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La terminologie industrielle
ELABORATION DE L’ACIER
FABRICATION
APPLICATIONS
RECYCLAGE
LES PROCEDES INDUSTRIELS
LE LAMINAGE
LE FORGEAGE
LE FRITTAGE
LE MOULAGE AU SABLE
LE MOULAGE PAR INJECTION
L’EMBOUTISSAGE
L’EXTRUSION
LES PROCEDES D’USINAGE
LE TOURNAGE
LE FRAISAGE
L’ELECTRO-EROSION
LE VOCABULAIRE DES FORMES
LES TRANSMISSIONS
POULIES-COURROIS
PIGNON-CHAINES
ENGRENAGES
ACCOUPLEMENTS
LE DESSIN TECHNIQUE
LE CROQUIS
LA VUE ECLATEE
LA REPRESENTATION SYMBOLIQUE
LE DESSIN D’ENSEMBLE
LE DESSIN DE DEFINITION
LA PERSPECTIVE
LES FORMATS
LA CARTOUCHE
LA NOMENCLATURE
LES TRAITS
LA PROJECTION ORTHOGONALE
LA DESIGNATION DES METAUX
ACIERS D’USAGE COURANT
ACIERS POUR TRAITEMENTS THERMIQUES
ACIERS ALLIES
ACIERS FORTEMENT ALLIES
LES TRAITEMENTS THERMIQUES
LA TREMPE
LE REVENUE
LE RECUIT
LES ROULEMENTS
COMPOSITION
TYPES
REPRESENTATION NORMALE ET
CONVENTIONNELLE
L’ETANCHEITE
ETANCHEITE STATIQUE
ETANCHEITE DYNAMIQUE
VIS D’ASSEMBLAGE
ROLE
REPRESENTATION
DESIGNATION
TETE DE VIS
RECONNAÎTRE LA VISSERIE
LE FRAINAGE DES BOULONS
LA LUBRIFICATION
ROLE
BARBOTAGE D’HUILE
BROUILLARD D’HUILE
CIRCUIT FERME
LUBRIFICATION A LA GRAISSE
PRINCIPAUX DISPOSITIFS
PROPRIETES DES GRAISSES
COMPARATIF HUILE GRAISSE
LES AUTOMATISMES
LES SYSTEMES AUTOMATISES
EXEMPLE DE SYSTEME
PARTIE COMMANDE
PARTIE OPERATIVE
ACTIONNEURS
CAPTEURS
APPAREILLAGE EN
ELECTROTHECHNIQUE
LE SECTIONNEUR
LE DISJONCTEUR THERMIQUE
LE DISJONCTEUR MAGNETIQUE
LE DISJONCTEUR DIFFERENTIEL
LE CONTACTEUR
LE RELAI THERMIQUE
LE CONTACT A FERMETURE
LE CONTACT A OUVERTURE
PNEUMATIQUE INDUSTRIELLE
PRODUCTION ENERGIE PNEUMATIQUE
DESCRIPTIF COMPRESSEUR AIR COMPRIME
DISTRIBUTION ENERGIE PNEUMATIQUE
FILTRE
REGULATEUR
LUBRIFICATEUR
SECTIONNEUR
DEMARREUR PROGRESSIF
ACTIONNEURS
VERIN SIMPLE EFFET
VERIN DOUBLE EFFET
AMORTISSEUR
VERIN ROTATIF
DISTRIBUTEURS
DESIGNATION ET REPRESENTATION
EXEMPLES
HYDRAULIQUE INDUSTRIELLE
LE CIRCUIT HYDRAULIQUE
LA POMPE
LE RESERVOIR
LE LIMITEUR DE PRESSION
LE REGULATEUR DE VITESSE
LE DISTRIBUTEUR
LE FILTRE
SOMMAIRE
ELABORATION DE L’ACIER
L'agglomération
Le minerai de fer est préparé :
Il est broyé et calibré en grains qui
s'agglomèrent (= s'agglutinent) entre eux.
L'aggloméré obtenu est concassé puis
chargé dans le haut fourneau avec du coke.
Le coke est un combustible puissant, résidu
solide de la distillation de la houille
(variété de charbon très riche en carbone).
Le haut-fourneau
On extrait le fer de son minerai.
Minerai et coke solides sont enfournés par le haut. L'air
chaud (1200 °C) insufflé à la base provoque la
combustion du coke (carbone presque pur).
L'oxyde de carbone ainsi formé va "réduire" les oxydes
de fer, c'est-à-dire leur prendre leur oxygène et, de ce
fait, isoler le fer.
La chaleur dégagée par la combustion fait fondre fer et
gangue en une masse liquide où la gangue, de densité
moindre, flotte sur un mélange à base de fer, appelé
"fonte".
Les résidus formés par la gangue fondue (laitiers) sont
exploités par d'autres industries : construction de
routes, cimenterie, etc..
La cokerie
Le coke est un combustible obtenu par distillation
(gazéification des composants indésirables) de la
houille dans le four de la cokerie.
Le coke est du carbone presque pur doté d'une
structure poreuse et résistante à l'écrasement.
En brûlant dans le haut fourneau, le coke apporte la
chaleur nécessaire à la fusion du minerai et les gaz
nécessaires à sa réduction.
L
E
Le convertisseur
On y convertit la fonte en acier.
La fonte en fusion est versée sur un lit de ferraille. On
brûle les éléments indésirables (carbone et résidus)
contenus dans la fonte en insufflant de l'oxygène pur.
On récupère les résidus (laitier d'aciérie).
On obtient de l'acier liquide "sauvage", qui est versé
dans une poche.
Il est appelé acier sauvage, car, à ce stade, il est
encore imparfait.
La station d'affinage
(décarburation et additions chimiques)
Les opérations ont lieu dans un récipient sous vide,
l'acier étant mis en mouvement entre poche et récipient
à l'aide d'un gaz neutre (argon).
On insuffle de l'oxygène pour activer la décarburation et
réchauffer le métal.
Ce procédé permet une grande précision dans
l'ajustement de la composition chimique de l'acier
("mise à nuance").
Le laminoir
Des ébauches aux produits finis :
Ici : de la brame à la tôle.
La brame est réchauffée dans un four pour rendre le
métal plus malléable, donc plus facile à étirer et à
mettre en forme.
L'ébauche est ensuite amincie par écrasements
progressifs entre les cylindres du laminoir.
Le four électrique
La matière première enfournée peut aller du matériau brut (par exemple des
pièces de machine) dûment sélectionné, jusqu'à la ferraille livrée préparée, triée,
broyée, calibrée, avec une teneur minimale en fer de 92 %.
On fond les ferrailles dans un four électrique.
L'acier liquide obtenu est ensuite soumis aux mêmes opérations d'affinage et de
mise à nuance que dans la filière fonte.
Les ferrailles proviennent des emballages jetés, des bâtiments, machines et
véhicules démontés, des chutes de fonte ou d'acier récupérés dans la sidérurgie.
Chaque nuance d'acier nécessite un choix rigoureux de la matière première, en
fonction notamment des "pollutions" que peut représenter, pour cette nuance
précise, tel métal ou autre minerai contenu dans les ferrailles.
Filière électrique : processus
Un "panier à ferrailles", chargé à l'aide d'un aimant, achemine la matière première
jusqu'au four.
La fusion a lieu grâce à des arcs électriques puissants, qui jaillissent entre des
électrodes et la charge à fondre.
On récupère les résidus ( laitier ).
On obtient de l'acier liquide, qui va être acheminé vers l'installation d'affinage et
de mise à nuance.
LES PROCEDES INDUSTRIELS
Le laminage est un procédé de fabrication par
déformation plastique du métal.. Cette
déformation est obtenue par compression
continue au passage entre deux cylindres
tournant dans des sens opposés appelés
laminoir.
Un laminoir est une installation industrielle
ayant pour but la réduction d'épaisseur d'un
matériau (généralement du métal). Il permet
également la production de barres profilés
(produits longs).
LE LAMINAGE
Le forgeage consiste à former
par déformation plastique après
chauffage des pièces brutes.
Le forgeage est une opération de
forge effectuée à l'aide d'outillage
appelés des matrices (demi
matrice supérieure et demi
matrice inférieure). Les matrices
portent en creux la forme de la
pièce.
Le forgeage
Le principe est fondé sur la déformation plastique du
matériau (en général un métal), déformation consistant
en un allongement ou un rétreint local de la tôle pour
obtenir la forme désirée. Par suite de la conservation
globale (au moins approximative) du volume du
matériau, les zones d’étirement subissent un
amincissement (qui doit rester limité pour éviter la
rupture) et les zones de rétreint (compression)
subissent une combinaison d’épaississement et de
plissement : on cherche en général à éviter ce dernier
effet, mais il ne peut jamais être complètement absent
et on cherche donc à le déplacer dans des parties de
tôle qui seront éliminées dans la suite du processus de
fabrication.
L’estampage
L'extrusion est un procédé de fabrication
mécanique par lequel un matériau mis sous
pression est contraint de traverser une filière
qui lui donnera la forme d'un profilé de
grande longueur.
Ce procédé est conduit à froid.Ce procédé
donne des pièces aux formes encore plus
précises que celles qui sont réalisées avec
l'estampage ou le matriçage et présentent
des états de surface excellents, ce qui
permet souvent de les utiliser sans usinage
complémentaire. Contrairement au laminage
de bandes qui se limitent généralement à
des formes simples, elle permet d'obtenir
des formes très complexes et des profilés
creux.
L'extrusion
Le frittage est un procédé de
fabrication de pièces consistant à
chauffer une poudre sans la mener
jusqu’à la fusion. Sous l'effet de la
chaleur, les grains se soudent entre
eux, ce qui forme la cohésion de la
pièce.
Le frittage
LES LIAISONS MECANIQUES
Les liaisons simples parfaites
Ponctuelle Rotule
Linéaire annulaire Sphérique à doigt
Linéaire rectiligne
Hélicoïdale
Appui plan
Pivot glissant
Pivot
Glissière
VOCABULAIRE DE FORMES
DE PIECES MECANIQUES
Perçage borgne
C’est un perçage qui ne traverse pas
complètement la pièce. Son
extrémité est généralement pointue.
Embase
Élément d’une pièce servant de
base, on dit aussi « semelle »
Nervure
Partie de faible épaisseur destinée à
augmenter la rigidité d’une pièce.
Alésage
Désigne généralement une forme
creuse précise (un trou) destinée à
recevoir un arbre. C’est le
contenant d’un assemblage.
Chambrage
C’est un évidemment réalisé à
l’intérieur d’un alésage destiné à
limiter la portée (surface en
contact) de l’arbre contenu dans
l’alésage.
Lamage
Usinage cylindrique réalisé à l’entrée
d’un perçage destiné à noyer (cacher)
la tête d’une vis.
Fraisure
Usinage conique réalisé à l’entrée
d’un perçage destiné à recevoir la
tête d’une vis.
Bossage
Surépaisseur de matière,
généralement située à l’entrée d’un
perçage, destinée à limiter les
surfaces à usiner.
Perçage
Trou, débouchant ou non, généralement
réalisé avec un foret à extrémité pointue.
Évidement
Vide prévu dans une pièce pour
en diminuer le poids ou réduire
une surface d’appui.
Trou oblong
Trou de forme allongée, terminé par 2
demi-cylindres.
Arrondi
Surface arrondie destinée à supprimer
l’arrête vive d’un angle saillant.
Congé
Surface arrondie qui raccorde deux
surfaces formant un angle rentrant.
Épaulement
Changement de la section d’une
pièce pour obtenir une surface
d’appui.
Arbre
Désigne généralement une pièce
cylindrique précise. C’est le contenu
dans un assemblage avec un alésage.
Dégagement
Usinage effectué dans le fond d’un
angle pour assurer un bon contact ou
pour faciliter un usinage.
Filetage
Rainure hélicoïdale exécutée sur un
cylindre. C’est la forme qui a été
réalisée sur une vis.
Taraudage
Rainure hélicoïdale exécutée dans
un alésage ou un perçage. C’est la
forme qui a été réalisée dans un
écrou.
Chanfrein
Surface conique ou plane obtenue
par suppression d’une arrête vive sur
un cylindre ou sur un prisme.
Gorge
Usinage dans une pièce cylindrique
souvent destiné à recevoir un
anneau élastique ou un joint
d’étanchéité.
Rainure
Entaille longue pratiquée dans une
pièce(logement de clavette
Méplat
Surface plane réalisée sur un
cylindre. On dit aussi plat. Deux
méplats opposés sur une pièce
cylindrique permettent
l’utilisation d’une clef plate.
PROCEDES D’USINAGE
ELEMENTS DE TOUR PARALLELE
CHARIOT
LONGITUDINAL
(TRAINARD)
VIS MERE
POUPEE FIXE
(MANDRIN)
POUPEE
MOBILE
BOITE DES
VITESSES
BOITE DES
AVANCES
CHARIOT
TRANSVERSAL
BARRE DE
FILETAGE
CHARIOT
PORTE OUTIL
Alésage usinage d’un
diametre interieur
Chariotage (l'outil se rapproche
plus de la broche qu'il ne se
déplace vers l'axe de rotation)
Dressage (l'outil se rapproche
plus de l'axe de rotation qu'il ne se
déplace vers la broche)
Défonçage (pour l'usinage de
gorges axiales et radiales)
Copiage (obtention d'une pièce de
révolution dont la génératrice est
un profil composé complexe)
Perçage réalisation d’un troue
dont le diamètre est celui du foret
Le principe du tournage est le suivant : la pièce
est solidaire d'une broche tournante (donc elle
tourne) et l'outil se déplace dans un plan. La
trajectoire de l'outil dans son plan d'évolution
donne la génératrice de la pièce de révolution.
