1. LES INTERVIEWS
DENOSSO SPIEPEOPLE
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Quel est votre parcours chez SPIE ?
Vincent Portenart : Après un Master 2 de ressources humaines à l’Université Lille 3,
j’ai réalisé mon stage de fin d’études au sein de la filiale SPIE Communications à Lille
en tant que gestionnaire en ressources humaines. Puis je suis passé responsable des
ressources humaines chez SPIE ICS, la filiale IT (Technologies de l’information) du Groupe,
à Malakoff. Après huit ans, j’ai intégré l’équipe de SPIE Nucléaire à Cergy pour une fonction
similaire. À chaque étape de ma carrière, j’ai bénéficié de la mobilité.
Comment avez-vous été accompagné dans vos démarches ?
V.P. : Chez SPIE, l’expérience de la mobilité est fortement encouragée. Les Comités
d’Evaluation et de Développement des Ressources de l’Entreprise (CEDRE), un dispositif
d’identification et de gestion de carrières en interne, a régulièrement mis en lumière mon
profil. J’ai également réalisé des missions annexes qui m’ont fait connaître au-delà de mon
périmètre habituel. J’ai suivi plusieurs formations structurantes. Et j’ai bénéficié d’une
réorganisation importante au niveau des filiales multitechniques qui a créé une plusieurs
mobilités au sein de la fonction ressources humaines. Je n’ai eu qu’à saisir l’opportunité !
Qu’est-ce que ça vous a apporté professionnellement ?
V.P. : Grâce à la mobilité inter-filiale, j’ai pu satisfaire mon envie de me challenger sur
un autre secteur d’activité, tout en restant dans la même entreprise. J’ai pu découvrir
de nouveaux environnements de travail et une culture d’entreprises qui diffèrent d’une filiale
à l’autre, car on ne gère pas tous les métiers de la même façon. Aujourd’hui, je vois la mobilité
comme un vecteur de diffusion des savoir-faire et un levier de performance pour le Groupe.
“À chaque étape de ma
carrière chez SPIE,
j’ai bénéficié de la mobilité,
qu’elle soit géographique,
fonctionnelle ou inter-filiale.”
Il est entré chez SPIE après ses études et n’en est jamais parti. À 34 ans, Vincent Portenart
est un collaborateur fidèle. Aujourd’hui responsable des ressources humaines
chez SPIE Nucléaire, il raconte son expérience de la mobilité inter-filiale.
