Brief de la conférence NumNow 3 dont l'objectif est de définir ce qui permettrait à la France d'être en pointe dans le développement des startups du numérique à l'instar des pays comme les Etat-Unis et l'Angleterre.
La France a-elle-vraiment besoin d'un Plan DeeptechBpifrance
Avec le Plan Deeptech la France ambitionne de devenir le moteur européen de la deeptech. Mais la France a-t-elle vraiment besoin d’un plan Deeptech ? Réponse en une infographie.
Le Flash Inno est une lettre bimestrielle consacrée à l'actualité de l'innovation chez Bpifrance. En décembre, lest hèmes abordés dans cette lettre sont : l'évolution du Pass French Tech en FT120, le lancement du 22e concours i-Lab et les plus belles levées de fonds de la fin d'année.
Bpifrance Le Lab PME ETI et Reseaux sociaux Bpifrance
- Les 2 objectifs de cette étude :
o Comprendre où en sont les PME-ETI avec les réseaux sociaux aujourd’hui
o Eclairer les dirigeants de PME-ETI sur les principaux enjeux business des réseaux sociaux
- Une méthodologie fondée sur 2 volets :
o Quanti : lancement d’une enquête de grande ampleur en avril-mai 2018, envoi d’un questionnaire auprès de plus de 30 000 dirigeants de PME-ETI, plus de 1650 réponses récoltées
o Quali : entretiens face à face et téléphoniques avec 20 dirigeants et une quinzaine d’experts des réseaux sociaux
- Les grands enseignements de l’étude :
1. Les réseaux sociaux demeurent un territoire inexploré par les PME-ETI françaises : 70% y sont présentes mais 65% se disent peu actives et inactives. Et elles n’y consacrent pas de budget : 80% dépensent moins de 10 k€/an coûts de personnels inclus, dont la moitié ne dépensent rien du tout.
2. Les réseaux sociaux sont hors du champ de vision du dirigeant de PME et ETI. C’est un sujet « annexe ». Dans les freins évoqués, 85% disent manquer de temps et 70% disent que ce n’est pas un enjeu prioritaire.
3. Il existe un fort décalage entre la vision idéale et les usages des entreprises au quotidien. Peu d’actions sont aujourd’hui mises en place et ce sont des actions qui traduisent une présence encore peu rationnalisée autour d’objectifs déterminés et précis (beaucoup de relais d’informations et de publications de photos, sans logique très précise).
4. C’est l’appétence du dirigeant pour le sujet, soit une donnée personnelle, qui constitue le premier facteur d’engagement de l’entreprise sur les réseaux. Elle prime même devant le secteur d’activité, qui est également déterminant. Les entreprises en contact avec le consommateur final ont plus de facilité à s’emparer du sujet (comme les services, le commerce ou encore le tourisme).
5. L’étude met en lumière 4 comportements d’entreprises sur les réseaux sociaux : 44% forment la « masse silencieuse », 19% les « désinvoltes », 9% les « combatives » et 28% les « pionnières ».
6. Nous avons identifié quatre usages clés permettant de composer un premier plan d’actions compatible avec tous les types d’entreprises, de tous secteurs, de toute taille et de tout âge :
Prospecter / vendre
Améliorer la relation client
Augmenter sa visibilité (auprès des clients, des partenaires, des employés, etc.)
Faire de la veille sectorielle et concurrentielle
Concours i-Lab : synthese d'enquete et donnees statistiquesBpifrance
À l'occasion de la 20e édition du concours i-Lab du ministère de l'Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l'Innovation, la direction de l’expertise de Bpifrance a réalisé pour le compte du ministère une étude sur les entreprises lauréates du concours depuis 1999. Retrouvez les résultats de cette enquête.
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Le Flash Inno est une lettre bimestrielle consacrée à l'actualité de l'innovation chez Bpifrance. En décembre, lest hèmes abordés dans cette lettre sont : l'évolution du Pass French Tech en FT120, le lancement du 22e concours i-Lab et les plus belles levées de fonds de la fin d'année.
Bpifrance Le Lab PME ETI et Reseaux sociaux Bpifrance
- Les 2 objectifs de cette étude :
o Comprendre où en sont les PME-ETI avec les réseaux sociaux aujourd’hui
o Eclairer les dirigeants de PME-ETI sur les principaux enjeux business des réseaux sociaux
- Une méthodologie fondée sur 2 volets :
o Quanti : lancement d’une enquête de grande ampleur en avril-mai 2018, envoi d’un questionnaire auprès de plus de 30 000 dirigeants de PME-ETI, plus de 1650 réponses récoltées
o Quali : entretiens face à face et téléphoniques avec 20 dirigeants et une quinzaine d’experts des réseaux sociaux
- Les grands enseignements de l’étude :
1. Les réseaux sociaux demeurent un territoire inexploré par les PME-ETI françaises : 70% y sont présentes mais 65% se disent peu actives et inactives. Et elles n’y consacrent pas de budget : 80% dépensent moins de 10 k€/an coûts de personnels inclus, dont la moitié ne dépensent rien du tout.
2. Les réseaux sociaux sont hors du champ de vision du dirigeant de PME et ETI. C’est un sujet « annexe ». Dans les freins évoqués, 85% disent manquer de temps et 70% disent que ce n’est pas un enjeu prioritaire.
3. Il existe un fort décalage entre la vision idéale et les usages des entreprises au quotidien. Peu d’actions sont aujourd’hui mises en place et ce sont des actions qui traduisent une présence encore peu rationnalisée autour d’objectifs déterminés et précis (beaucoup de relais d’informations et de publications de photos, sans logique très précise).
