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Choc : Ô la Suisse
Minarets, premier accroc à l’expansion d’Eurabia. Un article
d'Uncle.
Défiant les pronostics des sondages et un matraquage éhonté des médias, 57,5% des Suisses se sont
démocratiquement prononcés pour l’interdiction des minarets.
Le gouffre abyssal entre les élites corrompues eurabiennes et la volonté des peuples est patent, la
rupture est consommée. Confrontés quotidiennement à la réalité de cette idéologie transnationale et
expansionniste, les Européens marquent instinctivement leur défiance vis-à-vis d’un Islam
politique intolérant et conquérant et d’une caste politique et intellectuelle complice.
« Les moquées sont nos casernes, les minarets nos baïonnettes, les dômes sont nos casques, les
croyants sont nos soldats » déclarait Erdogan, premier ministre turc, présenté régulièrement par
nos médias comme « modéré ». On n’ose imaginer l’avis des « non modérés ». L’islam est
d’ailleurs la seule religion où l’usage du qualificatif « modéré » est de rigueur, sans qu’on n’ose se
demander pourquoi. Parler de Bouddhistes, Catholiques, Protestants ou juifs « modérés » serait, on
s’en rend compte, totalement incongru. Eh bien, prenant acte du manifeste guerrier d’Erdogan, les
Suisses viennent de décider de retirer les « baïonnettes » des pieux « fusils » de l’islam, en
attendant la fermeture des « casernes », la confiscation des « casques » et la démobilisation des
« soldats ».
A l’instar des responsables de la Mosquée de Lyon appelant les Musulmans à « réagir » et à
« s’opposer » à ce vote, les élites politiques, intellectuelles et religieuses protestent, vitupèrent,
condamnent et menacent, c’est l’union « sacrée ».
Libération, l’amnésique et hémiplégique quotidien de gauche parisien, titre le 30 novembre 2009,
rien moins que « Le vote de la honte». Jamais à la traine d’une mauvaise cause, Libération se fait
ainsi une fois de plus l’allié d’une idéologie rétrograde et totalitaire, n’hésitant pas, à l’instar de ses
alliés dans cette mauvaise kabbale, à recourir au reductio ad hitlerum et autres « Heures les plus
sombres », véritable tir de barrage automatique dès qu’un événement ou une parole viennent
ébranler le dogme communiste ou gauchiste d’hier, eurabien d’aujourd’hui. La Honte disent-ils ?
Oui, mais la honte d’un organe de presse qui, entre autres félonies, a osé soutenir à longueur de
Unes et de colonnes le sanguinaire et communiste régime Khmer rouge, responsable de
l’extermination d’une bonne partie de sa propre population, comme en témoignent les deux Unes
ci-dessous.
3. Le même Libération qui osait traiter les Israéliens de « Terroristes », parce qu’ils avaient envoyé
leurs soldats libérer les otages d’un avion d’Air France détourné vers l’Ouganda par un très
« progressistes » commando germano-palestinien à l’été 1976. Titraient-ils « la Honte » alors que
les membres de la Fraction Armée Rouge allemande séparaient les passagers en fonction, non de
leur nationalité, mais de leur judéité ? Il est vrai qu’en matière « d’heures les plus sombres », cette
gauche à quelques faits d’arme pour pouvoir faire la leçon.
Et que dire de Caroline Fourest appelée en renfort par la télévision suisse avant le vote, qui
compara les minarets aux clochers de nos églises et stigmatisa l’islamophobie supposée des
Européens. Etait-ce là les mots de la militante « laïque», « bouffeuse de curés » ou ceux du
membre de la fondation eurabienne « Anne Lindh » ? Quelle cause défend t-elle en réalité ?
A ce niveau d’inversion des valeurs et de la perversion du sens, on reste abasourdi.
Yvan Rioufol rappelait le 30 novembre sur Europe1 que les protestations musulmanes ou non
étaient à sens unique. En effet, où sont les protestations alors que ce ne sont pas les « clochers » qui
sont interdits en Arabie, entre autres, mais le simple exercice d’une religion autre que l’islam, alors
que l’islam condamne à mort l’apostat et punit sévèrement quiconque serait soupçonné d’avoir
cherché à convertir un musulman, comme en Algérie par exemple, alors que partout dans le monde
musulman les Chrétiens sont persécutés, des prêtres assassinés, des églises détruites, de jeunes
chrétiennes violées dans l’indifférence absolue de ceux qui protestent aujourd’hui ! Qui se soucie
par exemple du sort des Coptes égyptiens ou des Chrétiens sous administration palestinienne ?
