Ipsos pour MSN : le rôle des media dans l'information politiqueGuillaume PETIT
Etude d'Ipsos France pour MSN réalisée en novembre 2011 : Le rôle des media en tant que source d'info politique + focus sur le web/réseaux sociaux : quel rôle potentiel auprès des électeurs, des militants dans la campagne 2012 en France?
Dans un climat général de morosité, voici une bonne nouvelle vague apportée par le Baromètre Seniors : les 55 ans et + vont plutôt bien et sont globalement satisfaits de leur vie. Cette nouvelle vague du Baromètre centrée sur la relation au Digital des Seniors apparaît comme une chronique annoncée de la quasi disparition de la fracture numérique générationnelle...
http://www.tns-sofres.com/publications/barometre-55-avril-2016-les-seniors-et-le-digital
Des Français divisés face aux nouveaux enjeux de l’économieIpsos France
Ipsos / Sopra Steria pour La journée et le prix du livre d’économie 2017
En savoir plus : https://www.ipsos.com/fr-fr/des-francais-divises-face-aux-nouveaux-enjeux-de-leconomie
Ipsos pour MSN : le rôle des media dans l'information politiqueGuillaume PETIT
Etude d'Ipsos France pour MSN réalisée en novembre 2011 : Le rôle des media en tant que source d'info politique + focus sur le web/réseaux sociaux : quel rôle potentiel auprès des électeurs, des militants dans la campagne 2012 en France?
Dans un climat général de morosité, voici une bonne nouvelle vague apportée par le Baromètre Seniors : les 55 ans et + vont plutôt bien et sont globalement satisfaits de leur vie. Cette nouvelle vague du Baromètre centrée sur la relation au Digital des Seniors apparaît comme une chronique annoncée de la quasi disparition de la fracture numérique générationnelle...
http://www.tns-sofres.com/publications/barometre-55-avril-2016-les-seniors-et-le-digital
Des Français divisés face aux nouveaux enjeux de l’économieIpsos France
Ipsos / Sopra Steria pour La journée et le prix du livre d’économie 2017
En savoir plus : https://www.ipsos.com/fr-fr/des-francais-divises-face-aux-nouveaux-enjeux-de-leconomie
Le 28 novembre 2018, le gouvernement a présenté un plan de recherche national pour l'Intelligence Artificielle (IA) : de 2019 à 2022, la France a prévu d’investir plus de 665 millions d'euros pour poursuivre deux objectifs principaux : faire partie des 5 premiers pays considérés comme experts en intelligence artificielle et devenir le leader européen de la recherche sur l'IA.
Information et influence pendant la campagne presidentielle - Enquête IPSOS p...Romain Fonnier
Présidentielles & influence : sondage IPSOS pour Comfluence
Publié le décembre 9, 2011 par Jérôme Ripoull
Présidentielles, information et communication : Les français en pleine crise de confiance
L’ enquête réalisée par IPSOS pour Comfluence, met à jour les usages des français en matière d’information politique et leur jugement sur les acteurs intervenant dans le débat.
Les médias traditionnels vecteurs prioritaires d’information
Les grands médias traditionnels captent l’attention des français pour s’informer sur la campagne : les chaînes de télévision généralistes (83% des français les utiliseront) devancent la radio (68 %) et la presse écrite (64 %).
Les chaînes spécialisées dans l’information (BFM TV, I télé, CNN…), annoncées par certains comme les grands acteurs de la campagne seront utilisées par « seulement » 54 % des français.
Le web ne donne pas le « La » de l’information politique. Les sites des grands médias classiques (presse, TV et radio) qui seront les plus consultés (50 % des français), très loin devant les sites web dédiés à l’information (Médiapart, Rue 89…) avec 20%, les réseaux sociaux (17%), les sites des partis politiques (16%), les blogs des candidats (13%).
Pour Vincent Lamkin et Jérôme Ripoull, cofondateurs de Comfluence : « en matière d’information politique, les présidentielles 2012 ne ressembleront toujours pas au modèle américain de la campagne 2008 de Barack Obama. Internet et les chaînes d’information spécialisées n’occuperont pas encore le premier rang. »
Une crise de confiance frappe les « corps intermédiaires »
Acteurs du débat présidentiel, les « corps intermédiaires » font de la campagne un moment privilégié pour partager avec les candidats leurs revendications. Pourtant, ils laissent les français perplexes quant à leur capacité à concilier intérêt général et intérêts sectoriels. Avec 57%, les associations arrivent en tête, tous les autres acteurs cités sont en dessous de 50% : syndicats de salariés (48%), fédérations et organisations professionnelles (42%), partis politiques (23%), pourtant censés être les relais naturels entre les français et les candidats !
