Création de modèle d'affaires avec des canevas: une question de logique!Social Business Models
Présentation de l'ensemble de canevas de Social Business Models, sur lesquels reposent de nombreux outils, avec un focus plus approfondi sur celui du modèle d'affaires: la logique de l'ensemble.
Présentation lors du colloque du Réseau des Conseillers en Management du Québec le 12 mai 2011. Le conseil au futur: développement durable et gestion du changement. http://rcmq.ca/
Support d'une formation des dirigeants à la RSE dans le cadre d'une démarche de RSE territoriale - deuxième jour
Pour en savoir plus : www.alticentre.fr
La vérité sur le Big Data, Hadoop, l'internet des objets et les tendances tec...PMI-Montréal
Démasquez les promesses surdimensionnées grâce au cycle de vie des technologies émergentes.
Cette session vous expliquera comment gérer les risques et les attentes liés aux projets technologiques. Deux panelistes expérimentés du monde de la Business Intelligence et du Big Data viendront vous parler de technologies émergentes et des attentes surdimensionnées qu’elles créent dans l’organisation.
Imaginez de retrouver vos projets sur la courbe du cycle de vie des attentes technologiques et de pouvoir les gérer en conséquence. Venez nous voir le 10 mars pour en apprendre d'avantage sur les nouvelles tendances technologiques et leurs impacts sur votre gestion de projet.
Conférenciers:
Jean-Michel Laroche M.MIAGE, PMP, Scrummaster est un chargé de programme et de projet indépendant. Il apporte son soutien et ses compétences de gestion aux décideurs et aux entreprises depuis plus de 18 ans, dans différents secteurs tels que la Finance, l’Energie, les Services et les loisirs et ce, dans plusieurs pays en Europe et en Amérique du Nord.
Démontrant une expérience majeure en Programmes et Projets d’Intelligence d’affaires et décisionnels, il apporte également son expertise sur tous types de projets organisationnels et stratégiques ou encore technologiques, qu’il s’agisse de développement, d’intégration, d’infrastructure ou de transformation.
Denis Archambault M.Sc., CPA, CMA. est Fondateur & chef de la visualisation chez Data Viz Pro Inc. Il a pris part au développement de 34 applications analytiques depuis 1991. Il a aidé des clients de premiers rangS tels que le Cirque du Soleil, l’American Automobile Association (AAA) et la Caisse de dépôt et de placement du Québec.
Il est régulièrement conférencier lors d’événements publiques qui ont trait au Business Intelligence et au Business Analytics, de même qu’à l’Université lors d’invitations spéciales.
Il détient une maîtrise en sciences (M.Sc.) et un baccalauréat en administration des affaires (B.A.A.) de l'École des Hautes Études Commerciales (HEC). Il est aussi membre de l'Ordre des comptables professionnels agréés (CPA, CMA) du Québec.
Création de modèle d'affaires avec des canevas: une question de logique!Social Business Models
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Présentation lors du colloque du Réseau des Conseillers en Management du Québec le 12 mai 2011. Le conseil au futur: développement durable et gestion du changement. http://rcmq.ca/
Support d'une formation des dirigeants à la RSE dans le cadre d'une démarche de RSE territoriale - deuxième jour
Pour en savoir plus : www.alticentre.fr
La vérité sur le Big Data, Hadoop, l'internet des objets et les tendances tec...PMI-Montréal
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Imaginez de retrouver vos projets sur la courbe du cycle de vie des attentes technologiques et de pouvoir les gérer en conséquence. Venez nous voir le 10 mars pour en apprendre d'avantage sur les nouvelles tendances technologiques et leurs impacts sur votre gestion de projet.
Conférenciers:
Jean-Michel Laroche M.MIAGE, PMP, Scrummaster est un chargé de programme et de projet indépendant. Il apporte son soutien et ses compétences de gestion aux décideurs et aux entreprises depuis plus de 18 ans, dans différents secteurs tels que la Finance, l’Energie, les Services et les loisirs et ce, dans plusieurs pays en Europe et en Amérique du Nord.
Démontrant une expérience majeure en Programmes et Projets d’Intelligence d’affaires et décisionnels, il apporte également son expertise sur tous types de projets organisationnels et stratégiques ou encore technologiques, qu’il s’agisse de développement, d’intégration, d’infrastructure ou de transformation.
Denis Archambault M.Sc., CPA, CMA. est Fondateur & chef de la visualisation chez Data Viz Pro Inc. Il a pris part au développement de 34 applications analytiques depuis 1991. Il a aidé des clients de premiers rangS tels que le Cirque du Soleil, l’American Automobile Association (AAA) et la Caisse de dépôt et de placement du Québec.
