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Et si les crises financières n’étaient nouvelles ?
rise, Crise, Crise… Crise financière,
crise économique. Une crise
dévastatrice qui a dépassé le
périmètre de l’économie virtuelle pour toucher
l’économie réelle. Les taux de chômage sont en
hausse partout dans le monde. Aucun ne fut
épargné ; ni les pays émergeants, ni les pays sous
développés. De Sydney à New York et en passant
par Hong Kong, El Manama, Francfort et Londres
aucun n’a réussi à éviter la crise. Ni les formules
sophistiquées de calcul du risque, la VAR en tête de
liste, ni les réformes réglementaires récentes, Bale 2
et Mifid pour ne citer que ces deux, n’ont réussi à
nous aviser d’un effondrement quasi-total des
principales places financières
mondiales ; un effondrement
qui s’est propagé comme une
épidémie. Une Crise, à échelle
planétaire, qui a réussi à
fragiliser monnaie, budget et
établissements bancaires. Une
crise qui, bizarrement et pour
la première fois, a poussé
Européens Américains et pays
émergeants (notamment ceux
qui ont réussi à s’échapper de la mondialisation) à
se mettre sur une même table et à mettre en
question le modèle économique planétaire voire
même les notions mêmes du capitalisme… Stop ! Et
si les crises en finance ne sont pas nouvelles ; et s’il
s’agit d’un phénomène récurrent et d’une maladie
chronique qui se sont aiguisés grâce à l’incarnation
de l’économie du marché et de la mondialisation ?
Analysons en revenant aux vieux registres de la
finance. Tirons les leçons des « Loose Story » du
passé afin de mieux gérer la crise d’aujourd’hui.
Posons les bonnes questions pour trouver les
bonnes réponses.
Les toutes premières crises de la Finance
L’année 1620 connut la première crise
financière de l’histoire. Grâce à son port et son
emplacement géographique, Gêne était un hub
commercial pour la marchandise venant du monde
entier notamment du continent Américain (surtout
l’or et l’argent venant de l’Amérique). Les
Lombards, alors reconnus pour leurs qualités de
comptables et de spéculateurs se spécialisaient dans
l’activité du crédit et finançaient les princes
d’Europe aussi bien que les industriels du textile.
La récession de l’activité venue de l’Espagne
fragilisait brusquement la position de Gêne en tant
que centre de capitalisme en
provoquant une pénurie de
ressources et de mains
d’œuvre. Gêne se voyait, alors,
dépassée par Amsterdam.
Depuis, les écarts en volumes
d’échanges et de niveau de vie
se sont creusés entre les pays
nordiques, le Pays-Bas comme
centre, et les pays du bassin de
la Méditerrané.
En 1637, Amsterdam connut à
son tour une crise financière. Les hollandais,
connus par le commerce des bulbes de tulipe (fleur
originaire de Constantinople), créèrent les premiers
contrats à termes (contrats d’achats notariés entre
deux acheteurs s’effectuant à la fin de la saison) et
une bourse de commerce où se négociaient ces
contrats de vente des bulbes de tulipe. Le but était
de faire face aux demandes croissantes des bulbes
et aux cycles de culture de la fleur. La spéculation
sur ce produit de lux était tellement poussée au
point que certaines variétés se négociaient jusqu’à
vingt fois le salaire annuel d’un artisan. La crise (la
tulipomanie) se déclencha en Février 1637 lorsque
le cours des bulbes connut un effondrement brutal.
En conséquence, plusieurs contrats à termes n’ont
pas été honorés et un nombre important
d’individus et d’institutions ont fait faillite. Ainsi, la
C
Achraf SFAXI
MIRAR Consulting
Directeur Fondateur
Que ce soit à Londres ou à New
York, ces crises ont été suivies par
une restructuration des deux
places financières et la création
d’institutions financières à savoir
la banque centrale à la City et la
réserve fédérale à Washington.