Pour les dirigeants de Comfluence, « cette crise de confiance s’explique par le caractère souvent opportuniste des prises de positions de ces acteurs. Elaborer et partager des livres blancs, des plates formes de propositions, des engagements sociétaux lors des échéances présidentielles est insuffisant. Pour changer la donne, Comfluence préconise que les corps intermédiaires dialoguent avec la société et les français de manière durable, de façon moins opportuniste, en dehors des périodes électorales, en conciliant au mieux enjeux sectoriels et intérêt général. »
Des think tanks plus influents mais peu connus du grand public
Premier, avec une très faible notoriété absolue, Terr
Les français et les primaires citoyennes - vague 2contact Elabe
L’intérêt pour les « primaires citoyennes » progresse légèrement auprès des sympathisants de gauche.Le potentiel de participation au premier tour des « primaires citoyennes » se maintient à 5%.Manuel Valls (31%, inchangé) se maintient en tête des souhaits de victoire exprimés par les sympathisants de gauche, devant Benoît Hamon (25%, +1) et Arnaud Montebourg (24%, inchangé).
Baromètre 2016 de confiance des Français dans les mediaKantar
Le baromètre sur la confiance des Français dans les médias réalisé tous les ans par TNS Sofres pour La Croix décrit l’évolution de la pratique et la consommation d’informations chez les Français, ainsi que la perception du traitement qu’ont fait les médias des principaux événements de l’année.
http://www.tns-sofres.com/etudes-et-points-de-vue/barometre-2016-de-confiance-des-francais-dans-les-media
L'usage des réseaux sociaux chez les 8-17 ans - CNIL - TNS 2011Romain Fonnier
Que font-ils sur les réseaux sociaux ? Qu'échangent-ils ? Avec qui ? Leurs pratiques sont-elles toujours « amicales » ? Se sentent-ils protégés ? Quelle place ont pris les réseaux sociaux dans leur vie et celle de leur famille ? Pour répondre à ces questions et aider les parents à jouer leur rôle éducatif, TNS Sofres a réalisé une étude auprès de 1 200 jeunes de 8-17 ans pour l'UNAF, Action Innocence et la CNIL.
Principaux constats de l'étude
La moitié de 8-17 ans sont sur les réseaux sociaux
48% des enfants de 8-17 ans sont connectés à un réseau social (Facebook).
18% des moins de 13 ans sont connectés, avec l'accord de leurs parents à 97%.
Le déclic a lieu au collège : 57% des élèves du collège sont connectés / 11% des élèves du primaire.
Les jeunes se connectent souvent seuls : depuis leur ordinateur personnel (50%) et leur mobile (23%).
Les parents sont assez peu associés à cette pratique
Seule la moitié (55%) des 8-17 ans discutent avec leurs parents des réseaux sociaux, principalement du temps d'utilisation plus que des usages...
Une moitié (49%) d'entre eux sont « amis » avec leurs parents.
La moitié des enfants (55%) se disent surveillés dans leur utilisation de Facebook ; la vigilance des parents est plus marquée pour les plus jeunes (77%) et les filles (63%).
Pour les enfants et les adolescents ces relations sont bien réelles
Pour les enfants et les adolescents, la relation sur le réseau n'est pas virtuelle. Ils sont dans la vraie vie ; 92% utilisent leur vraie identité et livrent beaucoup d'informations personnelles.
Leurs activités sont notamment les commentaires et la publication de photos (surtout pour les filles à 88%).
Un tiers des enfants ont été choqués ou gênés par des contenus
Le réseau social est un espace plutôt civilisé mais les risques y sont démultipliés par la résonnance d'internet. 18% des 8-17 ans y ont déjà été insultés.
Plus d'un tiers (36%) ont déjà été choqués par certains contenus ; spontanément, ils citent d'abord les contenus à caractère sexuel, puis les contenus violents ou racistes et homophobes.
Quand ils ont été choqués, seuls 10% d'entre eux en ont parlé à leurs parents : ils en parlent plus facilement quand le sujet des réseaux sociaux est abordé en famille.
Conscients des risques, ils ne savent forcement s'en préserver
Les enfants semblent sensibilisés aux risques pour la vie privée et maitrisent les paramètres de confidentialité, même si cela est moins vrai pour les plus jeunes.