LES OPERATIONS DU TOURNAGE
ELEMENTS DE FRAISEUSE
FRAISE
ETAU PORTE
PIECE
CHARIOT
LONGITUDINAL
CHARIOT
TRANSVERSAL
CHARIOT
VERTICAL
TETE PORTE OUTIL
PIVOTANTE
VOLANTS DE
COMMANDE
ECRAN DE
COMMANDE
BATI
Surfaçage (fraisage de surface)
Fraisage en profil
Surfaçage (fraisage de forme)
Surfaçage (fraisage de surface)
Fraisage en bout
Lamage (obtention d'une cavité
en début de trou pour loger
des têtes de vis)
Perçage (obtention d'un trou
de diamètre peu précis)
Alésage (mise au diamètre précis
d'un trou déjà existant)
Le fraisage, comme son nom l'indique, regroupe
les opérations d'usinage pouvant être effectuées
sur une fraiseuse. Ces opérations aboutissent à
l'obtention d'une géométrie quelconque
(généralement une forme prismatique).
LES OPERATIONS DU FRAISAGE
LES TRANSMISSIONS
LES TRANSMISSIONS PAR COURROIES
LES TRANSMISSIONS PAR CHAINE
LES TRANSMISSIONS PAR ENGRENAGE
LES TRANSMISSIONS PAR ACCOUPLEMENTS
I. TRANSMISSIONS PAR
POULIES ET COURROIES
Fonction : Transmettre par ADHERENCE, à l’aide d’un lien
flexible « courroie », un mouvement de rotation continu entre
deux arbres éloignés.
POULIES
POULIES
COURROIE
PRINCIPALES CARACTERISTIQUES :
AVANTAGES INCONVENIENTS
Transmission silencieuse
« Grandes » vitesses de transmission (de
60 à 100 m/s pour les courroies plates)
Grand entraxe possible entre les poulies
Durée de vie limitée
Couple transmissible faible pour les
courroies plates
Tension initiale de la courroie nécessaire
pour garantir l’adhérence
I. TRANSMISSIONS PAR
POULIES ET COURROIES
COMPOSITION D’UNE COURROIE : COMPOSITION D’UNE POULIE :
Fonte, Acier , Alliages légers, Bois
I. TRANSMISSIONS PAR
POULIES ET COURROIES
PRINCIPAUX TYPES DE COURROIES :
TYPES CARACTERISTIQUES
COURROIES
PLATES
Très silencieuses
Transmission de vitesses élevées.
COURROIES
POLY « V » ou « RIPPENBAND »
Puissance transmissible élevée (emploie
de gorges multiples)
Corroies poly « V »très
utilisées en électroménager.
Courroie
croisée
TYPES CARACTERISTIQUES
COURROIES
TRAPEZOÏDALES
Puissance transmissible élevée (emploie
de gorges multiples)
PRINCIPAUX TYPES DE COURROIES :
I. TRANSMISSIONS PAR
POULIES ET COURROIES
Variateur de vitesse
I. TRANSMISSIONS PAR
POULIES ET COURROIES
PRINCIPAUX TYPES DE COURROIES :
TYPES CARACTERISTIQUES
COURROIES
CRANTEES
Transmission silencieuse sans glissement
(r2/1 précis)
Une des deux poulies doit être flasquée
afin que la courroie ne sorte pas des poulies
Entraînement de l’arbre à came
d’une automobile
Courroie de
distribution
I. TRANSMISSIONS PAR
POULIES ET COURROIES
RAPPORT DE TRANSMISSION :
Le rapport de transmission (r) est égal :
r = =
N poulie menée
N poulie menante
 poulie menante
 poulie menée
Vitesse de
rotation
II. TRANSMISSIONS PAR
PIGNONS ET CHAINES
Fonction : Transmettre par OBSTACLE, à l’aide d’un lien articulé
« chaîne », un mouvement de rotation continu entre deux arbres
éloignés parallèles.
POULIES
PIGNONS
CHAINE
II. TRANSMISSIONS PAR
PIGNONS ET CHAINES
PRINCIPALES CARACTERISTIQUES :
AVANTAGES INCONVENIENTS
Longue durée de vie
Entraînement de plusieurs arbres
récepteurs en même temps
«Basses » vitesses de transmission (de 13
à 20 m/s pour les chaînes silencieuses)
Supportent des conditions de travail plus
rudes que les poulies-courroies.
Plus bruyantes
Vitesses de rotation plus faibles
Lubrification nécessaire
CHAINES A ROULEAUX :
Ce sont les plus utilisées en transmission de puissance. Vitesse limite : 12 à 15 m/s.
Fermeture de la chaîne
douille
Principaux constituants
II. TRANSMISSIONS PAR
PIGNONS ET CHAINES
II. TRANSMISSIONS PAR
PIGNONS ET CHAINES
RAPPORT DE TRANSMISSION :
Le rapport de transmission (r) est le même que pour une transmission par engrenages ::
r = = =
N pignon mené
N pignon menant
 pignon menant
 pignon menée
Vitesse de
rotation
Z pignon menant
Z pignon menée
Nombre
de dents
EXEMPLE :
Exprimer et calculer rapport de transmission de
cette transmission composée de deux pignons et
d’une chaîne :
Brin tendu
Brin mou
Z2 = 20
Z1 = 52
M
r = = = =
N 2
N 1
Z 1
Z 2
52
20
2,6
r > 1 : C’est un multiplicateur de vitesse
II. TRANSMISSIONS PAR
PIGNONS ET CHAINES
LES ENGRENAGES
LES ENGRENAGES
Les engrenages cylindriques à denture droite:
Très utilisé, c’est l’engrenage le plus simple.
Il se comporte cinématiquement comme
deux cylindres (roues de friction) en
contact sur une génératrice.
LES ENGRENAGES
Les engrenages cylindriques à denture droite:
Contact extérieur Contact intérieur Pignon
crémaillère
Inversion du sens de rotation Conservation du sens de rotation
Transformation de
rotation en translation
ou inversement
Redution
Multiplication
LES ENGRENAGES
Les engrenages cylindriques à denture droite:
Très utilisés dans beaucoup de
mécanismes, ils présentent
cependant comme inconvénient
du bruit et des vibrations dus
essentiellement à la flexion des
dents durant l’engrènement.
Boite de vitesse pour machine
LES ENGRENAGES
Les engrenages cylindriques à denture hélicoïdale:
Pour supprimer cet inconvénient, l’engrènement doit être plus progressif
LES ENGRENAGES
Les engrenages cylindriques à denture hélicoïdale:
Très utilisés, ces engrenages présentent
cependant l’inconvénient de générer des efforts
axiaux induits par l’inclinaison des dents.
LES ENGRENAGES
Les engrenages cylindriques à denture hélicoïdale:
Dans les mécanismes
de grande puissance,
ces efforts axiaux
sont à l’origine de
fatigue et d’usure sur
les paliers de guidage
des arbres.
LES ENGRENAGES
Les engrenages cylindriques à chevrons:
Il peut alors s’avérer intéressant d’utiliser des roues à chevrons.
LES ENGRENAGES
Les engrenages cylindriques à chevrons:
Cette solution qui pourrait paraître idéale
est peu utilisée car le coût de fabrication
des roues à chevrons est très élevé.
LES ENGRENAGES
Les engrenages coniques:
Lorsque les axes ne sont pas parallèles, il est nécessaire d’utiliser
d’autres types d’engrenages. Les engrenages coniques permettent
de transmettre le mouvement entre deux axes concourants.
Conique droit
Conique hypoïde
LES ENGRENAGES
Les engrenages coniques:
Renvoi d’angle
LES ENGRENAGES
Les engrenages à roue et vis sans fin:
Intéressants pour le grand rapport de
réduction qu’ils peuvent offrir (1/200),
ces systèmes sont aussi généralement
irréversibles et donc utilisés comme
anti-retour (sécurité).
Ils présentent cependant l’inconvénient
d’un faible rendement et d’une usure
rapide dues au glissement important
des surfaces de contact.
LES ENGRENAGES
Les engrenages à roue et vis sans fin:
Pour remédier à cet inconvénient, on utilise très souvent
une roue creuse.
LES ENGRENAGES
Les engrenages à roue et vis sans fin:
La majorité des systèmes roue et vis
sans fin qui transmettent de la
puissance utilisent une vis en acier
et une roue creuse en bronze pour
réduire le frottement et concentrer
l’usure sur la roue dont le prix de
revient est inférieur à celui de la vis.
LES ENGRENAGES
Les engrenages à roue et vis sans fin:
Notons pour finir, que la vis peut avoir plusieurs filets (dents).
I - FONCTION ETANCHEITE
Soit deux solides S1 et S2 (voir schéma ci-contre)
possédant des surfaces de contact communes,
séparant deux milieux contenant des fluides
distincts et/ou ayant des pressions différentes.
L’étanchéité doit :
EMPECHER les impuretés du milieu extérieur d’accéder aux surfaces à protéger.
EMPECHER le fluide de s’échapper vers le milieu extérieur.
Les flèches symbolisent ces deux types de fuites )
Pression p
S1 S2
Milieu ext. pression
atmosphérique pa
Zone à étancher
II - TYPES D’ETANCHEITE
Une étanchéité peut être réalisée par interposition ou non d’une pièce spéciale (joint) entre les
deux solides S1 et S2.
Seringue Discardit II
Étanchéité assurée directement
entre le corps et le piston
Seringue Plastipak
Étanchéité avec interposition d’un
JOINT entre le corps et le piston
Joint
Type d’étanchéité à réaliser
Contact entre S1 et S2
Interposition d’un joint
entre S1 et S2
Mouvement relatif
S1/S2
Type d’étanchéité à réaliser
Fixe
Mobile en Rotation
Mobile en Translation
Étanchéité DIRECTE
Étanchéité INDIRECTE
Étanchéité STATIQUE
Étanchéité DYNAMIQUE
Étanchéité DYNAMIQUE
Surface de contact sphérique
II - ETANCHEITE STATIQUE
II.1. ETANCHEITE STATIQUE DIRECTE :
Étanchéité assurée uniquement par l’état des surfaces en contact entre S1 et S2, sans élément
d’étanchéité supplémentaire (sans joint). Cette étanchéité peut être réalisée soit :
En RODANT les surfaces de contact à lier l’une sur l’autre afin d’obtenir des états de surfaces
parfaits (surfaces « poli-miroir »)
Exemple : Raccord à joint conique
En utilisant un produit de collage et d’étanchéité.
PATTE A JOINT
II - ETANCHEITE STATIQUE
II.2. ETANCHEITE STATIQUE INDIRECTE :
Interposition d’un joint de commerce. Il peut s’agir :
D’un JOINT PLAT :
Exemple : Vis de
vidange
Joint plat
découpé
D’un JOINT TORIQUE :
IIi - ETANCHEITE DYNAMIQUE
III.1. CAS D’UNE TRANSLATION :
Les technologies mises en œuvre dépendent des mouvements relatifs entre les deux pièces.
Dans ce cas, on utilise des joints toriques ou de section sensiblement carrée :
Joint torique à section circulaire :
Joint quadrilobes (section « carrée ») :
Exemple : Vérin ou de bride hydraulique
Joint torique Joint quadrilobes
IIi - ETANCHEITE DYNAMIQUE
BRIDE HYDRAULIQUE
IIi - ETANCHEITE DYNAMIQUE
III.2. CAS D’UNE ROTATION :
On peut utiliser un joint torique lorsque la vitesse de rotation reste faible.
Exemple : Robinet à tournant sphérique
IIi - ETANCHEITE DYNAMIQUE
Lorsque la vitesse de translation est importante, on utilise un joint à lèvre :
Joint à lèvre à frottement radial :
Lèvre
Exemple : Vérin à double effet
On peut également dans certain cas, prévoir une étanchéité sans frottement avec les pièces,
exemples :
Par chicanes :
Par rondelles « Z » :
IIi - ETANCHEITE DYNAMIQUE
IV - SYMBOLISATION DES JOINTS A LEVRES
IV.1. REPRESENTATION GENERALE :
Dans TOUS LES CAS, le contour exact du joint est représenté par un rectangle.
La croix centrale, peut être complétée par une flèche indiquant l’étanchéité principale assurée.
= ou
IV - SYMBOLISATION DES JOINTS A LEVRES
IV.1. REPRESENTATION PARTICULIERE :
Joint d’étanchéité à lèvre
à frottement radial
Joint d’étanchéité à lèvre
à frottement radial + lèvre
antipoussiere
Joint d’étanchéité à lèvre
à frottement axial (V. RING)
Symbole Rep. réelle Symbole Rep. réelle Symbole Rep. réelle
ou ou ou
Lèvre
antipoussière
Lèvre
antipoussière
Lèvre
principale
Lèvre
principale
INTRODUCTION AU DESSIN INDUSTRIEL
• Le croquis
Permet de visualiser
rapidement une solution
technique
• La vue éclatée en perspective
La vue éclatée
Cette représentation précise
la position de chacune des
pièces d'un ensemble et
impose un ordre
d'assemblage.
Elle est exploitée pour le
montage ou le démontage
d'un système.