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politique expansionniste qui favorise la spéculation
et néglige le risque (les autorités finissaient par
retirer la clause d’obligation d’achat des contrats à
termes de la tulipe) a prouvé ses limites et a fini par
créer la première bulle spéculative de l’histoire qui
a fait effondrer tout le système.
En 1717, afin de diminuer ses charges de dettes, le
gouvernement Britannique échangea avec la
Compagnie des Mers du Sud (South Sea Company)
10 millions de Livres en bons de trésor d’état contre
des actions de la compagnie rémunérés à 6% et
contre l’octroie à la dite compagnie du monopole
des échanges commerciaux avec les colonies
espagnoles en Amérique. En 1719, la Compagnie de
Mers du Sud détenait déjà 11.7 % de la dette de la
Grande Bretagne. Suite à la propagation de
rumeurs quant au volume d’activité de la
compagnie Londonienne, les cours de la compagnie
s’envolaient pour passer de 128£ en Janvier 1719 à
plus de 900£ en 1920. Cette frénésie spéculative
poussait les investisseurs à s’intéresser aux actions
de la Compagnie des Mers du
Sud et à d’autres actions. Mais
à l’atteinte du seuil psychique
de 1000£, le marché se
retournait brutalement et le
cours de l’action s’effondrait à
150£. L’éclatement d’autres
bulles à Paris et à Amsterdam
ruinait les investisseurs qui ont
acheté des actions à crédit et les
banques qui ont prêté sur gage
d’actions. Conséquences : la
compagnie passa sous le
contrôle de l’état, ses dirigeants
furent été jugés, le parlement
fut été dissous et le
gouvernement décida de
structurer les activités de la
City.
Avec le soutien du parti
démocrate, le président des
Etats-Unis d’Amérique Andrew Jackson décida en
1836 de subordonner la vente des terres de l’état à
un payement en métaux précieux au lieu des billets
de banque. Le but de la loi était de responsabiliser
les banques qu’ils accusaient de créer de l’inflation
et de la spéculation en mettant en circulation des
billets non couverts par des réserves de métaux.
Cette décision constituait un frein devant les
investisseurs étrangers, notamment les Anglais,
pour l’achat de terres d’état. En 1837, lorsque la
banque Centrale d’Angleterre décida d’augmenter
ses taux sur les dépôts, les capitaux fuirent les
Etats-Unis vers la Grande Bretagne où les
placements sont devenus plus attractifs. Cette crise
est connue par « la panique de 1837 ». Les analystes
l’expliquent par l’erreur de diagnostique de Jackson
qui expliquait l’inflation par l’excès de billets de
banques américaines alors qu’elle était due à
l’importance des flux des capitaux britanniques.
Deux mois seulement après le déclenchement de la
crise, on estimait à 100 millions de Dollars le total
des faillites à la seule ville de New York. Pire
encore, le système bancaire des Etats-Unis subit, un
choc duquel il ne se remet jamais totalement : sur
les 845 banques Américaines existantes à l’époque,
343 fermèrent leurs portes et 62 firent une faillite
partielle. D’ailleurs, la place Américaine ne se remet
debout que suite à la crise Londonienne de 1890 qui
a entrainé l’émergence de Boston comme cœur de
l’économie mondiale et de Wall Street comme
centre financier planétaire. Que ce soit à Londres ou
à New York, ces crises ont été suivies par une
restructuration des deux places financières et la
création d’institutions financières à savoir la
banque centrale à la City et la
réserve fédérale à Washington.