Il est régulièrement conférencier lors d’événements publiques qui ont trait au Business Intelligence et au Business Analytics, de même qu’à l’Université lors d’invitations spéciales.
Il détient une maîtrise en sciences (M.Sc.) et un baccalauréat en administration des affaires (B.A.A.) de l'École des Hautes Études Commerciales (HEC). Il est aussi membre de l'Ordre des comptables professionnels agréés (CPA, CMA) du Québec.
L'étude « Les enjeux 2014 de la RSE et du Développement Durable » propose cette année un focus sur le retour sur investissement des stratégies et actions RSE, en lançant le débat : "Comment mesurer l’impact des actions RSE ?"
La montée des levées de fonds recherchées par les porteurs de projets cumulée à l’exigence croissante de la part des investisseurs externes incite à minimiser les prises de risque. Dans ce contexte, la méthodologie Lean Startup est considérée comme la mieux à même de réinventer l’industrie grâce à une approche systématique et quasi-scientifique.
Selon la terminologie « Lean », l’entreprise teste un produit non-fini et « pivote » selon les réactions du marché. Elle met en place des mécanismes internes et externes pour être en interaction permanente avec le marché. Les entreprises deviennent ainsi réflexives, apprenantes et sociales.
Cette dernière causerie de l’année sera animé par Vincenzo Pallotta, conseiller stratégique en entreprises et spécialisé dans l’approche Lean Startup. Si vous souhaitez comprendre en profondeur ce qu’est une entreprise « Lean » et tester cette méthode dans le cadres des « innovation games » qui seront organisés à cette occasion, nous vous attendons ce jeudi 20 décembre 2012 à 18h00.
Pour une société innovante ou technologique, les besoins de trésorerie et de développement sont importants. Et il est souvent compliqué d’obtenir des financements dont les montants sont suffisants et les délais compatibles avec les nécessités des projets. Il est pourtant possible de convaincre son banquier à condition de considérer sa demande dans une stratégie globale qui intègre les autres sources de financement.
Etude PwC immobilier et développement durable (juillet 2013)PwC France
http://pwc.to/1frxGkH
Comment les SIIC intègrent-elles des critères extra-financiers lors d’arbitrages stratégiques (travaux, acquisitions, cessions) ?
Dans quelle mesure le reporting environnemental devient-il un outil de pilotage de la performance?
Comment les SIIC utilisent-elles le bail vert ?
Le développement sociétal, en matière de création d’emplois dans un secteur aussi impactant que l’immobilier, est-il un enjeu de communication ?
Quel est le niveau d’engagement de ces SIIC en matière de règles éthiques dans un milieu aussi sensible que l’immobilier ?
Crowdfunding Equity: Les déterminants d'un succès!Jean Carl Cohen
Le financement participatif en fonds propres: les déterminants d'un succès.
Présentation d'un mémoire de recherche, approche empirico – hypothético –déductive.
L’ANALYSE DE MATÉRIALITÉ : DE LA PERCEPTION À LA RÉALITÉ (AVRIL 2014)Utopies
Comment renforcer la pertinence de sa stratégie et de son reporting développement durable ?
Alors qu’un nombre croissant d’enjeux sociaux ou environnementaux sont en lice pour figurer dans les rapports de développement durable et obtenir un peu de temps ou d’attention dans les réunions de direction, comment déterminer les sujets prioritaires ?
Sans aucun doute, la « matérialité » est le concept qui monte dans les discussions sur la responsabilité sociale d’entreprise. Choisir c’est renoncer : les entreprises doivent être capables de sélectionner les enjeux qui méritent plus particulièrement leurs efforts, parce qu’ils sont importants aux yeux de leurs parties prenantes pour leur réussite commerciale et pour la conduite de leurs affaires quotidiennes. Les travaux de l’International Integrated Reporting Council (IIRC) et de la Global Reporting Initiative (GRI) recommandent ainsi de pratiquer une « analyse de matérialité » en amont de la publication d’informations extra-financières ; et nombre d’entreprises publient désormais dans leurs rapports de développement durable des « matrices de matérialité » représentant graphiquement les résultats de ladite analyse.
Cette première Note de position d’Utopies est l’occasion de présenter le concept de matérialité, utilisé au départ dans le domaine financier, en proposant des repères méthodologiques et en s’appuyant sur deux études de cas et sur l’avis d’experts internationaux sur le sujets.