4. C’est l’appétence du dirigeant pour le sujet, soit une donnée personnelle, qui constitue le premier facteur d’engagement de l’entreprise sur les réseaux. Elle prime même devant le secteur d’activité, qui est également déterminant. Les entreprises en contact avec le consommateur final ont plus de facilité à s’emparer du sujet (comme les services, le commerce ou encore le tourisme).
5. L’étude met en lumière 4 comportements d’entreprises sur les réseaux sociaux : 44% forment la « masse silencieuse », 19% les « désinvoltes », 9% les « combatives » et 28% les « pionnières ».
6. Nous avons identifié quatre usages clés permettant de composer un premier plan d’actions compatible avec tous les types d’entreprises, de tous secteurs, de toute taille et de tout âge :
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Améliorer la relation client
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Concours i-Lab : synthese d'enquete et donnees statistiquesBpifrance
À l'occasion de la 20e édition du concours i-Lab du ministère de l'Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l'Innovation, la direction de l’expertise de Bpifrance a réalisé pour le compte du ministère une étude sur les entreprises lauréates du concours depuis 1999. Retrouvez les résultats de cette enquête.
Le Flash Inno est une lettre bimestrielle consacrée à l'actualité de l'innovation chez Bpifrance. Pour la première édition de l'année 2020, focus sur : la deeptech, les lauréats du french tech 120 et les plus belles levées de fonds.
Bpifrance est ancré dans les territoire, partenaires des Régions.
Découvrez l'Atlas des Régions 2014 de Bpifrance.
Cet atlas illustre l'activité de Bpifrance au cours de l'année 2014.
Bpifrance le lab - le numerique deroutantBpifrance
Bpifrance Le Lab, Le Numérique Déroutant.
Le numérique peut être vu comme une rupture profonde, touchant la nature même du modèle économique de toutes les entreprises, et notamment celui des PME des secteurs dits "traditionnels".
Bpifrance Le Lab, en collaboration avec Olivier Sichel, PDG du groupe LeGuide, publie "Le numérique déroutant", une étude sur le numérique comme facteur de recomposition des chaînes de valeur dans des secteurs à très forte densité de PME : le tourisme, le transport, la plasturgie et le bâtiment. Disrupter ou être disrupté, voilà en substance le choix auquel sont confrontées ces professions face à la révolution numérique...
« Deeptech » est un mot que l’on n’a pas fini d’entendre. L’innovation vit un nouveau moment de transformation. Après avoir été tirée pendant plus de 10 années par le digital et la révolution des smartphones, qui ont bouleversé les usages, elle connaît une nouvelle impulsion : une vague liée aux technologies de rupture.
Cet ouvrage qui accompagne le lancement du Plan Deeptech vise à
démultiplier l'action de Bpifrance. Le référentiel qui y est présenté sera la base de l’analyse des projets deeptech chez Bpifrance, pour mieux faire
émerger les startups de demain sur tout le territoire. Nous tenions
également à y associer des acteurs de la deeptech, afin qu’ils puissent
faire part de leur expérience et de leurs conseils à tous ceux qui
souhaitent se lancer.
Création d'entreprise, entrepreneuriat pour TOUS, Deeptech, financement, innovation, investissement, garantie… Que faut-il retenir de l'année 2019 de Bpifrance ?
"Demain" c'est le projet de réflexion de Bpifrance, autour de grands besoins sociétaux économiques et environnementaux qui sont les fondements de la croissance de demain. De nombreux groupes d'échanges existent et permettent de les comprendre dans leur urgence mais aussi dans leur complexité et dans leurs dynamiques propres.
Au Lab, nous avons souhaité en présenter 6 et les confronter aux réalités du terrain avec des témoignages de dirigeants et d'experts et des cas d'entreprises sur ces thématiques :
Nourrir l’humanité
Vivre et vieillir en bonne santé
Mieux se protéger
Repenser la formation initiale et continue
Créer l’entreprise et le travail de demain
Réussir la transition écologique et énergétique
Cette étude permettra de nourrir la réflexion des dirigeants dont nous portons la parole depuis 5 ans, stimuler leur curiosité et chercher des clefs de compréhension des grandes dynamiques à l’œuvre.
A la tête de l’entreprise, c’est lui le capitaine du navire, celui qui fixe la cap pour naviguer dans des eaux troubles, celui qui définit les zones à explorer et offre un cadre propice à l’innovation et au changement, et celui qui partage sa vision pour donner du sens aux manœuvres.
Vous êtes une startup ?
Vous proposez un produit, un service innovant ?
Vous êtes au stade de la faisabilité ?
En phase de développement ou d’industrialisation ?
BPI soutient, garantit et subventionne vos innovations. Critères d’éligibilité, bénéficiaires, modalités de mise en œuvre,.. Focus sur le PRI (Partenariat Régional d’Innovation) et la Bourse French Tech.
Bpifrance, banque publique d’investissement, est le partenaire des entrepreneurs Bpifrance finance les entreprises de l’amorçage jusqu’à la cotation en bourse en passant par la transmission, en crédit, en garantie et en fonds propres. Bpifrance les accompagne aussi à l’export, en partenariat avec Business France et Coface, et dans leurs projets d’innovation.
Le Volontariat Territorial Entreprise a pour objet de promouvoir les PME auprès des talents en fin de cycle scolaire. Ce document traduit la volonté des parties de mettre en place un volontariat territorial en entreprise (VTE) dans les Territoires et formalise les principes de coopération entre les parties prenantes.