Les crises du XXème siècle
Si le XIXème siècle a
connu la création de la plus
part des grandes banques
américaines d’aujourd’hui
notamment J.P. Morgan,
Rockefeller, Chase, City,
Lehman Brothers, Morgan
Stanley, le XXème siècle a
connu la « guerre mondiale des
banques ». Dès l’avènement du
XXème siècle, les institutions
américaines se sont devenues
des instruments de collecte
massive de l’épargne et de
placement de titres et elles
commencèrent à se substituer
aux banques britanniques :
Elles prêtaient généreusement
en Amérique et aux quatre coins du monde et elles
mêlaient investissement et dépôt. Rassurée par la
croissance de la valeur de son portefeuille boursier,
la classe moyenne n’hésitait pas à s’emprunter au-
delà de ses capacités réelles et elle affichait un
engouement pour l’immobilier en Floride. Le
système financier, d’or et déjà déséquilibré et
instable, finit par s’écrouler à la suite de la
constitution du cartel des grandes compagnies
pétrolières (les sept soeurs) en 1928 : la constitution
de ce cartel a fait grimper le prix de l’essence et a
effondré la production automobile. Le long de
Le Lundi 6 Octobre 2008 (the
Black Monday) a prouvé que,
mondialisation et économie de
marché aidant, aucun pays n’est
à l’abri des turbulences du
monde de la finance : Paris CAC
40 (-9,04%), USA Dow Jones (-
6,07%), London FTSE (-7,85%),
Francfort DAX (-7,07%), Riad
TASI (-9,81%), Dubaï DFM (-
7,61%), Abou Dhabi ADSM (-
5,61%), Johannesburg JSE (-
7,30%), Moscow RTS (-19,10% et la
cotation a été interrompue trois
fois au cours de la journée),
Tunis TUNINDEX (-4,88) et
Casablanca MASI (-2,30%).
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l’année 1929, la crise s’aiguisait aux Etats-Unis et se
propageait pour atteindre d’autres économies : la
dette américaine a frôlé les 300%, 345 banques
américaines fermaient les 6 premiers mois et 4000
déclaraient faillite dans l’année, le 24 Octobre à la
mi-journée le Dow Jones affichait un recul de 22,5
%, les petits porteurs se bousculaient à Wall Street
pour y brader leurs actions, l’Allemagne de Weimar
déjà ruinée par la guerre tomba en une longue
déprime. La même année, la crise financière donna
naissance à une crise économique avec une forte
hausse du chômage estimée à 25%. Chaque pays
chercha, alors, son salut dans les mesures de
protectionnisme ; à titre d’exemples, l’Allemagne
instituait un contrôle total des changes et un
groupement de pays européens créait une zone
Sterling pour mettre fin à la convertibilité Or de la
Livre Sterling (Fin du GES). Malgré les efforts du
président Roosevelt, les Etats-Unis ne se libèrent de
la crise de 1929 qu’à leurs entrées à la deuxième
guerre mondiale. Au 1er juillet 1944, le monde prit
conscience de l’importance de l’instauration d’une
organisation monétaire mondiale et de l’urgence de
favoriser la reconstruction et le développement des
pays touchés par la guerre : la
conférence de Bretton Woods
donna naissance à des accords
internationaux qui ont dessiné les
grandes lignes du système financier
de nos jours. Les deux
protagonistes principaux de cette
conférence ont été John Maynard
Keynes, qui dirigeait la délégation
britannique, et Harry Dexter White,
assistant au secrétaire au Trésor des
Etats-Unis. Les accords de Bretton
Woods stipulent l’organisation du
système monétaire mondial autour
du Dollar Américain avec un
rattachement nominal à l’or et la
création de deux organismes de
stabilisation à savoir la Banque
Mondiale (formé de la Banque
Internationale pour la Reconstruction et le
Développement -- BIRD et l’Association
Internationale de Développement -- IDA) et le FMI
(le Fond Monétaire International). Ces
organisations ont été construites sur les dépôts des
Etats membres. Un troisième organisme aurait dû
être créé ; mais en l'absence d'accord, il ne verra le
jour qu'en 1995 avec la création de l’organisation
mondiale du commerce (OMC) et suite aux cycles
de négociations du General Agreement on Tariffs
and Trade (GATT). Les accords de Bretton Woods
n’ont été abandonnés en partie qu’à l’abondement
des taux de change fixes en 1971 suite à la crise de
change qu’a connu le monde.
