possèdent des éléments d’additions ( ils ont un minimum de 5%)
2
X Cr Ni 18 10
C) Les aciers fortement alliés :
Les éléments d’addition , un nombre en pourcentage réel correspond à chaque éléments, si
un éléments ne comporte pas de nombre c’est qu’il en a quelques traces.
DESIGNATION NORMALISEE DE L'ACIER
Ti -
Le symbole représentant un acier fortement allié X
Le nombre précédant la lettre indique le pourcentage de carbone diviser par 100 (ex:
2/100 =0,02%)
Cr Ni Ti 18 10
Il n’y a pas de nombre lui
correspondant, il en a
quelques traces -1%
% réel 18 % de chrome
% réel 10 % de nickel
100. - Étiré : plus résistant et moins malléable = arbre, axe, pièce à usiner,…
- Laminé : moins résistant, plus malléable = renfort, pièce à former,……
3) Propriété d’un profilé :
4) Tableau de l’influence des éléments d’addition dans l’acier :
DESIGNATION NORMALISEE DE L'ACIER
102. Le traitement thermique d'une pièce
consiste à lui faire subir des
transformations de structure grâce à
des cycles prédéterminés de
chauffage et de refroidissement afin
d'en améliorer les caractéristiques
mécaniques : dureté, ductilité, limite
d'élasticité, ...
La trempe
La trempe s'effectue après une mise en solution de
certains composés : Il s'agit de maintenir le
matériaux à tremper à une température suffisante et
suffisamment longtemps. On plonge ensuite la pièce
dans un liquide (bain d'huile, eau, plomb fondu, etc )
ou on le refroidit avec un gaz (azote, air, etc).
103. Le revenu
Le revenu se pratique après une trempe, par chauffage à une température
inférieure à celle de la trempe. Il permet d'améliorer la résistance mécanique
des pièces traitées en diminuant la dureté (en favorisant la dissolution de
certains composés fragiles tels que les carbures) et les contraintes
mécaniques internes obtenues lors de la trempe. On chauffe à une
température inférieure à celle d'austénitisation, puis on refroidit plus ou moins
rapidement.
Le recuit complet
«Ce traitement consiste à chauffer l'acier à une température appropriée
et à traverser ensuite le domaine de transformation par un
refroidissement lent effectué de préférence dans le four ou toute autre
installation bien isolée thermiquement. Le refroidissement lent se
poursuit généralement aux basses températures. Le but du recuit peut
être d'affiner le grain, d'adoucir l'alliage, d'améliorer l'usinabilité.
Le recuit se fait après un traitement mécanique, une opération de
soudage, etc. afin de rendre plus homogène le matériau et lui rendre une
partie de ses propriétés antérieures. On chauffe jusqu'à austénitisation
totale de la pièce, puis on laisse refroidir lentement, ce qui lui fait
retrouver ses anciennes propriétés.
106. Composition d’un roulement
4
3
2
1
1 : Bague extérieure, liée à
l’alésage (logement du roulement)
2 : Bague intérieure, liée à
l’arbre
3 : Cage, assure le maintien des
éléments roulants
4 : Eléments roulants, situés
entre les deux bagues :
Savoir reconnaitre et lire les elements de construction
107. ROULEMENT A
UNE RANGEE DE
BILLE A CONTACT
RADIAL
ROULEMENT A
UNE RANGEE DE
BILLE A CONTACT
OBLIQUE
ROULEMENT A
DEUX RANGEES
DE BILLE A
CONTACT
OBLIQUE
Savoir reconnaitre et lire les elements de construction
108. ROULEMENT A
DEUX RANGEE DE
BILLE A ROTULE
SUR LA BAGUE
EXTERIEURE
ROULEMENT A
ROULEAUX
CYLINDRIQUES
Savoir reconnaitre et lire les elements de construction
112. Vis d’assemblage
1. Rôle
Ces vis permettent
d'assembler 2 ou plusieurs
pièces.
L'assemblage étant
démontable.
Les parties de la vis où s'effectuent les efforts sont :
Une des pièces devra avoir un taraudage (pièce 2 )
2
Les autres pièces devront avoir un trou lisse
(pièce 1)
1
Le filetage et la tête de la vis.
x
x
Le filetage est une surface HÉLICOÏDALE
113. Comment se monte une vis d’assemblage ?
La vis traverse
librement la pièce
ayant un trou lisse.
Puis elle se visse
dans la pièce
taraudée.