Podcast : panorama d'un secteur en ébullition - Radio France - Résidence CréatisFrenchTechCentral
900 000 : c’est le nombre de podcasts mis en ligne en 2020, soit trois fois plus qu’en 2019. Délaissé pendant plus de 15 ans, ce format est désormais sujet à un engouement éditorial et économique sans précédent. Devenu une véritable industrie à part entière, il s’impose désormais dans les stratégies des créateurs.trices indépendant.es et des géants de l’internet.
À l’occasion d’un webinar, Thomas Biasci, chef de projet innovation et spécialiste podcasts de Radio France, et William Shilton, responsable des programmes de la Résidence Créatis, s’adressent aux startups qui souhaitent en savoir plus sur ce format dont tout le monde parle.
Au programme du Flash inno
Au programme de cette lettre de l'innovation :
• Quelle histoire ! LHYFE, une entreprise de production d’hydrogène vert et renouvelable
• Les appels à projets en cours
• Les nouvelles offres accompagnement
• etc.
Rapport d'activité 2015-2016 - Agence du Numérique-CoRAIA
Structure ad hoc du Ministère de l’Economie, l’Agence du Numérique a été créée il y a près de deux ans pour piloter des
actions ciblées en matière d’innovation et de numérique
Le Flash Inno est une lettre bimestrielle consacrée à l'actualité de l'innovation chez Bpifrance. Pour la première édition de l'année 2020, focus sur : la deeptech, les lauréats du french tech 120 et les plus belles levées de fonds.
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Bpifrance Le Lab, Le Numérique Déroutant.
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« Deeptech » est un mot que l’on n’a pas fini d’entendre. L’innovation vit un nouveau moment de transformation. Après avoir été tirée pendant plus de 10 années par le digital et la révolution des smartphones, qui ont bouleversé les usages, elle connaît une nouvelle impulsion : une vague liée aux technologies de rupture.
Cet ouvrage qui accompagne le lancement du Plan Deeptech vise à
démultiplier l'action de Bpifrance. Le référentiel qui y est présenté sera la base de l’analyse des projets deeptech chez Bpifrance, pour mieux faire
émerger les startups de demain sur tout le territoire. Nous tenions
également à y associer des acteurs de la deeptech, afin qu’ils puissent
faire part de leur expérience et de leurs conseils à tous ceux qui
souhaitent se lancer.
Création d'entreprise, entrepreneuriat pour TOUS, Deeptech, financement, innovation, investissement, garantie… Que faut-il retenir de l'année 2019 de Bpifrance ?
"Demain" c'est le projet de réflexion de Bpifrance, autour de grands besoins sociétaux économiques et environnementaux qui sont les fondements de la croissance de demain. De nombreux groupes d'échanges existent et permettent de les comprendre dans leur urgence mais aussi dans leur complexité et dans leurs dynamiques propres.
Au Lab, nous avons souhaité en présenter 6 et les confronter aux réalités du terrain avec des témoignages de dirigeants et d'experts et des cas d'entreprises sur ces thématiques :
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Cette étude permettra de nourrir la réflexion des dirigeants dont nous portons la parole depuis 5 ans, stimuler leur curiosité et chercher des clefs de compréhension des grandes dynamiques à l’œuvre.
A la tête de l’entreprise, c’est lui le capitaine du navire, celui qui fixe la cap pour naviguer dans des eaux troubles, celui qui définit les zones à explorer et offre un cadre propice à l’innovation et au changement, et celui qui partage sa vision pour donner du sens aux manœuvres.
Vous êtes une startup ?
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Structure ad hoc du Ministère de l’Economie, l’Agence du Numérique a été créée il y a près de deux ans pour piloter des
actions ciblées en matière d’innovation et de numérique
Programme dédié à la création d'entreprises sur le territoire Aix-Marseille-Provence. Ce document liste les atouts du territoire ainsi que les aides que nous pouvons vous apporter si vous décidez de créer votre startup chez nous.
Workshop ministère du commerce Tunisie ict4_all_2010Khabbab HADHRI
Workshop sur le thème:"Vendre sur le web: Comment profiter des logiciels libres et applications e-commerce pour créer sa boutique en ligne?" Organisé le 10 Novembre 2010 en marge de la seconde édition de l'ICT4ALL -Tunis+5 par le Ministère du Commerce et de l’Artisanat de Tunisie en collaboration avec le Centre du Commerce International (ONU/OMC) de Genève
Dossier de presse candidature BrestTech à la labellisation French TechBrestTech
Dossier de presse de la candidature BrestTech à la labellisation métropole French Tech. Plus d'infos sur www.bresttech.com. Des questions ? Envoyez un mail à bresttech@gmail.com
CCI de demain : des CCI digitales, agiles et collaborativesCCI France
Face aux évolutions de leur environnement, tant technologiques qu’institutionnelles, et aux mutations auxquelles sont confrontées entreprises, les CCI s’adaptent aux nouveaux défis qui leur sont lancés. Initiée fin 2014, la démarche CCI de demain est le projet de transformation des CCI visant à adapter l’offre de service aux enjeux économiques et aux besoins des entreprises, actuels et à venir, à travers 3 axes...
La Poste lance la 2ème édition de son concours « French IoT » et dévoile l’identité de ses 4 grands partenaires nationaux
Dans le cadre de la 2ème édition de son programme French IoT, La Poste ouvre une plateforme d’appel à projets innovants, à l’attention des start-up de l’Internet des Objets (IoT).