En septembre 2015, HEC Business School de l'Université de Liège et Happyformance lance Happynomics, le premier programme post-universitaire dédié au Bonheur au Travail. Cette première mondiale permettra aux participants de rencontrer 8 binômes Académiques / Business, de s'inspirer des meilleures approches et de travailler, en intelligence collective, des problématiques rencontrées dans leur quotidien. Plus d'informations : laurence@happyformance.com
[Webinar] Découvrez 3 leviers pour renforcer la culture client dans votre ent...Eloquant
Offrir une Expérience Client de qualité passe obligatoirement par vos collaborateurs : si vos équipes ne sont pas engagées et orientées client, elles seront incapables de créer du lien avec vos clients, et donc de les fidéliser…
Si vous diffusez une culture client forte au sein de l'entreprise, vous serez en mesure de délivrer aux clients une expérience exceptionnelle, en particulier lors de moments de vérité, et ainsi avoir un réel avantage concurrentiel !
Découvrez en 45 minutes pourquoi et comment diffuser une culture client forte dans votre entreprise :
- Les 3 leviers à actionner pour qu’une culture client soit partagée et relayée par les collaborateurs
- Les outils pour faire qu’une Culture Client ne soit plus un concept mais une réalité quotidienne
- En quoi diffuser une Culture Client s'avère rentable
- Un cas pratique avec Bouygues Telecom Entreprises, vainqueur du CX Award dans la thématique de la Culture Client au Salon CX Paris organisé par le Magazine Relation Client
Enquête sur la RSE dans les PME des réseaux Opcalia & LUCIEKantar
La RSE est une notion vaste, assez floue, principalement appréhendée comme bénéfique pour les salariés, tandis que son impact sur l’environnement ou la gouvernance sont moins bien identifiés. Si la elle est perçue comme importante en théorie, elle n’apparait pas comme une priorité concrète, urgente au quotidien pour les PME du réseau OPCALIA.
http://www.tns-sofres.com/etudes-et-points-de-vue/enquete-sur-la-rse-dans-les-pme-des-reseaux-opcalia-lucie
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Similaire à 09-2013 | MPI | Le marché français Events & Meetings et la RSE
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Selon la terminologie « Lean », l’entreprise teste un produit non-fini et « pivote » selon les réactions du marché. Elle met en place des mécanismes internes et externes pour être en interaction permanente avec le marché. Les entreprises deviennent ainsi réflexives, apprenantes et sociales.
Cette dernière causerie de l’année sera animé par Vincenzo Pallotta, conseiller stratégique en entreprises et spécialisé dans l’approche Lean Startup. Si vous souhaitez comprendre en profondeur ce qu’est une entreprise « Lean » et tester cette méthode dans le cadres des « innovation games » qui seront organisés à cette occasion, nous vous attendons ce jeudi 20 décembre 2012 à 18h00.
Pour une société innovante ou technologique, les besoins de trésorerie et de développement sont importants. Et il est souvent compliqué d’obtenir des financements dont les montants sont suffisants et les délais compatibles avec les nécessités des projets. Il est pourtant possible de convaincre son banquier à condition de considérer sa demande dans une stratégie globale qui intègre les autres sources de financement.
Etude PwC immobilier et développement durable (juillet 2013)PwC France
http://pwc.to/1frxGkH
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Le développement sociétal, en matière de création d’emplois dans un secteur aussi impactant que l’immobilier, est-il un enjeu de communication ?
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Comment renforcer la pertinence de sa stratégie et de son reporting développement durable ?
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Sans aucun doute, la « matérialité » est le concept qui monte dans les discussions sur la responsabilité sociale d’entreprise. Choisir c’est renoncer : les entreprises doivent être capables de sélectionner les enjeux qui méritent plus particulièrement leurs efforts, parce qu’ils sont importants aux yeux de leurs parties prenantes pour leur réussite commerciale et pour la conduite de leurs affaires quotidiennes. Les travaux de l’International Integrated Reporting Council (IIRC) et de la Global Reporting Initiative (GRI) recommandent ainsi de pratiquer une « analyse de matérialité » en amont de la publication d’informations extra-financières ; et nombre d’entreprises publient désormais dans leurs rapports de développement durable des « matrices de matérialité » représentant graphiquement les résultats de ladite analyse.
Cette première Note de position d’Utopies est l’occasion de présenter le concept de matérialité, utilisé au départ dans le domaine financier, en proposant des repères méthodologiques et en s’appuyant sur deux études de cas et sur l’avis d’experts internationaux sur le sujets.