• La représentation symbolique
Représentation simplifiée pour schémas
électrique, pneumatique etc…
• Le dessin d’ensemble
Le dessin d'ensemble
Il est l'élément de base d'un
dessin technique et doit
permettre la compréhension du
fonctionnement du système
mécanique. Il précise les
positions, les formes et les liens
des différentes pièces de
l'ensemble.
• Le dessin de définition
Le dessin de définition
Chaque pièce qui doit être
fabriquée fait l'objet d'un
dessin de définition. Ce
dessin précise toutes les
dimensions, les tolérances
dimensionnelles et
géométriques nécessaires
au bon fonctionnement de
l'ensemble. C'est un
document de travail pour la
fabrication.
• La perspective
La perspective
Ce type de tracé facilite la
compréhension des formes d'une
pièce ou d'un ensemble. Une
perspective peut être cotée.
Le dessin industriel
• Les formats
A0 (1m²)
1189 x 841 mm
A1
841 x 594 mm
594 x 420 mm
A2 A3
420 x 297 mm
A4
297 x 210 mm
Les cartouches s’insèrent en bas à droite
de tous les formats sauf le A4 ( en bas
sur toute la largeur)
Le dessin industriel
• Le cartouche et la nomenclature
Le cartouche
La nomenclature
Le dessin industriel
• Les traits
DESIGNATION APPLICATIONS EXEMPLES
Continu fort
Contours et arêtes
visibles
Interrompu fin
Contours et arêtes
non visible
Continu fin Hachures et cotations
Mixte fin
Axe de symétrie et de
révolution
Continu fin à
main levée
Limite ou interruption de
vue
Le dessin industriel
• Les traits
Si plusieurs traits différents coïncident, l’ordre de priorité est le suivant :
• CONTINU FORT
• INTERROMPU FIN
• MIXTE FIN
• CONTINU FIN
En dessin technique, les vues sont des figures planes
( deux dimensions) que l’on voit en se plaçant directement
devant chaque face de l’objet.
Largeur
Hauteur
LA PROJECTION ORTHOGONALE
Dans le type de projections
utilisé, on imagine l’objet à
dessiner au centre d’une
boîte transparente.
Les différentes vues de
l’objet sont projetées sur
les côtés de cette boîte.
La boîte de projection et ses six
vues se déploient de façon à
placer toutes les vues sur un
même plan.
Les autres vues pivotent autour
de la vue de face.
VUE DE DESSOUS
VUE DE GAUCHE
VUE ARRIÈRE VUE DE FACE VUE DE DROITE
VUE DE DESSUS
Parmi les six vues possibles, on
choisit de représenter celles qui sont
nécessaires à la description de la
forme de l’objet. Trois vues sont
habituellement suffisantes pour décrire
un objet. Plusieurs objets simples ne
demandent q’une ou deux vues.
VUE DE FACE VUE DE DROITE
VUE DE DESSUS
VUE DE GAUCHE
VUE ARRIÈRE
VUE DE DESSOUS
VUE DE DESSUS
VUE DE FACE VUE DE DROITE
On retrouve, ici, la représentation
habituelle des vues en projections
orthogonales à vues multiples.
Ce type de dessin est employé en
technologie parce qu’il permet de décrire
sans déformation les faces des objets.
DESIGNATION DES METAUX
2) Différents types d’acier:
Il existe quatre classes d’acier:
Acier d’usage courant sont désignés par:
Ils ne possèdent pas d’éléments d’addition.
Ils sont nommés acier d’usage courant et acier pour traitements thermiques.
A) Les aciers non alliés :
Lettre représentant le type d’acier ex: S: aciers d’usages généraux,
E: acier de construction mécanique, P: acier pour appareil à pression, etc…
S 235
Le nombre précédant la lettre indique la résistance minimale de la limite élastique en
Mpa (N/mm²).
C’est un essaie mécanique qui permet de connaître la limite élastique de l’acier (S235 on peut
placer un poids de 23.5 kg sur un fil de 1 x 1 mm sans qui ne se déforme après étirement)
G
Lettre représentant une spécification de l’acier ex: G:
galvanisation, W: résistant à la corrosion atmosphérique, S:
construction naval, etc…
DESIGNATION NORMALISEE DE L'ACIER
Symbole Désignation Symbole Désignation
G+….. Aciers moulés R Acier pour ou sous forme de rails
Aciers d’usages généraux H Produit plats laminés à froid, acier a haute
résistance pour emboutissage
Aciers pour appareil à pression D Produits plats pour le formage a froid (sauf ceux
préciser en H)
L Aciers pour tubes de conduits T Fer noir, fer blanc, fer chromé
( acier pour emballage)
Acier de construction
mécanique
M Acier magnétique
B Acier à béton Y Acier pour béton précontraint
Divers symboles de types d’aciers d’usage courant:
S
P
E
DESIGNATION NORMALISEE DE L'ACIER
Symbole Désignation Symbole Désignation
C Formage à froid spécial N Normalisée ou laminage normalisant
D Galvanisation O Offshore
E Emaillage Q Trempé et revenu
F Forgeage S Construction navale
L Basse température T Tube
M Formation thermomécanique W Résistant à la corrosion atmosphérique
Acier pour traitement thermique sont désignés par:
Lettre représentant le type d’acier C: aciers pour traitement thermique.
C 40
Le nombre précédant la lettre indique le pourcentage de carbone diviser par 100 (ex:
40/100 =0,4%)
 Suivant sa spécification, l’acier sera constitué d’une autre lettre. Elle sera placée derrière la
résistance de la limite élastique ex: P235W.
DESIGNATION NORMALISEE DE L'ACIER
Ils possèdent des éléments d’additions ( ils ont un maximum de 5%)
Cr Al Mo 18 10
40
Le nombre précédant la lettre indique le pourcentage de carbone diviser par 100
(ex: 40/100 =0,4%)
Les éléments d’addition , un nombre en pourcentage correspond à chaque éléments (il est
calculé suivant un barème) si un éléments ne comporte pas de nombre c’est qu’il en a
quelques traces.
B) Les aciers alliés :
/4 Chrome ( Cr), cobalt (Co), manganèse (Mn), nickel (Ni), silicium (Si).
/10 Pour les autres
/100 Célium (Ce), phosphore (P), niobium (Nb), souffre (S)
/1000 Bore (B)
DESIGNATION NORMALISEE DE L'ACIER
Calculer à l’aide du tableau : 18 : 4 = 4.5 % de chrome
Calculer à l’aide du tableau : 10 : 10 = 1 % d’aluminium
Il n’y a pas de nombre
lui correspondant, il en a
quelques traces -1%
Cr 18
Al 10
Mo -
Ils possèdent des éléments d’additions ( ils ont un minimum de 5%)
2
X Cr Ni 18 10
C) Les aciers fortement alliés :
Les éléments d’addition , un nombre en pourcentage réel correspond à chaque éléments, si
un éléments ne comporte pas de nombre c’est qu’il en a quelques traces.
DESIGNATION NORMALISEE DE L'ACIER
Ti -
Le symbole représentant un acier fortement allié X
Le nombre précédant la lettre indique le pourcentage de carbone diviser par 100 (ex:
2/100 =0,02%)
Cr Ni Ti 18 10
Il n’y a pas de nombre lui
correspondant, il en a
quelques traces -1%
% réel 18 % de chrome
% réel 10 % de nickel
- Étiré : plus résistant et moins malléable = arbre, axe, pièce à usiner,…
- Laminé : moins résistant, plus malléable = renfort, pièce à former,……
3) Propriété d’un profilé :
4) Tableau de l’influence des éléments d’addition dans l’acier :
DESIGNATION NORMALISEE DE L'ACIER
LES TRAITEMENTS THERMIQUES
Le traitement thermique d'une pièce
consiste à lui faire subir des
transformations de structure grâce à
des cycles prédéterminés de
chauffage et de refroidissement afin
d'en améliorer les caractéristiques
mécaniques : dureté, ductilité, limite
d'élasticité, ...
La trempe
La trempe s'effectue après une mise en solution de
certains composés : Il s'agit de maintenir le
matériaux à tremper à une température suffisante et
suffisamment longtemps. On plonge ensuite la pièce
dans un liquide (bain d'huile, eau, plomb fondu, etc )
ou on le refroidit avec un gaz (azote, air, etc).
Le revenu
Le revenu se pratique après une trempe, par chauffage à une température
inférieure à celle de la trempe. Il permet d'améliorer la résistance mécanique
des pièces traitées en diminuant la dureté (en favorisant la dissolution de
certains composés fragiles tels que les carbures) et les contraintes
mécaniques internes obtenues lors de la trempe. On chauffe à une
température inférieure à celle d'austénitisation, puis on refroidit plus ou moins
rapidement.
Le recuit complet
«Ce traitement consiste à chauffer l'acier à une température appropriée
et à traverser ensuite le domaine de transformation par un
refroidissement lent effectué de préférence dans le four ou toute autre
installation bien isolée thermiquement. Le refroidissement lent se
poursuit généralement aux basses températures. Le but du recuit peut
être d'affiner le grain, d'adoucir l'alliage, d'améliorer l'usinabilité.
Le recuit se fait après un traitement mécanique, une opération de
soudage, etc. afin de rendre plus homogène le matériau et lui rendre une
partie de ses propriétés antérieures. On chauffe jusqu'à austénitisation
totale de la pièce, puis on laisse refroidir lentement, ce qui lui fait
retrouver ses anciennes propriétés.
DIAGRAMME FER CARBONE
LES ROULEMENTS
Composition d’un roulement
4
3
2
1
1 : Bague extérieure, liée à
l’alésage (logement du roulement)
2 : Bague intérieure, liée à
l’arbre
3 : Cage, assure le maintien des
éléments roulants
4 : Eléments roulants, situés
entre les deux bagues :
Savoir reconnaitre et lire les elements de construction
ROULEMENT A
UNE RANGEE DE
BILLE A CONTACT
RADIAL
ROULEMENT A
UNE RANGEE DE
BILLE A CONTACT
OBLIQUE
ROULEMENT A
DEUX RANGEES
DE BILLE A
CONTACT
OBLIQUE
Savoir reconnaitre et lire les elements de construction
ROULEMENT A
DEUX RANGEE DE
BILLE A ROTULE
SUR LA BAGUE
EXTERIEURE
ROULEMENT A
ROULEAUX
CYLINDRIQUES
Savoir reconnaitre et lire les elements de construction
ROULEMENT A
AIGUILLES
ROULEMENT A
ROULEAUX
CONIQUES
ROULEMENT A
AIGUILLES
Savoir reconnaitre et lire les elements de construction
BUTEE A BILLE
Savoir reconnaitre et lire les elements de construction
Vis d’assemblage
Vis d’assemblage
1. Rôle
Ces vis permettent
d'assembler 2 ou plusieurs
pièces.
L'assemblage étant
démontable.
Les parties de la vis où s'effectuent les efforts sont :
Une des pièces devra avoir un taraudage (pièce 2 )
2
Les autres pièces devront avoir un trou lisse
(pièce 1)
1
Le filetage et la tête de la vis.
x
x
Le filetage est une surface HÉLICOÏDALE
Comment se monte une vis d’assemblage ?
La vis traverse
librement la pièce
ayant un trou lisse.
Puis elle se visse
dans la pièce
taraudée.
Leçon Vis d’assemblage
2. Divers représentations
réelle
Leçon Vis d’assemblage
européenne
3. Représentation européenne (NF E 25-27)
filetage
corps
tête extrémité ou
chanfrein d’entrée
fond de filet
fond de filet
sommet de filet
sommet de filet
Leçon Vis d’assemblage
3/4 de
cercle en
trait fin
Signification des cotes :
M : métrique 12 : ø nominal
40 : longueur sous-tête 30 : longueur filetée
Leçon Vis d’assemblage
4. Désignation normalisée
Cette désignation sert à acheter les vis.
Exemple :
Vis CHC M 12 40
nom de
l’organe
symbole
tête
métrique diamètre
nominal
longueur sous
tête ou totale
Dans l’industrie , on indique en plus la classe de qualité
par 2 nombres :
5–6 ou 7-8 que l’on n’indiquera pas.
Leçon Vis d’assemblage
5. Différentes têtes de vis
hexagonale H cylindrique fendue CS
cylindrique hexagonale creuse CHC carrée Q
Leçon Vis d’assemblage
5. Différentes têtes de vis
fraisée fendue FS fraisée hexagonale creuse FHC
fraisée cruciforme FZ
Leçon Vis d’assemblage
5. Différentes têtes de vis
Autres têtes de vis :
Leçon Vis d’assemblage
CBLZ
Cylindrique bombée
cruciforme
CBLX
Cylindrique à 6
lobes internes
Fig.
1
Fig.
2
Fig.
3
Fig.
4
Savoir reconnaître et lire les filetages et la visserie
VIS D’ASSEMBLAGE (fig. 1) :
La pièce (3) seule possède un trou TARAUDE recevant la partie filetée de la vis.
Les autres pièces possèdent UN TROU LISSE
BOULON (fig. 2) :
BOULON = VIS + ECROU
Les pièces à assembler possèdent UN TROU LISSE
Le trou taraudé se trouve dans l’écrou.
1.GOUJON (fig. 3) :
Il est composé d’une tige, filetée à ses 2 extrémités séparées par une partie lisse.
Le goujon (1) est implanté dans la pièce (5) possédant un trou TARAUDE
L’effort de serrage axial nécessaire au MAintien en Position (MAP) est réalisé par l’écrou (2).