Présentation de l'AMI - Investissements d'avenirPRN_numerique
Programme des Investissements d'Avenir,
Présentation de l'Appel à Manifestation d'Intérêts dans le cadre du Fonds National pour la Société Numérique
présenté lors de la réunion du 11 juillet 2011 à Lille
Appel à Manifestation d'Intérêt pour le Fonds National pour la Société NumériquePRN_numerique
Slideshare de la conférence "Le Plan d'Investissement d'Avenir pour la PME Numérique : Comment saisir les opportunités en Nord-Pas de Calais ?" lors du Financial'IT Day le 21 juin dernier à Euratechnologies
DIGITAL ATTRAXION lance MoveUp,un des programmes d’accélération de startups n...DigitalAttraxion
Le programme MoveUp, dont la première édition se déroulera au Negundo Innovation Center à Tournai pendant vingt semaines, a été présenté ce matin lors d’une conférence de presse qui rassemblait Rudy Demotte, Ministre-Président de la Fédération Wallonie-Bruxelles et Bourgmestre de Tournai, Hervé Cornillie du Cabinet de Jean-Luc Crucke, Ministre wallon du Budget, de l'Energie et des Aéroports, et Marcel Miller, Managing Director ALSTOM Benelux, ainsi que de nombreuses autres entreprises partenaires du Move Up Program.
MoveUp Program joue sur la complémentarité entre « startups » et entreprises « Corporate » et a pour objectif de les faire collaborer sur le développement de solutions, produits ou services proposés par ces jeunes entreprises innovantes. L’initiative se veut concrète en se focalisant sur des problématiques réelles et la recherche de solutions. Elle permettra aux dix startups sélectionnées d’accélérer leur progression en confrontant leur prototype à la réalité du marché mais aussi en dénichant des marchés potentiels.
La première édition du MoveUp Program s’adresse à des startups numériques à haute valeur ajoutée et intéressées par le marché européen des projets libellés ‘Smart Cities’. Installées en Belgique ou à l’international, elles devront disposer d’un prototype au moment de leur candidature.
Les thématiques de la première édition du MoveUp Program seront les systèmes intelligents de transports (ITS), la mobilité des objets connectés (IoT) et l’analytique de Big Data en Smart Environnement.
Similaire à 1. French Tech - présentation générale (20)
DIGITAL ATTRAXION lance MoveUp,un des programmes d’accélération de startups n...
1. French Tech - présentation générale
1. L’INITIATIVE
« FRENCH TECH »
POUR LA CROISSANCE
ET LE RAYONNEMENT DE L’ÉCOSYSTÈME
NUMÉRIQUE FRANÇAIS
La French Tech en actions
Mobilisation des écosystèmes sur les territoires : labellisation de quelques
« Métropoles French Tech » qui se caractérisent par un écosystème numérique
de niveau international et un projet ambitieux et fédérateur de croissance de
cet écosystème.
Accélération : 200 M€ investis dans des initiatives privées (des « programme
d’accélération ») qui aident les entreprises numériques à croître plus vite pour
devenir des champions internationaux.
Attractivité internationale : 15 M€ pour soutenir des Fablabs et attirer des
talents, entrepreneurs et investisseurs étrangers.
Les financements s’inscrivent dans le programme d’investissements d’avenir.
Le pilotage est assuré par la Mission French Tech au sein du ministère délégué à l’Économie numérique. Dans le cadre du programme d’investissements d’avenir elle s’appuie
sur l’opérateur Caisse des dépôts qui coordonnera les actions de Bpifrance pour le soutien
aux programmes d’accélération, Ubifrance et l’Agence française pour les investissements
Internationaux.
2. 1. QU’EST-CE QUE LA FRENCH TECH ?
En quoi consiste la French Tech ?
L’objectif de l’initiative French Tech est de
positionner la France sur la carte du monde
des principales nations numériques. Il s’agit
de favoriser l’émergence de champions
de niveau mondial, capables de passer, en
quelques années, de quelques salariés à plusieurs milliers, voire à des dizaines de milliers
d’emplois.
La French Tech est un grand mouvement de
mobilisation collective des écosystèmes territoriaux les plus dynamiques de France pour
la croissance de leurs startups et entreprises
numériques. Les acteurs privés (entrepreneurs, entreprises, investisseurs) en capacité d’investir du temps, de l’énergie et de
l’argent dans la croissance de leurs écosystèmes et dans l’accélération des entreprises
numériques en sont le moteur. Le nom de
l’initiative, French Tech, a été choisi avec les
acteurs des écosystèmes numériques français, car ils en seront les meilleurs ambassadeurs à l’international.
Ces champions du numérique ne se développent pas n’importe où. Des dizaines de
métropoles dans le monde ont montré
qu’elles pouvaient en stimuler la création
et le développement en se constituant en
écosystèmes qui concentrent des communautés d’acteurs publics et privés très dynamiques. Les moteurs de ces écosystèmes
sont les entrepreneurs qui créent des
startups, les font croître à l’échelle internationale, mais aussi se mobilisent pour soutenir d’autres startups de leur écosystème,
notamment par le partage de leur expérience entrepreneuriale.
Concrètement, l’initiative French Tech
consiste d’abord à identifier et valoriser les
« Métropoles French Tech », qui formeront
ensemble une « équipe de France » des
écosystèmes numériques métropolitains
français porteurs du plus fort potentiel de
croissance et d’attractivité internationale.
La France doit jouer la carte de cette dynamique collective en faveur du développement des écosystèmes de startups et d’entreprises de croissance numériques.