En septembre 2015, HEC Business School de l'Université de Liège et Happyformance lance Happynomics, le premier programme post-universitaire dédié au Bonheur au Travail. Cette première mondiale permettra aux participants de rencontrer 8 binômes Académiques / Business, de s'inspirer des meilleures approches et de travailler, en intelligence collective, des problématiques rencontrées dans leur quotidien. Plus d'informations : laurence@happyformance.com
[Webinar] Découvrez 3 leviers pour renforcer la culture client dans votre ent...Eloquant
Offrir une Expérience Client de qualité passe obligatoirement par vos collaborateurs : si vos équipes ne sont pas engagées et orientées client, elles seront incapables de créer du lien avec vos clients, et donc de les fidéliser…
Si vous diffusez une culture client forte au sein de l'entreprise, vous serez en mesure de délivrer aux clients une expérience exceptionnelle, en particulier lors de moments de vérité, et ainsi avoir un réel avantage concurrentiel !
Découvrez en 45 minutes pourquoi et comment diffuser une culture client forte dans votre entreprise :
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Enquête sur la RSE dans les PME des réseaux Opcalia & LUCIEKantar
La RSE est une notion vaste, assez floue, principalement appréhendée comme bénéfique pour les salariés, tandis que son impact sur l’environnement ou la gouvernance sont moins bien identifiés. Si la elle est perçue comme importante en théorie, elle n’apparait pas comme une priorité concrète, urgente au quotidien pour les PME du réseau OPCALIA.
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Similaire à 09-2013 | MPI | Le marché français Events & Meetings et la RSE (20)
2. Lionel Malard
• 1 an comme consultant Tourisme/Loisirs
• 7 ans de journalisme
• 6 ans comme dirigeant de L’Événementiel(2 M€ de CA, 15 personnes)
• depuis 2006, consultant, fondateur d’Arthémuse
Arthémuse
• cabinet de conseil en management, stratégie opérationnelle
et pilotage de projet (business développement)
• au service des acteurs Events & Meetings
opérateurs : agences, prestataires, lieux, destinations, fabricants…
entreprises : directions des achats
organisateurs d’événements grands publics
4. Le constat
Le « meeting » ou l’« event »
• est consommateur d’énergie
• a un coût social et environnemental
• dans un système de multi-sous-traitance, peu transparent
prise de conscience de la filière
recherche de réduction des impacts
L’étude MPI The Value of CSR in the Meeting Industryle confirme
« feel » « expect » « willbuy » « willpay »
100% dans le ressenti, dans la réflexion, dans la projection
0% dans l’action
5. Le constat, les opérateurs en France
Peu de statistiques, mais sont labellisés/certifiés :
• 7% des hôtels de Paris, 25% à Nantes contre 60% à Copenhague
• 4 agences sur les 600 françaises, pas de leaders
• Palais des congrès/Grands lieux événementiels
/Gestionnaires multi-sites mieux lotis
• quelques prestataires
En retard
Pourquoi ?
• la crise…
• les coûts : +30 à 40% pour des investissements éco-responsables
• le nombre d’auto-labels, labels, certifications…
• la demande, faible
6. Le constat, en conclusion
La RSE, pour les opérateurs =
• un discours, une posture
• une démarche de progrès
• un argument d’image
Mais la RSE n’est absolument pas
• un élément de la stratégie globale
• un levier de développement
l’enjeu : accepter d’être « sanctionné » par les autres!
prouver que la RSE est un levier croissance des profits !
7. Le constat, la demande
Une étude personnelle (≠ enquête) oct. 2011-avril 2012
157compétitions/appels d’offres (50% publics, 50% privés)
• 13(8,3%) intégraient des questions sur le DD
• 5 (3,2%) vrais dossiers DD et RSE
• 0 critère de choix, pas d’exigence de labellisation/certification
pas de demande
Intéressant :
Les 5 dossiers DD et RSE parmi
• les 10 plus gros budgets en jeu
• les 25 contrats les plus longs en durée
=> plus c’est stratégique, plus la RSE est considérée
8. Les enjeux
• les changements de comportement : individu/organisation
• la généralisation de la connaissance : veille, formation, information…
• avec l’ISO 20121, une vraie certification dédiée au marché
• la demande arrive…
• gros budgets, contrat longue durée, international : une nécessité
Les freins
• la crise : repli sur les fondamentaux
• l’accélération de la production
• la saisonnalité
9. En conclusion
• On cherche la « caution écolo »,
à la limite du greenwashing aujourd’hui
ÉCOLO, MAIS PAS TROP !