VIS DE PRESSION (fig. 4) :
L’effort de serrage nécessaire au maintien en position est exercé par L’EXTREMITE DE LA VIS
Savoir reconnaitre et lire les elements de construction
FREINAGE PAR ADHERENCE (sécurité relative) :
FREINAGE PAR OBSTACLE (sécurité absolue)
Savoir reconnaitre et lire les elements de construction
1.ANNEAUX ELASTIQUES :
Savoir reconnaitre et lire les elements de construction
1.CLAVETTES :
3 - Clavette
2
1
Un clavetage se réalise entre un arbre (1) et un
moyeu (2) s’assemblant par l’intermédiaire de
formes cylindriques ou coniques.
Eléments constitutifs :
Rainure de clavette dans l’arbre
x
y
O
y
O
z
Jeu
Rainure de clavette dans le moyeu
Réalisation de l’assemblage :
Savoir reconnaitre et lire les elements de construction
LES AUTOMATISMES
3 - Partie commande, partie opérative
2 - Exemple de système
5 - Capteurs
4 - Actionneurs
1 - Les systèmes automatisés
Simples ou complexes, les systèmes
automatisés sont partout dans notre
environnement quotidien
Le passage à niveau
Les feux de carrefour
Le distributeur de billets
Le portail automatisé
Un système est dit automatisé s’il exécute toujours le même cycle
de travail pour lequel il a été programmé. (la partie opérative est
mécanisée et la partie commande est assurée par un automate)
Définition
Un train arrive
Le système est en attente
Signal lumineux et signal sonore
Baisser la barrière et laisser les signaux
Signal lumineux et signal sonore
Lever la barrière
Temporisation de 10 secondes
Barrière baissée
Le train est passé
Barrière levée
Partie Opérative: Elle reçoit les
ordres de la partie commande et elle lui
adresse des comptes rendus
Elle est composée: • d ’actionneurs
Partie Commande :
Elle donne les ordres à la partie
opérative en fonction:
• du programme qu’elle contient
• des informations reçues par les capteurs
• des consignes données par l ’utilisateur
• de capteurs
Capteurs : capable de détecter un
phénomène physique dans son
environnement (déplacement, présence,
chaleur, lumière...)
Ils rendent compte de l ’état du système
Signal lumineux
Moteur
Actionneur : Ils exécutent les
ordres reçus. Ils agissent sur le
système ou son environnement
Interface : les informations circulent d’une partie à l’autre par l’intermédiaire d’interfaces.
Exemples d’actionneurs
Les actionneurs transforment l’énergie reçue en énergie utile.
Moteur pas à pas Voyants
Electrovanne
Afficheur 7 segments
Vérin
Vérin rotatif
Ventilateur
Résistance chauffante
Exemples de capteurs
Les capteurs transforment la variation des grandeurs physiques liées au fonctionnement
de l’automatisme en signaux électriques.
Capteur de proximité à ultrasons
Capteur d’humidité Détecteur de gaz
Capteur de niveau de liquide
Cellule photoélectrique
Détecteur de choc Capteur à contact
Bouton poussoir
Bouton d’arrêt d’urgence
Partie Commande
Opérateur ou environnement
Capteurs Actionneurs
Partie Opérative
Ordres
Comptes-rendus
Evénements
Signaux, actions
Le système automatisé attend des
événements de l’opérateur ou de
l’environnement
Les capteurs de la
partie opérative
envoient des comptes-
rendus à la partie
commande
En fonction de son programme,
la partie commande envoie des
ordres à la partie opérative
La partie opérative
effectue les actions
demandées
BOISSON
Appareillage en
électrotechnique
Isoler,
Condamner,
Protéger,
Etablir / Interrompre,
Fonctions des appareillages électriques
Séparer
Condamner
Protéger contre les courts-circuits
Protéger contre les surcharges
Protéger les personnes
Etablir et interrompre l’énergie
Moduler l’énergie
Récepteur
A: Séparer et Condamner:
On ne peut pas le manœuvrer en charge:
Pas de pouvoir de coupure
Interrupteur sectionneur
Sectionneur porte-fusibles
Isoler tout ou partie d’une installation du réseau.
Interdire les manœuvres de remise sous tension.
Sectionneur
On peut le manœuvrer en charge:
Coupure de In
Sectionneur Interrupteur-Sectionneur
Sectionneur porte fusibles
B: Protéger contre les courts-circuits:
Protéger les matériels lorsque I>>In
Disjoncteurs Fusibles
Magnétique Magnétothermique
. Disjoncteurs et fusibles ont un pouvoir de coupure.
. Plusieurs courbes existent.
. Le magnétique déclenche sur Icc.
Les fusibles: technologie
B: Protéger contre les courts-circuits:
aM gG
Tous les fusibles ont un pouvoir de coupure.
Critères de choix: - Charge
- Taille (10*38….)
- Tension d’emploi
- Calibre
C: Protéger contre les surcharges:
Disjoncteurs Magnétothermique Relais thermique
Possède un pouvoir de coupure Pas de pouvoir de coupure.
Coupe la commande du contacteur
Surcharge: Légère surintensité: 1,2 à 3 ou 4 In
C: Protéger contre les surcharges:
Relais thermique:
10A : A utiliser pour des démarrages moteur de 2 à 10 s
20 : A utiliser pour des démarrages moteur de 6 à 20 s
Il existe une classe 30 pour des démarrages jusqu’à 30s.
Classe:
Relais thermique différentiel: Permet la détection d’une absence de phase
Relais thermique compensé: Insensibilité aux températures extérieures
BP Test de la
protection
différentielle
D: Protéger les personnes:
I n est appelé la sensibilité du différentiel.
Ses plages de fonctionnement sont:
I n
I n/2
Non déclenchement Déclenchement probable Déclenchement certain
Le disjoncteur différentiel:
30 mA ; 100 mA
500 mA ; 1 A
Fonction E : Etablir et interrompre
l’énergie
Cette fonction est généralement dévolue au contacteur. Celui-ci
permet un pilotage automatique via son circuit de commande.
Plusieurs catégories d’emplois sont à
respecter suivant les types de récepteur.
AC3 : Moteur à cages…
AC1 : Chauffage, éclairage…en AC
DCi : Emploi en continu.
LA LUBRIFICATION
Principales defaillances causees par le
manque de la lubrification
LE ROLE DU LUBRIFIANT :
•former un film d’huile de séparation des
zones de contact
•évacuer les calories (lubrification à
l’huile)
•étancher le roulement pour empêcher la
pénétration de corps étrangers liquides
ou solides (lubrification à la graisse)
•réduire le bruit de fonctionnement
•protéger le roulement contre la
corrosion .
Principaux dispositifs de lubrification à l’huile.
• Lubrification par barbotage
• Une partie du mécanisme en mouvement trempe dans le bain et
emporte par adhérence de l’huile vers les point à lubrifier.
• La quantité d’huile doit être suffisante.
• le niveau d’huile doit être contrôlé périodiquement : jauge de
contrôle, indicateur...
lubrification par brouillard d’huile ou air huile
– un débit constant d’air comprimée aspire et pulvérise
une certaine quantité d’huile sous forme de petites gouttelettes,
– le brouillard constitué est amené par un réseau de canalisations
prés des points à lubrifier (circuit pneumatique )
Lubrificateur SMC
• Une même pompe lubrifie
en même temps plusieurs
zones ou points.
– Le débit d’huile arrivant à
chaque point à lubrifier,
peut être réglé pour
assurer lubrification et
refroidissement.
– Des échangeurs de
chaleurs peuvent être
ajoutées à l’installation.
• Lubrification par circulation d’huile:
Lubrification à la graisse
Elles permettent un frottement minimal
• Au repos , elles se comportent comme un
solide.
• En service, sous l’action des charges
,elles réagissent comme un liquide : la
fluidité augmente et se rapproche de
l’huile de base.
Principaux dispositifs de graissage:
• Graissage par garnissage au
montage :
• Le graissage peut être à vie ou
périodique, avec regarnissage après
démontage et nettoyage lors des
opérations de maintenance.
• Utilisation des graisseurs:
• les graisseurs permettent le
regraissage périodique sans
démontage du dispositif.
Avantages des graisses par
rapport aux huiles
Inconvénients des
graisses par rapport
aux huiles
Permettent le graissage à vie Tendance au vieillissement
Application aisée du lubrifiant Ne conviennent ni aux vitesses
élevées avec des charges élevées
ni pour le cas ou il y a des
échauffements élevées.
Supportent mieux les chocs et vibrations
Peuvent participer à l’étanchéité
Simplicité de conception et de mise en
œuvre.
L’INSTALLATION PNEUMATIQUE
Production énergie
pneumatique
Compresseur intégré
manomètre
Vanne de purge
Réservoir d’air
Copnduite de
distribution
SWP
10bar
Vanne d’isolement
Soupape
de sécurité
M
Symbole du compresseur intégré
Elle est assurée par un compresseur, animé par un moteur électrique.
La pression est de l’ordre de 10 bars.
Un réservoir permet réguler la consommation.
PRINCIPE COMPRESSEUR
Distribution énergie
pneumatique
 Distribution décentralisée
par conduites rigides
 Purge au point bas de
chaque raccordement
 Prise d’air de sécurité
 Unités de conditionnement
de l’air FRL avant chaque
système
Symbole
Unités de conditionnement FRL
Filtre
Mano-régulateur
Lubricateur
Encore appelées Têtes de ligne.
Elles adaptent l’énergie pneumatique au
système
Symbole
Filtre
Filtre les poussières
Assèche l’air
Mano-Régulateur
2
4 6
8
10
40
80
120
lbf/in2
bar
P1 P2
2
4 6
8
10
40
80
120
lbf/in2
bar
P1 P2
2
4 6
8
10
40
80
120
lbf/in2
bar
P1 P2
2
4 6
8
10
40
80
120
lbf/in2
bar
P1 P2
Symbole
Réguler la pression
Régler la pression
2
4 6
8
10
40
80
120
lbf/in2
bar
P1 P2
Réglage augmentation
P1 P2
2
4 6
8
10
40
80
120
lbf/in2
bar
Réglage diminution
2
4 6
8
10
40
80
120
lbf/in2
bar
P1 P2
Consommation système
Symbole
Lubrificateur
Eviter la corrosion
Améliorer le glissement
P1
P2
P1
P2
Symbole
Symbole
Vérin Simple Effet
VSE
Position repos
tige rentrée
Position repos
tige sortie
Diamètre piston
Course
Effort (Fressort, F=P*S-Fressort)
Revient en position repos en cas de coupure
pneumatique
Nb de canalisation =1
Symbole
Vérin double effet
VDE
Classique
Amorti
réglable
Symbole
Diamètre piston
Course
Reste en position en cas de coupure pneumatique
Effort 2
F =
D
4
P
10
Newtons D =Ø alésage en millimetres
P = Pressure en bar
F = Force en Newtons
(D2- d 2 )
F =
4
P
10
Newtons
d =Ø tige piston en millimetres
Symbole
Vérin rotatif
270°
Pignon-crémaillère
Symbole
Symbole
Autres actionneurs
pneumatiques
Symbole
Vérin sans tige
Moteur
Vérin double tige Echappement
Alimentation
sens
Alimentation
sens
Accéssoires de montage
Accessoires
Détecteurs magnétiques
Distributeurs
Les distributeurs pneumatiques
assurent la fourniture en énergie de
puissance pneumatique les actionneurs,
sur ordre du constituant de commande.