L’objectif est de stimuler leur croissance :
•• de l’intérieur : en soutenant l’accélération
de la croissance de leurs champions du
numérique (levier Accélération) ;
•• e l’extérieur : en attirant des talents et
d
des projets entrepreneuriaux depuis l’international (levier Attractivité).
Dans cette perspective, le Gouvernement a
lancé l’initiative French Tech.
La croissance de ces écosystèmes métropolitains et de leurs entreprises championnes du
numérique aura un effet d’entraînement économique sur l’ensemble du territoire français.
Dans une logique de subsidiarité, la French
Tech entend donc appuyer pour les amplifier,
les dynamiques entrepreneuriales existantes
au sein des métropoles phares du numérique en France.
2
3. Trois leviers d’intervention
2. « Accélération de la croissance des
startups » : davantage que sur la création
d’entreprises, la French Tech se focalise sur
l’accélération de la croissance des startups et
entreprises numériques. À travers la French
Tech, l’État soutiendra des initiatives privées, portées par des entrepreneurs, qui
sélectionnent et accélérent la croissance
d’entreprises numériques avec l’ambition
qu’elles deviennent des leaders internationaux. Dans le cadre du programme d’investissements d’avenir, l’État pourra investir une
enveloppe totale de 200 M€ dans des dispositifs d’accélération présentant un modèle
économique viable. Cet investissement sera
un co-investissement minoritaire et pourra
prendre la forme de fonds propres ou quasifonds propres.
Pour atteindre cet objectif de croissance et
de visibilité internationale pour l’écosystème
numérique français, la French Tech actionne
trois leviers d’intervention en mobilisant le
programme d’investissements d’avenir :
1. « Mobilisation des écosystèmes métropolitains autour d’un projet fédérateur et
ambitieux » : il s’agit de labelliser quelques
territoires sur la base d’un cahier des charges
actant un existant, une ambition et des
engagements. Les métropoles développant
un écosystème dynamique d’entreprises
numériques, et portant un projet à la fois
fédérateur et ambitieux de croissance et
de visibilité internationale de cet écosystème seront identifiées et distinguées par le
label « Métropole French Tech ».
Aucun modèle n’est imposé a priori et la
diversité est encouragée. Ainsi, les acteurs
privés pourront imaginer toute activité
commerciale qui répond aux besoins
d’accompagnement des startups comme
des programmes de mentorat, de formation, d’aide au recrutement, de partage de
technologies de pointe ou de machines
(comme les fablabs), d’aide à la commercialisation (par exemple le montage de pilotes
commerciaux) ou à l’internationalisation.
En revanche, la RD et le transfert de la
recherche publique ne sont pas dans le périmètre car ils sont déjà couverts par d’autres
programmes publics de soutien.
Les écosystèmes métropolitains labellisés
« Métropole French Tech » se caractériseront
par :
•• n écosystème numérique présentant
u
une taille critique et un dynamisme
remarquable, associant en particulier un
ensemble conséquent d’entreprises de
croissance ;
•• n réseau d’acteurs publics et privés
u
coordonné, efficace, et fortement mobilisé pour les startups et les entreprises de
croissance du territoire ;
•• n portefeuille de programmes d’accéléu
ration d’entreprises numériques portés par
les acteurs privés ;
•• n environnement urbain favorable, lisible
u
et attractif développé par les collectivités
(un ou des espaces géographiques identifiés, des aménagements dont au moins
un bâtiment emblématique, des infrastructures, des services, etc.) ;
•• es espaces d’expérimentation et de
d
démonstration.
L’efficacité de cette mobilisation dépendra
largement du nombre, de la qualité et de
l’ambition des acteurs privés, des entrepreneurs, des entreprises, des investisseurs qui
s’y engageront. Le nombre de startups et
d’entreprises de croissance bénéficiant de
ces actions d’accélération de croissance,
ainsi que leur développement futur, traduiront l’impact concret de cette mobilisation.
3
4. Mission French Tech
Les programmes d’accélération issus de tous
les territoires seront éligibles mais les investissements seront concentrés majoritairement dans les écosystèmes métropolitains
labellisées French Tech.
Une Mission French Tech, au sein du ministère délégué à l’Économie numérique, pilote
l’initiative et la représente au niveau national
et international. Le cœur de sa mission est
de co-construire avec les porteurs les projets
(labellisation, accélération, attractivité) proposés dans le cadre de l’initiative. Dans une
logique de subsidiarité et de valeur ajoutée,
elle mettra également en œuvre des programmes nationaux au bénéfice des territoires labellisés « Métropole French Tech ».
3. « Attractivité internationale » : au sein
de la French Tech, les « Métropoles French
Tech » seront mises en réseau et travailleront
en équipe dans un effort de marketing et de
promotion internationale visant à accroître la
visibilité et l’attractivité de l’écosystème français. Une enveloppe de 15 M€ sera consacrée à ce travail de promotion, principalement pour soutenir des actions d’attractivité
portées par des entrepreneurs, entreprises
ou investisseurs des écosystèmes labellisés,
mais aussi pour encourager la création de
Fablabs.
La mission travaille avec les directions du
ministère (Direction générale de la Compétitivité, de l’Industrie et des Services, direction du Trésor), en lien avec le Commissariat général à l’investissement. Elle s’appuie
également sur les opérateurs nationaux, qui
coordonneront leurs actions en faveur du
numérique : la Caisse des dépôts (opérateur
de l’action au sein du programme des investissements d’avenir), Bpifrance, Ubifrance, et
l’Agence française pour les investissements
internationaux.
4
5. 2. LABELLISATION «MÉTROPOLE FRENCH TECH»
1. Quelles sont
les caractéristiques attendues
d’une « Métropole French Tech » ?