Les enfants et adolescents ont en moyenne 210 « amis » (un chiffre qui augmente avec l'âge), 30% d'entre eux ont déjà accepté en « amis » des gens qu'ils n'avaient pas rencontrés pour de vrai. Peut-on alors considérer qu'ils sont vraiment « entre amis » ?
La surveillance et le dialogue parents-enfant existent mais doivent être renforcés pour favoriser la prise d'autonomie et la responsabilisation des enfants/adolescents dans la gestion de leur réseau et de la confidentialité de leur vie privée.
L'usage des reseaux sociaux chez les 8-17 ans (tns sofres - juin 2011)Brice Mazenod
une étude TNS Sofres sur L'usage des réseaux sociaux chez les 8-17 ans. Cette enquête a été réalisée par téléphone du 10 au 17 juin 2011 pour l'UNAF, Action Innocence et la CNIL, auprès d'un échantillon de 1 200 enfants représentatif de la population française âgée de 8 à 17 ans.
Le 28 novembre 2018, le gouvernement a présenté un plan de recherche national pour l'Intelligence Artificielle (IA) : de 2019 à 2022, la France a prévu d’investir plus de 665 millions d'euros pour poursuivre deux objectifs principaux : faire partie des 5 premiers pays considérés comme experts en intelligence artificielle et devenir le leader européen de la recherche sur l'IA.
Information et influence pendant la campagne presidentielle - Enquête IPSOS p...Romain Fonnier
Présidentielles & influence : sondage IPSOS pour Comfluence
Publié le décembre 9, 2011 par Jérôme Ripoull
Présidentielles, information et communication : Les français en pleine crise de confiance
L’ enquête réalisée par IPSOS pour Comfluence, met à jour les usages des français en matière d’information politique et leur jugement sur les acteurs intervenant dans le débat.
Les médias traditionnels vecteurs prioritaires d’information
Les grands médias traditionnels captent l’attention des français pour s’informer sur la campagne : les chaînes de télévision généralistes (83% des français les utiliseront) devancent la radio (68 %) et la presse écrite (64 %).
Les chaînes spécialisées dans l’information (BFM TV, I télé, CNN…), annoncées par certains comme les grands acteurs de la campagne seront utilisées par « seulement » 54 % des français.
Le web ne donne pas le « La » de l’information politique. Les sites des grands médias classiques (presse, TV et radio) qui seront les plus consultés (50 % des français), très loin devant les sites web dédiés à l’information (Médiapart, Rue 89…) avec 20%, les réseaux sociaux (17%), les sites des partis politiques (16%), les blogs des candidats (13%).
Pour Vincent Lamkin et Jérôme Ripoull, cofondateurs de Comfluence : « en matière d’information politique, les présidentielles 2012 ne ressembleront toujours pas au modèle américain de la campagne 2008 de Barack Obama. Internet et les chaînes d’information spécialisées n’occuperont pas encore le premier rang. »
Une crise de confiance frappe les « corps intermédiaires »
Acteurs du débat présidentiel, les « corps intermédiaires » font de la campagne un moment privilégié pour partager avec les candidats leurs revendications. Pourtant, ils laissent les français perplexes quant à leur capacité à concilier intérêt général et intérêts sectoriels. Avec 57%, les associations arrivent en tête, tous les autres acteurs cités sont en dessous de 50% : syndicats de salariés (48%), fédérations et organisations professionnelles (42%), partis politiques (23%), pourtant censés être les relais naturels entre les français et les candidats !
Pour les dirigeants de Comfluence, « cette crise de confiance s’explique par le caractère souvent opportuniste des prises de positions de ces acteurs. Elaborer et partager des livres blancs, des plates formes de propositions, des engagements sociétaux lors des échéances présidentielles est insuffisant. Pour changer la donne, Comfluence préconise que les corps intermédiaires dialoguent avec la société et les français de manière durable, de façon moins opportuniste, en dehors des périodes électorales, en conciliant au mieux enjeux sectoriels et intérêt général. »
Des think tanks plus influents mais peu connus du grand public
Premier, avec une très faible notoriété absolue, Terr
Les français et les primaires citoyennes - vague 2contact Elabe
L’intérêt pour les « primaires citoyennes » progresse légèrement auprès des sympathisants de gauche.Le potentiel de participation au premier tour des « primaires citoyennes » se maintient à 5%.Manuel Valls (31%, inchangé) se maintient en tête des souhaits de victoire exprimés par les sympathisants de gauche, devant Benoît Hamon (25%, +1) et Arnaud Montebourg (24%, inchangé).