Leurs principales caractéristiques sont :
Le nombre de position
Le nombre d’orifice
La commande
Le débit
M5
R1/8
R1/4
R3/8
R1/2
R3/4
R1
Désignation et représentation
Nombre de position
=
Nombre de carré
Nombre d’orifice
1 pression
3 – 5 échappements
2 – 4 utilisations Les orifices toujours tracés sur la position repos
Voies de
communication
Des flèches représentent la
liaison entre les orifices
Commandes
2 positions 3 positions
1
2
1
2
3 3
4
1
2
1
4
3
2
5
2 3 4 5
bistable monostable
1
4
3
2
5
3
4
1
2
1
2
3
Nb de position / Nb d’orifices
Distributeur 2/2
Applications
Electrovanne
Bouton poussoir (soufflette)
Symbole
1 2
12
1 alimentation
2 utilisation actionneur
12 commande
1 2
12
Distributeur 3/2
Applications
Electrovanne générale (sectionneur)
Alimentation vérin simple effet
Symbole
1 alimentation
2 utilisation actionneur
3 échappement
12 - 10 commandes
1
2
3
10
12
1
2
3
12 10
1
2
3
10
12
1
2
3
12 10
Distributeur 5/2
Applications
Alimentation vérin double effet
Possibilité de régler les vitesses de
rentrée et de sortie indépendamment
(2échappements séparés )
Symbole
1 alimentation
2-4 utilisations actionneur
3-5 échappements
12-14 commandes
1
2
4
5 3
14 12
1
2
4
5 3
14 12
12
1
2
4
5 3
14
1
2
4
5 3
14 12
Distributeur 4/2
Applications
Alimentation vérin double effet
Un seul réglage possible de vitesse
de rentrée et de sortie
(1échappement )
Symbole
1 alimentation
2-4 utilisations actionneur
3 échappement
12-14 commandes
1
2
4
3
14 12 12
1
2
4
3
14
Même fonctionnement qu’un 5/2 mais un seul échappement
Distributeurs
3 positions
1
4 2 3
5
14 12
1
2
4
5 3
1
2
4
5 3
1
4 2 3
5
14 12
1
2
4
5 3
1
4 2 3
5
14 12
1
2
4
5 3
1
4 2 3
5
14 12
1
2
4
5 3
1
4 2 3
5
14 12
1
2
4
5 3
1
4 2 3
5
14 12
5/3 centre fermé
5/3 centre ouvert
Commande
tournant
Poussoir interrupteur
Solenoide
galet pneumatique
urgence
Ressort
Exemples
VSE 3/2 bistable
VDE 4/2 monostable VDE 4/2 bistable
VSE 3/2 monostable
Cliquez sur les schémas pour voir l’animation
L’INSTALLATION HYDRAULIQUE
M
DISTRIBUTEUR
VERIN
FILTRE AU
REFOULEMENT
LIMITEUR DE
PRESSION
REDUCTEUR
DE DEBIT
POMPE 1 SENS
DE FLUX
MOTEUR
ELECTRIQUE
REPRESENTATION SCHEMATIQUE
SYSTEME HYDRAULIQUE SIMPLE
Aspiration Retour
RESERVOIR : BACHE : TANK
CRIC HYDRAULIQUE
PRESSE HYDRAULIQUE

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  • 2. ELABORATION DE L’ACIER FABRICATION APPLICATIONS RECYCLAGE LES PROCEDES INDUSTRIELS LE LAMINAGE LE FORGEAGE LE FRITTAGE LE MOULAGE AU SABLE LE MOULAGE PAR INJECTION L’EMBOUTISSAGE L’EXTRUSION LES PROCEDES D’USINAGE LE TOURNAGE LE FRAISAGE L’ELECTRO-EROSION LE VOCABULAIRE DES FORMES LES TRANSMISSIONS POULIES-COURROIS PIGNON-CHAINES ENGRENAGES ACCOUPLEMENTS LE DESSIN TECHNIQUE LE CROQUIS LA VUE ECLATEE LA REPRESENTATION SYMBOLIQUE LE DESSIN D’ENSEMBLE LE DESSIN DE DEFINITION LA PERSPECTIVE LES FORMATS LA CARTOUCHE LA NOMENCLATURE LES TRAITS LA PROJECTION ORTHOGONALE LA DESIGNATION DES METAUX ACIERS D’USAGE COURANT ACIERS POUR TRAITEMENTS THERMIQUES ACIERS ALLIES ACIERS FORTEMENT ALLIES LES TRAITEMENTS THERMIQUES LA TREMPE LE REVENUE LE RECUIT LES ROULEMENTS COMPOSITION TYPES REPRESENTATION NORMALE ET CONVENTIONNELLE L’ETANCHEITE ETANCHEITE STATIQUE ETANCHEITE DYNAMIQUE VIS D’ASSEMBLAGE ROLE REPRESENTATION DESIGNATION TETE DE VIS RECONNAÎTRE LA VISSERIE LE FRAINAGE DES BOULONS LA LUBRIFICATION ROLE BARBOTAGE D’HUILE BROUILLARD D’HUILE CIRCUIT FERME LUBRIFICATION A LA GRAISSE PRINCIPAUX DISPOSITIFS PROPRIETES DES GRAISSES COMPARATIF HUILE GRAISSE LES AUTOMATISMES LES SYSTEMES AUTOMATISES EXEMPLE DE SYSTEME PARTIE COMMANDE PARTIE OPERATIVE ACTIONNEURS CAPTEURS APPAREILLAGE EN ELECTROTHECHNIQUE LE SECTIONNEUR LE DISJONCTEUR THERMIQUE LE DISJONCTEUR MAGNETIQUE LE DISJONCTEUR DIFFERENTIEL LE CONTACTEUR LE RELAI THERMIQUE LE CONTACT A FERMETURE LE CONTACT A OUVERTURE PNEUMATIQUE INDUSTRIELLE PRODUCTION ENERGIE PNEUMATIQUE DESCRIPTIF COMPRESSEUR AIR COMPRIME DISTRIBUTION ENERGIE PNEUMATIQUE FILTRE REGULATEUR LUBRIFICATEUR SECTIONNEUR DEMARREUR PROGRESSIF ACTIONNEURS VERIN SIMPLE EFFET VERIN DOUBLE EFFET AMORTISSEUR VERIN ROTATIF DISTRIBUTEURS DESIGNATION ET REPRESENTATION EXEMPLES HYDRAULIQUE INDUSTRIELLE LE CIRCUIT HYDRAULIQUE LA POMPE LE RESERVOIR LE LIMITEUR DE PRESSION LE REGULATEUR DE VITESSE LE DISTRIBUTEUR LE FILTRE SOMMAIRE
  • 4. L'agglomération Le minerai de fer est préparé : Il est broyé et calibré en grains qui s'agglomèrent (= s'agglutinent) entre eux. L'aggloméré obtenu est concassé puis chargé dans le haut fourneau avec du coke. Le coke est un combustible puissant, résidu solide de la distillation de la houille (variété de charbon très riche en carbone).
  • 5. Le haut-fourneau On extrait le fer de son minerai. Minerai et coke solides sont enfournés par le haut. L'air chaud (1200 °C) insufflé à la base provoque la combustion du coke (carbone presque pur). L'oxyde de carbone ainsi formé va "réduire" les oxydes de fer, c'est-à-dire leur prendre leur oxygène et, de ce fait, isoler le fer. La chaleur dégagée par la combustion fait fondre fer et gangue en une masse liquide où la gangue, de densité moindre, flotte sur un mélange à base de fer, appelé "fonte". Les résidus formés par la gangue fondue (laitiers) sont exploités par d'autres industries : construction de routes, cimenterie, etc..
  • 6. La cokerie Le coke est un combustible obtenu par distillation (gazéification des composants indésirables) de la houille dans le four de la cokerie. Le coke est du carbone presque pur doté d'une structure poreuse et résistante à l'écrasement. En brûlant dans le haut fourneau, le coke apporte la chaleur nécessaire à la fusion du minerai et les gaz nécessaires à sa réduction.
  • 7. L E Le convertisseur On y convertit la fonte en acier. La fonte en fusion est versée sur un lit de ferraille. On brûle les éléments indésirables (carbone et résidus) contenus dans la fonte en insufflant de l'oxygène pur. On récupère les résidus (laitier d'aciérie). On obtient de l'acier liquide "sauvage", qui est versé dans une poche. Il est appelé acier sauvage, car, à ce stade, il est encore imparfait.
  • 8. La station d'affinage (décarburation et additions chimiques) Les opérations ont lieu dans un récipient sous vide, l'acier étant mis en mouvement entre poche et récipient à l'aide d'un gaz neutre (argon). On insuffle de l'oxygène pour activer la décarburation et réchauffer le métal. Ce procédé permet une grande précision dans l'ajustement de la composition chimique de l'acier ("mise à nuance").
  • 9.
  • 10. Le laminoir Des ébauches aux produits finis : Ici : de la brame à la tôle. La brame est réchauffée dans un four pour rendre le métal plus malléable, donc plus facile à étirer et à mettre en forme. L'ébauche est ensuite amincie par écrasements progressifs entre les cylindres du laminoir.
  • 11. Le four électrique La matière première enfournée peut aller du matériau brut (par exemple des pièces de machine) dûment sélectionné, jusqu'à la ferraille livrée préparée, triée, broyée, calibrée, avec une teneur minimale en fer de 92 %. On fond les ferrailles dans un four électrique. L'acier liquide obtenu est ensuite soumis aux mêmes opérations d'affinage et de mise à nuance que dans la filière fonte. Les ferrailles proviennent des emballages jetés, des bâtiments, machines et véhicules démontés, des chutes de fonte ou d'acier récupérés dans la sidérurgie. Chaque nuance d'acier nécessite un choix rigoureux de la matière première, en fonction notamment des "pollutions" que peut représenter, pour cette nuance précise, tel métal ou autre minerai contenu dans les ferrailles. Filière électrique : processus Un "panier à ferrailles", chargé à l'aide d'un aimant, achemine la matière première jusqu'au four. La fusion a lieu grâce à des arcs électriques puissants, qui jaillissent entre des électrodes et la charge à fondre. On récupère les résidus ( laitier ). On obtient de l'acier liquide, qui va être acheminé vers l'installation d'affinage et de mise à nuance.
  • 13. Le laminage est un procédé de fabrication par déformation plastique du métal.. Cette déformation est obtenue par compression continue au passage entre deux cylindres tournant dans des sens opposés appelés laminoir. Un laminoir est une installation industrielle ayant pour but la réduction d'épaisseur d'un matériau (généralement du métal). Il permet également la production de barres profilés (produits longs). LE LAMINAGE
  • 14. Le forgeage consiste à former par déformation plastique après chauffage des pièces brutes. Le forgeage est une opération de forge effectuée à l'aide d'outillage appelés des matrices (demi matrice supérieure et demi matrice inférieure). Les matrices portent en creux la forme de la pièce. Le forgeage
  • 15. Le principe est fondé sur la déformation plastique du matériau (en général un métal), déformation consistant en un allongement ou un rétreint local de la tôle pour obtenir la forme désirée. Par suite de la conservation globale (au moins approximative) du volume du matériau, les zones d’étirement subissent un amincissement (qui doit rester limité pour éviter la rupture) et les zones de rétreint (compression) subissent une combinaison d’épaississement et de plissement : on cherche en général à éviter ce dernier effet, mais il ne peut jamais être complètement absent et on cherche donc à le déplacer dans des parties de tôle qui seront éliminées dans la suite du processus de fabrication. L’estampage
  • 16. L'extrusion est un procédé de fabrication mécanique par lequel un matériau mis sous pression est contraint de traverser une filière qui lui donnera la forme d'un profilé de grande longueur. Ce procédé est conduit à froid.Ce procédé donne des pièces aux formes encore plus précises que celles qui sont réalisées avec l'estampage ou le matriçage et présentent des états de surface excellents, ce qui permet souvent de les utiliser sans usinage complémentaire. Contrairement au laminage de bandes qui se limitent généralement à des formes simples, elle permet d'obtenir des formes très complexes et des profilés creux. L'extrusion
  • 17. Le frittage est un procédé de fabrication de pièces consistant à chauffer une poudre sans la mener jusqu’à la fusion. Sous l'effet de la chaleur, les grains se soudent entre eux, ce qui forme la cohésion de la pièce. Le frittage
  • 19. Les liaisons simples parfaites Ponctuelle Rotule Linéaire annulaire Sphérique à doigt Linéaire rectiligne Hélicoïdale Appui plan Pivot glissant Pivot Glissière
  • 20. VOCABULAIRE DE FORMES DE PIECES MECANIQUES
  • 21. Perçage borgne C’est un perçage qui ne traverse pas complètement la pièce. Son extrémité est généralement pointue. Embase Élément d’une pièce servant de base, on dit aussi « semelle »
  • 22. Nervure Partie de faible épaisseur destinée à augmenter la rigidité d’une pièce. Alésage Désigne généralement une forme creuse précise (un trou) destinée à recevoir un arbre. C’est le contenant d’un assemblage.
  • 23. Chambrage C’est un évidemment réalisé à l’intérieur d’un alésage destiné à limiter la portée (surface en contact) de l’arbre contenu dans l’alésage. Lamage Usinage cylindrique réalisé à l’entrée d’un perçage destiné à noyer (cacher) la tête d’une vis.
  • 24. Fraisure Usinage conique réalisé à l’entrée d’un perçage destiné à recevoir la tête d’une vis. Bossage Surépaisseur de matière, généralement située à l’entrée d’un perçage, destinée à limiter les surfaces à usiner.
  • 25. Perçage Trou, débouchant ou non, généralement réalisé avec un foret à extrémité pointue. Évidement Vide prévu dans une pièce pour en diminuer le poids ou réduire une surface d’appui.
  • 26. Trou oblong Trou de forme allongée, terminé par 2 demi-cylindres. Arrondi Surface arrondie destinée à supprimer l’arrête vive d’un angle saillant.
  • 27. Congé Surface arrondie qui raccorde deux surfaces formant un angle rentrant. Épaulement Changement de la section d’une pièce pour obtenir une surface d’appui.
  • 28. Arbre Désigne généralement une pièce cylindrique précise. C’est le contenu dans un assemblage avec un alésage. Dégagement Usinage effectué dans le fond d’un angle pour assurer un bon contact ou pour faciliter un usinage.
  • 29. Filetage Rainure hélicoïdale exécutée sur un cylindre. C’est la forme qui a été réalisée sur une vis. Taraudage Rainure hélicoïdale exécutée dans un alésage ou un perçage. C’est la forme qui a été réalisée dans un écrou.
  • 30. Chanfrein Surface conique ou plane obtenue par suppression d’une arrête vive sur un cylindre ou sur un prisme. Gorge Usinage dans une pièce cylindrique souvent destiné à recevoir un anneau élastique ou un joint d’étanchéité.
  • 31. Rainure Entaille longue pratiquée dans une pièce(logement de clavette Méplat Surface plane réalisée sur un cylindre. On dit aussi plat. Deux méplats opposés sur une pièce cylindrique permettent l’utilisation d’une clef plate.