L’objectif de la labellisation est d’encourager
la mobilisation des écosystèmes métropolitains dynamiques sur le plan entrepreneurial autour d’un projet ambitieux,
fédérateur et structurant pour leur territoire, de croissance et de visibilité internationale de l’écosystème.
Un secteur numérique important par sa
taille et son dynamisme :
•• un dynamisme économique remarquable
du secteur numérique sur le territoire :
chiffre d’affaires, création de startups,
croissance, emplois, levées de fonds ou
autofinancement ;
•• n écosystème d’acteurs mobilisés, foisonu
nant, concentré et efficace : entreprises,
investisseurs, formation, recherche, opérateurs et agences publics ;
•• des acteurs privés - entreprises, entrepreneurs, investisseurs - qui investissent dans
le développement de leur écosystème et
y assument un rôle de leadership.
Un projet labellisé est donc d’abord un projet de l’écosystème du territoire, la mobilisation de tous les acteurs, publics et privés,
étant un facteur clé :
•• n termes de gouvernance, le projet est
e
structuré autour d’un consortium d’acteurs publics et privés avec la métropole
comme chef de file et déposant du projet ;
•• a réussite du projet dépend de la mobilil
sation effective des acteurs privés.
Il est visé la labellisation d’un nombre limité
de métropoles, correspondant à des critères objectifs en termes de taille et de dynamique :
•• haque territoire labellisé « Métropole
c
French Tech » a une masse critique et
un dynamisme entrepreneurial qui lui
donne une visibilité au niveau international ;
•• es territoires labellisés gardent chacun
l
leur identité propre, mais ils s’engagent
à agir dans une démarche collective ;
•• e succès de « l’équipe de France » des
l
« Métropoles French Tech » a un effet
d’entraînement sur l’ensemble des territoires, y compris ceux qui n’ont pas été
labellisés.
Un environnement urbain favorable,
lisible et attractif à l’international :
•• n espace urbain (ou un réseau cohérent
u
d’espaces urbains) lisible et clairement identifié, où sont concentrés les acteurs et activités numériques ;
•• un environnement favorable à l’économie
numérique et attractif à l’international :
aménagements, infrastructures, services, etc. ;
•• u moins un bâtiment-totem emblémaa
tique, lieu étendard de rassemblement de
l’écosystème du territoire ;
•• es espaces d’expérimentation (usages)
d
pour les entreprises ;
•• es espaces de démonstration de prod
duits/services innovants, y compris à destination des citoyens du territoire.
5
6. 2. Qu’attend-on des acteurs ?
« programmes d’accélération » effectués
sur des territoires labellisés.
Acteurs privés (entrepreneurs, entreprises,
investisseurs) :
•• obilisation dans le projet, rôle de leam
dership ;
•• réation et investissement dans des proc
grammes d’accélération pour des startups
et des entreprises numériques du territoire.
4. La décision de labellisation s’appuiera
en particulier sur la dynamique de l’écosystème local, permettant à ce dernier de
cofinancer un ou plusieurs programmes
d’accélération.
5. Les acteurs des « Métropoles French
Tech » auront la garantie d’accéder aux
ressources de la Halle Freyssinet à Paris.
Collectivités territoriales : soutien à leur
écosystème en développant un environnement favorable et lisible (aménagement,
infrastructure, achat public, services publics).
Par ailleurs, la Caisse des dépôts pourra
accompagner les projets urbains et d’infrastructures des métropoles labellisées, dans
le cadre de sa doctrine d’intervention habituelle.
Acteurs publics économiques ou numériques (formation, recherche, agences régionales, pôles de compétitivité, etc.) :
•• obilisation et coordination des efforts en
m
faveur des entreprises numériques de leur
territoire.
4. Quels bénéfices
pour les entreprises
de croissance « championnes »
d’un territoire labellisé ?
3. Quels bénéfices un écosystème
peut-il attendre
de la labellisation ?
•• n accès favorisé aux offres de Bpifrance
U
et d’Ubifrance.
•• n programme d’accès à des grands
U
comptes nationaux et internationaux.
•• es bureaux de passage disponibles dans
D
toutes les « Métropoles French Tech » en
France, et à Paris dans le cadre de l’offre de
la Caisse des dépôts à la Halle Freyssinet.
« Attractivité internationale »
1. Accès à des subventions (enveloppe
PIA de 15 M€) sur appel à projets, pour
des opérations d’attractivité internationale de l’écosystème labellisé et des projets de Fablabs.
5. Et Paris et l’écosystème
francilien ?
2. Possibilité d’utiliser les marques French
Tech et Métropole French Tech, pour
mieux identifier et promouvoir son écosystème.
•• aris et l’Île-de-France jouent de fait le
P
rôle de « locomotive » française, compte
tenu d’une concentration très élevée des
acteurs de l’économie numérique.
•• es programmes d’accélération de l’écoL
système francilien représentent un potentiel considérable de dynamisation du secteur numérique français.
« Accélération de la croissance des entreprises »
3. La majeure partie des investissements
dans le cadre du PIA sera réalisée dans des
6
7. -- l’objectif est d’amener le projet à
« maturité » pour acquérir la labellisation,
selon les critères et les engagements
définis ;
-- cette phase de maturation sera de durée
variable.
•• a Mission French Tech travaillera avec
L
l’écosystème francilien, sur le mode de la
« co-construction », pour développer ses
propres projets d’accélération et d’attractivité internationale.
6. Comment se déroulera
le processus de labellisation ?