Leçon Vis d’assemblage
115. 3. Représentation européenne (NF E 25-27)
filetage
corps
tête extrémité ou
chanfrein d’entrée
fond de filet
fond de filet
sommet de filet
sommet de filet
Leçon Vis d’assemblage
3/4 de
cercle en
trait fin
116. Signification des cotes :
M : métrique 12 : ø nominal
40 : longueur sous-tête 30 : longueur filetée
Leçon Vis d’assemblage
117. 4. Désignation normalisée
Cette désignation sert à acheter les vis.
Exemple :
Vis CHC M 12 40
nom de
l’organe
symbole
tête
métrique diamètre
nominal
longueur sous
tête ou totale
Dans l’industrie , on indique en plus la classe de qualité
par 2 nombres :
5–6 ou 7-8 que l’on n’indiquera pas.
Leçon Vis d’assemblage
118. 5. Différentes têtes de vis
hexagonale H cylindrique fendue CS
cylindrique hexagonale creuse CHC carrée Q
Leçon Vis d’assemblage
119. 5. Différentes têtes de vis
fraisée fendue FS fraisée hexagonale creuse FHC
fraisée cruciforme FZ
Leçon Vis d’assemblage
120. 5. Différentes têtes de vis
Autres têtes de vis :
Leçon Vis d’assemblage
CBLZ
Cylindrique bombée
cruciforme
CBLX
Cylindrique à 6
lobes internes
121. Fig.
1
Fig.
2
Fig.
3
Fig.
4
Savoir reconnaître et lire les filetages et la visserie
VIS D’ASSEMBLAGE (fig. 1) :
La pièce (3) seule possède un trou TARAUDE recevant la partie filetée de la vis.
Les autres pièces possèdent UN TROU LISSE
BOULON (fig. 2) :
BOULON = VIS + ECROU
Les pièces à assembler possèdent UN TROU LISSE
Le trou taraudé se trouve dans l’écrou.
1.GOUJON (fig. 3) :
Il est composé d’une tige, filetée à ses 2 extrémités séparées par une partie lisse.
Le goujon (1) est implanté dans la pièce (5) possédant un trou TARAUDE
L’effort de serrage axial nécessaire au MAintien en Position (MAP) est réalisé par l’écrou (2).
VIS DE PRESSION (fig. 4) :
L’effort de serrage nécessaire au maintien en position est exercé par L’EXTREMITE DE LA VIS
122. Savoir reconnaitre et lire les elements de construction
FREINAGE PAR ADHERENCE (sécurité relative) :
123. FREINAGE PAR OBSTACLE (sécurité absolue)
Savoir reconnaitre et lire les elements de construction
125. 1.CLAVETTES :
3 - Clavette
2
1
Un clavetage se réalise entre un arbre (1) et un
moyeu (2) s’assemblant par l’intermédiaire de
formes cylindriques ou coniques.
Eléments constitutifs :
Rainure de clavette dans l’arbre
x
y
O
y
O
z
Jeu
Rainure de clavette dans le moyeu
Réalisation de l’assemblage :
Savoir reconnaitre et lire les elements de construction
126. LES AUTOMATISMES
3 - Partie commande, partie opérative
2 - Exemple de système
5 - Capteurs
4 - Actionneurs
1 - Les systèmes automatisés
127. Simples ou complexes, les systèmes
automatisés sont partout dans notre
environnement quotidien
Le passage à niveau
Les feux de carrefour
Le distributeur de billets
Le portail automatisé
128. Un système est dit automatisé s’il exécute toujours le même cycle
de travail pour lequel il a été programmé. (la partie opérative est
mécanisée et la partie commande est assurée par un automate)
Définition
129.
130. Un train arrive
Le système est en attente
Signal lumineux et signal sonore
Baisser la barrière et laisser les signaux
Signal lumineux et signal sonore
Lever la barrière
Temporisation de 10 secondes
Barrière baissée
Le train est passé
Barrière levée
131.
132. Partie Opérative: Elle reçoit les
ordres de la partie commande et elle lui
adresse des comptes rendus
Elle est composée: • d ’actionneurs
Partie Commande :
Elle donne les ordres à la partie
opérative en fonction:
• du programme qu’elle contient
• des informations reçues par les capteurs
• des consignes données par l ’utilisateur
• de capteurs
Capteurs : capable de détecter un
phénomène physique dans son
environnement (déplacement, présence,
chaleur, lumière...)
