Les problèmes actuels au Brésil ne seront pas surmontés en raison de l'incapacité du gouvernement Michel Temer d'abandonner le modèle économique néolibéral et antinational en vigueur parce qu'elle est soumise au capital financier national et international et de remodeler le système politique et la modèle de gestion du secteur public, car il est soumis aux forces politiques réactionnaires qui composent le Congrès national. Alors que Michel Temer et les forces qui apportent un soutien à rester au pouvoir, le Brésil continuera un pays à la dérive, ingouvernables, comme un navire à la dérive sur le point de naufrage. l'avenir du Brésil est sombre en l'absence d'alternatives politiques capables de surmonter la crise actuelle. Tout ce qui reste est le peuple brésilien attendent à ce que, avant ou après le « naufrage du navire appelé le Brésil » une nouvelle Assemblée nationale constituante soit convoquée pour mener des réformes politiques, l'État et l'administration publique et, par conséquent, réorganiser la vie nationale.

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LE BRESIL FACE A UN AVENIR SOMBRE
Fernando Alcoforado *
Le Brésil est confronté au moment de l'échec du modèle économique néolibéral et
antinationale mis en œuvre depuis 1990 par Fernando Collor, Itamar Franco et Fernando
Henrique Cardoso gouvernment et maintenu par Lula et Dilma Rousseff gouverment,
l'échec du système politique mis en place en 1988 par Assemblée Nationale Constituant
et l'échec de la gestion publique extrêmement inefficient et inefficace pour répondre aux
besoins de pays.
Le modèle économique néolibéral bankrupted au Brésil, car après avoir causé
dévastation réels dans l'économie brésilienne de 1990 jusqu'à ce jour reflété dans la
faible croissance économique, l'inflation non maîtrisée au cours des quatre dernières
années, les goulets d'étranglement dans l'infrastructure économique et sociale, la
désindustrialisation de économie brésilienne, dans l'explosion de la dette publique
intérieure et extérieure et dénationalisation de l'économie brésilienne, n'a pas de
perspectives de surmonter ces problèmes, étant donné que le gouvernement Michel
Temer a décidé d'adopter une politique récessive qui se traduit par une stagnation de
l'économie, l'augmentation de la dette publique, le déséquilibre des comptes extérieurs
et aussi dans le chômage de masse qui a déjà atteint 13 millions de chômeurs.
Compte tenu du fait que le système économique du Brésil est un système dynamique,
lorsqu'il est soumis à des « fluctuations », comme il fait face à l'heure actuelle est prise à
un point de bifurcation à partir de laquelle le système doit être restructuré ou s'effondrer.
Ceci est la situation vécue par l'économie du Brésil, qui fait face à une crise profonde.
Pour faire face à la crise, le gouvernement Michel Temer a préféré adopter un négatif
«rétroaction» en essayant pour corriger les écarts pour revenir au chemin d'origine, qui
est, maintenir le «statu quo», qui dirige le système économique du Brésil à
l'effondrement, quand il devrait adopter le positif «rétroaction» en favorisant la
formation de nouvelles structures, plus sophistiquées, plus adaptables, plus subtiles et
novatrices pour surmonter la crise actuelle et de reprendre le développement du pays sur
de nouvelles bases.
Avec le «rétroaction» négative l´action est conservateur, car cela signifie que le
maintien du modèle économique néolibéral en faillite dont la continuité sera désastreux
pour le pays parce qu'ils coïncident avec la tendance de la dépression économique qui se
manifeste déjà dans le système capitaliste mondial avec l'instabilité financière et
économique que il progresse dans les marchés émergents comme le Brésil, y compris en
Chine, où la croissance ralentit. Ainsi, l'épicentre de la crise mondiale, qui a d'abord eu
lieu en 2008 aux États-Unis et a déménagé à l'Europe entre 2010 et 2013, se concentre
maintenant sur les économies de marché émergentes, y compris en Chine. L'instabilité
financière croissante de l'économie mondiale et de la Chine est un problème majeur
pour le Brésil, car il dépend fortement des exportations, notamment vers la Chine.
Avec la «rétroaction» positive, le gouvernement brésilien pourrait conduire le système
économique brésilien à un autre niveau différent de développement du niveau
précédent. L'action serait révolutionnaire considérant l'adoption des mesures suivantes:
1) renégocier avec les créanciers de la dette publique intérieure du pays visant à réduire
la charge de paiement pour un tiers ou un quart du budget fédéral; 2) réduire
considérablement le coût des dépenses publiques en réduisant le nombre de ministères
de 39 à 15 ou 20 et l'élimination ou la réduction au minimum de les postes occupés par