  • 33. ELEMENTS DE TOUR PARALLELE CHARIOT LONGITUDINAL (TRAINARD) VIS MERE POUPEE FIXE (MANDRIN) POUPEE MOBILE BOITE DES VITESSES BOITE DES AVANCES CHARIOT TRANSVERSAL BARRE DE FILETAGE CHARIOT PORTE OUTIL
  • 34. Alésage usinage d’un diametre interieur Chariotage (l'outil se rapproche plus de la broche qu'il ne se déplace vers l'axe de rotation) Dressage (l'outil se rapproche plus de l'axe de rotation qu'il ne se déplace vers la broche) Défonçage (pour l'usinage de gorges axiales et radiales) Copiage (obtention d'une pièce de révolution dont la génératrice est un profil composé complexe) Perçage réalisation d’un troue dont le diamètre est celui du foret Le principe du tournage est le suivant : la pièce est solidaire d'une broche tournante (donc elle tourne) et l'outil se déplace dans un plan. La trajectoire de l'outil dans son plan d'évolution donne la génératrice de la pièce de révolution. LES OPERATIONS DU TOURNAGE
  • 35. ELEMENTS DE FRAISEUSE FRAISE ETAU PORTE PIECE CHARIOT LONGITUDINAL CHARIOT TRANSVERSAL CHARIOT VERTICAL TETE PORTE OUTIL PIVOTANTE VOLANTS DE COMMANDE ECRAN DE COMMANDE BATI
  • 36. Surfaçage (fraisage de surface) Fraisage en profil Surfaçage (fraisage de forme) Surfaçage (fraisage de surface) Fraisage en bout Lamage (obtention d'une cavité en début de trou pour loger des têtes de vis) Perçage (obtention d'un trou de diamètre peu précis) Alésage (mise au diamètre précis d'un trou déjà existant) Le fraisage, comme son nom l'indique, regroupe les opérations d'usinage pouvant être effectuées sur une fraiseuse. Ces opérations aboutissent à l'obtention d'une géométrie quelconque (généralement une forme prismatique). LES OPERATIONS DU FRAISAGE
  • 37. LES TRANSMISSIONS LES TRANSMISSIONS PAR COURROIES LES TRANSMISSIONS PAR CHAINE LES TRANSMISSIONS PAR ENGRENAGE LES TRANSMISSIONS PAR ACCOUPLEMENTS
  • 38.
  • 39. I. TRANSMISSIONS PAR POULIES ET COURROIES Fonction : Transmettre par ADHERENCE, à l’aide d’un lien flexible « courroie », un mouvement de rotation continu entre deux arbres éloignés. POULIES POULIES COURROIE
  • 40. PRINCIPALES CARACTERISTIQUES : AVANTAGES INCONVENIENTS Transmission silencieuse « Grandes » vitesses de transmission (de 60 à 100 m/s pour les courroies plates) Grand entraxe possible entre les poulies Durée de vie limitée Couple transmissible faible pour les courroies plates Tension initiale de la courroie nécessaire pour garantir l’adhérence I. TRANSMISSIONS PAR POULIES ET COURROIES COMPOSITION D’UNE COURROIE : COMPOSITION D’UNE POULIE : Fonte, Acier , Alliages légers, Bois
  • 41. I. TRANSMISSIONS PAR POULIES ET COURROIES PRINCIPAUX TYPES DE COURROIES : TYPES CARACTERISTIQUES COURROIES PLATES Très silencieuses Transmission de vitesses élevées. COURROIES POLY « V » ou « RIPPENBAND » Puissance transmissible élevée (emploie de gorges multiples) Corroies poly « V »très utilisées en électroménager. Courroie croisée
  • 42. TYPES CARACTERISTIQUES COURROIES TRAPEZOÏDALES Puissance transmissible élevée (emploie de gorges multiples) PRINCIPAUX TYPES DE COURROIES : I. TRANSMISSIONS PAR POULIES ET COURROIES Variateur de vitesse
  • 43. I. TRANSMISSIONS PAR POULIES ET COURROIES PRINCIPAUX TYPES DE COURROIES : TYPES CARACTERISTIQUES COURROIES CRANTEES Transmission silencieuse sans glissement (r2/1 précis) Une des deux poulies doit être flasquée afin que la courroie ne sorte pas des poulies Entraînement de l’arbre à came d’une automobile Courroie de distribution
  • 44. I. TRANSMISSIONS PAR POULIES ET COURROIES RAPPORT DE TRANSMISSION : Le rapport de transmission (r) est égal : r = = N poulie menée N poulie menante  poulie menante  poulie menée Vitesse de rotation
  • 45.
  • 46. II. TRANSMISSIONS PAR PIGNONS ET CHAINES Fonction : Transmettre par OBSTACLE, à l’aide d’un lien articulé « chaîne », un mouvement de rotation continu entre deux arbres éloignés parallèles. POULIES PIGNONS CHAINE
  • 47. II. TRANSMISSIONS PAR PIGNONS ET CHAINES PRINCIPALES CARACTERISTIQUES : AVANTAGES INCONVENIENTS Longue durée de vie Entraînement de plusieurs arbres récepteurs en même temps «Basses » vitesses de transmission (de 13 à 20 m/s pour les chaînes silencieuses) Supportent des conditions de travail plus rudes que les poulies-courroies. Plus bruyantes Vitesses de rotation plus faibles Lubrification nécessaire
  • 48. CHAINES A ROULEAUX : Ce sont les plus utilisées en transmission de puissance. Vitesse limite : 12 à 15 m/s. Fermeture de la chaîne douille Principaux constituants II. TRANSMISSIONS PAR PIGNONS ET CHAINES
  • 49. II. TRANSMISSIONS PAR PIGNONS ET CHAINES RAPPORT DE TRANSMISSION : Le rapport de transmission (r) est le même que pour une transmission par engrenages :: r = = = N pignon mené N pignon menant  pignon menant  pignon menée Vitesse de rotation Z pignon menant Z pignon menée Nombre de dents
  • 50. EXEMPLE : Exprimer et calculer rapport de transmission de cette transmission composée de deux pignons et d’une chaîne : Brin tendu Brin mou Z2 = 20 Z1 = 52 M r = = = = N 2 N 1 Z 1 Z 2 52 20 2,6 r > 1 : C’est un multiplicateur de vitesse II. TRANSMISSIONS PAR PIGNONS ET CHAINES
  • 52. LES ENGRENAGES Les engrenages cylindriques à denture droite: Très utilisé, c’est l’engrenage le plus simple. Il se comporte cinématiquement comme deux cylindres (roues de friction) en contact sur une génératrice.
  • 53. LES ENGRENAGES Les engrenages cylindriques à denture droite: Contact extérieur Contact intérieur Pignon crémaillère Inversion du sens de rotation Conservation du sens de rotation Transformation de rotation en translation ou inversement Redution Multiplication
  • 54. LES ENGRENAGES Les engrenages cylindriques à denture droite: Très utilisés dans beaucoup de mécanismes, ils présentent cependant comme inconvénient du bruit et des vibrations dus essentiellement à la flexion des dents durant l’engrènement. Boite de vitesse pour machine
  • 55. LES ENGRENAGES Les engrenages cylindriques à denture hélicoïdale: Pour supprimer cet inconvénient, l’engrènement doit être plus progressif
  • 56. LES ENGRENAGES Les engrenages cylindriques à denture hélicoïdale: Très utilisés, ces engrenages présentent cependant l’inconvénient de générer des efforts axiaux induits par l’inclinaison des dents.
  • 57. LES ENGRENAGES Les engrenages cylindriques à denture hélicoïdale: Dans les mécanismes de grande puissance, ces efforts axiaux sont à l’origine de fatigue et d’usure sur les paliers de guidage des arbres.
  • 58. LES ENGRENAGES Les engrenages cylindriques à chevrons: Il peut alors s’avérer intéressant d’utiliser des roues à chevrons.
  • 59. LES ENGRENAGES Les engrenages cylindriques à chevrons: Cette solution qui pourrait paraître idéale est peu utilisée car le coût de fabrication des roues à chevrons est très élevé.
  • 60. LES ENGRENAGES Les engrenages coniques: Lorsque les axes ne sont pas parallèles, il est nécessaire d’utiliser d’autres types d’engrenages. Les engrenages coniques permettent de transmettre le mouvement entre deux axes concourants. Conique droit Conique hypoïde
  • 61. LES ENGRENAGES Les engrenages coniques: Renvoi d’angle
  • 62. LES ENGRENAGES Les engrenages à roue et vis sans fin: Intéressants pour le grand rapport de réduction qu’ils peuvent offrir (1/200), ces systèmes sont aussi généralement irréversibles et donc utilisés comme anti-retour (sécurité). Ils présentent cependant l’inconvénient d’un faible rendement et d’une usure rapide dues au glissement important des surfaces de contact.
  • 63. LES ENGRENAGES Les engrenages à roue et vis sans fin: Pour remédier à cet inconvénient, on utilise très souvent une roue creuse.
  • 64. LES ENGRENAGES Les engrenages à roue et vis sans fin: La majorité des systèmes roue et vis sans fin qui transmettent de la puissance utilisent une vis en acier et une roue creuse en bronze pour réduire le frottement et concentrer l’usure sur la roue dont le prix de revient est inférieur à celui de la vis.
  • 65. LES ENGRENAGES Les engrenages à roue et vis sans fin: Notons pour finir, que la vis peut avoir plusieurs filets (dents).
  • 66.
  • 67. I - FONCTION ETANCHEITE Soit deux solides S1 et S2 (voir schéma ci-contre) possédant des surfaces de contact communes, séparant deux milieux contenant des fluides distincts et/ou ayant des pressions différentes. L’étanchéité doit : EMPECHER les impuretés du milieu extérieur d’accéder aux surfaces à protéger. EMPECHER le fluide de s’échapper vers le milieu extérieur. Les flèches symbolisent ces deux types de fuites ) Pression p S1 S2 Milieu ext. pression atmosphérique pa Zone à étancher
  • 68. II - TYPES D’ETANCHEITE Une étanchéité peut être réalisée par interposition ou non d’une pièce spéciale (joint) entre les deux solides S1 et S2. Seringue Discardit II Étanchéité assurée directement entre le corps et le piston Seringue Plastipak Étanchéité avec interposition d’un JOINT entre le corps et le piston Joint Type d’étanchéité à réaliser Contact entre S1 et S2 Interposition d’un joint entre S1 et S2 Mouvement relatif S1/S2 Type d’étanchéité à réaliser Fixe Mobile en Rotation Mobile en Translation Étanchéité DIRECTE Étanchéité INDIRECTE Étanchéité STATIQUE Étanchéité DYNAMIQUE Étanchéité DYNAMIQUE
  • 69. Surface de contact sphérique II - ETANCHEITE STATIQUE II.1. ETANCHEITE STATIQUE DIRECTE : Étanchéité assurée uniquement par l’état des surfaces en contact entre S1 et S2, sans élément d’étanchéité supplémentaire (sans joint). Cette étanchéité peut être réalisée soit : En RODANT les surfaces de contact à lier l’une sur l’autre afin d’obtenir des états de surfaces parfaits (surfaces « poli-miroir ») Exemple : Raccord à joint conique En utilisant un produit de collage et d’étanchéité. PATTE A JOINT
  • 70. II - ETANCHEITE STATIQUE II.2. ETANCHEITE STATIQUE INDIRECTE : Interposition d’un joint de commerce. Il peut s’agir : D’un JOINT PLAT : Exemple : Vis de vidange Joint plat découpé D’un JOINT TORIQUE :
  • 71. IIi - ETANCHEITE DYNAMIQUE III.1. CAS D’UNE TRANSLATION : Les technologies mises en œuvre dépendent des mouvements relatifs entre les deux pièces. Dans ce cas, on utilise des joints toriques ou de section sensiblement carrée : Joint torique à section circulaire : Joint quadrilobes (section « carrée ») : Exemple : Vérin ou de bride hydraulique Joint torique Joint quadrilobes
  • 72. IIi - ETANCHEITE DYNAMIQUE BRIDE HYDRAULIQUE
  • 73. IIi - ETANCHEITE DYNAMIQUE III.2. CAS D’UNE ROTATION : On peut utiliser un joint torique lorsque la vitesse de rotation reste faible. Exemple : Robinet à tournant sphérique
  • 74. IIi - ETANCHEITE DYNAMIQUE Lorsque la vitesse de translation est importante, on utilise un joint à lèvre : Joint à lèvre à frottement radial : Lèvre Exemple : Vérin à double effet
  • 75. On peut également dans certain cas, prévoir une étanchéité sans frottement avec les pièces, exemples : Par chicanes : Par rondelles « Z » : IIi - ETANCHEITE DYNAMIQUE
  • 76. IV - SYMBOLISATION DES JOINTS A LEVRES IV.1. REPRESENTATION GENERALE : Dans TOUS LES CAS, le contour exact du joint est représenté par un rectangle. La croix centrale, peut être complétée par une flèche indiquant l’étanchéité principale assurée. = ou
  • 77. IV - SYMBOLISATION DES JOINTS A LEVRES IV.1. REPRESENTATION PARTICULIERE : Joint d’étanchéité à lèvre à frottement radial Joint d’étanchéité à lèvre à frottement radial + lèvre antipoussiere Joint d’étanchéité à lèvre à frottement axial (V. RING) Symbole Rep. réelle Symbole Rep. réelle Symbole Rep. réelle ou ou ou Lèvre antipoussière Lèvre antipoussière Lèvre principale Lèvre principale
  • 79. • Le croquis Permet de visualiser rapidement une solution technique
  • 80. • La vue éclatée en perspective La vue éclatée Cette représentation précise la position de chacune des pièces d'un ensemble et impose un ordre d'assemblage. Elle est exploitée pour le montage ou le démontage d'un système.