Ils rendent compte de l ’état du système
Signal lumineux
Moteur
Actionneur : Ils exécutent les
ordres reçus. Ils agissent sur le
système ou son environnement
Interface : les informations circulent d’une partie à l’autre par l’intermédiaire d’interfaces.
133. Exemples d’actionneurs
Les actionneurs transforment l’énergie reçue en énergie utile.
Moteur pas à pas Voyants
Electrovanne
Afficheur 7 segments
Vérin
Vérin rotatif
Ventilateur
Résistance chauffante
134. Exemples de capteurs
Les capteurs transforment la variation des grandeurs physiques liées au fonctionnement
de l’automatisme en signaux électriques.
Capteur de proximité à ultrasons
Capteur d’humidité Détecteur de gaz
Capteur de niveau de liquide
Cellule photoélectrique
Détecteur de choc Capteur à contact
Bouton poussoir
Bouton d’arrêt d’urgence
135.
136. Partie Commande
Opérateur ou environnement
Capteurs Actionneurs
Partie Opérative
Ordres
Comptes-rendus
Evénements
Signaux, actions
Le système automatisé attend des
événements de l’opérateur ou de
l’environnement
Les capteurs de la
partie opérative
envoient des comptes-
rendus à la partie
commande
En fonction de son programme,
la partie commande envoie des
ordres à la partie opérative
La partie opérative
effectue les actions
demandées
BOISSON
138. Fonctions des appareillages électriques
Séparer
Condamner
Protéger contre les courts-circuits
Protéger contre les surcharges
Protéger les personnes
Etablir et interrompre l’énergie
Moduler l’énergie
Récepteur
139. A: Séparer et Condamner:
On ne peut pas le manœuvrer en charge:
Pas de pouvoir de coupure
Interrupteur sectionneur
Sectionneur porte-fusibles
Isoler tout ou partie d’une installation du réseau.
Interdire les manœuvres de remise sous tension.
Sectionneur
On peut le manœuvrer en charge:
Coupure de In
Sectionneur Interrupteur-Sectionneur
Sectionneur porte fusibles
140.
141. B: Protéger contre les courts-circuits:
Protéger les matériels lorsque I>>In
Disjoncteurs Fusibles
Magnétique Magnétothermique
. Disjoncteurs et fusibles ont un pouvoir de coupure.
. Plusieurs courbes existent.
. Le magnétique déclenche sur Icc.
142. Les fusibles: technologie
B: Protéger contre les courts-circuits:
aM gG
Tous les fusibles ont un pouvoir de coupure.
Critères de choix: - Charge
- Taille (10*38….)
- Tension d’emploi
- Calibre
143. C: Protéger contre les surcharges:
Disjoncteurs Magnétothermique Relais thermique
Possède un pouvoir de coupure Pas de pouvoir de coupure.
Coupe la commande du contacteur
Surcharge: Légère surintensité: 1,2 à 3 ou 4 In
144. C: Protéger contre les surcharges:
Relais thermique:
10A : A utiliser pour des démarrages moteur de 2 à 10 s
20 : A utiliser pour des démarrages moteur de 6 à 20 s
Il existe une classe 30 pour des démarrages jusqu’à 30s.
Classe:
Relais thermique différentiel: Permet la détection d’une absence de phase
Relais thermique compensé: Insensibilité aux températures extérieures
145. BP Test de la
protection
différentielle
D: Protéger les personnes:
I n est appelé la sensibilité du différentiel.
Ses plages de fonctionnement sont:
I n
I n/2
Non déclenchement Déclenchement probable Déclenchement certain
Le disjoncteur différentiel:
30 mA ; 100 mA
500 mA ; 1 A
146. Fonction E : Etablir et interrompre
l’énergie
Cette fonction est généralement dévolue au contacteur. Celui-ci
permet un pilotage automatique via son circuit de commande.
Plusieurs catégories d’emplois sont à
respecter suivant les types de récepteur.
AC3 : Moteur à cages…
AC1 : Chauffage, éclairage…en AC
DCi : Emploi en continu.
153. LE ROLE DU LUBRIFIANT :
•former un film d’huile de séparation des
zones de contact
•évacuer les calories (lubrification à
l’huile)
•étancher le roulement pour empêcher la
pénétration de corps étrangers liquides
ou solides (lubrification à la graisse)
•réduire le bruit de fonctionnement
•protéger le roulement contre la
corrosion .