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des filleuls politiques qui sont environ 22,000; 3) installer cabinet de crise composé de
personnes de la plus haute compétence et la plus haute respectabilité éthique et morale
pour obtenir le respect de la nation pour assurer une bonne gouvernance; et 4) remplacer
le modèle néolibéral en vigueur pour un autre de caractère national développementaliste
de l'ouverture sélective de l'économie brésilienne pour promouvoir le développement du
Brésil sur une base nouvelle et éviter la stagnation économique en cours.
Un gouvernement sérieux commis à la défense de la souveraineté nationale, les progrès
du Brésil et le bien-être social de la population devrait repousser nécessairement le
scénario actuel avec remplacement du modèle économique néo-libéral par modèle
national développementaliste et d´ouverture sélectif et contrôlée de l'économie national
qui serait certainement rendre le pays moins vulnérable à l'attaque des capitaux
étrangers spéculatifs avec le gouvernement exerçant un contrôle effectif de l'économie,
ainsi que de fournir un retour au développement national. Le modèle national
développementaliste d'ouverture sélectif de l'économie brésilienne devrait considérer les
points suivants: 1) Remplacer les taux de change flottants en vigueur pour le taux de
change fixe pour éviter la hausse vertigineuse en dollars courants; 2) Contrôler l'entrée
et la sortie de capital, en particulier spéculative; 3) Effectuer les importations sélectives
de matières premières et produits essentiels de l'étranger pour réduire les dépenses en de
devises du pays; et 4) Adopter une politique de réserve de marché dans les secteurs
considérées comme stratégiques pour le développement national. Le projet national de
développementaliste entraînerait le Brésil a pris la direction de son future, à la
différence du modèle néolibéral en place qui rend l'avenir du pays dictée par les forces
du marché tous engagés au capital financier national et international.
L'échec du modèle politique au Brésil est configuré sur le fait que le régime présidentiel
en vigueur ont complètement échoué et être générateur de crises politiques et
institutionnelles, le système politique du pays est contaminé par la corruption, la
démocratie représentative au Brésil montrent des signes évidents d'épuisement, non
seulement par scandales de corruption dans les pouvoirs de la République, mais surtout
pour décourager la participation populaire, ce qui réduit l'activité politique à de simples
processus électoraux qui se répètent périodiquement dans lequel les gens élisent leurs
représentants qui, à quelques exceptions près, après les élections viennent défendre
intérêts des groupes économiques en opposition aux intérêts de ceux qui les ont élus.
Cette situation a prendra fin avec le remplacement du présidentialisme par le
parlementarisme et avec le contrôle sociale de ceux qui sont élus par le peuple qui
devrait avoir des instruments pour commencer le processus de cassation des mandats
quand il y a désengagement des promesses de la campagne électorale par les candidats.
L'échec du modèle de gestion publique au Brésil est configuré en fait de ne répond pas
aux besoins du pays, l´État brésilien est inefficient et inefficace en raison, entre autres,
le manque d'intégration du gouvernement fédéral, provinciaux et local dans la
promotion du développement national, régional et local. Ceci est l'une des causes
principales de l'effondrement administratif du secteur public dans le générateur de
déchets au Brésil, des retards dans l'exécution des travaux et la corruption endémique.
Le manque d'intégration des différents organes de l'Etat brésilien est donc complet, ce
qui rend l'action du gouvernement devient chaotique dans son ensemble, générant ainsi
déséconomies de toutes sortes. Il est donc urgent de restructuration organisationnelle au
Brésil sur une nouvelle base à la planification intégrée entre les organismes fédéraux,

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provinciaux et municipaux et la mise en œuvre des actions avec les structures régionales
reliées entre elles visant le développement efficace des différentes régions du Brésil.
On remarque de ce qui précède, que les problèmes actuels au Brésil ne seront pas
surmontés en raison de l'incapacité du gouvernement Michel Temer d'abandonner le
modèle économique néolibéral et antinational en vigueur parce qu'elle est soumise au
capital financier national et international et de remodeler le système politique et la
modèle de gestion du secteur public, car il est soumis aux forces politiques
réactionnaires qui composent le Congrès national. Alors que Michel Temer et les forces
qui apportent un soutien à rester au pouvoir, le Brésil continuera un pays à la dérive,
ingouvernables, comme un navire à la dérive sur le point de naufrage. l'avenir du Brésil
est sombre en l'absence d'alternatives politiques capables de surmonter la crise actuelle.
Tout ce qui reste est le peuple brésilien attendent à ce que, avant ou après le « naufrage
du navire appelé le Brésil » une nouvelle Assemblée nationale constituante soit
convoquée pour mener des réformes politiques, l'État et l'administration publique et, par
conséquent, réorganiser la vie nationale..
* Fernando Alcoforado, 77, membre de Bahia Académie de l'éducation, ingénieur avec doctorat en
planification du territoire et du développement régional pour l'Université de Barcelone, professeur
d'université et consultant en planification stratégique, la planification régionale et la planification des
systèmes énergétiques, est auteur de livres Globalização (Editora Nobel, São Paulo, 1997), De Collor a
FHC- O Brasil e a Nova (Des)ordem Mundial (Editora Nobel, São Paulo, 1998), Um Projeto para o
Brasil (Editora Nobel, São Paulo, 2000), Os condicionantes do desenvolvimento do Estado da Bahia
(Tese de doutorado. Universidade de Barcelona,http://www.tesisenred.net/handle/10803/1944, 2003),
Globalização e Desenvolvimento (Editora Nobel, São Paulo, 2006), Bahia- Desenvolvimento do Século
XVI ao Século XX e Objetivos Estratégicos na Era Contemporânea (EGBA, Salvador, 2008), The
Necessary Conditions of the Economic and Social Development- The Case of the State of Bahia (VDM
Verlag Dr. Müller Aktiengesellschaft & Co. KG, Saarbrücken, Germany, 2010), Aquecimento Global e
Catástrofe Planetária (Viena- Editora e Gráfica, Santa Cruz do Rio Pardo, São Paulo, 2010), Amazônia
Sustentável- Para o progresso do Brasil e combate ao aquecimento global (Viena- Editora e Gráfica,
Santa Cruz do Rio Pardo, São Paulo, 2011), Os Fatores Condicionantes do Desenvolvimento Econômico
e Social (Editora CRV, Curitiba, 2012), Energia no Mundo e no Brasil- Energia e Mudança Climática
Catastrófica no Século XXI (Editora CRV, Curitiba, 2015) et As Grandes Revoluções Científicas,
Econômicas e Sociais que Mudaram o Mundo (Editora CRV, Curitiba, 2016.