7 Raisons De Prendre Part Au Transfert De Richesse De La DéRéGlementation De LéNergie
1. 7 raisons de prendre part au transfert de richesse
de la déréglementation de l'énergie
1-INDUSTRIE À L'ABRI DE LA RÉCESSION:
Tout le monde a besoin de se chauffer ou d'utiliser de
l'électricité. Peu importe la situation économique,
la distribution de l'énergie demeurera.
2-REVENUS SUBSTANTIELS &
RÉCURRENTS DISPONIBLES:
Qui n'aurait pas voulu faire partie de la première
compagnie à faire compétition aux monopoles de
télécommunications comme Bell Canada ou AT&T?
Et de pouvoir ainsi être payé tous les mois lorsque les citoyens paient leurs factures?
Les factures de services essentielles ne sont-elles pas la première chose que nous payons dès que nous les
recevons? Les usines, entreprises et résidences nord-américaines dépensent des milliards de dollars
mensuellement en énergie, et cet argent, grâce à la déréglementation qui se produit présentement, peut tomber
dans nos poches... dans vos poches.
3-TIMING HISTORIQUE:
La déréglementation n'arrivera qu'une seule fois dans l'histoire.
Un monopole d'électricité ou de gaz naturel, une fois accepté socialement et politiquement, tout comme un
monopole de téléphonie, ne peut être brisé plus d'une fois. Occasion unique pour les entrepreneurs québécois
et canadiens de profiter du plus grand transfert de richesse que l'homme ait connue.
4-ÉNORME VOLUME D'AFFAIRES:
Plusieurs grandes fortunes du côté québécois et ontarien comme du côté mondial, ont été créé par la
déréglementation des télécommunications. Nous n'avons qu'à penser au propriétaire de Distributel, M. Mel
Cohen, qui a créé sa fortune en aidant la population à faire des appels interurbains à moindre coût.
À plus grande échelle, le géant américain Sprint avec son chiffre d’affaire annuel de tout près de 50
milliards de $ a vu le jour dans les années 80 suite au bris du monopole en téléphonie de AT&T.
5-SIMPLICITÉ D'APPROVISIONNEMENT ET DE DISTRIBUTION:
Du gaz c'est du gaz, et de l'électricité c'est de l'électricité.
Pas d'option, de ligne en attente, de longue distance, d'appareil à commander ou à acheter et aucun numéro
additionnel à composer. L'énergie est simple à distribuer au consommateur. Il conserve la même facture, n'a pas
à s'occuper du transfert, en fait la seule chose que le consommateur doit s'assurer, est de signer pour un meilleur
prix que celui qu'il avait auparavant.
2. 6-FAIBLE COMPÉTITION:
La compétition est quasi-inexistante dans l'industrie de l'énergie présentement au Canada.
Le même scénario dans tous les pays qui ont ouvert leur marché à la compétition.
Aujourd'hui, en 2011, l'industrie de l'énergie est comparable à celle de la téléphonie en 1993. Peu de
compétition, clientèle facile à déplacer suite à un sentiment d'impuissance causé par la hausse des prix
annuels qui a été créé par les monopoles en place. Nous n'avons qu'à nous souvenir des prix que Bell offrait
au Canada en 1993 pour téléphoner de Montréal à Québec par exemple. Pour nos cousins de la France, lorsque
France Télécom a dû céder son monopole et que la FreeBox a pénétré le marché, la population se réjouissait des
économies substantielles. La même chose se produit présentement dans l'industrie de l'énergie, et la compétition
est presque nulle.
7-OPPORTUNITÉ DE DÉVELOPPEMENT INTERNATIONAL:
Le Canada(au Québec le gaz naturel commercial), la France, l'Italie, l'Allemagne, l'Angleterre et plus
de la moitié des États-Unis ouvrent leur marché pour laisser place à la concurrence et ainsi laisser le
choix aux consommateurs de leur fournisseur d'électricité et/ou de gaz naturel. Plus de 80 pays
suivront le même pas. Plusieurs compagnies profiteront de ce timing mondial, et pourquoi pas
nous? Les grands hommes à succès de notre planète, s'impliquent directement ou indirectement dans
cette industrie. Pourquoi? Parce que c'est accessible à tous.
La solution: Trouver un système éprouvé en place pour aider la population à profiter de cet énorme
transfert de richesse mondial.
Cette ouverture se réalise par étapes dans chacun de ces pays:
* d'abord pour les plus gros consommateurs (industriels),
* ensuite pour les professionnels et commerce de tout genre,
* et pour finir les "consommateurs résidentiels", c'est-à-dire les particuliers
Steve Dauphinais
Président & Co-fondateur du Groupe TNL