154. Principaux dispositifs de lubrification à l’huile.
• Lubrification par barbotage
• Une partie du mécanisme en mouvement trempe dans le bain et
emporte par adhérence de l’huile vers les point à lubrifier.
• La quantité d’huile doit être suffisante.
• le niveau d’huile doit être contrôlé périodiquement : jauge de
contrôle, indicateur...
155. lubrification par brouillard d’huile ou air huile
– un débit constant d’air comprimée aspire et pulvérise
une certaine quantité d’huile sous forme de petites gouttelettes,
– le brouillard constitué est amené par un réseau de canalisations
prés des points à lubrifier (circuit pneumatique )
Lubrificateur SMC
156. • Une même pompe lubrifie
en même temps plusieurs
zones ou points.
– Le débit d’huile arrivant à
chaque point à lubrifier,
peut être réglé pour
assurer lubrification et
refroidissement.
– Des échangeurs de
chaleurs peuvent être
ajoutées à l’installation.
• Lubrification par circulation d’huile:
157. Lubrification à la graisse
Elles permettent un frottement minimal
• Au repos , elles se comportent comme un
solide.
• En service, sous l’action des charges
,elles réagissent comme un liquide : la
fluidité augmente et se rapproche de
l’huile de base.
158. Principaux dispositifs de graissage:
• Graissage par garnissage au
montage :
• Le graissage peut être à vie ou
périodique, avec regarnissage après
démontage et nettoyage lors des
opérations de maintenance.
• Utilisation des graisseurs:
• les graisseurs permettent le
regraissage périodique sans
démontage du dispositif.
159. Avantages des graisses par
rapport aux huiles
Inconvénients des
graisses par rapport
aux huiles
Permettent le graissage à vie Tendance au vieillissement
Application aisée du lubrifiant Ne conviennent ni aux vitesses
élevées avec des charges élevées
ni pour le cas ou il y a des
échauffements élevées.
Supportent mieux les chocs et vibrations
Peuvent participer à l’étanchéité
Simplicité de conception et de mise en
œuvre.
161. Production énergie
pneumatique
Compresseur intégré
manomètre
Vanne de purge
Réservoir d’air
Copnduite de
distribution
SWP
10bar
Vanne d’isolement
Soupape
de sécurité
M
Symbole du compresseur intégré
Elle est assurée par un compresseur, animé par un moteur électrique.
La pression est de l’ordre de 10 bars.
Un réservoir permet réguler la consommation.
163. Distribution énergie
pneumatique
Distribution décentralisée
par conduites rigides
Purge au point bas de
chaque raccordement
Prise d’air de sécurité
Unités de conditionnement
de l’air FRL avant chaque
système
164. Symbole
Unités de conditionnement FRL
Filtre
Mano-régulateur
Lubricateur
Encore appelées Têtes de ligne.
Elles adaptent l’énergie pneumatique au
système
168. Symbole
Symbole
Vérin Simple Effet
VSE
Position repos
tige rentrée
Position repos
tige sortie
Diamètre piston
Course
Effort (Fressort, F=P*S-Fressort)
Revient en position repos en cas de coupure
pneumatique
Nb de canalisation =1
169. Symbole
Vérin double effet
VDE
Classique
Amorti
réglable
Symbole
Diamètre piston
Course
Reste en position en cas de coupure pneumatique
Effort 2
F =
D
4
P
10
Newtons D =Ø alésage en millimetres
P = Pressure en bar
F = Force en Newtons
(D2- d 2 )
F =
4
P
10
Newtons
d =Ø tige piston en millimetres
173. Distributeurs
Les distributeurs pneumatiques
assurent la fourniture en énergie de
puissance pneumatique les actionneurs,
sur ordre du constituant de commande.
Leurs principales caractéristiques sont :
Le nombre de position
Le nombre d’orifice
La commande
Le débit
M5
R1/8
R1/4
R3/8
R1/2
R3/4
R1
174. Désignation et représentation
Nombre de position
=
Nombre de carré
Nombre d’orifice
1 pression
3 – 5 échappements
2 – 4 utilisations Les orifices toujours tracés sur la position repos
Voies de
communication
Des flèches représentent la
liaison entre les orifices
Commandes
2 positions 3 positions
1
2
1
2
3 3
4
1
2
1
4
3
2
5
2 3 4 5
bistable monostable
1
4
3
2
5
3
4
1
2
1
2
3
Nb de position / Nb d’orifices