4. Caroline Fourest ? Libération ? Les « gentils » recteurs « modérés » de nos mosquées,
représentants d’un islam « apaisé » à la « française » ? Jamais les Musulmans ne sont descendus
dans la rue pour condamner les attentats terroristes et autre crimes commis par d’autres musulmans
en déclarant simplement leur rejet total de ces criminels ? Jamais un savant musulman n’a
condamné un terroriste musulman en déclarant ses actes, sur une base théologique, contraires à
l’islam. Et pour cause et il suffit pour s’en convaincre de lire le Coran et autres écritures
« saintes » de l’islam, chose que bien des « protestataires » de ce jour, si promptes à qualifier
d’islamophobes les Suisses, n’ont sans doute jamais fait. S’ils le faisaient, ils sauraient que l’islam
n’est pas qu’une religion, mais également un corpus juridique régissant le moindre détail de la vie
intime du fidèle et lui est indissociable. La Charia, c’est l’Islam et l’Islam c’est la Charia. Le Coran
est parole de Dieu et tout espoir de réforme ou abandon de ses moeurs d’un autre âge sont
illusoires, nombre de Musulmans l’ont payé de leur vie.
Alors ce n’est pas en répétant 100 fois ou 1000 fois des balivernes d’un Islam, « religion d’Amour,
de Tolérance et de Paix » qu’elles deviendront réalité. Pour paraphraser Anne-Marie Delcambre, il
n’y a pas deux Islams, l’un doux et tolérant, l’autre djihadiste et offensif. Il n’y a qu’un seul Islam,
sans différence de nature, mais avec une simple différence de degré dans sa pratique. Partant de là,
qu’y aurait-il de scandaleux à ce que les Suisses cherchent à enrayer la propagation de cet Islam
allogène qui, tel qu’ils se manifeste, n’est guère engageant ?
L’Islam mène contre l’Occident une guerre asymétrique, profitant de toutes les failles de nos
systèmes démocratiques et tolérants pour pousser en avant ses pions sans aucune réciprocité
possible. C’est un jeu de gagne terrain, guerrier hier, plus « pacifique » en apparence aujourd’hui.
Et c’est pourtant avec la complicité de nos élus que cette idéologie liberticide s’étend chaque jour
davantage, au mépris de nos lois quotidiennement bafouées, à coup de subventions, cessions de
terrains à vil prix, passe-droits honteux et petites lâchetés ordinaires pour faire pousser les
mosquées « casernes » des Ordogan et autres clones, comme à Strasbourg où le financement de la
Grande Mosquée est à 26% public, mais comme c’est aussi le cas à Marseille, Sainte-Geneviève
des Bois et partout ailleurs en France. Car c’est bien la peur qui jalonne cette progression de
l’Islam. Nos apprentis sorciers ont, depuis 40 ans, de façon totalement irresponsable, favorisé une
immigration massive de peuplement à majorité musulmane. L’Islam étant par nature indissoluble
dans la démocratie, c’est petit à petit que nos élites terrorisées et lâches tendent à vouloir dissoudre
celle-ci dans l’Islam. Tout ce qui se mettra en travers de cette marche inexorable devra être
anéanti : Nos identités, nos frontières, notre histoire, nos mœurs, nos traditions, nos religions, nos
patries, jusqu’à nos principes.
N’est-ce pas Boumédienne, Président algérien, qui déclarait en 1974, alors qu’Eurabia en était à
ses balbutiements : « Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans
l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le
conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la
victoire ».
Eh bien nous y sommes, et les dégâts sur nos sociétés et modes de vie sont patents. Il ne suffira
pas de traiter de fascistes ou de racistes ceux qui le constatent et le disent pour avoir raison.
L’intolérance et le « fascisme » ne sont pas là où voudrait nous le faire croire mais bel et bien dans
le non respect et la condamnation du libre choix d’un peuple ayant décidé de mettre un frein à
l’expansion d’une idéologie incompatible avec ses idéaux et aspirations.
Les Suisses ont envoyé un simple signal à nos élites, mais un signal fort, celui du premier coup
symbolique porté à l’avancée des troupes de Mahomet en Europe par un peuple libre, attaché à son
identité et sa liberté. Puissent ces élites comprendre ce signal.