  • 81. • La représentation symbolique Représentation simplifiée pour schémas électrique, pneumatique etc…
  • 82. • Le dessin d’ensemble Le dessin d'ensemble Il est l'élément de base d'un dessin technique et doit permettre la compréhension du fonctionnement du système mécanique. Il précise les positions, les formes et les liens des différentes pièces de l'ensemble.
  • 83. • Le dessin de définition Le dessin de définition Chaque pièce qui doit être fabriquée fait l'objet d'un dessin de définition. Ce dessin précise toutes les dimensions, les tolérances dimensionnelles et géométriques nécessaires au bon fonctionnement de l'ensemble. C'est un document de travail pour la fabrication.
  • 84. • La perspective La perspective Ce type de tracé facilite la compréhension des formes d'une pièce ou d'un ensemble. Une perspective peut être cotée.
  • 85. Le dessin industriel • Les formats A0 (1m²) 1189 x 841 mm A1 841 x 594 mm 594 x 420 mm A2 A3 420 x 297 mm A4 297 x 210 mm Les cartouches s’insèrent en bas à droite de tous les formats sauf le A4 ( en bas sur toute la largeur)
  • 86. Le dessin industriel • Le cartouche et la nomenclature Le cartouche La nomenclature
  • 87. Le dessin industriel • Les traits DESIGNATION APPLICATIONS EXEMPLES Continu fort Contours et arêtes visibles Interrompu fin Contours et arêtes non visible Continu fin Hachures et cotations Mixte fin Axe de symétrie et de révolution Continu fin à main levée Limite ou interruption de vue
  • 88. Le dessin industriel • Les traits Si plusieurs traits différents coïncident, l’ordre de priorité est le suivant : • CONTINU FORT • INTERROMPU FIN • MIXTE FIN • CONTINU FIN
  • 89. En dessin technique, les vues sont des figures planes ( deux dimensions) que l’on voit en se plaçant directement devant chaque face de l’objet. Largeur Hauteur LA PROJECTION ORTHOGONALE
  • 90. Dans le type de projections utilisé, on imagine l’objet à dessiner au centre d’une boîte transparente. Les différentes vues de l’objet sont projetées sur les côtés de cette boîte.
  • 91. La boîte de projection et ses six vues se déploient de façon à placer toutes les vues sur un même plan. Les autres vues pivotent autour de la vue de face. VUE DE DESSOUS VUE DE GAUCHE VUE ARRIÈRE VUE DE FACE VUE DE DROITE VUE DE DESSUS
  • 92. Parmi les six vues possibles, on choisit de représenter celles qui sont nécessaires à la description de la forme de l’objet. Trois vues sont habituellement suffisantes pour décrire un objet. Plusieurs objets simples ne demandent q’une ou deux vues. VUE DE FACE VUE DE DROITE VUE DE DESSUS VUE DE GAUCHE VUE ARRIÈRE VUE DE DESSOUS
  • 93. VUE DE DESSUS VUE DE FACE VUE DE DROITE On retrouve, ici, la représentation habituelle des vues en projections orthogonales à vues multiples. Ce type de dessin est employé en technologie parce qu’il permet de décrire sans déformation les faces des objets.
  • 95. 2) Différents types d’acier: Il existe quatre classes d’acier: Acier d’usage courant sont désignés par: Ils ne possèdent pas d’éléments d’addition. Ils sont nommés acier d’usage courant et acier pour traitements thermiques. A) Les aciers non alliés : Lettre représentant le type d’acier ex: S: aciers d’usages généraux, E: acier de construction mécanique, P: acier pour appareil à pression, etc… S 235 Le nombre précédant la lettre indique la résistance minimale de la limite élastique en Mpa (N/mm²). C’est un essaie mécanique qui permet de connaître la limite élastique de l’acier (S235 on peut placer un poids de 23.5 kg sur un fil de 1 x 1 mm sans qui ne se déforme après étirement) G Lettre représentant une spécification de l’acier ex: G: galvanisation, W: résistant à la corrosion atmosphérique, S: construction naval, etc… DESIGNATION NORMALISEE DE L'ACIER
  • 96. Symbole Désignation Symbole Désignation G+….. Aciers moulés R Acier pour ou sous forme de rails Aciers d’usages généraux H Produit plats laminés à froid, acier a haute résistance pour emboutissage Aciers pour appareil à pression D Produits plats pour le formage a froid (sauf ceux préciser en H) L Aciers pour tubes de conduits T Fer noir, fer blanc, fer chromé ( acier pour emballage) Acier de construction mécanique M Acier magnétique B Acier à béton Y Acier pour béton précontraint Divers symboles de types d’aciers d’usage courant: S P E DESIGNATION NORMALISEE DE L'ACIER
  • 97. Symbole Désignation Symbole Désignation C Formage à froid spécial N Normalisée ou laminage normalisant D Galvanisation O Offshore E Emaillage Q Trempé et revenu F Forgeage S Construction navale L Basse température T Tube M Formation thermomécanique W Résistant à la corrosion atmosphérique Acier pour traitement thermique sont désignés par: Lettre représentant le type d’acier C: aciers pour traitement thermique. C 40 Le nombre précédant la lettre indique le pourcentage de carbone diviser par 100 (ex: 40/100 =0,4%)  Suivant sa spécification, l’acier sera constitué d’une autre lettre. Elle sera placée derrière la résistance de la limite élastique ex: P235W. DESIGNATION NORMALISEE DE L'ACIER
  • 98. Ils possèdent des éléments d’additions ( ils ont un maximum de 5%) Cr Al Mo 18 10 40 Le nombre précédant la lettre indique le pourcentage de carbone diviser par 100 (ex: 40/100 =0,4%) Les éléments d’addition , un nombre en pourcentage correspond à chaque éléments (il est calculé suivant un barème) si un éléments ne comporte pas de nombre c’est qu’il en a quelques traces. B) Les aciers alliés : /4 Chrome ( Cr), cobalt (Co), manganèse (Mn), nickel (Ni), silicium (Si). /10 Pour les autres /100 Célium (Ce), phosphore (P), niobium (Nb), souffre (S) /1000 Bore (B) DESIGNATION NORMALISEE DE L'ACIER Calculer à l’aide du tableau : 18 : 4 = 4.5 % de chrome Calculer à l’aide du tableau : 10 : 10 = 1 % d’aluminium Il n’y a pas de nombre lui correspondant, il en a quelques traces -1% Cr 18 Al 10 Mo -
  • 99. Ils possèdent des éléments d’additions ( ils ont un minimum de 5%) 2 X Cr Ni 18 10 C) Les aciers fortement alliés : Les éléments d’addition , un nombre en pourcentage réel correspond à chaque éléments, si un éléments ne comporte pas de nombre c’est qu’il en a quelques traces. DESIGNATION NORMALISEE DE L'ACIER Ti - Le symbole représentant un acier fortement allié X Le nombre précédant la lettre indique le pourcentage de carbone diviser par 100 (ex: 2/100 =0,02%) Cr Ni Ti 18 10 Il n’y a pas de nombre lui correspondant, il en a quelques traces -1% % réel 18 % de chrome % réel 10 % de nickel
  • 100. - Étiré : plus résistant et moins malléable = arbre, axe, pièce à usiner,… - Laminé : moins résistant, plus malléable = renfort, pièce à former,…… 3) Propriété d’un profilé : 4) Tableau de l’influence des éléments d’addition dans l’acier : DESIGNATION NORMALISEE DE L'ACIER
  • 102. Le traitement thermique d'une pièce consiste à lui faire subir des transformations de structure grâce à des cycles prédéterminés de chauffage et de refroidissement afin d'en améliorer les caractéristiques mécaniques : dureté, ductilité, limite d'élasticité, ... La trempe La trempe s'effectue après une mise en solution de certains composés : Il s'agit de maintenir le matériaux à tremper à une température suffisante et suffisamment longtemps. On plonge ensuite la pièce dans un liquide (bain d'huile, eau, plomb fondu, etc ) ou on le refroidit avec un gaz (azote, air, etc).
  • 103. Le revenu Le revenu se pratique après une trempe, par chauffage à une température inférieure à celle de la trempe. Il permet d'améliorer la résistance mécanique des pièces traitées en diminuant la dureté (en favorisant la dissolution de certains composés fragiles tels que les carbures) et les contraintes mécaniques internes obtenues lors de la trempe. On chauffe à une température inférieure à celle d'austénitisation, puis on refroidit plus ou moins rapidement. Le recuit complet «Ce traitement consiste à chauffer l'acier à une température appropriée et à traverser ensuite le domaine de transformation par un refroidissement lent effectué de préférence dans le four ou toute autre installation bien isolée thermiquement. Le refroidissement lent se poursuit généralement aux basses températures. Le but du recuit peut être d'affiner le grain, d'adoucir l'alliage, d'améliorer l'usinabilité. Le recuit se fait après un traitement mécanique, une opération de soudage, etc. afin de rendre plus homogène le matériau et lui rendre une partie de ses propriétés antérieures. On chauffe jusqu'à austénitisation totale de la pièce, puis on laisse refroidir lentement, ce qui lui fait retrouver ses anciennes propriétés.
  • 106. Composition d’un roulement 4 3 2 1 1 : Bague extérieure, liée à l’alésage (logement du roulement) 2 : Bague intérieure, liée à l’arbre 3 : Cage, assure le maintien des éléments roulants 4 : Eléments roulants, situés entre les deux bagues : Savoir reconnaitre et lire les elements de construction
  • 107. ROULEMENT A UNE RANGEE DE BILLE A CONTACT RADIAL ROULEMENT A UNE RANGEE DE BILLE A CONTACT OBLIQUE ROULEMENT A DEUX RANGEES DE BILLE A CONTACT OBLIQUE Savoir reconnaitre et lire les elements de construction
  • 108. ROULEMENT A DEUX RANGEE DE BILLE A ROTULE SUR LA BAGUE EXTERIEURE ROULEMENT A ROULEAUX CYLINDRIQUES Savoir reconnaitre et lire les elements de construction
  • 109. ROULEMENT A AIGUILLES ROULEMENT A ROULEAUX CONIQUES ROULEMENT A AIGUILLES Savoir reconnaitre et lire les elements de construction
  • 110. BUTEE A BILLE Savoir reconnaitre et lire les elements de construction
  • 112. Vis d’assemblage 1. Rôle Ces vis permettent d'assembler 2 ou plusieurs pièces. L'assemblage étant démontable. Les parties de la vis où s'effectuent les efforts sont : Une des pièces devra avoir un taraudage (pièce 2 ) 2 Les autres pièces devront avoir un trou lisse (pièce 1) 1 Le filetage et la tête de la vis. x x Le filetage est une surface HÉLICOÏDALE
  • 113. Comment se monte une vis d’assemblage ? La vis traverse librement la pièce ayant un trou lisse. Puis elle se visse dans la pièce taraudée. Leçon Vis d’assemblage
  • 114. 2. Divers représentations réelle Leçon Vis d’assemblage européenne
  • 115. 3. Représentation européenne (NF E 25-27) filetage corps tête extrémité ou chanfrein d’entrée fond de filet fond de filet sommet de filet sommet de filet Leçon Vis d’assemblage 3/4 de cercle en trait fin
  • 116. Signification des cotes : M : métrique 12 : ø nominal 40 : longueur sous-tête 30 : longueur filetée Leçon Vis d’assemblage
  • 117. 4. Désignation normalisée Cette désignation sert à acheter les vis. Exemple : Vis CHC M 12 40 nom de l’organe symbole tête métrique diamètre nominal longueur sous tête ou totale Dans l’industrie , on indique en plus la classe de qualité par 2 nombres : 5–6 ou 7-8 que l’on n’indiquera pas. Leçon Vis d’assemblage
  • 118. 5. Différentes têtes de vis hexagonale H cylindrique fendue CS cylindrique hexagonale creuse CHC carrée Q Leçon Vis d’assemblage
  • 119. 5. Différentes têtes de vis fraisée fendue FS fraisée hexagonale creuse FHC fraisée cruciforme FZ Leçon Vis d’assemblage
  • 120. 5. Différentes têtes de vis Autres têtes de vis : Leçon Vis d’assemblage CBLZ Cylindrique bombée cruciforme CBLX Cylindrique à 6 lobes internes
  • 121. Fig. 1 Fig. 2 Fig. 3 Fig. 4 Savoir reconnaître et lire les filetages et la visserie VIS D’ASSEMBLAGE (fig. 1) : La pièce (3) seule possède un trou TARAUDE recevant la partie filetée de la vis. Les autres pièces possèdent UN TROU LISSE BOULON (fig. 2) : BOULON = VIS + ECROU Les pièces à assembler possèdent UN TROU LISSE Le trou taraudé se trouve dans l’écrou. 1.GOUJON (fig. 3) : Il est composé d’une tige, filetée à ses 2 extrémités séparées par une partie lisse. Le goujon (1) est implanté dans la pièce (5) possédant un trou TARAUDE L’effort de serrage axial nécessaire au MAintien en Position (MAP) est réalisé par l’écrou (2). VIS DE PRESSION (fig. 4) : L’effort de serrage nécessaire au maintien en position est exercé par L’EXTREMITE DE LA VIS
  • 122. Savoir reconnaitre et lire les elements de construction FREINAGE PAR ADHERENCE (sécurité relative) :
  • 123. FREINAGE PAR OBSTACLE (sécurité absolue) Savoir reconnaitre et lire les elements de construction
  • 124. 1.ANNEAUX ELASTIQUES : Savoir reconnaitre et lire les elements de construction
  • 125. 1.CLAVETTES : 3 - Clavette 2 1 Un clavetage se réalise entre un arbre (1) et un moyeu (2) s’assemblant par l’intermédiaire de formes cylindriques ou coniques. Eléments constitutifs : Rainure de clavette dans l’arbre x y O y O z Jeu Rainure de clavette dans le moyeu Réalisation de l’assemblage : Savoir reconnaitre et lire les elements de construction
  • 126. LES AUTOMATISMES 3 - Partie commande, partie opérative 2 - Exemple de système 5 - Capteurs 4 - Actionneurs 1 - Les systèmes automatisés
  • 127. Simples ou complexes, les systèmes automatisés sont partout dans notre environnement quotidien Le passage à niveau Les feux de carrefour Le distributeur de billets Le portail automatisé
  • 128. Un système est dit automatisé s’il exécute toujours le même cycle de travail pour lequel il a été programmé. (la partie opérative est mécanisée et la partie commande est assurée par un automate) Définition
  • 129.