Baromètre 2016 de confiance des Français dans les mediaKantar
Le baromètre sur la confiance des Français dans les médias réalisé tous les ans par TNS Sofres pour La Croix décrit l’évolution de la pratique et la consommation d’informations chez les Français, ainsi que la perception du traitement qu’ont fait les médias des principaux événements de l’année.
http://www.tns-sofres.com/etudes-et-points-de-vue/barometre-2016-de-confiance-des-francais-dans-les-media
L'usage des réseaux sociaux chez les 8-17 ans - CNIL - TNS 2011Romain Fonnier
Que font-ils sur les réseaux sociaux ? Qu'échangent-ils ? Avec qui ? Leurs pratiques sont-elles toujours « amicales » ? Se sentent-ils protégés ? Quelle place ont pris les réseaux sociaux dans leur vie et celle de leur famille ? Pour répondre à ces questions et aider les parents à jouer leur rôle éducatif, TNS Sofres a réalisé une étude auprès de 1 200 jeunes de 8-17 ans pour l'UNAF, Action Innocence et la CNIL.
Principaux constats de l'étude
La moitié de 8-17 ans sont sur les réseaux sociaux
48% des enfants de 8-17 ans sont connectés à un réseau social (Facebook).
18% des moins de 13 ans sont connectés, avec l'accord de leurs parents à 97%.
Le déclic a lieu au collège : 57% des élèves du collège sont connectés / 11% des élèves du primaire.
Les jeunes se connectent souvent seuls : depuis leur ordinateur personnel (50%) et leur mobile (23%).
Les parents sont assez peu associés à cette pratique
Seule la moitié (55%) des 8-17 ans discutent avec leurs parents des réseaux sociaux, principalement du temps d'utilisation plus que des usages...
Une moitié (49%) d'entre eux sont « amis » avec leurs parents.
La moitié des enfants (55%) se disent surveillés dans leur utilisation de Facebook ; la vigilance des parents est plus marquée pour les plus jeunes (77%) et les filles (63%).
Pour les enfants et les adolescents ces relations sont bien réelles
Pour les enfants et les adolescents, la relation sur le réseau n'est pas virtuelle. Ils sont dans la vraie vie ; 92% utilisent leur vraie identité et livrent beaucoup d'informations personnelles.
Leurs activités sont notamment les commentaires et la publication de photos (surtout pour les filles à 88%).
Un tiers des enfants ont été choqués ou gênés par des contenus
Le réseau social est un espace plutôt civilisé mais les risques y sont démultipliés par la résonnance d'internet. 18% des 8-17 ans y ont déjà été insultés.
Plus d'un tiers (36%) ont déjà été choqués par certains contenus ; spontanément, ils citent d'abord les contenus à caractère sexuel, puis les contenus violents ou racistes et homophobes.
Quand ils ont été choqués, seuls 10% d'entre eux en ont parlé à leurs parents : ils en parlent plus facilement quand le sujet des réseaux sociaux est abordé en famille.
Conscients des risques, ils ne savent forcement s'en préserver
Les enfants semblent sensibilisés aux risques pour la vie privée et maitrisent les paramètres de confidentialité, même si cela est moins vrai pour les plus jeunes.
Les enfants et adolescents ont en moyenne 210 « amis » (un chiffre qui augmente avec l'âge), 30% d'entre eux ont déjà accepté en « amis » des gens qu'ils n'avaient pas rencontrés pour de vrai. Peut-on alors considérer qu'ils sont vraiment « entre amis » ?
La surveillance et le dialogue parents-enfant existent mais doivent être renforcés pour favoriser la prise d'autonomie et la responsabilisation des enfants/adolescents dans la gestion de leur réseau et de la confidentialité de leur vie privée.
L'usage des reseaux sociaux chez les 8-17 ans (tns sofres - juin 2011)Brice Mazenod
une étude TNS Sofres sur L'usage des réseaux sociaux chez les 8-17 ans. Cette enquête a été réalisée par téléphone du 10 au 17 juin 2011 pour l'UNAF, Action Innocence et la CNIL, auprès d'un échantillon de 1 200 enfants représentatif de la population française âgée de 8 à 17 ans.
À la demande de Procivis, Harris Interactive a interrogé un large échantillon représentatif de la population française pour mieux comprendre les trajectoires d’habitation des Français, ainsi que l’impact qu’a pu avoir la crise sanitaire sur leurs aspirations et leurs comportements.