Les crises récentes
Ces quarante dernières années, le monde
connut quatorze crises financières soit une
moyenne d’une crise toutes les 2,85 années. De la
crise de change de 1971 à la crise financière
planétaire de 2008, qui s’ajouta à la crise des
subprimes, en passant par la crise des Saving &
Loans (caisses d’épargne Américaines) de 1986 et la
crise financière de l’Asie de 1997, le monde de la
finance a trouvé du mal à digérer des crises dont
l’étendu et l’envergure ont menacé les pays
émergeants aussi bien que les pays développés.
D’ailleurs, à titre d’exemple, la crise de la dette des
pays du sud en 1982 a bouleversé l’économie
mondiale dans son ensemble et l’éclatement de la
bulle boursière Internet à Wall Street de l’année
2000 a failli exterminer de la carte NTIC des
multinationales trop surévaluées sur le
marché américain et des sous-traitants et des
constructeurs asiatiques trop dépendant de ces
dernières. D’autres scandales financiers tels que
l’affaire Nick Leeson (Marché à terme à Singapore,
un trou de 1,1 milliard
d’euro sur le SIMEX) en
1995 et l’affaire Jérôme
Kerviel (Produits dérivés,
une perte de 4,9 milliards
d’Euro à la Société
Génerale Investment &
Corporate Banking) en 2008
ont montré que les
procédures de contrôle
actuel sont très
insuffisantes. Pire encore, la
turbulence récente qu’a
connu le monde de la
finance avec le sauvetage et
la nationalisation des
banques (Dexia, Northern
Rock, IKB, Sachensen LB)
et la faillite de Lehman Brothers ont montré la
fragilité des banques notamment les banques non
universelles. Le Lundi 6 Octobre 2008 (the Black
Monday) a prouvé que, mondialisation et économie
de marché aidant, aucun pays n’est à l’abri des
turbulences du monde de la finance : Paris CAC 40
(-9,04%), USA Dow Jones (-6,07%), London FTSE (-
7,85%), Francfort DAX (-7,07%), Riad TASI (-9,81%),
Dubaï DFM (-7,61%), Abou Dhabi ADSM (-5,61%),
Johannesburg JSE (-7,30%), Moscow RTS (-19,10%
et la cotation a été interrompue trois fois au cours
de la journée), Tunis TUNINDEX (-4,88) et
Casablanca MASI (-2,30%). Une telle panique,
En temps d’un Tsunami financier
désastreux, le magma d’idées et
d’interrogations est un premier
pas vers la résolution.
Aujourd’hui, partout dans le
monde on parle d’ « éthique
financière », de moyens efficaces
qui nous permettent d’empêcher
le transfert du risque et de
garantir la fluidité du marché
interbancaire et l’équilibre entre
le volume des emprunts sur le
marché bancaire et le marché
boursier.
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conjugué à l’absence de confiance qui a régné sur le
marché interbancaire international à la fin de
l’année 2008 a montré que l’avenir de la planète
finance se joue sur un fil de rasoir.
Des leçons, des conséquences et des
interrogations
En revenant sur les différentes crises énumérées ci-
dessus, nous remarquons que la l’effondrement
brutal d’une activité backbone d’une économie
entraine la dés-stabilisations du système monétaire
et financier. D’où l’intérêt de la diversification de
l’économie et des marchés.
Plusieurs crises ont prouvé que la politique
expansionniste et la ruée effrénée vers
l’enrichissement se traduit, effet iceberg aidant, par
une bulle spéculative. De mêmes les politiques
permissives des banques et l’engouement affiché à
l’économie virtuelle et aux montages et aux
produits financiers complexes à haut risque
(notamment les Black-Scholes et les Junk Bonds)
fragilise le système financier et monétaire.
Last but not least, les paradis fiscaux et l’absence
d’une politique financière et monétaire commune
et/ou l’incapacité des institutions financières
internationales à faire passer et
à faire respecter les
réglementations qu’elles
dressent renforcent l’inégalité
de la distribution de la richesse,
approfondissent le gap entre le
Nord et le Sud, fragilisent les
économies sous développées et
privent les économies
développées de plusieurs
opportunités de croissance
notamment en période de crise.