  • 130. Un train arrive Le système est en attente Signal lumineux et signal sonore Baisser la barrière et laisser les signaux Signal lumineux et signal sonore Lever la barrière Temporisation de 10 secondes Barrière baissée Le train est passé Barrière levée
  • 131.
  • 132. Partie Opérative: Elle reçoit les ordres de la partie commande et elle lui adresse des comptes rendus Elle est composée: • d ’actionneurs Partie Commande : Elle donne les ordres à la partie opérative en fonction: • du programme qu’elle contient • des informations reçues par les capteurs • des consignes données par l ’utilisateur • de capteurs Capteurs : capable de détecter un phénomène physique dans son environnement (déplacement, présence, chaleur, lumière...) Ils rendent compte de l ’état du système Signal lumineux Moteur Actionneur : Ils exécutent les ordres reçus. Ils agissent sur le système ou son environnement Interface : les informations circulent d’une partie à l’autre par l’intermédiaire d’interfaces.
  • 133. Exemples d’actionneurs Les actionneurs transforment l’énergie reçue en énergie utile. Moteur pas à pas Voyants Electrovanne Afficheur 7 segments Vérin Vérin rotatif Ventilateur Résistance chauffante
  • 134. Exemples de capteurs Les capteurs transforment la variation des grandeurs physiques liées au fonctionnement de l’automatisme en signaux électriques. Capteur de proximité à ultrasons Capteur d’humidité Détecteur de gaz Capteur de niveau de liquide Cellule photoélectrique Détecteur de choc Capteur à contact Bouton poussoir Bouton d’arrêt d’urgence
  • 135.
  • 136. Partie Commande Opérateur ou environnement Capteurs Actionneurs Partie Opérative Ordres Comptes-rendus Evénements Signaux, actions Le système automatisé attend des événements de l’opérateur ou de l’environnement Les capteurs de la partie opérative envoient des comptes- rendus à la partie commande En fonction de son programme, la partie commande envoie des ordres à la partie opérative La partie opérative effectue les actions demandées BOISSON
  • 138. Fonctions des appareillages électriques Séparer Condamner Protéger contre les courts-circuits Protéger contre les surcharges Protéger les personnes Etablir et interrompre l’énergie Moduler l’énergie Récepteur
  • 139. A: Séparer et Condamner: On ne peut pas le manœuvrer en charge: Pas de pouvoir de coupure Interrupteur sectionneur Sectionneur porte-fusibles Isoler tout ou partie d’une installation du réseau. Interdire les manœuvres de remise sous tension. Sectionneur On peut le manœuvrer en charge: Coupure de In Sectionneur Interrupteur-Sectionneur Sectionneur porte fusibles
  • 140.
  • 141. B: Protéger contre les courts-circuits: Protéger les matériels lorsque I>>In Disjoncteurs Fusibles Magnétique Magnétothermique . Disjoncteurs et fusibles ont un pouvoir de coupure. . Plusieurs courbes existent. . Le magnétique déclenche sur Icc.
  • 142. Les fusibles: technologie B: Protéger contre les courts-circuits: aM gG Tous les fusibles ont un pouvoir de coupure. Critères de choix: - Charge - Taille (10*38….) - Tension d’emploi - Calibre
  • 143. C: Protéger contre les surcharges: Disjoncteurs Magnétothermique Relais thermique Possède un pouvoir de coupure Pas de pouvoir de coupure. Coupe la commande du contacteur Surcharge: Légère surintensité: 1,2 à 3 ou 4 In
  • 144. C: Protéger contre les surcharges: Relais thermique: 10A : A utiliser pour des démarrages moteur de 2 à 10 s 20 : A utiliser pour des démarrages moteur de 6 à 20 s Il existe une classe 30 pour des démarrages jusqu’à 30s. Classe: Relais thermique différentiel: Permet la détection d’une absence de phase Relais thermique compensé: Insensibilité aux températures extérieures
  • 145. BP Test de la protection différentielle D: Protéger les personnes: I n est appelé la sensibilité du différentiel. Ses plages de fonctionnement sont: I n I n/2 Non déclenchement Déclenchement probable Déclenchement certain Le disjoncteur différentiel: 30 mA ; 100 mA 500 mA ; 1 A
  • 146. Fonction E : Etablir et interrompre l’énergie Cette fonction est généralement dévolue au contacteur. Celui-ci permet un pilotage automatique via son circuit de commande. Plusieurs catégories d’emplois sont à respecter suivant les types de récepteur. AC3 : Moteur à cages… AC1 : Chauffage, éclairage…en AC DCi : Emploi en continu.
  • 147.
  • 148.
  • 149.
  • 150.
  • 152. Principales defaillances causees par le manque de la lubrification
  • 153. LE ROLE DU LUBRIFIANT : •former un film d’huile de séparation des zones de contact •évacuer les calories (lubrification à l’huile) •étancher le roulement pour empêcher la pénétration de corps étrangers liquides ou solides (lubrification à la graisse) •réduire le bruit de fonctionnement •protéger le roulement contre la corrosion .
  • 154. Principaux dispositifs de lubrification à l’huile. • Lubrification par barbotage • Une partie du mécanisme en mouvement trempe dans le bain et emporte par adhérence de l’huile vers les point à lubrifier. • La quantité d’huile doit être suffisante. • le niveau d’huile doit être contrôlé périodiquement : jauge de contrôle, indicateur...
  • 155. lubrification par brouillard d’huile ou air huile – un débit constant d’air comprimée aspire et pulvérise une certaine quantité d’huile sous forme de petites gouttelettes, – le brouillard constitué est amené par un réseau de canalisations prés des points à lubrifier (circuit pneumatique ) Lubrificateur SMC
  • 156. • Une même pompe lubrifie en même temps plusieurs zones ou points. – Le débit d’huile arrivant à chaque point à lubrifier, peut être réglé pour assurer lubrification et refroidissement. – Des échangeurs de chaleurs peuvent être ajoutées à l’installation. • Lubrification par circulation d’huile:
  • 157. Lubrification à la graisse Elles permettent un frottement minimal • Au repos , elles se comportent comme un solide. • En service, sous l’action des charges ,elles réagissent comme un liquide : la fluidité augmente et se rapproche de l’huile de base.
  • 158. Principaux dispositifs de graissage: • Graissage par garnissage au montage : • Le graissage peut être à vie ou périodique, avec regarnissage après démontage et nettoyage lors des opérations de maintenance. • Utilisation des graisseurs: • les graisseurs permettent le regraissage périodique sans démontage du dispositif.
  • 159. Avantages des graisses par rapport aux huiles Inconvénients des graisses par rapport aux huiles Permettent le graissage à vie Tendance au vieillissement Application aisée du lubrifiant Ne conviennent ni aux vitesses élevées avec des charges élevées ni pour le cas ou il y a des échauffements élevées. Supportent mieux les chocs et vibrations Peuvent participer à l’étanchéité Simplicité de conception et de mise en œuvre.
  • 161. Production énergie pneumatique Compresseur intégré manomètre Vanne de purge Réservoir d’air Copnduite de distribution SWP 10bar Vanne d’isolement Soupape de sécurité M Symbole du compresseur intégré Elle est assurée par un compresseur, animé par un moteur électrique. La pression est de l’ordre de 10 bars. Un réservoir permet réguler la consommation.
  • 163. Distribution énergie pneumatique  Distribution décentralisée par conduites rigides  Purge au point bas de chaque raccordement  Prise d’air de sécurité  Unités de conditionnement de l’air FRL avant chaque système
  • 164. Symbole Unités de conditionnement FRL Filtre Mano-régulateur Lubricateur Encore appelées Têtes de ligne. Elles adaptent l’énergie pneumatique au système
  • 166. Mano-Régulateur 2 4 6 8 10 40 80 120 lbf/in2 bar P1 P2 2 4 6 8 10 40 80 120 lbf/in2 bar P1 P2 2 4 6 8 10 40 80 120 lbf/in2 bar P1 P2 2 4 6 8 10 40 80 120 lbf/in2 bar P1 P2 Symbole Réguler la pression Régler la pression 2 4 6 8 10 40 80 120 lbf/in2 bar P1 P2 Réglage augmentation P1 P2 2 4 6 8 10 40 80 120 lbf/in2 bar Réglage diminution 2 4 6 8 10 40 80 120 lbf/in2 bar P1 P2 Consommation système
  • 168. Symbole Symbole Vérin Simple Effet VSE Position repos tige rentrée Position repos tige sortie Diamètre piston Course Effort (Fressort, F=P*S-Fressort) Revient en position repos en cas de coupure pneumatique Nb de canalisation =1
  • 169. Symbole Vérin double effet VDE Classique Amorti réglable Symbole Diamètre piston Course Reste en position en cas de coupure pneumatique Effort 2 F = D 4 P 10 Newtons D =Ø alésage en millimetres P = Pressure en bar F = Force en Newtons (D2- d 2 ) F = 4 P 10 Newtons d =Ø tige piston en millimetres
  • 171. Symbole Symbole Autres actionneurs pneumatiques Symbole Vérin sans tige Moteur Vérin double tige Echappement Alimentation sens Alimentation sens
  • 173. Distributeurs Les distributeurs pneumatiques assurent la fourniture en énergie de puissance pneumatique les actionneurs, sur ordre du constituant de commande. Leurs principales caractéristiques sont : Le nombre de position Le nombre d’orifice La commande Le débit M5 R1/8 R1/4 R3/8 R1/2 R3/4 R1
  • 174. Désignation et représentation Nombre de position = Nombre de carré Nombre d’orifice 1 pression 3 – 5 échappements 2 – 4 utilisations Les orifices toujours tracés sur la position repos Voies de communication Des flèches représentent la liaison entre les orifices Commandes 2 positions 3 positions 1 2 1 2 3 3 4 1 2 1 4 3 2 5 2 3 4 5 bistable monostable 1 4 3 2 5 3 4 1 2 1 2 3 Nb de position / Nb d’orifices
  • 175. Distributeur 2/2 Applications Electrovanne Bouton poussoir (soufflette) Symbole 1 2 12 1 alimentation 2 utilisation actionneur 12 commande 1 2 12
  • 176. Distributeur 3/2 Applications Electrovanne générale (sectionneur) Alimentation vérin simple effet Symbole 1 alimentation 2 utilisation actionneur 3 échappement 12 - 10 commandes 1 2 3 10 12 1 2 3 12 10 1 2 3 10 12 1 2 3 12 10
  • 177. Distributeur 5/2 Applications Alimentation vérin double effet Possibilité de régler les vitesses de rentrée et de sortie indépendamment (2échappements séparés ) Symbole 1 alimentation 2-4 utilisations actionneur 3-5 échappements 12-14 commandes 1 2 4 5 3 14 12 1 2 4 5 3 14 12 12 1 2 4 5 3 14 1 2 4 5 3 14 12
  • 178. Distributeur 4/2 Applications Alimentation vérin double effet Un seul réglage possible de vitesse de rentrée et de sortie (1échappement ) Symbole 1 alimentation 2-4 utilisations actionneur 3 échappement 12-14 commandes 1 2 4 3 14 12 12 1 2 4 3 14 Même fonctionnement qu’un 5/2 mais un seul échappement
  • 179. Distributeurs 3 positions 1 4 2 3 5 14 12 1 2 4 5 3 1 2 4 5 3 1 4 2 3 5 14 12 1 2 4 5 3 1 4 2 3 5 14 12 1 2 4 5 3 1 4 2 3 5 14 12 1 2 4 5 3 1 4 2 3 5 14 12 1 2 4 5 3 1 4 2 3 5 14 12 5/3 centre fermé 5/3 centre ouvert
  • 181. Exemples VSE 3/2 bistable VDE 4/2 monostable VDE 4/2 bistable VSE 3/2 monostable Cliquez sur les schémas pour voir l’animation
  • 183. M DISTRIBUTEUR VERIN FILTRE AU REFOULEMENT LIMITEUR DE PRESSION REDUCTEUR DE DEBIT POMPE 1 SENS DE FLUX MOTEUR ELECTRIQUE REPRESENTATION SCHEMATIQUE