L’enquête menée par Ipsos fin septembre - début octobre auprès d’un échantillon de 3000 Franciliens met en lumière de nombreux enseignements. Les motifs de satisfaction qu’expriment les Franciliens à l’égard de leur région sont nombreux et variés. Mais le logement et les transports sont toujours des motifs de préoccupations.
www.ipsos.fr
Etude Transilien
L'image de l'IDF et l'attachement à la région
Les sujets qui préoccupent le plus les Franciliens
La perception de ses conditions de vie et de son cadre de vie
Les attentes pour améliorer ses conditions de vie
Se déplacer en IDF - Perception générale
Présentation effectuée dans le cadre du club des sites de l'Aveyron le 24/10/2007.
Attention, plusieurs slides n"ont pas été retravaillées et sont "brutes de décoffrage".
Quel rôle peut encore jouer l'institution départementale au XXIème siècle ?Harris Interactive France
Après quelques semaines de confinement, après que différents acteurs ont été amenés à prendre la parole et à agir, le Conseil département de l’Essonne a souhaité interroger les Français sur leur regard à l’égard des différentes institutions dont le Conseil départemental. Cette étude ne visait pas à se focaliser que sur le Covid et sa gestion mais plus globalement sur les acteurs territoriaux.
3. Le réseau social Facebook est utilisé par plus d’un tiers des Français de 18 ans et plus (35 %) ; 18 % déclarent
l’utiliser souvent contre 17 % pas souvent.
31 % des Français connaissent par ailleurs le réseau mais ne sont pas inscrits : 1 % envisagent de s’y inscrire
prochainement contre 30 % qui ne comptent pas s’inscrire.
Enfin, 32 % des Français ne connaissent pas encore la fonction de Facebook, soit qu’ils le connaissent seulement de
nom (22 %), soit qu’ils n’en ont jamais entendu parler (10 %). Ce chiffre global monte à 55 % chez les 50 ans et plus, à
73 % chez les sans diplôme et même à 76 % chez les non-internautes.
Près de la moitié des internautes Français (44 %) ont déjà retrouvé des amis perdus de vue grâce à Internet.
Pour 21%, il s’agit d’amis perdus de vue depuis moins de 10 ans, pour 22% depuis 10 à 30 ans et pour 4% depuis plus
de 30 ans.
On notera qu’un quart des internautes de plus de 50 ans (26%) on retrouvé grâce à Internet des amis perdus de vue
depuis plus de 10 ans.
Pour les Français, Internet est une invention utile, mais qui peut se révéler à double-tranchant. Amenés à
comparer l’invention d’Internet à une autre invention (sur une liste suggérée, allant de la plus anodine –« le briquet
électrique, un gadget dont on peut très bien se passer » - à la plus impactante culturellement – « l’imprimerie, un progrès
de civilisation » -), 26 % des personnes interrogées comparent l’invention d’Internet à celle de « la télévision, un media
d’où sort le meilleur comme le pire », et 23 % à l’invention « du couteau suisse, un outil multi-usage ». Les catégories les
plus adeptes d’Internet sont aussi les plus nombreuses à opter pour cette deuxième option : les moins de 50 ans (32 %),
les internautes quotidiens (31 %) ainsi que les actifs (29 %).
Une part non négligeable des Français considèrent que l’invention d’Internet est somme toute assez secondaire, 19 % la
comparant au « téléphone, juste un meilleur moyen de communication » et 6 % au « briquet électrique, un gadget dont
on peut très bien se passer ». A contrario, seuls 16 % des personnes interrogées relient cette invention à celle de
l’imprimerie, y voyant un véritable « progrès de civilisation » (les cadres sont en revanche plus nombreux à opter pour
cette vision : 24 %).
Pour les utilisateurs d’Internet, ce qui leur plaît le plus dans cet outil est d’entrer facilement en contact avec
leurs proches (61 %). Les autres aspects les plus appréciés sont de pouvoir organiser sa vie quotidienne (achats,
déplacements…), qui concerne 36 % des internautes, et la possibilité de se cultiver (35 %), surtout mentionnée chez les
50 ans et plus (42 %). Viennent ensuite la possibilité de jouer et se divertir (23 %) - qui a notamment la faveur des 18-24
ans (32 %) et des catégories sociales modestes (31 %) -, et enfin de s’informer, soit sur l’actualité nationale (21 %), soit
sur l’actualité locale ou régionale (14 %).
