L'informatique en nuage par où commencer - marisol labrecque
Cloud VS Sur site
1. Vous possédez sûrement des racks remplis de serveurs
dans une salle fermée de votre bâtiment. Jusqu’à
récemment, les serveurs sur site étaient votre seule option
pour héberger vos applications et votre service de courriel
d’entreprise, ainsi que pour partager vos fichiers. A présent,
la plupart des services sont hébergés dans le cloud public,
ce qui est convenable pour beaucoup d’organisations. Mais,
est-ce le bon choix pour vous ?
Avec votre serveur dans vos locaux, vous avez plus de
contrôle. Vous n’avez pas à dépenser pour des frais
d’hébergement, vous pouvez mettre à niveau votre serveur
selon les besoins
de l’entreprise, sans avoir à dépendre de quiconque pour
sa sécurité (comme ce serait le cas pour un service cloud).
Cependant, maintenir un serveur sur site génère beaucoup
de dépenses. Initialement, vous dépensez gros pour
acheter l’équipement et les logiciels nécessaires. Ensuite,
vous devez définir qui va se charger de la maintenance. A
moins que vous soyez vous-mêmes très à l’aise avec la
technologie, vous devrez recruter un professionnel pour le
faire. C’est sans compter le budget à prévoir pour le
renouvellement des licences et la mise à niveau du
matériel.
Vous comptez acheter un nouveau serveur ?
Commencez par lire ceci !
Garder ses serveurs sur site ?
Pour en savoir plus sur les solutions hébergées de DCI,
visitez dci.website ou écrivez à info@dci.website
Quelle est la meilleure solution entre des serveurs dans le cloud et des serveurs sur
site ? Quelle solution coûte moins cher à long terme ? Voici des questions communes
aux dirigeants des petites et moyennes organisations, et qui se répètent année après
année. Pour vous aider à prendre la bonne décision, nous avons étudié les deux
options.
2. Pour en savoir plus sur les solutions hébergées de DCI,
visitez dci.website ou écrivez à info@dci.website
Les serveurs cloud ont autant leurs avantages que leurs
inconvénients. Le cloud public convient par exemple pour
une organisation habituée au télétravail et ayant des
charges de travail très variables. Aussi, si vous choisissez
le cloud public pour héberger vos serveurs, les tâches de
maintenance ne vous incombent plus et vous n’avez plus
besoin de compétences spécifiques pour administrer votre
infrastructure. Le budget que vous épargnez peut ainsi
servir à d’autres projets. Vous pouvez ajuster les
ressources d’un serveur cloud aisément afin de répondre à
vos besoins d’entreprise.
Quant aux inconvénients, le premier est la connectivité à
vos serveurs. Vous avez besoin d’une connexion Internet
fiable pour accéder à vos serveurs. D’autre part, bien que
les serveurs cloud soient reconnus pour leur sécurité,
dépendamment de la sensibilité des données à héberger
(informations financières et dossiers de santé, par
exemple), vous pourriez avoir à reconsidérer une migration
vers le cloud. Enfin, gardez à l’esprit que les frais
d’hébergement sont mensuels. Votre organisation est-elle
préparée pour ce modèle ?
Héberger ses serveurs dans le cloud public?
Cloud VS Sur site – Quelles responsabilités ?
3. Pour en savoir plus sur les solutions hébergées de DCI,
visitez dci.website ou écrivez à info@dci.website
Coût du cloud
Quelle est votre infrastructure actuelle ? Selon les cas, un
passage au cloud public peut représenter moins de
dépenses que l’achat de serveurs physiques qui implique
des efforts de configuration, installation et maintenance.
Votre infrastructure actuelle répond-t-elle à vos attentes ?
Ou alors, êtes-vous devenu prisonnier financièrement à
force d’acheter des serveurs de plus en plus puissants en
prévision d’une augmentation de la charge de travail ? En
optant pour des machines virtuelles dans le cloud, vous
payez uniquement pour ce que vous utilisez et pour le
temps réel de l’utilisation. Vous pouvez par la suite modifier
la capacité de vos machines à votre guise. Quant aux coûts
liés aux licences de logiciel, sachez que certains sont déjà
compris dans les frais des services cloud. C’est un souci de
moins.
Fiabilité
Vous devriez pouvoir compter sur vos serveurs et leur
redondance pour l’exécution de vos applications et charges
de travail. Dans le cas où l’un de vos serveurs cloud
rencontre un problème, avec une configuration redondante,
un autre continue à supporter les opérations ; un nouveau
serveur peut être provisionné pour remplacer celui qui est
en panne. Ainsi, le temps d’interruption de service est réduit
et le coût lié à votre reprise d’activité est bas.
D’autre part, mettre en place un système et une application
redondants sur site peut s’avérer coûteux. Les frais de
connectivité sont aussi à considérer. Soit vous dupliquez
votre serveur et hébergez le second hors site, ou vous
mettez en place une procédure de reprise d’activité
d’urgence pour remettre sur pied votre unique serveur et
l’application qu’il exécute. Votre stratégie de reprise
d’activité devrait vous épargner du temps et de l’argent,
autant pour une infrastructure sur site que dans le cloud.
