1. LES INTERVIEWS
DENOSSO SPIEPEOPLE
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“Être V.I.E. chez
SPIE après ses études,
c’est devenir autonome
en douceur. ”
Pourquoi avoir opté pour le Volontariat International en Entreprise (V.I.E.)
après votre diplôme ?
Charlène Boudet : Après mon Master en management durable des ressources humaines et
de la diversité à la Business School de Montpellier, je voulais vivre une expérience à l’étranger.
Pour moi, c’est essentiel pour prouver son adaptabilité et sortir de sa zone de confort en
appréhendant une nouvelle culture, d’autres méthodes… Le dispositif V.I.E. offre pour cela
de nombreuses opportunités. En dehors des avantages fiscaux, c’est aussi un bon moyen
de faire ses preuves dans une entreprise en vue d’une éventuelle embauche.
Pourquoi avoir intégré SPIE ?
C.B. : Sur un site dédié aux annonces de postes en V.I.E., j’ai vu une annonce publiée par SPIE.
Même si je ne connaissais pas cette entreprise et que le pays indiqué – la Belgique – n’était
pas mon premier choix, la mission proposée m’a séduite d’emblée. Alors que j’avais touché
au sourcing dans une précédente expérience en découvrant que cette thématique
ne me correspondait pas du tout, SPIE proposait une mission beaucoup plus variée.
Concrètement, quel est votre rôle ?
C.B. : Il est double. Pour SPIE Operations, je suis ambassadrice du programme V.I.E.
en interne, mais aussi vis-à-vis de cibles externes, comme les étudiants. Il s’agit de faire
connaître ce dispositif et ses avantages. Pour la filiale SPIE Belgium, j’interviens sur
des missions RH plus opérationnelles, comme le recrutement, la gestion des formations
et l’intégration de nouveaux collaborateurs. On m’accorde une grande autonomie tout
en me transmettant les connaissances qui me permettent de prolonger mon apprentissage.
Ça donne envie de s’investir à fond !
À 27 ans, Charlène Boudet, formée au management des ressources humaines,
vient d’intégrer SPIE en tant que V.I.E., à Bruxelles.