Les Français et Internet >
3
4. Internet, une invention à double-tranchant ?
Pour vous, l’invention d’internet, c’est comme l’invention…
Base : ensemble de la population française âgée de 18 ans et plus
De la télé : c'est un media d'où sort le meilleur et le pire
Du couteau suisse : c'est un outil multi-usage
Du téléphone : c'est juste un meilleur moyen de communiquer
De l'imprimerie : c'est un progrès de civilisation
Du briquet électrique : c'est un gadget dont on peut très bien se passer
30% 50 ans et plus : 25 % Du lave-vaisselle : on s'en sert même si on ne sait pas comment ça marche
Sans opinion
26% 50 ans et plus : 13 %
25% 23%
50 ans et plus : 21 %
20% 19% 50 ans et plus : 19 %
16%
15%
10% 50 ans et plus : 8 % 50 ans et plus : 2 %
7% 7%
50 ans et plus : 2 %
5%
3%
Les Français et Internet >
4
5. Facebook : 32% des Français ne connaissent pas encore le principe
Concernant le réseau social sur Internet Facebook…
Base : ensemble de la population française âgée de 18 ans et plus
Vous êtes inscrit(e) et vous l'utilisez souvent
Vous êtes inscrit(e) mais vous ne l'utilisez pas souvent
Vous n'êtes pas inscrit(e) mais vous allez sans doute le faire prochainement
Vous n'êtes pas inscrit(e) et vous ne comptez pas le faire
Vous le connaissez juste de nom
Vous n'en avez jamais entendu parler
Sans opinion
35% 31% 32%
35%
30%
30%
25% 22%
20% 18% 17%
15%
10%
10%
5% 1% 2%
50 ans et plus : 50 ans et plus : 50 ans et plus : 50 ans et plus : 50 ans et plus : 50 ans et plus : 50 ans et plus :
4% 8% 1% 29 % 35 % 20 % 3%
Les Français et Internet >
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6. Internet, un moyen de communication avant tout
Ce qui vous plaît le plus avec Internet, c’est…
Base : ensemble des internautes (70 % de l’échantillon)
Etre en contact et communiquer avec vos amis, votre famille, vos proches
Pouvoir organiser votre vie quotidienne (achats, déplacements, etc.)
Vous cultiver
Jouer, vous divertir
Vous informer sur l'actualité nationale
70% 50 ans et plus : 62 % Vous informer sur l'actualité locale et sur votre région
Sans opinion
61%
60%
50%
50 ans et plus : 27 %
50 ans et plus : 42 %
40% 36% 35%
50 ans et plus : 15 %
30% 50 ans et plus :24 %
23%
21% 50 ans et plus : 15 %
20%
14%
10% 50 ans et plus : 3 %
3%
Les Français et Internet >
6
7. Internet, une fenêtre (aussi) sur les évènements lointains
Internet, vous vous en servez pour vous tenir informé(e) de ce qui se passe :
Base : ensemble des internautes (70 % de l’échantillon)
Oui, souvent Oui, de temps en temps Non, rarement ou jamais
ST N'utilise pas ST Utilise
En France 30% 30% 39% 31% 70% 50 ans et plus : 65 %
Dans le monde 37% 37% 39% 24% 63% 50 ans et plus : 57 %
43% 50 ans et plus : 52 %
Dans votre région 43% 36% 21% 57%
Dans votre département 47% 47% 35% 18% 53% 50 ans et plus : 51 %
50 ans et plus : 37 %
Dans votre commune 60% 60% 26% 14% 40%
Les Français et Internet >
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8. Près de la moitié des internautes ont déjà
retrouvé des amis grâce au web
Grâce à Internet, avez-vous retrouvé des amis que vous aviez perdu de vue ?
Base : ensemble des internautes (70 % de l’échantillon)
Oui, des amis que vous
aviez perdus de vue 50 ans et plus : 2 %
depuis moins de 10 ans
21%
Non
50 ans et plus : 75 %
56%
Oui, des amis que vous
aviez perdus de vue
depuis 10 à 30 ans 50 ans et plus : 12 %
22%
Oui, des amis que vous
aviez perdus de vue 50 ans et plus : 14 %
depuis plus de 30 ans
4%
* Le sous total ne correspond pas au total des réponses positive, les répondants ayant pu choisir plusieurs réponses
Les Français et Internet >
8
9. Vo
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10%
20%
30%
40%
50%
60%
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Base : 50 ans et plus non-internautes (26 % de l’échantillon)
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Les Français et Internet >
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Personnellement, pourquoi n’utilisez vous pas internet ?
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devant un outil vu comme complexe
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Les seniors non utilisateurs d’Internet : manque d’intérêt et craintes
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