Reprise d’activité facile
Mettre en place un plan de reprise d’activité est plus facile
avec des machines virtuelles dans le cloud. D’abord, vos
serveurs sont déjà hors site et la plupart des fournisseurs
font des sauvegardes hors site. Votre fournisseur s’assure
que les connexions réseau sont redondantes, ainsi que
l’alimentation électrique et tous les composants
d’infrastructure physique. La configuration de serveurs
virtuels en grappe ou d’autres options de reprise d’activité
ne nécessite pas d’achat supplémentaire d’équipement
matériel. La responsabilité vous revient entièrement pour
un serveur sur site. Une étude récente de la firme
britannique Plan B, spécialisée en reprise d’activité, indique
que 60% des participants souhaitent rester maîtres de leur
stratégie de reprise d’activité plutôt que de la confier à une
autre compagnie. La même étude conclut aussi que
plusieurs se mettent en danger parce qu’elles ne testent
pas assez leurs stratégies.
Avantages fiscaux
La taxation des services cloud est moins lourde. En effet,
l’achat de nouveaux serveurs et équipement d’infrastructure
physique étant considéré comme une dépense en capital
(CAPEX), le coût en est déprécié au fil des années. Par
contre, l’achat de services cloud fait partie des dépenses
opérationnelles (OPEX), donc déductibles la même année,
ce qui peut représenter une grosse économie d’impôts pour
n’importe quelle organisation.
Performance
Comme déjà mentionné, les ressources d’un serveur cloud
peuvent être ajustées selon les besoins de l’entreprise. Ce
type de flexibilité vous permet ainsi d’augmenter ou réduire
la mémoire, le nombre de processeurs et l’espace de
stockage à volonté.
A l’utilisation d’un serveur physique, votre capacité à ajuster
ses ressources dépend entièrement du matériel en place.
L’ajout de ressources pour vos applications et services
implique un achat de composants de serveur, voire
d’équilibreurs de charge (load balancers), commutateurs
(switches), routeurs, et plus, ainsi que la configuration de
tout cet équipement. Toute cette complexité peut s’avérer
coûteuse en temps et en argent.
Une autre possibilité est celle d’une solution hybride,
mettant en scène le cloud public et votre infrastructure sur
site ensemble. L’évolutivité des serveurs cloud amène
certaines entreprises à utiliser les deux options en même
temps, préférant exécuter les charges de travail régulières
sur site pour les transférer vers le cloud lors des pics
d’utilisation (cloud bursting), ou en réservant le cloud pour
les tests et le développement.
À prendre en compte également
4. Facteur Cloud public Sur site
Infrastructure TI
Ressources internes TI limitées ou inexistantes
Ne souhaite pas investir dans ou supporter
plus d’infrastructure TI
Dispose d’un soutien technique et d’une
expertise dans l’administration des
applications
Solide stratégie de sauvegarde
Temps d’implémentation
Varie selon les projets
Temps généralement moins long que pour un
déploiement sur site. L’installation, la
préparation et les configurations de
l’infrastructure sont toutes faites par le
fournisseur
Varie selon les projets
Temps plus long d’1 ou 2 mois
comparativement à un déploiement dans
le cloud.
Investissement initial
Moins élevé qu’une solution sur site
L’installation, la préparation et les
configurations de l’infrastructure sont toutes
faites par le fournisseur
Prévoir des frais d’environ 1 à 2$ pour
chaque dollar dépensé en coût de licence
au départ.
Capex VS Opex
Les dépenses en capital sont converties en
dépenses opérationnelles, offrant une meilleure
flexibilité du flux de trésorerie.
Les dépenses en matériel et logiciel sont
des dépenses en capital.
Investissement sur les
logiciels
L’utilisation d’un logiciel se traduit en coût de
licence. Une seule dépense mensuelle
budgétisable couvre autant les coûts
d’infrastructure et de support logiciel que ceux
des sauvegardes quotidiennes et des mises à
jour logicielles.
Le coût de la licence donne droit à
posséder le logiciel. Achat initial requis.
Renouvellement d’abonnement ou de
maintenance annuelle équivalent à 20 -
25% du coût initial.
Investissement pour maintenir
le service
Possibilité de consultation
Mises à jour logicielles tous les 12-14
mois Soutien technique et possibilité de
consultation
Investissement en
infrastructure matérielle
Une connexion Internet fiable
Serveur physique, logiciels, sauvegarde
des données, stockage, stratégie de
reprise d’activité, accès à distance et
connectivité réseau
Profil d’organisation
Organisation à croissance rapide voulant
investir dans une solution peu coûteuse qui
peut s’ajuster à leurs besoins
Besoin d’un accès en tout temps et de partout
sans avoir à investir en infrastructure TI
Organisation capable d’acheter et mettre
ses applications en production elle-même
Cycle de vie de 5 à 7 ans
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