D’autres conséquences de la
crise financière que nous
vivons peuvent être qualifiées de métamorphoses.
A titre d’exemples, nous citons la révision de la
rémunération des traders et l’élargissement du club
des décideurs de la planète finance à 20 Etats pour
inclure le Brésil, l’Arabie Saoudite et l’Afrique du
Sud et ce à la recherche d’une meilleure
gouvernance.
En temps de crise, il est important de poser les
bonnes questions et de rester méfiant ; d’ailleurs,
l’embellie qu’a connue les bourses internationales
ces deux derniers mois nous donne droit à l’espoir
mais elle est loin d’être rassurante. Sommes-nous
devant une maladie chronique qui exige une
vaccination voire même la recherche d’un nouveau
vaccin qui arrête le mal engendré par la défaillance
de nos anticorps ? Sommes-nous devant un mal
sécuritaire où seules la vigilance et la veille
continues sont les remèdes exactement comme c’est
le cas pour les virus informatiques dont la virilité et
l’étendu de la contamination sont méconnues et
imprévisibles ? Désormais, en temps de grippe
porcine et de bourses électroniques, l’évocation des
registres médical et informatique s’impose.
En temps d’un Tsunami financier désastreux, le
magma d’idées et d’interrogations est un premier
pas vers la résolution. Aujourd’hui, partout dans le
monde on parle d’ « éthique financière », de
moyens efficaces qui nous permettent d’empêcher
le transfert du risque et de garantir la fluidité du
marché interbancaire et l’équilibre entre le volume
des emprunts sur le marché bancaire et le marché
boursier. On parle, également, de l’expérience des
Japonais qui ont réussi à survivre avec un Nikkei en
baisse et une économie en récession depuis vingt
ans.
« Small is beautiful »
Devant une machine financière mondiale
grippée faut-il sourire au moindre faisceau de
soleil afin d’éviter une dépression accablante ?
Devant un modèle capitaliste à réviser et une
politique économique basée sur
la mondialisation (malgré tout
le bien qu’elle nous a apporté la
mondialisation), sommes-nous
devenus nostalgiques à des
vieux adages du genre « Small
is beautiful ».
A l’échelle régionale, grâce à
une politique financière
prudente et des marchés
maitrisés, Tunisie Maroc et
Egypte ont réussi à résister à la
crise financière. Mieux, le
gouvernement Tunisien a eu le
mérite de lever des fonds en pleine crise : l’appel
d’offre international d’octroi d’une nouvelle licence
de téléphonie globale a suscité l’intérêt des
opérateurs Turcs, Français et Moyens Orientaux. De
plus, peu de temps après l’annonce du consortium
gagnant (Divona/Orange), le patron d’Orascom
Najib Sawaris a annoncé l’introduction de son
entreprise Tunisienne, Tunisiana, au marché
principal de la bourse de Tunis avant la fin de
l’année en cours. Les marocains, champions du
tapage médiatique, espèrent enregistrer en
tourisme les mêmes résultats des années
précédentes : leur slogan innovateur « la Maroco-
thérapie» fait déjà parler de lui. La crise financière
planétaire est elle une opportunité réelle pour les
économies émergeantes pour mieux négocier leurs
transactions ? Est-elle, au même, temps une
dans l’attente d’un
éclaircissement du paysage de la
finance à l’échelle planétaire,
toute bonne nouvelle est
désormais « a pencil of light in
the darkness » et en espérant
aboutir à un système financier et
monétaire plus équilibré
contentons nous de dire « Small
is beautiful, but safer is
charming » !
5. http://www.mirarconsulting.com/ - 5 -
occasion pour les pays développés pour stimuler la
croissance et tisser des relations de voisinage de
type gagnant-gagnant ? Wait and See !
En définitive, dans l’attente d’un éclaircissement du
paysage de la finance à l’échelle planétaire, toute
bonne nouvelle est désormais « a pencil of light in
the darkness » et en espérant aboutir à un système
financier et monétaire plus équilibré contentons
nous de dire « Small is beautiful, but safer is
charming » !