•• la fin de ce processus de co-construcÀ
tion, la Mission French Tech transmet le
projet pour décision de labellisation à un
comité de sélection dont la décision sera
ferme et définitive. Ce comité se réunira
pour prendre des décisions plusieurs fois
par an, afin de s’inscrire dans un processus
fluide et continu de traitement des projets.
•• ’ « appel à labellisation » est permanent et
L
ouvert au fil de l’eau.
•• a Mission French Tech est chargée de coL
construire les projets avec les porteurs.
•• Le processus sera itératif et continu :
-- les projets entrent dans un processus
d’accompagnement vers la labellisation,
avec un ensemble d’étapes à franchir ;
La labellisation se fera d’abord pour une
année, puis, le cas échéant, confirmé suite à
une nouvelle évaluation sur la base d’un projet complété et mis à jour ; ensuite le label
sera réexaminé en jeu tous les trois ans.
7
8. 3. ACCÉLÉRATION DE LA CROISSANCE
DES STARTUPS NUMÉRIQUES : LANCEMENT
D’UNE RÉFLEXION COLLECTIVE À TRAVERS UNE
CONSULTATION NATIONALE
1. Qu’est-ce qu’un « programme
d’accélération de startups ? »
•• ccompagnement en matière de
a
« design » de produit/service ;
•• ccélération de l’accès à un marché intera
national ;
•• rogramme d’une grande entreprise ou
p
d’un consortium de grandes entreprises
pour accompagner des startups ou codévelopper des pilotes commerciaux, y
compris à l’international (portage).
Un programme d’accélération permet
d’identifier des entreprises à haut potentiel
de croissance et de leur donner accès à des
ressources de grande valeur, donc rares, pour
accélérer leur croissance : un réseau d’entrepreneurs mentors de haut niveau, des accès
marché, des talents, du capital, etc.
C’est l’état de l’art dans toutes les grandes
nations numériques (États-Unis, Israël, pays
scandinaves, etc.).
NB : la RD et le transfert technologique de la
recherche publique ne sont pas dans cette liste car ils
sont déjà couverts par d’autres actions du programme
d’investissements d’avenir.
Systématiquement privées (éventuellement
en partenariat avec des acteurs publics), ces
initiatives exécutent un modèle d’affaires
compatible avec une rentabilité de long
terme.
2. Un appel à propositions
en 2014
Un appel à manifestations d’intérêt pour
construire et soutenir des programmes
d’accélération privés sera publié en 2014.
Cet appel sera permanent et ouvert au fil de
l’eau.
En pratique, les exemples de programmes
d’accélération sont particulièrement diversifiés :
•• Accélérateur de startup » : mentorat et
«
investissement ;
•• ccélération du prototypage grâce à des
a
ateliers de fabrication numérique (Fablab) ;
•• ormations spécialisées pour des starf
tups (marketing numérique, méthodes
« lean », etc.) ;
•• ccélération de l’identification et du recrua
tement de talents ;
•• ccélération de l’appropriation de technoa
logies émergentes ;
La Mission French Tech aura pour rôle d’accompagner les porteurs de projet dans la
construction de leurs projets. L’instruction et
les décisions de financement seront confiées
à Bpifrance (après validation par le Premier
ministre pour les cas les plus significatifs).
8
9. 3. Modalités d’investissement
« avisé » dans des programmes
d’accélération
Dans le cadre du programme d’investissements d’avenir, les modalités suivantes dites
d’investissement « avisé » sont prévues pour
les programmes d’accélération :
•• nvestissement dans des « programmes
i
privés d’accélération » de startups et de
PME numériques, pour aider ces programmes à démarrer ou accompagner
leur croissance ;
•• nveloppe de 200 M€ du programme d’ine
vestissements d’avenir : co-investissement
de l’État via Bpifrance (50 % maximum)
avec un retour identique aux actionnaires
privés. Financements en fonds propres
ou quasi-fonds propres, et aux côtés de
partenaires, publics ou privés, dans des
entités économiques, suivant le principe
de l’investisseur « avisé », c’est-à-dire des
conditions qui seraient acceptables pour
un investisseur privé placé dans des conditions comparables ;
•• ous les territoires sont éligibles, mais les
t
programmes financés doivent identifier
une « Métropole French Tech » à laquelle
ils seront rattachés ;
•• es programmes financés par l’État auront
l
l’obligation d’utiliser la marque French
Tech sur leurs supports de communication.
9
10. ➜ TYPOLOGIE DES « PROGRAMMES
D’ACCÉLÉRATION DE STARTUPS »
De nombreuses initiatives existent au sein
des écosystèmes, en France et à l’étranger,
pour soutenir le développement des entreprises numériques, et en particulier pour :
•• réer un terreau fertile pour l’entreprec
neuriat et/ou l’intrapreneuriat, en apportant toutes les conditions nécessaires à
l’éclosion de jeunes pousses et en aidant
les grandes entreprises à s’engager dans
l’innovation ouverte (c’est-à-dire à collaborer avec leurs partenaires pour innover
que cela soit leurs clients, des étudiants ou
des startups) ;
•• ccélérer la croissance de projets d’entrea
preneurs, en les aidant à trouver leur marché ou à abandonner/se recycler le plus
rapidement possible ;
•• pporter un pipeline de projets qualifiés
a
aux financeurs et notamment aux investisseurs en fonds propres.
Les initiatives dédiées à l’« accélération » se
concentrent davantage sur l’accélération
de la croissance des entreprises que sur
la création de startups.
Il existe une grande variété de structures et
programmes d’accélération. Globalement
toutes ces structures contribuent à créer un
écosystème de l’innovation plus dynamique
et pérenne.
Quelques exemples des actions qui stimulent le dynamisme d’un écosystème
numérique :
•• Programmes d’accès à des compétences numériques
Programmes associant étudiants de profils
complémentaires (ingénieurs commerciaux,
designers, informaticiens, etc.), entrepreneurs et acteurs de l’innovation pour travailler sur des projets concrets d’innovation
ou de création produits, en mobilisant des
méthodologies de design thinking, making,
prototypage rapide, etc. Ces programmes
offrent notamment pour les entreprises un
accès facilité aux talents, en particulier aux
jeunes diplômés.
•• Fablabs (Fabrication laboratory)
Espaces ouverts de conception et de prototypage avec un parc de machines complet pour l’usinage, la mesure et les essais.
Au sein de ces lieux de fabrication, la créativité individuelle est encouragée autour
du terme « Do It Yourself » et de la philosophie des « makers ». Ces espaces réunissent
différentes populations (étudiants, entrepreneurs, designers, artistes, bricoleurs,
hackers, etc.) et constituent ainsi des espaces
de rencontre et de création collaborative.
•• Concours
Outil de sélection des entrepreneurs apportant émulation, visibilité souvent internationale, et en fonction des cas financement et
accompagnement aux lauréats.
•• Réseau d’entrepreneurs
Structures associatives qui apportent de
l’accompagnement via du mentorat entre
entrepreneurs, et souvent du financement
sous forme de prêt d’honneur, dans la majorité des cas sans hébergement.
•• Incubateurs
Structures publiques, académiques ou privées, sous forme associative ou SAS, apportant des services (coaching, mise à disposition de ressources techniques, hébergement
selon les cas) et une mise en réseau sur une
durée longue, sur la base d’un modèle économique ad hoc.
•• Accélérateurs
Structures privées, SAS ou associations,
ayant souvent à leur tête des entrepreneurs
et apportant un accompagnement intensif,
sorte de « MBA » pour startups (sur maximum six mois) qui cherchent à rapidement
lever des fonds, avec ou sans hébergement,
en échange d’un loyer, d’une cotisation
10
11. et/ou d’une prise de participation. C’est
un modèle très sélectif et particulièrement
bien adapté au secteur numérique (mise en
œuvre des principes de lean management).
•• rogrammes d’accélération sur un
P
marché international
Structure implantée à l’étranger et facilitant
l’insertion d’une entreprise dans l’écosystème local et son développement sur le
marché régional : partage d’un réseau de
contacts qualifiés, formations et kits pratiques pour les démarches administratives,
mentorat par des entrepreneurs et entreprises déjà implantées, lien avec des investisseurs sur le territoire et en France, éventuellement capacité d’hébergement ou de
co-working.
•• « Maisons de l’international »
La mise en place des « Maisons de l’international » a été annoncée par le Président de
la République le 29 avril 2013. Elles constitueront des plates-formes fédératrices de
l’ensemble des opérations publiques de
promotion et d’accompagnement des
sociétés innovantes françaises dans le but
d’assurer leur ancrage durable dans les principaux écosystèmes mondiaux de l’innovation. Ces « Maisons de l’international » (initiatives déjà engagées aux États-Unis et en
Chine) sont des accélérateurs de croissance
offrant aux entreprises sélectionnées : un
réseau de décideurs et de mentors de haut
niveau ; un accès facilité à des investisseurs
français et étrangers ; un accompagnement
ciblé, intégré et dans la durée avec facilités
d’hébergement, assuré par des professionnels à chaque étape de la feuille de route de
l’entreprise, en coordination avec Ubifrance ;
une vitrine commune montrant la qualité de
l’innovation française.
➜ Les programmes d’accélération « French Tech »
Les « programmes d’accélération » soutenus dans le cadre de la French Tech pourront s’appuyer sur les exemples ci-dessus (avec sans doute des modèles mixtes), …
et sur de nombreux autres.
Ils auront néanmoins trois caractéristiques principales :
•• ls seront portés par des acteurs privés (éventuellement en partenariat avec des
i
acteurs publics) : des entrepreneurs, des entreprises (grandes ou moyennes) ou
bien encore des investisseurs ;
•• ls s’appuieront sur un modèle économique viable ;
i
•• ls seront porteurs d’une proposition de valeur forte et différenciante vis-à-vis de
i
l’existant (accès pour les startups à des ressources rares donc de grande valeur)
pour accélérer la croissance des entreprises numériques et faire émerger de champions internationaux.
11
12. 4. VISIBILITÉ INTERNATIONALE
Le renforcement de la visibilité et de la lisibilité à l’international de l’écosystème français
est un des objectifs majeurs de la French
Tech.
Il s’appuiera sur plusieurs ressources.
1. La marque « La French Tech ».
2. La Halle Freyssinet à Paris, qui sera à
la fois l’étendard international de la French
Tech et son point de ralliement national,
avec, en son sein, des espaces d’accueil proposés par la Caisse des dépôts aux startups
issues des écosystèmes en région labellisés
French Tech.
3. Une partie de l’enveloppe de 15 M€
pour des actions de marketing international
de la French Tech : avec d’une part, des campagnes menées par l’Agence française pour
les investissements internationaux / Invest in
France et la Mission French Tech, et d’autre
part, surtout, des moyens disponibles, sur
appel à projets au fil de l’eau, pour des opérations d’attractivité internationale portées
par des acteurs privés au sein d’écosystèmes
labellisés « Métropoles French Tech ».
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